Courtisans 2: Chambellan Jag.
 

Monsieur de la Jaguerie se pavane d'importance à la cour et suscite déjà des jalousies.
Fort de sa parenté espagnole il a cru bon d'aller rendre ses hommages à la Reine et de glisser à celle-ci qu'il serait le parfait candidat pour occuper le poste de maitre de chasse laissé vacant depuis que Monsieur de Gadafile a été encorné par un cerf près de Fontainebleau.
Mais la Reine n'entends point se mêler de politique et elle a sèchement éconduit l'impudent.

Mais Monsieur de la Jaguerie est tenace et ne s'est pas montré découragé par cet échec. Il a fait savoir par la Reine à Louis qu'il désirait se marier pour produire belle descendance au service du royaume.
Le Roi lui répondit:
Fi donc

Ca m'en touche une

Sans me faire bouger l'autre. :o:

Et avant que quiconque ait pu s'y opposer Monsieur de la Jaguerie épousait Madame d'Aroun de Sparfellayre de la Louserye, et la prenait brutalement à peine sorti de l'église, pour consommer l'union. :ko:
"Le soudard est monté à l'assaut" murmura la cour, choquée. :o: Et certains de rappeler les étranges disparitions de jeunes paysannes dans son fief de Conne sur Loire. :siffle2:


Jag tente d'obtenir la charge de maitre de Chasse mais échoue. (la carte est désormais disponible dans la maison du Roi)
Il épouse d'Aroun de Sparfellayre de la Louserye .

C'est à Sentenza.

Je remercie son altesse la reine pour son soutien de mes épousailles avec madame de la Louserye :love: que j'aime d'un amour pure et désintéressé (elle à du pognon la gueuse).

J'invite toute la cour à mon mariage et la nuit de noce s'annonce épique j'ai ouie dire que ma tendre épouse était vigoureuse au lit. :sourcil:



Charles-Hubert de la Jaguerie.

Mademoiselle de la Chaste en Feuye est déja fort introduite...auprès de la Reine. Elle a raconté d'aimables plaisanteries et même ramené un nain qui rappelle l'Espagne à Marie-Therèse. Celle ci a convaincu le roi d'accorder pension à l'accorte demoiselle.

Sentenza se fait accorder une pension. Il pioche la carte de maitre de chasse dans la maison du roi et passe une carte à marlouf.

Monsieur de la Chouinerye ne rêve que de bataille et de gloire. Il a combattu bravement contre les espagnols dans les flandres et en franche-comté et s'est attiré l'amitié et l'estime du Roi.
Voilà que celui-ci lui accorde les plus grands honneurs. Pour ses victoires Monsieur de la Chouinerye a été nommé rien moins que Maréchal de France.
Ca n'est pas faute pourtant d'avoir été souvent moqué pour sa lenteur à se mouvoir et à attaquer l'ennemi. :o:
Mais ces honneurs ne s'arrêtent pas là, Monsieur de la Chouinerye a aussi été nommé Chancelier du Royaume, une charge longtemps tenue par la famille de la Juristerye qui ne voit sans doute pas cela d'un très bon oeil.

Requête réussi pour la distinction de Maréchal et la charge de Chancelier.
Une carte passé à Palpat.

C'est à Palpat. :hello:

Madame de la moustacherye, tout juste débarqué du nord de la France, se montre fort pimpante. Elle butine de gentilhomme en gentilhomme, de courtisan en courtisan. Il faut dire qu'elle est fort affriolante, fessue et maflue en diable un joli petit tendron, quoiqu'un peu noire de peau, héritage de ses ancêtres qui auraient fauté avec des maures selon les mauvaises langues.
Elle serait même fort jolie de visage si elle n'avait la face fort pileuse, ce qu'elle tente de camoufler sous une épaisse couche de maquillage.
Toujours est il que la diablesse a réussi à conquérir entièrement le coeur et l'âme de la reine et qu'elle tisse sa toile sur toute la cour, comme une noire araignée. :froid:
Son appétit de richesse est insatiable.
Elle a convaincu la Reine de la pensionner à hauteur de 4.000 livres.
A la suite de cela elle s'est jeté comme la vérole sur le bas-clergé sur le pauvre Maréchal de la Chouinerye qui s'en revenait de campagne. Ni une ni deux, la moustacherye avait retroussé son jupon et se précipita sur le malheureux, qui n'avait jamais connu d'assaut aussi féroce même contre les Tercios espagnols.
Deux heures plus tard, la face couverte de blanc et de rouge à lèvres, les chausses encore mal rattachées, Monsieur de la Chouinerye était contraint d'épousailler madame de la Moustacherye. :ko:
La diablesse avait senti l'argent.


http://img155.imageshack.us/img155/1...0156702jd1.jpg
Mais lâchez moi, horrible créature. (contrairement à ce qu'on pourrait croire, madame de la moustacherye est bien représenté assise à droite :chicos: )

Requête accordé pour une pension et un mariage.

C'est à Coelio.

Vous pouvez réagir entre mes interventions. :lol:;)

Ma jeune et ravissante épouse aimerait bien que le Roy ou la Reine lui accordasse un titre ou bien alors à ma personne, moi qui sert le royaume avec un tel dévouement. :priere:

T'a pris le titre que je convoitait vil faquin. :enerve:

Ma très chére soeur,

J'espére que tu t'amuses bien en Nouvelle Angleterre avec ton Poquelin de mari. J'ai ouï dire que sur place, les autochtones emplumés du cru mourraient par milliers, et de raison inconnue.
De toi à moi, avoue ... tu leur a montré l'une de tes pièces ?

Ici à Versailles, tout se passe bien - j'ai pris résidence dans l’aile ouest, face au petit bassin. Une fois par semaine, je vais m'y plonger les pieds afin d'être propre. Je vois passer de petits nobles en beaux habits d'apparats, qui de la journée ne veulent pas s'abaisser à me glisser un mot. Sitôt le roi couché, en revanche, je reçois plein de missives afin qu'à l'un je fournisse des catins, à l'autre des femmes de petites vertus, à un troisième quelque mignonnette ... Bref je me sens comme chez moi et, déjà, je peux admirer mes œuvres dans les jardins : un tel se cache pour dissimuler un herpès qui fleure à la commissure des lèvres, un autre cache sous une mouche un bubon syphilitique ...

Et puis, on se marrie tous les 4 matins ... Hollandais avec Hollandais, Espagnol avec Espagnol, ma foi la consanguinité va bon train. On n'a pas encore vu d'enfant en revanche, même si Mme Olympe-Tisiphone de la Moustacherye de Pol-en-Ploie arbore un ventre plus rond que les mois précédent. La joie de cette grossesse la rend toute fragile, la pauvre enfant, puisque chaque matin, elle se débrouille pour tomber dans les escaliers et tente d'amortir le choc avec son ventre. L'enfant tient bon jusque là, mais sait-on jamais, l'une des chutes sera peut être plus chanceuse.

Je te laisse là, le roi donne une petite partie de lansquenet. Et oui, on se marre à Versailles ...
Embrasse le Poquelin et, je t'en supplie, laisse tomber ton satané théatre. Les petites orphelines dont j'ai la gestion en Nouvelle France ont besoin d'un peu d'attention et d'admonestation, les soldats s'en plaignent depuis peu - elles ne seraient pas assez câlines ! Pourrais-tu t'en occuper ?

Avec mes embrassades chaleureuses,
ton frére,
Vatistas de Rouqmouton