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Vieux 13/05/2007, 19h39
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La coalition anti-française – Partie I – La coalition de l’infamie


La France fut victime en ce début de XVIe siècle d’une coalition de l’infamie : les rois d’Europe, pris d’un accès de folie et de vénalité sans limite décidèrent de s’allier dans le but d’envahir la France entière pour asservir son peuple et la dépecer en lambeaux. Voici les pays de l’Alliance des cinq et demi :
  • l’Autriche qui nous attaqua lâchement au nord et à l’Est
  • Venise la Traîtresse, alors que celle ci nous avait assuré de sa neutralité quelques mois avant.
  • L’Angleterre, toujours prompt il semblerait à martyriser le bon peuple français. Revenant sur notre pacte d’Amitié datant de seulement 20 ans.
  • La Castille : fourbe pays de nobles corrompus, jaloux et envieux de Nous.
  • Le Portugal : petit pays médiocre d’opportunistes sans nom, qui sort comme le grand profiteur de cette guerre (du moins actuellement)
  • La Suède, qui profita de la Grande Guerre en France pour s’emparer de notre allié Norvégien. Celle ci n’intervient pas directement dans le conflit (d’où le ½)
La France, fut donc attaquée de tout les côtés, mais elle sut brillamment défendre sa terre sacrée. Sous l’égide du Grand Roy François le Premier, les troupes de l’infamie furent repoussées pour une part, et bien que le Royaume soit toujours en guerre, la situation qui aurait pu paraître désespérée au départ étant donné la disproportion absurde des forces est en voie de redressement.

La France se doutait néanmoins qu’une coalition allait certainement l’attaquer (mais pas avec autant de participants) : en effet, nous avions repéré des mouvements de troupes portugais aux abords de la Nouvelle France, ainsi que des flottes de repérages anglaise. Néanmoins nous fûmes pris de cours, et nous n’eûmes pas le temps d’y envoyer suffisamment de piétailles pour défendre nos immenses territoires.

Néanmoins la flotte fut renforcées et deux caravelles arrivèrent à bout de construction dès le début de la guerre.

De même, nous doutant bien que l’Autriche, au courant de nos revendications (car nous avons le courage des les étaler publiquement Nous), allait en profiter pour nous attaquer, des immenses quantités de cavaliers (nobles ou du même du bas peuple) et de piétailles ainsi que des canons modernes furent mis sur pied. Tout le trésor royal y passe, et nous pûmes employer moultes troupes grâce à nos grandes quantité d’or.

Ainsi, ce qui devait arriver arriva, et la France se retrouva en guerre, mais en plus de l’Autriche, du Portugal et de l’Angleterre, Venise revint sur sa parole en rejoignant l’Alliance. De mêmes que la Castille qui osa nous demander de lui céder des colonies de Nouvelle Bretagne en échange de son " aide ". Chose que nous ne pouvions accepter, et dès lors fort lâchement la Castille rejoint le camp de la fourberie.





Les hordes ennemis nous attaquèrent donc de toute part.



Heureusement, nos troupes qui étaient massées au nord de le France sous les ordres de la Trémoille , prêtes à envahir la Flandre réussirent leur mission fort brillamment : les troupes autrichiennes furent anéanties après des batailles titanesques sur la frontière wallone, et des séries de retraites tactiques/poursuites des troupes en fuite.

La vitesse et le choc de nos cavaliers firent forte impression : les autrichiens bouches bées parlèrent de " Die französische Furie "



Malheureusement dans nos colonies, la situation fut fort différente : les Portugais purent tranquillement débarquer leur troupes et nous assiégèrent partout, nos maigres garnisons ne pouvons pas résister longtemps

L’Armée de Nouvelle Bretagne s’illustra par quelques brillantes victoire, par la reprise de Talahassee etc, mais devant les hordes en surnombre espano-portugo-anglaise sa situation devient plus que délicate

Le Portugal nous prit également le Mexique sans défenses.



Malgré tout, la flotte française sous l’égide de deux amiraux de talents remporta de beaux succès : la Royal Navy anglaise fut battue au large de la Nouvelle Bretagne, et nous capturèrent même de nombreux navires anglais !

Plut tard, en revenant, la flotte du Roi rencontra une nouvelle escadre anglaise (la même en fait), et là nous rencontrons encore un splendide victoire : la flotte anglaise est une nouvelle fois battue. L’Anglais se contentera à partir de là d’envoyer des forces expéditionnaires en Normandie, en Bretagne ou en Hollande. Mais elle ne nous menaca guère.

En effet, il faut savoir que les braves écossais nous on suivis dans cette guerre. C’est en effet l’Angleterre, en attaquant l’Ecosse qui signa le début de la grande guerre. Ces hommes rudes mais braves, portant la noblesse des armes à un point inégalé repoussèrent les troupes anglaises brillamment.



La flotte française remportant ainsi de si belles victoires, il est interdit à la cours du Roy de parler de la perte des colonies : celles ci sont en effet " temporairement hors de notre contrôle " suivant le bon mot de Roi François Ier. Une libération prochaine est inéluctable, et nous n’abandonneront pas ces terres que nous avons développés avec notre or et notre sueur. Une reconquète est à venir.

Pendant ce temps, alors que nous rencontrèrent des succès magnifiques en Flandre, les occupant totalement, les forces vénitiennes remontèrent le Rhône jusqu’au Lyonnais. Les Castillans remontèrent jusqu’à Toulouse.

Nous profitâmes des victoires du nord pour retourner nos troupes ( plus de 50 000h) au sud. Des mercenaires ayant été recruté en masse pour tenter de contrer l’avance ennemie pendant que nos troupes de vétérans descendait la Champagne. L’ennemi avançant plus que lentement, et étant mal coordonné, nos troupes lors de batailles gigantesques aux abords du Rhône repoussèrent les vénitiens dans leur retranchement, et ceux ci se replièrent piteusement dans leur repaire de Nice. L’Autrichien tenta de l’aider, en passant par la Lorraine, mais il ne pu pas être décisif. Il fut même forcé de signer la paix, sa stabilité intérieure au plus bas (-3), en nous cédant la Hainaut.

Au Sud-Ouest, la bataille pour la reconquète continue et est en ce moment en cours. Toulouse doit être reprise.



Notons au passage que la bon Roy François Ier, le plus grand génie militaire depuis César lui même su écraser habilement les troupes ennemies. Aucun général du monde connu ne possédant un tel talent.

La guerre est donc toujours en cours, mais nous avons bon espoir de la gagner. Une fois la terre française entièrement reconquise, nous n’aurons plus qu’à aller rechercher nos terres dans les colonies, et conquérir celles que nos méchants voisins ont en leur possession.

Le trésor royal est fortement touché ( 6 % d’inflation), des prêts on été faits, mais le trésor royal est encore très loin de la banqueroute. Il existe même une marge de manœuvre confortable pour les opérations militaires à venir.

Nous avons proposé un traité de paix blanche à la coalition : nous récupérerions au passage bien évidemment les colonies que le Portugal nous à pris.

En cas de réponse négative, nous n’aurions d’autres choix que de raser complètement les capitales des membres de la Coalition, et ce jusqu’à la dernière pierre.


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