La Fin du Règne d'Osman II
Osman II le batisseur marqua l'Empire Ottoman de son empreinte.
Il fut ainsi le bourreau de la Perse qui finit par disparaître
sous les coups de butoire répétés. La disparition de l'ennemi naturel
de l'Empire mit fin à de long siècles crainte d'encerclement de
l'Empire. Désormais, les seuls vrais menaces pour l'Empire se tenaient
à l'Ouest et au Nord du Bosphore. L'Ottoman était désormais à même d'imposer
dans tout le moyen orient sa politique.
Osman marqua également l'Empire par la longueur et la stabilité de son rêgne,
cette stabilité apporta properité dynamisme démographique et permit à Osman de
réformer l'Empire pour lui donner une forme comparable aux monarchies administratives
de l'Ouest. Osman donna également au gouvernement une politique clairement innovative
avec la volonté ferme d'aligner l'Empire sur les puissances occidentales.
Pour finir, Osman fut le batisseur de la puissance économique Ottoman. L'adoption
d'une économie smithiennes, la réforme des douanes et la construction de plusieurs
manufactures donnèrent un élan sans précédent à l'économie Ottomane. Cette dernière
s'appuyait désormait sur un savoir faire et une excellente productivité loin des aléas
commerciaux. L'économie avaient pendant 20 ans été l'enfant chéri de l'Empire et cela
portait ses fruits, l'Empire était prospère et les ducats ne manquaient plus à la court.
Osman était un Sultan aimé de son peuple et la tristesse de ce dernier fut immense
lorsqu'il mourut en 1619, bien après ses propres descendant direct. Le pouvoir sauta
alors une génération pour revenir à son petit fils alors trop jeune pour diriger l'Empire.
Une régence assura donc la transition de pouvoir avec a sa tête Vasiliy Chernigovets un
Dipomate Russe de Vologda ayant fuit l'oppression du pouvoir Russe et s'étant impliqué
sans réserve dans la politique Ottomane de tolérance religieuse.
Quel visage allait donc prendre cet Empire d'Orient après ce Brillant souverain qu'était Osman????
Déjà la régence et les richesses de L'empire semblaient éveiller de quelques coqs au sang
bleu. Peut-être était-il temps pour l'Empire remettre au premier plan son meilleur atout
naturel, la force et le courage d'un peuple à la peau tanée par le soleil.
Messages Diplomatiques du Conseil de régence :
A l'Empereur des Teutons:
Courage votre chemin est tel que celui de votre "Messie". Mais nous sommes
sur qu'il saura se reconnaitre en votre parcourt.
Aux autres Royaumes Européenes :
Il semblerait que les Européens se considèrent en droit de diriger des terres d'Islam.
Prenez garde, un jour cela vous attirera des malheurs qui pourrait bie semer le trouble
jusqu'au coeur de vos cités.
A la France :
Saviez-vous que l'Empire est terre d'exil ?
Même de talentueux artistes de votre Royaume s'y installent...
Nous nous permettons de vous transmettre l'une de leur illustre ballade :
Citation:
C'est vrai qu'ils sont plaisants tous ces petits villages
Tous ces bourgs, ces hameaux, ces lieux-dits, ces cités
Avec leurs châteaux forts, leurs églises, leurs plages
Ils n'ont qu'un seul point faible et c'est être habités
Et c'est être habités par des gens qui regardent
Le reste avec mépris du haut de leurs remparts
La race des chauvins, des porteurs de cocardes
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Maudits soient ces enfants de leur mère patrie
Empalés une fois pour toutes sur leur clocher
Qui vous montrent leurs tours leurs musées leur mairie
Vous font voir du pays natal jusqu'à loucher
Qu'ils sortent de Paris ou de Rome ou de Sète
Ou du diable vauvert ou bien de Zanzibar
Ou même de Montcuq il s'en flattent mazette
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Le sable dans lequel douillettes leurs autruches
Enfouissent la tête on trouve pas plus fin
Quand à l'air qu'ils emploient pour gonfler leurs baudruches
Leurs bulles de savon c'est du souffle divin
Et petit à petit les voilà qui se montent
Le cou jusqu'à penser que le crottin fait par
Leurs chevaux même en bois rend jaloux tout le monde
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
C'est pas un lieu commun celui de leur connaissance
Ils plaignent de tout cœur les petits malchanceux
Les petits maladroits qui n'eurent pas la présence
La présence d'esprit de voir le jour chez eux
Quand sonne le tocsin sur leur bonheur précaire
Contre les étrangers tous plus ou moins barbares
Ils sortent de leur trou pour mourir à la guerre
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Mon dieu qu'il ferait bon sur la terre des hommes
Si on y rencontrait cette race incongrue
Cette race importune et qui partout foisonne
La race des gens du terroir des gens du cru
Que la vie serait belle en toutes circonstances
Si vous n'aviez tiré du néant tous ces jobards
Preuve peut-être bien de votre inexistence
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
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