Merci, je vais en avoir besoin, mais la situation reste sous contrôle :o:
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Juillet / Août 1942. Sie Kommen !
Le front de l’Est L’OKW lance le plan Bleu : Manstein doit dépasser le Dniepr (offensive chit joué). L’assaut commence cependant fort mal : les Stukas ne trouvent aucune de leurs cibles (mais où est donc le gros Göring ?) et l’assaut contre Dnepropetrovsk échoue complètement. Plus au sud de la ville, ainsi qu’au nord, le succès est cependant au rendez-vous : Timoshenko est anéanti, deux corps Soviétiques sont isolés. Le GAC, faute de soutien aérien, se contente d’avancer sans combattre. Le GAN, lui, s’empare de Riga. Le camarade Staline riposte avec un nouveau raid spectaculaire sur Ploesti : les 2/3 de la production sont en flammes :loose:. L’Armée Rouge, elle, se retranche derrière la Dvina et le Dniepr. Le GAS lance alors une opération de nettoyage de la riche occidentale du Dniepr, toujours partiellement occupée par les Soviétiques et c’est le GAN qui bénéficie du soutien massif de la Luftwaffe pour franchir la Dvina : l’aviation Soviétique intervient, mais est massacrée. Les panzers percent et exploitent, ils atteignent le fleuve suivant, le Velikaya, devant Pskov. Privé de ses blindés, le GAC atteint néanmoins les faubourgs de Vitebsk et subit de plein fouet une contre-offensive Soviétique de grande envergure : le général Koniev lance ses blindés et repousse l’infanterie allemande. La 7° unité de la Garde nait de cet engagement victorieux. Plus au nord, Yeremenko évacue l’Estonie, à l’exception d’une petite garnison laissée à Talin. La pluie s’abat alors sur l’ensemble du front au nord de Kiev (double 10 au temps, 1/100 que cela arrive, pffff :enerve:) et va ralentir les opérations. Seul le GAS, mené par Rommel, va poursuivre l’offensive… Et subir une lourde défaite au nord de Dnepropetrovsk. L’obstacle du Dniepr est décidemment plus que sérieux : le franchir était le deuxième grand objectif de Barberousse et ce dernier n’est toujours pas atteint. Les usines Soviétiques sont évacué sans crainte aucune vers la Sibérie et la flotte Russe se paye le luxe d’une sortie en Baltique, sans trouver cependant les convois allemands qui transportent le précieux fer de Suède. Le retour du beau temps permet au GAN de s’emparer de Talin, achevant ainsi la conquête des Etats Baltes, alors que le GAC perce au sud de Vitebsk. Mais sur le front principal, le Groupe d’Armée Sud, rencontre encore et toujours les mêmes problèmes : si le Dniepr est franchi au niveau de Kiev et au sud de Dnepropetrovk, les Soviétiques tiennent toujours le reste de la rive… http://img193.imageshack.us/img193/5672/ursss0842.jpg Bien que plus faiblement doté, le GAC a quasi atteint ses objectifs. Pour le GAN, l’isolement de Léningrad semble encore fort loin… http://img171.imageshack.us/img171/9085/urssn0842.jpg |
Le front de l’ouest
L’Italie frappe la première, coulant 250.000 tonnes de navires alliés et le Bonaventure au Cap Saint-Vincent : l’armada Anglo-Saxonne quitte alors ses bases, mais, surprise, que fait-elle donc ? Elle ne vogue pas vers le Maroc, mais s’arrête au large des côtes occidentales de France ! A Berlin et à Rome tous les voyants passent aussitôt au rouge : Sie Kommen ! Des troupes prennent le train et sont expédiées hâtivement en France et dans le nord de l’Espagne, l’OKW ne sait où les Alliés vont débarquer. Des bombardiers Italiens quittent même l’Egypte pour l’ouest : la forteresse Europe est menacée ! Sie Kommen ! Et ils arrivent effectivement : l’aviation alliée frappe partout en France, mais ans réel succès, puis les vagues d’assaut déferlent au milieu des vagues. Les Marines Américains prennent péniblement Saint-Nazaire, les Anglais d’Alexander ne laissent aucune chance à la garnison de Lorient ( « 20 » aux dés, le deuxième de la partie). Des blindés sont prêts à se ruer dès que les ports auront été libérés : Staline voulait un deuxième front, il l’a. La Wehrmacht fait affluer des renforts, notamment des blindés venus d’Espagne, le Maréchal Badoglio, commandant en chef des forces de l’Axe en France, colmate la brèche et assure que la situation est parfaitement sous contrôle. Cavallero le rejoint cependant, la défense de la forteresse Europe dépend grandement des généraux Italiens. Sage décision de l’OKW : cela gonfle en effet le moral des soldats Italiens et ceux-ci accueillent l’assaut des blindés américains à peine débarqués par un déluge de feu, de fer et d’acier. Les Yankees sont repoussés, Mussolini triomphe, qui ira encore se moquer de la valeur du fantassin Italien ? Les Anglais d’Alexander, eux, prennent cependant Brest d’assaut, la garnison allemande est écrasée sous le feu des gros cuirassés alliés. http://img515.imageshack.us/img515/8592/france0842.jpg En Egypte, une offensive Germano-Italienne permet enfin d’arriver à proximité du Canal, qui est désormais fermé pour les Alliés (il était temps…), mais la Wehrmacht subit un désastre devant Suez, perdant ses blindés dans la bataille : avec le nouveau front à l’ouest, il est peu probable que ces troupes soient remplacées. L’infanterie pourra t elle achever seule la conquête de l’Egypte ? Le ravitaillement anglais passe toujours, la Royal Navy a mobilisé deux grands porte-avions, deux cuirassés et plusieurs croiseurs dans l’océan Indien pour maintenir celui-ci… |
La guerre du Pacifique
La Marine Impériale coupe le ravitaillement américain de Rabaul puis bombarde l’île avec succès : les Marines s’élancent pour achever le travail ! Trois heures plus tard, faute de recevoir la moindre nouvelle, l’Amiral Japonais envoi quelques avions en mission de reconnaissance. Ils reviennent avec de sombres nouvelles : les corps d’invasion n’existent plus, la garnison tient toujours. Tokyo ne s’explique toujours pas ce qui a bien pu mal tourner, une arme nouvelle peut-être :loose:? Et comme pour narguer l’Empire du Soleil Levant, l’US Navy vient rétablir le ravitaillement de Rabaul et se joue avec habileté des Amiraux Japonais. En Birmanie, Lord Mountbatten sécurise partiellement la route de Birmanie : le pétrole Birman peut à nouveau être expédié vers la Chine, les Nationalistes respirent. Acculé, le Japon ne perd cependant pas son calme : Lae, en Papouasie, est renforcée et Yamamoto débarque en Chine avec des renforts : les partisans sont traqués et massacrés sans la moindre pitié. Cette sérénité finit par payer : la Marine Impériale surprend l’US Navy en mer du Corail ! L’aviation Américaine est complètement battue et les bombes pleuvent : le Wasp et l’Enterprise sont envoyés par le fond :clap:! Le Japon a eu sa bataille navale, deux porte-avions Américains en ont fait les frais. Le désastre de Rabaul est éclipsé par cette indiscutable victoire : la guerre du Pacifique ne fait que commencer, le Samouraï est patient :chicos:! Conclusions du tour L’URSS a perdu 55 BP, le Reich 36 (dont les 15 de l’offensive chit). Rien à redire, ce n’est pas Barbarossa 1941 et cela se voit : le Dniepr tient toujours. Les Alliés ont déjà débarqués en France, mais leurs moyens sont limités, notamment au niveau aérien. Reste que cela va détourner de l’Est tous mes renforts, ce qui est probablement l’objectif. Suez tient toujours, cette épine dans mon pied est réellement tenace, mais la victoire de la mer du Corail devrait me permettre de distraire quelques forces supplémentaires vers l’océan Indien. A suivre, le tour suivant est joué et il faut assez long et animé… |
Qu'est ce que c'est nul ! :o:
Heureusement qu'il y a le joueur allié pour relever le niveau de la partie |
courage petit danton... c'est pas gagné :non:
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Le joueur Allié me semble jouer intelligemment, plaçant des "bouchons" pour gagner du temps, et frappant peu mais toujours là où ça fait mal ... avec la montée en puissance de l'URSS et des USA dans le tours qui viennent, il va falloir s'accrocher !
Courage Généralissime ! |
Je sens venir la Bérézina... :siffle2:
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Qui en est surpris ici ? Pas moi puisque c'est Danton qui joue l'axe :chicos:
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