Deuxième partie : une période de calme.

L'année 1127 s'écoule paisiblement ; j'organise de nombreuses fêtes dans les luxuriants jardins de Tunis. La fraîcheur du soir est propice à ce genre de manifestations. :cour:

La richesse du royaume me permet de ne pas écraser mon peuple sous les impôts.
Les nobles eux-mêmes, sous réserve qu'ils me soient fidèles et qu'ils me servent (en tant que chevalier, diplomate, administrateur, gouverneur ...) sont bien traités. Je favorise le commerce et fait preuve du plus grand respect envers l'église. :eveque:

En août, l'épidémie qui sévissait à Syracuse depuis de nombreuses années prend fin. Le Pape appelle les peuples à la croisade en septembre : je décide de faire la sourde oreille : aucun peuple non chrétien ne nous menace ; le seul état musulman puissant est l'émirat de Séville, dont le dirigeant est un grand et sage chef d'état avec lequel j'entretiens de bonnes relations.

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Au cours de l'année 1128, j'entreprends la construction de verreries dans les provinces de Tunis, Gabes et Mahdia ; je souhaite commencer à développer les industries du Royaume. Cela ne pourra avoir que de bonnes retombées sur le commerce.

J'apprends alors que mon quatrième et dernier fils, âgé de seulement 16 ans a prit une concubine et que cette dernière vient de lui faire un bâtard :main:... me rendant grand-père à 39 ans par la même occasion. Comme le temps passe ... :mouais:

:ok: Excellent. :)

troisième partie : celle qui vient après la seconde

Août 1128 : sous mon gouvernement éclairé, le Royaume d'Afrique se dirige vers la lumière. La révolte de la province de Palerme prend fin : que peut reprocher un peuple à son souverain quand celui-ci assure la paix, favorise le commerce et fait le nécessaire pour que les ventres soient pleins ? :o:

J'entreprends la coûteuse construction de trois châteaux en Sicile, dans les provinces de Messine, Trapani et Syracuse.

Les échos de ma puissance traverse les mers, des ambassades de plus en plus nombreuses viennent recueillir notre amitié, nos conseils et notre bienveillance.
Plus aucun de mes vassaux ne songe seulement à l'idée d'une révolte : ce serait tellement inconvenant (tout les deux mois, j'ai un event : un vassal est heureux de votre règne juste et bon :mrgreen: )
:trone:
Las artistes de toute nature, les scientifiques :chazam:, les philosophes:levite:, les historiens et cartographes :cultivé: : ma cour devient le phare de la culture Méditerranéenne, le lien entre l'Islam et le Christianisme. (j'ai également le droit à de nombreux events de découverte scientifique)

Cette période faste est subitement entachée en septembre 1128 par la révolte et le pillage de deux provinces d'Afrique : Gabes et Bizerte ; ces évènements font suite à des troubles religieux. :( Mais qui fomente ces troubles :crise: ????

Situation en février 1129 :
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Mai 1129 ; de nouvelles preuves de la justesse de mon pouvoir s'étale à la face du monde :
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En juillet 1129, un terrible évènement se produit alors : je suis victime d'une tentative d'assassinat !!! :choc:
Qui a osé ?
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Moi je verrai bien les héritiers : comme le vieux fait de l'incruste, on le "pousse" vers la sortie :lol:

La suite semble prouver que non.
Et puis je me demande si ce genre d'event n'apparait pas quand un souverain étranger essaie d'en assassiner un autre. Parce que là, il n'y avait aucune raison : je n'était ni excommunié, ni hérétique, pas en guerre .... je ne sais pas :mouais:

CHAPITRE XXVI : LA PLONGEE VERS LES TENEBRES. (août 1129 -


Première partie : le début des troubles

Je venais donc d'être victime d'une tentative d'assassinat, qui m'avait grièvement blessé.

Cependant, croyant que ce fait n'aurait d'incidence que sur ma santé, je décidais de continuer mon oeuvre pour mon peuple. Je ne pouvais plus diriger l'Etat que par le biais de mes conseillers mais je présidais néanmoins au Conseil : je conservais toutes mes facultés de chef d'état... seul mener les armées m'était interdit. :loose:

Je continuais donc la modernisation de mes domaines en faisant construire une mine à Tunis et une église à Gabes.
Bizerte récupéra de son statut de pillée en octobre 1129 : les revenus du Royaume dépassaient les 90 milles ducats par mois. :clap:

En décembre, je retire à Roger Borsa (qui gatouille à 69ans) son titre de Duc de Pouille que je donne à son fils aîné. Je donne également le titre de Duc de Calabre à mon cousin : Eudes de Hauteville, comte de Reggio.
Ces mesures entrainent une baisse de ma mauvaise réputation. ( -3,8% au lieu de -4,5%)

Curieusement, mon 4ème fils Enguerrand quitte la Cour en janvier 1130... Quitte ou fuit ? Je l'ignore. :pigepas:
Toujours est-il que :
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Mars 1130, alors que je suis déclaré agonisant depuis moins de deux mois, il semblerait que le nouvelle est parvenue en Italie...
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Deuxième partie : Guerre civile et morcellement

Heureusement, dans la tempête, le peuple prit l'initiative de me montrer son soutien : les révoltes paysannes de Gabes et Bizerte prirent fin ; Benghazi récupéra du pillage dont elle avait été victime. :)

Malheureusement, des bandes armées commençaient à se promener dans le royaume ; la scierie de Palerme fut détruite ainsi que d'autres bâtiments n'appartenant pas à l'état. Il ne s'agissait plus d'un risque de pillage, de rançon : il s'agissait de destruction. :boum:

J'étais cloué au sol par la maladie et ma blessure. Mes fils, les trois qui étaient restés auprès de moi prirent le commandement de mes armées afin de ramener de l'ordre dans le Royaume. :policier:

Le comte de Tarente fut rapidement mis au pas, ses terres furent annexées à la couronne : je pensais qu'il était grand temps de faire comprendre comment serait traités les traîtres ! :guillo:
100 milles ducats passèrent par la même occasion dans les caisses du trésor.

Mal m'en pris : mes vassaux rebelles semblaient n'attendre que cela pour me déclarer tyran !
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En septembre 1130, le duc de calabre, mon cousin, Eudes de Hauteville se déclare indépendant: il ne fait plus partie du Royaume d'Afrique !

Afin d'éviter une accélération du morcellement de l'Etat et d'asseoir ma légitimité et celle des mes descendants, je prends alors une décision que je pensais prendre dans un moment plus glorieux.

Sur mon lit ... de mort selon tous, je me fait couronner Roi de Sicile, Duc de Constantine, Duc de Cyrenaique et Duc de Tripolitaine. :clap:
Même si ces royaume ou duchés sont partiellement perdus, mes héritiers pourront remettre la main dessus. :o:
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En quelques mois, la stabilité du royaume était passée de + 2 à -1 ! 50 années d'efforts sont mis à mal ! :loose:

Lorsque j'ai donné ma fille aîné à Roger de Pouille, ce dernier m'a envoyé 1039 sacs de 1000 ducats d'or. Je ne le savais pas si riche. Je n'oublierai pas son soutien, et mes fils non plus. :p:

marrant j'ai commencé une partie avec comté de reggio ... mais j'ai une fumelle moi ... ma chanceliere :confus:

edit un lien interessant : http://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_Ier_de_Sicile

Arg, que va devenir le royaume?? :pasvrai::ouin:

Je ne sais pas, non, je ne sais pas. :siffle2: Je m'inquiète quand même un peu, si je me fais attaquer par un puissant royaume, ça va être dure de faire face. Mais en même temps, les caisses sont pleines à craquer, donc je pourrais mobiliser un grand nombre de troupes.
Ce qui m'embête le plus, c'est la perte de stabilité ; je ne sais pas encore à quoi ça sert, mais en tant qu'ancien "joueur EU2", ça me gêne. :goutte:
Bah, de toute façon, le génie militaire de la famille fera qu'une solution sera trouvée ... face aux vassaux récalcitrants :fessée:. Je suis quand même très content (au fond) je commençais à être un brin trop puissant (ce qui n'est plus le cas) et puis c'est assez réaliste : je suis blessé donc amoindri et paf, les grands du royaume essaient d'en profiter pour tirer les marrons du feu.

En attendant, je suis en repos longue durée qui occasionne une pause dans l'AAR.