La Fin de la Régence Ottomanes et la fracture des Balkans.
La régence pris fin en 1623 et Selim III prit alors définitivement les rennes du pouvoir Ottomans.
Il continua le travail de contruction de l'Empire qu'avait entrepris Osman mais il se concentra
plutot sur la réforme en profondeur de l'Armée Turque et le renforcement de ses effectifs qui
passèrent sous sont rêgne de 80k à 140k et fut grandement modernisée de façon à pouvoir
soutenir une éventuelle guerre d'agression des puissance occidentale. Grand bien lui prit.
Il réforma également la cour impériale en nommant conseillers le 1er Imam Sunnite
Turque ainsi que le Patriarche Orthodox Greque. Ceci afin de permettre à la société de
tolérance de perdurer et de se renforcer. L'armée fut également obligées de promouvoir des
officiers dans chacune des religions de l'Empire de façon à assurer une répartition efficaces des
pouvoirs. Il favorisa également l'instalation de protestants Français qui profitèrent de
leur savoir pour développer de nombreuse exploitations viticoles en Turquie provoquant ainsi
une mise en valeur importante de la culture du raisin.
Selim III profita de la faiblesse consommée de l'Empire Mamelouk pour relier définitivement
Alexandrie à l'Empire par la terre en annexant Damiette et le Delta du Nile a l'occasion d'une
guerre courte mais sanglante. Le Regne de Selim aurait pu être aussi grand est paisible que celui
d'Osman le batisseur. Malheureusement, les ambitions de la République de Venise mirent
prématurément un terme au régne de Selim.
En effet, Venise déclara la guerre en 1628 à la Bosnie et a l'issue d'un court conflit annexa
l'Albanie a cette dernière et annonça clairement son intention de frapper par la suite la
Transylvanie. Cette dernière vassal de longue date de l'Empire, demanda à Selim de se
préparer à intervenir. Selim mobilisa en hate et pu conter sur la moitié de ses effectifs
Impériaux en Grèce lorsque Venise déclara la guerre à la Tenasylvanie sous pretexte
d'espionnage.
Le Sultan rejoignit immédiatement la guerre et les armée Italiennes déferlèrent sur le la
péninsules Grèque comme une tempête. Des dizaines de milliers de cavaliers prirent le
chemin d'Istambule. Le Souverain prit la tête de 25 000 cavaliers Turques et mena la
contre offensive, de nombreuse et sanglante batailles s'en suivirent au court desquelles le
Souverain Turc trouva la mort en défandant Salonique. Cette défaite fut une victoire, le
temps gagné permit à son fils Murad III de rejoindre la Grece avec le reste de l'Armée
Impériale. Après quelques carnages supplémentaires Venise du se résoudre à la paix
après avoir perdu plus de 100000 hommes en Grece.
Murad ne désirant pas prolonger cette guerre que les Turcs n'avaient jamais souhaité,
demanda à Venise le Duché de Morée en dédommagement des frais de guerre et signa
après 18 mois de guerre la paix avec le République au visage changé.
Elle qui avait toujours été un partenaire de dialogue et une puissance bienveillante en méditerranée devenait une bête assoiffée de terres.
Des temps obscures s'annonçaient.... mais l'Empire allait faire face. Les regne d'OSman
et de Selim avaient fait de l'Empire une puissance moderne capable de rivaliser avec ses
voisins.