bah merci de ta contribution aedan.
Je dois dire que je ne suis pas surpris par ta position, concernant la tactique employée.
Le rush, c'est un de tes apanages. Ce n'est ni péjoratif, ni une critique ce que je dis.
C'est sans doute dû aux habitudes liées aux nombreuses parties de EU2 auxquelles je me suis adonné, mais le fait que Venise attaque en supériorité numérique, une Autriche qui a recruté au max de son plafond... franchement j'en reste baba...
J'apporterais quand même un bémol concernant la profondeur stratégique : ce n'est pas tant prendre la capitale, que d'infliger de lourdes pertes (en hommes et au moral) qui est crucial ici.
A EU2, avec un moral bas, on recule un peu, on se regroupe et on prépare la contre-attaque.
L'attaquant peut essayer de poursuivre, il s'expose à une usure dangereuse et grandissante, qui risque de l'essoufler.
Ici, la faible attrition permet aux agresseurs de poursuivre leur ennemi quasiment partout, et la guerre se résume à une partie de chat et souris.
Du coup le choc initial me semble vraiment très important.
__________________
on peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas...
En France, on n'a ni pétrole, ni idées. Mais on a des taxes... 
|