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Vieux 14/05/2007, 11h54
Aedan
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Chronique de la sérénissime république de Venize.


La Coalition anti-Française.

La grande guerre qui avait opposé la république au duché de Milan s'était terminée apres 5 année de conflit en une brillante mais épuissante victoire de Venize. Genes, Nice, Mantoue, Bologne et Anconne avaient été conquise. Cependant rapidement France tint un langage diplomatique aussi abondant que variable.

Dans un 1er temps, la France annonça qu'elle encourageait les succés Vénitiens et qu'elle soutiendrait la création d'un vaste royaume d'Italie. Dans un 2ème temps, la France nous informa qu'elle trouvait nos succés trop rapides et foudroyant et que cela l''inquiétait. Dans un 3ème temps elle déclara que Venize finalement devait rendre Bologne et Anconne au domaine Pontifical. Enfin dans un 4ème temps la France déclara qu'elle accepterait que Bologne et Ancone reste Vénitienne si Venize renonçait à honnorer son alliance avec l'Autriche dans le cas d'une offensive Française.

Ces multiples rebondissement de la position Française qui une fois defendait les droits papaux et une autre fois abandonnait le Pape pour ses propres interets en Flandres irritait fortement le conseil des 10 de Venize. Quand on appris à Venize que le royaume de France venait de détruite le royaume indigène Azteque et venait de mettre la main sur de fabuleuses mines d'or... la conviction Vénitienne était faite: La France était devenue dangereuse pour la république et apres une eventuelle victoire en Flandre, la France ne se priverait pas d'intervenir en force en Italie grace à la puissance que donnera l'or américain.

La république donna alors l'engament à la France qu'elle n'interviendrait pas en suivant l'Autriche dans un conflit contre elle. Cet accord n'excluait pas évidement une intervention Vénitienne pour suivre l'Angleterre sa nouvelle alliée à la place de l'Autriche. La disctinction était subtile, juridiquement inattaquable mais l'ambassadeur Français, certainement un sot... n'y vit pas la faille.

Quand l'Angleterre attaqua l'Ecosse allié de la France, tout naturellement Venize suivit l'Angleterre et se retrouva de facto en conflit ouvert avec la monarchie Française.

Le dispoitif militaire

Le potentiel militaire de la république était cependant fortement limité par la faiblesse des réserves de soldat disponible pour la lévé des armées républicaines.

Cependant 3 corps était opérationels au début du conflit et constitué uniquement d'infanterie..d'hommes d'armes et de Condotière. La Cavalerie si chère, n'était pas dans les moyens de la république et les stratéges estimaient qu'elle ne serait guère utile dans les Alpes.

- Le 1er corps fut stationné à Gênes et comprenait 8.000 fantassins

- Le 2ème corps était à Mantoue, comprenait 7.000h et devait suivre le 2ème corps à une distance de 10 jours de marche et devait le soutenir en cas de bataille majeure

- Le 3ème corps de réserve de 7.000h devait rester à Venize pour surveiller la fontière Est en cas d'offensive eventuelle de l'empire turc

Le Doge Erizzo prenant directement la tête du 1er corps et ayant en charge de mener l'offensive

2) Le franchissement des Alpes

Le Doge Erizzo quitta Genes au début du printemps et se porta vers Nice, dernière grande ville républicaine et y termina l'approvisionement de son armée. Puis Franchissant la rivière Var séparant les terres républicaines de celles du roi de France, il se porta plein ouest à travers la Provence. Draguignan, Brignole, Saint-Maximin et Aix n'offrirent de résistance et le siège de Marseille pu se mettre en place. De toute évidence, La France avait lancé ses armées dans le nord et les Flandres pour tenter de terrasser l'Autriche et le sud semblait non défendu. Devant une telle offensive, les armées impériales risquaient de se faire déborder et il était urgent que les armées républicaine puissent remonter et soutenir l'Autriche qui supporter la majeur partie de la masse des armées Françaises.

La place de Marseille n'était defendu que par un millier de soldat et de milice de la ville. Le Doge Erizzo décida de ne pas attendre et ordonna l'assault des muraillles de la ville. Le combat fut sanglant et les defenseurs marseillais perdirent la moitié de leurs forces Mais cependant purent repousser l'Assault. Le Doge Errizo ordonna alors au 2ème corps de la république parvenu à Nice de venir le rejoindre pour lancer un 2ème assault. Quand presque 14.000 Venitiens attaquèrent à nouveau, Marseille préféra cesser le combat et ouvrit ses portes aux forces de la sérénissime.

Le Doge Erizzo décida de se porter plein nord pour atteindre Lyon puis faire sa jonction au plus tot avec les armées impériales d'Autriche en Bourgogne. Mais le Pape grace à Avignon tenait le passage de la absse vallée du Rhone et refusa que les troupes de Venize de passa par Avignon. Il fallait donc contourner le comtat Venaissin par l'Est. Erizzo et le 1er corps traversa la chaine du Luberon, remonta la Vallée de la Durance par Manosque et Sisteron et apres franchi le difficile col de Lus-la-croix-haute, parvint à pénetrer dans le Dauphiné et en redescendant la vallée du Drac atteindre enfin la place de Grenoble.
Grenoble enfermée par les puissants massifs de Belledone, Chartreuse et Vercors, ne pouvait être contournée au risque de perdre toute communication avec les nouvelles bases provençales de la république . Erizzo, renouvelant sa stratégie de Marseille, décida d'enlever la capitale Dauphinoise par assault de ses murs. Le 2ème corps resté à Marseille fit sa jonction au petit village d'Echirolle et ensemble les deux corps républicains purent entrer dans la ville.

Le verrou stratégique de Lyon était enfin à porté. Erizzo s'y porta rapidement en descendant la vallée de l'isère puis en approchant l'ancienne capitale des Gaules par l'est. Mais cette fois, de puissantes forces de cavalerie Françaises approchaient du nord et une Bataille s'ensuivit au nord de la ville avec une défaite Vénitienne dont les forces déjà forts éprouvées avaient perdu tout moral et cohésion. Heureusement bien que poursuivit, les forces républicaine s'accrochèrent devant Grenoble et reppoussèrent les Français.

L'Empire Ottoman ne semblant pas bouger, le 3ème coprs de réserve stationé à Venize pris la route du Dauphiné afin de renforcer les forces de la république.
Un nouvel effort fut tenté sur Lyon et enfin les forces Françaises furent refoulée vers le nord et l'Ouest. Tandis que le 2ème corps mettait le siège autour de Lyon, le 1er corps poursuivait les Français en Auvergne et mettait le Siège devant Clermont-Ferrant.

La Castille venait d'entrer en guerre et envahissait le Toulousain et le Languedoc. Enfin on annonçait les impériaux à Besançon. Helas la campagne de Flandres se terminait en victoire Française et de nombreuses armées Françaises accouraient désormais vers le Sud.
Les positions dans le massif central durent être abandonné ainsi que les avant-gardes envoyée en Bourgogne et qui avaient pourant atteind Dijon. Des forces Françaises considérables arrivaient en plusieurs vagues pour un total approchant les 40.000h.

Erizzo décida de s'accrocher et de livrer la Bataille devant Lyon ou les forces Autrichiennes venu de Franche-comté essayait également de renforcer le dispositif. La Bataille de lyon fut terrible, les chevaliers Français, plus de 30.000... faisant des charges devastatrices.... la bataille fut perdu et plus de 8.000 vénitiens périrent. L'armée survivante comrpenant désormais les 3 corps de la républiques retraitant dans le plus grand désordre sur Grenoble.

Avant même que la bataille de Lyon fut perdu, tout le trésor Venitien fut dépensé pour lever de nouvelles troupes et 5 régiments de mercenaire. Les mercenaires les premiers disponibles traversèrent le Duché de Savoie et parvinrent d'extreme justesse à Grenoble avant les armées Françaises. La Bataille de Grenoble pouvait etre la dernière en cas de défaite car la cavalerie Française si rapide pourait alors poursuivre inlassablement les forces Vénitiennes en déroute jusqu'en Italie.
D'extreme justesse, les mercenaires tinrent bon permettant à l'armée en retraite de Lyon de se reorganiser quelque peu. La Bataille demeura longtemps indécise et au moment ou les Venitiens semblaient craquer, les Français, pourtant 2 fois plus nombreux se replièrent vers Lyon (un 9 inéspéré tiré au dé alors que la geauge du moral venitien était à un pixel de la rupture)

La Victoire devant Grenoble était inespéré mais elle avait couté cher. Sur les 27 régiments présents, on ne comptait plus que 4.500h en état de se battre. La retraite était alors nécéssaire pour sauver l'armée et interdir aux Français la route de l'Italie.
Grenoble fut abandonnée mais aussi Marseille. Apres de longs mois de campaggne, l'armée Républicaine refranchissait la Frontière et rentrait en Italie.

Le 1er corps resta à Nice tandis que le 2ème, 3ème corps et les nouvelles levées retrouvaient des forces à Genes. Les nouvelles annonçait la capitulation Autrichienne

La France perdit plusieurs semaines avant de se décider de tenter d'entrer en Italie. Quand elle le fit, elle se lança dans le piège tendu par le Doge Erizzo. Une avant garde Française de 12.000h attaqua le 1er corps de Nice. Immédiatement les renforts Venitiens de Genes se mirent en marche et rejoignirent leurs frères d'armes.

A l'heure actuelle, 17.000 Venitiens galvanisé combattent sur la rivière Var pour empecher les Français d'entrer à Nice. D'apres nos information, ce serait uhne boucherie pour les Français et une magnifique victoire républicaine se dessinerait...

Si Envahir la France était certainement hors de porté de la république, défendre le sol Vénitien, combattre sur le terrain de la république face à des homems galvanisé qui ne veulent pas des Français en italie... la France se prepare à vivre à une terrible Boucherie si elle tente le passage des Alpes...

Venize ne signera pas de paix déshonorante. Nous suivrons l'avis de nos alliés
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