Ils ont osé! Ils ont osé!
Les sionistes attaquent l'Egypte, aidés par les colonialistes de Paris et de Londres, qui ne peuvent supporter que le Président Nasser décide de rendre à l'Egypte et aux arabes leur canal de Suez! Ah, ces infidèles s'inquiètent de l'irrésistible montée en puissance des arabes, ils vont en être pour leurs frais!
Des escadrilles ennemies seraient en vol vers Port-Saïd. C'est à notre escadrille de s'en occuper.
Huit des notres décollent!
Et se mettent en route vers Port Said, au Nord de la base. Il suffit de suive le Canal... et les indications du contrôle au sol.
Contact visuel! 4 F-84 français venus de Chypre, espérons qu'il ne soit pas trop tard, Port Saïd est déjà en vue. On large les réservoirs et on pousse les gaz à fond.
Hélas, Al-Palpaty n'arrive pas à portée de tir assez rapidement...
En même temps surgit l'escorte des avions français! Des Venoms britanniques et des Meteor israéliens! L'un d'entre eux décide de s'en prendre à l'aîlier.
Bien mauvaise idée, Al-Palpaty abandonne les français, il grimpe derrière le sioniste qui ne l'a pas vu...
Une courte pression sur la commande de tir...
Et le verdict est sans appel!
Il n'y aura pas de parachute...
Pendant ce temps, l'ailier d'Al-Palpaty règle son compte à un F-51 sioniste. Quelle idée de sortir ce genre de vieilleries contre des MiG-15! Déjà, le meteor ne fait pas le poids...
Mais pas le temps de lambiner! Un autre meteor rode dans le coin... Montrons lui les qualités du MiG-15: agilité et rapidité!
C'est sans coup férir qu'Al-Palpaty se place en position de tir et envoie une rafale dans le moulin droit du sioniste. Le meteor tombe, abandonné de son pilote!
Son ailier rapplique!
Le combat entraîne les deux appareils au dessus de POrt Saïd. La DCA se déchaine, se moquant bien que l'un des protagoniste soit égyptien!
Le Meteor tombe sous les coups d'Al-Palpaty! Et de trois!
L'ennemi à disparu de Port Saïd... Malgré les apparences, la mission est un échec. Certes, 4 agresseurs ont été abattus, contre un des notres, mais ils ont pu bombarder leur cible. Ce n'est pas comme ça que l'on gagnera cette guerre.