Portzmoguer et la " Marie la Cordelière" !

exact !ry


All was going rather well onboard the beautiful wooden sailing ships Marie La Cordelière and Grande Louise. It was the 10 August 1512 and a party was in full swing. If the noise of the laughter ringing out across Plougonvelin bay, near Brest, was anything to go by everyone was having a good time. Three hundred local dignitaries and their spouses were being entertained by the rather popular Marie La Cordelière captain, privateer Hervé de Portzmoguer and the Grande Louise captain Vice Admiral René de Clermont. The laughter wasn’t to last for long however as suddenly a fleet of enemy English boats were spotted rounding the headland less than 2 miles westward. Speed was of all importance and there was no time to disembark the visiting gentry as the rest of the fleet were alerted, anchors weighed and the guns made ready.

The English and French were practised foes and both sides engaged in battle eagerly. Despite the relatively new technology enjoyed by many of the boats (the Marie La Cordelière for example was amongst the first boats to sport opening gun ports aimed to accommodate the recent addition of cannon to fighting ships), the emphasis of naval combat at that time was still very much on grappling and boarding to conquer the enemy with hand to hand fighting. The English fleet outnumbered the French by approximately 3 to 1 and included the newly built 700 ton flagship Mary Rose, and two ships of 1000 tons, the Sovereign. Mary Rose started the cannon fire and successfully hit Grande Louise resulting in 300 dead within the first hour. The 700 ton Marie La Cordelière picked on a smaller rival, the 400 ton Mary James whose captain, Anthony Ughtred, did well at holding his own until help from Sovereign arrived, followed by the Regent. With almost an hundred ships in the cramped channel, skilful captains were required on both sides to work their men playing the wind and the tide in order to gain windage and therefore advantage over their adversaries. As the battle progressed the English appeared to have the upper hand until the much esteemed Hervé de Portzmoguer concentrated his assault on the powerful enemy ship, the Regent, eventually grappling her and boarding her. The remaining vessels continued to fight in confusion, several being sunk by cannon fire, some striking nearby rocks, and others retiring in disarray. With the Regent and the Marie La Cordelière physically tied together bitter hand to hand combat ensued. Arrow and crossbow bolts were aimed but fighting conditions were made even harder as the two ships rolled in the swell, their sides often crunching together splintering wooden beams. Above their heads flagging sails cracked louder than the sound of nearby cannon fire as the wind caught them. Despite Regent’s main mast being broken by a cannon ball and her wooden hull beginning to burn as flaming projectiles were thrown by Marie La Cordelière’s crew, she appeared to be the stronger of the two vessels. The fighting continued for more than two hours and the decks became red as a mixture of blood and wine washed over the once party boat. Hervé de Portzmoguer decided he had one last chance to destroy the English vessel and he set his own powder magazine on fire thus turning Marie La Cordelière into a floating bomb. Within seconds there was a violent explosion that instantly sank both ships. Remaining vessels of both nationalities were shocked and stopped fighting immediately in order to rescue any survivors. Unfortunately not many survived this terrible spectacle - the English commander, Thomas Knivet was killed by the explosion and Hervé de Portzmoguer was thrown into the sea where he was drowned, dragged under by the weight of his own armour. It is estimated that between 1000 and 2000 people lost their lives with just 20 men rescued from the Marie La Cordelière and 180 from the Regent

Monsieur Bitoun, c'eut été plus sympa dans la langue de Molière :pigepas:

oui je sais


mais aussi étrange que cela puisse paraitre

c'est le seul texte un peu long

que j'ai pu trouver ; :(

et un puis l'anglais c'est pas vraiment

une langue exotique ;

cela vient du beau magazine

ci dessous

http://www.geocities.com/shipwrecks_magazine/

:hurle: strat'Ta question ?

Où peut-on lire cet épitaphe ?

« Ci-gît la fille, femme, et mère d'Henri »

Sur la tombe de Marguerite de Navarre ?

Sur la tombe de l'Impératrice Mathilde

:rire: :rire:


Joli mais ...;facile ! :chicos:

La main à Coelio...

Zola ?

XIXème?

oui :o:
non :o:

Royaume Uni ? (c'est pour faire avancer le Schmilblick ;)).

No sir :o:

France? ( pareil, c'est pour le Schmilibilick...)

Jules Destrée ? :mrgreen:

Absolument, c'est bien mon cousin Jules :chicos:

:ok:

A la Nostradamus :

"Dans une ville encore batave dix ans plus tôt,
Trente hommes auront débats durant six jours.
Puissance en sortira, qui sera faict nouveau,
Car les deux seront troys à compter de ce jour."

:)

Pourriez-vous expliquer qui diable est Jules Destrée :enerve:

"Le Jaurès belge" :chicos:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_Destr%C3%A9e

Célèbre pour son "Sire, il n'y a pas de Belges, il n'y a que des Flamands et des Wallons." (et sa parenté avec Coelio)

Quel est le boulet qui n'a pas relancé de question ? :enerve: :chicos:

La question est sur la page précédente. :yeux:

Pour moi la question est sur la même page et c'est ça :



mais ça ressemble plus à une citation :mrgreen: ... (tout n'est que brouillard et incompréhension sur ce topic :perdu, ayant oublié son cerveau quelque part: )

Y'a un rapport avec la Belgique ?

Pour faire avancer le schl... schblil... schmilblick :chicos:
Ca n'aurait pas un rapport avec la création du grand duché du Luxembourg ?

Tu veux dire la fin de l'union personnelle? :pinaille: :o:

Oui :)

C'est pour faire genre Père Fouras :mrgreen:

Eh non, il n'y a pas de lien avec la Belgique ou le Luxembourg.

Je pense à Bandoung (Bandoeng? fichue orthographe... :ouin: edit : ou Bandung plutôt... je le sens bien cette réponse :) )

A qui le dis-tu? :o:

Si vous saviez quel grand comique est Marseillais en GPO: le genre à lancer une partie en laissant la moitié des joueurs devant la porte :lol:

Ah oui, le Tiers Monde :essaye de se raccrocher aux branches: :siffle:

Autant pour moi :sorti:

Aucune idée en tout cas

:clap: :clap: :clap:

C'est bien la conférence de Bandoeng Banddoug Bandung.

La main à Chazamounet, donc (ou Arounet, ça dépend de l'heure qu'il est) :mrgreen:

:hello:

Bon, je ne sais pas encore quoi poser comme question (et pas encore le temps de réfléchir).

Je repasse ce soir ou demain pour la poser. :hello:

Nous fûmes deux frères.
L'ainé, bien qu'amoindri physiquement, conquit la mer avant la terre.
Le second poursuivit les exploits de son frère. En se déclarant dépendant d'un puissant, il devint "seigneur des seigneurs".

Quel nom nous ont donné les historiens? :)

Les frères Barberousse ?

Gagnéééé! :hello: (Si tu ne donnes pas de détails sur leur vie, je le ferai ce soir)

Mais c'est du chantage ! :o:
"Si tu ne dis pas que l'aîné était un pyromane alcoolique travesti balladurien, je le ferai moi-même ce soir et la Vérité éclatera !" :lol:

:tongue:

Les frères Barberousse :

Aroudi Barberousse : Né vers 1474 à Mytilène. Fils d'un italien passé à l'Islam, devient corsaire. Sert l'Egypte, la Turqui et Tunis, et devient la terreur des Espagnols en méditerranée occidentale. Perd son bras gauche lors d'un raid contre Bougie. Prend Djidjelli aux Génois en 1512. Appelé par les Algerois contre les Espagnols en 1515. Se débarasse de l'Emir, se rend maitre absolu d'Alger et soumet l'arrière pays. Tué en combattant contre les Espagnols.


Khaïr el-Din Barberousse : frère du premier, né à Mytilène vers 1476. Succède à son frère et se déclare aussitôt vassal de la Porte (1520). Reçoit du Sultan 2000 Janissaires et 4000 volontaires turcs et le titre de Beylerbey (Seigneur des Seigneurs). Fait aménager le port d'Alger par 30 000 esclaves chrétiens, ravage les côtes de Calabre et de Sicile. S'empare de Tunis en 1534, mais Charles Quint l'en chasse l'année suivante. Reprend la guerre de course, remporte des victoires sur Andrea Doria, et prend d'assaut Castel Nuovo en 1539. La France cherche son appui contre Charles Quint et le laisse ravager Nice (1543). Revint triomphalement à Istanbul quelques années plus tard avec plusieurs milliers de captifs.

(j'ai honteusement pompé sur le dictionnaire encyclopédique d'hitoire de Mourre :honte: )