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Une mise en garde ce serait plutôt :
- si tu touches à un de mes alliés je te dow - si tu touches à la Hongrie je te dow - si tu te mouches je te dow Là je dis que je veux pas m'en mêler et que le staut quo pour la Hongrie me va bien, c'est plutôt une mise-en-gardounette qu'autre chose :chicos: |
Une solution simple et rapide serait la destitution de l'empereur, la remise du titre a Frise aprés une nouvelle élection (avec préalablement une fin du lien de vassalité qui unis l'empereur avec ses derniers electeurs). La cession de la Bohème-Moravie a la Pologne, du corridor de Lübeck a Frise, et de relâcher bien évidemment les multiples états du saint empire qui sont toujours sous le joug de l'Autriche !
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Citation:
C'est vrai que c'est une solution rapide. Mais enfin nous promettons d'y réflêchir quand même.:chicos: |
Euh.......est ce que ça ferait trop si je demande par dessus l'Alsace, la libération de la Suisse et l'indépendance de la Savoie ? :jumpy:
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Position espagnole :
Nous sommes attentifs à l'affaire de Hongrie, sur laquelle nous annonçons notre neutralité. En revanche, les intentions hostiles de Frise vis à vis de l'Empereur concernant la Hesse ne peuvent pas nous laisser indifférent. Et nous annonçons notre alliance avec l'Empereur sur cette affaire. La Hongrie et les éventuelles tensions légitimes que le partage de ce territoire peuvent provoquer ne doivent pas être utilisés par certains pour des ambitions territoriales à des milliers de miles de là. La France semble raisonnable, mais nous suivrons attentivement ses réactions si un hypothétique conflit devait advenir pas la cause de la Hongrie. Comme elle le fera probablement vis à vis de Nous. Nous souhaitons également sortir de la logique de bloc qui a jusqu'ici "pourri" la diplomatie européenne dixit la France, néanmoins des interventions massives de certains sur l'Autriche ne feraient que reactiver ce funeste réflexe. |
La position Venitienne est claire:
L'autriche n'a jamais voulu la paix avec aucun de ces voisins, les seuls traités qu'elle a signée ont été baffoués, et jamais l'autriche n'a voulu faire la moindre concession dans la moindre "affaire", ainsi au lieu d'accepter d'en faire pour préserver la paix, elle a toujours été bellissicte alors maintenant : Soit l'autriche accepte, mais cela m'étonnerais, de négocier avec chacun et de discuter des problèmes en essayant réellement de trouver une issue diplomatique ET en acceptant de faire des concessions. Soit elle refuse, comme d'habitude, toute négociation préfèrant entrer en guerre plustot que préserver la paix. Dans le deuxième cas, Venise ne pourra que féliciter ceux qui agiront contre l'Autriche, elle les soutiendra financièrement et militairement s'il le faut. Que l'Autriche garde en tete que Venise a beaucoup changée depuis la dernière guerre . L'empereur ferait mieux de commencer à réfléchir un peu à sa politique internationale, car ses trahisons, lui vaudront des malheurs que meme sa "puissante" armée ne pourra jamais arreter. Venise rappèlle qu'elle est ouverte à la Paix et est prete à restée neutre si l'autriche stop son avancée dans les balkans, rends Milan à Venise et libère la Savoie. Venise sera alors prète à oublier sa rancoeur envers l'autriche. Cette rancoeur étant si intense, cela sera un effort considérable que de ne pas faire payer à l'Autriche ces trahisons. Cependant Venise est prete à accordée une dernière CHANCE à l'autriche (pour le bien de la gpo et l'arret des blocs) mais que l'empereur le sache, Venise n'agit pas par peur mais agit bien par volonté de préservée la paix. Maintenant que l'empereur choisisse, car en réalité c'est lui qui a créé ces conflits depuis le début. |
Déclaration française :
La France est attristée de constater que le sultan n'a pas réussi à persuader l'Autriche de maintenir le statut quoi sur la Hongrie. Cet échec diplomatique, ajouté à l'intervention jadis contre nos alliés, nous amène à nous interroger sur les véritables relations que nourrissent chrétiens germaniques et sujets du Sultan. Nous ne voudrions pas que le Sultan pense que ses actes, même les plus obscurs, échappent à celui qui sait regarder. |
Les chroniques Frisiennes : une politique européo centré. (1611-1620)
Le retour de notre bon souverain Willem Lodewijk II, qui avait été enfermé par un double maléfique dans une sombre forteresse des iles bordant le rivage du Oldenbourg, amena un changement de politique radical dans la politique de notre duché. Le duc voulait mettre un terme au politique colonial de ses prédécesseurs au vu de la politique menait lors de son emprisonnement qui avait amené la perte de deux provinces et l’envoyé à une mort certaine bon nombre de ses compatriotes dans des tentatives ubuesque de colonisation des terres cannibales d’Afrique. Notre cher Willem Lodewijk II, déclara donc au monde après l’écartèlement en place de grève du suppôt de Satan, le retour à une politique plus noble tourné vers les armes dans les plaines d’Europe, la chasse aux indigènes étant passé de mode. Première décision, la reprise des revendications oublié avec le traité de Düsseldorf, et le reprise des revendications sur le trône impérial, trop longtemps tenu par la famille Habsbourg. Pour tenir cette ligne politique, le duc fit appelle à Venise, son allié de toujours qui avait durant son absence connue un grand boom économique lui permettant l’envoie de quelque subside, et lui vendit pour la noblesse de sa république le centre de commerce Frisien d’Afrique de l’Est. Une grande préparation militaire fut donc entreprit pour entrer en guerre pour l’année 1620 comme prévu mages l’absence de son polonais devenu totalement fou, le duché consentit d’énorme effort et déploya prêt de 20 mille hommes, supplémentaire dans ses corps de cavalerie. Mais le duc mourut avant que son œuvre prenne forme, et aucun de ses enfants n’étaient prêt à lui succéder, un conseil de régence commandé par le cardinal Lodvick fut mit en place, celui continua la politique de son noble souverain. La guerre fut donc lancée en 1620, prêt de 60 mille cavaliers avait été réunit pour soutenir et protéger les 20 milles fantassins devant assiégés les forteresses de Lubeck, du Lunebourg, et de Nassau. http://img253.imageshack.us/img253/8291/guerre2yf4.png Le début de la guerre fut rondement mené la cavalerie s’avançant fortement en territoire ennemi frappant les corps d’infanterie ennemie, se réunissant toutes aux Wurtzbourg pour les écraser... http://img131.imageshack.us/img131/2712/guerremy5.png |
1611 – 1620. Le retour au pouvoir de Lord Danton
La situation du Royaume d’Angleterre, en cette année 1611, était des plus sombres :ouin: . En cause, l’esprit trop conciliant et trop pacifique de l’Angleterre, certainement, mais aussi de bien trop nombreuses années passées sous la férule du très incompétent Régent De IA. Appelé d’urgence sous d’autres cieux, Lord Danton, loué soit-il :chicos: , avait en effet du abandonner les rênes du pouvoir en 1590. Un Régent habile et rusé, Lord Bubu, le remplaça les premières années puis du à son tour jeter l’éponge, plaçant de fait la direction du puissant royaume Anglais sous la férule lamentable de Lord De IA. En 1611, lors de son retour triomphal au plus haut sommet du pouvoir, le très illustre Lord Danton, qui avait profité de son congé pour corriger un impudent Marseillais :p: , ne put que constater le désastre : tant pour les revenus que pour l’avance technologique, l’Angleterre était dernière des puissances occidentales et latines :ouin: . Ah non, la Frise était quand même derrière elle. Les mensongères paroles venues de France ( « L’Angleterre est quand même la cinquième puissance mondiale ») ne pouvaient dissimuler la triste vérité : certes, Londres devançait la Russie, la Pologne ou l’Empire Ottoman, mais enfin, le contraire aurait été plus qu’étonnant, ces nations n’ayant pas les performances des nations occidentales et Latines. Il fallait réagir, et vite. L’arrivée sur le trône de Charles I allait considérablement faciliter la tâche colossale qui nous attendait : compétent et habile, ce monarque allait propulser notre commerce, qui tripla en quelques années seulement. Le Portugal cru intelligent de nous mettre sous embargo, continuant ainsi la politique anti-Anglaise qu’il menait depuis plus de 150 ans : blocage systématique des côtes pour ralentir nos explorateurs, coloriage de cartes, envois de saboteurs et maintenant embargo :?: . L’Angleterre réagira comme elle l’a toujours fait jusqu’à présent, Lisbonne est prévenu… Madrid aussi si elle se met une fois de plus en travers de notre chemin vengeur, mais légitime :tongue: . Charles, en plus du commerce, relança un vaste plan d’évangélisation des païens d’Amérique du nord, avec plus ou moins de succès. Sa mort prématuré mit fin aux espoirs de Londres : son successeur, Henry VIII, n’avait pas la moitié de ses compétences :loose: . Notre technologie et nos revenus restent dérisoires comparés aux puissantes nations de France, d’Ibérie ou d’Italie, mais notre volonté reste inébranlable et qui oserait nous considérer comme une puissance de seçonde zone ferait là une erreur fatale… Déclarations diplomatiques A notre allié de Venise. Bien cher ami, votre puissance sans cesse grandissante a toute notre admiration et nous sommes heureux d’avoir pu vous aider à atteindre celle-ci : veillez cependant à ne pas vous faire trop d’ennemis et si vous avez trop de ducats, pensez donc à nous :p: . Au Duc de Frise, ami lui aussi. Vous savoir de retour est un émerveillement pour nous. Veillez de votre côté à vos possessions outre Europe, sait-on jamais. Au Roi de France, euh, cher à notre cœur :mrgreen: . Nous constatons que vous êtes aussi sous embargo Portugais, voilà qui devrait nous rapprocher… Au Roi d’Espagne. Cessez de danser sur deux pieds. Il est ridicule de venir vous plaindre dans les boudoirs des cours Européennes de « l’attitude Anglaise qui ne mesure pas le danger Français » quand, dans le même temps, vous ne faites rien pour contraindre votre épouse Portugaise de cesser ses actes agressifs envers notre royaume. Au Portugal impie. Nous espérons que vous avez bien profité de notre absence, mais sachez que nous voilà désormais de retour, brandissant l’épée de la justice. Pour la paix et la sécurité dans le monde. A l’Empereur. Courage, digne choupinette ;) . |
D'une puissance énocomique à une puissance militaire. (1611-1620)
Après la défaite de la colaition Franco-anglo-friso-venitienne contre les ibères et l'Autriche, Venise était en ruine. Tout le monde disait que la République Venitienne allait s'éffondrée sur elle-même sous le poid des révoltes qui menacaient les collonies mais également sous le poid de ses ennemis, charognards qui ne cessaient d'envoyé des espions visant à déstabiliser le pays. Cependant Pedrolane Ier Grand Doge des Doges, qui grâce à la découverte en Colombie d'une fontaine de jouvence pu conserver une éternelle jeunesse malgrés ces 212 ans, eut une idée FANTASTIQUE, Venise n'avait pas encore suffisement exploitée une force immense qui someillait en elle, cette force était celle du Commerce. Une nouvelle Ere débuta alors pour Venise, malgrés des débuts laborieux, petit à petit les commercants Venitiens gagnèrent des parts de marchés, et les bénéfices étaient immédiatement réinjectés dans le commerce, ainsi la boucle bouclée fit de Venise une puissance économique très importante sur le plan mondiale. Certes Venise était devenur riche, mais elle n pouvait se targuer, à l'instar de l'Espagne, du Portugal ou meme de la France de possèder une richesse fixe et fiable, en effet la richesse Venitienne ne repose que sur le commerce. Cette fragilité économique poussa venise a entreprendre des recherches technologiques en matière de Sciences militaire terrestre afin de prendre l'ascendant sur ces voisins et disposé, au moin pendant un temps bref, d'une "sécurité". Cependant, malgrés les parcs florissants et les magnifiques distilleries baties récemment grace à l'argent ramenés par nos commercants, personne à Venise n'eut oublié la terrible guerre qui avait secouée la République quelques années auparavant. Pour remédier à ce sentiment d'insécurité, Le Doge en fonction décida sur ordre de Pedrolane Ier Grand Doge des Doges de batir des Fortifications de niveau 3 sur l'ensemble du territoire continental. Une fois ces travaux terminés, le peuple se entait en sécurité, mais ne cessait de réclamer vengeance auprès du Doge. Effectivement la vengeance qui animait l'ensemble de la population était incroyable, à tels points que les dernières villes d'Italie décidèrent peu à peu de quitter le Saint-Empire qui n'était plus que synonyme de terreur et d'abominations. Le pauvre peuple de Savoie et de Milan, très attaché à l'Italie durent rejoindre l'Autriche par la force et des centaines de récits affreux de vols, de viols et meme de déportations de villages entiers arrivèrent jusqu'en Italie. Mais la goutte d'eau qui fit débordée le vase fut l'embargo autrichien contre Venise, en effet nos marchands n'avaient plus le droit de se rendre dans le très lucratif centre de commercer de Lubeck. S'en fut trop et Pedrolane décida immédiatment la levée d'une armée extraordinaire, grace aux nombreuses économies faites durant les années précédentes et à la volonté de l'ensemble de la population d'en découdre pluis de 120 000 Hommes furent levés en quelques années. La guerre Fut déclarée en accord avec Frise, notre allié de toujours lui aussi floué par l'ogre Autrichien. Missives diplomatiques : - A l'Angleterre : Très chèr et innéstimable allié, nous vous remercions de vos conseils qui ont , je vous assure, eut très bon écho dans la cours du palais Venitien. Nous nous réjouissons de votre retour parmi nous et éspèrons pouvoir traités avec vous de la meme manière que par le passé, c'est-à-dire, avec honneteté, bonne foi et courage. - A la Russie : Nous nous réjouissons de l'accord trouver entre no deux nations, nous éspèrons que vous connaitre le meme boom économique que nous et que nous pourrons bientot vous voir au devant de la scène international terassé nos ennemis communs. - A l'Autriche : Nous vous avons proposé une paix moin lourde, si vous n'acceptez pas celle-ci vous ne pourrez pas venir dire que nous ne faisons pas d'efforts. (Lubeck à Frise, Milan à Venise) - Au Portugal : Chèr ami, nous vous prions de lever votre embargo sur la pauvre nation Anglaise, en effet ceci ne fait que raviver d'anciennes querelles qui nous semblaient enterrées à tout jamais. |
Chronique de France (1611-1620) :
La période de paix se poursuivait en France. Le boom économique qui avait touché le royaume depuis deux décennies ne s'estompait toujours pas. La prospérité de la France était grande, très grande. Certains osaient même dire qu'elle avait dépassé le luxe espagnol. Si cela est vrai, la poursuite de l'embellie à la française n'a peut-être que renforcé l'écart. Touché par la grâce divine, 4 provinces (sur 10 tentatives difficiles) se convertirent à la vraie foi. Malheureusement, une autre tomba dans l'hérésie atténuant, de fait, l'excellent bilan confessional. Et comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule, la France se voyait enfin reconnaître par les hautes autorités d'EU3 qu'elle remplissait les conditions pour créer une nouvelle compagnie des Indes. Le commerce français étant déjà le 2e plus performant au monde, cela ne pouvait que le renforcer. C'était sans compter sur la fourberie légendaire du roi d'Espagne qui, suffoquant de jalousie, implora le dieu EU3 d'organiser un CTD général des 10 joueurs. Le déloyal comptait sur un élément qu'il avait bien pris garde de ne pas dire aux autres : il n'y avait pas de save auto annuelle. La prière démoniaque du vil espagnol fut entendue par le support du Mal (D.....) qui la fit transmettre à son père spirituelle : Satan. Quelques secondes plus tard, tous les princes de se monde se retrouvaient clouer sur le pot de chambre royal pendant que le temps défilé en arrière. Leur devoir fini, ces princes se rhabillèrent et ne purent que constater les dégats : 5 ans avait été perdu par la jalousie d'un seul. La France venait de perdre l'autorisation de créer une compagnie des Indes et se désespére du silence actuel des autorités euhutroisiennes. Les désastres s'enchainèrent alors : notre grand roi (celui qui offrait enfin, après 77 ans d'attente SI SI c'est vrai, les moyens de convertir le royaume) mourrut trop tôt, un conseil de régence fut instauré. Quelques années plus tard un nouveau roi montait sur le trône mais il n'était digne d'être roi que pour la guerre. Prenant en considération tout cela, la France décide qu'il faut sévir à l'encontre de l'Espagne. C'est pourquoi la France fait savoir à l'Espagne qu'elle demande des réparations à la hauteur du préjudice, soit 50000 pièces d'or payable en 10 ans (un excellent event et un bon roi ça douille) + la cession immédiate du cot français d'Indonésie volé de manière ignoble. Une fin de non-recevoir de la part de l'Espagne serait extrêmement mal pris de la part de la France et offrirait à celle-ci un casusbelli dont elle n'a d'ailleurs pas besoin (puisqu'elle dispose d'au moins 3 sources de cb contre l'Espagne). Une intervention, INDIVIDUELLE, serait alors envisageable. **Je ne peux pas faire plus clair pour que tu comprennes ce que tu dois faire les qlq prochaines années Coméon ;))** Diplomatie : - à l'Angleterre : Nous attendons toujours les remerciements officiels de la part de l'Angleterre pour le mattage de vos révoltes passées - au Portugal : le vol de Porto Ricco, l'embargo maintenant......ne sentez-vous pas que vous commencez à chauffer ? :p: - à l'Empire Ottoman : je t'ai dans le collimateur loulou - à la Russie : vos hommes s'ennuient et ont froid à ce qu'il parait. Saviez vous qu'il fait plus chaud vers le Sud ? Un voyage leur ferait peut-être du bien - à l'Autriche : vivement que vous soyez en paix que je puisse venir vous racontez une blague savoyarde ou suisse. Je ne sais encore. - à l'Angleterre : parfois, en gpo, je suis sur la page de diplomatie entre nos deux pays et je reste, la larme à l'oeil, plusieurs secondes à regarder la ligne " Déclarer la guerre" - à la Suède : pourriez vous nous prêter qlq milliers de femmes pendant 50 ans ? Nous allons avoir besoin de renouveller très rapidement nos pertes humaines. - à Venise : plus à gauche, plus à gauche bon sang ! - à la Frise : Poussez ! Poussez ! Frisons......non décidemment cette chanson ne marche pas avec votre royaume. - à l'Angleterre :.......si tu continues à transmettre les prières de Comeon à Satan ça va chier :enerve: |
Message diplomatique du Duc:
-A la France: Je pousse mais je pousse, mais rien ne sort, j'ai beau essayé mais rien ne veux sortir du saint orifice ducal. :loose: -A Venise: Notre lutte sainte, bénit par notre divin seigneur ne peut que nous amener réparation des affronts commis par le scélérat de germanie. ;) -A l'Autriche: Nous revendiquons pour cette guerre la province de Lubeck, nous pouvons faire attendre nos autres revendications mais ne vous inquiéter pas que nous aurrons toute les terres que nous revendiquons, un jour où l'autre! :o: |
Message du Royaume de Suède
Bien que la Suède est totalement neutre dans la guerre qui oppose Frise et Venise à l'Autriche, nous regrettons amèrement que de tels agissements aient lieu sans en avoir au préalable averti le Royaume de Suède. De plus, nous sommes opposés à l'occupationde de la province de Lubeck. En effet, cette ville fait partie de la Ligue Hanseatique, et en tant que membre de cette Ligue, nous ne pouvons accepter qu'elle ne soit cédée. De plus si tel était le cas, notre frontière sud serait totalement aux mains d'une seule puissance, limitant par la même notre capacité diplomatique en Europe. Nous demandons donc au Royaume de Frise de revoir ses prétentions. |
Que l'Autriche le sache, Venise n'est absolument pas au bout de ses forces et peut très facilement réenvoyer une vague d'attaque sur l'autriche, si celle-ci ne souhaite pas voir ces armées complètement disloquées qu'elle y réfléchisse.
Nous avons fait une demande de paix honnete à l'Autriche : Lubeck + libration de la Savoie. Frise pris en étau serait la 2ème grande erreur de l'Autriche, elle ne ferait que renforcer la détermination Venitienne et les demande de paix seront encore durcie. Si la suède souhaite un 1 vs 1 avec Frise, aucun problème, mais jamais nous ne tolèrerons une prise en étau de Frise. Le combat qui se déroule en allemagne est un combat entre nous et les autres nations doivent laissées l'Autriche répondre de ces actes. |
La Fin du Règne d'Osman II
Osman II le batisseur marqua l'Empire Ottoman de son empreinte. Il fut ainsi le bourreau de la Perse qui finit par disparaître sous les coups de butoire répétés. La disparition de l'ennemi naturel de l'Empire mit fin à de long siècles crainte d'encerclement de l'Empire. Désormais, les seuls vrais menaces pour l'Empire se tenaient à l'Ouest et au Nord du Bosphore. L'Ottoman était désormais à même d'imposer dans tout le moyen orient sa politique. Osman marqua également l'Empire par la longueur et la stabilité de son rêgne, cette stabilité apporta properité dynamisme démographique et permit à Osman de réformer l'Empire pour lui donner une forme comparable aux monarchies administratives de l'Ouest. Osman donna également au gouvernement une politique clairement innovative avec la volonté ferme d'aligner l'Empire sur les puissances occidentales. Pour finir, Osman fut le batisseur de la puissance économique Ottoman. L'adoption d'une économie smithiennes, la réforme des douanes et la construction de plusieurs manufactures donnèrent un élan sans précédent à l'économie Ottomane. Cette dernière s'appuyait désormait sur un savoir faire et une excellente productivité loin des aléas commerciaux. L'économie avaient pendant 20 ans été l'enfant chéri de l'Empire et cela portait ses fruits, l'Empire était prospère et les ducats ne manquaient plus à la court. Osman était un Sultan aimé de son peuple et la tristesse de ce dernier fut immense lorsqu'il mourut en 1619, bien après ses propres descendant direct. Le pouvoir sauta alors une génération pour revenir à son petit fils alors trop jeune pour diriger l'Empire. Une régence assura donc la transition de pouvoir avec a sa tête Vasiliy Chernigovets un Dipomate Russe de Vologda ayant fuit l'oppression du pouvoir Russe et s'étant impliqué sans réserve dans la politique Ottomane de tolérance religieuse. Quel visage allait donc prendre cet Empire d'Orient après ce Brillant souverain qu'était Osman???? Déjà la régence et les richesses de L'empire semblaient éveiller de quelques coqs au sang bleu. Peut-être était-il temps pour l'Empire remettre au premier plan son meilleur atout naturel, la force et le courage d'un peuple à la peau tanée par le soleil. Messages Diplomatiques du Conseil de régence : A l'Empereur des Teutons: Courage votre chemin est tel que celui de votre "Messie". Mais nous sommes sur qu'il saura se reconnaitre en votre parcourt. Aux autres Royaumes Européenes : Il semblerait que les Européens se considèrent en droit de diriger des terres d'Islam. Prenez garde, un jour cela vous attirera des malheurs qui pourrait bie semer le trouble jusqu'au coeur de vos cités. A la France : Saviez-vous que l'Empire est terre d'exil ? Même de talentueux artistes de votre Royaume s'y installent... Nous nous permettons de vous transmettre l'une de leur illustre ballade : Citation:
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Traité de Sarajevo
Les emissaires du grand Doge de Venise et du valeureux Kniaz de Russie font savoir aux noms de leur souverains qu'ils ont conclu, accompagnés de leurs meilleurs marchands, un accord commercial visant à la coopération des deux pays dans tous les centres de commerce du monde. Novgorod s'engage à ne pas rechercher le monopole à Venise et Venise à ne pas le chercher à Novgorod. Cet accord, qui n'est envisageable qu'entre les seules contrées ou le droit du commerce est supérieur au fait du prince, n'est ouvert qu'aux Républiques Marchandes. Vive le Doge ! Vive le Kniaz ! |
Un monde qui change. (1620-1631)
En ces années 1620, la paix fut signer avec l’Autriche, la petite Frise remporta les terres de Hesse et de Nassau, anciennes terres de notre allié qui nous revenaient de droit, il y a 150 ans notre duché les avaient abandonné dans leur révolte contre la perfide Autriche sachant que cela serait vain, aujourd’hui elles étaient libérées ! Dans le duché l’annonce de la victoire remit sur les routes le duché, les nombreuse Te Deum célébrant la victoire de notre duché et la puissante armée devenue l’un des piliers de la nation permirent le retour à la stabilité perdu lors de l’imposture. En célébration de notre Seigneur qui nous avait couvert de ces largesses, le duc recouvra les terres néerlandaises de cathédral célébrant les héros de la nation. En 1628, après 1 siècle de lutte contre l’inflation, notre combat fut enfin récompensé, une baisse de 5 points de l’inflation fut réaliser. La guerre sainte ! Dans la cour du château ducal de Groningen, une journée du printemps 1629, un cavalier arasé couvert de boue et de poussière fit son entré, celui ci se présenta comme un messager du Kniaz de Russie, au début les gardes pensèrent à un fou, sa façon de ce vêtir n’avait rien de celle d’un diplomate, heureusement le duc revenait de la chasse et l’incident diplomatique fut évité de peu, les soldats ayant débuté à raccompagner l’étranger par le col malgré sa résistance. Le duc écouta avec attention ce visiteur, il amenait des nouvelles de la sainte Novgorod, la république russe se préparait à combattre les Mings ! Notre prince comme ses prédécesseurs était un roi profondément chrétien et l’annonce de ce conflit ne pouvaient que le ravir, face à la mollesse des autres puissances face à cette grande croisade, Frise ne pouvait pas laisser la Grande république russe seule face à l’ogre chinois ! Après quelque jour, le parlement fut réuni et donna son accord à une expédition frisienne dans ces terres d’extrêmes orients. Après quelque mois, de préparation les 5 milles meilleurs cavaliers frisien furent débarqués à St Petersburg, et furent envoyé dans la région de Tomsk région soumissent au combat suivit de 2 convoies de 7 milles hommes, c’est ainsi qu’en janvier 1630, nos troupes bloquèrent les Manchous devant la cité de Tomsk. http://img136.imageshack.us/img136/1484/guerre3ff1.png Après cette victoire et face à l’immense armé réunit là par les orientaux, le général Siemen Jongstra, un des plus grands manœuvriers née dans nos belles provinces, décida de porté le combat sur les terres de Manchourie puis de marcher par la suite sur la capitale ennemie laissant au renfort venant de métropole la dur tache de combattre les ordres chinoises avec les Russes, l’années 1631 fut marqué ainsi par le début de la campagne de Manchourie, première partie de notre marche sur la Chine! http://img211.imageshack.us/img211/1364/guerre4zb7.png Le chagrin d’un Duc. Aujourd’hui se termine une ère, le grand doge de Venise, Pedrolane à disparu de notre monde, le duché fut abasourdit par cette nouvelle cela était-il vraiment possible ? Un compagnon de route venait d’être perdu, il est vrai qu’il serait remplacer par quelqu’un de compétent, mais cela serait-il pareil ? Le duc décréta 1 semaine de deuil national, partout dans le royaume des messes furent tenu en son nom. Il est vrai que notre relation était née de la haine de l’Autriche, et qu’elle avait commencé par le conflit sur la Savoie, où il nous avait menacé mais cela passé que dire de plus, que son amitié nous a toujours suivit, subissant ensembles les grands périls frappant nos deux nations, combattant fraternellement ensemble pour la défense de nos intérêts. Nous espérons que le nouveau Doge sera être un allier ainsi qu’un ami de notre nation, longue vie à Adean, le nouveau Doge de la grande république de Venise. |
Les Morosini prennent le pouvoir à Venise ! Les Morosini apparurent pour la premiere fois dès la fondation de Venise au VI° siecle au moment des invasions Lombardes. Andrea Morosini etait alors un petit producteur de bois de la région de Trente. Quand les Lombards tentèrent d'assieger la jeune ville de Venise, Andrea Morosini aoffrit gratuitement et abondament son bois pour construire des flotilles entieres de petits bateaux de pêche dans la lagune, ce qui sauva Venise de la famine alors que les Lombards essayaient d'en faire le blocus. Par la suite, la paix revenu et grace au prestige d'Andrea, la famille Morosini fit dans un premiers temps fortune dans le commerce de bois car la toutes nouvelle marine venitienne en consommais beaucoup et le bois des Morosini était le meilleur de l'époque. Les decendants d'Andrea Morosini se lancèrent par la suite dans le commerce du bois dans toute la méditérranée puit fondèrent la compagnie de Commerce Morosini en 856. A parir ce cette date, le bois, bien qu'encore tres important, n'était plus majoritaire dans le chiffre d'affaire de la compagnie. Pietro Morosini (1052 - 1101) a également marqué cette famille en participant financièrement et egalement en personne (à titre privé) à la premiere croisade. Il fournit ainsi 3 navires pour le transport des troupes qui passèrent a Venise en 1096. A l'age de 44 ans, il prit lui-même le commandement de cette flotille et participa au grand rassemblement croisée à Byzance ou il offrit ses bateau à Goedfroid de bouillon afin de ravitailler les croisés quand ceux-ci seraont en Palestine. Il sut à Byzance nouer de nombreuses amitiées qui lui permir d'installer ses surcursales marchandes de la compagnie Morosini. En 1097 il participa a la bataille de Dorylée contre les Turcs et y perdit sa main gauche. Rien ne devait le décourager et malgres bien des soufrances, il entra avec les premiers croisés dans Jerusalem en 1099. Hélas il devait perir dans une embuscade et c'est à son fils Niccolo Morosini que revint la charge d'organiser par la suite le ravitaillement des croisés en terres sainte. En 1103 Niccolo ouvrit une nouvelle surcursale commerciale a Chypres afin de participer activement au ravitaillement des croisées en Palestine permetant a la famille Morosini de se hisser parmis les plus riches et puissantes familles de Venise. Humberto Morosini en 1204 fournit également 4 navires pour le transport des croisés vers Zara ce qui permit a la famille d'ouvrir une sucursale egalement dans la ville. Par contre Humberto s'opposa alors au Doge et à la plupart des autres grandes famille au cours du sacage de Constantinople. En effet sa mère, Sophia etait issue d'une grande famille byzantine instalée dans la région d'Andrinople. Ainsi ses les affinitées et l'amitié qu'eprouvait Humberto envers l'Empire fut responsable de la perte d'Influence des Morosini a cette époque à Venize même. En effet nombres des clients de la compagnie Morosini evitèrent desormais de faire des affaires avec notre famille provoquant une chute drastique de nos bénéfices et donc de notre prospérité. Ce fut Gaetano Morosini qui en 1262 redressa la situation economique de la compagnie au moment de la reprise de Constantinople par l'Empereur Michel VIII Paléologue. Certaine rumeurs de l'epoque afirmaient même que Gaetano avait offert en secret des sommes considérable à l'empereur pour faciliter la reprise de la ville. Evidement ces rumeurs etaient infondées, notre famille étant toujour resté fidèle avant tout a notre patrie. Cependant il est vrai que le nouvel empereur Byzantin nous offrit des facilités et droits commerciaux a notre compagnie comme jamais a aucune compagnie. Les Morosini devinrent donc la plus influente famille de Constantinople à une époque où les autres Latins en étaient exclu... C'est ainsi que nous sommes notament devenus les uniques fournisseur de bois pour la marine imperiale. Evidement des lors les benefices de la Compagnie Morosini atteignirent des sommets. Cependant a Venise nombreux jalousaient desormais la puissance des Morosini et de nombreux procés furent intenter contre notre famille au mobil de trahisons de la république a cause de nos relation privélégiées avec l'Empire. Evidement tout cela était infondé et notre famille ne fut jamais condamné. Le fils de Gaétano, Frédérico Morosini, se distingua quand a lui a Chypre ou il finança la construction de 5 galères de combat afin de lutter contre les pirates musulman et même contre les navires Sarazins et Turc qui devenaient de plus en plus menaçant devant Chypres depuis la chutes des derniers états croisés en Palestine. D'ailleur il devait mourrir en héro sur son navire "le Zara" au cours d'un accrochage avec un chebec turc. Son fils, Lucas Morosini épousa Alexandra de Beaufort, une lointaine decendante des Vilardouin qui avait eu pour domaine une partie de la Morée dans la région de Nafplio. Lucas Morosini esperait ainsi peut-etre un jour entrer en possession de ce domaine grace a ce mariage. Mais evidement l'administration Byzantine n'entendait pas rendre une de ses dernieres régions ou se maintenait l'Empire. Lucas Morosini choisi donc d'aider de son mieux et d'une partie de sa fortune a aider a la defense de la morée de plus en plus sous la menace de la poussé Turque. C'est ainsi qui finança les travaux de fortification de Nafplio ainsi de celle de Corinthe qui commande l'entrée de la Morée. Lucas Morosini essaya d'ailleur d'obtenir le soutien de Venize en implorant le Doge et le conseil des 10 en 1383 qu'il fallait apporter un soutient inconditionnel aux Commenes de Byzance car la chute de l'Empire couterait enormement a venize et que si le Rempart de Byzance cedait, il risquais un jour de falloir combattre bien plus pret de nos portes.... Cette avertissement ne fut pas entendu et nombreux affirmèrent que les Morosini defendaient encore leurs amis Byzantins et leurs Interets propres soit : dynastique en morée et commerciaux à Constantinople.... Seul contre tous Lucas Morosini ceda mais continua a lutter de toute son influence pour changer les mentalité à Venise. Giovani Morosini naquit le 5 Aout 1388 à Nafplio de Lucas Morosini et Alexandra de beaufort. Imediatement son père l'envoya faire ses études à Venize. A 18 ans il s'engageais comme jeune officier sur une galère de combat Venitienne et servit ainsi Venise pendant 9 ans lui permettant d'obtenir le commandement d'une petite galère en 1414 à l'age de 26 ans. Mais un an plus tard, à la mort de son père emporté par la maladie, il fut obligé de quitter la marine pour reprendre la direction de "Morosinie et Compagnie". Les difficultées commerciales augmentaient sans cesse surtout dans Constantinople ou la piraterie genait considérablement le commerce. Ce fut la même situation a Chypre ou en 1418 nous perdîmes la majeure partie de nos relations avec les marchés perses...Seul notre commerce traditionnel de bois demeura en plein essort graces aux commandes de Venize et de Byzance afin de lutter sur mer face a des Ottomans de plus en plus entreprenant Giovani Morosini devait marquer un tournant au sein de la dynastie Morosini. Quand le Sultan Ottoman se lança en 1453 dans l'ultime bataille pour abattre l'empire Byzantin, Giovani Morosini agée pourtant 65 organisa la defense de la Morée en prenant en charge la defense de Mistra, la dernière grande ville Byzantine de Morée aprés la chute de Nauplie. Mais les forces vénéto-Byzantines furent écrasée et il dut s'exiler à Corfou avec sa famille et ses fidèles. Heureusement une grande partie du trésor familial avait pu être sauvé. Ne se laissant pas abbatre, il depensa sans compter pour organiser et recruter les forces qui lui permettrait de reprendre le fief herité de sa mère, Alexandra de Beaufort. C'est son 2ème fils qui devait parvenir à reprendre pied en Morée. Ayant rassemblé une armée de 12.000 dont de nombreux mercenaires Catalans et Français, il entrait à Nauplie le 3 avril 1459 seulement 6 ans apres en avoir été chassé par les Turcs. A Venize, le pouvoir était désormais detenus par le Doge Pédrolane. Juliano Morosini obtind le titre de Prince de Morée en échange du versement à Venize de 50% du revenu de ces riches terres du péloponèse. La famille Morosini prospéra en morée loi du tumulte et des manigance politique de la sérénissime. Les Morosini surent garder des relations relativement cordiales avec les turcs. Nauplie devenant une plaque importante du commerce régionale. De nombreux traffics et contrebandes permettait aux Morosini de s'enrichir et aux sultans turcs de s'approvisioner malgré les edits d'enbargo papaux. A Venize le Doge Pedrolane devenait immortel. Nombreux étaient ceux qui pensait qu'il avait du signer un pacte secret avec le malin. Quoi qu'il en soit, l'effort militaire et commerciale de Venize fut spéctaculaire. L'Italie fut entièrement unifiés sous la direction des troupes de la république tandis que de nombreux marchés extérieures apportèrent une prospérité inconnue et tout simplement débordante. Cependant le Doge Pédrolane menait une politique de relative accomodation avec la France, alliés secret des turcs et au contraire une politique relativement agressive envers l'Autriche. De multiples guerres opposèrent Venitiens et Autrichiens sous les regards médusés mais fort satisfait des turcs qui apportaient leurs soutiens diplomatiques à l'un ou l'autre en fonction des circonstances... Mais l'empire Ottoman prospérait.... La Conquete des terres Tatars, puis de l'Egypte et enfin de la Perse lui offrit richesse et puissance et de nouveau les turcs portèrent leurs regards vers l'Ouest. Aedano Morosoni avait 23 ans quand éclata en ce debut de XVIIeme siècle une nouvelle guerre entre Venetiens et turcs à l'initiatives de ces derniers. La Victoire éclatante de Venise quelques années plus tot sur l'Autriche avait gonflé de suffisance le doge Pedrolane et l'armée n"était pas prete. L'offensive turque fut fulgurante. Le Prince Morosini se trouvait en Morée sans aucune aide de la république et devait seule défendre la principauté. Mais devant combattre à 1 contre 4, Il ne pu rien et une fois le vérou de Corinthe forcé, rien ne pouvait barrer la route des forces Ottomanes. Les missives desespérés d'Aedano Morosini envoyés au doge Pédrlane restèrent sans réponse. Presque 2 siècles plus tard, la Morée était à nouveau perdu et assez rapidement cédé par traité de paix à l'Empire Ottoman. Pour le Prince, il n'y avait qu'un seul responsable: le doge PEDROLANE ! qui dans son aveuglement à combattre les autrichiens avait perdu de vue que le principal ennemi et adversaire restait les turcs. De retour à Venise, Aedano Morosini rencontra en secret les principales familles venitiennes mise à l'écart par le regne interminable du doge Pedrolane. Les Badoer, Quintavalle, Paruta, Tiepolo, Zaccaria se rangèrent derrière lui.... il fallait se debarraser du doge... Dans une froide nuit de janvier, le Doge Pedrolane était retrouvé assassiné dans son bureau... Le Prince Aedano Morosini pouvait compter sur la plus puissante fortune de la ville, le vote du successeur du Doge Pedrolane fut rapide. Le Prince Aedano Morosini devenait le nouveau doge de la sérénissime république de Venise. |
Message du Patriarche Orthodox Grec
Le Patriarche Grec félicite les électeurs de Venise pour leur choix qui est dans l'ère du temps Catholique. Plein de bon sens et épris des valeurs d'une interprétations tout particulière qu'est la leur des valeurs chrétiennes. Le Patriarche d'Istamboule et conseiller personnel du Sultan tient à offrir au nouveau commandeur de Venise le dernier livre imprimé dans les murs de l'Université de Damas. Il espère que le nouveau dirigeant vénitiens saura l'utiliser pour s'enrichir...l'esprit.... http://img137.imageshack.us/img137/8...4278167dq9.jpg |
Message Diplomatique De La Sublime Porte
A Venise Le Souverain de la Sublime Porte attend votre émissaire avec impatience ainsi qu'une prise de position diplomatique claire à notre égard. Il y a peu vous nous demandiez l'autorisation de commercer dans nos centre de commerce souteniez notre politique d'apaisement. Et maintenant après un cruel jour d'infamie, vous menez une politique expensionniste et agressive à notre égard. Si vous voulez continuer à commercer dans nos centres réagissez rapidement. L'Empereur de la Sublime Porte n'est point une pucelle effarouchée qui n'aurais jamais vu quelques viriles arguments. L'Empereur est un hommes lettré est cultivé qui rêgne sur un peuple courageux et travailleur. Vos élucubrations et mensonges à l'égard de l'Empire ne font que décevoir ceux qui pensaient encore trouver à Venise un pouvoir éclairé. L'Italie fille de la culture grèque et Romaines se tournerait-elle vers des traditions barbares ? A la France Cher Souverain de France, Nos ancêtres ont cru bon de vous confier la garde de Jerusalem. Nous avons toujours eu de bonne relations entre 2 Royaumes capables de de se parler malgré des différences culturelles et religieuses. Aujourd'hui, il semble que votre royaume céde aux tentation de replis culturel et religieux et fait preuve d'agressivité à l'égard des Dogmes non chrétiens. Votre mise en garde au monde quant à une intervention contre la Russie durant son oeuvre d'évangélisation n'avait qu'une seule cible : La Sublime Porte. Nous attendons de votre part une prise de position digne d'un Royaume tel que le votre. Le Sultan n'a aucune rancune contre la République Russe, mais nous saurons tolérer des mises en garde déguisées et sans fondement à notre égard. http://img99.imageshack.us/img99/8927/historyyk3.jpg Si le Souverain Français ne peut plus se satisfaire d'oppresser les Protestants, qu'il ose l'affirmer haut et fort. L'Empire Ottoman n'est point l'Espagne ou l'Autriche qui semble trembler devant vous. L'EMpire est indépendant et ne souffrira pas de se faire dicter sa politique. L'Empire est terre d'accueil et de tolérance... contrairement à d'autre Royaumes... |
Message du Pasteur Ric au Roy de France.
Cher Roy, je porte à vous les demandes des Protestants français établis en Turquie. Ces dernier vous demandent de faire preuve de sagesse envers l'Empereur Turc qui dans sa bonté a accueilli de nombreux Français. Cet Empire n'est point un danger pour les intérêts de la chrétienté ou de la France. Cet Empire a su sauvegarder des richesses héritée des grecs et ne fait que protéger la civilisation face au peuples barbares de l'Est. Je ne peux que vous conseiller de réviser votre jugement à l'égard d'une puissance qui en ces temps sombre sait rester digne d'une antique civilisation. Cher Roy, je vous demande de ne pas briser l'équilibre qui permet ici à des peuples différents et des fois différentes de vivre dans une tolérance qui n'a point d'égal si ce n'est en Pologne. Ric |
A l'adresse du Sultan
La France n'a jamais nié l'indépendance dont fait preuve l'empire turc. Nous savons que vous n'avez jamais fermé la porte à un dialogue, tout comme nous. Notre attitude à votre égard n'est pas hostile et notre annonce n'était faite que dans un but préventif. Prévention que vous n'aviez pas eu quand vous causâmes indirectement la défaite de la France dans la dernière guerre mondiale. Nous ne vous avons certainement pas causé de tord dans cette affaire, et assurément rien de comparable à celui que vous nous aviez causé par votre intervention. C'est un discours franc qui ne vise pas à envenimer les choses (chaque chose en son temps :lol:) mais à faire savoir que si l'empire turc ne veut pas être limité dans sa diplomatie, la France n'entend pas l'être non plus. Nous regrettons vivement vos déclarations mensongères à l'encontre des populations françaises de confession protestante. Votre ambassadeur est convoqué sur le champ pour fournir des explications à une telle diatribe dantonienne. |
La Fin de la Régence Ottomanes et la fracture des Balkans.
La régence pris fin en 1623 et Selim III prit alors définitivement les rennes du pouvoir Ottomans. Il continua le travail de contruction de l'Empire qu'avait entrepris Osman mais il se concentra plutot sur la réforme en profondeur de l'Armée Turque et le renforcement de ses effectifs qui passèrent sous sont rêgne de 80k à 140k et fut grandement modernisée de façon à pouvoir soutenir une éventuelle guerre d'agression des puissance occidentale. Grand bien lui prit. Il réforma également la cour impériale en nommant conseillers le 1er Imam Sunnite Turque ainsi que le Patriarche Orthodox Greque. Ceci afin de permettre à la société de tolérance de perdurer et de se renforcer. L'armée fut également obligées de promouvoir des officiers dans chacune des religions de l'Empire de façon à assurer une répartition efficaces des pouvoirs. Il favorisa également l'instalation de protestants Français qui profitèrent de leur savoir pour développer de nombreuse exploitations viticoles en Turquie provoquant ainsi une mise en valeur importante de la culture du raisin. Selim III profita de la faiblesse consommée de l'Empire Mamelouk pour relier définitivement Alexandrie à l'Empire par la terre en annexant Damiette et le Delta du Nile a l'occasion d'une guerre courte mais sanglante. Le Regne de Selim aurait pu être aussi grand est paisible que celui d'Osman le batisseur. Malheureusement, les ambitions de la République de Venise mirent prématurément un terme au régne de Selim. En effet, Venise déclara la guerre en 1628 à la Bosnie et a l'issue d'un court conflit annexa l'Albanie a cette dernière et annonça clairement son intention de frapper par la suite la Transylvanie. Cette dernière vassal de longue date de l'Empire, demanda à Selim de se préparer à intervenir. Selim mobilisa en hate et pu conter sur la moitié de ses effectifs Impériaux en Grèce lorsque Venise déclara la guerre à la Tenasylvanie sous pretexte d'espionnage. Le Sultan rejoignit immédiatement la guerre et les armée Italiennes déferlèrent sur le la péninsules Grèque comme une tempête. Des dizaines de milliers de cavaliers prirent le chemin d'Istambule. Le Souverain prit la tête de 25 000 cavaliers Turques et mena la contre offensive, de nombreuse et sanglante batailles s'en suivirent au court desquelles le Souverain Turc trouva la mort en défandant Salonique. Cette défaite fut une victoire, le temps gagné permit à son fils Murad III de rejoindre la Grece avec le reste de l'Armée Impériale. Après quelques carnages supplémentaires Venise du se résoudre à la paix après avoir perdu plus de 100000 hommes en Grece. http://img232.imageshack.us/img232/5...nstitreku7.jpg Murad ne désirant pas prolonger cette guerre que les Turcs n'avaient jamais souhaité, demanda à Venise le Duché de Morée en dédommagement des frais de guerre et signa après 18 mois de guerre la paix avec le République au visage changé. Elle qui avait toujours été un partenaire de dialogue et une puissance bienveillante en méditerranée devenait une bête assoiffée de terres. Des temps obscures s'annonçaient.... mais l'Empire allait faire face. Les regne d'OSman et de Selim avaient fait de l'Empire une puissance moderne capable de rivaliser avec ses voisins. |
Chroniques Autrichiennes 1576 - 1631
C'est une période de troubles qui commença lorsque l'empereur Mathias reçut 2 émissaires ibériques (1 portugais, 1 espagnol), littéralement affolés et désemparés. Ils expliquèrent leur tourment à l'empereur : 3 guerres consécutives face à une organisation de 4 pays (Angleterre, Frise, France, Venise) qui les attaquèrent à tour de rôle. Ils nous conjugérent de nous ranger à leurs côtés afin de marquer un coup d'arrêt. L'empereur était embarrassé : il n'avait, à regret, que peu de rapports avec l'angleterre. Avec la France, les convergences d'opinion étaient largement majoritaires, et le voisinage était paisible. Avec Venise et Frise, l'empereur était en traité (Düsseldorf et Genes). Il nous était donc difficile de prendre ouvertement parti, qui plus pour nous facher avec des pays non-hostiles ou co-signataires d'un traité. Néanmoins, afin de signaler que cette politique de guerre et d'agressions successives devait prendre fin un jour ou l'autre, l'empereur promit un soutien, moyennant subsides. Mieux, il alla même jusqu'en Pologne, le seul pays ennemi à cette heure, pour enterrer provisoirement la hache de guerre et rallier les hussards à la cause. Cette alliance (Espagne, Pologne, Autriche, Portugal) était, dans notre esprit, provisoire (le roi de Pologne et l'Empereur Mathias étant bien décidés à en reprendre leur joutes à l'issue de cette affaire). La conquète de Malacca par Venise fit office de détonateur. La Pologne attaqua immédiatement, et toute l'europe s'embrasa d'un seul coup. ALors que les troupes polonaises faisaient leur entrée en territoire Frison, inexpliquablement elles rebroussèrent chemin et commencèrent à ravager le nord de l'Autriche. Quelle mouche venait de les piquer ? L'on apprit plus tard, que pendant la trève décidée à l'occasion de la commémoration du centième CTD frison(l'on parle d'une semaine...) des émissaires Français prirent la VPGV (Voiture à Porteurs Grande Vitesse) ou peut-être la CGV (Caravelle Grande Vitesse) pour retourner la Pologne contre ses récents et provisoires alliés. Belle performance...:?: La suite a été moultes fois contée : le bon sultan intervint pour rétablir l'équilibre rompu par le basculement polonais, et l'alliance des justes finit par triompher, malgré la témérité des soldats anglais, auteurs d'une percée foudroyante dans les alpes suisses et la plaine du pô.:clap: La période qui suivit, fut délicate pour l'Autriche. Les alliances nouvellement formées perdurèrent plus que ce qui était souhaité, et l'Empereur, entouré d'ennemis, n'avait pas grande marge de manoeuvre. CE qui devait arriver, arriva.. malgré son renforcement militaire, Autriche fut sauvagement attaqué en 1620 par Frise et surtout Venise, qui à elle seule dénombrait 175 000 hommes, c'est à dire plus de soldats que l'Autriche, pourtant au maximum de ses possibilités militaires (161 000 hommes)... Dans un jeu de cartes, très pratiqué à Vienne, il est sage et prudent de "se coucher" quand on sait qu'on est battu. Après à peine 2 mois de guerre, l'Empereur accepta donc la paix, cédant NASSAU et Hesse à Frise, libérant la Savoie de sa protection, la laissant ainsi se faire dépecer quelques mois plus tard, par une république Sérénissime, insatiable. Biensur, dans les diverses cours europééenes, le concensus était de rigueur. Tout ceci n'était que légitime. Les "erreurs" diplomatiques de l'Empereur étaient la cause de sa perte. les armées surdimensionnées par rapport au potentiel effectif ne sont qu'une réponse à la hauteur de sa trahison...:yeux: Les alliances qui perdurent, c'est de sa faute... (qu'avait-il besoin de s'enticher des ibériques?) Le retournement polonais, c'est lui... D'ailleurs on murmure que Sodome et Gomorre, Adam et Eve, c'était déjà lui... |
***** Chronique de la république de Venise ***** L'année 1631 venait de débuter et le Doge Aedano Morosini a peine installé aux affaire quand éclata une grande crise européenne. L'empereur était désireux d'effacer le souvenir de la débacle militaire et diplomatique précendente. L'Empire avait rassemblé l'ensemble de ses forces pour reprendre les terres d'empire perdu au profit du duché de Frise. Le Doge était partagé... d'un coté une trés ancienne alliance entre la Frise et Venise, Alliance signée par l'ancien Doge Pedrolane. D'une autre coté, les terres allemandes et d'empire administrées par le Duché de Frise pouvait légitimement être réclamée par l'empire su Saint Empire. Cependant la république de Venise remplit ses engagement et suivit le duché de Frise dans la guerre contre l'empire. La précedente guerre contre les turcs avait saigné la république. Au moment de la déclarationde Guerre, Venise ne disposait de 20.000 dispersé et d'aucunes réserves mobilisable (manpower à 0). C'est donc fort timidement et prudement que les armées républicaines se portèrent sur Milan sous administration impériale. La commune de Milan réclamait depuis longtemps son ratachement à la république marchande vénitienne et voyait d'un trés bon oeil l'avance des armées de Venise. Mais le Duché de Savoie saisi cette occasion pour déclarer la guerre à la sérénissime république bientot suivit par le puissant royaume de France, première puissance militaire de notre monde. Comme à Milan, la population et la bourgeoisie de Turin réclamait l'abdication du duc afin de rejoindre la république vénitienne et ses frères d'Italie. Quand au Doge Morosini, il était outé de la forfaiture Savoyarde d'attaquer la république au moment ou celle-ci tentait de libérer l'Italie de l'occupation impériale et germanique. Une proposition fut immédiatement envoyé au roi de France. La république était décidé à chatier la Savoie de son attaque. La république proposa d'imposer l'abdication de la maison de Savoie, le rattachement de Turin à la république en échange d'un ratachement de Chambéry et sa région au royaume de France. Le Royde France rejeta sechement la proposition argant qu'il était fort occupé. Le Pape lui même dépécha une armée qui fut écrasé une première fois par les Savoyards et une deuxiemme fois par les Français. Alors que la France se montrait intransigeante, l'Empereur lui se montra ouvert au dialogue. En échange d'une reconaissance par Venize du droit à l'empereur d'admnistrer l'empire GERMANIQUE, celui-ci accepta d'autoriser la commune de Milan à se rattacher à la république Venitienne. Que de contraste avec ce dialogue diplomatique que la France nous refusa. Alors que les raids meurtriers de la SAvoie se poursuivait en directionde Chambéry mais aussi de Milan, Nice et meme Genes, une puissante armée Française campait devant Turin et assurer la sécurité aux approvionnement des bandes armées de la Savoie qui répendait la terreur et la désolation dans tout le nord-ouest de l'Italie. La guerre avec l'Empire étant terminée, le conseil de la république vota à l'hunanimité la campagne militaire contre la Savoie et la France sa protectrice. Une puissante armée de Cavalerie de 35.000h fut rassemblée à Milan et se jeta sur Turin. Les forces armées franco-Savoyarde furent balayées et poursuivit juqu'au Rhone ou l'armée de la république subit alors un coup d'arret à son offensive. Mais l'objectif était attein, l'Italie était libérée et le Duc de Savoie emprisoné. A une large majorité, le conseil communal de Turin vota son ratachement à la république Vénitienne. Nous regretons la défaite de la Frise mais devont admettre que ces terres étaient plus germaniques et impériales que de culture Hollandaise et frisone. Nous regretons le manque de dialogue et de concession du roy de France et son refuse de condamner immédiatement et deverement la Savoir pour sa déclaration de guerre contre la république. Venise n'avait de grief que contre la Savoie. Nous sommes satisfait de la paix blanche avec le puissant royaume de France. Enfin nous avons découvert en la personne de l'empereur, un homme ouvert au dialogue et plein de bons sens. Avec Turin et Milan, la réunification italienne est terminée sous la direction de la république Vénitienne. Des la guerre terminée, le doge Aedano Morosini devait faire voter toute une serie de réforme: - La conscription nationale et une effort sur les armements terrestre à permit à Venise de plus que doubler ses réserves mobilisables les portant à plus de 90.000h - Une lente reconversion de l'armée vers une prédominance de l'infanterie et adapté aux technique militaires actuelles - La construction de nouveaux centre d'imposition afin de lutter contre l'inflation galopante. Seul bémol, le Commerce subit les embargos de la France et de l'empire Ottoman ainsi que de la féroce concurence de nombres de petites nations depuis le rattachement de la Savoie à la république (BB en hausse). Mais tout indique que cela ne sera que temporaire.... |
1621 – 1640. L’Europe, un ramassis de catins
L’Angleterre, innocente victime des vilenies Portugaises depuis presque deux siècles, allait encore une fois faire les frais de la mesquinerie abjecte de Lisbonne, qui se prostitue avec Madrid et se plaint sans cesse de Venise mais qui n’a jamais le courage d’agir contre un autre que l’Angleterre épuisée par 20 ans de règne désastreux du Régent De IA. Les lâches de Lisbonne nous déclarent la guerre en 1621, sans autre raison que le désir de donner au monde l’impression que le Portugal était autre chose qu’une vulgaire dépendance espagnole. Nos troupes étaient complètement dépassées technologiquement, ne restait donc que notre courage indomptable et l’assurance d’être du côté de la Justice, du Bien et de la Lumière. Nos croisés en guenille massacrèrent des dizaines de milliers de Portugais en Australie, qui tomba entièrement entre nos mains, mais aussi dans les Antilles et même au Brésil. Humiliée, la prostituée de Lisbonne refusa notre généreuse offre de paix et fit appel à son riche proxénète, qui lui envoya des milliers de ducats pour rétablir la situation : le plan 2 X 100 K fut lancé. Celui-ci consistait à lever plus de 100.000 soldats et 100 navires de guerre, et ce sans même toucher au budget national :choc: . La flotte Portugaise arriva au large de nos côtes pour débarquer des milliers de soldats : mal lui en prit, la Royal Navy veillait et les barcasses puantes Ibères sont envoyées par le fond :tongue: . Fort de cette victoire, l’Amiral Howard partit pour l’Asie, où le Portugal tentait de reprendre pied, avec un succès limité : cette tentative fut brisée dans l’œuf et de nouvelles offres de paix blanches furent envoyées. La catin de Lisbonne y répondit par le plan 4 X 200 K, qui consistait à lever 100.000 soldats et 100 navires de guerre supplémentaires :choc: . Cela commençait à faire beaucoup trop pour nos faibles moyens, surtout compte tenu du retard technologique. Les hordes innombrables, cette fois, réussirent à passer et débarquèrent notamment en Irlande, alors que le blocus total de l’Angleterre commençait. Nos revenus, déjà parmi les plus maigres d’Europe occidentale, s’effondrèrent complètement :loose: . L’Amiral Howard reçu ordre de revenir immédiatement : la guerre durait depuis 7 longues années déjà et ne semblait pas trouver d’issue. La Royal Navy de retour, les navires Portugais sont pulvérisés les uns après les autres, le blocus était levé. Plus de 20.000 soldats se préparent à embarquer pour reconquérir l’Irlance… Le Portugal riposte par le plan 6 X 300 K….:yeux: Fort heureusement, un changement de dynastie intervient enfin à Lisbonne et une paix blanche suivit immédiatement celle-ci. Le Portugal alignait alors, de son propre aveux, plus de 200.000 hommes en arme… Aucune compensation ne fut accordée à Londres, pourtant toujours victorieuse sur le terrain, pour ces 7 longues et coûteuses années de guerre. Pendant ce temps, en Europe, strictement rien n’avait changé, on retrouvait la même situation depuis plus de 150 ans. Contrairement aux affirmations de certains naïfs, qui répétaient que « de grands changements avaient lieu et qu’il serait sot de les nier », l’Espagne était toujours, et de très loin, la première puissance mondiale, elle collectionnait toujours les catins dans sa couche, achetées avec l’or du Mexique et continuait inlassablement à répéter ses traditionnelles diatribes contre la France, qui, tout le temps battue, avait bien du mal à assumer son statut de quatrième puissance mondiale. Le seul changement notable en Europe concernait finalement Venise, qui avait pris son envol et se découvrait un appétit de plus en plus irrésistible. Les sacrifices réalisés par l’Angleterre quand ce pays était encore faible et vulnérable ne reçurent aucune contrepartie : richissime, Venise nous oublia et agressa sauvagement la digne et tendre Autriche puis l’Empire Ottoman et enfin la France, qui l’avait toujours soutenue. Après avoir bien fait le mal partout autour de lui, le Doge partit se réfugier dans les jupes de son maître Lucifer, qui trône à Madrid comme chacun sait. Londres ne préfère pas savoir ce qu’il se passe là en dessous : les catins Portugaises et Vénitiennes doivent probablement copuler ensembles comme des bêtes, tout en s’insultant parfois publiquement pour donner l’illusion au reste du monde qu’ils conservaient une maigre indépendance. La dernière singerie de ce type arriva de Lisbonne : un ambassadeur vient affirmer à Londres que son pays préférait mille fois une Angleterre puissante qu’un Doge trop présomptueux. Mais comme son pays ne recevait pas de son maître Espagnol l’autorisation d’agir contre Venise, il poursuivait, sans logique aucune, à agir plutôt contre l’Angleterre, comme il le faisait depuis plus de 150 ans. Le courage d’un lâche. |
Les chroniques Frisiennes. 1631-1640. La perfide attaque autrichienne. Notre duché fut attaqué en l’année 1631 sans aucun ultimatum, quand l’annonce arriva à Groningen que l’empereur nous attaqué, une profonde torpeur prit l’administration ducale, avec nos meilleures troupes (les moins pires) en Asie comment allions nous résister ? Les combats débutèrent difficilement mais le duc n’était pas près a céder facilement, les combats désespérés, les ducs de Frise connaissaient cela depuis longtemps avec toutes leur célèbre défaite, enfin passons cela… Près de 200 mille autrichiens commencèrent leur entré sur nos terres, face à eux moins de la moitié de leur effectif, les combats furent très difficiles, notre infanterie fut balayée par le rouleau compresseur impérial détruisant tout sur son passage, même notre capital fut prise par ces porcs ! Nos troupes combattant en Flandres allant de retraite en contre attaque, amenant de large perte chez l’ennemie, à la fin du conflit sur 150 mille cavaliers il n’en restait que 25 mille. La guerre amena une profonde refonte de nos vues diplomatique, l’inaction de Venise au début qui laissait ses troupes à l’abandon devant quelque place, n’engageant aucune grande manœuvre contre ceci à notre grand étonnement. La seule nation à nous avoir aidé fut la France, qui combattit comme elle put, ayant refondu son armé sur une place plus réel de l’infanterie dans son armée pour le combat face à l’Ibère, cela l’obligea à lancée un grand plan de recrutement, ses opérations amenèrent l’espoir d’une victoire mais rapidement ceci disparurent avec l’entré en guerre de l’Espagne ouvrant un deuxième front, puis l’opération de Venise qui nous abandonna se lançant à l’attaque de la France qui lui demandait du temps pour la Savoie, mais le nouveau Doge était impétueux et voulait tout et tout de suite ! Il obtint la Savoie et Milan de l’Autriche, cela outra notre noblesse, ce Doge nous avaient oublié ? Beaucoup de question se pose aujourd’hui. L’expédition extrême orientale. L’expédition commença sa descente sur la Manchourie, commençant à assiéger les places fortifier de Corée, cette phase dura une année, mais l’armé fut cloué sur place, ne pouvait recevoir de renforts de métropole, face aux infamies autrichiennes ; les troupes durent donc attendre laissant les Russes combattre seul. Ce n’est qu’après la signature de la paix et l’attente d’une réserve digne de ce nom que notre troupe repartirent perçant les rangs manchous et prenant leur capital les obligeant à nous céder le sur de la péninsule coréenne. La descente put alors commençait sur la côte est de l’empire ming, c’est alors que le royaume du mali et que le shogun du Japon nous déclarèrent la guerre à 1 mois d’intervalle, le monde entier était-il tout entier contre nous ? Les 14 milles hommes de l’expédition ne se découragèrent pas, et Beijing fut prit dans le sang, c’est alors que l’expédition amorça sa descente vers le sud sur Jiangsu que d’innombrables renforts arrivèrent, la nouvelle du traité de paix Russo-chinois ne leur était pas encore parvenu, face à ces hordes nos troupes combattirent jusqu'à être recouvert de sang, la dernière bataille engageant 7 mille de nos cavaliers contre 14 milles des leurs vit l’anéantissement total de leur armé, semant la peur chez l’empereur des Mings ! Mais il fallait se résoudre à l’évidence ne pouvions continuer comme sa, nos troupes étaient exténuées et les ennemies commençaient à assiéger les forteresses si chèrement prise, la paix fut donc signer, Frise gagna un comptoir dans la région, malgré sa faible richesse économique, cette terre avait beaucoup de valeur stratégique elle nous ouvrait les portes de la côte est de la chine ! La reprise en main de l’Afrique de l’ouest. « L’agression de ce roitelet nègre d’Afrique sera la dernière, l’usurpateur avait eu la faiblesse de perdre des terres face à ses gueux mais un véritable duc de Frise ne se laissera pas intimidé par une bande de sauvage ! » C’est par cette phrase que fut lancée la reconquête des colonies perdues et la conquête des riches terres du Mali pour empêcher toute reconstruction de ce royaume insalubre. Au début notre roi pensa faire appelle aux polonais pour les appuyés dans la besogne, mais les nouvelles des 6 milles hommes envoyé furent si bonnes que la demande fut abandonnée. Les hordes de guerriers à la peau noires furent massacrées, à la signature de la paix, put aucun de combattant africain n’étaient encore debout, ils étaient tous mort, écrasé sous les sabots de nos destriers. La paix fut conclue en moins d’un an, libérant nos deux colonies perdues, et prenant deux terres riches d’ivoire, pour nous rétribuer. Une armée revenant sur les autres puissances. La période malgré notre déboire face aux autrichiens amena une forte modernisation de notre matériel militaire permettant à nos troupes d’arriver aux hakkapahiste comme les autres grandes puissances et l’arrivé de la tactique de Gustave-Adolphe pour l’infanterie révolutionnant sa capacité sur le champs de bataille! Toute ces améliorations furent en grandes parties dut à notre conseiller militaire Lubbert Dykstraqui après avoir montré ses capacités sur le champs de bataille fut amené à la cour pour travailler à la réorganisation de nos forces face à l’offensive autrichiennes, ses compétence à se poste furent exceptionnels et certain attaché à tout noté lui donnèrent un 6 étoiles ! Quels merveilleux conseiller ! |
La seconde compagne d'Afghanistan et le retrait des Frisons de la Péninsule Arabique.
Les Années suivant la Grande Guerre contre l'Impérialisme Vénitiens virent l'Empire intervenir en Afghanistan pour aider soulager quelque peu le Russe qui commençait à peiner face à l'Armée Chinoise si nombreuse. Malheureusement devant les menaces d'intervention toujours possible à l'Ouest le Sultan ne pu engager que le quart de ses effectifs dans une campagne qui tint presque de la promenade militaire tant l'armée chinoise était inférieur en qualité et en équipement. L'Empire s'empara de toutes les provinces allant de l'océan indiens aux frontières Nord de l'Afghanistan avec le soutien de ses vassaux. La Chine céda finalement 4 provinces Balouches au Sultan pour que ce dernier se retire de la guerre ce qui fut accepté par le Sultan qui se désintéressait quelques peu de cette campagne militaire sans gout. Il avait désormais engagé une autre campagne, diplomatique cette fois, avec la Puissance Frisonne. Le Sultan souhaitait que cette dernière cède sa Suzeraineté sur la péninsule Arabique. Après discussion avec le DUc de Frise, il fut trouvé un arrangement diplomatique entre les 2 puissances ou chacune trouvait son pain blanc. Bien que cette négociation couta cher au Sultan, il jugeait qu'il n'était pas bon, aux vues des condititions diplomatique en Europe, d'infliger au Duc de Frise une défaite supplémentaire. Ainsi en 1640, l'Empire est toujours tout puissant a l'Est du Bosphore. Il s'en renforcé de nombreux centres de recrutement, peu désormais compter sur une armée parmi les plus importantes et les plus modernes du monde. Malgré cela l'Empire reste aux aguets devant les événements Européens qui virent la France et Frise défaites par une coallition des plus étranges : Messages diplomatiques : A la France: Courage, vos ressources sont illimitées A l'Anglais Toc toc, il y a qqn ? A la Suède When do you will rock the World ? A la Pologne Félicitation pour votre développement économique A la Russie Cher voisin, n'hésitez pas à nous faire part de vos éventuelles projets à l'Est. Le Sultan n'aime pas le Chinois. A l'Empereur Teutons Bravo pour votre victoire, mais ne vous liez pas a n'importe qui. A Venise Il semblerait que vous vous inquiétez de l'embargo Impérial, certainement autant que nous nous inquiétons de vos propos vis-à-vis de notre Empire. Nous attendons donc toujours votre ambassadeur pour explication et excuse. Sans cela nos centre resteront fermés. |
Chroniques Autrichiennes 1631 – 1640
Venise, essouflée par sa dernière guerre avec l’empire de la sublime porte ; la France, se préparant à une confrontation avec l’Espagne ; la Pologne, désorganisée par une longue période de régence. L’occasion était trop belle pour ne pas la saisir, de récupérer ce qui nous avait été volée 20 ans plus tôt (Hesse et Nassau). Dés 1630, le projet d’attaque était élaboré, mais c’est en 1631 qu’il démarra. Toute notre armée envahit le duché de Frise. L’empereur avait embauché pour l’occasion, un Pasteur Hollandais, évincé du pouvoir par la confrérie des moines d’Euhutrois, un dénommé Ric Grossach :clap: . Sa réputation de ne « pas faire dans la dentelle », était grandement connue de tous, et l’Empereur lui donna loisir de prouver qu’elle n’était pas usurpée. C’était également l’occasion de démontrer que, « la grosse masse », en Autriche, on sait faire aussi… La campagne fut donc menée tambour battant par Grossach, et rapidement les deux tiers du duché Frison étaient occupés. Alors que les vestiges de l’armée ennemie, faisaient la navette entre la Flandre et Zeelande, c’est le moment que choisit la France, pour voler au secours de son allié. Personne ne lui reprochera de respecter ses engagements, mais était-ce opportun ? Dieu seul le sait. Toujours est-il que cette intervention brisa l’élan de Grossach, et une guerre de position s’instaura, sans que personne ne put savoir jusqu’à quand elle aurait duré. Fort heureusement, l’Espagne, éternel ennemi et rival français, sauta sur l’occasion pour déclarer une guerre qui était déjà imminente, avant l’assaut Autrichien sur Frise. Cerise sur le gâteau, la Sérénissime république de Venise, fort mécontente de l’attitude Française au sujet de la Savoie, se joignit à la fête. Grossach, dans un ultime effort, profita de la confusion et enrôla moults mercenaires, qui délogèrent les français de leurs positions récemment acquises. L’état major Français, devant se couper en trois fronts, jugea bon de jeter l’éponge, laissant à Frise le soin de payer seule, la note. Hesse et Nassau, revenaient dans le giron Autrichien. Messages diplomatiques A Venise Cher ami, nous avons le même objectif : la défense de la chrétienté. Puisse Milan revenir dans le droit chemin de l’église catholique, sous votre autorité. A la France Mon cousin, nos affaires ne s’arrangent décidément pas. Votre politique « pragmatique », comme vous vous plaisez à la qualifier, reste hélas à nos yeux, …nébuleuse. A la digne et fière Angleterre Notre porte vous est toujours ouverte… |
Réaction du Patriarche Orthodox d'Istambul à la missive Autrichienne
Citation:
Il semble que votre conception de la chrétienté s'arrête aux frontières du catholicisme. Vous semblez oublier que les Chrétiens Orthodox, Protestants et Réformé sont aussi des enfants du Seigneur notre Dieu. Nous appelons les Puissances défendant ces cultes à dénoncer publiquement l'intégrisme Religieux dont s'affuble certains grand de ce monde ! Que la Russie, grande puissance orthodox sorte de son autarcie et prenne la défense de notre communauté aux côté de l'éclairé Sultan ! Réaction Pasteur Ric représentant Impérial des immigrés protestants français en Turquie à la missive Autrichienne Citation:
Voilà qu'à votre tour vous excluez les protestants de la communauté chrétienne qui, pour vous, n'est formé que des seuls membres du Culte catholique dont les Eglises semblent plus emplies d'or que de foi et dont les curés bedonnants dégoulinent de corruption. Cette mise à ban des Protestants annonce de nouvelles victimes d'un obscurantisme dont notre Seigneur ne se serait jamais voulu. Revenez à la raison avant qu'un peuple éprit de liberté vienne chercher dans vos églises l'or qui lui permettra d'acheter son pain ! |
La guerre des Dupes (1631-1640)
En l'an de grâce mil six cens quarante et ung, Xavier (:loose: ) roi de France par la grâce de Dieu, m'ordonna à moi, Monseigneur de Montargis, historien royal, de faire le récit de tenir les chroniques de la dernière décennie achevée. Me fut également explicitement demandé d'accorder grande place à la guerre des Cinq. C'est donc pour le plaisir et le bon vouloir de mon roi que j'ai réalisé ce précis de l'histoire de France de la dernière décennie. Contexte : Notre grand roi, noble et preux parmi les princes du monde, avait envoyé cinq ans plus tôt une ambassade au roi d'Espagne pour lui signifier notre ultimatum : il avait 5 années que Dieu fait pour se soumettre ou bien c'était la guerre. Beaucoup s'étonnèrent de cette démarche, mais il faut rappeler que notre roi avait proclamé lors de son avénement sa volonté de conduire la France vers la gloire éternelle. Or la gloire est fortement amoindrie par la spontanéité d'une déclaration de guerre. Plus elle est mûrie par votre adversaire, plus la victoire est grande. Toujours est-il que l'Espagne était avertie et avait 5 ans pour préparer son royaume à la guerre puisqu'il était évident que son orgueil l'empêcherait de céder. Or, voilà qu'en ce début des années 1630, alors que l'ultimatum allait prendre fin dans qlq mois, l'empereur attaqua dans la surprise la plus totale la Frise. Contrairement aux habitudes, aucun ultimatum, aucune demande ne furent annoncées avant les premiers affrontements. Le duché de Frise jouissait alors d'une position diplomatique enviable : allié de notre roi, de la riche Venise et de la lointaine république de Russie. Bien sur, de longtemps, Venise et Frise avait noué des accords étroits et toujours respectés. La France ni la Russie (qui de toute façon ne pouvait atteindre le front) ne devaient intervenir dans ce conflit. Venise et Frise avaient prouvé peu de temps avant leur capacité à écraser les armées impériales. L'entreprise impérial semblait folle. Semblait seulement ! En effet, en y regardant de plus près la situation n'était peu être pas si mauvaise que cela pour eux. L'Espagne, avertie chevaleresquement par la France, était prête à la guerre ou presque et aurait inévitablement porté secours à la maison autrichienne. Venise sortait d'une grande défaite contre les armées turques et avait fortement amoindri son potentiel militaire. Il lui fallait du temps pour se refaire. Surtout, et fort probablement, l'empereur savait que l'assassinat de l'ancien doge avait remis en cause les alliances passées. Il ne s'était pas trompé. Alors que la guerre durait depuis plusieurs mois, la France remarqua que l'Autriche concentrait TOUTES ses forces contre la Frise qui, malheureuse, était débordée face au grouillement ennemi. Notre étonnement fut grand. Mais que faisait le doge. Même avec une armée réduite, il pouvait facilement mobiliser 20-30000 hommes sur le front dès le début des hostilités et mener de nombreux sièges puisque l'opposition était inexistante. Non ! Venise assiégeait le milanais et uniquement le milanais, sans se presser qui puis est en y envoyant un faible corps expéditionnaire qui mis des mois à parvenir à ses fins. Notre roi dépêcha aussitôt un ambassadeur à Venise pour s'enquérir de la position officielle du doge. Celui-ci lui assura, après plusieurs semaines d'attentes (j'aurais très bien pu écrire après plusieurs milliers de frisons supplémentaires morts), que Venise soutenait la Frise contre l'Autriche et avait besoin de temps pour un plus grand effort. L'ambassadeur repartit faire part de la situation au roi. C'est alors que la Savoie, notre alliée récent, décida de profiter de l'embrasement général pour entrer en guerre contre Venise. Cela était absurde et malvenu de la part de notre allié. Nous proposames aussitot une paix blanche à Venise que nous pensions encore animer de bonnes volontés pour la Frise. Contre toute attente le Doge refusa !!! Cette fois-ci c'est une ambassade vénitienne qui vint à nous (nous pumes d'ailleurs constaté à cette occasion que la capacité de réaction et de dialogue existaient chez le doge. Etonnant alors le temps qu'il mis à nous répondre lorsqu'il s'agissait de parler de la guerre et de la Frise...). Le doge nous demandait si nous comptions protéger la Savoie car il souhaiterait l'annexer. Comme le doute sur les véritables intentions vénitiennes à l'égard de la Frise commençait à poindre chez notre roi, il répondit que l'heure n'était pas venu à l'annexion de la Savoie, qu'il y avait une guerre à finir avant. L'ambassadeur revint à la charge avec une nouvelle offre : des terres dans les Alpes pour la France si nous abandonnons la Savoie. Notre roi refusa séchement. Comment Venise pourrait-elle avoir le temps d'assièger la Savoie puisqu'elle n'a, soit-disant, pas d'autres forces à envoyer contre l'Autriche ? Cette question passa dans l'esprit de notre roi. La réponse semblait évidente. Elle fut claire comme de l'eau de roche après un nouvel échange entre le roi et le doge. Ce dernier exprima clairement son but de guerre : Milan. Ainsi, étais-ce sa conception de la guerre défensive ! Venise ne vise qu'a s'aggrandir en abandonnant à son sort son allié. Du même coup, la situation de la Savoie devenait plus claire : Venise restait en guerre car, d'une part, elle se savait non menacé par l'Autriche (au contraire même), d'autre part, elle attendait l'intervention espagnole tout en continuant à reconstituer ses forces. Toujours est-il que le temps s'écoulait inlassablement, face au comportement de Venise, la France décida d'entrer dans la guerre pour tenter de sauver l'Autriche. Mais la situation était déjà pénible, la moitié de la Frise était occupée. La France annonça officiellement son intention. L'Espagne intervint aussitot qu'elle n'accepterait pas une invasion de l'Autriche. La France répliqua qu'elle ne voulait que défendre la Frise et rien d'autre. De fait, pas une seule armée royale ne foula du pied le territoire autrichien de toute la guerre. Hélas, si la France tient parole on ne peut pas en dire autant de l'Espagne. Quelques mois plus tard, elle ouvrait un nouveau front et attaquait la France dans le dos. Alors même que nous avions respecté ses demandes. Bref, nous aurions dû le savoir que la parole espagnol ne vaut pas son or. La situation était très difficile pour plusieurs raisons : - la France, avant cette guerre, avait réformé son armée pour limiter la part de cavalerie à 33% des effectifs totaux. Or, l'Autriche, puis Venise ensuite, ne recrutèrent que, ou presque, de la cavalerie. Les armées n'avaient pas la même structure et cela se ressentit dans les pertes de nos troupes. - l'Autriche et Venise disposaient de généraux, parfois même de très bons, la France n'en avait aucun - la France devait tenir trois front en Europe et donc partager son armée. Sans compter le front américain avec l'Espagne. Alors que l'armée française est une des plus grande du monde, la division en trois lui fit perdre l'avantage du nombre sur chaque front, ce fait s'ajoutant aux autres. Si bien que la France avait envoyer environ 60000 hommes pour soutenir la Frise et avait lancé le recrutement en urgence de 20000 cavaliers supplémentaires. Face à Venise, 30000 hommes étaient réquisitionnés. Face à l'Espagne, dans les Pyrénées, se trouvait plus de 50000 hommes. Le reste de l'armée assurant la défense de l'empire colonial. Si nos armées purent bloquer l'avancée autrichienne en Frise et la repousser de qlq kilomètres, l'usure nous empêcha bientôt de faire un effort plus important. Au Sud, les provinces montagneuses furent abandonnés carrèrement à l'Espagne. Quelques combats s'y déroulèrent avec des pertes plus fortes chez l'ennemi. Mais notre priorité était la Frise, notre attention était fixée la haut. Sur le SE, rien ne se passait. Plusieurs mois s'écoulèrent encore jusqu'à une année noire où l'édifice craqua de toute part : - au Sud, par un débarquement dans le dos de nos lignes, l'Espagne tenta de nous encercler. Il fut repoussé après plusieurs combats mais les armées furent usées et durent prendre du repos. - au SE, Venise envoya 31000 cavaliers commandés sur la Savoie que nous défendions alors avec 13000 fantassins. Malheureusement l'information arriva tard à nos oreilles et quand nous mismes en mouvement nos renforts (20000 hommes) ils ne pouvaient qu'arriver avec 1 semaine de retard. Nos 13000 fantassins disparurent en 3 jours, en pleine montagne la cavalerie parvenait à charger (QUELLE PRODIGE :choc:). Nos renforts stoppèrent leur mouvement pour fixer une ligne de défense derrière le Rhône. 20000 contre 27000 cela était jouable.....nouveau désastre la moitié de mort. La cavalerie parvient à charger à travers un fleuve (QUELLE PRODIGE :choc:). Face à ce désastre, nous sommes contraint de prélever 19000 hommes du front espagnol pour faire face à Venise à hauteur du comtat Venaissin avec les restes de notre armée en déroute. Cette fois-ci, la victoire fut notre et notre adversaire pu s'estimer heureux que notre cavalerie était trop loin pour poursuivre sinon il ne serait jamais revenu en Italie. - au Sud, l'Espagne profita du retrait de 19000 hommes du front pour prendre position en Languedoc. Dans le même temps, une armée débarqua en Bretagne pour prendre le port de Brest où se trouvait la flotte royal. La citadelle fut pris d'assaut et notre marine dû quitter le port en urgence.....l'armada espagnole l'attendait. Malheureusement, personne ne nous avait averti de la chose et nous étions encore en train de suivre du regard l'évolution des fronts frisons et vénitiens. - en Frise, le duc commença a entamer des discussions voyant que la situation ne s'améliorait plus depuis que l'Espagne et Venise passaient à l'offensive Deux semaines plus tard, alors que nous pestions contre l'ouverture de multiples fronts qui nous rendait la gestion de la guerre tout bonnement impossible, alors que nous louions le courage de nos adversaires à 3vs1 (l'armée frisonne était réduite depuis plusieurs mois), nous remarquames qu'un faible contingent espagnol se trouvait en Bretagne. Tiens ? Que font des espagnols si haut. Tiens toute la flotte espagnole est là aussi !................................................. ........OU EST LA MARINE ROYALE ????????!!!!!!!????? Dépité nous apprimes que les 120 batiments français avaient tous coulé. La moitié de la marine espagnole aussi mais c'était une maigre consolation. Nous envoyames aussitot un diplomate suicidaire en Espagne pour lui signifier la honte qui entoure son nom. Alors que nous avions eu le tact de le prévenir d'une guerre suffisament tôt pour qu'il s'y prépare, ce cher cousin d'espagne a coulé notre flotte alors même qu'il avait bien remarqué qu'il était étrange que je la laisse se suicider ainsi. Quelle grande victoire pour l'armada espagnole ! Finalement, la guerre pris fin ainsi. La Frise céda deux provinces à l'Autriche. Venise annexa la Savoie et obtint de son nouvel allié le milanais. Venise venait de réussir le superbe coup de magie suivant : entrer en guerre soit-disant pour soutenir son allié pour finir par être allié avec celui qu'elle "affrontait" et faire la guerre à la France. Diplomatie : Autriche : Je constate qu'en pleine guerre vous êtes capable de vous arranger avec Venise pour le Milanais. C'est fort étonnant quand on sait que vous n'avez pas le temps de discuter en temps de guerre avec nous. Venise : Votre prédécesseur avait obtenu par la patience notre renonciation sur le nord-ouest de l'Italie. Félicitations, nous réclamons à présent la libération de la Savoie, du Milanais et de Gênes. Espagne : :tongue: Angleterre : Vive la France EO : A la place du doge je vous dirai "ok ok faisons copain copain pour obtenir la levée de l'embargo", mais entre vous et moi vous y croyez ? Frise : Votre peuple est voué à vivre au quotidien la guerre, mais c'est le prix de sa liberté. Tenez bon ! Russie : On dit qu'à l'Est la neige est blanche. Ici elle est rouge. Suède : Vous ne seriez pas en train de monter une contre-gpo avec l'Angleterre ? Pologne : .....l'heure est à la méfiance ! Gardez vos frontières. Portugal : Un jour ou l'autre cet embargo va se retourner contre vous. |
Déclaration à la maison de France.
Vous aviez parfaitement le temps avant votre entrée en guerre effective contre l'empire de réflechir et de répondre concernant le devenir de votre allié le Duc de Savoie responsable du déclanchement des hostilités contre la république Vénitienne. Il est à savoir qui souhaita le plus gagner du temps. La maison de France n'a aucune légitimité de ce coté des Alpes. Peut-être la république pourait discuter du statut de la Savoie occidentale trans-alpine avec la France, mais encore faudrait'il que vous acceptiez enfin de discuter avec notre ambassadeur et non ne nous menacer en profitant de votre surpuissance militaire. Encore une fois ce sont les ambassadeurs Espagnols et Autrichiens qui se sont rendu à la cérémonie d'investiture du nouveau doge alors que l'absence de l'ambassadeur Français fut trés remarqué. Si la Maison de France et son roi souhaite s'entretenir avec les services diplomatique de la république voir avec le Doge, nous en serions ravis car nous ne considérons pas du tout la France comme une puissance hostile. Mais peut-être n'est-ce pas votre vision de la république vénitienne des la nouvelle connus de l'arrivée de la famille Morosini au pouvoir à Venise? Déclaration au Sultan de la Sublime porte. Nous sommes trés déçu par l'embargo Ottoman à notre encontre qui rejoins celui de la France.... coincidences étranges. Notre famille à toujour eu des liens commerciaux officiels ou officieux avec l'empire Ottoman.. du moins jusqu'a qu'a la conquete de notre principauté de Morée. Votre politique religieuse conciliante est fortement appréciée à Venize. Cependant l'occupation de la Morée est une probleme de fond trés difficile à surmonter dans notre relation bilatérale. Nous restons ouvert encore une fois à la discution et une échange d'ambassade pourait faciliter ces mêmes discutions. |
Message au Doge
Cher Doge, Comme dit précédemment, l'embargo Ottoman ne tient qu'à une chose : les déclaratiosn officielles de votre Etat faisant de l'Ottoman un ennemi lorgnant sur vos terres. Le Sultan n'exige qu'une chose :des excuses officielles pour ces déclarations rapides concernant une situation que le Doge ne connaissait apparemment pas vraiment. Une fois cela fait nos centre de commerce vous seront ouverts. D'autre part, il semble encore une fois que les Vénitiens ont la mémoire courte. Morée a été annexée après VOTRE guerre d'agression vis-à-vis de la Transylvanie. Et ceci peut de temps après que vous ayez vous même annexé le Duché de Morée que nos 2 puissances avaient précédemment convenu de laisser indépendant. Le Status de Morée est donc le résultat de la politique agressive du précédent Doge. Peut-être y réfléchirons nous à nouveau quand le Doge actuel nous aura montré une face plus plus plaisante à nos yeux. La popultation Orthodox de Morée est pour le moment protégée par le Sultan. |
Réponse française à Venise :
Du temps........... Je vous rappelle que la première fois que vous êtes venu nous parler de la Savoie nous vous avons demandé de régler cette histoire après la guerre pour avoir le temps de discuter. Voyez vous, suite aux dernieres événements dans votre république, nous avions besoin de savoir qu'elle était votre nouvelle position diplomatique (la guerre nous a donné la réponse). Cette discussion était beaucoup trop longue pour être abordé en pleine guerre. Nous n'étions pas opposé à l'annexion de la Savoie comme nous vous l'avons dit. D'autre part, et non des moindres, "avoir parfaitement le temps" quand votre allié est à moitié envahi est une tournure d'esprit pour le moins étonnante. Nous savions que nous n'avions pas la même définition d'une alliance défensive, nous savons maintenant que nous n'avons pas la même conception du temps. La France a accepté jadis de fermer les yeux sur le sort des républiques italiennes. Et pas seulement sur les 3 nommés. Vous parlez de notre légitimité mais vous ? Sur quelle légitimité fondez vous ces annexions ? Le choix de ces peuples ? Je vous rappelle qu'un choix du peuple sonne plus juste par une annexion diplomatique que par la force des armes. D'autre part, nous n'avons pas manqué de remarquer une révolte du peuple de Savoie occidentale trans-alpine. La France, au contraire de l'Autriche, était en longue amitié avec Venise depuis plus de cent ans. Les changements à la tête de votre principauté n'impliquaient pas nécessairement une remise en cause de ce statut. C'est votre politique qui remet en cause cela. A vous de voir ce que vous voulez. |
Réponses de l'Empereur :
Au patricharche de l'église orthodoxe de Constantinople Vous extrapolez nos propos. L'empereur n'a pas remis en cause le schisme d'orient de 1054. Vous vous affolez inutilement. Soyez rassurés, il n'y a pas de population orthodoxe dans le Saint-Empire, et donc nulle raison de hurler à l'intégrisme religieux. Au Pasteur Ric représentant Impérial des immigrés protestants français en Turquie (Mais combien y'a t-il de Pasteur RIC ??? :lol: ) Réveillez-vous mon bon... Cela fait plus de 100 ans, que les Empereurs du Saint Empire ROMAIN Germanique, ont déclaré impies, les thèses luthériennes et Calvinistes. Quoi de plus normal, quand on dispose de l'onction de sa Sainteté le Pape, que de défendre son Eglise ? D'ailleurs, si vous tenez tellement à jeter l'opprobe sur ceux qui défendent l'Eglise Romaine, sachez que la fille ainée de celle-ci, la France, partage le même point de vue que l'Empereur à ce sujet. En effet, le roi de FRance n'a jamais caché ses désirs de convertir ses provinces infidèles, ce dont l'Empereur s'est toujours félicité. Rappelons-nous également que l'Autriche a cédé gracieusement la province de Metz à la France, moyennant une promesse de conversion. |
Message du Kniaz
Au nom du Velche La Russie n'est en aucun cas autarcique. Lors de la dernière guerre entre l'Autriche et la Frise, elle a immédiatement amené 30000 hommes à la frontière autrichienne, à travers les plaines Polonaises, jusqu'à ce que la France annonce qu'elle assumait le rôle de défenseur de la Frise. Nous avons renoncé alors à entrer en action car la guerre à 3 contre 1 ne fait pas partie de nos valeurs, mais si la France n'avait pas souhaité agir nous ne nous serions pas défilé. Nos alliés ont toujours pu compter sur nous. A l'Angleterre: si vous estimmez que mener la guerre aux Mings est une partie de plaisir, n'hésitez pas à vous lancer ! Leur équipements et leurs techniques sont peut etre obsolètes mais leur nombre infini fait que le front est toujours une boucherie, surtout en Sibérie centrale. Ces guerres extraordinairement couteuses ne nous ont jamais apporté que quelques plateaux arides. Mais conformément à nos annonces, nous n'avons pas hésité à dépenser ensuite sans compter pour porter le message du Christ dans ces territoires. Les Mings font toujours partie des nations les plus riches du monde , ce ne sont pas vos tribus d'Amérique du Nord. La Russie est prête à toute forme de collaboration, en particulier au niveau commercial et colonial. Faites-nous donc des propositions au lieu de gémir, nous les étudierons avec bienveillance. Nos voisins se sont montrés dignes de confiance. Nous menons la politique que nous avons toujours annoncé et n'avons été trahis par personne. Pour ceux qui en doutent, nous rappelons notre position générale: la Russie n'est pas là pour changer les rapports de force en Occident, à moins que celà serve notre politique: prédominance en Asie, extension commerciale, succès de l'orthodoxie. Sinon, c'est comme le disent nos marchands allemands: Demerden Sie Sich Quant à notre position vis-à-vis des Balkans, nous resterons en bons termes avec quiconque respectera la religion orthodoxe là où elle est installée. Toute tentative de conversion forcée se heurtera à notre hostilité. Toute libération de nation orthodoxe sera extrémement bien vue par la Russie. Pour l'heure, les comportements se valent. |
Citation:
Regardez un peu la titulature du pasteur ric, bougre d'âne :lol: , si c'est un représentant des immigrés protestants français en Turquie c'est qu'il connaît parfaitement la situation de la France :tongue:. |
Citation:
Après tout, qu'importe... Cela ne fait que conforter l'idée que la France et l'Autriche sont à mettre dans le même sac :chicos: et puis c'est pas "prix repère" mais "marque repère" :tongue: |
1640 –1647. Pas de changement sous le brouillard d’Angleterre
A la traîne technologiquement, ruinée et abandonnée de tous, maudite par les Dieux qui s’acharnaient contre elle, l’Angleterre était bien mal en point en 1640 :( . L’ambitieux programme lancé il y avait déjà 15 ans fut poursuivi avec une vigueur nouvelle : Londres avançait désormais à pas de géants pour combler le fossé immense qui la séparait des autres nations occidentales. En 1643, le monde éberlué apprenait que l’économie Anglaise était désormais la troisième mondiale :clap: . Un océan gigantesque nous séparait toujours de l’Espagne, qui avait quasi le double de nos revenus, et des décennies d’avance dans le domaine technologique, mais le Portugal était rattrapé et la France orgueilleuse laissée derrière nous. L’heure arrivait tout doucement de solder certains comptes : un embargo commercial fut décrété contre Lisbonne. Paniqué, le Portugal vient nous implorer de lever celui-ci, en échange de la levée de son propre embargo illégitime et injuste, qui durait depuis presque un siècle. Soit, l’Angleterre a accepté, mais que Lisbonne soit bien conscient d’une chose : à la plus petite incartade de sa part, nous rétablirons immédiatement notre embargo. La croix dans une main, le mousquet dans l’autre, nos missionnaires extirpent enfin complètement tout le paganisme de nos provinces d’Amérique : des constructions d’églises viennent saluer ce nouvel exploit. Gloire à l’Angleterre, qui a apporté la parole de Dieu :eveque: dans ses contrées sauvages pendant que les autres nations d’Europe ne pensent qu’à leur petit portefeuille. Missives diplomatiques France. Votre alliance contre-nature avec votre du voisin du sud nous surprend et nous inquiète. Nous demandons des explications et vous prévenons que nous vous gardons toujours à l’œil, notamment et principalement cet ambassadeur nommé « Lemarseillais » ( si ce dernier pouvait s’expliquer clairement de temps en temps, cela nous changerait :mrgreen: ) Espagne. Cela ne vous coûte pas trop cher d’entretenir tant de catins ? Ne vous laisser pas vampiriser non plus, tant de monde compte désormais sur vos largesses que la terre cesserait probablement de tourner si vous veniez à disparaître. Autriche. Courage, digne choupinette. Frise. Toutes nos félicitations pour vos succès contre les Mings avides. Portugal. Nous vous avons aussi à l’œil… Venise. Si votre empire colonial est désormais un fardeau pour vous, n’hésitez surtout pas à nous le céder. Juste retour des choses, c’est grâce à notre aide formidable que vous avez pu le bâtir… L’absence de tout retour vis-à-vis de nos sacrifices ne sera pas oublié de si tôt en Angleterre… Tibet. Nous vous remercions pour votre proposition d’alliance, mais sommes au regret de devoir la refuser : l’Angleterre n’est pas isolationniste par volonté, mais par nécessité. La guerre est un privilège de riche. |
Chronique espagnole 1630-1647
Or et libre commerce Après une sombre période au début du XVIIe sièce, où les finances et la richesse de l'Espagne furent ratrapées par des Etats comme la France ou la République de Venise, l'Espagne connue une véritable rennaissance économique en à peine une dizaine d'année. La création de la compagnie des Indes Orientales suite à la capture de Malacca, ainsi que notre avance technologique nous permit ainsi de remonter la pente descendante sur laquelle nous étions dangereusement engagée. De plus, la doctrine commerciale ultra-libre échangiste génialement imaginée par nos penseurs économiques et nos Rois, nous permit d'envoyer des marchands dans tout les centres de commerce connus. La qualité et le talent de nos marchands permettant de supplanter les marchands français et vénitiens. Les revenus de la couronne d'Espagne s'élèveront ainsi à plus de 520 millions de ducats par mois. Parallèlement à ce renouveau, la position diplomatique de l'Espagne fut comme toujours celle de l'équilibre européen : Ainsi lorsque l'Autriche décida de recouvrer ses terres légitimes d'Allemagne illégalement en possession de Frise, et que voyant la France attaquer par la suite l'Autriche, nous ne pouvions et ne devions que suivre notre fidèle allié, et nos armées passèrent les pyrennées. L'unique but de l'Espagne était de permettre à l'Autriche de recouvrer ses terres, et notre royaume n'émit aucune revendication. La guerre fut courte, et volontairement nos troupes avancèrent lentement dans le sud de la France, le but étant de fixer les armées françaises pour que l'Autriche puisse finir sa besogne sans trop de difficulté, sans faire trop couler le sang français contre lequel nous n'avions aucun grief. La paix fut donc signée,l'Autriche eut gain de cause, et l'Espagne signa une paix blanche générale. Pendant cette houleuse période, un changement de Doge à Venise allait avoir des conséquences politique majeures puisque Venise ancien allié de la France et de Frise trahis ses anciens alliés pour s'allier à l'Autriche. Notre sentiment était alors paradoxal. D'une part nous étions heureux que l'Autriche ait enfin trouvé un allié proche de ses frontières, et partageant quelques intérêts communs. Ce faisant l'Autriche navait plus besoin de nous pour assurer sa sécurité vis à vis de sa frontière du Rhin et pouvait voler de ses propres ailes. D'autre part la trahison de Venise, chose que nous exécrons tout particulièrement, eut le douloureux effet de nous rappeler la trahison polonaise. Et le message diplomatique envoyé à Venise avant ces évènements fut amèrement regretté. Ainsi la position diplomatique de l'Espagne se devait d'évoluer et de tenir compte de ce nouvel état de fait : d'une part par un rapprochement et une réconciliation définitive avec la France (chose attendue depuis plus de 200 ans!), d'autre part par une prise de distance avec Venise car la couronne espagnole ne s'aurait s'enticher des traîtres et des miéleux. De la réconciliation avec la France une idée communemment admise émergea aux fil des discussions : les deux royaumes devaient signer leur alliance par la guerre, seul moyen de montrer notre confiance réciproque. Ainsi la France nous incita à la guerre contre Venise contre laquelle elle avait encore de grands griefs. Dans un premier temps nous repugnâmes à attaquer ce pays dont l'allié était notre ami autrichien, mais les propositions de la France nous incitèrent à attaquer, et des revendications très mineures (4 villes coloniales en amérique du sud anciennement espagnoles) furent annoncées. En réalité cette guerre n'était nullement une guerre de conquète, mais seulement une guerre pour la confiance. Parallelement à cela, la France annonça des revendications mineures envers l'Autriche (à savoir la vassalisation de la Suisse) une fois convaincue par nous de ne pas charger inutilement la barque. La guerre fut rondement menée et en quelques jours Venise capitula en nous cédant 4 colonies. Pendant ce temps Autriche et France sont toujours en guerre, dont nous félicitons la modération en pertes humaines, et espérons que celle ci prennent rapidement fin. A vrai dire si la guerre n'aboutit à aucun avantage concret pour un camp particulier, la paix blanche peut très bien être une solution, l'Espagne pouvant dédommager financièrement la France pour ses efforts à la place de l'Autriche, à condition qu'elle suive le modèle de notre modération. Pendant cette période, l'armée espagnole, afin de garantir l'indépendance de ses territoires devant une concurrence de plus en plus acharnée fut portée à 200 000h de façon permanente. Parallèlement la flotte fut considérabelment renforcée pour garantir les routes de commerces trans-océaniques. A ce propos d'ailleurs, l'Espagne signale que du fait de sa doctrine libre échangiste, tout marchand est le bienvenu dans nos centres de commerce, tant qu'il n'empiète pas sur les affaires des notres. Cela à pour corolaire de laisser nos propre marchands faire fructifier leurs affaires dans tout les centres de commerce du monde connus. Bien évidemment nous garantissons le fait de ne pas attaquer les monopoles sur les centres de commerces nationaux. A la France : nous sommes heureux de notre réconciliation, et sommes prêt à servire de médiateur dans votre conflit avec l'Autriche si les deux parties sont d'accords. A Venise : allez et ne recommencez plus. La traitrise est une chose que nous avons en horreur :siffle: , à vrai dire mais si elle ci sert nos propres adersaires, nous ne pouvons pas ressentir de l'amitié ou un autre sentiment approchant pour ceux qui se livrent à une telle activité. Mais le pardon de notre Seigneur se doit d'être appliqué également dans les relations entre Etats. Afin de montrer notre volonté de repartir sur de bonnes bases, nous sommes prêts à vous racheter à bon prix votre empire colonial d'amérique du sud. A vrai dire, notre prix serait tellement généreux, que nous ne pourrions trouver qu'extrèmement désagréable si ces terres étaient vendues à une autre puissance. Au Portugal : vous avez toujours été notre fidèle allié, et avez toujours respecté votre parole. Tant que ces relations entre nos deux pays continuent de la sorte, et que nos marchands peuvent librement commercer, nous resterons des amis en toute circonstance. A l'Angleterre : Votre proposition d'achat des terres vénitiennes en Amérique a reçu à Madrid un accueil extrèmement défavorable. Ce n'est pas de cette manière que les relations entre nos deux royaumes s'amélioreront. A cela est cumulée l'éternelle pleurnicherie anglaise désormais célèbre dans toute l'Europe. Prenez garde que quelque écrivains de théâtre n'en viennent pas à user de ce défaut pour en faire des comédies qui traversaient l'histoire et marquerait votre peuple de cette marque peu flatteuse pendant longtemps. |
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