Discussion: AAR GPO5 le VRAI
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Vieux 16/07/2007, 14h49
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Castille 1474-1483

La coalition anti-castillanne : guerre et défaite

Alors que nous étions bien conscient qu'une guerre allait se déclarer prochainement de l'initiative de la France, voir de l'Angleterre, nous ne pensions pas que la France utiliserait la tromperie et la duperie, pourtant moyens plus anglais que français, pour arriver à ses fins.

La France en effet n'était pas sans savoir, comme toute l'Europe d'ailleurs, de nos volontés d'unification avc le Royaume d'Aragon, étant donné que nous en avions fait la déclaration publique.
Sachant cela, la France sur-préparée militairement, possédant notamment des milliers de cavaliers en armures de plate, ainsi qu'une avance technologique militaire considérable par rapport à nous, attaqua vilement l'Aragon, dans le but non-déclaré de vassaliser ce royaume, empéchant ainsi tout possiblité pour nous d'unification.
Cela ne pouvait être toléré, et immédiatement la guerre fut déclaré à la France, qui put compter sur son allié anglais, toujours à l'affut d'opportunités financières.
Malheureusement pour Nous, la guerre fut déclarée sans aucune préparation car nous ne pensions pas qu'elle viendrait si tôt, de plus il fallait intervenir immédiatement en Aragon car les provinces commes celles de Navarre ou de Barcelone tombaient à un rythme alarmant.
La guerre une fois déclarée fut donc une grande défaite pour la Castille.
Au départ, dans les colonies, nos troupes avancèrent sans mal en balayant quelques troupes françaises, et les colonies furent capturées, mais l'arrivée décisive de troupes anglaises bien pourvues, notamment en cavaliers, eu raison de notre corps colonial qui fut bientôt complètement exterminé. En effet les javeliniers indiens ne pouvaient faire grand mal aux cavaliers lourdement cuirassés anglais. Et seul la lointaine province de Mexico possédait les élevages de chevaux pouvant ainsi lever quelques cavaliers.
La guerre dans les colonies fut donc une défaite, et il était en outre impossible pour nous d'envoyer le moindre renfort d'Espagne, car la situation en métropole fut encore plus catastrophique : une armée fut envoyé en Aragon dès que le roi nous donna un droit de passage militaire, mais nos armées furent battues par les français devant les murs de Valence.
Dès lors l'Aragon fut perdu, et le roi de france, dans un délir mégalomanique annexa purement et simplement les marches d'Espagne de feu l'empire de Charlemagne (on se doute donc de ses intentions en Italie et en Allemagne...).
Une fois l'Aragon tombé, il fut facile pour la France, et il faut reconnaitre là le talent des généraux et des maneuvres françaises, de nous battre à chaque rencontre. L'exemple le plus frappant en fut les batailles de Madrid, où nos troupes en surnombre au début ne réussissent pas à faire fuir les français (admirablement commandés) assez vite pour empêcher les renforts français de venir écraser nos hommes.




Les batailles pour Madrid : à chaque fois des renforts français viendront remporter la bataille. Il faut dire ici que nos campagnes bien peu peuplées ne purent pas supporter l'effort de recrutement nécessaire.

Le roi fort sage décida donc d'envoyer une proposition de paix à la france et à l'Angleterre : il proposa de céder 10 colonies de culture et de religion barbare du nord de la Floride.
Ceux ci acceptèrent, et au final cette défaite se révéla bien moins couteuse qu'il n'y parait : en effet, les couts de stabilité et de technologie diminuèrent sensiblement, alors que nos revenus mensuels restèrent stables.
Une fois la paix signée, nos conseillers de talent nous permirent par deux fois d'augmenter notre stabilité et de gagner en réputation.
Des révoltes éclatèrent au Mexique et ce de façon très soutenu. Une campagne de fortification des colonies est donc en passe d'être lancé afin de faire taire cet menace.

L'unification

A la suite de la défaite contre la France, il fut décidé par le Roi d'une campagne militaire rapide et décisive en Aragon afin d'empècher d'autres puissances de nuire à notre unification.
L'Aragon épuisé par la précédente guerre fut facilement conquise, de même que son allié napolitain.



Diplomatie

Une alliance militaire fut signée avec Gueldre et la puissante Bourgogne.

A la France et l'Angleterre : toute négociation est possible pour la cession des marches d'Espagne, à la condition qu'elles soient correctes. De même nos colonies enclavées de Louisiane hors centre de commerce pourraient être vendues.

A Gueldre : Nous assurons entier soutien militaire à votre royaume, et notre aide vous est acquise en toute occasion.

A l'Autriche et Venise : D'une part, il est évident pour Nous que le maître d'Autriche est le seul à pouvoir prétendre au titre d'Empereur, et par conséquent nous condamnons les actions menées par la vorace Venise.
Il nous semble qu'une libération de Sienne et de Modène puis dévassalisation serait un geste appréciable. Nous serons ainsi tout à fait prêt à ne pas toucher à Naples qui est tombé entre les mains de nos troupes il y'a quelques semaines.

Au Portugal : Vous ne nous avez pas apporté votre soutien militaire lors de la dernière guerre en prétextant que votre pays n'était pas prêt et donc nous vous croyons.Vous associez à la défaite inévitable n'aurait en effet servit à rien. Nous vous remercions pour votre aide à réprimer les rébellions au Mexique. La flotte portugaise en construction nous semble tout à fait impressionnante tant en nombre qu'en qualité, et nous sommes sûr que vous saurez en faire bon usage.
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