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Vieux 27/10/2005, 11h44
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Eminence oisive
 
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Vu la puissance de l’armée allemande qui nous fait face, nous préférons nous replier en abandonnant Naple (mais nous alliés y demeurent stationnés) afin de nous regrouper à Cosenza (une province charnière, montagneuse qui plus est, et par conséquent plus commode à défendre).

Mais le 8 mars 47, alors que nos soldats n’ont pas encore atteint Cosenza, les blindés allemands fonçant à toute vitesse s’emparent de Tarante sans même tirer un coup de feu.
Notre position est ainsi plus périlleuse que jamais, car s’ils s’emprant de Cosenza acant que nos hommes n’aient eu le temps de se préparer à les recevoir, nos armées ainsi que celles de nos alliés seraient alors complètement encerclées, et cela pourrait tourner au désastre.
Et comme nous le redoutions une div blindée allemande fait effectivement route vers cosenza.
Nous ordonnons alors à nos hommes de presser le pas afin d’y arriver en premier à tout prix !

Mais, heureusement nos ennemis paraissent changer d’avis et ils prennent en fait Potenza le 13 mars, ce qui nous laisse finalement assez de temps pour atteindre Cosenza dans laquelle nous nous installons en étant bien décidé à repousser tout assaut teuton… Et dans ce but nous décidons même d’envoyer en renfort 4 nouvelle div d’infanteries prélevées sur les effectifs de notre ligne de défense grecque…

Toutefois, alors que nous nous focalisions sur l’Italie, le 21 mars deux div de ces maudits turcs (désormais alliés de l’Allemagne) notre seule et unique infanterie affectée à la défense de Rhodes (et qui n’a plus que 61 en force avant même d’engager le combat, parce que nous n’avons plus du tout de main d’œuvre…). Néanmoins, la détermination de nos soldats à se battre jusqu’à la mort pour cette terre grecque fraichement libérée du joug fasciste nous permet de remporter la victoire sans subir trop de perte. Mais il ne s’agissait que de la première tentative turque pour s’emparer de Rhodes, et par la suite de nombreuses autres viendront…


Le 23 mars, Patton nous informe que ses 6 div basée à Naple (+ 1 infanterie grecque qui avançait en direction de Cosenza) sont attaquées par 13 div allemandes dirigées par Gudérian ! Une grande bataille s’engage alors…



Mais le combat est inégal. La supériorité technologique et numérique des allemands est criante, et même le géni militaire de Patton n’y peut rien… Nos alliés sont totalement vaincus, et Naple tombe entre les mains de Gudérian.

A ce moment toutes les forces alliées convergent vers Cosenza, la ville stratégique qui représente notre seule chance de stopper la progression foudroyante de l’Allemagne en Italie.
C’est ainsi que nous disposons désormais de 15 divisions dans la province, ce qui nous permet de dissuader notre ennemi de lancer une offensive, du moins pour l’intant…
Ceci nous accorde un peu de répit, cependant nous ne sommes pas en mesure d’amener des renforts, ni même de renforcer nos div déjà présentes. Nous devrons donc tenir uniquement avec les moyens dont nous disposons actuellement, ce qui n’est guère encourrageant car nos hommes ne sont pas au meilleur de leur forme et les divisions de l’Axe semblent affluer plus que jamais vers l’Italie…

Le 29 mars 47 une div blindée turque attaque par surprise notre infanterie de Chalkis dont la force culmine seulement à 50 points ! Néanmoins nous l’emportons car les turcs ne sont décidément pas au même niveau que l’Allemagne…
Et pendant ce temps les offensives contre Rhodes se multiplient toujours en vain.


Mais début avril les forces amassées par l’Axe autour de Cosenza sont réellement impressionnantes, et le pire c’est qu’elle continuent de grandir… Comment diable font-ils pour réunir autant d’hommes en si peu de temps alors qu’ils sont encore en pleine guerre sur le front russe (même si la progression allemande s’accentue dangereusement désormais) ?
Nous l’ignorons, toujours est-il qu’ils se dressent bel et bien devant nous, bien décidés à faire sauter cet ultime verrou qui leur permettrait de rejeter l’envahisseur Allié à la mer…

Et c’est ainsi que le 8 avril 47, pas moins de 30 divisions allemandes dirigées par Keitel attaquent nos 15 malheureuses divisions (dont une dizaine de grecques) qui sont sous le commandement de notre maréchal Papagos (le meilleur maréchal grecque qui grâce à de nombreuses batailles en afrique a atteint le niveau 3 ( !)et qui est un spécialiste de la défense.



Une des plus grandes batailles de cette interminable guerre s’engage alors dans les montagnes des pouilles. Nous constatons alors que les troupes ennemies ont encore un bas niveau d’organisation ce qui est plutot un point positif, pourtant il n’y a pas de quoi se réjouire trop vite car nos troupes ne sont guère mieux loties vu que beaucoup d’entre elles ont un niveau de force plus que préoccupant… En effet, les soldats ennemis ont une force cumulée de 2960 (pour 30 div) alors que la notre n’est que de 1104 (pour 15 div).
Mais nous sommes solidement retranchés dans les collines en espérant que cela suffira à inverser l’équilibre des forces… Prions pour que ce soit le cas, sans quoi l’aventure italienne s’achèverait brutalement, et avec elle se seraient tous les espoirs de libération de l’Europe qui s’évanouiraient et peut-être bien plus encore…



Dès le début des combats nos divisions sont en difficultés à Cosenza face à la puissance des nos adversaires. Ainsi, un choix cornélien s’offre à nous : soit nous abandonnons la province (et par conséquent l’Italie) afin de préserver nos forces, soit nous résistons jusqu’au bout dans la région afin d’infliger le maximum de perte à l’ennemi en profitant de l’avantage du terrain (montagneux)mais dans ce cas nos pertes risquent elle aussi d’être importantes (ce que nous ne pouvons plus trop nous permettre depuis que nous sommes en pénurie de main d’œuvre, c’est à dire très longtemps maintenant).
Nous hésitons vraiment, cependant pour l’instant nous préférons poursuivre le combat pour voir comment les choses évoluent. Toutefois nous prenons quelques précaution juste au cas où : nous replions une div d’infanterie (qui n’avait plus que 15 en force) avant qu’elle ne soit détruite, et surtout nous envoyons toute notre flotte au large de Cosenza dans le but de pouvoir extirper de ce bourbier nos valeureux soldats si par malheur la bataille tournait en notre défaveur…

Les combats vont ainsi se poursuivrent pendant plusieurs jours en étant chaque fois de plus en plus violents. Nos hommes souffrent énormément, et ils pourraient encore résister , cependant malgré tous nos efforts nos ennemis ne semblent vraiment pas faiblir. Nous devons en venir à une funeste conclusion : nous ne pouvons pas gagner cette bataille ! Pas contre un adversaire deux fois supérieur en nombre, surtout si c’es l’Allemagne ! Bien sûr , nous pourrions nous acharner en espérant un hypothétique miracle qui inverserait la tendance et nous permettrait de les repousser au moins temporairement, mais le prix à payer pour y parvenir serait exorbitant… Combien de points de force resterait-il aux quelques unités qui auraient péniblement survécues à ces terribles combats ? Peu. Et en tout cas, pas suffisamment pour que nous puissions les renforcer afin de tenir tête à un deuxième assaut (car l’Allemagne semble avoir d’importantes réserves dans la province de naple, nos renseignements parle de plus de 20 divisions fraiches).
C’est ainsi que, la mort dans l’âme, nous prenons insupportable décision de retirer nos forces de Cosenza, pour les ramener à Messina d’où elles embarqueront sur notre flotte afin de regagner notre mère patrie…
Nous savons que notre décisions est lourde de conséquence, mais nous n’avons plus le choix, car perdre tous ces hommes serait prendre le risque d’affaiblir l’armée grecque toute entière qui ne serait plus alors en mesure de repousser un éventuel assaut contre nos provinces nationales.
Nous n’ignorons pas non plus que nous abandonnons les quelques div alliées qui luttaient à nos côtés dans la province, et que leur chance de succès sont désormais nulles, mais nous n’y pouvons plus rien… Ils devront se dérouiller seuls en Italie.

Maintenant, pour nous la bataille l’Italie, celle qui avait monopolisé tous nos moyens, s’achèvent. Tant d’hommes courageux ont donné leur vie pour libérer l’Italie du joug fasciste, mais qu’en restera t’il demain ? Tous nos efforts n’auront en fait servi à rien puisque toute l’Italie retombera sous le contrôle de l’Allemagne (ce qui est finalement pire encore que quand le Duce gouvernait).
Notre seule consolation est de nous dire que nous avons vraiment fait de notre mieux, et que si nous avons échoué c’est parce que le but que nous nous étions fixé ne pouvait pas être atteint. Notre ennemi est décidément trop fort…
Nous devons reconnaitre que le moral du peuple grecque n’est pas au plus haut aujourd’hui alors qu’il voit notre armée revenir bredouille d’Italie, cependant notre pays est loin de s’être avoué vaincu… Nous continuerons à nous battre, envers et contre tout !!!



Ainsi, le 29 avril 1947 nos troupes, plus affaiblies que jamais à cause de la grave crise de main d’œuvre que nous connaissons maintenant de puis plusieurs années, sont de retour chez elles.
Mais nous ne pouvons pas nous permettre de les laisser se reposer, car notre voisin turque a basculé depuis quelques temps déjà du coté de l’ennemi allemand. Cependant, ces laches de turques ne nous ont jusqu’à présent causé que peu de soucies alors que pourtant le gros de nos forces était immobilisé en Italie.
Mais maintenant que l’aventure italienne s’est achevée pour nous, nous constatons avec joie que les Alliés (avec l’angleterre en tête) sont en train d’organiser une vaste offensive à partir de la province d’Alep (en syrie) et que les soviétiques nos alliés de fait sont eux aussi en train d’avancer à partir des provinces iraniennes, et nous décidons donc d’investir toute notre énergie dans la conquête de cette maudite turquie. Pour cela nous réorganisons rapidement nos hommes, et ainsi nous apprécions enfin l’ampleur de nos pertes depuis le début de la guerre : elles sont collossales ! A tel points que c’est à grand peine que nous parvenons à hisser quelques malheureuses divisions d’infanterie à un niveau acceptable pour le combat, mais la plupart des autres sont en dessous de 50 points de forces et nous ne pouvons tout au plus que leur confier des missions de défense de zones peu exposées (provinces cotières pour éviter tout débarquement intempestif, surtout de la part des roumains).

Malgré tous nos efforts, le 8 mai 47 nous ne disposons que de 11 divisions d’infanterie capables d’attaquer. Nous les réunissons à Mitilini et nous nous préparons à lancer un assaut contre les régions turques adjacentes… En fait nous attendons que les Allié aient un peu progressé afin d’obligé l’ennemi à dégarnir ses positions à l’ouest (c’est à dire de notre coté) pour enfin passer à l’offensive. Et les Alliés semblent bien progresser, par conséquent le lancement de notre opération « byzance » est maintenant imminent…


Mais fin mai 47 alors que nos troupes n’attendait plus que l’ordre de lancer un assaut contre les positions turques, nous apprenons que les allemands ont acheminé quelques’unes de leurs divisions en Turquie afin d’y stopper l’avance des Alliés. Il s’agit d’une très mauvaise nouvelle car en Italie nous avons pu apprécier la supériorité de l’armée teutonne, même par rapport aux américains qui comme nous ont du plier face au rouleau compresseur nazi. Cependant, une preuve que les allemands ne sont pas imbattables est apparu. En effet, récemment, peu après que nous ayons évacué in extremis nos forces de la botte italienne, plusieurs dizaines de divisions allemandes avaient attaqué les troupes alliées (essentiellement américaines) restantes. Mais alors que tout le monde pensait que leur défaite était inéluctable, les combattants américains, bien qu’affaiblies et battu déjà à de nombreuses reprises en Italie même, étaient parvenu miraculeusement à repousser l’assaillant qui était pourtant largement supérieur en nombre !!! Apparemment, il semble que ce soit la supériorité aérienne allié qui ait permis de faire la différence… Et depuis ce jour, les Américains tiennent bon en sicile. Ainsi ils maitrisent encore une insolente tête de pont sur le continent, et ils sont bien déterminés à la conserver… Et le plus incroyable c’est qu’ils y sont parvenus jusqu’à présent malgré les assauts répété de l’ennemi…

Néanmoins pour en revenir à la turquie, la présence de troupes allemandes permet à l’axe de mettre un brusque coup d’arrêt à la progression des Alliés dans la région. Pire encore, un peu plus au nord les russes qui étaient parvenus à prendre pied à partir des provinces de la perse sont à leur tour totalement balayées par les germains…
A ce moment la situation semble se bloquer, alors que nous espérions que la victoire contre les modestes armées turques serait foudroyante.
Fermement décidé à faire bouger les choses nous décidons finalement de passer à l’offensive tout en sachant que les conditions ne sont pas des plus idéales pour le faire. Tant pis, nous n’avons plus de temps à perdre désormais, nous voulons en finir avec la turquie avant le début de l’année 48.
Nous mobilisons donc nos hommes, le 30 mai 47 nous attaquons nos ennemis héréditaires à Izmir (une région qui était peu défendue selon nos renseignements). Cependant, une fois sur place nos troupes rencontrent une très vive résistance. Nous comprenons vite que nous pouvons l’emporter mais que la victoire serait très couteuse en vie humaine, ce dont nous ne pouvons plus nous permettre vu notre niveau désespérément nul de main d’œuvre… Par conséquent, la rage au ventre, nous préférons rebrousser chemin et nos braves soldats sont ramenés sur leur terre natale…

Dès lors, le front turque paraît se figer à son tour, enfin jusqu’à ce que les anglais progressent de nouveau et prennent la province de Diyarbakr le 6 aout 47.
Encouragé par cette victoire, nous décidons nous aussi d’attaquer avec l’espoir de faire vaciller notre ennemi pris entre deux feux. C’est ainsi que nous réactivons à la hate notre projet « byzance » mais en utilisant un plan d’attaque que nous avions rejeté précédemment, et nous réunissons donc nos soldats en toute précipitation afin de bénéficier de l’effet de surprise…

Et le 9 aout, alors que nous apprenons avec étonnement que les britanniques ont réussi à persuader le tibet de rejoindre notre alliance, notre belle et fière armée grecque avec nos 11 meilleures divisions d’infanterie dirigées par notre plus habile commandant, le maréchal Papagos, atteignent la province d’Istambul, là ou quelques siècles auparavant se dressait la mythique Byzance... Et de furieux combats s’engagent alors contre plus de 20 divisions turques. Même si nos hommes ont largement l’avantage au niveau qualitatif, nous craignons que cela ne soit pas suffisant pour le très net désavantage quantitatif dont nous souffrons face aux hordes ottomanes (euh, on est pas dans Eu2 ici, je voulais dire turques bien sûr ).
Ainsi, une des plus formidable bataille que la grêce moderne ait jamais connu s’engage. Mais cette fois celle-ci, menée contre l’ennemi de toujours, ne déidera pas seulement du sort de la région. Non, aujourd’hui les enjeux sont bien plus considérables, car si Istambul tombe entre les mains des Alliés, c’est à terme toute la turquie qui s’effondrera, ce qui devrait donner aux Alliés un sérieux avantage dans la région…
Cependant, la victoire est loin d’être acquise car pour les turques la perte de leur capitale serait intolérable, aussi ils jettent toutes leur forces dans la bataille, alors que de notre coté presque toute nos réserves sont déjà épuisée. Nous ne pouvons pas plus dégarnir notre ligne de défense face à la bulgarie (d’autant plus que ses unités de défenses culminent généralement à 20 ou 30 en force !) , ainsi pour tout renfort nous ne pouvons envoyer qu’une malheureuse infanterie à nos 11 divisions déjà présentes à Istambul et qui doivent affronter des troupes ennemies chaque jour plus nombreuses…
Ainsi, nous commençons à douter de nos chances de l’emporter…



La bataille d’Istambul, commencée le 10 aout, fait toujours rage le 24 aout alors que les pertes s’accumulent des deux cotés, mais nous sentons bien que la victoire est à portée de main. Cependant, nous craignons que l’organisation de nos braves soldats devienne si faible qu’elle nous oblige à cessez le combat (comme ce fut malheureusement le cas au début de la guerre contre la province bulgare de Plovdiv alors que nous pensions que nous allions l’emporter après une bataille de plusieurs semaines…).
Et le 24 aout 47, alors que nous redoutions encore le pire, c’est avec soulagement que nous apprenons que les turques battent en retraite en nous abandonnant leur mythique capitale !!!
Plus qu’une victoire militaire, c’est tout un symbole, une flamme que nous venons de raviver ! Dès que nous pénétrons dans la ville nous mettons en place un gouverneur grec qui s’empresse d’annoncer que désormais Istambul s’appellerait de nouveau Byzance !!!
Cette région est désormais partie intégrante de la Grande Grêce.
Tandis qu’à l’est nos alliés remportent de nombreux succès et ils s’emparent de plusieurs provinces turques jusqu’à Mersin.

Nous avons du mal à controler notre joie, mais après l’euphorie les chiffres définitif de nos pertes subies pendant la bataille nous parviennent, et là nous mesurons enfin leur lourd tribu que le peuple grec a du verser afin de remporter cette victoire… En effet, nos armées sont plus qu’affaiblies, certaines sont extrêmement proche de 0 en force, et nous savons que le cout humain pour les renforcé sera énorme, d’autant plus qu’à ce niveau la pénurie grecque n’est pas nouvelle…
Mais la prise de la province d’istambul, même si elle fut couteuse, nous apporte tout de même quelques avantages et espoirs : Nous avons pris le contrôle de 3 cargos et 1 destroyer turque qui se trouvaient au port, et surtout nous allons pouvoir mettre à contribution une partie du fantastique potentiel humain (ce qui signifie de la main d’œuvre) de la région, ce qui soulagera certainement notre pénurie…

Oui, mais le 2 septembre alors que nos hommes n’ont même pas eu le temps de reprendre leur souffle, 4 divisions de ces maudits roumains attaquent istambul à partir de la bulgarie. Ils nous sont inférieures en nombres bien évidemment, toutefois le niveau d’organisation et de force de nos unités est encore tellement bas que nous nourrissons quelques craintes sur l’issue de la bataille. Et nous n’ignorons pas que la perte de cette province, que nous avons récemment et si chèrement conquise, serait un rude coup pour notre nation…
Mais dès le 3 septembre nos hommes, faisant preuve d’une incroyable résistance, parviennent à repousser brillamment l’envahisseur, du moins pour l’instant…

Car cette région semble être un objectif prioritaire pour l’Axe, et ceci nous le réalisons dès le 8 septembre quand 8 divisions bulgares et italiennes (des unités qui étaient restées fidèles au fascistes malgré la chute de Mussolini) attaquent à leur tour Istambul.
Encore une fois nous croisons les doigts en espérant que nos hommes trouveront en eux les ressources nécessaires pour vaincre, car nous sommes conscients qu’ils ne sont pas encore au meilleur de leur forme et que les ennemis qu’ils affrontent sont de valeureux combattants.
Mais nos troupes savent qu’elles ne peuvent pas se permettre de perdre cette bataille, car dans ce cas ce serait la survie même de notre beau pays qui serait mise en péril parce que les dizaines et les dizaines de divisions ennemies faisant face à notre ligne de défense en profiteraient alors pour déferler sur nos forts de niveau 5 malheureusement défendus que par des divisions d’infanteries convalescentes et donc inaptes au combat…

Croisons les doigts…




Et encore une fois c’est avec soulagement que nous constatons l’indéfectible détermination de nos soldats qui remportent une victoire éblouissante sur nos adversaires. Istambul est sauvée et vus la claque que l’on vient de leur administrer, ils vont désormais réfléchir à 2 fois avant de retenter l’expérience. Et ainsi, nous allons avoir assez de temps et donc de main d’œuvre pour renforcer quelques unités…
C’est ainsi que le temps s’écoule paisiblement jusqu’en octobre sans que les fronts turques ne bougent malgré quelques attaques infructueuses de part et d’autre, ce qui nous permet enfin de retrouver des divisions d’infanteries dignes de ce nom (organisation au max, et même quelques div à 100 en force !!!).



Mais maintenant que notre position à Istambul est sécurisée, nous pouvons à notre tour nous lancer dans la conquête de la turquie que notre allié anglais a déjà entrepris à partie de l’est et du sud.
Nous avons pour ambition de nous emparer des provinces frontalières d’istambul (c’est à dire des régions d’izmit, izmir et bursa), qui sont riches en ressources naturelles et surtout en main d’œuvres, avant que nos alliés n’y parviennent, car nous sommes certains que la défaite de la turquie n’est désormais plus qu’une question de temps (comme nous l’indique nos services de renseignements qui ne sont pas connus pour leur efficacité, mais pour une fois nous sommes prêt à les croire). Comment la turquie pourrait-elle résister aux Alliés surtout après la perte de leur capitale ???

C’est ainsi que le 7 octobre 47 nos alliés nous informent qu’ils ont conquis la province de Kayseri, de ce fait la déroute turque semble alors devoir se confirmer.
Néanmoins c’était sans compter sur la présence des quelques divisions allemandes qui elles sont bien décidées à résister à la progression des Alliés, puisque celles-ci parviennent à reprendre Diyarbakir, obligeant ainsi les anglais à stopper leur avancée vers l’ouest de crainte d’être coupés en deux en cas d’attaque allemande contre Allep ou gaziktep (juste eu nord d’allep).
C’est encore un coup de maitre des allemands qui hypothèque ainsi la victoire sur le front turque que nous pensions enfin imminente…

Mais nous ne désespérons pas car la reprise des combats à l’est signifie que nos ennemis vont devoir y regrouper leurs forces, ce qui devrait nous soulager sur le front ouest. Et nous réorganisons méticuleusement nos divisions afin de planifier un assaut de grande envergure et sans précédent contre l’ennemi. En effet, nous nous fixons comme ambitieux objectif la conquête de deux provinces simultanément : Izmit et Bursa, afin de tenter un encerclement des positions turques d’izmir et antalya, et éventuellement même une percée vers ankara la nouvelle capitale.

C’est ainsi que le 26 aout, alors que les anglais attaquent tout azimut à l’est ce qui oblige les allemands à y regrouper leurs divisions, nous lançons nos 2 attaques surprises coordonnées.
Le 30 octobre 47 nos 5 infanteries d’élite arrivent à Bursa que nous pensions quasi sans défense (selon nos super services de renseignements) mais la réalité est bien différentes car ce sont pas moins de 13 divisions turques qui nous accueillent à coup de canons.
Cependant, malgré notre infériorité numérique nous décidons tout de même de poursuivre le combat en espérant que notre supériorité technologique suffira à faire la différence (comme ce fut le cas à Istambul). Mais cette fois-ci, les turques, poussés dans leurs derniers retranchement, font preuves d’une incroyable résistance, si bien que nous préférons battre en retraite quand nos pertes commencent à s’accumuler et que celles de notre adversaire restent négligeables. La bataille de Bursa est donc une défaite cuisante pour nous. Nous nous sommes bien trompés sur le compte des turques : ils ne sont en aucun cas dépassés par les évènements, et pire encore, il semble qu’ils aient décidés de conserver le gros de leur forces sur le front ouest (c’est à dire face à nous) et de laisser la défense de l’est aux brillantes troupes allemandes qui sont seules capables de résister aux anglais.
Mais, malgré l’échec de bursa, tout n’est pas encore fini pour nous, car le 3 novembre une petite dizaine d’unités grecques arrivent à Izmit avec l’espoir de trouver une région sans défense, cependant (encore une fois) de nombreuses divisions ennemies y sont stationnées (ce qui confirme le fait que les turques se concentrent sur la défense du front ouest), et après quelques heures de combats nous préférons renoncer car l’issue de la bataille apparaît trop incertaine… Ainsi, ce deuxième assaut se solde lui aussi par une retraite peu glorieuse. Nous sommes extrêmement déçu car les turques ne seront certainement pas vaincu avant noël comme nous l’espérions…

Pourtant, tout n’est pas perdu car nous apprenons le 1er décembre que les anglais se sont emparés de Sivas, ce qui place les forces de l’Axe dans une position précaire en turquie car il suffirait que les agnlais s’emparent d’une province cotière du nord pour que les allemands soient coupés de leur ligne d’approvisionnements par le caucase !!!
Mais les anglais progressent aussi au nord (ce qui nous plait moins) et le 8 décembre ils prennent Antalya.
L’espoir renait alors, mais si nous voulons nous aussi avoir notre part du gateau turque, nous devons nous dépêcher, c’est pour cela que nous réunissons toutes nos unités prêtes au combat afin d’organiser un dernier assaut avant la fin de l’année 1947. Et cet objectif ultime sera Bursa et ses 13 div ennemies.
C’est ainsi que le 28 décembre 47 nous attaquons les turques à Bursa avec 9 divisions d’infanterie d’élite grecques.
Le combat le plus féroce de cette guerre s’engage alors…
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AAR Turquie HoI2 - L'Empire Ottoman est il vraiment mort ?

Malraux et De Gaulle sont dans dans les toilettes de la Comédie Française, durant l'entracte d'une représentation de théatre, chacun face à une pissotière.
Malraux, se tournant vers De Gaulle :
"- Belle pièce hein Mon Général ?
- Malraux, regardez devant vous !"
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