Acte VI. Le chat et les souris avec les Dark Devils
Nous nous décidons enfin à aller trouver ce vaniteux Ogier d’Argouges et acceptons de l’aider à retrouver son honneur : pour cela, il faut prouver que le traître qui a scellé le sort de la flotte Française à l’Ecluse n’est pas lui, mais bien le Connétable du Roi de France lui-même, Jacques de Blainville, de connivence avec l’ennemi Anglois

. Un homme pourrait nous aider : Thirry Champartel, écuyer d’Ogier d’Argouges. Mais le fripon refuse de parler tant que nous ne retrouvons pas sa femme, disparue depuis 15 jours, apparemment dans les bois sombres au nord de la cité.
Nous allons donc y faire un tour et tombons nez à nez avec les Black Devils, une bande de pillards Anglais réputée pour sa cruauté sans nom. Ils ont établis leur base dans des grottes, dans lesquels nous descendons prudemment

. L’ennemi est bien là et nous jouons avec eux : nous ne cessons de virevolter, nous jouant de leurs maladroites attaques et, souvent, ils se frappent entre eux

. Quelques attaques sournoises bien placées permettent d’achever le travail. Mais il ne s’agit là que du menu fretin et nous devinons que l’opposition va se renforcer. Plus loin, nous empêchons ces brigands de mener à bien l’exécution qu’ils préparaient : un marchand miraculé refuse de partir tant qu’il n’aura pas récupéré son anneau de mariage, volé par le capitaine des Dark Devils. Le Saint Homme !
En effet, plus loin, nous tombons sur le lieutenant des brigands, bien entouré, et nous devons effectuer un repli stratégique

. Nous courrons et retrouvons ce brave marchand qui, aussitôt, n’écoutant que son courage, se précipite au combat

! Grâce à cette aide inespérée, nous pouvons prendre le lieutenant en tenaille et lui assener deux bonnes attaques sournoises qui ont enfin raison de sa résistance. Après avoir remercié le marchand d’un signe de tête, nous repartons : hum, le capitaine maintenant, et avec 7 gardes du corps.
Avec habileté, nous parvenons à amener la racaille à nous et les massacrons facilement. Le capitaine n’a rien vu, rien entendu : cela tombe bien. Nous nous rapprochons furtivement de lui, de plus en plus près et…
(le méchant est en violet et le gentil, qui vient de frapper une attaque sournoise

) en bleu)
Le capitaine s’est retourné au dernier moment, mais, comme on le voit bien sur le screen, j’ai gagné l’initiative et ai pu de ce fait quand même effectuer une attaque sournoise ( 17 de dégâts

). Un violent duel commence alors et se passe mal pour nous : nous ne sommes pas vraiment un combattant

, il faut bien le reconnaître. Mais nous avons de bonnes jambes

. Aussi, nous filons une fois encore et rejoignons notre copain marchand, qui se précipite en beuglant (et à mains nues). Le capitaine est fort blessé par ce brutal et inattendu assaut, et nous en profitons pour l’achever grâce à une prise en tenaille et attaque sournoise de plus

.
Nous récupérons alors l’anneau de mariage du marchand (qui était vraiment très bien caché

), discutons avec une demi-orque engagée jadis par Blainville pour assassiner le Roi d’Angleterre et retrouvons Adelis Champartel, que nous raccompagnons chez elle. Son mari nous apprend alors qu’une réunion secrète doit avoir lieu au château de Blainville, durant laquelle le traître mettra au points avec ses alliés Anglais l’assassinat du Roi de France

. Un passage secret permettra aux Anglois de le rejoindre discrètement. Il nous faut le trouver et nous introduire à notre tour dans le château du traître, pour en ramener les preuves du complot ignoble.
Nous partons donc pour la zone suivante, où le passage secret doit se trouver et surprenons le Sir De Kerneth, une des plus fines lames du Royaume d’Angleterre, entièrement nu et donc, naturellement, sans arme ni armure. Nous le massacrons sans pitié

(de toute façon, c’est lui qui a commencé

). C’est un bon début, mais le coco n’était certainement pas seul. Voyons voir s’il ne serait pas possible de frapper encore discrètement, ni vu ni connu.
Surprise!
A ce moment, l’Anglais ne nous a toujours pas vu et ne nous verra en fait jamais : le coup que nous lui portons sournoisement l’achève mais, ce n’était pas prévu, son corps, en retombant lourdement dans l’eau, fait beaucoup de bruit et attire l’attention de ses petits copains (nous aurions du prévoir le coup

). Un violent combat commence et, au moment où, déjà fort blessé, nous étions enfin sur le point de l’emporter, voilà que la racaille Anglaise reçoit de sérieux renforts. Il est temps d’aller respirer un air plus frais
La fuite, pleine de dignité

, seule issue pour résoudre un combat salement embarqué:
Il est à noter que la racaille menée par l’IA est la seule capable de tirer tout en courrant

, il y a de la magie noire là-dessous. Nous retournons dans le bois des ombres, seule une partie de l’ennemi nous suit jusque là et courrons en rond, le temps de bien les essouffler et, surtout, de régénérer via notre amulette familiale. Quelques fois, nous stoppons derrière un arbre et frappons par surprise un de nos poursuivant : le succès n’est pas systématique, mais nous finissons par faire place nette. Une fois entièrement rétablis, nous retournons dans la zone dite du passage secret, où nous sommes chaudement accueilli par les Anglois qui ne nous avaient pas suivi. Cette fois, nous les massacrons jusqu'au dernier. Mais est-ce vraiment le cas ? Par prudence, nous effectuons un nouveau tour complet de la zone : oooh, mais qui voilà ? Un sergent Anglais. Mais comme il est mignon, le petit

.
Je suis en mode furtif, si je n’avais pas pointé la souris sur mon perso, on ne le verrait pas du tout dans cette zone d’ombre : le sergent Anglais, lui, en tout cas, n’a strictement rien vu et nous l’avons frappé sournoisement dans le dos

( cela ne l’a certes pas tué mais grandement affaibli et c’est heureux car les sergents tapent fort, surtout pour un pauvre roublard innocent comme nous

).
Voici d’ailleurs le héros en question :
A suivre. Une colonie d’araignées