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Allez l'OM

<//> Royaume De Suède <//>


En cette année 1492 le royaume de Suède fait parti de l'Union de Kalmar, ainsi le Roi du Danemark est notre suzerain et maître.
Il va sans dire que cette situation ne va pas sans provoqué quelques grondements de plus en plus pesants au sein de la noblesse suédoise qui
a de plus en plus de mal à accepter la centralisation du pouvoir au Danemark d'autant plus que la moitie des impôts du royaume se retrouve
dans les coffres du roi du Danemark qui ne s'intéresse point des problèmes que rencontre la Suède, toute chose se décidant à
Copenhague et dans son intérêt unique.
La colère monte doucement mais surement, néanmoins bien conscient de la faiblesse du royaume de Suède il n'est pas question de rompre pour
l'instant l'Union.
Les maigres recettes de l'état seront ainsi investis dans une réforme économique couteuse mais nécessaire à la création d'un état fort capable de se
dresser face à son suzerain danois, plus riche de la région contrôlant la grande partie des détroits de la Baltique et son riche commerce et disposant
d'une nombreuse marine et d'une armée bien équipée.


En ce qui concerne la diplomatie, que les Rois d'Europe s'adresse au roi du Danemark, notre suzerain et décideur de la diplomatie de l'Union de Kalmar.


Eriksson Sushisberg, Duc de Berglasgen.

Déclaration de Maximilien Ier, Archiduc d'Autriche et Empereur du Saint Empire Romain


Par la présente missive que nous adressons à toutes les cours d'Europe, nous annonçons notre double volonté :

D'un côté, conscient de notre responsabilité à l'est; nous déploierons tout les moyens nécessaires pour empêcher les turcs mahométans de progresser d'avantage sur des terres chrétiennes.
Nous faisons donc la proposition suivante à tout les monarques chrétiens : la Paix des Croisés. Par cet accord voulu par le Pape lui même, et dont nous sommes tous les serviteurs dans les affaires religieuses, chaque nation en guerre contre les mahométans se verra garantir par les autres nations durant tout le temps que durera le conflit. Ainsi il ne sera à craindre aucune attaque par traitrise que quelques ducs ou rois félons pourraient vouloir commettre, trahissant la volonté divine. Mais hélas des mauvais serviteurs de Dieu peuvent se trouver partout.


De l'autre, conscient de l'équilibre nécessaire en Europe, nous annonçons que nous ne procéderons à aucune annexion de territoire tant que rien ne nous en donne le droit. Nous espérons que les autres grands royaumes d'Europe feront de même : la France, l'Espagne et l'Angleterre.
Comme convenu avec notre ami anglais, nous garantissons ses possessions de Calais.
Concernant le Saint Empire, il est bien évident que nous sommes le seul garant de son intégrité et que nous nous dresserons contre toute puissance voulant contester l'organisation territoriale actuelle de ce précieux héritage.

Réaction de la cour française suite à la déclaration impériale :

C'est d'abord avec bienveillance et un réel soutien que nous découvrions les résolutions autrichiennes concernant la menace contre la chrétienté ou encore de se proclamer défenseur de tous les royaumes, duchés indépendants de ce monde et qui pourraient ne pas avoir les moyens de défendre leur liberté.

Mais quelle ne fut pas notre surprise lorsque nous découvrimes que loin de ces premières résolutions qui le faisaient presque passer pour un sage et juste souverain, l'archiduc décida de se mêler de la garde de terres qui relèvent de la couronne de France. Ceci étant en totale contradiction avec l'idée de défendre les causes justes, nous considérons donc que les paroles autrichiennes ne sont que belles paroles comme le Serpent en a tenu jadis à Eve.

Le roi de France ne saurait tolérer qu'un prince étranger se mêle du sort de terres qui relèvent de sa couronne.

Réponse au Roi de France

Nous sommes heureux d'être tombé d'accord avec vous concernant l'accord sur la paix des Croisés.

Concernant Calais, nous ne sommes pas ignorant des prétentions françaises comme nous savons que le Roi d'Angleterre tient ces terres pour lui appartenant de droit.
Il semble que vous ayez mal interprété notre garanti qui a pour but non pas d'apparaitre à la France comme un rival, mais plutôt comme un sage intermédiaire qui mettra sa puissance dans la balance afin que jamais cette pointe de discorde ne dégénère en guerre ouverte et ruineuse.
Seule la négociation permettra ainsi de régler le problème. Et par négociation, nous voulons dire juste négociation, où le poids des armées respectives n'aura pas d'influence.
Nous sommes persuadé que nous pouvons compter sur nos amis espagnols pour agréer sur ce point.