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Chronique Frisienne. (1640-1650)
Une nouvelle croisade ! L’envie de repartir combattre l’incroyable hydre chinoise continuer depuis la signature de la paix à obséder les cadres militaires du duché, le duc voyait dans l’affaire un moyen de réaffirmer sa puissance dans la région et renforcer l’amitié de la « rodina » russe auxquelles il tenait. Les premières années de la période furent marquées par une diplomatie en vu de former une coalition viable pour tenir tête au mastodonte oriental, les deux états trouvés furent la Russie et la Pologne. L’armement pu alors enfin commencer, la préparation militaire de l’invasion obligea le renforcement du corps déjà installer sur place c’est à dire 12 milles cavaliers, à deux corps d’armé constituer chacun de 4 milles fantassin et milles artilleurs ayant pour but de prendre les places du pays. La guerre fut lancer un avril 1646, avec les Polonais, en quelques mois l’armé manchou fut balayé les forces coalisées et la paix signé avec eux laissant les Mings seuls face à nous, mais au contraire de la dernière guerre l’ennemie c’était mobiliser en son cœur et faisait face à nos forces nous empêchant toute descente vers le sud, bien sur nous tenions le corps du pays tant économiquement avec Jiangsu que politiquement avec Pékin. Il est vrai que nous pourrions signer la paix mais Frise continuera sa lutte avec les chevaliers polonais jusqu'à l’écrasement de ce titan ! La fin de l’unification néerlandaise ! « Quel bonheur pour nous que cette déclaration de guerre de Utrecht et de son allier Raguse contre l’empire ottomans qu’elle bande de fou ! », Voilà la première remarque que notre duc fit lorsqu’il apprit les décisions de la petite république irréductible au milieu de son duché. Le duché avait enfin une chance de faire taire cette misérable république en son cœur et détruire cette ennemie à notre arriver au trône impérial qui nous est de plus en plus à notre porté avec la disparition de la Savoie et de l’Alsace détruit dans les dernières luttes du continent. Après une brève réunion avec quelques représentants du parlement il fut décidé d’envoyer un messager porté une demande aux sultans pour plaider notre cause contre cette pathétique république qui lui déclarait la guerre. Très rapidement en plan fut dressé avec ceci moyennant quelque finance, l’Ottoman enverrait une expédition pour faire taire ceci, après avoir débarqué discrètement dans nos ports des soldats venus des Balkans pour leur blancheur pour garantir le secret jusqu'à la surprise finale, la ville fut surprise par cette horde sortant de nul part, ceci avait investit la ville sans combattre prenant l’hôtel de ville sans cout férir, exécutant les notables indésirables à notre duc. De bien entendu une armée Frisienne fut dépêchée sur place pour « sauvé » notre voisine, après quelque jour les Turcs durent se rendre face à notre incroyable détermination à protéger la chrétienté de cette invasion repartant chez eux chargé de quelques biens en récompense de leur aide dans cette affaire. La cité dut se rendre à l’évidence qu’elle ne pouvait survivre sans nous dans les turpitudes de se monde et fut donc annexer selon ses « vœux » à notre duché, finissant l’unification néerlandaise. |
Chroniques de Venise 1640-1650
Le rat qui gangrene l'europe... La réconciliation Veneto-Autrichienne était ainsi scellée par le retour de Milan au sein de la république. La France gardait elle de l'amertume au sujet de la Savoie et de la manière dont Turin avait également rejoins la répulique. Mais au moins les choses était claire et la France ne cachait pas son désapointement et l'envie un jour d'en découdre. Mais le si riche royaume d'Espagne était l'exemple même de la duplicité. Que nous avions été sots de ne pas écouter les avertissements des grands princes d'europe. L'Espagne était la nation d'un égoisme absolu et toute confiance ne doit jamais lui etre accordé. Pourtant l'ambassadeur Espagnol se pressait au siège du Doge pour insister sur la satisfaction de l'Espagne devant la "comprehention" du nouveau doge devant la puissance formidable de l'armée Française. Madrid assurait qu'elle était fort satisfaite du nouveau pouvoir à Venize et de la nouvelle amitié latine qui unissait Venize à l'Espagne. Mais alors meme que l'Espagne assurait son amitié à Venise, l'Espagne negociait avec la France une offensive combinnée contre la paisible république venitienne avec comme objectif le Venezuela. Comment une nation noble et droite peut t'elle assurer son amitié à une autre nation sans cesse tout en levant des troupes et des navires, preparant ses plans, s'alliant avec la plus puissante force terrestre du monde pour enfin lancer son offensive dans le dos sans AUCUN ultimatum, sans AUCUNE revendications affichées, sans aucun contacts diplomatiques si ce n'est des déclarations amicales??? La réponse est simple, il faut avoir la fourberie du serpent... être sans honneur... ce que répresente à la perfection l'Espagne et son roi.... |
Message au Sultan Ottoman:
Votre tolérance et votre politique progressiste ont été remarqué de même que la réouverture de vos centre à notre commerce. Si nous pouvions trouver un accord sur une indépendance de notre principauté familliale de Morée, de grandes choses pourait voir le jour. Message à la France. Votre adversité semble paradoxalement plus loyale que certaines de nos amitiés à la sauce ibérique. Votre modération evners notre république malgré notre capitulation fut remarquée. Si un accord pouvait etre trouver avec l'Autriche à l'amiable, peut etre une voie de dialogue voir de coopération pourait s'ouvrir. Nous sommes par exemple ouvert à la discution concernant Chambéry et sa région. Message à la Frise: La Frise et l'Autriche aurait tout interet à trouver un accord amiable concernant vos frontières. Une reconaissance de la suzeraineté impériale pour vos terre d'empire, la mise à disposition d'un host partiel pour vos sujets allemands... de nombreuses possibilités exeiste pour sortir par le haut de cette rivalité larvé. Message à l'Autriche. Nous vous soutenons de tout coeur. Nous croyons à la possibilité d'un reglement amiable de vos rivalité avec la France et la Frise. esperons que l'ouverture et le dialogue feront des miracles. Message à la Pologne: Votre croisade contre les Ming avec la Russie est une grande oeuvre. Nous vous soutenons de tout notre coeur Message à la Russie Comme pour la Pologne nous vous soutenons dans votre oeuvre d'evangélisation chrétienne Message à la Suède ça se passe bien? :) Message au Portugal Vous avez bien du courage pour collaborer avec votre serpent de voisin. cela ne doit pas etre facile tout les jours de garder le silence devant les actes ignobles de Madrid. Nous sommes heureux de nos relations avec le Portugal et soutenons également votre oeuvre d'évangélisation en amérique du sud nottament Message à l'Angleterre. Nous avons perdu le contact avec vous recement. Sachez que nous partageons vos préocupations. Nous sommes certain qu'une collaboration est possible. Nos terres d'amériques pouraient etre vendues. Votre nation est glorieuse et courageuse pour assurer ainsi au monde extra-européen une alternative à l'impérialisme espagnol. Message à l'Espagne. Vous etes la nation la plus riche du monde. La prochaine fois, trouvez le courage de venir seule et d'afficher vos revendications au lieu de n'agir que par traitrise et d'embaucher pour votre sale besogne la plus puissante armée du monde.. Votre imoralité fait que désormais la république de Venize apportera son soutien inconditionelle à tout adversaire de l'Espagne. Nous nous considérons en état de guerre permanente contre l'Espagne. Certe nous sommes bien moins armée et bien moins riche que la puissante espagne. Mais l'honneur et dieu (et le pape) sont avec nous. Vous finirez en enfer.... en attendant nos soldats viendront un jour à Madrid.... |
Chroniques Autrichiennes 1640 - 1650
Réforme de l’armée. En vertu d’engagements internationaux, l’Autriche entreprit un programme d’envergure, visant à refondre complètement la constitution de son armée. Les grands régiments de cavalerie, naguère largement majoritaires, furent démantelés. Sur 126 régiments n’en subsistent que 38. Une doctrine militaire laissant plus grande importance à la puissance de feu fut adoptée. Attaque surprise Cette nouvelle armée devra immédiatement faire ses preuves. L’Autriche et sa nouvelle amie, la république de Venise, reçurent une déclaration de guerre conjointe de la France et l’Espagne, soit l'alliance du puissant et du riche. Quel panache... :?: Sans soutien naval digne de ce nom, le doge préféra d’emblée capituler. Sa flotte en pleine reconstruction n’étant pas de taille à lutter contre de tels adversaires. L’Autriche quant à elle, lutte seule contre la France et ses ressources humaines illimitées(MP=150 000). :choc: L’empereur ne se fait pas d’illusions : il suffit à la France de nous pilonner sans cesse, quitte à perdre les ¾ des batailles initiales. Au bout d’un certain temps, le réservoir humain Autrichien(65 000 :loose: ) faiblira et les pertes ne seront plus compensées. A parti de ce moment, la messe sera dite. Pour l’heure, l’Autriche résiste fièrement, en luttant à l’économie (humaine). Mais pour combien de temps… ? Messages diplomatiques France : notre offre ne semble pas vous agréer. Nous le regrettons vivement. Espagne : finalement, c’est très bien comme ça. Venise : en plus de nos aspirations communes, nous voilà désormais unis dans l’infortune. Longue vie à notre collaboration ! Angleterre : le monde civilisé attend avec impatience le grand retour aux affaires de Lord Choupingham. Vive le peuple libre d’Angleterre ! Portugal : malgré votre alliance avec la perfide Espagne, nous vous conservons en grande estime. |
Chronique de Pologne : La guerre sainte contre l'empire Ming !
En ce début de XVIIeme siècle la Pologne parviens enfin a augmenter sensiblement ses revenus, passant des 50 ducats mensuels du XVIe siècle a prés de 90 ducats, montés a 120 graçe aux efforts de guerre et a l'impot spécial appliqué auprés de nos sujets. La compagnie des indes orientales, aprés avoir completer l'établissement Polonais sur l'île de Jakarta se lance a présent dans le commerce de fourrure du grand nord de l'Amérique. Certains marchands Polonais chuchotent même entre deux réunions que la nouvelle richesse anglaise viendrait en partie de toute les nouvelles richesse amenée par la Pologne dans le centre commercial du Niagara, profitant avant tout au souverain d'Angleterre. Mais hélais notre préstige était au plus bas, nos revandications sur la Saxe tombant les une aprés les autres, les armées Polonaise manquait aussi cruellement d'experience de la guerre moderne. Il fut donc décidé, alors que la Pologne héritais du titre de contrôleur pontifical de partir en croisade contre l'empire millénaire des Ming. Contrôlant les steppes d'asie centrale, de la mer Caspienne a la mer Jaune, s'étendant jusqu'a a l'indus, ce monstre asiatique est un adversaire a la mesure des fiers cavaliers Polonais. C'est donc soutenus par nos amis et alliés du Grand duché de Frise que la guerre fut déclarée. Frise s'occupant en prioritée des territoires cotier, les soldats polonais eux devront dans un premier temps couper l'empire Ming en deux, afin d'isoler la partie Est de la partie Ouest, puis de faire la jonction avec les forces Frisonnes pour repousser dans un ultime éffort les troupes chinoise plus loin au sud. Ce plan fut un succés certains, malgrés quelques revers et des troupes chinoise toujours corriace malgrés l'écart technologique, il continue encore a ce jour pour voir l'écrasement progressif du Ming qui ne cesse de perdre du terrain. Ici, sur cette carte prise par un scribe royal, les gains de la Pologne contre l'empire Ming sont clairement visible. Plus a l'est notre alliés Frisons occupe tant bien que mal les provinces cotières, subissant régulièrement l'assaut de milliers de soldats Ming. http://img409.imageshack.us/img409/1720/aar2kn0.jpg Missive diplomatique a l'adresse des souverains d'europe : A la Russie, notre amis et notre alliés de toujours nous vous remercions encore une fois de faire parvenir a nos soldats l'aide et la logistique nécessaire jusqu'en en Chine. A la Frise, nous sommes toujours aussi ravis de collaborer avec vous contre le démon Ming, de même le Roi est heureux de voir qu'aprés tant de siècle a se regarder en chiens de faïence, le duc a enfin compris qui était le véritable énemis.. A l'Autriche, votre guerre contre la France est injustifiée et injustifiable, nous esperons que vous subirez une défaite rapide et sans concession qui ne sera que le prélude au démembrement de l'empire Habsbourg. Au Sultan de la sublime porte, que dire si ce n'est que nos positions actuelle nous conviennent parfaitement, il est clair que nos pays n'ont pas vocation a être énemis, seul l'influence néfaste de puissance exterieur a jusqu'a présent nuit a nos relations. Tout comme la Russie je vous invite a rejoindre le pragmatisme orientale et a vous méfier des puissances occidentales. A la France, nous esperons que la brillante démonstrations de vos force militaire méritera ce titre et que les soldats Français pourront venir se détendre dans les hotels de Cracovie aprés un long et harassant chemins jusqu'a Vienne. A l'Angleterre, puissiez vous prosperer et faire enfin face a vos vieux démons interieur qui vous tourmente depuis bien trop longtemps. Aux puissance ibérique, a la Suède et a Venise, nos relations sont moins étroites, mais la Pologne tiens tout de même a envoyez ses plus sincères voeux de réussite dans vos entreprises. |
Déclaration du roi de France :
Aux princes concernés et pour rafraichir la mémoire aux autres (au cas où cela serait nécessaire) Jusqu'à preuve du contraire, la France n'est pas une fille de joie que l'on peut se payer contre quelques bonnes pièces bien sonnantes. L'histoire n'a aucune trace d'un quelconque "allié" du royaume qui nous versa de l'or en échange de notre aide, que ce soit les Venitiens, les Frisons, les Anglais, les Polonais et, aujourd'hui les Espagnols. La France a toujours agit motivé par ses intérêts propres qui pouvaient alors entrer en commun avec ses "alliés". JAMAIS un seul prince étranger de ce monde ne dicta une marche à suivre à la France. JAMAIS la France ne s'embarqua dans un projet qu'elle n'avait pas voulu, organisé seule ou collégialement. De fait, le roi de France est profondément surpris, pour ne pas dire outré, de lire certaines déclarations qui font de lui un client de l'Espagne. Que ces propos soient directs ou indirectes cela n'y change rien. Il ne faudrait pas négliger l'intelligence diplomatique française. Si le fond de ces déclarations visait à jetter le discrédit sur l'Espagne, leurs formulations génèrent une opprobe pour l'honneur français. Mais en plus, ils sont une attaque indirecte à la puissance mondiale de la France à partir du moment où l'on peut imaginer une seule seconde notre puissant royaume au service d'un autre. Il paraît donc évident que, qui que vous soyez, ancien allié ou non, nous ne nous laisserons pas insultés et traités de la sorte. Le roi de France demande avec insistance, pour rester encore courtois, des explications sur ces déclarations et un éclaircissement officiel s'il s'agit d'une maladresse d'ambassade. Comprenez bien que ceci est l'ultime acte diplomatique et courtois que nous pouvons encore faire lorsqu'on nous insulte. Dans le cas de non réaction diplomatique des ambassades concernées ou s'il ne s'agissait pas de propos maladroits, c'est sous une autre forme diplomatique que nous ferions sentir tout le poids de notre mécontentement. Nos armées en Autriche pourraient très bien aller voir ailleurs. |
Déclaration sur la genèse des Pays Bas. Aujourd’hui après des décennies sinon des siècles d’intégration au sein du duché mère de Frise, les représentants de toutes les provinces métropolitaines se sont réunit pour déclarer leur union à la face du monde, qu’ils ne font qu’un autour de leur souverain ! Le nouveau royaume car il ne s’agit plus d’un duché dont la légitimité vient d’un don du suzerain impérial, mais d’une légitimité amplement plus importante, c’est à dire une légitimité venant du peuple reconnaissant en lui l’envoyé de notre bien aimé seigneur. Les nations constituantes de notre état reconnaissent la primauté du duc sur ses terres et lui offrent la couronne royale, et se place derrière lui et lui déclarent allégeance. Le Royaume des Pays Bas s’institue comme une terre de tolérance et ne luttera pas dans les querelles qui secouent notre église chrétienne, la liberté appartient à chacun de suivre sa voie, tant qu'elle ne remet pas en cause la foi officiel du royaume. En matière internationale, le royaume des Pays Bas reprend les politiques amorcés précédemment, nous réaffirmons notre amitié au roi de France et d’Angleterre mais aussi à la nation vénitienne et à la grande nation russe. Nous déclarons de plus notre union au royaume de Pologne auxquelles nous sommes liées par le sang tout atteint à son intégrité territoriale serait considérée comme une atteinte à notre royaume ! Nous ne laisserons pas des cousins être frappé lâchement, comme semble se préparait un certain royaume… En ce qui concerne les royaumes d’Ibérie notre royaume restera neutre, nos inimités sont trop lointaines pour continuer à être fondé et espérons pouvoir engager des relations amicales pour le bien de nos peuples. Le Royaume des Pays Bas déclare ne pas abandonner ses prétentions précédentes en Germanie ! Nous demandons à l’empereur de nous rétrocéder les terres prise lors de la dernière guerre ceci est la base de toute base de dialogue ! Sans cela le peuple des Germains du Nord sera pousser à des extrémités que nous voudrions éviter ! Que dieu bénisse les Pays Bas ! |
1650 – 1663. L’Angleterre, dernier îlot de réel au milieu du néant
Malgré tous les efforts du conseil de Sa Majesté, la Glorieuse Angleterre voyait le gouffre technologique qui la séparait des autres pays occidentaux se creuser toujours plus. La faute à nos principes de justice, d’égalité et de fair-play. Alors que les gros goinfres impérialistes et amoraux se gavaient de mines d’or facilement arrachées à des païens retardés, sans le moindre panache, honneur ou gloire, Londres poursuivait sa politique d’équilibre, plus juste, plus morale et conforme au droit international, quand bien même nous étions le dernier à respecter celui-ci. Naturellement, cela rendait inévitable notre retrait des affaires européennes, mais quelle importance ? Pourquoi aller se salir avec ces crabes amoraux ? Au milieu des brumes et des tempêtes, l’Angleterre vivait hors du temps et hors de l’espace, et cela est très bien ainsi, rien ne nous semble assez digne d’intérêt pour sortir de notre retraite paisible. De temps en temps, le conseil de Sa Majesté daignait passer le bout du nez par la fenêtre pour contempler, désabusé, le panier de crabe qui s’agitait vainement en Europe : toujours les mêmes histoires, toujours les mêmes rapports de force. Rien ne changeait et beaucoup, à Londres, en venaient à penser que ce n’était pas l’Angleterre mais le reste de l’Europe qui vivait hors du temps et de l’espace. En vérité je vous le dis, ce sont ces penseurs qui ont raison. Notre valeureuse nation est la seule à évoluer et à garder sa liberté, alors que les autres s’enfoncent de plus en plus dans le néant. Bientôt, nous serons la seule nation au monde et, de cette façon, nous le dominerons :roi: . Que les brumes de l’histoire engloutissent ces faquins et que vienne notre triomphe galactique ! Aux pseudo-royaumes qui seraient nos voisins : France. Nous attendons toujours le retour à Londres de l’ambassadeur nommé Lemarseillais, aussi inexistant soit-il : son fantôme nous amuse :mrgreen: . Autriche. Vous serez le dernier à disparaître, nous n’en doutons pas. Vive l’Empereur :clap: ! Russie. Puissiez-vous réussir dans vos chimères, qui mériteraient presque d’être réels. Frise. On nous annonce que vous formez désormais le Royaume des Pays-Bas : serait-ce là un changement réel ou juste une illusion apportée par de doux rêveurs ? Portugal. Nous louons votre immobilisme habile : vous au moins, vous avez compris que pour amener du changement, il ne faut surtout rien modifier. Votre puissance vous permet désormais de vous passer de la tutelle Espagnole : le Portugal évolue ! Ne changez donc surtout rien, ainsi l’évolution viendra tout naturellement. Espagne. Nous avons décidé de vous pardonner et d’ouvrir une nouvelle page dans l’histoire de nos non-relations. Votre pays n’étant que chimère, nous sommes disposés à revoir nos positions vis-à-vis de celles-ci, puisque cela ne nous engage plus en rien dans le domaine du réel. Venise. La réception grossière que notre ambassadeur dépêché auprès de vous a reçue nous a rappelé pourquoi nous avions rompus nos relations à la mort du dernier Doge réellement vivant, Pedrolane le Gueux. : votre pays a cessé d’exister à partir de ce moment et ce qui subsiste encore, ce sont ces âmes damnées, et grossières, qui sont perdues dans l’entre-monde et ne parviennent pas à trouver le repos éternel. Patience, le néant viendra bientôt vous libérer de tous ces tourments affreux. |
Ultimatum Néerlando-Polonais sur l'Autriche.
Très cher roi d’Autriche, aujourd’hui en ce saint jour, le royaume des Pays Bas et de Pologne vous réclame la cession de Lubeck à ce dernier. Ce territoire étant poméranien, ce peuple étant en majeur partie au sein de son royaume, ces terres devrait lui revenir, le droit est avec nous! Si vous n’obtempéré pas, nos demandes seront revues à la hausse, et porteront en plus sur les provinces perdus par votre perfidie lors de la dernière guerre ! Nous demandons aux autres nations de rester neutres dans cette affaire, celle ci ne concerne que nous et l’Autriche qui depuis des siècles nous menace, elle ne connait que le rapport de force et nous allons lui en donnez! Nous espérons que l'Autriche fera le bon choix! Le roi des Pays Bas et de Pologne. |
Chroniques Autrichiennes 1650 – 1663
Compromis avec la France Les armées Françaises tenaient le Palatinat et la Suisse occidentale. Mais n’avançaient plus. Toute attaque était repoussée. Cependant, cette guerre malmenait la jeunesse Autrichienne qui hélas n’était pas infinie. A l’opposé, la France pouvait compter sur un réservoir humain largement supérieur. Aussi l’empereur dépêcha une ambassade à Paris et un compromis fut trouvé. Conscient qu’à la longue cette guerre aurait été perdue, l’Empereur proposa au roi de France d’épargner à nos deux pays un sacrifice inutile. Le roi de France sut se montrer magnanime, et une paix honorable fut trouvé. L’Autriche cédant à titre provisoire (une durée équivalente aux règnes de l’empereur Ferdinand et de son fils Karl) la jouissance de centre de commerce de Lübeck. A compter de ce jour, et ce jusqu’à la mort de Karl, 4e du nom, seule la France est en droit de disposer d’un monopole dans ce COT. Sur simple demande de la France, n’importe quel pays trop offensif dans ce centre peut se trouver soumis à un embargo commercial. Grave crise économique A la mort de Ferdinand, Karl hérita d’un royaume, aux finances saines en apparence. En apparence seulement, car peu de temps après la prise de fonction de Karl des évènements gravissimes se produisirent. Quelques fonctionnaires vinrent subistement se plaindre de n’avoir reçus leurs appointements. Puis il en virent d’autres. Puis ce fut le tour des militaires… Tout ceci était étrange. Les livres de compte n’indiquaient pas une quelconque pénurie d’argent. Pourtant il fallut se rendre à la raison. Des parchemins manquaient… L’Autriche avait, à la grande surprise de l’Empereur, dépensé beaucoup plus d’argent que ce qu’elle ne disposait. Pourtant, rien ne permettait de le soupçonner. L’Empereur demanda des comptes au grand trésorier national, un certain Ludwig ENRON. Ce dernier avoua, qu’il avait falsifié les comptes. Il fut limogé et emprisonné pour haute trahison. Les conséquences furent dramatiques(-1000 ducats). Chaque mois, il fallait emprunter(5 emprunts). La monnait fut dévalué (inflation + 5), le pays grondait (stab-3) car le pain coûtait une fortune. L’empereur fit appel à l’aide internationale, et remercia chaleureusement tous le pays qui ont aidé l’Autriche dans ces instants très délicats. (Russie, Venise, Portugal et d’autres). |
Réponse Autrichienne à l'ultimatum Néerlando-Polonais
Alors que l'Autriche traverse une grave crise économique et intérieure, des espions hollandais n'ont pas hésité à saboter notre stabilité, que nous avons grand mal à remonter. Le roi de Pologne a ironîsé, en qualifiant l'Empereur de "Pleutre" puisqu'il ne relevait pas l'outrage. Eh bien, puisque l'Empereur est un "pleutre" et que le roi de Pologne est si "courageux", qu'il n'hésite surtout pas à nous faire valoir ses "légitimes" prétentions sur Lûbeck, en tête à tête. |
Reponse de Pays Bas.
Citation:
Nous ne voyons pas de quoi vous voulez parlez, cessez vos calomnies! :o: |
1663 – 1669. L’Europe à feu et à sang
En 1664, le Conseil de Sa Majesté fut brutalement réveillé par les bruits violents qui retentissaient à l’extérieur : des brigands ? Des violeurs ? Impossible, nous n’avions aucun bien qui pouvait les intéresser et nos femmes et filles étaient bien à l’abris, protégées par les brumes que nous seuls pouvions traverser. Il se passait donc quelque chose au milieu de ce néant qu’on appèle Europe :o: . Un volontaire désigné d’office fut envoyé ( celui qui, ne s’étant pas réveillé à temps, n’avait pas eu le temps de faire un pas en arrière lorsque Sa Majesté demanda un volontaire :chicos: ) et il passa discrètement son nez par la fenêtre : 1664 déjà, comme le temps passait donc vite à l’extérieur ! Fort heureusement, l’Angleterre, elle, vivait en dehors du temps. Un sourire vient aux lèvres du volontaire : c’était ce bon vieux Von Choupinem qui faisait des siennes :p: . La Pologne et les Pays-Bas ( « Tiens, ce royaume n’existait pas la dernière fois que j’ai regardé par la fenêtre » constata le volontaire :goutte: ) attaquaient l’Empereur, lui-même soutenu par le Doge sac à vent et, plus étonnant, par notre confrère de Suède. Qu’arrivait-il donc à notre collègue estimé :?: ? Avait-il perdu la raison pour se plonger ainsi volontairement dans le néant ? Le volontaire ferma rapidement la fenêtre et s’en alla retrouver Sa Majesté et Son Conseil : « Rien d’important, c’est Von Choupinem et ses voisins qui se tapent dessus parce que… Eh bien, je ne sais pas, mais c’est sans importance pour nous, n’est-il pas ? ». Le conseil se rendormit aussitôt, on attendait l’heure du thé. Messages diplomatiques A l’Empereur. Toutes nos félicitations pour votre victoire mais la prochaine fois, de grâce, faites un peu moins de bruit : nous avons le sommeil si léger :o: ! Aux Pays-Bas et à la Pologne. Toutes nos félicitations pour votre combat intrépide. A défaut de victoire, vous avez donné une leçon d’Honneur à certains :tongue: . Nous vous invitons à régler pacifiquement vos différents avec l’Empereur, qui est un homme juste et bon. A la Russie. Nous applaudissons votre succès diplomatique, qui n’est pas passé inaperçu à Londres, preuve que certes nous dormons, mais d’un œil seulement. A la France. Mon pauvre ami, quelle horrible tragédie vous a donc frappé :ouin: ! Nous compatissons et vous assurons que si vous veniez à déchoir complètement, nous vous donnerons toujours une soupe riche par jour afin de subsister. A Venise. Vous faites honneur à vos ancêtres, grands constructeurs de moulins à vents. Continuez donc à brasser du vent, puisqu’il s’agit là d’une tradition familiale. A la Suède. Prenez garde quand même ! N’oubliez pas que l’action mène au néant et que seul l’immobilisme permet d’évoluer. Reprenez-vous et venez roupiller avec nous. Au Portugal. Le temps qui ne passe pas efface tout dit-on. A Londres, l’on a finit par oublier vos crimes passés. De toute façon, votre Empire, comme tous les autres, n’est que néant et poussière : poussière tu étais, poussière tu redeviendras :mrgreen: . A l’Espagne. Vous voilà soudainement bien silencieux, auriez-vous enfin à votre tour découvert les subtils délices de la sieste, du repos et de l’inactivité ? Venez donc nous rejoindre et nous pourrions deviser aimablement des vertus de l’inaction. |
Chronique des Pays Bas :1663-1669 La victoire qui nous échappe.
Depuis les 2 derniers siècles, notre peuple n’avait jamais été aussi préparé à la guerre, les réserves avaient été augmentées de 50 pourcent, et le moral augmenter, par une propagande savamment dosée et par les victoires en extrême orient. Le militarisme avait forgé une nouvelle nation, à partir du duché de Frise, le royaume des Pays Bas, toute les provinces du royaume n’avait qu’un seul but, la gloire sur-le-champ de bataille, l’honneur est ce qui importe ! Tous les regards étaient porté à l’Est vers l’Autriche, celle-ci nous avait traité trop longtemps comme des faibles, il fallait leur faire payer ! C’est ainsi qu’en 1664, après leur avoir laissé un an pour s’aider à nos exigences nous partîmes avec notre cousin le roi de Pologne à l’attaque de l’Autriche, celui ci avait attiré le Doge a son aide, le rapport de forces nous était défavorable nous le savions mais qu’importe, nous nous avons un honneur et ne jetons pas l’éponge comme des lâches… La première phase de la guerre commença bien mais un fauteur de trouble rentra dans le conflit pour protéger l’empereur de la perte de Lubeck, la Suède. La moitié de notre cavalerie fut donc dépêcher sur place et tenta de protéger en vain les troupes de siège polonais, perdant la moitié du corps de batailles dans cette simple bataille, avant d’apprendre que les Suédois ne ferrait rien qu’empêcher un siège de la province, ne pouvait-il pas le dire avant que nous envoyâmes nos troupes ? Nous laissâmes donc la province et nous préparèrent à défendre nos sièges des forces vénitiennes face à nous. Pendant ce temps dans les colonies, nos minuscules forces étaient détruites par la vague vénitienne 10 fois plus nombreuses. Sur le front principal, la province de Hesse était devenue le centre des combats sur le front Ouest, l’armée du Doge nous bombardait de ses assauts soutenus quelque fois par l’empereur en personne, c’est ainsi que celui-ci tomba dans une ce ses batailles, en l’année 1665. Notre général Jongstra, le meilleur officier tous camps confondu, l’étoile de nos innombrables généraux était arriver à temps pour soutenir nos 12 milles fantassins et 5000 artilleurs assiégeant, avec ses 20 milles cavaliers, face à lui 40 milles fantassins et la fine fleur de l’armé autrichienne, la garde impérial, 4000 cavaliers commandaient par Karl I. Les combats furent terribles, en 10 jours l’armé du Doge se débanda face à Jongstra manœuvrant admirablement face à l’empereur, celui-ci fut surpris en pleine charge sur le centre de l’armé néerlandaise par la fuite des Italiens. Jongstra qui chargeait sur les flancs ne poursuivit pas ceci ; il fallait couper la retraite à l’empereur et l’arrêter ! Malheureusement celui-ci s’écroula, frapper par un boulet de canon en pleine poitrine, il fut ramener au camp, mais il mourra de ses blessures, un grand empereur était mort, mais la guerre continuait…. Les combats continuèrent ainsi nos cavaliers repoussant les charges du Doge sur Hesse avec ses 50 milles fantassins, les envoyant vers une mort certaine, à l’Est la Pologne faiblissait et la Saxe commençait à être reprise, nous tentâmes alors de l’aidait envoyant notre cavalerie pour repousser les troupes impériales, ceci fut l’erreur de trop, le Doge en profita pour relancer l’offensive sur Hesse, notre cavalerie arriva trop tard et la retraite devint la seul possibilité, nos troupes furent massacrer, poursuivit par une cavalerie italienne qui n’avait souffert aucune bataille, juste quelque millier de cavalier arrivèrent à partir et à rejoindre la Pologne pour se refaire, l’infanterie quant à elle s’installa en Flandres pour attendre. La dernière phase de la guerre fut une guérilla sur notre territoire et des charges sur les troupes disperser de par notre cavalerie commandait par Jongstra écrasant plusieurs 15 milles autrichiens avant la paix. Notre coalition avait perdu certes mais dans l’honneur, le roi de Pologne fut obliger de céder l’Altmark à l’empereur. Première guerre et défaite de l’alliance Néerlando-Polonaise. Nos généraux n’étaient malgré tout pas abattu, aucun de nos cadres n’avait péris, et un très grands nombres de soldat était prêt à sortir des rangs. Missive diplomatique : A la Suède : Nous n’oublierons pas cet acte de traitrise, vous avez attiré une rancœur profonde sur vous… J’espère que vous savez à quoi vous vous exposer. A l’Empereur : Cette guerre a encore démontrait votre domination sur le Saint Empire Romain Germanique. Ne vous inquiété pas nous reviendrons. A notre cousin le roi de Pologne : Très cher, nos deux peuples sont unis dans la défaite, nous essayerons de vous envoyer toute l’aide nécessaire à votre reconstruction. A l’Angleterre : Avec quels dédains traitait vous les affaires continentales ! |
Chroniques Autrichiennes 1664-1669
L'empereur Karl ayant rejeté l'utimatum néerlando-polonais, ceux-ci passèrent à l'attaque rapidement. Le corridor de Dant....Lübeck était indéfendable, car il est pris en étau entre la Hollande et la Pologne. Si bien qu'Autrichiens et Vénitiens attendent patiemment les attaquants en basse saxe, en hesse et le long du Rhin. Ceux-ci ne tardent pas à montrer le bout de leur nez, et entament plusieurs sièges aux f'rontières directes (Hannovre, Anhalt, Meissen). Mais à notre grande surprise, le roi de Suède déclara la guerre aux assaillants, car il lui déplaisait que Lubeck ne passe en de si vilaines mains. Grâce lui soit rendue. Au coeur de l'Empire, à Vienne et en bohème, Autrichiens et Polonais se tiennent en respect. Aucun des deux camps n'ose prendre l'initiative, de peur de perdre ces précieux cavaliers dont l'usage est désormais restreint. Au nord ouest, les armées du Doge ne ménagent pas leurs efforts et harcèlent littéralement les hollandais. Quand cela est possible, un contigent autrichien se porte en renfort. Cela vaudra d'ailleurs la perte de l'empereur Karl, lui-même, emporté par un boulet hollandais. En Saxe, les premiers affrontements avec les troupes Polonaises sont effroyables. Les pertes sont grandes... Visblement, les généraux polonais, aguérris los de la campagne des Ming, n'ont rien à envier à leurs homologues hollandais. La guerre sera dure... L'empereur MAthias, frère de Karl IV, assène des discours de motivations aux troupes : il faut tenir! coûte que coûte !! De très nombreuses batailles firent rage, les pertes furent difficilement compensées, mais elles le furent. Les renforts vinrent et les sièges ennemis mis à mal. L'élite des cavaliers hollandais et Polonais eut finalement du mal à se démultiplier, et la tenacité du Doge et de l'Empereur finit par payer. A hannovre le siège fut levé, et l'armée hollandaise mise en déroute fut inlassablement poursuivie par les Vénitiens. Les Polonais ne pouvaient plus compter sur le soutien de leur allié, et ils durent à leur tour abandonner les sièges, et finalement reculer. Le front se disloquait : http://img80.imageshack.us/img80/9118/eu33jk5.jpg Véntiens et Autrichiens lancaient donc l'offensive et se permettaient des incursions en territoire ennemi. La victoire semblait subitement possible, car ni hollandais, ni Polonais ne semblaient en mesure de renverser la vapeur. L'Empereur fut sollicité par le Stadhouder de Hollande. Ce dernier, visiblement de son propre chef et sans consulter le roi de Pologne, lui demanda quelles étaient les demandes Autrichiennes pour la paix. L'empereur prit le temps de lui répondre... Mais pendant ce temps, la Pologne jouait son "va-tout" et lancait ses dernières forces à l'assaut de Vienne :enerve: . L'empereur apprenant la nouvelle, furieux, cessa immédiatement les pourparlers, et retourna sur le champ de bataille constater les dégats...et ils étaient graves. Vienne était assiégée et l'armée exsangue et démoralisée ne put la délivrer avant qu'elle ne tombe. Après une réorganisation de plusieurs mois, et l'arrivée de frais renforts Vénitiens, l'attauqe de libération de Vienne fut lancée, et fut couronnée de succès, mettant fin aux derniers espoirs de victoire des Néerlando-Polonais. CEs derniers acceptèrent la paix clémente de l'Empereur qui ne réclama que la province saxonne de Magdebourg (Altmark), et des indemnités de guerre à Venise et à la courageuse Suède. Missives diplomatiques : Hollande-Pologne : L'empereur sait reconnaître ceux qui se battent bravement et avec honneur. Assurément, vous faites partie de ces gens. Venise : cher allié, nous espérons très sincèrement pouvoir un jour vous être aussi précieux que vous nous le fûtes, en cette occasion. Suède : assurément votre intervention était une grande surprise. Elle n'en reste pas moins gage d'un grand courage. L'empereur est aujourd'hui votre débiteur. |
Une GPO épique avec un nombre de participant conséquent ! :clap:
On voit d'ailleurs toute la différence entre EU3 de l'époque et la dernière monture sur HTTT ! Voilà un autre monument des GPO qui ressurgit d'outre-tombe ! :chicos: |
Oui une bien belle GPO, ma première... nostalgie quand tu nous tiens... Vive la Frise au passage!!! ^^
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