Acte III. La première guerre contre l’Autriche
Nos grands amis Russes

étaient passé à l’offensive contre Vienne dès 1807 et, menés par Kutuzov, leurs hordes déferlaient, mais la chute de la France allait paradoxalement jouer en faveur de Vienne… Le conseil impérial, richement soutenu financièrement par le Portugal sournois, ordonna en effet le retour du demi-million de soldats autrichiens en arme au sein de la mère patrie

. Avec un monde technologique de retard, les cosaques, malgré toute leur bravoure, refluèrent rapidement, noyés sous le nombre et la supériorité techniques des armes autrichiennes. Mais alors que tout semblait perdu, un rayon de soleil vient illuminer ce jour blafard où les forbans révolutionnaires espéraient enfin remporter un franc succès : le Peuple Libre arrivait

!
Nos armées victorieuses, qui s’étaient illustrées si brillamment devant Paris, conquis de haute lutte

, déferlèrent à leur tour tel l’aigle vengeur et justicier, perforant les lignes des autrichiens terrorisés et mesquins.
Mais notre fière et noble nation était épuisée après tant d’années de guerre qui nous avait vu conquérir Alexandrie, Constantinople, Damas et Paris

. Les contre-attaques autrichiennes brisées, la Suède suggèra à ses alliés de refaire leurs forces pour lancer un puissant et commun assaut. En 1810, l’heure était venue de lancer l’assaut et la Suède tient son rang, avec cette bravoure et ce courage indomptable qui fait l’admiration de tous.
Les vipères lubriques de Vienne, paniquées

, recrutèrent en masse et contractèrent des dizaines de prêts pour recruter toujours plus : le formidable potentiel humain de l’Autriche permettait toutes les folies. Malgré un terrain difficile, une population hostile et un ennemi dix fois plus nombreux (et vicieux

) que nous, nos fiers vikings avançaient toujours et le Danube fut atteint, où une grande bataille éclata.
La duplicité autrichienne l’emporta

et le tyran fou ordonna une poursuite. Fort heureusement, l’habile régent de Suède, le très illustre Danton I

, réagit au quart de tour et des renforts surgirent de la brume : les Autrichiens, aussi lâches que lors du siège de Paris, cessèrent immédiatement la poursuite et se replièrent en gémissant. Les vikings intrépides se rassemblèrent et repartirent immédiatement à l’assaut, en coordination avec une offensive Espagnole au sud et Russe à l’est. Le danube fut à nouveau atteint…
Mais une fois encore, les dizaines de milliers de soldats que les révolutinnaires fous d’Autriche pouvaient sans cesse lever fit pencher la balance et l’offensive s’essoufla puis échoua

. La Suède, la Russie et l’Espagne étaient épuisés et ne trouvaient plus de soldats à lever, pas même des mercenaires

. Il fallait marquer la pause et se renforcer à nouveau. Le lourd fardeau de conserver le maximum de positions si péniblement conquises reposa quasi entièrement sur nos épaules

. Pendant près de deux ans, la Suède lutta seule pour empêcher l’Autriche de reconquérir le terrain perdu… Tâche ingrate mais nécessaire.
1813
Puis, enfin, en octobre 1813, l’offensive redémarra et le Peuple Libre était à la pointe de celui-ci

.
Ce fut un nouveau déferlement et Suédois, Russes et Espagnols rivalisaient pour arriver les premiers devant Vienne. Les Anglais décidèrent de se joindre subitement à nous et c’est l’Europe unie qui déferla pour mettre à bas la tyrannie obscurantiste et décadente qui se vautrait dans le luxe et le pêché à Vienne

… Et à Paris. Alors que la victoire était si proche, en effet, la France rentrait à nouveau en lice et déferla en Espagne…
L’illustre Roi de Suède apportait enfin à l’Europe épuisée la nouvelle que tous les cœurs purs attendaient avec tant d’impatiences…
Suède, Suède, Suède !!!
Le 27 août 1816 restera à jamais inscrit dans la mémoire de l’humanité : l’armée Suédoise victorieuse entrait dans Vienne et mettait fin aux guerres révolutionnaires qui avaient ravagés l’Europe pendant 20 très longues années. Le bon droit avait triomphé

. L’Empereur d’Autriche reconnaissant fut rétabli sur le trône Impérial et la foule folle de délire se prosterna devant nos héros vikings, eux qui avaient conquis Constantinople, Paris et Vienne en moins de 20 ans…
A suivre