Discussion: Chanson fétiche
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  #49  
Vieux 29/05/2007, 17h09
SeNTEnZa
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Je suis pas un grand fan de Radiohead, mais j'aime bien creep :

When you were here before,
Couldn't look you in the eye
You're just like an angel,
Your skin makes me cry

You float like a feather
In a beautiful world
I wish I was special
You're so fuckin' special

But I'm a creep,
I'm a weirdo
What the hell am I doin' here?
I don't belong here

I don't care if it hurts,
I wanna have control
I want a perfect body
I want a perfect soul

I want you to notice
when I'm not around
You're so fuckin' special
I wish I was special

But I'm a creep
I'm a weirdo
What the hell am I doin' here?
I don't belong here, ohhhh, ohhhh

She's running out again
She's running out
She runs runs runs runs...
runs...

Whatever makes you happy
Whatever you want
You're so fuckin' special
I wish I was special

But I'm a creep,
I'm a weirdo
What the hell am I doin' here?
I don't belong here

I don't belong here...



traduction :

Quand tu étais là, avant
Je ne pouvais pas te regarder dans les yeux
Tu es comme un ange
Ta peau me fait pleurer
Tu flottes comme une plume
Dans un monde merveilleux
Je souhaiterais être spécial
Tu es si spéciale

Mais je ne suis rien, je suis un cinglé
Qu'est-ce que je fais ici
Je n'appartiens pas à ce monde

Peu importe si ça blesse
Je veux avoir de l'autorité
Je veux un corps parfait
Je veux une âme parfaite
Je veux que tu remarques
Les moments où je ne suis pas là
Tu es si spéciale
Je souhaiterais être spécial

Elle s'enfuit en courant
Elle s'enfuit en courant
Cours, cours ...

Peu importe ce qui te rend heureuse
Peu importe ce que tu veux
Tu es si spéciale
Je souhaiterais être spécial

Mais je ne suis rien, je suis un cinglé
Qu'est-ce que je fais ici
Je n'appartiens pas à ce monde
Je n'appartiens pas à ce monde






Et également, une chanson brésilienne :
(meme si la traduction détruit un peu la mélodie des paroles brésiliennes)
Chega de Saudade

Vai, minha tristeza
E diz a ela que sem ela não pode ser
Diz lhe numa prece que ela regresse
Porque eu não posso mais sofrer
Chega de saudade, a realidade
É que sem ela não há paz, não há beleza
É só tristeza, e a melancolia
Que não sai de mim, não sai de mim, não sai
Mas se ela voltar, se ela voltar
Que coisa linda, que coisa louca
Pois há menos peixinhos a nadar no mar
Do que os beijinhos que eu darei na sua boca
Dentro dos meus braços os abraços
Hão de ser milhões de abraços apertado assim
Colado assim, calado assim
Abraços e beijinhos e carinhos sem ter fim
Que é pra acabar com esse negócio
De viver longe de mim
Não quero mais esse negócio
De você viver assim
Vamos deixar desse negócio
De você viver sem mim


traduction :
Va-t-en, ma tristesse, et va lui dire
Que sans elle, moi je n'existe plus
Dis-lui dans une prière de me revenir
Car je n'en peux plus de souffrir
Au diable le chagrin!
C'est que, sans mon amour, pas de paix, pas de beauté,
Il ne me reste que tristesse et mélancolie,
Qui ne me lâchent plus, ne me lâchent plus, me lâchent plus.
Mais quand elle revient, quand elle revient,
Comme ça devient beau! Comme ça devient fou!
Y a bien moins de poissons qui nagent dans la mer
Que tous les baisers que je poserai sur sa bouche...
En t'enlaçant dans mes bras,
Il faudra qu'il y ait des millions d'étreintes
Fortes comme celle-là, serrées comme ça, tendres comme ça,
Des baisers, des caresses et des étreintes tout le temps.
Ça doit finir cette histoire-là où tu vis sans moi.
Je n'en veux plus de cette histoire où tu vis comme ça.
Je n'en veux plus de cette histoire où tu es loin de moi


et bien sur presque l'intégralité du repertoire de brassens, avec une préférence pour les moins connues!

Un roi d'Espagne, ou bien de France,
Avait un cor, un cor au pied;
C'etait au pied gauche, je pense;
Il boitait aù faire pitie.

Les courtisans, espace adroite,
S'appliquerent aù limiter,
Et qui de gauche, qui de droite,
Il apprirent tous aù boiter.

On vit bientot le bénéfice
Que cette mode rapportait;
Et de l'antichambre aù l'office,
Tout le monde boitait,boitait.

Un jour, un seigneur de province,
Oubliant son nouveau métier,
Vint aù passer devant le prince,
Ferme et droit comme un peuplier.

Tout le monde se mit aù rire,
Excepté le roi qui, tout bas,
Murmura:"Monsieur,qu'est-ce aù dire ?
Je crois que vous ne boitez pas."

"Sire, quelle erreur est la votre!
Je suis crible de cors; voyez:
Si je marche plus droit qu'un autre,
C'est que je boite des deux pieds."




.... Comment ca on avait dut une seule chanson ?
Réponse avec citation