Ces premières chroniques de l’Europe Universelle virent Venise batailler pour sa survie, agressé, trahit car elle seule osait s’élever pour clamer fort les idéaux de la liberté et de la tolérance.
Faible enclave parmi les puissants elle devait subir en plus l’agression milanaise du prétendu duc Francesco Sforza qu’on prétendait être un grand militaire.
Venise habillement parvient à l’attirer dans un piège et après de nombreux mois de bataille fut victorieux. Le faux duc, il se réfugia dans la ville même de Milan ou il périt (probablement de la main des citoyens qu’il avait prétendu protéger). Les milanais heureux d’être enfin libéré du joug de l’usurpateur s’unirent d’une même voix pour réclamer la protection de Venise et les habitants de Parme eurent l’honneur de se voir octroyer la citoyenneté Vénitienne.
Le Dodge mourus au fait de sa gloire, son successeur élu pour ses désirs de maintenir la paix fut hélas prit impuissant dans la tourmente de la politique international, œuvre des puissants.
Chypre, connu pour sa fourberie, ses machinations, parvint sous des prétextes fallacieux a mettre son roi sur le trône de France.
Le peuple vénitien connu pour son amour de la France (et de l’Angleterre, la Suède, la Castille, le Portugal, la Russie, l’Autriche et même l’Anatolie) ne pouvait tolérer une situation aussi cruelle.
Peu désireux néanmoins de paraître agressive se fut l’initiative personnel du condottiere Gattamelata (le vainqueur des guerres lombarde) qui sauva la France de se piège.
Il mena une bande de mercenaire capturer la ville qui se soumit rapidement. Hélas les négociations furent entachées par une série de chute dans les escaliers qui tuèrent la famille royale et surtout Jean III dit l’usurpateur.
Le monde étonner fut soulager d’apprendre que Venise n’avait nulle autre intention que de garantir la liberté aux Chypriotes et d’assurer sa protection.
Des mauvaises langue clament que le bon et sage peuple Ottoman aurait joué un rôle dans cette décision, mais se ne sont que des mauvaises langue.
Venise, ne pouvant plus soutenir une politique commercial avant une période de stabilité créa la première banque nationale dont le succès fut immédiat. Montrant au monde son génie visionnaire.
La paix revenue Venise ne put reprendre sa mission qui était le maintien de la route de la soie. En effet, nos alliés toscans furent attaqués (d’après eux) par une coalition d’usurpateur.
Venise qui n’a qu’une parole honora son pacte et vint au secours de son allié et ami.
Triomphante une fois de plus une paix juste fut trouvée, les habitants de Mantoue et Ferrare eurent la citoyenneté Vénitienne pendant que Modène accepta notre sage vision d’une Italie ou le mot guerre n’aurait plus sa place.

Le duc d’Autriche, connu pourtant pour son immense sagesse se méprit sur les intentions de la Sérénissime et l’avertit.
« A vous très cher Empereur dont nous seul les premiers a reconnaître l’autorité , Venise vous rassure quand a ses intentions , elles ne visent qu’a maintenir la paix et la prospérité commercial ou vous le savez vos marchands sont les bienvenues et le seront toujours.
Vous vous étés méprit sur nos intention, notamment pour notre avertissement a l’encontre de la Suisse. Notre position est que c’est une terre du très saint empire et qu’a se sujet notre action ne vise qu’a l’empêcher de venir semer mort et désolation en terre lombarde. Que ses actions entraîne une guerre au sud et nous interviendront, comme toujours et contre tout ceux qui ont les mêmes intentions, pour maintenir la paix en nos lieux. Mais au grand jamais nous ne demanderons une miette de terre de leur territoire allemand. Pas même une vassalisation (dont vous étés le grand adepte comme nos l’avons remarqué quand vous avez fait ployer le genoux de la grande majorité des états libre de Bavière et du Wurtemberg).
Notre action ne vise qu’à empêcher que le jeu d’alliance plonge la Suisse dans une tourmente de violence, et si c’était le cas Venise ne lui ferrait aucun mal.
Je vous salue très auguste empereur, puisse vos pas vous menez vers la gloire que vous méritez. »
Au roi de France (celui qui reste)
« Nos récentes affaires ont je l’espère resserré les liens entre nos pays. Il n’est de plus cher désir pour Venise que de voir les terres de France unie, nous vous souhaitons le plus grand succès dans cette entreprise. »
Au roi d’Angleterre
« Votre splendide isolement nous force le respect, que le commerce et l’argent fleurisse »
Aux barbares nordiques et des steppes
« Barbare mais avec panache »
Aux Conquérants du nouveau monde
« L’ancien monde vous regarde et vous envi »
Au Sultan des Sultans
« Nous espérons la réussite dans vos entreprise pour maintenir la paix sur la route de la soie »