Acte IV. La deuxième guerre contre l’Autriche
Nos armées victorieuses quittent l’Autriche libérée et regagnent la mère patrie, ravagée par les révoltes consécutifs à plus de 20 ans de guerre sans interruption

. Des ambassadeurs Anglais, Russes et Suédois réalisent le chemin inverse et rallient Vienne, où ils demandent
poliment
à l’Empereur d’Autriche restauré sur son trône grâce à nos efforts conjoints de libérer les pays mineurs du SERG sauvagement annexés au mépris de toutes les lois durant la folie sanguinaire révolutionnaire. Stupeur et incrédulité, l’Empereur refuse
grossièrement. Ce sera donc la guerre

.
Nos armées à peine reconstituées se précipitent et balayent tout sur leur passage : Vienne, me revoilà

.
Go, go, go !
Des mercenaires autrichiens surgissent de nulle part et font échouer l’assaut

. Nos fiers vikings, meurtris, se replient, talonnés par l’ennemi.
Des renforts arrivent et, malgré une évidente infériorité numérique, l’assaut est relancé : le nombre importe peu, seul le courage importe et nous n’en manquons pas

!
Victoire ! Seul le temps peut encore nous faire défaut… Vienne tombera t-il dans les délais ?
Ouiiiiiiiiiiiii (foule en délire)
Suède ! Suède ! Suède !
L’Empereur capitule et libère les peuples germaniques sauvagement annexés : le Peuple Libre, garant de la liberté des peuples ! Alexandrie, Constantinople, Paris, Vienne, encore Vienne… Notre victoire restera éternel et les générations futures chanteront nos exploits durant des siècles et des siècles. Un jour viendra où un petit homme naîtra à Marseilles ( d’autres perlent de Rheims

) et celui là sera le plus grand admirateur de nos triomphes

.