
27/05/2007, 23h10
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Chroniques Françaises 1515-1526.

En ce mois d’avril 1526, il est temps de poser ici quelques lignes sur l’histoire récente de la France et ses relations diplomatiques.
Nous reprenons notre récit alors que les troupes françaises son sur le point de repousser les castillans, que les Vénitiens sont déconfis, et que nos forces se préparent à la reconquète des colonies.
La paix blanche avait été prévu avec l’Angleterre, et la rétrocession des colonies françaises capturées par le Portugal faisait parti intégrante du traité.
Mais c’est alors que le Portugal revient sur sa parole et refuse de nous rétrocéder nos terres, odieusement soutenu par l’Angleterre ! Nul doute que cette traîtrise avait été préparé de longue date à Londres et à Lisbonne, et qu’elle avait pour but de nous obliger à la paix tout en ne respectant pas les causes du traité. Les vils comploteurs anglo-portugais n’était en effet pas sans savoir que après la mort du grand Roy François en fin d’année 1514, beaucoup de bons français étaient lassé de cette guerre et souhaitaient la paix le plus vite possible (nous allons y revenir).
Mais la diplomatie française n’a pas cédée, et le frère de François le Roy Charles IX décida de poursuivre la guerre. Ce fut sans compter l’arrivée à Paris des émissaires de la couronne de Castille : ceux ci proposaient en effet une paix fort généreuse qui consistait en la cession d’une unique terre dépeuplée au nord de la Nouvelle Bretagne. Le Roy fort sage y vit un moyen de soulager la frontière des Pyrénnées, tout en destabilisant les restes de la coalition. Les espagnols avaient en effet fort besoin d’une période de calme pour mener à bien la fin des négociations avec l’Aragon en vue d’une union prochaine.
Une fois la paix blanche signée avec Venise, il ne resta plus qu’à s’occuper de l’Angleterre et du Portugal : après avoir envoyé quelques navires anglais par le fond dans la Manche, une expédition fut envoyée par delà les mers : elle repris le Mexique (aidés par un soulèvement d’autochtones), ainsi que la Nouvelle Bretagne.
Etrangement, les indiens du nord nous attaquèrent et nous fûmes forcé d’annexer leurs terres sans avoir eu le temps d’envoyer suffisamment de prêtres pour l’évangélisation (mais cela ne va pas tarder).
La révolte des indigènes en notre faveur, preuve de l’amour e la France par delà les mers.


Tout allait pour le mieux jusqu’à la " catastrophe " de Haïti.
En effet, notre flotte forte de plus de 10 caravelles, ainsi que d’une douzaine de flûtes fut attaqué au large d’Haîti par une flotte portugaise moins nombreuse ( 6 caravelles à priori plus quelques barques)
Et bien malgré notre supériorité ainsi que la présence d’un bon amiral, notre flotte fut totalement annihilée, et aucun navires ne survécu. Absolument aucun malgré le fait que nous ayons un port à nous juste à côté où les navires auraient pu se réfugier ( probablement un bug L ). On ne sait pas ce qui s’est exactement passé, amis une telle incompétence ne pouvant être toléré, tout les biens de l’amiral en question furent saisis, et il est interdit à tout ses descendants pendant 12 générations de ne serais-ce que de poser le pied sur un navires. Ordre du Roy.
Notre flotte ayant totalement disparue, la paix fut signée avec le Portugal et l’Angleterre : Cuba nous revint et Haïti fut rendue à Lisbonne.
Une fois la paix revenue, le pays pu se remettre en marche vers le développement : le Roy Charles IX décida de construire des édifices religieux, des ateliers, et murailles dans le nouveau monde, et il mis en chantier la reconstruction de la flotte royale qui devait repartir de rien du tout.
Mais il mis surtout un point d’honneur à célébrer les funérailles du Grand Roy François comme il se doit. Jamais on ne vit telle splendeurs, tel défilés, telles foules pour une inhumation d’un Roy de France. Il fut mis en bière dans la cathédrale de saint Denis où il rejoignit ses illustres ancêtres. Le Pape lui même assista à la cérémonie.
Rappelons que le grand Roy François Ier a péris face aux Vénitiens dans la titanesque bataille perdue de Nice le 19 décembre 1514, où il permis la retraite en bon ordre des troupes françaises grâce à une charge glorieuse où il périt avec les siens. Il donna sa vie pour que l’armée puisse survivre, et pour la grandeur de la Couronne et du Royaume de France. C’était en outre un génie militaire comme on n’en verra pas pour des siècles, et qui sauva la France de la destruction.
Une gloire éternelle lui sera rendue pour cela.
Revenons à son frère qui mena une politique admirable de paix avec ses voisins : on donnera à son crédit deux fait majeurs :
- la réorganisation Papale
- l’accession au titre d’Empereur rien de moins.
La réorganisation papale et l’Empire
Le Roy avait une volonté forte en son âme de moderniser la Papauté : en effet on commençait à cette époque à voir se développer en Allemagne une hérésie protestante des plus ignobles mais qui avait un certain écho dans la population. L’Empereur autrichien fort incapable de mettre un terme à ses trouble laissa la peste hérétique se développer.
Ainsi le Roy décida ceci : d’une part il fut décidé de mettre le Pape sous protection de la couronne de France, seule représentante la plus pure en Europe des intérêts des catholiques. Ainsi Avignon fut occupé et rattaché directement à la couronne royale en accord avec le Pape, pendant que Rome fut placé sous la protection des Vénitiens avec qui une réconciliation était bien entamée.

Quelques troubles eurent bien lieu amis rien de bien grave, notre motif était si juste et si bien mené qu’aucune puissances en Europe ne broncha. Aucune sauf la Pologne.
En effet certains cardinaux polonais contestataires peu nombreux mais influants levèrent à Varsovie des contingents de mercenaires et de fanatiques en guenilles et il reçurent de la régence autrichienne le droit de traverser leur territoire pour venir "pendre le Satan français " qui selon eux avait osé venir défendre le Pape…
Ils pillèrent la Champagne pendant des mois, amis furent ensuite sévèrement battus en Lorraine. Le Roy fut exemplaire, et on dénombra 24 000 polonais pendus haut et cours dans les campagnes de l’est. 2 000 furent envoyés dans les mines d’ors mexicaines.
Il s’en fallu de peu que la guerre n’éclate entre Autriche et France du fait que les polonais avaient libre passage à travers les Flandres.
L’Autriche étant bien incapable de gérer la crise papale et hérétique, les électeurs du SERG décidèrent de donner leur confiance en le Roy de France et donc c’est fort naturellement que le Roy de France fut élu Empereur du Saint Empire Romain Germanique en 1518.
Le Roy Charles IX fort d’un excellent bilan mourut jeune d’une chute de cheval malheureuse le 5 mai 1519.
Cependant il mourut sans descendance, et c’est Mary II d’Ecosse, la fille de l’oncle de François Ier, Reine d’Ecosse, qui monta sur le trône.
De manière fort incroyable et par des maneuvres habiles, elle hérita du titre d’Impératrice du SERG !

Son règne fut marquée par la conquète de l’Ecosse par l’Angleterre, et son exil à Paris. En effet il avait été prévu dans le traité de paix que la rance resterai neutre si l’Angleterre intervenait en Ecosse. La Raine Marie II respecta la parole de la France au détriment de son peuple d’origine, preuve de son amour profond de la France.




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