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Vieux 01/04/2007, 12h08
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Franconaute
 
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Les guerres révolutionnaires




Acte I. 1794-1800. La guerre contre l’Empire Ottoman



Un voile sombre s’abat sur l’Europe et les ténèbres maléfiques, qu’on pensait disparus, reviennent plus fort que jamais : le Roi Louis XVI de France est guillotiné, l’Empereur mis à l’écart et le Sultan de même. Des fanatiques sanguinaires, sans foi ni loi, prennent le pouvoir dans ces trois pays et proclament leur intention d’instaurer un ordre de mort sur l’Europe : la barbarie la plus primitivé, la plus brutale, déferle en hurlant et des royaumes séculaires du SERG disparaissent rapidement, emporté par le torrent impétueux de cette folie quasi inhumaine .


Face à cette menace qui pèse sur le monde libre, les vieilles nations d’Europe oublient leur anciennes rivalités et décident de faire front commun : l’Angleterre, la Russie, l’Espagne et, naturellement, la Suède s’unissent pour mettre fin à la tyrannie despotique qui s’est abattu comme un vautour fou sur la paisible Europe. Des plans de guerre sont établis à Londres et circulent partout… D’autres sont élaborés à Stockholm et restent plus discrets…


L’offensive à l’est commence au printemps 1794 : l’Empire Ottoman déferle en Russie. Moins de 12 mois plus tard, l’Autriche entre à son tour dans la danse, avec un monde technologique d’avance sur la malheureuse Russie … Et l’incroyable se produit : malgré pas moins de trois siècles de haine et de rivalité Russo-Suédoises, les troupes d’élite du Peuple Libre interviennent à leur tour… En faveur du Tsar, acculé malgré l’excellence de son général Suvorov, un des plus grands génie militaire de son temps, qui réalisera des exploits . Nos armées marchent sur Moscou, non pas pour s’en emparer , mais bien pour la protéger. Les Révolutinnaires fous ont déjà échoué leur objectif premier : eux qui ne rêvaient que de mettre l’europe à feu et à sang, la faire sombrer dans le chaos le plus total, voilà qu’ils obtiennent déjà un résultat inverse : ils ont réconciliés Suède et Russie. L’arrivée des vikings du grand nord suscite un vent de panique chez les Austro-turques, qui redoutent la puissance de nos soldats : notre armée, bien que petite et modeste, est redoutable et redouté partout en Europe. Quand la Suède avance, l’ennemi recule…


L’intervention Autrichienne prend le Tsar par surprise : victorieux dans les Balkans et au Caucase, les Russes doivent partout reculer et Suvorov échappe de peu à un encerlement total . Pour faciliter la retraite Russe, des armées Suédoises pénètrent en mer noire et débarquent en Anatolie, en Bessarabie, partout où le besoin se fait sentir. Ces missions de harcèlement remplissent parfaitement leur rôle et les troupes Russes parviennent à se sortir du piège dans lequel ils sont tombés suite à l’intervention autrichienne, mais une autre menace se fait aussitôt jour : les Austro-Turques, forts de leur immense supériorité technologique, lancent une invasion de grande ampleur. Là aussi, nos armées doivent intervenir pour empêcher un désastre qui se serait mortel pour la cause contre-révolutionnaire .





L’Autriche tente de distraire nos forces en attaquant nos possessions d’Allemagne du nord, mais nous défendons nos terres avec cette folle détermination qui jadis avait déjà fait reculer l’envahisseur haineux durant la Grande Guerre du Nord .





Et en décembre 1797, le gouvernement Ottoman apprend ce qu’il en coûte de se heurter au Peuple Libre : nos hordes déferlent et balayent tout sur leur passage





La capitale Ottomane est prise d’assaut, ce sera la première à tomber sous nos coups durant cette guerre, mais pas la dernière…






Les forbans révolutionnaires Ottoman, cependant, décident de poursuivre la lutte et se réfugient à Alexandrie, où ils ordonnent de nouvelles mobilisations. Nos fiers vikings les poursuivent impitoyablement et là aussi notre assaut est irrésistible.






Nos armées étant en Egypte, les Ottomans reviennent sous les murs de Constantinople et des régiments Autrichiens viennent les renforcer… 30.000 Suédois se sacrifient pour gagner du temps et nos hordes, grâce à eux et grâce à la lenteur des Austro-Ottomans, parviennent à revenir juste à temps pour écraser toute opposition…






Commence alors une ultime course contre la montre : le Sultan et sa famille sont en effet retenus en otages dans Damas et les révolutionnaires envoient leurs hordes pour les garder sous contrôle, mais la Russie fait de même… La résistance fanatique de certains les fait cependant reculer et nos hordes doivent alors intervenir : le Liban est pris d’assaut, les Austro-Ottomans repoussés après de violents combats. En 1799, enfin, les armées Russo-Suédoises désormais unies comme les cinqs doigts de la main pénètrent victorieusement dans Damas et libèrent le Sultan des griffes sanguinolentes des révolutionnaires fous. Le régime est restauré, la Révolution recule !


L’Empire Ottoman rejoins la lumière et signe la paix avec tous les belligérants. Nos armées victorieuses, acclamées par tous les peuples d’Europe, retournent paisiblement dans la mère patrie. Hasard du destin, au moment où nos flottes longuent les côtes Françaises, éclate une grande bataille entre nos alliés d’Angleterre et le chef fou des révolutionnaires, Napoléon Bonaparte lui-même. Quel heureux hasard ! Nous débarquons prestemment et lui bottons le cul…



Dernière modification par Danton ; 01/04/2007 à 12h10.
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