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Venise 1515-1549
http://img256.imageshack.us/img256/1963/eu34zu5.png C'est en 1515 que sera signé le célèbre traité de Dusseldorf entre l'Autriche et Frise, ce traité fut accueilli avec beaucoup de soulagement à Venise, en effet cette nouvelle permetait à Venise d'éloigner l'idée d'une guerre contre le voisin Autrichien et ainsi de se concentrer sur son nouvel objectif qui est celui de la collonisation. Mais la collonisation se voit freinée par d'étranges rébellions d'indigènes, en effet c es indigènes avec qui nous entretenions d'amicales relations semblaient du jour au lendemain nous hair, Venise ne put jamais prouver par A + B qui fut le coupable mais nos soupcons se posèrent sur le Portugal, en effet, l'angleterre nous avait déja avertit que le portugal tentatait d'exiter les indigènes locaux. Nous ne pouvions nous laissé faire et nous nous préparions donc à la Guerre conjointement avec l'Angleterre. Cependant, la guerre explosa entre la France et l'Espagne, la France avec qui nous avions toujours entretenu de bonnes relations nous demanda notre aide et comme le Portugal était allié à l'Espagne, nous acceptâmes. Mais le Portugal réussi à échapper aux griffes de l'Anglais et de Venise en refusant d'aider son allié espagnol lorsque nous lui déclarâmes la guerre. Au bout de quelques années et de nombreuses négociations, un accord fut trouvé entre les différentes Nations: L'espagne assumait sa défaite et c'est ainsi que nous recûmes les collonies espagnoles du nord de l'amérique du sud ainsi que Gran Para (du portugal). Le portugal ayant réparé ces faits vis a vis de l'Angleterre et de nous meme l'histoire des collonies brulées était donc règlée. http://img524.imageshack.us/img524/408/eu310xr0.png Après cette guerre, Venise en sortit grandie et la collonisation repris de manière intensive, mais un grand malheur touc ha notre nation, en effet les meilleurs conseillers de Notre cours et le Doge en place moururent tous d'une mystèrieuse maladie, c'est ainsi que toute la cours fut remaniée et la collonisation ralentie par le manque de talent admministratif de la nouvelle équipe. mais Venise ne comptait pas se laissée abattre pour autant et cobntinua a collonisé les terres ou nous étions déja implantés afin d'en faire des villes. Cepandant une sombre nouvelle nous arriva de Pologne, l'Autriche lui avait déclarée la Guerre, deux solutions s'offraient à nous, soit rentrer en guerre une fois pour toute ou refuser d'aider notre allié et ainsi nous permettre de relancer notre croissance... Le choix fut rapidement fait, nous ne pouvions laissé tombé notre allié et nous suivîmes notre allié. La guerre fut tout d'abord difficile car l'Autriche réussit à percer notre territoire et a menée un siège. Ensuite, après avoir réussi à repousser l'offensive Autrichienne et brisé le siège, nous suivimes les troupes autrichienne en déroute et fimes la jonction avec les troupes Polonaises ce qui nous permit de détruire les divisions Autrichienne. L'Autriche était abttue et l'admit, c'est ainsi que Trentin et la Croatie devinrent terres Venitienne. Après cette guerre, venise aspirait a la Paix et lanca immédiatement des pourparlers avec l'Autriche afin de signer enfin, un traité de non -agression et de reconaissance territoriale, pour prouver sa Bonne foie, Venise remit meme Trentin à l'Autriche, qui après mure réflexion se rendit compte que là était le salut de nos deux peuples. Vers la Fin des années 40 l'économie Venitienne déclibna, en effet le manque de Prestige faiblissait notre commerce et le peu de talent administratif de notre Doge n'arranga rien, de plus nosu fumes obligé d'emprunter deux cents ducats suite aux erreurs d'un comptable (emrpunt automatique). Le Défit pour Venise est de redorée son blason Commercial et relancer son économie en stoppant définitivement l'inflation. |
1526-1549. Timide montée en puissance de l’Angleterre
L’hiver avait temporairement gelé les opérations militaires et l’Espagne en profita pour faire feux de tout bois au niveau diplomatique, sa confiance dans la victoire étant des plus minces. Elle tenta tout d’abord de signer la paix avec l’alliance Veneto-Anglaise, lui proposant quelques maigres biens et espérant se payer ensuite sur la France :yeux: , mais l’alliance refusa après réflexion et non sans hésitation les propositions de Madrid car celles-ci étaient non seulement insuffisantes mais, surtout, ne dédommageait pas les pertes subies à cause des saboteurs Portugais, qui avaient si prestement abandonné leur allié Espagnol. L’Espagne tenta alors de signer une paix séparée avec la France, selon le même principe : elle cédait des biens à la France et entendait se payer sur l’alliance Vénéto-Anglaise. Bien que déloyal de nature :mrgreen: , le Roi de France refusa et le Roi d’Espagne dut enfin se résigner à signer une paix globale, sans possibilité de récupérer à droite ce qu’il allait perdre à gauche. De cette façon, et c’était très important pour la coalition Vénéto-Anglaise, le Portugal fut directement inclus dans les négociations globales. L’Angleterre obtient Guantanamo et Demak de l’Espagne, Bourbon et Sunda du Portugal, ainsi que 300 ducats pour nous dédommager des pertes subies à cause des saboteurs Ibériques. http://img502.imageshack.us/img502/6268/cuba1549gj8.jpg http://img502.imageshack.us/img502/6...e1976d9edf.jpg http://img440.imageshack.us/img440/803/indonsieyg6.jpg Henry VII décéda trois années plus tard, l’histoire retiendra de lui qu’il fut un grand Roi pour l’Angleterre :) : il avait vengé l’honneur de la nation, bafoué par de vils saboteurs, et renforcé durablement, par la guerre, nos positions en Asie. Ses successeurs se montrèrent plus ternes, l’Angleterre pansait ses plaies et tentait laborieusement de rattraper l’immense retard technologique :loose: qui s’était accumulé face aux autres nations occidentales ( l’absence de tout centre de commerce bien à nous pesait lourd en ce domaine et nous maudissons ce destin contraire qui fit apparaître un centre de commerce en Appalache, chez ce Roi de France avide et déjà bien assez riche, plutôt que chez nous :enerve: ). Les choses commencèrent enfin à changer avec l’arrivée d’Edgar III, monarque compétent et très dynamique. Sa fougue gagna le pays tout entier et, en l’espace de quelques années seulement, le pays était métamorphosé : la stabilité était au sommet, comme elle ne l’avait jamais été depuis un siècle (première fois depuis le début de la GPO que je dépasse +1 en stabilité ;) ), le commerce se développa grandement, des édifices religieux et des forts furent construit un peu partout, les revenus mensuels doublèrent presque ! C’était l’euphorie et nous prions le Seigneur :priere: pour que cela se poursuive encore très longtemps. |
Commentaire français de ce simulacre de travail historique intitulé 1526-1549. Timide montée en puissance de l’Angleterre
Préambule nécessaire : le royaume de France entre 1515 et 1526 Les préparatifs de guerre A cette époque le royaume de France prospérait dans la paix. Depuis sa dernière guerre contre l'Espagne qui lui avait coûté la Californie, Français et Espagnols n'étaient pas parvenus à s'entendre sur une reconnaissance mutuelle de zone coloniale en Amérique du Nord. Cupides et avides de richesses, les ibères demandaient que la France reconnaisse la souveraineté espagnole sur la Californie et n'entretienne pas un espoir de reconquête. La France, en contre-partie d'un tel sacrifice, demandait la reconnaissance du quart sud-est de l'Amérique du nord par l'Espagne, ce qui impliquait un désengagement espagnol du centre de commerce de Pensacola, de 4 villes coloniales, de 5 colonies et l'abandon de son vassal indien Creek. Evidemment, la France proposait de dédommager l'Espagne à un prix équitable. Le roi espagnol d'alors, Cupide III, refusa s'estimant probablement en position de force. La nouvelle parvint à notre bon roi Henri III le 27 janvier 1515 alors que celui-ci se trouvait au château de Plessis-lès-Tours. Il fit réunir ses proches conseillers et là, nous tint exposa son opinion : "puisque mon cousin d'Espagne ne juge pas nécessaire de trouver un arrangement diplomatique avec moi, nous allons lui faire prendre conscience qu'il faut aimer la diplomatie, surtout quand on traite avec nous !". Conscient des lacunes qu'avait révélé la dernière guerre, notre roi promulga un certain nombre d'édits touchant à l'organisation de l'armée. Pendant 5 ans, une bonne part de la recette des impôts servis à recruter, former et équiper les armées royales. Tous ces efforts coûteux ne furent pas infructueux. La qualité et la quantité des troupes augmenta significativement (moral en hausse), l'instauration d'un contrôleur des approvisionnements permis au royaume de gerer à moindre cout l'approvisionnement auprès des marchands de guerre toujours prompt à faire des bénéfices espagnoliques* (*terme entré dans le langage courant en France dont le sens est synonyme de cupide mais en plus fort). Une active diplomatie française Parallèlement à cette préparation des hommes et du matériel, notre roi ne ménagea pas sa peine sur la scène diplomatique. Cet art n'est pas né en France par hasard. L'Empereur fut contacté pour lui renouveler nos bonnes dispositions à son égard ; démarche à laquelle il répondit avec une courtoisie et une félicité identique. Nos ambassadeurs avaient assuré le roi que le duc de Frise ne serait pas un ennemi de la France en cas d'intervention contre l'Espagne. Ils avaient raison. Par contre, ils se fourvoyèrent complètement avec le roi de Pologne comme nous le verrons plus tard. Vis à vis du Portugal, la situation était dans le fou. Depuis toujours Français et Portugais avaient pris soin de ne pas se gèner et n'avaient jamais pris les armes les uns contre les autres, même quand la folle espagne agressa la France. De fait, les conseillers du roi étaient partagés entre une intervention portugaise aux côtés de l'Espagne ou la poursuite d'une relative neutralité à notre égard. Les brillants succès diplomatiques furent obtenus auprès des cours vénitiennes et anglaises. Le roi de France envoya discrètement ses meilleurs diplomates auprès de ces deux princes avec pour mission de remporter la neutralité, à défaut d'adhésion, de ces deux royaumes. Henri III n'était pas sans connaître les relations qu'entretenaient ces deux maisons avec les ibériques. Il savait y trouver des oreilles prêtes à écouter et des esprits prêts à rêver à un monde différent. Les diplomates ne dissimulèrent pas les intentions du roi. Il préparait la guerre à l'Espagne, mais à l'Espagne seule et il ne demandait l'aide de personne. Non sans ruse, notre roi faisait donc savoir à ces princes que l'Espagne serait occupée. Il n'avait pas besoin de leur rappeler que le Portugal avait pratiqué une politique coloniale extrémement agressive (coloriage de carte et achat de révoltes) au détriment, étonnement, de l'Angleterre et de Venise. Ces deux maisons informèrent alors leur homologue française qu'ils allaient s'allier entre eux pour attaquer le Portugal d'ici quelques années. Par amitié, la France leur indiqua ses intentions d'entrer en guerre contre l'Espagne dès l'automne 1523. Eux-mêmes décidérent alors d'attaquer le Portugal en hiver 1525. Cela montre bien l'infondé de certains propos ibériques qui soutiennent que ces deux guerres furent concertées et organisées dans leurs tenants et aboutissants. On ne peut imaginer des "alliés" entrer en guerre 2 ans après le premier (car en fait anglais et vénitiens n'entrèrent en guerre qu'à l'été 1525). Néanmoins, l'attitude du roi du Portugal modifia les plans initiaux et transforma ces deux guerres imaginées en une guerre de fait, ce qui explique que la paix fut négocier après des concertations globales entre Français, Anglais et Vénitiens. La guerre La guerre éclata à l'automne 1523. Le roi disposait alors de 6 corps armées en France, 3 de sièges et 3 de combats. Précisément, les 3 corps de sièges étaient constitués de 7000 Lancastre pour encercler les places fortes, appuyés par 4000 artificiers, enfin 1000 cavaliers faisaient office d'éclaireurs et de troupes rapides pour colmater les brêches. Les 3 autres corps, ceux destinés aux batailles, comprenaient entre 12000 et 16000 cavaliers ; ils devaient soutenir et donc rester à proximité des troupes de sièges. Cette armée était commandée par les meilleurs généraux français de l'époque, supérieur en qualité à ceux de l'Espagne. L'objectif était simple : une conquête lente mais irréversible de l'Espagne du nord et du sud-est jusqu'à la capitale. En Amérique, le roi avait fait massé 5000 Lancastres appuyés par 2000 artificiers et 15000 cavaliers dont l'objectif était de bousculer les 10000 espagnols stationnés à Pensacola pour assièger la ville. La cavalerie, elle, poursuivrait les troupes en déroute en redescendant sur le Mexique et en brulant ou capturant des colonies espagnoles au passage. En Europe, la guerre évolua selon les plans des généraux français, les troupes espagnoles furent chassées des Pyrénées et les troupes français entamèrent alors de nombreux sièges jusqu'à Barcelone même. En Amérique, les 15000 cavaliers et les 5000 Lancastres réussirent l'exploit de perdre une bataille à 2 vs 1. Les renforts espagnols arrivèrent et prirent par surprise 4000 cavaliers français en déroute qui se débamdèrent complètement. Les choses ne tournaient pas vraiment comme il fallait. Maigre compensation, les petites unités débarquées un peu partout dans l'empire colonial espagnol réussirent en majorité à détruire plusieurs colonies. sur le champ pyrénéen, l'arrivée du Portugais et un effort colossal de recrutement de la part de l'Espagne, leur permis de générer à nouveau suffisament une masse armée pour tenter de nous déloger. Les combats furent acharnés et particulièrement sanglants. Hélas, Dieu n'était pas avec nous à ce moment. Plusieurs armées furent vaincus dans des conditions particulièrement étranges. Comment des troupes françaises en position défensive, avec un moral éprouvé (meilleur que ceux ibériques), mieux commandé que ses ennemis, à égalité numérique voir même en supériorité au début du combat, pouvaient elles connaître autant de défaites successives. De facto, l'année 1525 fut une longue et lente période de reflue des troupes françaises. Les troupes étaient complètement démoralisées. Non pas par peur de l'ennemi mais par incompréhension et fatigue. Dans maintes batailles, pour 1000 français tués plusieurs milliers d'ibériques étaient tombés. Quel était donc ce prodige qui permettait aux troupes ibériques mortes de remporter les batailles ? L'opposition près du petit village de Bueno Pella dans les Pyrénées est à ce titre éloquente : plus de 30000 ibériques, par vagues, furent concentrés dans cette bataille contre environ 25000 français. Un peu plus de 1000 de nos frères périrent alors que 10000 ibériques étaient tombés..........et pourtant c'était les troupes à la fleur de lys qui battaient en retraite. Dans le même temps, le roi du Portugal, qui avait manifestement décidé que le temps de la neutralité vis à vis de la France était fini, débarqua un petit corps de troupes dans le nord de la France pour tenter de piller et semer le désorder dans nos régions nords mal défendues. C'est à ce moment que nous primes conscience que le roi polonais avait envoyé 10000 cavaliers dans l'Est du royaume. Lorsqu'Henri III fut informé de cette nouvelle, il entra dans une extrème colère (que sentit passer le service en porcelaine de ma dame de Beauvoie, duchesse du Béarn, qui hébergeait en son château le roi. La pauvre fut toute effondrée par la perte d'un trésor familial présent depuis plus de 100 ans dans la famille. Si le roi avait mis la main à ce moment sur le grand vase de cristal au fond de la pièce, je crois que la duchesse se pamaît sur place). Comment le roi de Pologne pouvait prendre les armes contre le royaume de France ? Quels motifs conduisaient ses troupes ? Il n'était pas idiot au point de suivre son "allié" sans autres raisons ? La Pologne et la France, qui n'avait jusqu'alors eu que peu de contacts mais toujours en termes amicaux, devenaient ennemis par la force des promesses espagnoles. Il y a chez certains rois une facilité à se vendre quitte à se comporte avec le plus grand déshonneur et un manque flagrant de clairvoyance. Il était sur en effet que le roi d'Espagne aurait pris le partie de l'Autriche contre la Pologne plus tard si un conflit venait à éclater (ce qui est arrivé depuis et a donné raison à tous les conseillers français). Quoiqu'il en soit, avec un extrême courage, les 10000 cavaliers polonais attaquèrent les unités dispersées de cavalerie français, tout récemment armée pour partir à la guerre. Le deuxième motif de la colère mémorable du roi fut l'Empereur. Car si la Pologne envoyait des troupes en France c'était par le biais des terres de la maison d'Autriche. Or, cette dernière entretenait depuis presque 100 ans de très bons rapports avec la maison de France. A maintes reprises, les princes de ces deux maisons avaient pu constater les nombreux points d'accord qu'ils avaient. Une diplomatie régulière et fréquente fut entretenue de tout temps depuis la fin de la guerre de Cent Ans. Chacun n'empiéta jamais sur les intérêts de l'autre. A peine quelques mois avant la guerre, l'Empereur nous assurait encore n'avoir aucun grief envers la France et ne pas prêtait oreille aux sirénes espagnoles. Alors pourquoi donnait il l'accès à notre ennemi ? Le roi fit dépêcher aussitôt son meilleur diplomate à la cour de Vienne. Celui-ci chevaucha avec grande célérité pour atteindre la capitale autrichienne en moins de 2 semaines. Le roi lui avait donné des consignes claires : obtenir de l'Empereur la fin du passage des troupes polonaises sur ses terres. La France le demandait en tant que service et en vertu de l'amitié de nos deux maisons. Le roi faisait aussi savoir qu'il ne pouvait que s'étonner qu'indirectement l'Autriche prenne le parti de nos ennemis. Encore une fois la sagesse impériale s'illustra. L'Empereur ne pensant pas trahir sa neutralité en accordant cet accès nous assura qu'il était disposé à nous donner également un accès pour faire route vers la Pologne. Notre diplomate lui fit savoir que la France n'avait aucunement l'intention de faire la guerre au peuple polonais, car, contrairement au roi de Pologne, le royaume de France n'a pas cette faculté à transformer un Etat ami ou neutre en ennemi simplement sur agitation d'une carotte, quelque quelle soit. L'honneur et la parole valent plus que l'or aztèque de l'Espagne pour nous Français. Se retrouvant dans notre déclaration et ayant entendu la demande de geste à notre égard par amitié, l'Empereur, sans hésiter, fit envoyé un diplomate à la cour de Varsovie pour les informer de la fin de l'accès terrestre. Notre roi ne manqua pas de remercier l'Empereur par la suite. Suite à venir.... |
Traité de Gênes
L'Autriche et Venise sont arrivées à l'accord suivant: -Signature d'un pacte de non-agression mutuelle -Reconaissance de la souveraineté Venitienne sur l'Italie actuelle et du droit de vassalisé Rome. -Restitution de Trentin à l'Autriche et cession de l'ile de Barbade __________________ Par cet accord les deux parties entendent ne plus se chamailler et enfin offrir aux peuples Venitien et Autrichien la Paix entre ces deux nations. |
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La 3e guerre franco-espagnole (1523-1526) Cela faisait longtemps que la France et son ambitieux souverain Henri III souhaitaient mettre la main sur nos possessions coloniales du quart sud-est du Nouveau continent. Consciente de sa force, suite à ses conquêtes sur la Bourgogne, la France, pays le plus peuplé d'Europe, et de loin, pouvait compter sur son incroyable gisement humain pour recruter des troupes en quantité. Le Roi de France souhaitait assuremment la guerre. Pour faire croire du contraire il envoya ses diplomates à Madrid pour y effecteur des simulacres de négociation. En effet ceux ci proposaient de racheter le très riche centre de commerce de Pensacola pour une bouchée de pain, et ne souhaitait pas faire de compensations autres qu’en argent. Et les sommes proposées étaient franchement scandaleuses et insultantes, La diplomatie française s’était assuré du soutien de l’Angleterre et de Venise, ce que nous ne savions. En effet, il semblerait que la France les ait monté contre nous en soutenant des révoltes indigènes dans les colonies de ces deux derniers pays, en se faisant habilement passer pour des portugais. Nous pouvons soupçonner ceci car le roi du Portugal nous assura et nous donna les preuves qu’il n’était absolument pour rien dans ses rébellions. Et donc les soupçons se portent évidemment sur la nation qui avait tout intérêt à ainsi former une lâche coalition contre nous, à savoir la France. Inquiète de la montée en puissance de la France, nation plus que belliqueuse qui n’avait pas hésité à dépouiller la Bourgogne, déclarer deux fois la guerre à l’Espagne, et dont la vantardise, les prétentions et le ton supérieur était plus qu’insupportable, la reine Isabel II, unificatrice de l’Espagne, ne pouvait ainsi céder aux exigences françaises, sous peine de donner le leadership à ce pays qui comme on l’a vu était loin de souhaiter un monde en paix et en équilibre. Les intentions de l’Espagne ont en effet toujours été l’équilibre en Europe, ainsi que dans les colonies, n’en déplaise à la France qui fut la seule nation à se plaindre. On ne peut mesurer la puissance d’une nation à ses seuls revenus mensuels qui en effet étaient très important pour l’Espagne, et les évènements qui vont suivre donneront raison à ceci. Ainsi, après avoir préparé la guerre depuis longtemps en grand secret, la France nous déclare la guerre sans aucun ultimatum, d’une façon à la fois barbare et complètement lâche, en automne 1523. Disposant de plus de 45 000 cavaliers, et de 35 000 hommes à pieds, les français culbutent nos premières armées dans les pyrennées, en infériorité numérique écrasante et mal équipées. La situation devient rapidement préoccupante quand les trois provinces frontalières avec la France sont assiégées par les troupes françaises. Le souvenir de la première guerre franco-castillane refait surface : si les pyrénnées sont prises, la France pourra facilement avancer au cœur de l’Espagne et dévaster les très riches terres d’Aragon, en profitant du terrain favorable. Il est donc décidé de reprendre les pyrénnées à tout prix, quelqu’en soit le prix, afin d’y installer des positions défensives, bloquer les vallées et les passages. Appuyées par nos amis portugais, les troupes espagnoles vont alors reprendre les montagnes après des combat absolument terribles et meurtriers. Des victoires à la Pyrus dans les deux camps, ainsi que de lourdes défaites. La boucherie de Gérone en est un exemple flagrant : 13 000 espagnols tomberont pour reprendre la province, alors que la France n’en perdra que 2 000. Dès l’hiver 1523, partout dans l’Empire espagnol, colonies et métropole, le recrutement est massif. L’effort financier et humain à consentire pour reformer les 3 armées des pyrénnées est colossal. Mais il est fructeux puisque une à une les 3 provinces sont reprises, l’armées française sérieusement entamée doit se replier, et nos troupes peuvent même mettre le siège du Roussillon, pendant que la cavalerie portugaise fait des ravages. Au même moment, nos fidèles alliés polonais (10 000), après un long périple à travers l’Autriche, arrivent en Champagne et commence à piller et prendre le nord-est de la France. Intelligemment, Isabel II avait noué des liens d’amitié avec ce lointain royaume, comprenant des accords secrets. La reconquète des Pyrennées : http://img258.imageshack.us/img258/2493/01ie2.jpg http://img258.imageshack.us/img258/9833/02wi3.jpg http://img118.imageshack.us/img118/3042/03xm1.jpg http://img118.imageshack.us/img118/3817/04aq5.jpg Cependant en hiver 1525, anglais et vénitiens nous tombent dessus dans l’espoir probable de récupérer quelques miettes de notre Empire de la part de leur suzerain français. Venise profite de l’absence de notre flotte en méditerranée, mobilisée aux amériques, pour débarquer des troupes dans notre dos en Andalousie et à Gibraltar. Le Portugal neutre dans le conflit entre nous et les anglo-vénitien ne peut rien faire. Dans les colonies, la situation est plus grave : par deux fois De Cardona réussit à repousser les français et anglais à Pensacola, grâce à des maneuvres de défenses géniales. Il met même un pied en Floride, mais doit vite refluer vers Pensacola face aux masses anglo-françaises bien plus nombreuses. Des corsaires anglais pendant ce temps brûlent et pillent nos colonies non-fortifiées des caraïbes, notamment Cuba. Notre flotte les fait fuir, et détruit une escadre vénitienne forte de plus de 20 navires au large de Maracaïbo. Plus au sud, la situation est stabilisée : en Colombie, les troupes de Venise et d’Angleterre sont contenues suite à l’arrivées de 4000 hommes en renforts. Mais ces renforts si ils sont au sud, ne sont plus au nord à défendre le verrou de Pensacola. Des forces colossales de plus de 30 000 hommes menacent en effet les 10 000 hommes qui défendent héroïquement cette zone. Si Pensacola venait à céder, alors les français prendraient facilement le Mexique puis la Californie. http://img258.imageshack.us/img258/6782/05wq9.jpg De Cardona félicite son lieutenant Merera d'avoir tenu le flanc droit héroïquement La défense de Pensacola : http://img118.imageshack.us/img118/8940/06df5.jpg http://img118.imageshack.us/img118/9540/07pu2.jpg Il fallait se rendre à l’évidence, les campagnes étaient vides et l’Espagne ne pouvait plus recruter. Le Portugal nous informa qu’il ne pouvait envoyer ses troupes à la fois dans les pyrénnées et en Amérique. Or nos troupes en Espagne, fortemment entamées devaient faire face à Venise au sud, et aux troupes françaises en intense campagne de recrutement au nord. De plus, les mercenaires avaient déjà été tellement recrutés qu’on en trouvait plus aucun dans toute l’Europe, ou bien à des prix prohibitifs ( 120 000 Ducats pour 1000 cavaliers). Si la guerre continuait, soit nous perdions nos colonies, soit nous perdions l’Espagne, mais nous ne pouvions défendre les deux face à une telle coalition. Un léger espoir arriva à Madrid en hiver 1524, quand un émissairs de la lointaine Novgorod, Aedanovski, offrit les services de ses féroces mercenaires à la couronne d’Espagne. En effet l’Espagne avait récemment aidé financièrement la cité du Nord pour l’aider à poursuivre l’expulsion des musulmans des plaines de l’est. Un premier contrat amena 10 000 cavaliers russes à ravager l’Italie, avant d’être stoppé par des troupes vénitiennes. Un second contrat bien plus imposant de 1 000 000 de ducats d’or devait amener plus de 30 000 cavaliers russes à traverser le Baltique pour débarquer dans le nord de la France. Mais devant la situation dramatique dans les colonies, dont la défense pouvait d’un moment à l’autre craquer, nous fûmes amené à négocier. Après 3 semaines d’intenses négociations dans le château de Beynac en France, la paix de Beynac fut signée. L’Espagne cédait Pensacola, ainsi que 3 colonies de 100 colons à la France. L’Angleterre recevait Cuba ( du moins ce qu’il en restait après les pillages) ainsi que deux colonies de 100 habitants en Asie du Sud-est. Venise reçut également 4 colonies en Amérique du Sud. Le Portugal du aussi céder quelques colonies ainsi que de l’or. La paix était enfin signée. Afin de mettre un terme aux disputes depuis 50 ans entre la France et l’Espagne, le traité de Carthagène fut signée pour se partager le sud-est de l’Amérique. http://img118.imageshack.us/img118/830/08mi3.jpg Les mercenaires russes ravagent le nord de l'Italie. |
Chroniques Ottomanes 1526-1549
L’An 1529 vit la seconde régence Ottomane prendre fin avec la Majorité d’Alam premier. Ce dernier de santé fragile comme un bonne partie de ses frères fut sous la complète influence du Vizir Bobakum qui avait précédemment dirigé la régence. Ce dernier dirigea le Sultan vers la Perse alors durement éprouvée par une longue guerre avec le Mamelouk accomplir l’unification de la péninsule Anatolienne sous l’étendard Ottoman. La Karamanie fut annexée à la Perse après une courte guerre qui montra la supériorité dans tous les domaine des Janissaires Ottomans. Alam eut à peine le temps de se marier avant de décéder d’une infection oculaire en 1532 cédant ainsi le trône à son frère Selim II lui aussi très jeune. Ce dernier subit à son tour l’influence du puissant Vizir et lui laissa pratiquement le contrôle de l’Empire. Ce furent donc sans surprise que voisins de l’Empire virent les ambitions territoriales de l’Ottoman perdurer. Le grand Vizir Bobakum avait le projet de faire de l’Ottoman la tête de file des Royaumes Musulmans, il avait donc besoins pour cela de mettre à bas le principal concurrent Sunnite de L’Ottoman : Le puissant Mamelouk et ses 65000 Hommes en armes. Le Vizir n’était pas dupe quant à la difficulté de l’affaire, les déserts de Syrie d’Egypte et de Palestine étaient de redoutables mangeurs d’hommes pour une armée conséquente et les Mamelouk nombreux. Il lui fallait donc s’assurer de ses arrières et si possible trouver un soutien extérieur lui permettant de ne pas laisser le conflit s’embourber. La préparation Il mit donc sur pied un plan afin de mettre un terme aux menaces larvaire qui pesaient sur le Nord et l’ouest de L’empire et de trouver l’appui d’un autre ambitieux seigneur. Pour résoudre les problèmes posés par l’agitation Albanaise, le Vizir annexa par la force l’Albanie et la riche province Athénienne à l’Hongrois et fonda un nouvel Etat Albanais à qui il fit don de Janina. Cet acte plein de générosité attira la sympathie des Chrétiens de l’Empire qui voyaient là un signe de la fin des conversions forcée de citoyens de l’Empire. Une fois cette formalité réalisée, le Vizir négocia avec le Russe qui Cherchait à fixer des frontières stables dans le grand Nord, un échange de terre fut convenu ainsi qu’un accord de non agression jusqu’en 1555. Cet échange de terre vit l’Empire renoncer au terre Tartars les plus aux nord et récupérer la riche Crimée ainsi que les Terres Russe enclavée a l’Est de l’Oural. L’accord de non agression permit au Vizir d’avoir les main libre au Sud de façon a ne pas avoir à se battre sur 2 fronts importants. L’affaire de Jérusalem Le Vizir finit par trouver un allié qu’il ne soupçonnait pas, le très chrétiens Roi de France s’inquiétait des nombreux massacres de chrétiens sur la Route de Jerusalem. Malgré ses nombreux missives au Sultan Mamelouk, ce dernier ne fit jamais signe de prendre en compte les demandes Françaises. Le Vizir eut vent de ce désaccord et proposa au Roi de France de lui faire don de la Palestine lui permettant d’assurer lui-même la sécurité des pélerins, il demandait en échange une petite aide militaire contre le Mamelouk afin d’en finir le plus vite possible. Les Roi de France fut enthousiasmé par ce glorieux projet et, en 1537, les armée Ottomanes et Française entraient en Syrie en force. Les combats pour la Palestine et l’entrée en Egypte furent sanglants mais tournèrent rapidement au profit des Coallisés, même la mort du Sultan en 1537 ne put permettre au Mamelouk de se redresser. IL finit par céder aux exigences du Nouveau Sultan Amhet II et du Roi de France, cédant ainsi les provinces de Judée, Alep, Damas, Harwan et Badyiat Ash Sham. Le Mamelouk était blessé mais pas encore à terre. Enfin la paix En attendant d’avoir l’occasion d’en finir avec le Mamelouk, le nouveau Sultan mit un terme au contrôle quasi-total du Vizir sur l’Empire. Il reprit en main les affaires attenantes à la politique laissant le Vizir gérer l’Armée. Il mit ainsi fin à la campagne de conversion nationale des Ortodox, Il reconnu leur foi et décida d’utiliser les précieux deniers jusqu’alors utilisés à la conversion des infidèles pour mettre en place une instruction militaire efficace des Janissaire. D’autre part, il décida de la création d’une banque d’état afin de contrer les effets de l’inflation dans l’Empire. Ces mesures bien que peu populaires au sein de la population Musulmanes, permirent de renforcer efficacement l’empire sur ses fondations. Tout comme ses frères Amhet II ne vécu pas assez longtemps pour influer durablement sur l’Empire, il décéda en 1543 laissant le pouvoir à son fils et au Vizir bien décidé de regagner l’influence perdue. Il parvint sans trop de peine à prendre l’ascendant sur le médiocre souverain qu’était Abdulhamhid Ier. La chute de la puissance Egyptienne L’Empire retrouva donc rapidement ses habitudes expansionniste et n’hésita pas longtemps à achevé le Mamelouk sortant d’un long conflit avec la Perse, lui arrachant de force 4 nouvelles provinces : Gaza, Alexandrie, Sinai et Al Karak. Le Mamelouk était désormais cantonné à l’Afrique et le Vizir avait réussit son grand projet, L’Empire Ottoman prédominait désormais sur les autres puissances Musulmane un nouvel âge allait commencer. http://img240.imageshack.us/img240/2096/nordwu0.jpg La Situation au Nord de l'Empire en 1549, la Russie y est notre principale voisin. http://img208.imageshack.us/img208/8434/sudqu8.jpg La Situation au Sud de l'Empire en 1549, Le Mamelouk est cantonné à l'Afrique http://img409.imageshack.us/img409/8...ottomangb7.jpg Un aperçu démographique et economique de L'empire Ottoman en 1459 |
Un développement en paix ( 1526-1549)
Après la mort de la reine Isabel II en 1527, un conseil de régence prit temporairement les affaires en main jusqu’en 1533 où Carlos Ier, petit fils d’Isabel atteignit sa majorité pour gouverner. Jusqu’à sa mort à la suite d’un accident malheureux avec une courtisane en 1539, il développa le commerce et les colonies. Vis à vis des colonies, il décida de cesser de coloniser de plus en plus de terres, tant que des bases solides, à savoir des villes fortifiées n’étaient pas mis en chantier. Mais c’est sous le règne de son oncle Carlos II, que l’Espagne connut, parallèlement au Portugal, une explosion des revenus, notamment grâce au commerce. Les monopoles dans les centres de commerce du monde nous rapportent en effet des sommes considérables. Ceci d’autant plus que quasiment tout ces centres sont connus de l’institut de cartographie de Madrid. Du point du vue militaire, l’Espagne prit de l’avance vis à vis des autres nations d’Europe, suite à la mise en place des Tercios par De Cardona à son retour d’Amérique. Formés d’un complexe assemblage de piquiers, de mousquetaires et d’arquebusiers, ces formations solides sont capables de terribles dommage à l’ennemi. http://www.cmhg.gc.ca/cmh/book_image...07_ss00_01.jpg Diplomatie : A la France : -suite à l’accord de Mexico, nous espérons gagner votre amitié et l’alliance des deux sangs pourrait être envisagé. Néanmoins, pour gagner notre confiance et celle de toute l’Europe, plus de transparence dans vos actions seraient souhaitables:Nous vous félicitons pour la prise de Jérusalem. Toute la chrétienté est derrière vous et applaudis le Roi de France pour cet acte de Foi. Mais toute l’Europe souhaiterait sans doute connaître le contenu des tractations secrètes entre vous et le Sultan pour aboutir à cet accord. -De même, suite aux conversions massives à l’hérésie protestante en France, notamment à l’Est et surtout à Paris, quelle sera la politique religieuse de la France ? On parle d’une conversion à l’hérésie mais il s’agit probablement de rumeurs car nous ne saurions croire à une telle infamie de la part d’un si grand royaume. Comme l’a montré l’Empereur, seule l’envoie de missionnaires, mais aussi et surtout d’inquisiteurs permettra d’extirper de vos provinces ce culte infâme. A l’Empereur: l’alliance signée entre nos deux pays est un gage de paix et d’équilibre en Europe. Nous sommes prêt à servir de médiateur entre vous et notre ami polonais suite aux divergences qui vous ont opposées et qui pourraient toujours vous opposer. http://img118.imageshack.us/img118/2720/09yi5.jpg http://img118.imageshack.us/img118/5475/10gy4.jpg http://img118.imageshack.us/img118/804/11pr7.jpg La stabilisation de l'inflation grâce à un système moderne de banque (3e valeur) |
Commentaire français de ce simulacre de travail historique intitulé 1526-1549. Timide montée en puissance de l’Angleterre
2e partie *Les rectifications françaises sont en bleu* L'historien anglais écrit :" L’hiver avait temporairement gelé les opérations militaires et l’Espagne en profita pour faire feux de tout bois au niveau diplomatique, sa confiance dans la victoire étant des plus minces. Elle tenta tout d’abord de signer la paix avec l’alliance Veneto-Anglaise, lui proposant quelques maigres biens et espérant se payer ensuite sur la France :yeux: , mais l’alliance refusa après réflexion (c'est avec un certain étonnement que nous apprenons que vous avez hésité) et non sans hésitation les propositions de Madrid car celles-ci étaient non seulement insuffisantes mais, surtout, ne dédommageait pas les pertes subies à cause des saboteurs Portugais, qui avaient si prestement abandonné leur allié Espagnol (il est marrant de voir que vous avez pu hésité un instant pour une proposition aussi nulle visiblement. Ca en dit long sur le concept de fidélité qui habite le roi anglais). L’Espagne tenta alors de signer une paix séparée avec la France, selon le même principe : elle cédait des biens à la France et entendait se payer sur l’alliance Vénéto-Anglaise. Bien que déloyal de nature :mrgreen: , le Roi de France refusa (vous noterez, cher lecteur, que le roi de France n'a, lui, pas hésité. On peut donc s'interroger sur qui est le plus déloyal entre un roi de France sur de lui et un roi anglais qui hésite) et le Roi d’Espagne dut enfin se résigner à signer une paix globale, sans possibilité de récupérer à droite ce qu’il allait perdre à gauche. De cette façon, et c’était très important pour la coalition Vénéto-Anglaise, le Portugal fut directement inclus dans les négociations globales. L’Angleterre obtient Guantanamo et Demak de l’Espagne, Bourbon et Sunda du Portugal, ainsi que 300 ducats pour nous dédommager des pertes subies à cause des saboteurs Ibériques." La négociation de la paix (1526): Pour une fois, la vérité ne diffère guère de ce qu'un anglais écrit. Effectivement le perfide roi espagnol, Cupide III, tenta une politique sournoise (comme Gollum) de division de ces ennemis. Devant l'échec de sa fourberie qui ne pouvait dominer la force de la volonté et de la conviction de ces ennemis, l'Espagne, certainement après avoir sondé les forces et les alliés qu'il lui restait, émit le souhait d'ouvrir des négociations avec ses adversaires. C'est le doge qui en informa le roi de France. Alors aux commandes de ses troupes dans le sud de l'Espagne, un plénipotentiaire ibérique vint lui soumettre la demande de son maitre. Le doge, Impatient V, envoya aussitôt deux de ses plus rapides messagers vers les rois d'Angleterre et de France. Lorsque la nouvelle parvint à la cour de France, la première réaction du roi fut de rire de ce qu'il pensait être une pitoyable manoeuvre espagnole pour gagner du temps. Il faut dire que nous n'avions pas l'habitude, en France, à ce qu'un Espagnol mène sincèrement une négociation. Néanmoins, consciencieux, notre roi ordonna au sieur de Gonville de participer à ces pourparler mais de ne pas céder sur les renvedications françaises. A la table des négociations se trouvait un envoyé du doge, un d'Avide III et le sieur de Gonville. L'Espagne représenta les intérêts de son allié en attendant l'arrivée de l'envoyé portugais. L'Angleterre n'estima pas nécessaire d'envoyer un diplomate. Encore une fois, ils se reposaient sur les talents diplomatiques français. Les négociations furent tendus. Au départ, l'Espagne s'opposait à nos exigences pour l'ensemble de nos Etats. A plusieurs reprises l'envoyé français tapa du poing sur la table pour rappeler que son roi n'avait rien demandé et qu'il ne perdrait pas son temps à de veines discussions dont est friand la cour espagnole. La France réclamait la reconnaissance de sa souveraineté sur le sud-est de l'amérique et pas moins ni plus. Cela n'était nullement négociable et notre roi était parfaitement prêt à poursuivre la guerre pour l'obtenir. Finalement, après moults chipotages et tapages du poing et une ultime renégociations sur les demandes vénitiennes, les ibériques acceptèrent la plupart des demandes de l'Angleterre, de Venise et de la France. La paix fut signée en vainqueur par le roi de France pourtant la réalité du terrain était beaucoup plus nuancée. Les années de paix, de gloire et de développement (1526-1549): La disparition du duché de Bourgogne Après 1526, s'ouvre une nouvelle période de prospérité et de paix pour le royaume. Du moins, une paix dans le sens où le royaume ne fut pas menacée. Il fut en effet décidé de la déchéance finale du duc de Bourgogne dont le duché se résumait aux terres de Bourgogne. Le roi somma le duc de renoncer à ses terres et son titre et celles-ci furent rattacher au royaume de France par les armes (le duc avait osé refuser après toutes les trahisons dont sa famille s'était rendue coupable). Le developpement du contrôle de la zone colonial Le roi lança une active politique de colonisation et de développement de la zone française d'Amérique. Ainsi, en à peine 10 ans, les 3 colonies capturées sur l'Espagne devinrent de belles et solides villes françaises. Le roi ordonna de vérouiller les colonies frontalières avec celles espagnoles. Parallélement à cela, en vertu d'accord passé aux temps des négociations de paix, l'Espagne vendit 3 villes coloniales, anciennement terres indiennes, qu'il possèdait encore dans le quart nord-est de l'Amérique. A la demande de la France, qui dù tout de même encore expliquer au roi d'Espagne que lorsqu'on reconnait la souveraineté d'une pays sur une zone on doit arrêter d'entretenir des vassaux dans la zone, les indiens de Creek furent abandonner par Cupide III. Dans leur immense folie, ils s'attaquèrent aussitôt à nos colonies. Notre roi pris une décision pour le moins étrange. Il ordonna de ne pas attaquer les villages indiens et de seulement défendre nos colonies et il ordonna à ses diplomates de proposer la paix à Creek contre les 3 villes espagnoles récemment achetées. En fait notre roi avait un plan en tête. Il voulait faire accepter son autorité au peuple de Creek mais ne souhaitait nullement sa disparition. En faisant ce "cadeau", il pensait gagner la reconnaissance indienne. Malheureusement, le coeur des hérétiques est trop imprévisible. Nos troupes durent se résoudrent à faire sentir aux chefs creeks l'intérêt qu'ils auraient à se placer sous notre autorité, ce qu'ils acceptèrent finalement. La France en quête de gloire et de pardon C'est que la France préparait un autre projet beaucoup plus ambitieux, beaucoup plus prestigieux et beaucoup plus chrétien (si je peux m'exprimer ainsi) : la libération du tombeau du Christ. Face à l'ampleur et au succès dans le bas peuple, mais aussi chez certains aristocrates, de la nouvelle hérésie, les catholiques du royaume, et en premier lieu le roi, étaient très inquiets et tentaient de trouver des remèdes à ce fleau. En 1535, déjà un quart du royaume était touché dont l'oppulente capitale royale. Les conseillers du roi rappelèrent alors au roi que cela faisait bien longtemps qu'aucun chrétien ne s'était intéressé au sort de Jerusalem aux mains des Infidèles. Dieu en était peut-être fort mécontent et frappait le peuple élu, celui qu'il considérait comme le guide de ce monde. Aussi pieux qu'il était, notre roi ne manquait pas de pragmatisme et de bon sens, il savait que Jerusalem ne pouvait être reprise mais surtout conservé sans une aide locale et un accord avec une force locale. L'Empire Ottoman semblait être le candidat idéal. Avant la France, aucune cours d'Europe n'avait jamais tenté de négocier un tel accord avec le Sultan, simplement parce que tout le monde croyait cela impossible. Pourtant, la diplomatie française y est parvenue (c'est d'ailleurs suite à cet épisode que l'adage "Impossible n'est pas Français" s'est développé). Il n'y aurait aucun intérêt à expliquer comment se déroulèrent ces pourparlers, seul le résultat compte : le Sultan reconnaissait que Jerusalem devait être placé sous l'autorité d'un Etat chrétien. Cet Etat serait la France qui partit alors en guerre contre le Mamelouks avec l'aide du Sultan. De 1539 à 1543, des Français se battirent en Asie contre des musulmans, parfois même aux côtes de musulmans, mais dans un but authentiquement chrétien et qui devrait animer tout homme de foi : rendre à la communauté chrétienne les sources de son essence même. Et le 25 décembre 1543, la France offrit au monde chrétien la ville sainte de Jerusalem. Alors que de par le monde on fêtait la naissance du Sauveur, le royaume de France se plaçait en sauveur et protecteur du tombeau du Seigneur. Qui mieux que la fille de l'Eglise et le peuple élu pour accomplir cette tâche ? |
Diplomatie française :
Au roi d'Espagne : Cher cousin, nous venons de prendre connaissance d'un passage de l'histoire officielle espagnole sur le contexte qui entourait la 3e guerre franco-espagnole. Sachez que certains passages nous ont profondément outré et révolté. Certaines atteintes à notre honneur ne nous permettent plus d'entretenir de quelconque rapport cordiaux avec vous sans que notre honneur soit lavé. Pour ce faire il n'existe que deux solutions : le combat singulier ou le pardon. Je ne saurais souffrir de vivre dans la honte dans laquelle vous m'avez plongé. Je vous somme donc de choisir entre la guerre ou les excuses diplomatiques pour les accusations ou mensonges suivants : Citation:
Citation:
Nous avons moins passé d'années en guerre que vous et contre un nombre d'ennemis plus restreint que vous. Sinon vous pouvez me rappeler quel sort vous avez réservé au royaume d'Aragon ? Citation:
Citation:
On ne peut mesurer la puissance d'une nation à son seul manpower qui en effet est très important pour la France Citation:
Si l'équilibre veut dire le contrôle par un même Etat de l'ensemble des richesses orifères et commerciales du continent nord et centre américain au détriment des autres Etats présents et en usant de la force si nécessaire, alors dans ce cas oui nous pouvons dire que l'Espagne défend l'équilibre... Pour notre part, nous nous sommes plaint de l'absence d'équilibre au sens traditionnel du terme, c'est-à-dire : état d'un espace territorial dominé par des forces qui se contrebalancent. Nous n'avions pas connaissance de la définition espagnole à l'époque.A titre purement informatif, il est stupéfiant de constater que l'Espagne qui défend une valeur si noble et humaine de partage équitable du monde soit obligée de "payer" ses alliés (pologne, russie) tandis que la France, qui ne cherche que le déséquilibre du monde à son seul profit, parvient sans difficulté à rallier Anglais et Vénitiens sans dépenser le moindre centime. |
Précision Russe relative au protocole:
Certaines communications qui nous parviennent sont adressées au "Tsar" Il n'y a pas de Tsar en Russie. Il n'y a qu'un Kniaz, Grand Prince Marchand élu, qui représente l'alliance éternelle de la noblesse, des guildes et du peuple au seing du Grand Velche de toutes les Russie, à Novgorod. Actuellement le pouvoir est délégué au grand Prince de Moscou Aedanski qui siège à Novgorod avec sa grande horde pour toute la durée de son mandat. Merci |
Citation:
Malheureusement nous pensons que si : en effet, dans notre dernière guerre malheureuse contre vous, nous avions énormément de liquidités, et nous pensons que la France également puisqu'elle a pu recruter en masse dans ses campagnes en permanence. Seulement la différence flagrante de population mobilisable a apporté l'avantage décisif et structurel à la France. Ajoutons à cela les terres de France continentale extrèmement riches et facilement défendables. Tout cela fait de la France probablement la nation la plus puissante de ce temps. Mais il n'y là aucune honte à avoir, tout au contraire nous saluons la puissance de ce grand Royaume qui a pu libérer Jérusalem. Il faut seulement assumer les quelques critiques inévitables que peuvent faire telle ou telle nation à votre encontre. Critiques qui vous le conviendrez certainement ne sont guères insultantes ou menaçantes surtout maintenant que tout contentieux entre nos deux pays est réglé. Il ne s'agit que de demandes de précisions auquel vous n'avez toujours pas répondu d'ailleurs. Concernant vos alliés Venise et Angleterre,surtout Venise il faut dire, cette nation n'a jamais fait montre d'un grand courage, et l'appater d'une proie facile en difficulté n'a pas du être très difficile. |
Diplomatie française :
C'est votre opinion. Nous avons la nôtre. Cela n'était pas ce que nous appelons des accusations à tords dont nous demandons toujours des excuses, qu'il nous faudra aller chercher si vous n'y êtes disposé. Lorsque vous nous accusez d'avoir lever les indigènes contre dans les comptoirs anglais, par exemple, vous ne formulez pas une critique mais une accusation infondée et erronée. Nous avons parfaitement conscience de ne pas répondre à vos questions. Rassurez vous, elles ne nous ont pas échappé. |
Citation:
Venise a eu le courage de TOUJOURS, et ce depuis le début de la GPO de respecter ses engagements quoiqu'il arrive, c'est peut etre pour cela qu'aujourd'hui l'Espagne se trouve isolée et non pas Venise... Venise, elle, a toujours oeuvré pour la Paix contrairement à l'espagne et ces sbires qui n'ont cessé d'etre belliqueux et qui n'ont cessé de regarder les autres de haut. Sachez Roitelet, que jamais plus vous ne pourrez avoir notre pardon, car en effet il est SI simple de stigmatiser venise, qui est faible et dont tout le monde peut avoir une rancoeur... En effet le Portgual, vous meme et l'Autriche ont une ''raison'' d'en vouloir à venise, cette raison c'est le fait qu'on ai gagné la guerre et vous ne l'avez jamais digérer cela, comme vous n'avez jamais pu digérer le fait que l'on s'installe en amérique. L'Autriche et Venise sont parvenues à un accord raisonable pour les deux parties, certes qui ne garantit pas que nous nous entendrons toujours très bien mais au moins qui va permettre à nos deux nations de reprendre des relations diplomatiques saines et neutres. L'Espagne n'a jamais cherché cela avec personne car son roi est cupide et lache, l'Espagne à toujours tenté d'avoir le dessus meme par la parole, l'Espagne n'acceptera jamais d'avouer qu'elle a eu tort a tels ou tels endroit, lorsque l'Espagne se dit vouloir l'équilibre de l'Europe et des collonies .... entendez Roitelet: les cours de toutes l'Europe ricannent. Jamais l'Espagne n'a cherché a rééquilibrer quoique ce soit en Europe. Et le soit disant équilibre que vous souhaitiez en amérique est l'équilibre de "l'hégémonie espagnole", pour vous : équilibre = tout possèder. Que l'Espagne soit prete a faire des concessions et à redescendre de son piedestal sur lequel elle ne se trouve plus depuis la dernière guerre ! En effet, vous ne ferez plus que courir après votre gloire passée que jamais vous ne pourrez récupèré tellement votre arrogance et votre dédain des autres vous perdra. |
A la France : concernant l'affaire des colonies brûlées, vous aurez noté que les services espagnols ont des soupçons et non des accusations définitives contre vous : à partir du moment ou ni le Portugal ni l'Espagne ne sont en cause, nous aimerions bien savoir qui est à l'origine de ces forfaits.
Si la France nous donne sa parole, devant Dieu et l'Eglise qu'elle n'est pour rien dans cette affaire, alors nous la croirons, et nous ferons nos excuses bien humblement. A Venise : aucune espèce d'excuse ne sera faite à une nation de marchands sans scrupules qui n'est autre qu'une nation de couards et de lâche profitant des disputes passées entre France et Espagne pour se goinfrer de colonies. D'ailleurs si la France n'est pour rien dans les révoltes indigènes, peut être y êtes vous plus impliqué qu'on ne le pensait : allant brûler des colonies anglaises et simulant des révoltes chez vous, tout en accusant le Portugal que vous aviez en vue (vous nous aviez d'ailleurs dit que vous cherchiez à vous agrandir en annexant des terres portugaises avant la guerre). De cette façon vous ameniez dans votre folie le sage royaume anglais. |
Juste sachez ceci : Les seuls pays qui avaient les moyens financiers de soutenir autant de révoltes étaient l'Espagne et le Portugal. Je le sais, vous le savez,le Portugal le sait, l'Angleterre le sait et la France le sait aussi.
Pour le reste , c'est-à dire vos insultes "marchands sans scrupules qui n'est autre qu'une nation de couards et de lâche" référer vous à ce que nous vons avons dit précédement. |
Le problème n'est pas l'argent : cela ne coute quasiment rien d'envoyer des espions, mais bien le nombre d'espions lui même qui est très faible de notre côté.
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Le roi de France fait savoir qu'il est prêt à jurer sur le tombeau même du Christ qu'il n'a strictement rien à voir avec les révoltes autochtones.
Nous attendons donc les excuses officielles du roi d'Espagne. Nous nous étonnons de votre volonté de mener au clair cette histoire alors même que vous n'êtes pas la victime dans l'histoire. Notez que pour l'Angleterre et Venise, le coupable ne faisait pas l'ombre d'un doute et il ne couche pas dans le royaume de France. |
Nous faisont donc de plates et sincères excuses au Roi de France pour nos soupçons passagers.
Quant à notre volonté de tirer au clair cette affaire de révolte, nous voulons tout simplement savoir quel est le lâche pays par qui notre réputation et celle de notre ami portugais fut entachée. Et étant donné que ce pays est profondemment lâche, les soupçons naturellement se portent maintenant sur Venise... |
L'Espagne ne fait que confirmé par ces propos ce que nous avons déclaré précédement, contiuez :) vous aller dans notre sens.
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Déclaration Anglaise
Quand deux de nos colonies à peine implantées dans des régions où l'hostilité des autochtones est notée comme ' faible', voire même 'très faible', que ces deux colonies disparaissent simultanément suite à une double révolte indigène et que, enfin, deux colons étrangers partent immédiatement coloniser ces deux régions à peine vierges, il ne faut pas être devin pour deviner qui a armé ces indigènes. Le coupable est celui qui envoit immédiatement ses colons. Le coupable est le seul qui se fait tout petit, espérant se faire oublier. Le coupable est celui qui sait que aucun de ses espions n'a jamais été capturés et qui pense le Roi d'Angleterre, loué soit-il :priere: , trop sot pour additionner un et un. Le coupable n'est pas Venise. Le coupable n'est pas la France. Le coupable n'est pas l'Espagne. Le coupable est le Portugal Alors, Roi d'Espagne, vous qui avez tant hurlé votre désapprobation devant ces méthodes ignobles, qu'allez-vous faire à présent? Continuez à défendre de votre corps l'ingrat qui vous a abandonné? Qui a déclenché contre vous l'offensive Veneto-Anglaise? Qui vous a délibéremment menti sur sa participation à ce crime odieux? Agissez ainsi et vous serez aussi coupable que lui, complice d'un crime que vous approuvez moralement. Agissez ainsi et ralliez le camp des comploteurs saboteurs qui n'ont même pas le courage de leurs actes. Agissez ainsi et tournez le dos à l'Honneur, la Justice, la solidarité chrétienne! Faites votre choix et que le monde entier sache réellement qui siège en Espagne: un juste inquiet de l'équilibre mondial ou un forband prêt à soutenir tous les crimes pour maintenir son hégémonie et celle de son complice! Aux yeux de l'Angleterre, le Portugal a payé pour son crime, mais notre Honneur nous interdit de voir ainsi accuser injustement des nations chrétiennes qui n'ont rien à voir avec ce crime. Londres constate aussi avec quelle facilité l'Espagne accepte pour argent comptant les déclarations d'innocence du Portugal, que personne d'autre n'a jamais vu d'ailleurs, mais s'obstine à accuser la France et Venise... Sachez que le Roi d'Angleterre n'est pas dupe, il sait. |
***** Chroniques de la Sainte Russie ***** La victoire sur la Lithuanie Les armées Lithuaniennes sont inombrable et submerge la république de Novgorog peu habituée à des combats sur une telle échelle. Le Conseil supérieur de la république proclame l'état d'urgence et le gel de tous les avoir étranger à Novgorod. 12.000 mercenaires Janissaires sont recruté à grand fraid ainsi que ll'instruction de 5.000 Cosaque Suplémentaire. La terrible vague Lithuanienne sera finalement arretée par l'Hivers. Au Printemps, Novogord assigée pu etre dégagée par les armées reconstituées de la république. La contre attaque longue et méthodique commence. Au sud, dans les plaines, les combats de cavalerie font rage. Mais les armées républicaines sont irresistibles et finalement la Lithuanie devra ceder 3 provinces dont la ville de Tver à la république Mercenaires en Italie Pendant la terrible épruve de la guerre en lithuanie, le puissant et riche royaume d'espagne nous apporta une garnde aide financière. Mais la guerre éclata bientot à l'Ouest entre nations occidentale et nous offrimes nos services au roi d'Espagne. 12.000 Cosaques embarqué sur navires débarquèrent à Dantzig en pologne, traversèrent toute la pologne puis l'Autriche et enfin parvient en venetie, une ennemie de nos employeur espagnols. La Vallée du Po étant déserte, les cosaque de Novgorod se portèrent sur Ancone et livrant une batille à égalité numérique, écrasèrent les vénitiens faisant 2900 morts contre seulement 200 cosaques. Poursuivant les débrit vénitiens, les forces de Novgorod se firent surprendre dans les montagnes de Toscane dans une situation difficile. Alors que els combat faisait rage et tournait à la catastrophe, la nouvelled e la paix parvint sur le champs de bataille. Notre employeur faisait la paix et nos fiers cosaques retournèrent au pays avec l'impression d'un travail mal fait, d'un travail inachevé Vive la Sainte Russie La disparition du duché de Moscovie et de l'empire Byzantin laissait le monde orphelin d'un grand guide, d'un empereur. La montée en puissance du duché de Moscovie fut le signe pour le grand patriarche, que la pourpre impériale pouvait etre reprise afin de federer tous les orthodoxes. Le Patriarche offrit alors la courone de toute les russies à la plus illustre famille de Novogorod. La république marchande de Novgorod devenait ainsi le nouvel empire de Russie même si dans les faits, les anciennes institutions républicaines furent conservées et que la dignité impériale ne devint pas heréditaire mais elective sur le principe de l'ancien conseil de Novgorod. La campagne de Kazan. L'avénement de la Russie offrait la possibilité de revendiquer les terres de l'ancienne principauté de Kiev du IXeme siècle. La Russie entra en guerre avec Kazan et la Sibérie. Mais KAzan disposait d'une enclave en Crimée et heureusement le sultan Ottoman de montra coopératif. Kazan et la Sibérie furent reduite à leurs capitales et toutes leurs terres furent annexées. L'accord avec le Sultan, la disparition de Kazan Un accord fut finlement trouvé avec le sultan pour un echange de terre permettant la constitution d'une frontière sure entre les deux empires. Une 2eme guerre permis alors la conquete complete et définitive de la Sibérie et de Kazan. La 2eme guerre de Lithuanie La Lithuanie catholique comportait 50% de sa population d'origine russe et Orthodoxe. Apres accord avec la Pologne, une vaste offensive Russe débuta contre la Lithuanie. L'arme Lithuanienne comportait 45.000h et il faudra 3 années d'une campagne terrible pour aboutir aux obejctifs prevus. Toute la lithuanie orthodoxes fut annexée à l'empire de Russie. Aujourd'hui la Russie est devenu une trés grande puissance par la force de ses armées.... |
Campagne du Mali: Juin 1553 – Mai 1555
Prologue : long préparatif. 1540-1553 Suite à la campagne du Zimbabwe, par nos conquistadors, Frise vit ses revenus exploser de près de cinquante pourcent, l’ouverture de Frise qui n’avait ramené que du prestige et de faible revenu, commencé à payer. Le Duc ne fut pas pour autant totalement rassasié, de l’autre coté de l’océan il voyait de nombreux galions partir vers la péninsule ibérique, chargé d’un butin phénoménal ! Il fallait continuer pour renforcer Frise face à ces vauriens ! Une expédition fut donc préparée pour conquérir les dernières mines d’or d’Afrique, celle du Mali. La campagne fut préparée longtemps à l’avance, Frise devait déjà installer des bases coloniales vers la cote et l’intérieur des terres, et lancer son explorateur a la découverte d’un maximum sur le terrain avant d’engager le combat contre le roi nègre, il fallut près de 10 ans a Frise pour réunir ses moyens militaires. Frise premièrement installa une colonie en cote d’ivoire après le massacre des indigènes par nos 4 milles cavaliers aux débuts des années 40, cette base devait servir de centre pour la découverte de l’intérieur des terres, mais aussi de centre de ravitaillement de notre flotte, pour enlever notre dépendance des colonies du Doge d’Afrique de l’ouest. Le duché par la suite repartit vers l’est pour sa guerre contre le Zimbabwe. C’est en 1546, avec la fin du conflit sur les terres d’Afrique de l’est, que Frise reprit ses préparatifs pour le Mali, le conquistador Enhard Bonga commença à découvrir l’intérieur des terres africaines, cartographiant méticuleusement les provinces frontalières des différents états africains. Après la cartographie une autre mission vint, face aux forces numériquement importante qu’avait à disposition le royaume du mali, Frise avait besoin d’un nombre important de terre où installait ses troupes, vu les faibles revenues qu’ont pouvait tirer de ces terres, c’est ainsi que impitoyablement les troupes Frisiennes chassèrent de la Cote du Poivre, de Konian et de Worodougou, les populations non civilisé pour y installer des colonies Frisienne, les préparatifs d’accueil de nos troupes fut finit en 1553, après plusieurs non-réussite de colonisation dut aux problèmes dont était secoué le duché, par la succession de souverain a sa tête. La préparation des forces militaires pour ce conflit ne commença qu’en 1549, pour faire face aux nombres de troupes dont disposer le royaume africain, Frise recruta 8 mille cavaliers, et prêt de 8 mille arquebusiers dans les terres de Liège et du Luxembourg, où se trouvaient des manufactures ayant réussit à découvrir ces nouvelles technologies militaires. En 1553, nos troupes étaient prêtes à l’action. http://img209.imageshack.us/img209/7259/ccry2.png La guerre : 1553-1556. Le lancement de l’opération fut fait en juin 1553, l’armé Frisienne comptait 12 mille chevaliers, soutenus par 8 k d’arquebusier suivant le modèle de Maurice de Nassau et 4k de lansquenet, et le Malien aligné quand a lui, une armée de 30 mille hommes, mais aussi une forte réserve de pauvre bougre, mobilisable. La première phase de l’action était la plus délicate, il fallait réussir à mettre en déroute les 2 grands corps d’armé ennemi, le conquistador Enhard Bonga, grand stratège décida d’attendre que l’ennemie face une erreur, celle-ci vient au moi de juillet, le mali avait commencé à disperser ses forces armées pour tenir toute la frontière, cette manœuvre mit en position de faiblesse les troupes défendant leur capitale Niani, la cavalerie s’élança du Konian pour écraser les 8 milles qui restait, l’infanterie de Worodougou, constituait de 4 mille lansquenet et de 2 mille arquebusier, suivi la maneuvre.les forces ennemie furent culbuter en une dizaine de jour, ceci faisant retraite vers le gros de leur armé. Une seconde erreur vint ensuite, le roi nègre voyant le Konian non défendu y lança une partie de ses forces, les restes des troupes Frisienne restées sur la coté y furent envoyés, après cette victoire toute les troupes néerlandaises furent lancées sur la province de Bouré, où stationnaient les dernières troupes fraiche de l’ennemie, ayant perdu leur moral, et plusieurs millier de ces hommes, la retraite était la seule solution. http://upload.wikimedia.org/wikipedi...-Remington.jpg Troupe de Frise en marche L’armé de Frise commença une longe campagne de poursuite dans les régions côtières où avaient fui les troupes maliennes, Enhard Bonga ne voulant pas laisser une seule chance a l’ennemie de se réorganiser. Ce général n’ayant aucune des sièges, le duché dut envoyer un de corps de siège métropolitain, 4 mille lansquenets et 2 mille canonniers furent envoyé assiéger en décembre 1553 la capitale du royaume, celle ci tomba en octobre 1554. http://img444.imageshack.us/img444/3720/cccms0.png L’année 1555 fut marqué en son début par le massacre total des corps de batailles d’avant guerre malien, l’armé put se tourner totalement vers la prise des régions aurifères, les garnisons de Bourré, Bambouk, Koumassi puis Djenné tombèrent tour a tour durant l’année et demi qui suivit, la cavalerie continua à poursuivre les troupes de maraudeur malien qui essayait de prendre nos colonies En juillet 1556 la paix fut enfin signer à Walata, le Mali abandonne ses 3 mines aux ducs. Le bilan de la guerre fut une victoire écrasante des troupes Frisienne qui ont montré des qualités manœuvrières de premier ordre, n’ayant subit aucune défaite. Pour un Frisien tué prêt de 3 maliens sont tombé, et ce ne sont pas maliens qui ont tué le plus de Frisien, la maladie a fait beaucoup plus de ravage que ces guerriers ineptes. Selon les dernières estimations, les pertes malienne ont été de prêt de 60 mille hommes, pour 20 mille Frisiens. |
[1549-1561]
Journal : La Voie de la Vérité Article :La dynastie ducale touchée par des morts inexpliqués. Depuis la mort de notre bien aimé duc Willem Lodewijk I le 21 aout 1549, le trône de Frise subit une mortalité inconcevable ! Notre Duché est Habitué à cela, mais aujourd’hui cela dépasse tout ce qu’on avait connu ! Depuis sa mort jusqu’en 1561 se sont succédé 4 Duc sur le trône ! Ernst Casimir II : 1549-1550 Johan Willem III: 1549-1555 Johan Willem IV:1550-1560 Ernst Casimir III:1560-.... Ces morts ont crée beaucoup de rumeur dans le royaume, une partie la populace commença à croire à une malédiction divine, certain voulurent faire croire que cela venait d’un complot protestant, mais la majorité du peuple était instruite, et le dogmatisme n’avait que peu court a Frise, et le pouvoir balaya ces allégations. D’autres rumeurs font état d’empoisonnement, mais aucun poison connu ne fut découvert lors des examens post mortem, mais les découvertes dans ces domaines allait plus vite que la médecine ; surtout avec la découverte d’herbe dans les terres d’outre mer ! Qui aurait bien pu vouloir tué nos souverains ? Nous pouvons déjà éliminer les états suivant, Venise, l’Angleterre et la France, avec lesquelles nos relations sont plus qu’honorables et qui n’aurait aucun intérêt a semé le trouble dans notre duché, nous pourrions penser a un complot Autrichien pour finir d’unifier le saint empire Germanique mais nos relations se sont améliorer, et sont aujourd'hui plus qu'amicale. Que reste t'il donc?! Deux royaumes ont peut-être des raisons de vouloir semer le trouble dans le royaume, l’un qui s’inquiète de notre progression en outre mer, et l’autre qui ne c’est peut être pas remit de notre alliance avec les Français, et oui les soupçons ce posent vers la péninsule Ibérique ! Aujourd’hui cette thèse est plus que accepter dans le duché, la fourberie étant une marque des peuples de cette région ! L’un corrompant les bourses des monarques, l’autre brulant les colonies de ses concurrents ! Nous demandons aujourd’hui à notre duc de tout faire pour arreter les actions de ces mécréants ! Que justice soit rendue! Hector Hunk. |
Missives diplomatiques
A notre amie l'Espagne Cher cousin, votre situation fut délicate, lors de la dernière guerre. Afin de vous éviter un aurtre dilemne de ce genre, à l'avenir, nous venons en toute amitié vous rappeler cette maxime : "A vouloir satisfaire la plupart, on finit par mécontenter tout le monde"... Au bon Sultan de constantinople Grand sultan, l'Empereur considère avoir une dette envers vous. N'hésitez pas à nous la réclamer. A tous les royaumes catholiques d'Europe L'Empereur souhaite qu'une grande offensive de la part de toutes les nations catholiques, soit menée immédiatement pour faire barrage à l'hérésie protestante qui fait des ravages. Nous allons de ce pas en faire part à sa Sainteté pour qu'un Concile se réunisse. Cette offensive devra être la priorité des priorités. Tous les pays catholiques devront y participer, même si son territoire est actuellement épargné. La solidarité entre nations catholiques devra être de mise. Il en va de l'avenir de l'Eglise. |
1550 – 1561. Pour une place au soleil
Acte I. L’échec des négociations avec le Portugal Edgar III succomba un beau matin de mars 1554, laissant derrière lui une Angleterre plus prospère que jamais. Mary II lui succéda, première Reine depuis bien longtemps. Alors qu’Edgar avait concentré toute son attention sur le commerce, elle tourna de son côté un regard nouveau et bienveillant vers l’Asie, où l’Angleterre disposait désormais de 2-3 bases suite aux exploits d’Henry VII. Ce qu’elle vit ne lui plut pas du tout :enerve: : le Portugal, après s’être approprié avec la plus grande sauvagerie l’Afrique du sud et l’Amérique du sud, récidivait à présent avec l’Asie : des dizaines de provinces étaient occupées. Non pas développées, mais bien occupées. Moins de 100 colons par province, le seul but étant de priver les autres pays d’un débouché qui revenait pourtant à tous :?: . « Plus ils en ont, plus ils en veulent dirait-on » murmura avec tristesse la Reine. Lisbonne avait visiblement pour ambition de parsemer au moins la moitié du monde de ses colons… Cela était naturellement inacceptable et le Roi de France décida d’organiser une grande conférence regroupant toutes les nations coloniales afin que celles-ci s’engagent à respecter les valeurs chrétiennes que tous étaient censés défendre. Deux points étaient à l’ordre du jour : l’interdiction des sabotages, méthode indigne entre chrétiens, et l’interdiction de thésauriser dans le seul but de priver son voisin, ce qui est pêché selon les préceptes de notre Seigneur Jésus. Venise, la France, l’Angleterre et l’Espagne donnèrent leur accord. Le Portugal, lui, refusa tout en bloc :( . Son Roi hurla que les sabotages étaient légitimes pour contrer toute tentative de colonisation « dans sa zone d’influence » et qu’il colonisait comme il l’entendait « dans sa zone d’influence ». L’Angleterre pacifique et bienveillante demanda alors en quoi consistaient ces « zones d’influence ». Stupeur et indignation, la « zone Portugaise » comprenait l’intégralité de l’Amérique du sud, l’Afrique du sud et les ¾ de l’Asie :goutte: . Autant pour la solidarité et la tempérance chrétienne… Le ton commença à monter et le Roi du Portugal se vanta publiquement d’avoir envoyé les saboteurs qui avaient détruit nos colonies d’Afrique du sud et d’Argentine : il avouait enfin :enerve: . Après s’être si longtemps caché dans un silence coupable, après avoir laissé son allié Espagnol subir nos foudres pour ces destructions, après avoir laissé les nations chrétiennes et coloniales s’accuser les unes les autres, il avouait, les preuves rassemblées par l’Angleterre étant de toute façon irréfutables. Mary était pacifique, elle pouvait pardonner ces actions barbares, mais encore fallait-il qu’il y ait volonté de repentir… Tel n’était pas le cas et le Portugal refusa de réviser d’un iota sa très agressive politique coloniale :?: . Quand deux positions sont inconciliables, l’heure des discussions est terminée… Les armes allaient parler :=(: . Le Roi de France admit l’échec de la conférence et s’en retourna navré à Paris. Acte II. Une guerre mal embarquée La guerre fut déclarée en 1558, deux David contre un Goliath, l’Angleterre et Venise contre le très riche Portugal. Celui-ci était aussi riche à lui seul que les deux David et il disposait surtout d’une avance technologique incroyable :?: . L’Angleterre et Venise, unis maintenant comme il y a 35 ans, ne disposaient que d’un unique avantage, en théorie en tout cas : la supériorité numérique, terrestre principalement. Restait encore à pouvoir l’utiliser et la nature même de la guerre allait en fait rendre cela impossible, raison pour laquelle le Portugal allait en fait bénéficier de tous les avantages et prouver à tous qu’il était plus puissant que l’Angleterre et Venise réunis :loose: . Néanmoins, nous vaincrons quand même car le Très Haut est avec nous :mrgreen: . Le plan établi était le suivant : Venise devait concentrer ses efforts en Amérique du sud uniquement, contre l’ancien royaume Inca d’une part, contre le Brésil Portugais d’autre part. L’Angleterre, elle, avait aussi deux fronts principaux à gérer : le Brésil, où 20.000 de ses soldats devaient soutenir l’offensive Vénitienne, et l’Asie, où un corps expéditionnaire de 12.000 soldats devait prendre l’offensive, en coordination avec les garnisons locales. L’Amiral Richard Uxbridge, dès que la guerre fut déclarée, quitta nos villes d’Amérique sous les acclamations de la foule en délire : il partait pour l’Asie, remplir la mission que Londres s’était fixé :) . Après avoir traversé l’atlantique, il dut faire escale dans les ports Vénitiens d’Afrique de l’ouest, les navires ne pouvant supporter sans réparation une aussi longue traversée. Là, nos alliés lui apportèrent les dernières nouvelles : s’ils avançaient un peu dans l’ex-royaume Inca, c’était l’échec total au Brésil et les réserves Anglaises devaient intervenir pour relancer l’offensive. C’est à ce moment que Londres constata que, dans son enthousiasme à envoyer en Asie son corps expéditionnaire, elle avait comme qui dirait oubliée d’envoyer les 20.000 soldats prévus au Brésil :loose: . Seuls 8.000 étaient présent et ils reçurent ordre de rallier nos alliés. Richard Uxbridge décida cependant de passer un savon aux officiers du corps expéditionnaire qu’il convoyait, partant du principe que tous les officiers de l’armée de terre étaient les mêmes. L’envoyé spécial de Mary II, l’illustre Danton :mrgreen: , réputé pour son habileté technique avec les nouvelles technologies ( micro, hauts-parleurs et autres :siffle: ) s’en alla réunir ces vétérans. (Lord Danton) « Amiral, euh, il y a comme un problème… » (Richard Uxbridge) « Nous n’avons débarqué que 8.000 hommes auprès de nos alliés Vénitiens, je sais, mais voyez le temps qu’il nous a fallu pour traverser l’Atlantique ! Non, nous allons remplir notre mission puis nous reviendrons, tout ira bien, vous verrez. Bon, où sont les officiers, que je les tance un peu pour cet oubli impardonnable :enerve: » (Lord Danton) « Il n’y a pas d’officier de l’armée de terre ici, pas un seul » (Richard Uxbridge) « Comment ? Mais qui va commander les troupes alors ? Je suis un marin, moi, pas un général :tongue: ! » (Lord Danton) « Il n’y a pas de troupes non plus » (Richard Uxbridge) « Plait-il ? » (Lord Danton) « Nous les avons aussi oublié :loose: , elles sont toujours en Amérique » (Richard Uxbridge) « Comment ? » (Lord Danton) « C’est la faute de Marseillais :mrgreen: » (Richard Uxbridge) « Mais, mais, mais… Vous êtes certains au moins que nous sommes en guerre ? » (Lord Danton « Oh oui, cela aucun doute :p: ! Nous avions juste oublié qu’il fallait des soldats pour faire la guerre :loose: … Bon, on fait quoi là ? Nous retournons les chercher ? » (Richard Uxbridge) « Surtout pas, nous serions la risée de tous ! Euh, faisons comme si tout allait très bien, cela trompera l’ennemi :o: , vous verrez. Bon, continuons vers l’Asie et espérons que les garnisons locales suffiront » Et c’est ainsi que la Royal Navy reprit sa route vers l’Asie, avec pas un seul soldat embarqué :yeux: . Au large de l’Afrique du sud, Richard Uxbridge croisa une petite flotte Portugaise, qui s’échappa péniblement, y perdant la moitié de ses navires. http://img440.imageshack.us/img440/5206/screen22we1.jpg Cette victoire, toute limitée qu’elle fut, n’était pas sans importance : elle semblait prouver que le Portugal rassemblait ses navires au Brésil. La flotte Anglaise d’Asie se décida alors à quitter ses ports et convoya les troupes de garnison en Australie : ce fut un désastre, nos troupes se sont fait tailler en pièces :ouin: . Au Brésil, nos soldats engageaient eux aussi les hostilités, pour un résultat identique… http://img178.imageshack.us/img178/7448/screen23hn8.jpg Richard Uxbridge se sépara de quelques navires, qu’il envoya renforcer la flotte d’Asie et repartit pour l’Amérique : il errait comme une âme en peine depuis 18 mois, cela devait cesser et il fallait repartir sur de meilleurs bases. De fait, l’Angleterre s’était complètement fourvoyée, suite à une préparation des plus catastrophique et quelques oublis…:loose: Il fallait redresser la situation, et vite. De nouvelles garnisons locales levées en Asie nous permettent de brûler quelques colonies Portugaises en Indonésie puis, surtout, de reprendre l’avantage en Australie, où le centre de commerce d’Eoza tombe entre nos mains. Le conquistador George Blake pousse son avantage et s’enfonce à l’intérieur des terres, où il triomphe une fois encore des armées Portugaises. http://img261.imageshack.us/img261/7496/screen26hp8.jpg Au Brésil, par contre, c’était la déroute la plus complète et les armées Portugaises, désormais trois fois plus nombreuses :goutte: , étaient passées à la contre-offensive : les positions Vénitiennes tombaient les unes après les autres. Il fallait envoyer des renforts décidèrent les deux David. Mais la flotte Portugaise de l’Amiral Uriel de Queirez veillait : elle tomba à l’improviste sur les navires Vénitiens et envoyèrent par le fond les ¾ de ceux-ci. Sans navires, pas de renforts et sans renforts pas de victoire possible :?: . La situation devenait des plus tragiques :ouin: , le très riche et très puissant Portugal semblait déjà avoir, après deux ans de guerre seulement, la victoire à portée de main… Il fallait réagir ! Et commencer par ce qui aurait du être fait il y a deux ans déjà : débarquer des renforts auprès de Venise en Amérique du sud. Alors que la Royal Navy approchait du Brésil, avec des troupes à bord cette fois, un cri d’alerte fut lancé : le pavillon d’Uriel de Queirez, le boucher des Antilles ! Hurlant et vociférant, Richard Uxbridge oublia ( c’est une habitude chez lui :yeux: ) les troupes terrestres qu’il convoyait et cingla à toute allure vers le Portugais, afin de venger nos alliés de Venise. Manœuvre d’une folle audace qui sentait bon le quitte ou double : si la Royal Navy était vaincue, la guerre au Brésil était perdue et le retour d’Uriel de Queirez en Asie aurait scellé de même tout espoir de victoire sur ce front. La victoire ou la mort :=(: ! Un 9 au choc pour l’ennemi, c’est bien partis :goutte: http://img261.imageshack.us/img261/7664/screen27zu7.jpg Victoire ! :clap: http://img440.imageshack.us/img440/4183/screen28fh1.jpg Les pertes cependant ont été lourdes, supérieures même de notre côté malgré notre victoire et notre supériorité numérique :goutte: : un appel est donc lancé aux débris de la flotte Vénitienne et le Doge y répond favorablement. Sa flotte nous rejoint pour une nouvelle bataille contre Uriel de Queirez :) . http://img178.imageshack.us/img178/7527/screen29kp3.jpg Cette fois, la victoire est sans appel :chicos: http://img440.imageshack.us/img440/1430/screen30ng6.jpg La flotte de Venise, fortement endommagée par les combats, rentrent au port, mais pour la Royal Navy l’heure n’est pas venue de se croiser les bras : Richard Uxbridge poursuit les Portugais en déroute et les écrase deux fois de plus avant d’en terminer une fois pour toute le long des côtes du Brésil . http://img261.imageshack.us/img261/5168/screen33gc4.jpg Uriel de Queirez parvient enfin à se replier dans un port Portugais, la flotte Anglaise, très sérieusement endommagée, se replie avant que l’usure ne la décime. Immense victoire navale pour l’Angleterre :clap: et inespérée bouffée d’oxygène pour la coalition, qui est passée de la retraite au Brésil à la déroute la plus complète :( . Les renforts finalement débarqués par Uxbridge sont taillés en pièce par des Portugais trois fois supérieurs en nombre aux troupes coalisées : la supériorité numérique de l’alliance n’était-elle pas son seule et unique avantage ? Où est cette supériorité :?: ???? Néanmoins, Londres ne perd pas espoir, le moral gonflé à bloc par sa victoire navale, et le conquistador George Blake apporte une nouvelle victoire au Royaume http://img261.imageshack.us/img261/2788/screen34ue0.jpg Victoire qui malheureusement qui lui coûte la vie :ouin: Le très riche et très puissant Portugal, malgré sa défaite navale, conserve l’avantage, après trois années de guerre, mais au Roi du Portugal nous disons ceci : la guerre ne fait que commencer. :siffle2: |
La position diplomatique française durent les années 1550-1561
Depuis la fin de sa dernière guerre contre l'Espagne, le Portugal et la Pologne, le royaume de France vivait des jours de paix. Toutefois, notre bon roi savait pertinement que la paix ne dure que le temps que se forge les novuelles ambitions. Il ne fallait donc pas se reposer sur le confort de la paix et perpétuer la tradition française d'une intense diplomatie pérenne. Auréolé de sa gloire récente suite à la libération de Jerusalem, le roi de France se senti le devoir de trouver des issues pacifiques aux problèmes de ce monde. Il s'attela d'abord à celui générateur de multiples conflits depuis 80 ans : la colonisation. En effet, chaque pays avait sa propre politique et philosophie coloniale. L'Angleterre et la France misait sur un développement lent mais sur, l'Espagne et le Portugal avait choisi une voie opposée. Les nouveaux coloniaux, quant à eux, s'étaient contentés des restes et/ou avaient usé de la force pour aggrandir leur zone d'influence. Les deux anciens adversaires de la guerre de Cent Ans maudissaient le recours à une pratique dite de coloriage qui n'avait que pour conséquence d'attiser les envies et les rancoeurs. Les nouveaux coloniaux, principales victimes de ces coloriages par la diminution des espaces libres, portèrent crédit aux dénonciations franco-anglaise et embrassèrent leurs idéeaux. L'autre problème colonial consistait à une pratique que l'on ne peut vraiment pas qualifier de chrétienne et qui reposait sur le péché de convoitise : le financement de révoltes autochtones dans de jeunes colonies. Ce problème fut rencontré par deux royaumes : l'Angleterre et Venise. Très vite leur soupçons portèrent sur le royaume du Portugal. Il semblerait, suite aux dernières révélations, que cela soit exact mais la prudence est de mise dans cette affaire. Quoiqu'il en soit, cette méthode attisa la rancoeur des anglo-vénitiens face aux Portugais, déjà champion du coloriage de carte depuis que l'Espagne s'était rangée, il y a quelques années, à l'idée d'une modération coloniale. C'est ainsi qu'en 1556, le roi de France contacta les différentes cours des royaumes coloniaux pour trouver une issue pacifique et chrétienne à ces problèmes. A la table vinrent les envoyés du roi d'Angleterre, d'Espagne, de Venise, du Portugal. Le roi de Pologne dépêcha également un ambassadeur pour se tenir au courant des décisions qui seraient prises. Très vite, les participants purent se rendre compte de la tâche colossale qui les attendaient, notamment devant les ressentiments anglais et la faible volonté de modération portugaise. Aussi étonnant que cela puisse paraître, c'est en Espagne que la France trouva son meilleur soutien pour mettre cette assemblée sur la voie du succès. Dans un trop rare esprit de sagesse, le roi d'Espagne comprit qu'il y avait tout intérêt à s'entendre. C'était une carte de la paix de l'Europe que nous jouions. L'échec fut à la hauteur des espoirs de paix. Face à l'empressement anglais, à l'intransigeance portugaise, l'influence hispano-française ne put rien. Et c'est ainsi, avec un profond dépit, que le roi de France appris que l'Angleterre et Venise venaient de déclarer la guerre au Portugal. L'assemblée avait vécu et avait échoué. Il nous fallut très vite savoir ce qu'il convenait de faire. Il n'était pas question pour nous d'entrer en guerre contre le Portugal, même si nous récusons sa politique coloniale, eu égard à notre volonté pacificatrice récente. La meilleure solution restait la neutralité sans cacher que nous n'étions pas défavorable à une issue qui permettrait une redistribution des terres. Dans le même temps, l'Espagne sembla hésiter quelque peu. Elle suivit après quelques jours de réflexion son allié agressée. La France ne pouvait tolérer cela. Nous n'avions aucune envie de faire la guerre à l'Espagne, nos griefs respectifs ayant été soldés lors de la dernière guerre. Mais nous ne pouvions laisser faire la première puissance du monde. Elle aurait déséquilibrer incontestablement le conflit en faveur du Portugal. Victorieux, celui-ci n'aurait jamais eu raison de mettre fin à sa politique coloniale et de choisir la voie de la modération. D'autre part, nous savions l'Espagne dans les mêmes dispositions que nous à cet égard, aussi seul la loyauté envers son allié pouvait la guider mais sans avoir la conviction du coeur. Contraint, le roi de France dù faire pression sur l'Espagne pour l'inciter à rester en dehors du conflit et l'obliger à signer une paix blanche immédiate avec Venise et Angleterre. Celui-ci s'y résolut sans manquer de demander l'indulgence des adversaires du Portugal et leur modération pour pouvoir construire un avenir de paix. Diplomatie : - Cher Empereur, nous avons été informé de la teneur de votre récente déclaration. Croyez bien que le fléau qui se répand en Europe nous préoccupe autant que vous. Malheureusement, et malgré nos actes en Jérusalem, Dieu ne semble toujours pas vouloir nous accorder son pardon. Il refuse de stopper l'hérésie sur nos terres et ne nous offre pas les moyens d'y faire face (30 de rois pourris en administration). Nous prions le Seigneur intensément pour laver nos fautes. - Aux anciens participants de l'assemblée des Coloniaux, la France maintient sa position vis à vis des deux problèmes exposés lors de cette assemblée. Elle demeure également dans un soutien neutre vis à vis de l'Angleterre et de Venise et demande à l'Espagne d'en faire autant vis à vis du Portugal. Néanmoins, nous faisons savoir à tous que la France défend l'Angleterre et Venise parce qu'ils se sont placés comme défenseurs d'un partage colonial. Dans cette optique, la volonté de redistribution des colonies portugaises non développées est comprise et c'est en cela que nous les soutenons. - Au roi de Pologne, nous nous réjouissons à l'idée que vous puissiez comprendre quelle folie guida vos aieux lorsque vous nous fîtes la guerre. L'ironie du sort vous a montré que vos anciens amis dispendaient plus généreusement leur or à l'Empereur qu'à vous. Nous continuerons à ignorer la Pologne sur la scène internationale. Ce n'est pas nous qui avons fait la guerre à l'autre par le passé. Ce n'est donc certainement pas à la France de faire le premier pas et le premier geste. - Au roi D'Espagne, votre intervention malheureuse contre le Sultan peut porter préjudice à notre accord avec ce dernier sur la souveraineté de Jerusalem. Nous ne saurions tolérer que vous mettiez à nouveau en péril le tombeau du Christ par vos aventures exotiques. - A toutes les cours du monde, la France fait savoir qu'elle vend son monopole sur le centre de commerce de la capitale. |
Diplomatie:
A toute les nations Catholique: Frise a aujourd'hui décidé de mettre fin à la liberté que le Duché avait laissé au peuple de Trève, leur passage a la religion protestante a profondèment choqué le Duchet, cela en est trop! La province de Trève sera annexé bon grès malgrès, ils insultent la couronne! Notre position de tolérance envers nos sujets protestants continuera tant qu'ils n'intrigueront pas et qu'ils ne chercheront à répendre leur religion. Nous demandons a toute les nations catholiques de mettre fin à ces états hérétique! |
Missive Impériale
Au duché de Frise L'Empereur vous soutient dans votre démarche de lutte contre l'hérésie. Comme nous l'avons déjà dit, ce mal est profond, et il gagne du terrain d'année en année. Si nous ne faisons rien aujourd'hui, qui sait ce qu'il adviendra ? A tous les royaumes catholiques Notre requète n'a été que trop peu relayée, et l'Empereur le déplore vivement !! Il nous faut faire de cette lutte, la priorité des priorités !! Toute autre quête, ambition, velléité... doit être repoussée à demain !! Y compris la colonisation !! A quoi bon tenter de répendre l'évangile à des indigènes, si nous ne sommes pas capable de la défendre sur nos propores terres ??? |
Janvier 1561 – Janvier 1577 :
Une croissance économique décuplée ! Le Duché avait de grave problème de trésorerie, cela remonté déjà à plusieurs décennie mais cela devenait de plus en plus perturbant pour le développement du royaume de Frise, le duché partit donc en quête de fond pour sa révolution économique ; le duché mit donc en vente le centre de commerce de Zanzibar, celui-ci rapportait moult ressource mais sa perte était plus que nécessaire et bientôt la seconde expédition d’Enhard Bonga en rapporterait un nouveau. Plusieurs nation envoyèrent leur diplomate à Amsterdam où se trouvait le siège de la compagnie néerlandaise des indes, les négociations entre la France, l’Angleterre et l’Espagne furent très vive, Frise avait le choix de vendre à un moindre prix à l’Angleterre soutenue par la France pour renforcer son alliance avec eux, ou le vendre à l’Espagne et en avoir un revenu plus qu’important, notre Duc décida de le vendre à l’anglais pour ne refroidir nos relations avec eux. http://img507.imageshack.us/img507/3682/zanzibarty8.png C’est ainsi que Frise put lancer avec l’argent franco-anglais un large plan de reforme de l’état, le duché pu se doter d’une administration plus développée avec l’établissement de prévôté dans toute les provinces du duché, l’autre secteur où le royaume investit fut les armes, avec la création de manufacture dans les provinces du Luxembourg et de Liège, permettant de renforcer les investissements frisiens dans le secteur clé des armes. L’état aussi se dota d’une banque centrale, permettant de juguler l’inflation dans le royaume. La conséquence de ces réformes fut une nette croissance dans le duché, la santé financière de l’état fut enfin retrouver après plusieurs décennie de calvaire financier… http://img507.imageshack.us/img507/8273/friseld4.png Annexion de Berg selon le traité de Düsseldorf ! Lors du traité entre l’Autriche et nous, une clause avait été mise entre l’empereur et nous sur la terre de Berg qui appartenait à leur vassal de bohème, avec tous les morts qui se succédaient sur le trône et les affaires d’outre mer, notre duché oublia de demandé restitution de cette terre, cette affaire revint sur la scène lorsqu’un général de notre armé fit voir à notre bon duc que nous avions oublié cette affaire, et lui montra que cette terre était trop vitale pour nous, du fait du carrefour qu’elle représente entre nos différentes provinces, après missive à l’empereur ; celui-ci après vérification fut obliger de reconnaître notre bon droit… Capture de Tombouctou : Notre Duché dut continuer sa lutte coloniale du fait des problèmes financiers du royaume qui demandait des prises de guerre constante, le général Enhard Bonga lors du dernier conflit n’avait pas pu mettre la main sur l’un des joyaux de l’Afrique de l’Ouest, Tombouctou ! Les troupes du conquistador émérite avaient eu plus de temps qu’il n’en faut pour se préparer à cette seconde campagne du Mali, après quelque discussion nos amis français furent convier à ce safari, cette campagne ne constitua pas une épreuve pour les troupes de notre royaume face à nos cavaliers et a nos fusils aucun africain ne pouvait résister ;après avoir abandonné Zanzibar nos troupes retrouvèrent un centre de commerce pour la gloire de notre duché… http://img504.imageshack.us/img504/4149/tomrj1.png Message Ducal sur la situation religieuse européenne : Nous avons vu de grand changement partout en Europe sur la question religieuse, deux vague religieuse se développe sur nos terres catholiques, le protestantisme et la contre réforme, c’est deux courant religion sont en réponse aux mots qui touche dans beaucoup de contré la foi de nos fidèles et auxquelles un clergé dévoyé n’arrive pas à répondre du fait de sa corruption, nous voyons en Angleterre, en France, Autriche et en Suède se rependre de nouvelle fois, certain prince d’Europe veulent combattre ces changements dans l’architecture sociale de leur état, mais ce n’est pas en punissant ceux qui quittent nos églises qu’ils retourneront dans le chemin du catholicisme ! La seul chose à faire et de réformer le clergé ! Notre duché a réussit à garder ses fidèles que de cette façon ! Sans cela aucun acte fort, même la reprise du tombeau de christ des mains des infidèles n’aura de quelconque résultat ! Les problèmes de notre église se situent à toute les échelles du clergé, ou l’ont voit le vice et l’ignorance des saintes écritures a bien des niveaux de celle-ci, le pape a démontré, il y a peu la corruption et l’indignité qui règne en son âme en attaquant Venise! Il s’occupe de faire la guerre a une nation chrétienne alors que le message du christ, est un message d’amour ! Pourquoi amène t’il la guerre dans notre royaume alors que les infidèles occupes des terres chrétiennes ? Comment reprocher à vos sujets de quitter la fois catholique en voyant ce qui la dirige ! Il ne mérite rien d’autre que la confiscation de ses terres ! Cela l’empêchera au moins de s’occuper d’autre chose que e religion ! Tache qu’il a abandonné, il y a bien longtemps.. Le duché de Frise reconnait ces religions comme chrétienne, et ne fera rien pour combattre celle-ci, l'édit de Cologne reconnait aujourd'hui la liberté religieuse de tout les sujets frisiens tant que les dites religions ne portent pas atteinte aux lois en vigueur dans le duché. |
1562 – 1577. L’Angleterre rattrapée par son destin tragique
L’année 1562 marqua l’apogée de l’Angleterre, juste avant que ne commence son inexorable déclin qui ne s’arrêtera probablement que lorsque nous aurons disparu complètement de la surface de la terre :ouin: ( si nous avons de la chance, nous pourrons nous réfugier sous terre, afin de mener pour l’éternité une vie entière de damné qui plus jamais ne verra la chaleureuse lumière solaire). Sic transit gloria mundi. Cette année là, en effet, à notre grande surprise, la paix avec le Portugal fut signée :clap: ! Notre allié de Venise y gagnait une province de mines d’or et deux petites colonies, l’Angleterre, de son côté, annexait le centre de commerce d’Eora et trois petites colonies, dont une, Porto Rico, fut immédiatement donnée à la France, comme nous lui avions jadis donné Calais, l’accès à nos ports pour atteindre l’Asie et 80% des gains obtenus lors de nos deux guerres communes contre l’Espagne. C’est que, pensions-nous, il y allait enfin avoir une contrepartie à nos générosités : la France allait partager avec nous une partie du lourd fardeau que constituait l’achat au royaume de Frise du centre de commerce de Zanzibar. La vente eu lieu la même année et, à Londres, c’était l’hystérie : après des décennies de disette et de misère, nous étions enfin parvenu à sortir la tête de l’eau :) . Personne ne prêtait la moindre attention à l’Archevêque de Canterbury, Laocoon, qui ne cessait de s’exclamer « Timeo Massillienses, et dona ferentes » :mrgreen: : le malheureux fut emporté par deux serpents surgis de la Manche et personne ne le revit jamais. L’Angleterre triomphante, sans se douter un seul instant que le destin tragique qui allait s’abattre sur elle s’était déjà mis en marche et se rapprochait inexorablement de son innocente tête blonde :( , se lança alors dans un nouveau projet d’unification des îles britanniques. L’Irlande fut vassalisée et l’on dépensa sans compter pour inonder le Roi d’Ecosse de cadeaux, espérant ainsi le convaincre de rejoindre notre pauvre mais industrieuse nation. Tout semblait nous réussir et Mary II semblait promise à rester à jamais dans les légendes Anglaises comme la Reine qui avait élevé le pays sur son piédestal :clap: . Plus grands sont les espoirs, plus grandes seront les désillusions. Car tandis que nous nous prenions à rêver et à espérer, le Malin, lui, tissait les fils de notre destin et de notre chute : depuis l’aube des temps, la destinée de l’Angleterre était de sombrer corps et bien et, suprême cruauté, cela devait commencer au moment où elle se pensait enfin tirée d’affaire :loose: . http://img57.imageshack.us/img57/1737/uk1577ou4.jpg Le destin cruel vient frapper à notre porte en l’année de 1568 : telle la grande faucheuse, impitoyable souveraine de notre destinée, les ambassadeurs d’Ecosse et de France surgirent. Les premiers nous signifièrent leur refus brutal de joindre notre tendre nation, malgré tous les cadeaux offerts, les seçonds nous réclamèrent le remboursement intégral et immédiat des sommes avancées pour l’achat du centre de commerce de Zanzibar, sans considération aucune de tous les sacrifices consentis par l’Angleterre en faveur de la France ces dernières décennies :tongue: ( Calais, Porto Rico, accès à nos ports vers la lointaine Asie etc etc). Le trésor Anglais était aussi vide à ce moment que lors de l’achat effectif et aucun espoir de le remplir sans pomper lourdement, ce qui fut fait : l’inflation s’envola, comme elle se serait envolée si nous avions payé directement nous même il y a 10 années. Pourquoi nous avoir avancé des ducats si c’était pour exiger le remboursement intégral à un moment où la situation Anglaise n’avait en rien changé ? Le Destin tragique venait de nous frapper cruellement et le coup qui nous fut porté laissa Mary II d’Angleterre à genoux, effondrée : ainsi, notre joie n’avait durée que moins d’une décennie. Le Malin abattait sa faux au moment où nous espérions enfin pouvoir atteindre les cieux et le Paradis Céleste : l’Angleterre, foudroyée en plein vol, tomba lourdement et s’enfonça plus bas que terre, toujours plus proche des fosses démoniaques qui attendait les damnés que nous sommes depuis l’aube des temps :ouin: . Deux expéditions lancées au cœur de l’Afrique profonde disparurent corps et bien en 1570 : de partout, les éclairs diaboliques nous foudroyaient et s’acharnaient sur l’innocente brebis déjà frappée à mort par ce destin ignoble :( . L’inflation galopante, le retard technologique, les difficultés commerciales, la haine viscérale de nos voisins pourtant Chrétiens comme nous, l’apocalypse et la déchéance commençait. Mais au milieu de la tempête, le front ensanglanté, les vêtements en lambeau, Mary II releva fièrement la tête et brandit un poing vengeur vers les cieux, desquels semblaient s’échapper un long ricanement sinistre, comme si les Dieux eux-mêmes riaient de notre déchéance: « Nous sommes peut-être maudits, mais nous ne nous rendrons pas sans lutter ! Noblesse oblige ! England for Ever :enerve: ! ». Ainsi, afin de faire face à la tourmente, il fut décidé les choses suivantes : -L’Angleterre met en vente les centres de commerce d’Eora et de Zanzibar, véritables tuniques de Bessus qui nous ont étouffés et empoisonnés à petits feux là où nous espérions qu’ils nous sortent au contraire de la tourmente. Puisse les ducats retirés de la vente nous permettre de nous remettre enfin à flot :loose: . -L’Angleterre se retire des affaires du monde, notre îlot désertique balayé par les vents glacials sera notre refuge contre ce tragique destin. Seul un cas de force majeure pourra nous en faire sortir prématurément. -L’Angleterre va revoir la nature de ses relations avec certains pays ( Venise exceptée, ce pays restant notre allié de cœur :) ), son gouvernement, ses affaires religieuses et bien d’autres choses encore : le moment est venu d’extirper le cancer interne et externe qui nous ronge et qui nous a valu de subir ce coup du sort. |
Réaction française suite aux omissions anglaises :
Citation:
A notre ambassadeur, la reine répond : "mais je t'ai donné porto rico contre le cot". Puis plus rien, après une nouvelle relance toujours pas de réponse. Quelques années s'écoulent encore sans que nous obtenions de réponse de la part de l'Angleterre sur ses préférences (à elle pourtant). Puis un jour, l'Angleterre nous envoie 1100 ducats d'un coup sans que nous ayons jamais exigé une telle chose. Le don de porto rico est une geste amical pour remercier la France des 2400 ducats DONNES pendant la dernière guerre des anglo-vénitiens (1200 à chacun). Calais a été rétrocédé par l'Angleterre pour sceller notre alliance et en échange d'un accord colonial et de notre abandon de l'allié écossais. L'accès aux ports anglais est un geste purement amical sans aucune contre-partie. C'est le seul. Les etc, etc... n'existent pas. De son côté, la France s'est retiré de la vente aux enchères du cot de Zanzibar (lorsqu'il était vendu par la Frise) pour soutenir l'Angleterre et nous étions même disposé à payer de notre poche une partie de la somme (l'Angleterre n'est jamais venu nous le demander). La France a, par ses efforts diplomatiques et son abandon de la Savoie, offert à l'angleterre un allié : Venise. La France a fait savoir lors de la dernière guerre anglaise, lors de sa période de paix récente, qu'elle était disposée à offrir de l'or que l'Angleterre n'a jamais réclamé (excepté à un seul moment pendantla guerre et elle l'a reçu). La France ne gagne que 30 ducats de plus que l'Angleterre par mois et non le double comme on pourrait le croire lorsqu'on lit commentaires anglais. Il y a 20 ans, la France ne gagnait que 10 ducats de plus par mois que l'Angleterre.... |
Citation:
Selon les chroniques de Don Jimbus le Sachem, ce serait plutôt 150 ducats :lol: , la preuve ici même http://www.europa3.ru/cgi-bin/mpstat...&yearsave=1561 Citation:
Voir paragraphe 2 :mrgreen: |
Citation:
Au fait j'ai oublié de rajouter tous les "etc, etc" évidemment que la France a aussi :tongue:. Pffff, isolationisme ..... ! La bonne blague ! Toi tu t'es encore fait bourré le mou par les ricains de la GPO. Je la sens poindre la trahison :o: |
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La Pologne soutiens pleinement le Royaume de Novgorod dans sa périlleuse expedition contre les Ming et leur puissance qui serait sans égale de mémoire d'homme.
Tout pays profitant de cette période pour affaiblir la Russie où lui déclarer la guerre devra aussi se confronter a la Pologne et aux régiments de Hussards. |
Citation:
Mais ou est donc encore passé Leazky ? Il doit encore être en train de fumer quelques-unes de ses fameuses épices Indiennes:lol: |
La Russie, Novgorod.. vous savez comme sont les routes en Pologne, des chutes d'arbres tout le temps, des brigands, et le pire c'est qu'il n'y a même pas de station pour faire des haltes.. avec tout celà mon bon comment voulez vous que la moindre information correcte arrive en Pologne ! :honte:
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