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Danton 25/12/2008 18h55

Après avoir salué l'auteur de cet AAR et regardé d'un air narquois Palpatine faire ses valises (mais peut-être est-il le plus avisé du lot :siffle2:), j'ai une question d'une grande importance à vous poser (si, si, je sais qu'on me lit... Un peu :mrgreen:)


Pour prendre mes screens (voir mon autre aar pour rappel de la qualité :honte:), j'utilise un appareil photo qui, selon les caractéristiques techniques, affiche la résolution d'image suivante:

Elevée: 300K pixels (640*480)

Basse: 100K pixels (352*288)


Est-ce suffisant ou pas?

Je me pose la question car j'en ai brièvement parlé hier à une copine (entre 2 verres :mrgreen:) qui me parlait, elle, de millions de pixels. Visiblement, je suis loin du compte :honte: mais cela je l'ignorais encore (je l'ai d'ailleurs regardé avec de grands yeux quand elle m'a demandé combien de pixels j'avais sur cet appareil photo numérique... Qu'est-ce que j'en sais moi :o:)

Que vaut cet APN? Serait-il de trop mauvaise qualité pour faire de bonnes photos de world in flames? (le mauvais artisan accuse toujours le mauvais matériel, c'est bien connu :o:)

GA_Thrawn 25/12/2008 21h31

Pourtant la sagesse populaire affirme qu'il n'y a pas de mauvais outils mais uniquement des mauvais artisans. :o:

jmlo 25/12/2008 22h58

Citation:

Envoyé par Danton (Message 174579)
Pour prendre mes screens (voir mon autre aar pour rappel de la qualité :honte:), j'utilise un appareil photo qui, selon les caractéristiques techniques, affiche la résolution d'image suivante:

Elevée: 300K pixels (640*480)

Basse: 100K pixels (352*288)


Est-ce suffisant ou pas?

Je me pose la question car j'en ai brièvement parlé hier à une copine (entre 2 verres :mrgreen:) qui me parlait, elle, de millions de pixels. Visiblement, je suis loin du compte :honte: mais cela je l'ignorais encore (je l'ai d'ailleurs regardé avec de grands yeux quand elle m'a demandé combien de pixels j'avais sur cet appareil photo numérique... Qu'est-ce que j'en sais moi :o:)

Que vaut cet APN? Serait-il de trop mauvaise qualité pour faire de bonnes photos de world in flames? (le mauvais artisan accuse toujours le mauvais matériel, c'est bien connu :o:)

Avec un appareil bas de gamme normalement t'as au moins une résolution supérieur à 2000X2000 ! t'es sur de ne pas avoir un telephone portable en guise d'appareil photo ? :o::lol:

Danton 26/12/2008 10h42

Et voilà, je savais bien que je ne pouvais pas être en cause :o:


Je suis un excellent photographe, mais on m'a fourgué du matériel pourri :enerve:

Leiv 26/12/2008 15h10

ben ouio mais comme on dit... "Size matters" :chicos:

Danton 27/12/2008 22h04

Les fatales hésitations des alliés


Les Alliés ripostent calmement aux coups de butoirs de l’axe : les flottes Franco-Britanniques se positionnement massivement en méditerranée occidentale et un farouche combat commence aussitôt contre les Italiens. Les canons Français font des ravages, mais l’aviation Italienne vient remettre les pendules à l’heure : le Dunkerque, le Jean Bart et le Montcalm sont coulés :(, ainsi que les bombardiers air/nav Français contre le Garibaldi et le Bande Nere. Dégouttés, les Français se replient et évacuent la méditerranée, sous les quolibets de leurs « alliés » Anglais, spectateurs neutres et impassibles de cette tragédie :yeux:, qui observent néanmoins le repli en urgence des navires de transport Italiens.


Les tempêtes secouent alors l’Europe, chacun reste tranquillement chez soi. Gort et le corps expéditionnaire Anglais évacue Anvers et se replie en France, sur Lille. Une fine pluie vient alors remplacer la tempête et le Reich en profite pour relancer l’assaut : Gort est massacré, Lille tombe comme un fruit mûr :choc:. A Paris, l’on décrète la Patrie en danger. La chute simultanée d’Alger et de Tunis ne vient guère améliorer le moral des Français qui hurlent de rage en apercevant des Heinkels allemands faire irruption en méditerranée : pourquoi Italiens et Allemands arrivent à collaborer quand France-Angleterre n’y arrivent pas :enerve:? « Well, répond calmement Chruchill, ce sont quand même nos soldats qui sont morts devant Lille ! » « Justement, que reste t-il encore de notre alliance ? Quelques cadavres ? Cela ne sauvera ni Paris ni l’Empire ! »


Finalement, excédée par cette mauvaise foi si typiquement Française :o:, Londres déclare la guerre à l’Italie (Roosevelt s’en moque complètement :mrgreen:) et lance ses porte-avions contre La Spezzia. Cible prioritaire : les navires de transport Italiens. Sans eux, aucun renfort n’arrivera plus en Afrique du nord. Tous sont endommagés, aucun n’est coulé :loose:. Seul un croiseur léger, l’Attendolo, est envoyé par le fond. Maigre bilan.

Tandis que la Hongrie entre en guerre aux côtés du Reich, les Etats-Unis décident d’accorder à la Chine la vente sous licence de chasseurs américains et un prêt-bail occidental.


Conclusion du tour 4. Vraiment pas terrible :loose:. J’ai retardé la déclaration de guerre anglaise, ce qui a coûté cher au Français, pour un raid des porte-avions qui s’est montré relativement décevant. La chute de Lille n’est pas dramatique en soi, mais la destruction des 2/3 du corps expéditionnaire anglais est préoccupante. Algérie / Tunisie tombés et Angleterre / Italie désormais en guerre, que va faire désormais cette dernière ?


A suivre : les Alliés s’enfoncent dans les ténèbres et la défaite…


Je me demande si je ne vais pas arrêter cet aar ici, j’ai trop honte de la suite :honte:

Emp_Palpatine 28/12/2008 11h46

J'ai bien fait de réserver mon billet dès septembre 39 moi. :mrgreen:

Danton 28/12/2008 21h21

Mais non, mais non, puisque je vous dis que tout va bien :mrgreen:



Mai / Juin 1940. Les ténèbres s’abattent sur l’Europe


Front de l’ouest


L’heure de la grande offensive est venue et le Führer donne son feu vert pour la mise en œuvre du plan jaune : le général Von Runstedt dispose de moyens colossaux, il ne va pas s’en priver (le Reich joue un offensive chit ;)). Prételat et les B1 Français sont bousculés, mais retraitent en bon ordre. Une autre offensive germanique près de Rouen obtient de bien meilleurs résultats et les panzers s’engouffrent dans la brèche : quelques chars atteignent déjà les faubourgs de Paris :?:! Le général Gamelin contemple ses maigres troupes d’un air désabusé : il faut dégager la capitale, mais comment ? Alors que le généralissime planifie une contre-offensive hautement risquée, il apprend son remplacement par le général Weygand, qu’on est allé chercher en Syrie. Ce dernier abandonne immédiatement tout projet de contre-offensive et ordonne l’évacuation de Rouen et Strasbourg.


Des tempêtes s’abattent alors sur l’Europe : le Très Haut viendrait-il au secours de la fille aînée de l’église ? Va-t-il frapper l’antéchrist de sa foudre vengeresse :=(:? Le Reich ronge son frein et attend le retour du beau temps pendant que les Français prient le ciel de rester aussi agité. Ils ne sont cependant pas entendu et, avec le retour du beau temps, les panzers repartent en avant : Prételat et les chars B1 résistent une fois encore :clap:, mais une nouvelle percée est obtenue plus au sud et les faubourgs est de Paris cette fois sont atteint : l’étau germanique se resserre impitoyablement sur la capitale française. Dans les Alpes, pas mieux : les Italiens avancent et bombardent Nice.


Le repli Français continue, les moyens manquent pour contre-attaquer. L’Angleterre rassemble ses bombardiers pour un raid contre Lille, où se trouve le général Leeb, mais ses Spitfires d’escorte sont abattus par les chasseurs allemands et les bombardiers doivent se replier piteusement :loose:. Et l’offensive se poursuit : Metz résiste miraculeusement, mais Prételat et ses blindés sont cette fois massacrés jusqu’au dernier. Le siège de Paris commence. Dans les Alpes, le général Graziani obtient enfin une percée spectaculaire et ses troupes arrivent devant Lyon :?:. Les débris Français se concentrent derrière la Seine et dans Paris, lourdement défendue : de puissants renforts sont annoncés, il suffit juste de tenir encore un peu…


Mais les Teutons lancent l’assaut, à la baïonnette et la ville lumière tombe entre leurs mains ! (10 au dé à du 2/1, qu’est-ce que je peux bien faire contre une chance pareille moi :enerve:). Dans le même élan, la Seine est franchie et le général Georges décide de repousser l’envahisseur derrière le fleuve, pour au moins sauver l’honneur de la France outragée, de la France martyrisée, de la France humiliée : c’est un sanglant désastre… (1 au dé naturellement…:yeux:). Les débris du corps expéditionnaire anglais n’ont même pas attendu le résultat de cette contre-offensive désespérée pour prendre la poudre d’escampette : la Royal Navy évacue discrètement les derniers Anglais encore présents à Calais, encerclés de toutes parts.


Le gouvernement français chute, le général Pétain est appelé au pouvoir : à Montoire, il signe la capitulation Française. Le gouvernement de Vichy est né, mais tous n’acceptent pas sa légitimité et, à Londres, une voix s’élève : le général Palpatine :o: appèle à la résistance. Paris est tombé, mais la France est éternelle et le combat n’est pas encore terminé. Avec l’aide du Très Haut (et surtout des Etats-Unis en fait :siffle2:), un jour viendra où la France sera libérée de l’oppression teutonne.

Danton 28/12/2008 21h24

Front méditerranéen



Bon, voilà au moins un front où les Alliés devraient remporter quelques succès : après tout, ils sont à deux contre le pauvre Italien, cela devrait suffire :o:. Pourtant, le tour commence fort mal : les hommes-grenouilles du Prince Noir font sauter le Tourville dans la base de Gibraltar pendant que les sous-marins passent discrètement le Rocher : 4 convois alliés sont coulés au large de l’Afrique occidentale. La Royal Navy riposte furieusement et, après un bref duel de surface, chasse les Italiens de méditerranée orientale : la disette commence à Tobrouk :tongue:, ce qui ne fait ni chaud ni froid à Mussolini, qui ordonne à Balbo de pousser son offensive jusqu’à Cassablanca.


Un farouche duel commence alors en méditerranée occidentale : le ravitaillement Italien est en jeux ! Les porte-avions Anglais créent alors la surprise et offrent aux alliés leur premier réel succès depuis le début de la guerre : bien que complètement surclassés en nombre et en qualité, les aviateurs anglais remportent la bataille et plus de la moitié de l’aéronavale germano-Italien est crucifié :=(:. Les navires fascistes payent ensuite le prix de cette défaite aérienne : l’Abruzzi, le Cadorna, le Trento, le Caio Duilio et trois convois sont coulés après plusieurs engagements qui, malheureusement, ne permettent jamais à la Royal Navy de couper complètement le lien Italien vers l’Algérie :(. Résultat, le général Balbo et ses blindés arrivent par chemin de fer à Oran tandis que l’infanterie quitte Alger et s’envahit déjà le Maroc !


Histoire d’ouvrir un nouveau front pour disperser les efforts de l’axe, le général Wavell quitte la chaude sécurité d’Alexandrie et envahit la Lybie : Bardia tombe, Tobrouk est bombardé, en vain. Des nouvelles catastrophiques parviennent alors de France : Paris est tombé, le général Pétain a demandé un armistice. Que va devenir la flotte française dans tout cela :goutte:? Qui va prendre en main le destin du Maroc à peine envahi ?

Danton 28/12/2008 21h25

Front Chinois



L’Europe ne me réussit guère :loose:, mais il reste la Chine pour redresser mon moral défaillant : un immense succès serait bien nécessaire pour faire oublier les désastres de France. Le tour commence malheureusement fort mal : après un violent bombardement aérien, le général nippon Umezu prend d’assaut Si-An, à la baïonnette, Mao n’en est toujours pas revenu. Pourtant, le gros des renforts impériaux a débarqué au sud, près de Canton, où Yamamoto lance un assaut qui est sèchement repoussé par les nationalistes, très fiers de réussir là où les communistes se sont fait humilier :mrgreen:.


Mais le samouraï est persévérant et l’assaut reprend : Yamamoto se prend une nouvelle gifle, mais Umezu perce dans les montagnes et menace directement Chung King, la capitale nationaliste, le cœur industriel chinois :?:. Cette fois, il faut réagir fermement : un repli majeur est décidé. Les ressources du sud de la Chine, tant convoitées par Yamamoto, sont abandonnées à l’ennemi sans même combattre et les troupes nationalistes se replient dans les montagnes avec deux objectifs majeurs : maintenir ouverte la route de Birmanie, par laquelle transite la totalité du soutien allié, et tenir Chung King.


Epuisé par ces décisions difficiles à prendre, le général Chiang s’endort paisiblement à Chang Sha : certes, il devrait la ville, désormais trop vulnérable, et se réfugier dans les montagnes mais il est si fatigué… Un peu de repos lui fera du bien :yeux:(en fait, ce quartier-général était face down…). Il est réveillé par le bruit de l’artillerie nippone, qui précède de peu la charge des fantassins : la ville est enlevée de haute lutte (et allez, encore un « 8 » au dé, après le 7 pour prendre Si-An :enerve:) et le massacre commence. 200.000 civils sont égorgés et abandonnés dans les rues de la ville martyre, les Etats-Unis sont scandalisés (+1 Us entry chit).


Fuseau horaire GMT +2. Il est actuellement 01h14.

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