En parlant de population: scientifiquement parlant (bon le mot est un peu pompeux, et puis comme scientifique y'a mieux que moi, faudra voir avec Chazam pour les réclamations

), il a été prouvé, avec de multiples espèces et dans tous les règnes du vivant, qu'une population trop nombreuse -et encore plus si l'espace disponible est restreint (mais l'espace finit toujours par manquer)- finit par décliner.
Ceci pour de multiple raisons dont en voici quelques uns: les ressources disponibles pour permettre à la population de croître deviennent insuffisantes, les individus (de la même espèce ou d'espèces différentes) entrent en compétition pour les resources se qui se traduit par la disparition des moins compétitifs, les virus/parasites/pathologies/maladies/ tutui quanti se transmettent et se propagent plus rapidement et sont plus adaptés à leurs hôtes (meilleure résistance, etc...), la pression démographique sur l'environnement dans lequel évolue la/les population(s) finit par avoir des répercutions néfaste sur cette/ces dernière(s)...
AU contraire, un milieu vierge est propice à une explosion démographique, mais avec d'intenses compétitions entre espèce etc...
Bref, il doit certainement y avoir des effets biologiquement, physiologiquement néfaste sur les humains, lorsque la pression démographique devient trop importante, mais sans que ça s'exprime nécessairement de la même manière, c'est peut-être plus diffus: genre du stress individuel, des troubles psychologiques (?) que sais-je encore

.
Quoiqu'il en soit, une population trop nombreuse, même humaine

, ne peut qu'avoir des effets néfastes sur elle-même. Heureusement, le progrès permet d'atténuer les choses!