La Très Sage Angleterre.
La guerre de 100ans était déja loin mais la ville de Calais constituait encore un dernier sujet de discordre avec la France. Si les droits de l'Angleterre sur la ville étaient légitimes, le bon Roi d'Angleterre décida qu'il fallait mieux s'assurer d'un ami en la personne du Roi de France plutot que de provoquer une nouvelle guerre sanglante.
Ainsi, Calais fut donné au Roi de France contre une compensation financière.
La Sage Angleterre pouvait désormais regarder devant elle sereinement. Des marriages royaux furent conclus avec le Royaume du Portugal, le Royaume d'Ecosse et la Principauté de Frise. Une alliance fut même conclut avec le Prince de Frise. Des marchands furent envoyer sur le continent, notament dans les Flandres et dans la grande ville de Paris.
Le developpement du Royaume aurait trois axes : l'amélioration de l'administration de Royaume, l'expansion du commerce et le renforcement de la Royal Navy.
Mais la Sage Angleterre allait bientot renouer avec le sang : une guerre avait éclatée entre la petite Principauté de Frise et ses voisins !
Ne pouvons laisser seul son allié face à ces ogres ! Le bon et sage roi d'Angleterre envoya une armée en Frise et des navires de la Royal Navy croisaient en Mer du Nord pour assurer le controle des mers. Quelques escarmouches navales contre Hambourg eurent lieu, nous capturames un navire Hambourgeois et jamais plus nous n'entendimes parler de marine allemande.
Sur terre, nos armées prouvaient leur efficacité en repoussant les armées de Geldre et en aidant le Prince Frison à capturer la ville puis à annexer la principauté. La première guerre était finie et nous avions vaincus !
Mais bien vite, les principautés allemandes, revanchardes, déclarèrent une nouvelle guerre contre le Prince de Frise. Cette fois, le Mecklenbourg, Cleves, Ansbach ainsi que ces traitre d'Hambourg formèrent une coalition.
Si au départ le Prince de Frise parvenait à repousser les ennemis, notre soutient financier ne fut bientot pas suffisant. Notre allié était dans une situation critique : les coalisés allemands avaient capturés Geldre, occupait la province de Frise tandis que les armées du Prince Frison étaient défaites !
Mais nous ne pouvions intervenir directement à cause de nos traités de paix et d'absence de Casus Belli (comme si l'attaque d'un allié ne suffisait pas !).
Notre bon roi devait ruser s'il voulait prevenir la disparition de la Principauté de Frise.
La Suisse avait décidé de rejoindre la guerre. Notre roi trouva un pretexte pour provoquer les hostilités en éspérant que la coalition allemande entre en guerre contre nous...
Les fous ! Ils acceptèrent d'aider la suisse et d'entrer en guerre contre la sage Angleterrre !
Cette fois, plusieurs vagues de milliers d'Angleterre déferlèrent en Frise, à Utrecht, à Hambourg. Les armées anglaises défirent les coalisés allemands et permirent au Prince de Frise de rétablir la situation : Friesland fut dégagé, Gueldre recapturé, Utrecht fut prise et nous menâmes nous la guerre à Hambourg qui tomba vite. Friesland était de nouveau sauvé ! Le Prince de Frise recevra la ville d'Utrecht et decidera lui même des termes de la paix avec Hambourg.
La Sage Angleterre pouvait être fière d'elle ! Non seulement ses soldats et sa marine avaient fait preuve d'une bravoure exceptionelle, mais nous avions sauvé la petite Principauté de Frise d'une destruction certaine et avions prouvé au monde la valeur de l'Honneur Anglais envers ses alliés.
GLOIRE ET PAIX AU SAGE ROYAUME D'ANGLETERRE !