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Vieux 01/05/2007, 23h44
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Déclarations Française.


Le grand Royaume de France annonce par la présente quelques principes de sa politique, que les pays d’Europe doivent avoir à leur connaissance afin de mener le jeu européen comme il sied.

Le Roi Louis XII annonce qu’il n’est pas dans ses intentions actuelles de revendiquer activement les terres d’Italie qui lui reviennent, mais qu’il il prétera grande attention dans la suite des affaires.

Au Doge de la Sérénissime, nous annonçons soutenir ses progrès en Italie, mais nous regrettons toutefois la manière abrupte de ses relations avec ses voisins italiens : certes la prise de Gènes était inévitable et devait revenir à Venise en gage de paix envers Milan, mais la prise du duché de Nice, notre voisin direct à la Savoie, ainsi que les prises des territoires du Pape n’augurent point de très bonnes relations avec nous. Seule une initiative de paix à notre égard, une promesse de ne plus annexer de terres italiennes (sauf en cas de légitime défense) pourrai améliorer notre regard sur Vous. Certes Venise à vocation à devenir la puissance déterminante en Italie, mais aller aussi vite en besogne ne nous plait point. Libre à vous de changer cela nous restons très ouvert.

A l’Autriche, il semblerait que celle ci ai passé son temps à annexer moultes terres en Allemagnes, ou bien à vassaliser de manière tout à fait brutale des terres auxquelles aucune légitimité n’est attaché envers la maison d’Autriche (qui rappelons le n’est pas Empereur). En réaction la France annonce qu’elle va garantir l’indépendance de l’Empereur actuel, ainsi qu’envers tout les états d’Allemagne qui lui sied de protéger des armées autrichiennes. En outre, nous aimerions savoir ce qu’il en était de la cessation des terres hollandaises qui reviennent légitimement à Gueldre.

A la Castille, nous affirmons notre amitié, et souhaiterions discuter d’affaires communes, à savoir la colonisation des nouvelles terres de l’Ouest qui sont venues à notre connaissance, ainsi que du devenir de la Navarre.

Enfin au Roi d’Angleterre, nous affirmons que nous n’avons aucuns motifs de mécontentement à son égard, tout au contraire, la guerre qui a déchiré nos peuple semble avoir fait place à une grande ère de paix. Nous soutenons en outre totalement votre action d’aide envers Gueldre.

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