Régiments increvables !
Toujours dans la démo, j'ai eu quelques problèmes : en reprenant le Brandebourg et en attaquant la Saxe, outre l'IA qui m'envoyait des tonnes et des tonnes de régiments, j'ai pu observer le système de régiments qui s'autocomplète de Paradox.
En gros, pour résumer les faits, disons que vous gagniez une bataille dans une de vos provinces contre une armée adverse composée de 3 régiments d'infanterie. Vous réduisez les régiments adverse à quelques centaines d'hommes. L'armée adverse, ayant perdu la bataille, s'enfuit dans une de vos provinces adjacente. Très bien vous vous dites, ces fuyards ne vont pas me posser problème et je m'en occuperai après. Vous laissez donc l'armée adverse mettre un siège avec quelques centaines d'hommes, siège qui n'a aucune chance d'aboutir... Oui mais pendant que vous envoyez votre propre armée plus loin, l'armée adverse se recomplète automatiquement et au bout de quelques mois, l'armée battue n'est pas un ramassi de quelques fuyarts appeurés mais une fringante armée de 3000 hommes qui vient de vous prendre une province.
Mais le problème, c'est que vous aurez beau revenir et rebattre cette armée, celle ci, même si certains de ces régiments sont composés de 0 hommes (observé dans ma propre armée), s'enfuira et recommencera le manège...
Donc j'ai l'impression que les régiments sont intuables, sauf si ils sont acculés à la reddition (pas de province où retraiter). Ca pose quand même un serieux problème d'avoir ces bandes de fuyarts qui se regénèrent automiquement derrière les lignes non ?
Je trouve que le système de regénération est une bonne idée mais il faudrait qu'il ne soit possible que moyennant finances et ne soit possible que dans ses provinces ! (serait ce modable ?)
Enfin bref, avez vous le même problème ? Et ceux qui ont la version complète et patchée, ce problème existe t il toujours ?
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AAR Turquie HoI2 - L'Empire Ottoman est il vraiment mort ?
Malraux et De Gaulle sont dans dans les toilettes de la Comédie Française, durant l'entracte d'une représentation de théatre, chacun face à une pissotière.
Malraux, se tournant vers De Gaulle :
"- Belle pièce hein Mon Général ?
- Malraux, regardez devant vous !"
Dernière modification par Dandy ; 27/01/2007 à 03h54.
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