Le règne de Vitale Grimaldi di Busca
Le nouveau dirigeant s'avéra vite être un bon entrepreneur, mais il n'entendait rien
aux affaires diplomatique et militaire qu'il délégua à Adeanilio pour le plus grand
bonheur de ce dernier.
l'Europe occidentale en 1479
Le budget Florentin en 1479
De 1479 à 1485, Florence vut son commerce prospérer et ses marchands prendre pied dans
tous les COT d'Europe de l'Ouest. Sa politique commerciale et son dirigeant brillant
gestionnaire lui permire de connaitre un prospérité rapide. Ceci a tel point qu'en 1485,
le commerce de Florence lui rapport autant de Ducats que toutes ses autres sources de revenus
cumulées. La production de ses provinces augmenta également grace à la mise en place
de nombreux ateliers d'artisanat.
En 1485, Adeanilio conseilla à Vitale de profiter de la vieillesse du Pape pour faire
valoir les prétentions de Florence sur Mantoue et Ancôme. Vitale se rangea à l'opinion
de son conseiller et quelques mois plus tard la puissante armée Florentine se mis en
marche en 3 colonnes vers les possessions Papales. La première Colonne, forte de 5000 hommes
et commandée par le capitaine Danton, devait filer droit sur Rome et affronter l'armée
Papale et la fixer dans la province ROmaine. La seconde colonne comptant 3000 Hommes dont
2000 cavaliers devait rapidement mettre le siège devant Ancome et occuper le pays environant
puis l'excédent d'homme rejoindrait le capitaine Danton pour vaincre les Armées Papales.
La dernière colonne commandée par le sergent Vincelio avait pour tache de sécuriser le
nord des possessions Florentines en occupant Mantoue.
Le plan se déroula avec un grand succès et le Pape Clément VII du se résoudre à mettre
fin a ses revendications sur Sienne et céder les provinces D'Ancome et de Mantoue.
Une nouvelle Victoire pour Florence qui voyait l'un de ces principaux voisins mit hors course.
L'année suivante, sur le conseil du conseil des Universités Florentines, Vitale embrasssa
l'idée d'une banque d'état permettant de contrôler l'inflation qui commençait a se faire sentir
dans la république.