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jimbo 10/09/2007 21h39

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Démographie Ottomane

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Les plus riches Nations

vince 11/09/2007 10h53

CHRONIQUES AUTRICHIENNES 1562-1576


Après ces années de guerre où l’Empire paya un lourd tribut humain, l’Empereur Friedrich V honora la dernière clause du traité de Düsseldorf (écrite en tout petit), c'est-à-dire la cession de Berg. Cela lui coûta, mais puisque le sceau impérial avait été apposé par ses prédécesseurs, Friedrich s’exécuta. Il y allait de notre honneur.
Puis il s’attela à deux chantiers qu’il jugeait prioritaires :

- augmenter la réserve d’hommes disponibles en cas de conflit. En effet, notre contingent mobilisable était l’un des plus faible d’Europe. Dans un premier temps, des centres de recrutement furent construits dans les provinces les plus peuplées de l’empire, doublant ainsi leur potentiel militaire, tout en améliorant la rapidité avec laquelle les troupes étaient prêtes à combattre. Dans un deuxième temps, l’Empereur décréta la conscription nationale. L’Autriche pouvait donc compter sur tous les hommes valides ayant au moins 21 ans, et non sur les seuls soldats volontaires.

- Le deuxième chantier prioritaire n’était pas le moins compliqué. Il s’agissait de lutter contre l’hérésie luthérienne. … Malgré tout, l’Empereur prit des mesures impopulaires mais qui s’avéraient indispensables. Il décréta des lois religieuses que bon nombre de scientifiques prirent comme un retour à l’obscurantisme (innovation – 1), en favorisant le clergé qui du coup ne rechignait plus à former des inquisiteurs (1 tous les 2,5 ans), chargés de ramener vers la vraie foi les brebis égarées. CE sera u travail de longue haleine pour l’Autriche. L’Empereur, à plusieurs reprises a lancé un appel aux cours européennes, pour qu’elles combattent ce fléau à leur tour(des terres protestantes à nos frontières sont une menace pour le travail accompli) . En vain… Personne dans les grands royaumes catholiques ne se semble prendre la menace au sérieux, au grand dam de l’Empereur. La politique extérieure de l’Autriche risque donc d’être revue…



Preuve des efforts que fournit l’Autriche, sa Sainteté elle-même accorda audience à l’Empereur, et lui proposa d’être son bras armé (alliance). L’Empereur n’imaginait pas à quel point sa Sainteté était belliqueuse, puisque tout à tour, elle déclara la guerre à Venise, avec qui nous signâmes une paix blanche, en vertu du traité de Gênes, puis la Savoie. (guerre encore en cours).





Messages diplomatiques



Au Kniaz de Russie : L’Empereur n’a pas oublié comme vous fûtes une entrave dans sa politique extérieure (lors de la guerre avec la Pologne). Aussi, il ne vous accorde pas la garantie que vous réclamez. D'autant qu'il est hors de question d’attaquer le Sultan qui fut notre allié, et auprès de qui nous avons toujours une dette d’honneur. Toutefois, entre vous et les Ming, l’Empereur préfère que Dieu vous prête victoire.



A toutes les cours catholiques

L’Empereur ne peut que renouveler ses appels à la rigueur cléricale. L’hérésie protestante doit être combattue.

Pedrolane 11/09/2007 11h04

Message diplomatique de Venise :

- A l'Autriche, nous soutenons votre lutte contre l'hérésie et allons vous rejoindre dans cette lutte dès que nous le pourrons, Toutefois comme bien éclairé par notrez ami le Duc de Frise, le Pape a perdu la tete et son comportement à l'égard des nations chrétiennes est plus qu'inaccetable, nous demandons la nominations d'un nouveau pape basé à Jérusalem!

- A la Russie, nous n'avons pas oublié que vous avez essayé de nous entraver dans notre guerre contre l'Espagne en vous laissant acheté comme une vulgaire catin, nous ne sommes pas de cette race d'homme qui se font acheté et nous refusons donc votre offre.

- A l'Angleterre, le lien qui nous unit est encor eplus fort aujourd'hui que l'Angleterre souhaite se consacrer à sa politique intérieure pendant un certain temps, sachez chèr ami que si quelqu'un vient perturber votre "retraite", nous lui ferons payer cette affront.

lemarseillais 11/09/2007 11h46

Message diplomatique du roi de France :

- à l'Angleterre : nous ne vous louons pas pour votre décision de vous retirer des affaires du monde. Cet abandon dissimulé de votre part était une crainte enfuie au fond de chaque français. Le souvenir de votre pitoyable position de neutralité jadis quand l'Espagne nous frappa ne s'est pas estompé avec les caisses de ducats que vous nous réclamez pour sceller une amitié bien particulière.

- à l'Espagne : On peut être déçu par ses amis mais jamais par ses ennemis en qui nous trouvons parfois nos futurs amis. Depuis la dernière guerre, nos deux royaumes, malgré quelques tensions, oeuvrent pour maintenir la paix. Nous aimerions savoir si, malgré votre affront pour le versement du monopole français, vous souhaitez faire un geste supplémentaire vers l'amicalité ? La France propose la tenue de négociations commerciales entre nos ambassadeurs.

- à l'Empereur : Cher voisin, nous ne sommes pas sourd, en France, à ce que dit l'Empereur. Comme nous vous l'avons déjà fait savoir, la médiocrité de nos hommes de foi (taux de conversion effroyable) nous empêche de lancer une vaste offensive contre l'hérésie. Croyez bien que dès que les choses viendront à changer, nous menerons un effort colossal pour ramener à la raison nombre de mes sujets et au dèlà.

- à la Russie : vous connaissez déjà notre position suite à votre demande, nous l'a faisons savoir à tous. La France, tant que la Russie ne montrera pas des signes tangibles d'un changement de politique, ne pourra se porter garant de son intégrité territoriale.

- à toutes les maisons d'Europe : Le sort de Jérusalem nous importe au plus haut point et devrait être le cas de tous bons chrétiens. Nous avertissons quiconque de prendre le risque de remettre en cause la suzaireneté chrétienne sur le tombeau du Christ. Suzeraineté qui pourrait être mis en péril en provoquant l'ire du Sultan. Vous commettriez alors une grave faute envers la communauté chrétienne. De ce fait, la France se fait un devoir de protéger le tombeau du Christ par tous les moyens. Nous prions nos frères catholiques d'Occident de ne pas entreprendre de projets périlleux et dépourvus de bon sens.

Marco Rale 11/09/2007 13h05

Proclamation de la République de Russie:

Nous avons été déçus par les réactions Autrichiennes, Venitiennes et Française à notre appel à un simple soutien moral. L'Autriche et Venise qui semblent se repaître de vieilles rancunes, alors que 6 Kniaz se sont succédés à la tête de notre République depuis les "opérations" contre Venise, et la France rancunnière en plus, et exigeant des clarifications diplomatiques que l'on exige pas d'elle me semble-t-il. Et bien soit! ce modèle de la vertu aura ses clarifications. Voici la position diplomatique de la Russie

- La Russie est en alliance défensive permanente, et en alliance offensive ponctuelle, avec la Pologne et la Suède. Nous sommes liés avec ces Etats frères par ce eue j'appelerais "le pacte des pauvres". Elle secourera ses frères gratuitement et sans compter son sang.

- La Russie est l'amie de l'Espagne et du Portugal, qui ont su nous apporter aide et considération et pas seulement indifférence et réprobation. Mais pour plus de clarté, l'alliance militaire avec l'Espagne sera quittée et sera remplacée par une garantie de l'Espagne et du Portugal de notre part.

- La Russie continuera à louer ses régiments de cosaques et refuse les insultes des moralistes qui prefererait la voir croupir ou ne pas entendre parler d'elle. Mais la différence est que cette location est desormais interdite à l'Autriche, à la France et à Venise, et réalisée à un prix amical à l'Espagne et au Portugal. Elle ne peut servir à envoyer des cosaques contre des nations auxquelles nous avons accordé notre garantie, avec qui nous avons un pacte de non aggression ou avec qui nous avons une alliance défensive. Le service n'est pas assuré lorsque les forces Russes sont engagées ailleurs.

Pedrolane 11/09/2007 13h19

[rp OFF] Ouais en gros ca change pas grand chose à la situation d'avant :siffle2:[Rp ON]

lemarseillais 11/09/2007 13h21

Proclamation du roi de France :


Nous demandions un geste de la part du chef de la Russie. Nous ne pouvons nier l'existence d'un mouvement diplomatique et d'un éclaircissement des positions. Puisque la Russie, par fierté mal placée, considère qu'elle n'a pas à faire le premier pas vers ses anciens adversaires, la France prend acte du basculement officiel de la Russie dans l'orbite ibérique.

Elle refuse d'endosser la responsabilité de la politique russe. Ce n'est pas la France qui a forcé la Russie a loué ses armées à nos ennemis. Ce n'est pas la France qui a rompu le faible dialogue parce que nous ne voulions pas bêtement, sans changement de la politique russe, nous plier aux demandes russes.
Les déclarations autrichiennes et vénitiennes n'en sont pas plus responsables. D'ailleurs ces deux pays n'ont pas vraiment de relations que l'on peut qualifier d'amicales, pourtant ils parlent de la même voix. Tout comme nous ils récusent vos interventions passé contre NOUS.

La Russie doit assumée seule, sans reporter la faute sur les autres, ses choix qui l'ont conduite dans sa situation diplomatique actuelle. Aucune porte n'est fermée, mais ce n'est pas avec ce genre de déclaration que vous pourrez changer les coeurs à votre égard.

La France surveillera très attentivement les réactions des cours catholiques quand la Russie se lancera dans son entreprise contre les Ming, pour laquelle, d'ailleurs, nous lui souhaitons bonne chance.

comeon 11/09/2007 13h58

Déclaration espagnole

A la France : Bien que nous ayons pensé un moment que nos relations étaient sur la voie de la pacification et de l'amitié, force est de constater que vous n'en apportez pas les signaux. En effet votre armée gigantesque menaçant directement nos frontières lors de la crise Porto-vénitienne, nous avons mobilisé en masse pour répondre à cette menace.
Or depuis de nombreuses années, vous continuez à entretenir une formidable armée à nos frontières directes, que cela soit dans les pyrénnées ou bien en Amérique, et cela malgré votre budget inférieur au notre.
Une clarification des intentions françaises nous semble dès lors indispensable.

Concernant l'affaire du monopole de Paris, nous n'avons plus rien à voir avec ce contrat qui a été rompu à votre initiative quand des marchands français en rafale sont venus expulser purement et simplement nos marchands implantés en monopole. Vous avez donc rendu l'accord caduc, et nous n'avons pas à payer. Et encore nous sommes plus que conciliants car nous aurions du demander un remboursement intégral.

Nous sommes ouvert cependant à tout autre type de négociations commerciales, à condition cette fois que la France ai un peu plus de parole :angel:


A la Russie : nous nous félicitons de vos diverses positions diplomatiques. Nous continuerons donc à envoyer quelques dons en or à Moscou, et nous soutiendrons du mieux que nous pourrons votre expédition contre Ming. Plus ou moins d'ailleurs en fonction de la tournure des évènements en Europe comme nous l'avons déjà dit.
Sachez cependant que la guerre contre Ming ne sera pas chose aisé, prévoyez donc une organistion logistique optimale puisqu'il vous faudra parcourir une mince langue de terres de steppes inhospitalière avant de parvenir au coeur de la Chine. Sachez en outre que la Chine possède des forteresses sur tout ses territoires sans exception.

lemarseillais 11/09/2007 14h17

A l'adresse du roi d'Espagne :


Nous sommes disposés à répondre à vos interrogations dans un souci de bonne volonté. Le recrutement, jadis, d'une importante armée n'avait pas pour but de mener une expédition militaire mais simplement d'équilibrer nos effectifs à ceux de nos voisins. Notre guerre contre le Mamelouks pour Jerusalem, la confrontation austro-polonaise, nous ont montré que certains pays disposaient d'une armée régulière de plus de 80000 hommes.

La France, face à cette situation, ne pouvait brader sa grandeur. Nos effectifs furent donc portés à 100000 hommes environ. Si ces troupes ont été massées à vos frontières c'était uniquement dans le cadre de la guerre entre portugais et anglo-vénitiens. Je signe dès maintenant l'ordre de déplacement des troupes.

Quant à notre économie et notre capacité à soutenir une telle armée, je vous suis très obligeant de vous soucier à tel point de nous. Cela nous va droit au coeur :chicos:. Rassurez vous notre économie se porte très bien. Trouvez vous que notre inflation augmente plus vite que la moyenne mondiale ?

Pedrolane 11/09/2007 14h19

Citation:

Envoyé par comeon
A la Russie : nous nous félicitons de vos diverses positions diplomatiques. Nous continuerons donc à envoyer quelques dons en or à Moscou,

L'espagne aurait donc jouer un role dans les diverses prises de positions diplomatiques de la Russie? :yeux:



:siffle:

Danton 11/09/2007 20h06

Déclaration Anglaise




Par la présente, le gouvernement de Sa Majesté d’Angleterre, Mary II la vaillante, fait savoir au monde émerveillé les choses suivantes :



-Les centres de commerce de Zanzibar et Eora ne sont plus à vendre :tongue: et font désormais partie ad vitam Aeternam de la mère patrie Anglaise. Que ce soit dit, que ce soit écrit.

-L’Angleterre quitte son isolationnisme (qui ne fut que très passager :lol: ) et continuera à assumer ses responsabilités pour le maintien de l’équilibre Européen, notion qui est chère à notre cœur. Nous suivrons notre cœur et ferons ce que l’Honneur nous dictera, comme toujours. Noblesse oblige.

jimbo 12/09/2007 15h52

Annonce de l'Ottoman

Le Sultan annonce au Russe qu'il est prêt à ouvrir un second front
au Sud pour permettre au Russe de percer.

Le prix de ce nouveau front est le suivant :

1. Financement des 2/3 des couts d'entretiens des troupes Ottomans
soit 24ducats par mois par la Russie ou de ses amis le payement des 6
premiers mois de guerre ayant lieu avant la déclaration de guerre Ottomane.
Ceci jusqu'à 3 mois après la conclusion d'une paix entre Russe et
Ming afin de permettre au Sultan de négocier à son tour une paix.

2. Ajouter a cela une garantie de la Pologne de sa non agression de
l'Empire Ottoman pour la durée du conflit et les 2 ans suivant.

En contre partie le Sultan fera marcher 60000 hommes contre le Chinois

lemarseillais 13/09/2007 11h56

Ultimatum français à l'adresse de l'Espagne :


Cher voisin, pour la deuxième et dernière fois, nous vous demandons de mettre fin sans délai à votre espionnage de nos côtes. Si les mers sont libres, nous sommes également libres d'agresser ceux qui nous espionnent.
Nous vous laissons 2 semaines (dans EU3).

TCAO 14/09/2007 16h43

Missive Diplomatique de Frise:

A l'Autriche: Très cher empereur la guerre qui a cour aujourd'hui est des plus désagreable pour nous, nous voyons aujourd'hui que la protection demandait de nos terres face aux ogres de l'est à tourner cour, avez vous oubliez que ce sont vos sujets, oubliez vous que 1/3 des hommes pouvant combattre dans mon duché sont dans vos troupes? Partout dans mes terres, le peuples est au désespoir, le saint empire germanique n'est plus que l'ombre de lui même, Barberousse doit s'en retourner dans sa tombe...

Le polonais a affichée ses envies sur mes terres allez vous le laisser faire?!

Qu'elles sont les révendications, les ambitions qui vous ont conduit à la guerre?

Nous ésperons que l'Autriche nous protegera des affres de la guerre, notre nation germanique ne peut meler son sang sur le champ de bataille!

Hendrik Casimir II, Duc de Frise, grand élécteur du Saint empire germanique.

jimbo 17/09/2007 19h20

L'avénement de OSMAN II le Valeureux.

Mustafa III pris le pouvoir de l'Empire Ottoman après que son père Cihangir I "le batisseur".
Il continua d'entreprendre l'oeuvre de valorisation des terres Turques comme l'avait fait
précédemment son père mais fonda instaura égalment une politique basée sur un Etat fort
capable de faire respecter sans intérêt dans la Sphère régionnale de prospérité Ottomane.


Il instaura une Politique dur vis-à-vis de ses voisins Musulmans et n'hésita pas menacer
militairement ceux qui osaient entreprendre des actions qui pourraient destabiliser la
région. Il se proclama également Défenseur du peuple Perse et annexa par la force les
dernières provinces de Culture perse du Royaume Perse.
La constructiond e manufactures d'arme et de centre de recrutement permis de renforcer
les capacités militaires de l'Empire et mettait dans la main du Sultan un outils de premier
ordre pour mener a bien sa politique étrangère.

Sa politique d'intégrations des Perses dans l'empire le poussa à proclamer un édit de
tolérance religieuse à l'égard des Chiites de façon à s'assurer que ces derniers ne soient
trop remuant dans l'Empire.
De plus, il avait pour projet de libérer les dernière provinces Perse non encore intégrées à
l'Empire. Ces dernières étainent détenue par le plus grand Empire que ce monde ait porté.
L'Empire Ming alors en guerre contre la courageuse Russie.

Apèrs consultation de ses conseillers militaires Mustafa décida durant l'an 1585 qu'il était
temps pour lui d'intervnir dans le conflit Russo-Chinois. Il mobilisa 60000 hommes et mit
son armée en marche en direction de l'Est, en direction des grandes plaines...

L'armée principale Ottomane chercha à entrer rapidement au contact de l'armée chinoise
afin de s'assurer la supériorité stratégique sur tout le théatre d'opération.
Le 18 aout 1585, L'armée du Sultan rencontre l'armée principale Chinoise dans la province
de Kypshak. Les armées Chinoise fatiguée par les longs combats contre les Russes sont
prises aux dépourvu devant la discipline de fer des troupes Ottomanes. La cavalerie
Ottomanes mène un rapide mouvement d'encerclement des troupes chinoises avant de
harceler le corps principale.
C'est un vrai carnage, les Chinois incapable de réagir rapidement à la manoeuvre
d'encerclement se retrouvent pris au piège et se font massacrer par la cavalerie Turque.
Le combat se solde par une défaite totale des troupes chinoises qui perdent 18000
hommes dans cette batailles décisive. Seul 2000 Chinois parviennent a s'enfuire avant
d'être rattraper par la cavalerie Turque et massacré. Du côté Ottoman ce sont seulement
1600 braves qui trouvent la mort dans l'affrontement, la victoire est retentissante. Après
cela la campagne n'est qu'une promenade militaire pour l'Ottoman qui fait tomber une à
une les places Chinoises.
Au bout d'un ans de campagne, les Ming cédent les provincess Perses sous leur contrôle
après l'arrivée d'un corps d'élite Ottoman aux portes de Pekin.

Mustafa III vivra juste assez longtemps pour savourer sa victoire avant de laisser à son fils
le talentueux OSMAN II les rênes du pouvoir alors que l'Ouest chrétiens se déchirait dans
un conflit monumentale. Osman pris le pouvoir avec de grand projets en tête, son rêgne
allait changer l'Empire.

Leaz 17/09/2007 22h07

La Pologne sur la voie du modernisme :

La Pologne a la fin du XVIeme siècle est un pays toujours relativement pauvre comparés a ses voisins. Mais le pays avait considérablement changés depuis la fin du moyen-âge.

Les reignes succésif de Kazimierz V, Jan I Kazimierz et Auguste II furent l'époque de la conquêtes des terres germanique et hongroise. Le Brandebourg et la Pomérannie passa sous notre contrôle, tandis qu'au sud nous prîmes positions dans les Carpathes.

C'était aussi l'époque de la grande rivalité entre l'Empereur d'Autriche et la Pologne, voyant d'un mauvais oeil l'arrivée d'un royaume aussi puissant a l'Est de l'empire. La deuxième et glorieuse guerre de Bohème sous le reigne militariste de Kazimierz VI, vit nos armées mettre a bas la puissance de l'empereur avec le concours du Doge de Venise. La Bohème et la Moravie, passèrent sous notre contrôle.

Son fils, August III monta sur le trône en 1536 et il marqua la Pologne a tout jamais par la conquête de la Lituanie dont la lignée dégenerescente n'avait pas hésiter a fricoter avec l'empereur, mençant la Pologne d'encerclement. August III donna la forme moderne de la Pologne, mais c'est son fils August IV, qui a partir de 1556 propulsa le pays dans la fièvre de la conquête du nouveau monde.

Rapidement nos explorateurs atteignèrent l'Amérique, puis repartant vers l'Est dépassèrent le cap de bonne espérance pour finalement atteindre l'Inde et toute ses richesses.

A l'époque, seul le Portugal et l'Angleterre déjà présent sur place occupait quelques îles, ainsi un vaste projet fut mis en place sous l'impulsion du roi pour la colonisation de Jakarta, la "Nouvelle Pologne".

http://img229.imageshack.us/img229/8434/aar3pb9.jpg

Malheuresement l'Empereur profita de cette période et de l'attrait implacable du roi pour ces nouvelles terres pour reconquérir la Bohème-Moravie..

Mais, nos éfforts furent finalement récompenser a la fois grâçe aux épices et au sucre ramener des colonies et qui faisaient la richesses des marchands Polonais. Mais surtout grâce a l'initative du roi Henryk I, toujours au pouvoir, pour la création de la première compagnie des Inde orientale :

http://img159.imageshack.us/img159/8409/aar2fi2.jpg


Mais tout ces éfforts avaient nécessiter l'aide étrangère et le soutiens des Ibériques dans cette entreprise fut décisif. La Pologne s'éloignait de ses alliés d'antans.

C'est ainsi qu'aujourd'hui, alors que l'Europe est en guerre, la Pologne a mis de cotés ses rancoeurs contre l'empereur et bataille a ses cotés contre les forces de la coalition Française.

Malgrés tout ces progrés, la Pologne n'était toujours pas au niveau de ses voisins de l'ouest. Mais le retard technologique restait correcte, l'arrivée a la cour des plus grands conseiller que la Pologne ait eut fut décisive. La marine reformée par Jan Zygmunt Kurozwecki, véritable génie des océans, arrivait enfin au niveau de celui de nos voisins.


http://img213.imageshack.us/img213/7391/aar4ou2.jpg

Ces hommes de talents et cet esprit de renouveau et de modernisme allait bon train avec la réforme qui progressait de plus en plus sur nos terres. La Pologne est alors partager en 4 religions, au nord les marchands Allemands se sont convertis a la doctrine de Luther, tandis que dans le coeur de la Pologne et en Hongrie la réforme Calviniste s'était implantée. A l'est, la Volhynie était toujours Orthodox malgrés nos éfforts pour ramener la province dans la vrais foi Chrétienne.

Un peu partout, les élites des grands pays s'était convertis a la réforme, et un grand nombre de capitales d'Europe n'était plus sous le contrôle du Pape..

http://img228.imageshack.us/img228/6753/aar5dx6.jpg



TCAO 18/09/2007 08h08

Situation du royaume en 1587:

Malgré un développement très rapide par la conquête des mines d'or d'Afrique et de multiple vassalisation des pauvres peuples vivant dans ces contrés reculé de l'océan indien, Frise était à la traine des autres royaumes européens.

La vente des centres de commerces de Tombouctou et de Zanzibar avait bien permit de développer notre royaume mais cela ne faisait que ralentir notre déchéance, aucun grand conseiller n'arrivait à notre cour, et nous n'avions pas comme les mercenaires de l'Est, l'or des ibériques.

Au milieu des turpitudes notre royaume du Nord avait réussi à garantir son intégrité religieuse, après l'arrivé des protestants dans le royaume, plus rien ne se passa, nous furent les seuls à ces latitudes reculées a conservé au sein de notre cour, la bonne foi catholique, mais aucun récompense divine ne venait...

Une guerre sans que ni tète:

Lorsque notre Duc reçu la nouvelle de la déclaration de guerre envers Venise sous un motif des plus vils, et qui n'était plus d'actualité, comme Malacca avait été donné aux français.
Pourquoi alors la guerre?!
Notre Duc tenu par les accords qu'il avait tenu avec le Doge se résigna à la guerre, avec les maigres forces qu'il avait, qui venait de revenir des terres australes.

La plus grave déception fut la trahison de l’Empereur, laissé passer les barbares sur ses terres pour aller piller nos terres ! Notre Duc fut atterré, et pendant plusieurs jour fut prit d’une dépression ayant des problèmes techniques en plus de cette crise.

Nous fumes le premier état à recevoir l’attaque de la coalition, les Polonais pauvres bougre sans honneur dévalèrent sur notre royaume, telle l’ordre des Huns, pillage, massacre, viol, enflammèrent nos provinces du Nord.

La poussé fut t’elle que notre très cher Hendrik Casimir II fut obliger de quitter notre très cher capitale Groningen pour se réfugier dans les Flandres à l’abris du glacis du Rhin pour préparer la reconquista!

Danton 18/09/2007 20h20

1578 – 1586. La voie du Juste





Alors que l’acte de vente des centres de commerce d’Eora et de Zanzibar allait être signés, Mary II s’effondra comme une masse et ne se releva plus jamais :ouin: . L’histoire retiendra que cette grande Reine apporta deux centres de commerce à la Glorieuse Angleterre et oubliera qu’il s’en fallut de peu qu’elle ne els revende peu après. Son successeur, Edouard V, annula en effet immédiatement la vente : Eora et Zanzibar resteront Anglais pour l’éternité :tongue: .



Le nouveau Roi avait un objectif : intégrer l’Ecosse à la mère patrie. Diplomate habile, il passa des mois et des mois à convaincre le conseil d’Ecosse que là était son salut. De nombreuses caisses d’or apportaient plus de poids à ses propos. Tout cela en vain :enerve: . Au quatrième échec successif, le Roi se leva de son trône, rouge de colère, hurla et vociféra comme jamais et s’effondra finalement, terrassé par tant d’ingratitude.



Son fils, Edouard VI, lui succéda et fit passer aux oubliettes ce projet d’intégration de l’Ecosse : son objectif, c’était les prévôtés. Grâce au soutien financiers de riches mécènes, que l’Angleterre remercie au passage ;) , 40% du territoire se vit doté de ces nouvelles infrastructures en quelques années seulement. Un centre de commerce apparut au sein de notre empire colonial d’Amérique : tout allait pour le mieux :) !



C’est alors que le riche ploutocrate obèse qui monopolisait les ¾ des richesses du monde se leva de son trône et, soufflant, s’exclama : « Ola, le Vénitien, tiens toi à l’écart du centre de commerce de Malacca, je le réserve pour mon sbire Polonais. Allez, mes braves, haro sur le baudet ! ». Et le ploutocrate de lancer en riant grassement un sac rempli d’or sur le Doge éploré qui hurlait en vain ses bonnes intentions : ce fut immédiatement la curée. La meute hurlante se précipita, avide de récupérer les quelques pièces lancés par le riche ploutocrate, avide de planter ses crocs dans la douce chaire de la malheureuse victime afin d’évacuer la rage qui les habitait de savoir qu’ils n’étaient plus que des laquais du riche ploutocrate :tongue: . Un jour peut-être auront-ils le courage de se retourner contre leur maître et de gagner un butin 100 fois plus riche que les misérables piécettes lancés par leur maître ! Un jour peut-être se souviendront-ils qu’ils étaient jadis libres et avaient le cœur pur, avant de vendre leur corps et leur âme au riche ploutocrate, par peur très certainement.


Mais l’heure de la rédemption ne semblait pas pour maintenant et le Doge criait de plus en plus fort : il jeta loin de lui la maigre pitance qu’il avait gagné et qui avait attiré contre lui tant de charognards, espérant par là sauver sa noble peau. Le Roi de France, habile footballeur (qualité que ses ancêtres ne retrouveront jamais :mrgreen: ), intercepta le butin et le fit sien. Qu’à cela ne tienne, la meute poursuivait ses attaques et le riche ploutocrate ne cessait de rire toujours plus fort : pour quelques pièces, infime goutte d’eau dans l’océan de ses richesses, il venait de se débarrasser, fort peu glorieusement certes, d’un souverain qui avait refusé de se vendre à lui, renforçant par là même encore plus son pouvoir déjà inégalable et se rapprochant toujours plus de la domination universelle dont il rêvait secrètement :?: .


Le cœur tendre, doux et aimant :mrgreen: du Roi d’Angleterre se serra : il ne pouvait laisser pareil massacre se dérouler sans intervenir. Le Doge était de plus son allié de longue date. Londres se jeta dans la mêlée sans hésiter un seul instant, tout en ignorant pas que c’était sans espoir : juste une victime de plus pour la meute :ouin: . Mais pour certains, l’Honneur a encore une signification. Beaucoup de souverains ont vendu le leur au riche ploutocrate, mais le Roi d’Angleterre ne brade pas son Honneur. Noblesse oblige. La Frise et, surtout, la France puissante décidèrent à leur tour de s’interposer, mais comment ces preux pourront-ils à eux seuls repousser la meute, excitée par les sacs d’or que le riche ploutocrate lançait partout autour de lui afin d’éloigner les envieux de sa colossale richesse, acquise en dépouillant le reste du monde :?: ?


L’Histoire retiendra que devant le danger et la lutte sans aucun espoir, l’Angleterre n’a pas hésité, attitude à comparer avec ceux qui ont préféré se laisser acheté :tongue: : la défaite oui, mais l’Honneur sera sauf ! Honneur, Justice, Intégrité ! God Save The King !

jimbo 21/09/2007 13h11

L'incursion en Pologne d'Osman II

La guerre qui éclata en 1587 entre les les principaux empires Européens s'annonçait
sanguinaire.

Osman II y vit un moyen de faire entrer l'Ottoman de plein pied sur la scène Européene et
s'affirmer comme un interlocuteur de poids à l'Est. Comme ses prédécesseurs, il était
persuadé que l'Ottman devait affirmer sa position vis-à-vis de ceux qui l'avaient longtemps
ignoré.

Lorsque la Pologne changea de camps devant les proposition de gain faites par le
talentueux monarque français le conflit sembla prendre une autre tournure. Les EMpire
Colonniaux Ibériques et leur alliés Autrichiens semblaient devoir passer à la défensive.
L'Autriche se retrouvait soudain entourée d'ennemis.

Le Sultan qui avait imaginé, dans un temps, entrer en guerre contre la Pologne. En effet
imaginer que ses trois grands voisins s'entendent, tenait du couchemard pour le Souverain
Turc. Il fallait empêcher cet axe de se développer à tout prix et surtout l'empêcher de se
renforcer. Le retournement de la Pologne rassura le Sultan qui voyait à nouveau
Autricheins et Polonais s'affronter et ainsi le cauchemard d'une Triplice aux portes de la
Turquie disparaitre.

Néanmoins, Le sultan n'abandonna pas l'idée d'une opération contre la Pologne, il se
souvenait que cette dernière avait participé au depeçage des Terres Tartares du nord et
voyait ici une bonne occasion de faire payer ce vieil ennemi.

Dans le même temps, la mise en échec de la Pologne permettrait d'éviter qu'un voisin de
l'Empire se renforce et à coup sûr renforcerai les relations avec Vienne, seul allié potentiel
dans la région.

L'arrivée des émissaires Ibériques promettant une participation de ces derniers aux frais
de guerre acheva de convaincre le Sultan qui envoya ses puissants Janissaires mettere à
sac la POlogne.

Les généraux pestèrent contre ce Sultan ambitieux qui déclarait une guerre alors que seul
18000 Soldats étaient dans leur casernement le reste de l'armée franchissant a peine le
Tigre après l'opération contre l'Empire Ming. Les effectifs Ottomans

étaient encore affaiblis par les dures conditions de vies dans les Steppes orientales et le
tiers des effectifs devaient être reconstitué soit environs 30000 hommes.

Heureusement, la Pologne était elle aussi découverte et les 18000 hommes initiaux pures
avancer en Pologne et contenir les contres- attaques de 12000 à 15000 Cavaliers Polonais
le temps que 30000 Hommes les soutiennent et que quelques troupes des vassaux
Ottomans rejoignent lle thératre d'opération.

La Campagne fut sanglante mais vu la Pologne se cantonner à retarder l'implacable
avancée des Janissaires qui disposaient d'une supériorité écrasante. Tout le Sud de la
Pologne y compris Cracovie qui vu l'entrée du Sultan en vainqueur. Lorsque ces
adversaires vinrent demander la paix le Sultan fut clément car conscient que cela n'était
qu'une victoire stratégique et que son ennemi s'était battu avec vaillance. Ainsi réclama-t-il
l'abandon des prétentions Polonaises sur la Transylvanie sont vassal et le versement d'une
indemnité symbolique de 50 ducats.

Cette victoire stratégique marquait l'entrée de plein pied de l'Ottoman dans la diplomatie
Européene.

L'ere de l'Ouverture pouvait commencer


Danton 21/09/2007 22h24

Les ploutocrates écrasent les ingrats




Alors que la lutte semblait sans issue, le Roi de France, de nature fourbe et perfide :tongue: , réussit à convaincre la Pologne de changer de camp: les Preux semblaient enfin avoir une petite chance, non pas de vaincre, le rapport de force restait bien trop en leur défaveur du fait de la non préparation de certains :?: , mais bien d’obtenir le match nul… Espoir qui allait voler en éclat avec l’intervention Ottomane dans les plaines de Pologne.


Puissance navale et coloniale, l’Angleterre allait laisser, comme prévu, le théâtre européen à ses alliés et se charger de trois tâches colossales qui allaient demander, pour pouvoir être menées à bien, un investissement énorme de la part de Londres, bien supérieur à tout ce que ses alliés allaient probablement engagés :

-Défendre les possessions Asiatiques de l’ensemble de la coalition, véritable talon d’Achille de celle-ci puisque l’Angleterre, Venise, la Pologne et la France possédaient là de trop nombreuses provinces très peu défendues et notamment des colonies, qui allaient être dérobées par le Portugal :( . Pour assumer cette tâche colossale, il n’y avait que l’Angleterre : la flotte de Venise, présente en Asie, était constituée uniquement de galères, qui ne pouvaient offrir le moindre résultat. Les troupes Françaises, elles, ne couvraient que moins de 10% des possessions de la coalition et étaient incapables de protéger le reste, faute de supériorité navale.

-Défendre les possessions Vénitiennes d’Amérique du sud. Pour cela, il fallait amener des renforts et donc disposer d’une flotte capable de s’aventurer au milieu des océans hostiles, balayés par les redoutables marines de guerre Ibérique. Là aussi, seule l’Angleterre semblait capable de mener cet exploit à bien.

-Contester la totale domination navale des Ibériques, qui leur offrait un avantage inimaginable sur tous les fronts, Européens et non Européens. De tous les membres de la coalition, seule l’Angleterre semblait disposée à se saigner aux 4 veines pour essayer cela : pour le bien commun, Londres n’a pas hésité un seul instant.



Acte I. La guerre en Asie



Dès le début des hostilités, toute l’attention de Londres, se porte comme prévu sur l’Asie : le général Daniel Sauders livre une farouche bataille contre les Portugais qui se lancent à l’assaut en Australie.


http://img503.imageshack.us/img503/3...ers1857ju7.jpg


L’arrivée in extremis de renforts permettra de remporter la victoire et la contre-offensive commence, victorieuse, mais se heurte très vite aux renforts Portugais : plus de 30.000 soldats se disputent désormais l’Australie. Londres a ainsi déjà atteint son premier objectif : la défaite de la garnison Portugaise a amené Lisbonne à précipiter en Australie toutes ses troupes d’Asie. Les colonies Vénitiennes, Anglaises, Françaises et Polonaises sont sauvées pour le moment :) !


La lutte reste cependant indécise, Anglais et Portugais prenant l’avantage à tour de rôle : il devient évident pour les deux pays que le vainqueur sera celui qui amènera le premier des renforts supplémentaires. Une victoire Portugaise en Australie et c’est tout le front Asiatique qui est perdu :ouin: .


Le 6 février 1588, une bataille navale décisive a lieu au large des côtes Australiennes : de son issue dépendra le sort de la guerre sur ce front. Les effectifs engagés seront maigres, mais l’importance de la bataille n’échappe à aucun des deux protagonistes, qui refusent d’abandonner malgré l’augmentation vertigineuse des pertes. La flotte Portugaise est plus nombreuse et, surtout, bénéficie de l’avantage technologique :?: . La Royal Navy contrebalance à peine ces avantages par une supériorité numérique en navires de guerre.


http://img514.imageshack.us/img514/8...lie1588ga7.jpg


La boucherie cessera un mois et demi plus tard : 95% des flottes Anglaises et Portugaises ont sombrés, c’est un match nul qui laisse Anglais et Portugais incapables de reprendre la lutte pour la victoire en Asie. L’intervention des flottes Espagnoles et Françaises aurait permis de relancer les hostilités sur ce front, mais ces deux pays avaient le regard tourné vers l’Europe. Néanmoins, l’Angleterre, et la coalition avec elle, pouvait s’estimer satisfaite : le talon d’Achille Asiatique était sauvé :clap: .



Acte II. La balance penche du côté des ploutocrates



En application totale de ses plans de guerre, communiqués à Paris, l’Angleterre se lance alors sans compter dans son seçond objectif : contester la domination navale totale des Ibériques, à peine secouée par la neutralisation mutuelle des Anglo-Portugais en Asie. Un immense effort de construction navale est lancé, les chantiers tournent à plein régime, le royaume s’endette : rien n’est trop cher pour assurer la victoire de la coalition. En un peu moins de deux ans, la marine de guerre Anglaise, déjà importante, augmente de 40% :mrgreen: ! Le trésor royal est vidé pour des années, mais Londres est décidée à remplir sa part du contrat au sein de la coalition : le domaine naval, ce sera notre affaire.


Malheureusement, les coalisés, eux, ne rempliront pas leur part du marché. Bousculés en Europe, ils sont de plus en plus acculés à la défaite et en viennent à nous appeler à l’aide, en désespoir de cause. Résultat, le troisième objectif Anglais, aider Venise en Amérique du sud, doit être retardé : nos régiments passent en France et sur les colonies Françaises d’Amérique du nord.


La surprise sera double. Dans le sud de la France, où l’Espagne a percé, aucun combat et les régiments Anglais restent des mois entier en soutien, prêt à venir aider les plus de 50.000 Français qui sont maintenus sur ce front… Mais qui ne bougeront pas d’un iota. Et c’est pour contempler les épouvantails amorphes Français qu’on nous a appelé et que nous avons retardé notre offensive en Amérique du sud ??? En Amérique du nord, grande satisfaction de Londres, les Français bougent et ne cessent d’appeler à une offensive commune. Mais ils semblent se tromper de côté et ne cessent de s’enfuir toujours plus loin à l’est, vers les possessions Anglaises et non pas Espagnoles…


Les appels à l’aide du Doge devenant de plus en plus pressant, les troupes Anglaises stationnées en France se mettent en mouvement : les épouvantails amorphes de France promettent de soutenir notre percée périlleuse vers l’Italie mais, comme lors des batailles de Pensacola jadis, les promesses Françaises ne seront pas suivies d’effet. Plus de 15.000 soldats Anglais se heurtent aux Impériaux en Suisse, sous le regard passif des hordes Françaises adjacentes, qui ne bougent pas le plus petit orteil. Ce sera l’inévitable défaite, mais l’Angleterre parviendra néanmoins à rejoindre l’Italie, où le Doge est en grand péril. La coordination Anglo-Vénitienne se déroulera, elle, au mieux et les deux pays n’hésiteront jamais à lancer leurs troupes au combat.


Les Impériaux reculent et, voyant le gros du travail accompli, les troupes Françaises se ramènent enfin. L’espoir d’un match nul en Italie renaît, mais trop brièvement : la Pologne est écrasée et l’Empereur ramène ses troupes. Pire, des armées Espagnoles et Portugaises entrent à leur tour dans la guerre : mais pourquoi ne sont-elles pas engagées sur le front des Pyrhennées ? Celui-ci serait-il totalement amorphe, comme certains le prétendent ? Cette bien étrange passivité scelle en tout cas le sort de la guerre en Italie : c’est la déroute.



A suivre…

Danton 22/09/2007 11h07

Acte III. La course contre la montre



La double défaite de la coalition, en Italie et dans les plaines Polonaises, rendait l’issue de la guerre de plus en plus certains et des voix s’élevaient pour réclamer la fin de celle-ci. L’Angleterre, qui depuis le début s’était lancé dans le conflit dans une optique de guerre longue, se trouvait à l’avant-garde de ceux qui souhaitaient poursuivre la lutte, et le Doge, fidèle allié, décida de rester à nos côtés, malgré une situation de plus en plus difficile. La France, dont le potentiel, sous-utilisé, était toujours en grande partie intact était elle aussi favorable à continuer le combat. Hâtivement, la Royal Navy prit la route des Amériques pour débarquer les trois vagues prévues pour aider le Doge. La situation en Amérique du sud était telle que Londres du renoncer à d’abord débarquer toutes ses hordes puis seulement lancer l’offensive de reconquête : la première vague fut immédiatement envoyée dans la fournaise. La bataille fut acharnée et des milliers de soldats Anglais et Portugais tombèrent ce jour là, mais ce fut une défaite :ouin: .



Qu’a cela ne tienne, cette première vague allait se refaire en attendant l’arrivée des deux vagues suivantes : les moyens de transport de la Royal Navy était en effet limité, la priorité ayant du être donnée aux navires de guerre, l’Angleterre étant le seul membre de la coalition à tenter de contester la domination navale totale des ploutocrates. La tâche qui reposait sur les épaules Anglaise était vraiment immense, et Londres l’assumait sans recevoir aucun soutien des royaumes ingrats :?: .



Les ultimes renforts navals rejoignirent enfin la Royal Navy, qui embarquait une vague supplémentaire pour le Brésil : l’heure de la chasse allait enfin pouvoir être lancé :=(: ! Nos fiers navires de guerre, construit à très grands frais, allaient pouvoir s’abattre tel l’aigle royal sur sa proie terrorisée. Et c’est à ce moment précis que les ploutocrates usèrent de la crédulité des ingrats pour obtenir une paix généralisée : la Pologne vaincue voulait la paix et comme elle était chef d’alliance, ce fut un jeu de domino. Tant d’efforts pour en arriver là. A Londres, la frustration était immense : notre coûteuse machine de guerre avait été stoppée en plein élan :enerve: .



Comment expliquer la déroute des royaumes ingrats ? Une telle défaillance ne pouvait naturellement venir que de la France, pivot de la coalition en Europe. Assurément, le Roi de France du sentir que ses alliés allaient lui demander des comptes, aussi il s’empressa de lancer un écran de fumée pathétique en pointant du doigt l’Angleterre. Mais personne ne fut dupe, si l’Angleterre avait parfaitement remplis ses objectifs ( et les aurait remplis bien mieux si elle n’avait pas été appelée sans cesse et sans raison valable aucune par un Français trouillard et paniquard :tongue: ) , il n’en était pas de même pour la France, que nous avions du tirer de force vers l’Italie : sans la courageuse intervention Anglaise, aucun soldat Français ne serait jamais venu aider le Doge, les immenses armées Françaises préférant rester l’arme au pied sans bouger face au front Espagnol, à attendre une très hypothétique offensive Ibère. Et pendant ce temps, Madrid et Lisbonne, rusés, laissaient un écran de fumée devant le Français et expédiaient le gros de leurs troupes pour soutenir l’Empereur...


TCAO 22/09/2007 11h51

"Pardonnez-leur, parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils font"






La guerre qui avait des plus mal commencé pour Frise prit un tour nouveau avec le retournement des polonais ! La France avait réussi à faire battre en leurs cœurs l’appelle de la chevalerie ! Mais le conflit ne s’annoncé pas des plus facile tout de même, l’empire avec ses armées importantes et ses réserves de troupes, continué toujours d’être un adversaire plus que coriace, avec un duché de Frise, sans réserve de conscrit à envoyer, une république de Venise devant se battre sur 2 fronts, l’aventure était des plus risqué, mais l’honneur nous obligeait à nous battre ! :(



Frise avait prévu de continuer à renforcer ses forces tranquillement avant de passer à l’attaque mais l’empressement offensif des polonais nous obligea à passer à l’offensif dans la région du Hanovre, nos faibles forces ne pouvaient peser lourdement sur la balance et la campagne fut un désastre, nos armer même numériquement supérieur ne firent que des dégâts que faible sur les armées autrichiennes. :o:



L’entré en guerre des ottomans contre la Pologne mit fin à tout espoir de notre coté, sans la Pologne que pouvions nous faire ? Venise était débordé, la France faisait face aux Ibères ! :mouais:



La dernière grande offensive dans à travers les alpes lancées par les Anglais, avec le soutien des forces françaises démoralisé par leur dernière défaite, et notre cavalerie a bout de souffle, ne put changer le court de la guerre, nous avions perdu ! :ko:



Frise avait apprit une leçon lors du conflit, le Duché serait prêt à répondre à la prochaine guerre ! Le Duché devait sortir de sa léthargie coloniale pour se refixer sur le continent !

Les néerlandais combattront pour l’honneur et la gloire !:roi:

Marco Rale 23/09/2007 23h18

http://img221.imageshack.us/img221/5686/aar1588ac9.jpg

lemarseillais 24/09/2007 14h56

CHRONIQUES FRANCAISES 1562-1576


Une période de paix à la romaine.


Ces années en France furent marquée par une maître mot : expansion.

Dans le domaine militaire, la France prit conscience que les armées de ses voisins atteignaient des proportions supérieures à notre armée, ainsi en Autriche ou en Turquie, nos informateurs nous faisaient parvenir les chiffres de 80000 hommes pour l'armée régulière. Le roi prit donc la décision d'adapter ses effectifs à l'augmentation des armées voisines. Un effort fut fait pour réformer l'armée et grossir les troupes. L'armée française fut portée à 110000 hommes pour l'armée régulière se répartissant ainsi : 20000 en Amérique et 90000 en France.

Sur le plan économique, notre grand roi argua du fait que c'était el commerce qui faisait toute la richesse de l'Espagne. La France devait en faire autant. Une grande politique commerciale fut menée et petit à petit les fruits tombent même si la lutte est difficile. L'économie français est en progrès constant et rattrape petit à petit la Portugal, 2e puissance économique.

Sur le plan colonial, après avoir découvert l'Indonésie et établit 2 premières colonies, il fut décidé de mener une politique vigoureuse d'expansion dans cette zone par la conquête de terres autochtones. L'objectif étant de conquérir les ressources les plus demandées dans notre royaume et chez nos voisins. Sans de grande difficulté, si ce n'est logistique, la France fit la conquête de plusieurs colonies de Piment, de Tabac, de Tissus.... Surtout, le centre commercial de Malacca, gonflé par les colonies françaises, ne pouvait plus échapper au roi de France.

Diplomatiquement, la France perpétua ses bonnes relations avec ceux qui forment ses alliés ou bonnes relations. A l'Angleterre qui se plaignait dans manque d'aide financière de la part de la France, arguant du fait que l'Espagne payait bien ses "alliés", notre roi lui répondit qu'à sa connaissance l'Espagne ne versait pas d'or au Portugal. Pourtant, la différence économique entre ces deux pays équivalait grosso modo à celle entre la France et l'Angleterre, c'est-à-dire pas énorme. Nous ajoutâmes que si l'Angleterre était de facto allié à la France, c'était simplement par intérêt commun et non parce que nous avions "acheté" l'alliance anglaise.
Néanmoins, par bonté d'âme, le roi écouta tout de même le discours anglais prenant sur lui l'impolitesse flagrante de la demande. L'Angleterre ne pouvait pas assumer seule le contrôle des mers, elle n'avait pas les moyens de se payer une immense flotte rapidement. Le roi assura donc son homologue anglais qu'un effort serait fait par la France dès maintenant et qu'une flotte française digne de ce nom verrait le jour.

C'est là que le roi anglais dit en gros : "non mais donne moi plutôt l'or pour que je batisse les navires. Ma marine est plus forte que celle française". Notre roi ne manqua pas de répondre :" tu me demandes de te payer ta flotte sans savoir si un jour tu ne vas pas la retourner contre moi". Le Roi d'Angleterre jura sa bonne foi et son sens de la loyauté, etc.
La France accepta et envoya en une petite décennie 2000 ducats à l'Angleterre qui pu ainsi produire environ 30 caravelles supplémentaires. L'histoire nous montrera quelques années plus tard, après la défaite dans la guerre des 2 blocs, la faible reconnaissance anglaise et son incroyable impolitesse puisqu'elle reprochera à la France de ne pas s'être bâtit une flotte et d'avoir laissé seule l'Angleterre dans la lutte pour le contrôle des mers. Osant se faire passer pour le Sauveur des colonies françaises indiennes alors que sans notre or sa flotte aurait été moitié moindre et n'aurait pu que fuire face aux ibériques.

Mais comme tout propos n'est jamais vain, la démonstration de mauvaise foi anglaise nous a ouvert les yeux. L'Angleterre sera évidemment ravi d'apprendre que la France poursuivra son effort d'aide à ses alliés de manière plus soutenu encore. Comme l'Angleterre le prône, il faut aider les plus "faibles". Nous serons donc disposé à aider financièrement la Frise et la Pologne. L'Angleterre, malheureusement, et Venise, dans une moindre mesure, ne répondent pas aux critères de "faiblesse économique".
D'autre part, pour ne plus laisser seule l'Angleterre dans la lutte des mers, nous allons batîr une flotte digne d'elle et ne pourrons plus, à notre plus grand regret, financer l'effort naval anglais.

Leaz 24/09/2007 17h27

Guerre et défaite, Pologne 1562-1576 :

A la veille de la guerre la Pologne, aux cotés de l'Autriche et des royaumes Ibériques s'apprétait a fondre sur l'innocent royaume de Frise. Mais c'était sans compter la venue a Cracovie d'émissaire Français, venus de Paris dépêché expressement par le Roi lui même.

Aprés moultes tractations diplomatique un accord fut trouvé entre la France et la Pologne, désormait le roi combattrait aux cotés de l'alliance Française, pour la plus grande gloire de la Pologne !
:epee:


Le roi Henryk I n'avais jamais oublié les conseil de son père, qui perdis la Bohème-Moravie contre l'empereur : "Méfie toi de l'Autriche mon fils, ces hommes, les Habsbourg sont des fous et leur coeur est corrompus par le mal. Prends-en toujours garde car tel le loup affamé ils n'hésiterons pas a se jeter sur nous lorsque le royaume sera au plus bas !"

La guerre débuta donc par de violentes batailles dans le nord de l'Allemagne. Nos troupes prirent rapidement position dans le "corridor de Lübeck" pour établir au plus vite le contacte avec la Frise. L'empereur réhaussa son dispositif, initialement disposé contre la France et bientot les tremblements des sabots des 40 000 chevaliers impériaux se firent entendre.

Gustaw Lancoroñski, maréchal du roi, a la tête de nos troupes décida de prendre l'initiative en fixant l'enemis a Erfurt. La doctrine militaire polonaise datant des dernieres guerres contre l'empereur, il y a plus de trente ans tout le monde pensait que la supériorité incontestable des hussards suffirait a briser les lignes énemis :


http://img263.imageshack.us/img263/3692/aar6ph2.jpg

Malgrés l'infériorité numérique le morale de l'enemis flancher, et les renforts de la cavalerie Frisons n'était toujours pas arriver. Mais alors que l'enemis tremblait de peur devant les charges redoutable de notre cavalerie nos hommes tombaient par milliers, nos rangs fourdoyés par l'éfficacité des nouvelles armes enemis. Alors que nos troupes composés éssentiellements de paysans, organisés selon le modèle des Janissaires orientaux se battaient courageusement au corps a corps nos énemis utiliser les nouveaux régiments organisés selon le schéma Maurice de Nassau.

La victoire fut arrachée mais a quel prix. Nos troupes décimées venait de perdre l'initiative et la guerre s'annoncait longue et épuisante.

C'était sans compter sur la pérfidie du Sultan de la sublime porte, qui se jetta sur les terres polonaise, ramenant toute ses armées du fin fond des steppes, venus des terres de Perse jusqu'a a la frontière de l'Indus, semer la mort et la désolation sur nos terres.

Nos troupes décimées par les affrontements contre l'Autriche furent incapable d'organiser la moindre contre attaque et le Sultan atteignait déjà Cracovie. En fuite le roi réussit a rejoindre les Hussards noirs, derniers cavaliers du royaume a tenir encore haut la banière et l'étandards de la Pologne.

Malgrés l'organisation d'un réduit dans les pauvres terres du nord de la baltique la lutte était finis pour la Pologne qui ne pouvait plus que compter ses morts et attendre la fin du cauchemard.

TCAO 24/09/2007 18h00




Missive Frissienne:

A l'Autriche:
Lors de la dernière guerre nous avons été surpris des moultes trahisons que vous effectuer, vous avez autorisé le passage des polonais sur vos terres alors que le traité de Dusseldorf prévoyé ce cas de figure, vous avez aussi trahi Venise qui avez chercher avec vous une base de paix durable. Vous comprendrez que la confiance que l'on mettait en vous, très cher roi d'autriche, en à très largement souffert, nous prenons toute fois compte que vous n'avez toute fois menez de siège en notre sein, et nous ésperons pouvoir remettre sur pied notre entente cordial.

A la Pologne: Nous vous remercions d'avoir su trouver la voie de notre seigneur tout puissant, et de nous avoir rejoint dans notre lutte contre l'injuste et le félon, nous reconnaisons votre pouvoir sur les terres d'indonésie, Frise vous ouvrira ses ports pour faire transiter vos hommes vers ces nouvelles terres. Notre sang a coulé sur la même terre et c'est entremélée pour ne faire qu'un, nous éspérons pouvoir continuer sur cette nouvelle voie diplomatique de respect et d'entre aide mutuel.

A la Russie: L'annonce de votre victoire sur les hérétiques de chine nous ravie, nous éspérons que vous pourrez pousser la puissance de la foi chrétienne dans les contrés reculé de l'est. Nous sommes aussi très heureux de l'annonce de la fin de votre mercenariat, nous ésperons pouvoir aujourd'hui établir de très bonne relations avec la sainte république de Russie pour un futur radieu.

lemarseillais 25/09/2007 18h46

Déclaration diplomatique :

A la République de Russie, nous nous réjouissons d'apprendre que vous avez mené à bien vos objectifs orientaux. Votre nouvelle position diplomatique quant à vos relations, à l'avenir, avec les autres nations européennes est digne de votre nouveau statut. Sachez que nous la comprenons et la respectons. Qui pourrait critiquer un prince ou un gouvernement faisant passer les priorités de son peuple avant celles des autres, quelque soit les caisses d'or versées ? Assurément pas la France.

A l'Empereur, vous avez joué à un jeu dangereux sur la scène diplomatique internationale. Vous savez aujourd'hui être dans une situation de discrédit vis à vis de certaines cours. Sachez que malgré tout, il n'y a pas encore eu de comportements impardonnables entre nos deux peuples. Vos prochains actes détermineront notre position vis à vis de vous. Nos rapports sont ternis, à vous de voir ce que vous voulez en faire.

lemarseillais 26/09/2007 22h18

Chronique française de l'ennui qu'il faut quand même raconter, d'une date dont je ne me souviens plus à 1599




La France sortait de la guerre des blocs vaincue. Quoiqu'est pu en dire certains, le manpower françait était tombé à 14000 au moment de la signature de la paix (il est de 78000 à la base). La france avait payé cher le prix du sang, même si certains osèrent remettre en cause de cela.

Conformément aux accords de Montculq, en Roussillon, la France devait céder le centre de commerce de Malacca et l'île de Porto Ricco, respectivement à l'Espagne et au Portugal. Les pertes territoriales étaient infimes comparés aux milliers de sujets français morts.

L'économie française se ressentit peu de cette défaite, excepté l'inflation qui fit un bon conséquent de 1% en 2 années de guerre. il n'y a là pas un grand péril pour l'avenir du pays puisque l'ensemble des voisins, et des grandes puissances économiques, sont dans la même situation inflationniste que la France. On peut même dire que notre pays est plutôt un bon éléve dans ce domaine.
Evidemment la perte du centre de commerce se fit un peu ressentir dans les premiers mois suivant la paix, mais une active politique commerciale permit rapidement de redresser la situation et de dépasser celle antérieure.

Le retour de la paix ramena la stabilité sur le pays. Le roi en profita pour édicter de nouvelles ordonnance sur la marine royale. Aujourd'hui notre pays est en plein effort de construction. A terme, la France sera doté d'une flotte digne de ses rivaux.

Leaz 03/10/2007 00h16

Déclaration a l'adresse de l'empereur :

Votre récente guerre contre la Hongrie n'est pas passer innaperçue a la cours de Pologne. Le Roi exige des explications sur l'implication de l'empereur dans ces territoires slaves bien loin des terres de l'empire.

Les territoires Hongrois et qui plus est reformée sont désormait sous la protéction du Roi de Pologne. L'influence de l'église Calviniste dans toute la pologne historique élève aujourd'hui le pays au rang de protecteur de la réforme, même si nous conservons notre foie catholique.

jimbo 29/10/2007 22h43

L'Ere de l'ouverture



Après sa brillante victoire contre la Pologne, le Sultan discuta longuement avec les
émissaires qui avaient parcouru les Royaumes d'Europes occidentale lors de négociations
de paix afin d'en savoir plus sur ces Royaumes qui semblaient posséder une longueur
d'avance importante en terme de technologie militaire et commeciale.
Osman II, en monarque éclairé, sur tirer les enseignements de ces entretiens.
Il repoussa les propositions de campagne militaires de ses généraux et préféra utiliser
les deniers du butin de guerre acquis contre la Pologne à la mise en place de prévots dans
tout l'Empire.
En quelques années, toute les provinces virent la mise en place de prévots gérant
efficacement la récolte des impots. Les Taxes annuelles perçuent par l'Empereur
passèrent ainsi de 45'000 à 70'000 ducats cette embélie des finances Ottomanes
fut utilisé pas le Sultan pour créer des universités, des arsenaux et autres manufactures.
Tout le début du XVII siècle vu l'Empire profiter d'une paix et d'une embellie économique
sans précédent. Osman promulgat pendant son rêgne pas moins de 3 édit de
tolérance religieuse afin d'assurer une paix intérieur et de profiter de toute les forces de
l'Empire pour bâtir ce nouvel Orient.

Il invita également de nombreux aventurier et penseur occidentaux à profiter de généreux
financement pour enseigner leur savoir aux lettrés Ottomans qui avaient supplanté les
Jnaissaires au sein de l'appareil étatique. La forte personnalité d'Osman et son aura firent
de lui l'un des plus illustre souverain Ottomans et certainement le plus grand batisseur que
l'Empire eut connu.


En 1611, le Sultan était presque arrivé au terme des réformes qu'il avait projeté, et
l'Ottoman bien que toujours en retard sur l'Occident semblait plus solide et plus fort que
jamais.

http://img142.imageshack.us/img142/2411/1611gn6.jpg

L'Empire Ottoman en 1611

jimbo 29/10/2007 22h48

Position du Sultan dans l'affaire Hongroise

Le Sultan prend acte des déclarations Polonaises et Autrichiennes vis-à-vis de la Hongrie.
Il déclare garantir l'indépendance de cette dernière en temps que Royaume indépendant,
le statu-quo dans les Balkans lui semble désormais être la meilleure soluttion pour que
les Grande puissances alentoures soient en paix.

vince 30/10/2007 10h20

Citation:

Envoyé par Leaz
Déclaration a l'adresse de l'empereur :

Votre récente guerre contre la Hongrie n'est pas passer innaperçue a la cours de Pologne. Le Roi exige des explications sur l'implication de l'empereur dans ces territoires slaves bien loin des terres de l'empire.

L'empereur ne s'abaissera pas à répondre à vos "exigences".
Il ne vous salue pas, d'ailleurs.

En ce qui concerne la Hongrie, nous tiendrons le sultan informé de nos desseins, en privé.

lemarseillais 30/10/2007 11h05

Le roi de France rappelle à l'Empereur son entreprise belliqueuse à notre encontre récemment. De fait, la neutralité de la France, la passivité de la France quand l'Empereur s'en prendra à des chrétiens ne sera plus aussi simple à obtenir.

Ceci n'est pas une déclaration d'hostilité mais juste un rappel d'une évidence qui ne doit pas vous échapper depuis que vous avez agressé mon royaume.

La position officielle du Sultan est celle que nous prenons aussi : clarté dans les positions diplomatiques vaut mieux que magouille secrète. Le sort de la Hongrie ne relève que des Hongrois.

Avant que certains monarques se mêlent de cette histoire pour crier comme des damnés leur soutien à la cause impériale, je précise que cette déclaration, comme d'habitude, n'engage que la parole de la France et aucunement ses "amis".

vince 30/10/2007 11h38

L'Empereur rappelle au roi de France qu'il était moins regardant sur les entreprises "belliqueuses" impériales vis à vis d'autres chrétiens, quand les chrétiens en question étaient Strasbourgeois.

Mais il est vrai qu'à l'époque, l'Empereur avait promis de céder Metz à titre gracieux au roi de France. Ceci explique peut-être cela...

L'Empereur rappelle également au roi de France, que nous avons une grande quête commune : la défense de l'Eglise romaine, face aux apostats Calvinistes et Luthériens. Cette cause devrait nous unir, au lieu de susciter la défiance lorsqu'il s'agit de la Hongrie, terre réformée.

lemarseillais 30/10/2007 11h52

Dois je vraiment rappeler le nombre de fois où la France a fermé les yeux devant les actes de l'empereur à l'encontre de chrétiens germaniques ?

L'Empereur veut jouer sur trop de tableaux à la fois (Savoie, alliance ibérique, Suisse, Strasbourg et maintenant la Hongrie) pour pouvoir s'étonner de notre réaction.
Ce n'est que l'amitié passée qui nous faisait fermer les yeux devant votre politique. Vous avez brisé cette amitié pour laisser place à des rapports pragmatiques entre nous (cette dernière phrase à un sens très réfléchi, j'espère que vous ne ferez pas que la lire vite fait).

TCAO 30/10/2007 13h29

Missive Ducal.

En ce saint jour, le véritable duc de Frise est revenu au pouvoir, il avait été mi dans une sombre prison derrière un masque de fer, mais c'était sans compter ses fiers mousquetaires!
Pour son retour le duc de Frise reprend en main sa place en Europe.
Prémièrement le duc de Frise reprend sa candidature au trône impérial germanique depuis trop longtemps corrompu par la ligné des hagsbourgs, famille dévoyé ne cherchant que la puissance au lieu du bien être de son peuple, et ne respectant pas les traités signé avec ses voisins.
Deuxièmement, le duché reprend ses prétention sur les terres hessiennes, ayant appartenu à branche cadette de notre dynastie avant d'être soumisse aux pouvoirs impérials par la force.
Troisièmement, sur l'affaire hongroise dont je ne connais pas tout les détails, je soutiens l'indépendance de cette état , attaché dynastiquement à ma famille.

Cordialement le duc de Frise.

vince 30/10/2007 13h52

Citation:

Envoyé par lemarseillais
Dois je vraiment rappeler le nombre de fois où la France a fermé les yeux devant les actes de l'empereur à l'encontre de chrétiens germaniques ?

Quoi de plus normal ??
Vous avez fermé les yeux sur les ravages Vénitiens en Italie, sur les conquêtes Polonaises en Prusse, ou sur les goinfreries Frisonnes en allemagne du nord.
Il est donc tout à fait cohérent que vous en eûtes fait de même pour les rapprochements dynastiques et diplomatiques de l'Autriche.


Citation:

Envoyé par TCAO
Prémièrement le duc de Frise reprend sa candidature au trône impérial germanique depuis trop longtemps corrompu par la ligné des hagsbourgs, famille dévoyé ne cherchant que la puissance au lieu du bien être de son peuple, et ne respectant pas les traités signé avec ses voisins.
Deuxièmement, le duché reprend ses prétention sur les terres hessiennes, ayant appartenu à branche cadette de notre dynastie avant d'être soumisse aux pouvoirs impérials par la force.

L'empereur note que vous vous affichez ostensiblement une hostilité à son égard.
N'espérez donc pas une once de clémence de notre part, si par malheur pour vous, nous sortions vainqueur d'un hypothétique conflit.

Leaz 30/10/2007 13h56

Il est clair que le trone de l'empire doit échaper au plus vite a la main mise des Habsbourg, et nous soutiendrons toute initiative allant dans ce sens. La maison de Frise a tout notre soutiens face a l'agressivité sans limite de l'Autriche et le Sultan qui se gausse depuis sa Sublime porte devrait réflechir a deux fois avant d'accorder sa confiance a l'empereur où de discuter avec ce félon.

La réforme Calviniste est partis de Vienne, ce n'est pas un hasard !

lemarseillais 30/10/2007 14h24

Citation:

Envoyé par vince
Quoi de plus normal ??
Vous avez fermé les yeux sur les ravages Vénitiens en Italie, sur les conquêtes Polonaises en Prusse, ou sur les goinfreries Frisonnes en allemagne du nord.
Il est donc tout à fait cohérent que vous en eûtes fait de même pour les rapprochements dynastiques et diplomatiques de l'Autriche.

Dois je vous rappeler, Empereur, que ces goinfres (excepté la Pologne qui était trop loin pour moi à l'époque) sont aussi les premiers qui m'ont épaulé face aux attaques de l'ogre ibérique ? De même, quand nos rapports étaient différents de ceux d'aujourd'hui, m'avez vous entendu me plaindre de votre extension sans fin ?


Citation:

Envoyé par vince
L'empereur note que vous vous affichez ostensiblement une hostilité à son égard.
N'espérez donc pas une once de clémence de notre part, si par malheur pour vous, nous sortions vainqueur d'un hypothétique conflit.

La France ne veut pas se mêler physiquement de ce différent "germanique" mais elle ne saurait supporter un affaiblissement trop conséquent de son amici frison, qui n'aurait que pour conséquence d'attiser les haines et de provoquer une nouvelle guerre au grand dam des peuples. Juger de la dureté du traité de paix serait bien sur laisser à notre entière discrétion.

vince 30/10/2007 14h55

Bien bien bien...

La Pologne et Frise affichent clairement leur hostilité.
La France, n'est pas hostile, mais ne perd pas une occasion de nous mettre en garde.
La déclaration de Venise ne devrait plus tarder.

Qui d'autre a des griefs envers l'empereur ? Qu'il parle maintenant ou se taise à jamais :chicos: !!


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