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Voir la version complète : L'appel de Cthullu- Coup de Foudre! (la saga du Dieu Unique)


Antonius
20/01/2011, 23h59
28 Janvier 1912

Cher ami

Malgrès toute mes prétentions précédentes, j'ai finis par céder aux instances de ma femme et accepter de rencontrer ce jeune homme dont je vous parlais l'autre fois. Malgrès le fait qu'il soit irlandais, il sagit de quelqu'un de charmant et de respectueux. En fait, je fut moi aussi, après ma fille, séduit par ce jeune homme au point d'acquiescer lorsqu'il me demanda la main de ma fille. Je le sait, un tel revirement peu vous paraitre surprenant, mais ce jeune homme me parait fort intelligent et pourra, après quelques instructions, m'aider dans mes taches banquaires.
A ce propos, permettez de vous félicité sur vos précédent conseil: en raison de l'engoument pour le ski, mes investissements dans les aples m'apportent une coquette somme. Et vous, vos actifs immobiliers se portent-ils bien? Les dernières tentions entre l'Allemagne et la France me fait craindre pour vos location à Aachen. En effet je doute que la Belgique puisse rester neutre longtemps en cas de confli franco-germanique.
Enfin, sache que le mariage est prévue fin février dans l'île du Man. Nous allons souvent nous reposer la bas. Ce mariage doit être l'occasion d'un séjour agréable. J'ai joint à la lettre une invitation au mariage qui vous donnera plus de précision sur la cérémonie.
En espérant vous voir au mariage.
Votre cher Christopher



Van Palpaat équarquilla les yeux. Un tel revirement n'était pas dans les habitudes de Christopher Hartwood, et encore moins de la solicitude pour un irlandais. Tenez, dans sa précédente lettre, il rappelait que les irlandais et autres celtes représentaient ce que le Royaume-Unis avait de plus primitif, ou barbare, je ne sait plus.
Cela fait 20 ans que je le connais, jamais il n'a fait cela. Christropher me cache quelque chose.
Il sortit le faire-part de la lettre et le parcouru rapidement.

Madame Anna KILLIP Madame Cecilia BERGSON
Madame Charles MAC FILL Madame Christopher HARTWOOD Monsieur Charles MAC FILL Monsieur Christopher HARTWOOD

Sont heureux de vous faire part du mariage de leurs enfants

Héléna HARTWOOD et James MAC FILL.

Le mariage aura lieu dans l’intimité de leurs proches parents en l’église de Ballaugh, île de Man.
Nous serions honoré de votre présence.

La messe sera précédée par un déjeuner à midi dans l’hôtel Castle Mona à DOUGLAS, et suivie par un banquet dans ce même hôtel qui débutera à 19 heures. En espérant votre réponse avant le 15 Février, nous vous souhaitons une bonne et heureuse année 1912 !

James MACFILL Christopher HARTWOOD 12, Scarten Street 220 Baker Street
DUBLIN 8985 LONDRES 156 -4756


Erik Van Palpaat se carressa un peu la barbe, puis, pris du papier à lettre et, trempant une plume dans l'encrier, se prépara à répondre affirmativement à Mr Hartwood.

Antonius
21/01/2011, 00h42
28 Janvier 1912

Ma chère Latatia
Que de chose nous est arrivé depuis nos études communes à New York. Qui aurais pu deviné qu'un jour tu deviendrais actrice? Et moi épouse d'un banquier anglais... Et bientôt grand-mère, enfin, j'espère.
En effet, ma fille, Héléna va se marié avec un homme tout à fait charmant: un certains James Mac Fill. Cela a été un peu difficile pour mon mari au début car c'est un irlandais, mais il a finalement cédé aujourd'hui.
Ils vont faire un beau couple. Héléna a encore embellie depuis la dernière photographie que je t'ai envoyé d'elle et James est vraiment séduisant.
Saches que je t'invite au mariage de ma fille, si tu es libre. Ce seras l'occasion de se revoir et de nous reposé un peu. En effet, nous ferons la cérémonie dans l'île du Mans. Nous y avons toujours passé de charmant séjour. Nul doute que celui-ci seras de même.
Je t'embrasse
Emily Hartwood

Ps: je m'aperçoit que j'ai oublié d'ajouter le faire-part de mariage. Quelle étourdie je fait.


En lisant la lettre d'Emily, la belle Latatia Franconen ne pus s'empécher de sourire. Bien sur, elle se rendrait au mariage. Elle en profitera pour se rendre à Paris. Ah Paris.... C'est décidé: un coup de téléphone pour avertir son impresario et elle partira chercher des billets pour le Havre.

Antonius
21/01/2011, 13h57
Hubert
J'ai une nouvelle importante a t'annoncé: je me marie!
Tu te rapelle la petite anglaise dont je t'ai parlé? C'est elle que j'épouse. Son père a enfin cédé... Il était forcé d'ailleur car il aurai eut du mal a expliqué à ses collaborateur comment sa fille "si chaste et si prude" pouvait avoir un enfant. Rassures -toi, ce mariage avec anglaise n'arrètera en rien l'engagement que j'ai pris. De plus, la tête de cet aristocrate bouffi de sufisance et de mépris, forcé de cédé sa fille a un irlandais, justifie à elle seule ce mariage. Petite vengence mesquine mais agréable. D'ailleurs, comme je tient à ce que tu viennes à mon mariage, je te demanderai d'amener quelques fusils. J'ai des amis qui voudraient faire une partie de chasse près de Liverpool, mais sans arme ni munition...
Voici ci joint le faire part. Ne t'inquiète pas tout seras payé.

Même si ma future belle famille est méprisable, ai du respect por la mienne: soit présentable.
Amitiés
James MAC FILL

Hubert Mortemart soupira. Il avait de plus en plus de mal à justifié la disparition d'armes dans le magasin de son patron. Enfin, peut être pourrait-il cette fois encore, lui faire avalé la couleuvre. Enfin, James et le Sinn Fein les lui ont toujours bien payé. Et Hubert a sacrément besoin d'argent.

Antonius
22/01/2011, 12h21
Madame Anna KILLIP Madame Cecilia BERGSON
Madame Charles MAC FILL Madame Christopher HARTWOOD Monsieur Charles MAC FILL Monsieur Christopher HARTWOOD
Sont heureux de vous faire part du mariage de leurs enfants



Héléna HARTWOOD et James MAC FILL.
Le mariage aura lieu dans l’intimité de leurs proches parents en l’église de Ballaugh, île de Man.
Nous serions honoré de votre présence.
La messe sera précédée par un déjeuner à midi dans l’hôtel Castle Mona à DOUGLAS, et suivie par un banquet dans ce même hôtel qui débutera à 19 heures. En espérant votre réponse avant le 15 Février, nous vous souhaitons une bonne et heureuse année 1912 !


James MACFILL Christopher HARTWOOD 12, Scarten Street 220 Baker Street
DUBLIN 8985 LONDRES 156 -4756

C'était tout ce que contenait la lettre. Curtis Newton la jetta en soupirant dans la poubelle. Il viendrait quand même pour faire "acte de présence" mais il est clair que la présence des Newton n'est pas souhaité... Est-ce de la faute de son père si son beau frêre avait réussit et pas lui? Inutile de fatiguer des parents déja trop préocupé par leur situation financière. Il irait seul au mariage. La cérémonie, un ou deux voeux et retour chez lui.
Revoir Christopher Hartwood, le frêre de sa mère, ne l'enchantait guère...

Antonius
23/01/2011, 22h37
J-5

La baronne de Kern se prélassait tranquillement dans son rock in chair, sur la terrasse de l'hôtel Castel Mona. Elle contemplait la mer de ses yeux rêveurs tout en buvant le thé qu’Owen Hurt, le propriétaire, lui servait.
« Mme la baronne?
-Voyons, Owen, j'était venu habiter ici quand j'était une enfant et à cette époque vous ne vous gêniez pas pour m'appelé Gwendolene. Et maintenant que j'ai hérité du titre de mon père, vous faites des manières…
- Vous savez qu’à partir de demain, l’hôtel est entièrement réservé pour un mariage. Mais en tant que vielle habituée, je peu essayé de m’arrangé pour vous faire admettre dans la cérémonie. J’y suis d’ailleurs moi-même invité…
-Je vous en prie, j’adorerai assister à un mariage anglais. » Dit-elle en souriant.
Alors qu’Owen repartait, elle ramassa le prospectus touristique que le Castel Mona s’était fait faire et en entrepris la lecture.

L’ILE DE MAN – GUIDE TOURISTIQUE !

L’île de Man - géographie

Cette île qui occupe une position isolée au milieu de la mer d’Irlande, à égale distance des côtes anglaises et irlandaises, compte 69000 hab. Sur une superficie de 714 km2, le visiteur peut trouver à la fois tous les plaisirs de la vie urbaine dans les élégantes stations balnéaires de la côte, le charme poétique de petits ports de pêche isolés au creux de falaises escarpées ou les plaisirs d’une campagne verdoyante. La partie centrale est occupée par deux petits massifs montagneux séparés par une dépression que suit la route de Douglas à Peel. Le point culminant est le mont Snaefeel (617 m) dans la partie N. ses pentes sont assez douces pour permettre à un petit chemin de fer de monter jusqu’au sommet.


L’île de Man dans l’histoire

Une langue et un peuple originaux. - L’île de Man, l’antique Eubonia, fut occupée par les romains au 1er s de notre ère, au moment de la conquête du N. de l’Angleterre. Au VIIIème s l'île jusqu’alors peuplée de Celtes devint une base pour les pirates scandinaves qui écumaient la mer d’Irlande, pillant les localités côtières et les riches monastères, ils ne tardèrent pas à s’y installer en maîtres, et, au IXème s, l’île se trouva sous la dépendance des rois vikings de Dublin.

Des maîtres successifs. - A la fin du XIème s., une nouvelle vague d’envahisseurs norvégiens, conduits par Orry le Danois, vinrent s’installer dans l’île après avoir vaincu les Mannois près de Ramsey (1079). Ils formèrent un nouveau royaume composé de l’île de Man et des îles Hébrides, ayant pour suzerain le roi de Norvège. Deux cents ans plus tard, à la suite de la défaite du roi Haakon de Norvège devant les Écossais, à la bataille de Largs (1263), Alexandre lII, roi d’Écosse, annexa les Hébrides et racheta l’île de Man aux Norvégiens. La tutelle écossaise sur l’île fut de courte durée puisque, dès 1333, Edouard 1er d’Angleterre fit occuper l’île qui est depuis cette date demeurée vassale de la Couronne.

Les rois de Man. - En réalité, placée sous la juridiction de vice-rois, l’île resta pendant longtemps pratiquement indépendante. Les premiers seigneurs, les Montacutes, Comtes de Salisbury, avaient d’ailleurs pris le titre de roi et ils se faisaient couronner solennellement dans la cathédrale de Peel. En 1405, Henry IV accorde l’île à sir John Stanley, ancêtre des comtes de Derby qui la gouvernèrent (à l’exception d’une courte période au moment de la Guerre Civile) jusqu’en 1765. A cette date, le duc d’Atholl descendant et successeur des comtes de Derby, accepta de vendre ses titres de Souveraineté à la Couronne qui, depuis lors, nomme les gouverneurs de l’île.

Une large autonomie. - Bien que rattachée officiellement au Royaume-Uni, l’île a conservé ses propres institutions, d’origine très ancienne. Il existe un Parlement local Tynwald Court, de 35 membres, dont les attributions sont très larges. Placé sous la présidence du gouverneur, il est composé d’un conseil législatif de 11 membres et d’une assemblée élue ou House 0f Keys de 24 députés. Ce Parlement, qui gère le budget de l’île et lève les impôts, a aussi l’initiative des lois et règlements à l’usage interne, qui sont proclamés selon l’antique usage, une fois l’an, sur la colline de Tynwald, mais les décisions restent subordonnées à l’approbation de la Couronne. En revanche, les lois édictées par le Parlement de Westminster ne sont pas applicables à l’île de Man, sauf si elles le stipulent expressément. Le Gouvernement local émet sa propre monnaie (dont la valeur est équivalente à celle de la livre anglaise) et possède son propre système postal (timbres-poste locaux).

Visiter l’île de Man !

Accès:
Depuis la Grande-Bretagne, au départ des ports de Heysham, Fleetwoode Liverpool, et Stanraeren Écosse, la compagnie lsle of Man Steam Packet Seaways assure des liaisons avec Douglas.
Douglas, la capitale est un port situé le long d’une baie sablonneuse encadrée de collines boisées. Dans la partie la plus ancienne de la ville se trouvent les principaux bâtiments publics : Town Hall (1899) et Legislative Building (1894), où siège le gouvernement local. Castle Mona, transformé en hôtel, est l’ancienne résidence du duc d’Atholl, le dernier Lord of Man (1765). Le Manx Museum est consacré à l’archéologie et au folklores locaux ; il abrite notamment un bas-relief celtique représentant la Crucifixion dans le parc a été reconstituée une ferme mannoise traditionnelle du siècle dernier.

Tour de I’île (106 km à partir de Douglas).

On quitte la ville en contournant le port pour se rendre à Douglas Head, à l’extrémité S. de Douglas Bay. Depuis ce promontoire, on emprunte une route panoramique, Marine Drive, pour longer le rebord des falaises qui en cet endroit dominent la mer, jusqu’à Port Soderick (5,5 km). De là, on prend la direction de Castletown, via Ballasalla (15 km)où s’élèvent, dans un parc, les ruines de Rushen Abbey (Xlle). La route atteint ensuite Castletown (18 km), petite ville située au fond d’une baie, qui fut la capitale de l’îIe jusqu’en 1869. A proximité du port s’élève Castle Rushen (10 h à 17 h le dimanche matin, 10 h-12 h de la Pentecôte à la mi-septembre.). Cette forteresse, ancienne résidence des seigneurs de l’île, fut reconstruite au XlVe s. sur les murs d’un précédent château viking (Xe s.) détruit par Robert Bruce. Elle est encore an parfait état de conservation en dépit du siège qu’elle eut à subir pendant la Guerre Civile, lorsque les partisans du roi, conduits par la comtesse de Derby, s’y étaient retranchés. Dans Bridge Street se trouve le Nautical Museum (10h- 13 h, 14 h - 17 h de la mi-mai à la fin sept.) où l’on peut voir un yacht construit an 1789. Peu après avoir quitté Castletown, en direction de Port Erin, on longe la baie de Poolvash.
23km : route à g. pour Port St Mary (2km), village et port de pêche à l’entrée de la baie de Poolvash. En continuant tout droit sur cette route, on arrive au hameau de Cregneash, aux maisons couvertes de chaume, devenu le Cregneash Folk Museum où l’on peut visiter une ancienne forge de nouveau en activité, l’atelier d’un tisserand et celui d’un potier (10 h-13 b, 14 h-17 h mi-mai fin sept.).
A 2 km de Spanish Head, la pointe méridionale de l’île, où les falaises atteignent 130 m de haut, l’on aperçoit The Calf of man. Cette petite île inhabitée est une réserve ornithologique, où vit une colonie de phoques ! Les seuls animaux domestiques qu’on y rencontre sont des moutons à laine brune, les Loaghtan sheeps, dont la tête porte 3 ou 4 cornes, probablement introduits par des Vikings venus d’Islande (bateaux de Port St Mary ou de Port Erin, an été).
25km : Port Erin est l’une des plus agréables stations balnéaires de l’île. De Port Erin se détache vers le N. en direction de Peel une route tracée à peu de distance de la côte O. Elle passe près de The Stacks (30,5 km), éperon rocheux en bordure de côte que l’on peut contempler depuis une plate-forme aménagée su sommet des falaises, puis elle traverse Dalby (39,5 km) et GIen Maye (42,5 km), au débouché de la vallée du même nom.
47,5 km .- PeeI, charmant petit port de pêche, construit au pied d’une colline couverte de gazon, est relié par une chaussée à l’îlot St Patrick où se dresse, juste à l’entrée du port, un vaste château aujourd’hui an ruine, en majeure partie des XIIIe et XIVe s., mais dont l’origine remonte à la première invasion viking (VIlle s.). Il est entouré d’une ceinture de remparts du XVI e. À l’intérieur de l’enceinte, on peut aller visiter au-delà de la salle des gardes et du donjon l’ancienne cathédrale (XlIIe.XIV s.), dépourvue de toiture depuis le XVll s., qui était dédiée à saint-Germanus, un disciple de saint Patrick. A proximité gisent les ruines de l’ancien palais épiscopal. De l’autre côté s’élèvent la petite chapelle St Patrick (également dépourvue de toiture), qui aurait été construite par saint Germanus au IXe s et une tour ronde analogue à celles des monastères celtiques d’irlande. Une autre tour du château porte le nom de Fenella’s Tower par référence à un roman célèbre de Walter Scott dont l’action se situe en ces lieux. De Peel, on emprunte la route de Douglas qui se faufile dans une dépression entre les deux principaux massifs de l’île.
51,5 km .- à g., à l’entrée du hameau de St ,John’s, se dresse un tertre artificiel, appelé Tynwald HiIl, où se réunit chaque année, le 5 juillet, l’assemblée nationale de l’île, selon une vieille coutume remontant à l’époque des Vikings; à cette occasion sont proclamés solennellement les nouvelles lois ainsi que les noms des fonctionnaires dont la charge est renouvelée chaque année.
A la sortie de St John’s, on oblique en direction de Kirk Michael ; la route passe à l’entrée du Glen Helen (55,5 km à dr.), charmant vallon au fond duquel se déverse la belle cascade de Rhenass Fall.
61 km : Kirk Michael, petite station balnéaire dont l’église abrite huit croix tombales gravées d’origine viking — On se dirige vers Ramsey.
66km : Ballaugh, dont l’église (XVIIe s.) possède des fonts baptismaux et une croix du Xle s. A g. s’ouvre le Curragh Wild Lite Park qui abrite une réserve ornithologique.
69km : intersection où s’embranche à dr. la route qui remonte le Sulby Glen, petite vallée encaissée très pittoresque, an direction du mont Snaefell.
70,5 km: Sulby Bridge où on laisse à g. la route qui conduit à la pointe septentrionale de l’île via Andreas (6,5 km), où l’on peut voir plusieurs croix tombales d’époque viking, artistiquement gravées, notamment la Sandulf’s Cross à Bride (10 km), s’élève, dans le cimetière local, la célèbre Thor Cross
74km : Ramsey est une station balnéaire située à l’extrémité S. d’une longue baie sablonneuse bordée par de hautes falaises. Sur la route d Andreas, une maison victorienne abrite une nouvelle section du Manx Museum de Douglas, The Grove Rural Lite Museum mobilier et costumes de l’époque victorienne, matériel agricole et jardin de la même époque (mêmes horaires, Douglas) De Ramsey, en suivant la côte, on gagne (69,5 km) Maughold; dans le cimetière de ce village se dresse une très belle croix médiévale sur laquelle sont sculptés une Crucifixion et, en dessous, l’emblème de l’île de Man (XlVe s.). On peut y voir également une magnifique collection de croix celtiques et vikings dont certaines sont sculptées Cashtal yn Ard (2km E.) est un ensemble funéraire néolithique (3500 5V J. C.) qui dresse ses hautes pierres sur une colline solitaire.
De Maughold, on rejoint, via Bailajora (82 km), la route de Laxey qui longe la voie ferrée Ramsey-Douglas. Elle franchit plusieurs petites vallées avant de se rapprocher du bord de mer très beau point de vue sur Bulgham Bay
94 km : Laxey, est une petite station balnéaire perchée sur une falaise au débouché d’un beau vallon, Laxey Glen. A proximité subsiste une gigantesque roue à palettes (1854), « Lady lsabella », qui actionnait autrefois un système de pompage destiné à prévenir les inondations dans la mine de plomb voisine, aujourd’hui abandonnée.
Laxey Station est la gare de départ du Snaefell Mountain Railway, petit chemin de fer à fraction électrique, ouvert en 1895, qui parcourt en une demi-heure les 8 km qui séparent Laxey du sommet du Mont Snaefell (620 m d’altitude, très beau panorama). Chemin faisant, il traverse la route de montagne reliant Douglas à Ramsey au lieu-dit The Bungalow.

Les chats de l’île de Man

On raconte qu’il y a 400 ans un navire dérouté de l’Invincible Armada s’échoua au lieu dit de Spanish Head. L’épave libéra une colonie de chats venus d’Orient qui avaient la particularité d’être sans queue. La colonie fit souche et les chats tigrés sans queue de l’île de Man acquirent la célébrité. Un élevage très officiel, The Manx Cattery, élabli à Douglas, veille sur leur reproduction et s’efforce de garder les caractères de cette espèce féline très particulière.


Le Manx ou mannois

A mi-chemin entre l’Irlande et la Bretagne insulaire, l’île de Man a joué, dés la préhistoire, un rôle politique et commercial important, au niveau régional tout au moins et, très tôt, de gré ou de force, les pays riverains de la mer du Nord y installèrent des colons. Le langage des habitants porte la trace de ces occupations successives : à un important fond gaélique qui ressemble davantage au gaélique écossais qu’à celui d’Irlande, se mêlent des mots vikings ou norvégiens. Sous sa forme ancienne, le manx ou mannois nous est connu par des inscriptions en caractères oghamiques ou runiques. Parmi les quelques oeuvres littéraires conservées, figurent surtout des ouvrages d’édification, des recueils de poèmes élégiaques et des chants populaires. Pratiqué jusqu ‘au XVIème s., le manx s’est effacé progressivement devant l’anglais. ll aurait complètement disparu si des amateurs, dont le nombre s’élève à peine à quelques centaines, ne le cultivaient afin d’en prolonger l’existence.

L’écriture oghamique

Attesté par plusieurs centaines d’inscriptions conservées en Irlande, en Galles, en Ecosse et dans l’île de Man, ce système d’écriture fut utilisé jusqu’au VIe s. L’alphabet composé de traits et de points, dont l’ordonnance a été influencée par l’alphabet latin, fut établi à partir des signes à valeur magique tracés sur le bois, les arbres ou les pierres à l’époque préhistorique.

Un bruit de pas interrompis sa lecture. Elle leva les yeux.
"Bonjour, Professeur Müller.
-Ponchour, madame la paronne.
-Vos recherches archéologiques avancent-elles?
-Jawohl, madame. Elles sont même sur le point d'aboutir.
- Félicitation. Bien sur, si mes conaissances en celtes peuvent vous servir, je suis prêt à vous aider.
- Danke shön, madame, mais je pense que nous en aurons pas besoin. A présent au refoir."

Evidement, se dit la baronne, moi aussi je ne serait pas très causante si j'était obligé de changer d'hotel à cause de cette récéption. Surtout pendant des recherches de première importance.
Elle était ravi de voir qu'un homme, fut-il allemand, s'interessait au passé celte de la Bretagne. Ainsi serait-il possible d'en savoir un peu plus sur nos ancêtre. Elle se leva et rentra dans l'hotel se préparer pour la promenade.





5 jours plus tard, à 10H. Après avoir pris le ferry, les premiers invités arrivent à Ballaugh et s'installent dans l'hotel Castle Mona.

curTis newTon
24/01/2011, 00h02
Curtis, en descendant du ferry, sauta maladroitement sur le débarcadère et grimaça, sentant une douleur lui irradier la cheville. Il crispa sa main sur la poignée de sa valise, redressa le col de son trench-coat, et jura tout haut. Foutue traversée, foutu temps, foutu mariage et foutue île ! Il ne manquait plus au tableau qu'il se foule la cheville... Il fit quelque pas, cherchant à s'orienter, pressé de gagner l'hôtel. Non, pas de cheville foulée...

Curtis approcha des panneaux indicateurs plantés à l'extrémité du débarcadère. Sortant ses lorgnons de sa poche, il les frotta machinalement, l'esprit ailleurs. Revoir Oncle Christopher ne l'enchantait guère, mais il serait patient et éluderait les remarques perfides par un haussement d'épaule. Il se demanda à quoi ressemblait sa cousine Héléna... Les traits d'une fillette de 5 ans, fixés sur un mauvais daguerréotype lui revinrent en mémoire. Jolie peut-être ? Oui, elle doit être jolie.

Quelques passagers descendus du ferry en même temps que lui le dépassèrent, mais il n'y prit pas garde. Tout ce qu'il voulait pour le moment, c'était un bon feu, un fauteuil confortable et un bon whisky écossais. Il ajusta ses lorgnons, déchiffra "Castel Mona" écrit sur un panneau, et prit le chemin de l'hôtel.

"Deux jours", se dit-il, "je reste deux jours, et je serai débarrassé de cette corvée...". Sa haute silhouette s'éloigna en direction du bourg...

Reborn
26/01/2011, 00h10
Depuis un petit moment, l'hôtel avait été particulièrement calme. Il faut dire que la quasi-totalité des chambres avait été réservé pour le mariage à venir. Ainsi, les seules rencontres faites par la Baronne ces cinq derniers jours fut celles de touristes bougons de devoir quitter leurs confortables locations.

Mais ce matin devait être différent. Gwendolen Kern avait appris que le ferry amenant les invités du mariage était sur le point d'arrivée.
"Voilà qui va changer de la monotonie de l'île.", se dit-elle.
Elle décida d'aller attendre leur arrivée sur la terrasse de l'hôtel dont la vue donnait entre autre sur le quai du ferry au loin et la route menant à Castel Mona. La Baronne était curieuse de voir qui pouvait bien organiser un mariage sur une aussi petite île.

Antonius
27/01/2011, 23h51
" Je vous souhaite le bon jour madame la baronne.
Elle se retourna et se retouva face a un homme plutôt petit (1M60 environ), barbu et dont les yeux bruns la regardait avec une amabilité forcé.
-Je suis monsieur Hartwood, madame de Kern. Mr Hurt m'a mis au courant de votre situation. Sachez que ma femme et moi serions honoré si qu'une dame si bien placé dans la noblesse française assistait au mariage de notre fille....
Pendant que l'homme débitait des fadaises, Gwendolenne était casi hypnotisée par la calvitie de cet homme, que d'où elle était perchée, elle pouvait admirer à loisir: celui-ci s'était sentit obligé de ce découvrir pour lui parler et, sincèrement, elle aurait préféré moin de politesse. Quand l'homme eut terminé de parlé, elle dit:
-En tout cas, merci du fond du coeur monsieur Hartwood. Je suis très heureuse d'être invité au mariage de la fille d'un homme aussi respectable que vous.
- Oh merci madame. Si je ne suis pas trop indiscret, que veux dire exactement ce "Kern". C'est une ville? Un lieu?
Elle laissa échappé un petit rire.
-Non Mr Hartwood. Il sagit d'une région de la Bretagne.
Hartwood répondit d'une voix un peut étranglé: De la Bretagne?.... Et se reprenant ajouta: Vous êtes la bienvennue a la cérémonie madame. Je dois malheureusement vous laisser. D'autres invités arrive et je me doit de les acceuillir."





(note du MJ: l'italique signifie que le personnage parle en français)

latiatia
28/01/2011, 11h10
Latiatia Franconen arriva à son tour sur les lieux des festivités, un cohorte d'admirateur et de jeunes gens dévoués prêt à l'aider.

Malgré sa beauté elle avait garder la simplicité que lui avait conférer son éducation rural et simple même si son statut d'actrice à la célébrité montante aurait pu lui faire perdre la réalité.


Maintenant que je suis enfin arrivé, les noces peuvent commencer s'écria t'elle, oubliant quelle n'était pas dans l'un de ses films.

Antonius
13/02/2011, 23h59
"Oh vous parlez un peu fort, madame. D'ailleurs nous attendons encore monsieur Van Palpaat. un grand ami de monsieur Hartwood.
Un homme, plutôt âgé, s'avança vers elle en souriant.
Désolé de vous avoir brusqué, madame. Je me nomme Owen Hurt, et je suis l'heureux propriétaire de l'établissement qui accueille la party."
"Enchanté, monsieur, je suis Latiatia Franconen. Vous avez sans doute déja entendu parler de moi..."
"Ah vous êtes l'actrice dont m'a parler madame Hartwood. voyant la mine Latiatia, Owen poursuivi:Ah vous savez, il n'y a pas de salle de cinéma sur l'île du Mans. Je ne doute pas qu'ailleurs, vous puissiez avoir du succès, car vous êtes ravissante."
"Merci, mais..."
Latiatia s'interrompit brusquement en sentant quelque chose de doux et de chaud se frotter contre ses jambes.
"Oh,ne vous inquiétez pas: il s'agit de Diouchesse, ma chatte. Une manx pure race. Elle sert d'ailleurs au centre de reproduction voisin. Beaucoup d'amateur de chat veulent des manxs de nos jours...

(http://img718.imageshack.us/i/manxf.jpg/)
(Duchesse alias "Diouchesse")

"Hum, j'espère que cette conversation félinophile ne vous ennuie pas...
"Pas le moins du monde monsieur Hurt."
"Elle est adorable. Elle va faire le tour des invités pour leur dire bonjour... Vous savez qu'elle n'a jamais griffé ni mordu personne?"



(Note du MJ: voila un post pour motivé palpat et pour remettre tout le monde dans le bain -j'espère-. N'oubliez pas que vous pouvez posté n'importe quand. Même si vous pensé que ca peut être inutile, sa fait avancé l'histoire. Et vous pouvez faire connaissance avec les autres joueurs)

Emp_Palpatine
14/02/2011, 13h49
Van Palpaat était enfin arrivé sur l'île. Il n'était pas très intéressé par le mariage de la fille de son amie. Mais l'amitié comporte ses propres devoirs. Et une certaine curiosité aussi.
Quelle mouche avait donc piqué Christopher? Un irlandais? Bah, qu'importe, finalement. Tout cela sera l'occasion de visiter une île fascinante, d'échanger sur des opportunités d'investissements (mais qui a bien pu qualifier les rentiers d'oisifs?), voire de faire de charmantes rencontres. Féminine si possible. La compagnie masculine, il en avait assez soupé chez les jésuites!
Ah, voilà l'hôtel en question. Van Palpaat entra...

Antonius
08/03/2011, 23h46
Curtis Newton se balladait sans but au millieu des invités, anonymes à ses yeux, et probablement ininteressant car proche de cet abrutit d'Hartwood...
Il vut brutalement quelque chose de plus interessant...
"Minou, minou, minous... Vien là.... Aïe!"
Le chat l'avait mordu. Il se souvint d'un étrange flash alors que le chat s'approchai en ronronnant, un vague "diouchesse!" des cris de surprise parmis les invités, tandis qu'il sombrait dans l'inconscience.

En même temps Van Palpaat était en pleine discussion avec Hartwood.

".... Et donc je compte tiré d'important revenu de mes investissements au Congo. Bien que les choses ont changé depuis la reprise en main du territoire par Bruxelles, les profits et les avantages sont toujours...Nom de!"
- Un éclair!
-Le temps se couvre. Déclara Van Palpaat en observant les nuages s'amoncellant dans le ciel.
Soudain un cris. "Aïe" suivis d'un "Diouchesse!" puis de cris d'invités...
"Bon Dieu que ce passe-t-il ici! s'exclama Hartwood en s'approchant de l'attroupement qui s'était formé.
"c'est ce jeune homme. Il est tombé dans les pommes après avoir été mordu par Diouchesse, expliqua obligeament Owen Hurt. Je ne comprend pas, elle n'avait jamais fait ça auparavant."
"Ah c'est un abrutit de Newton. M'étonne pas. J'étais persuadé de ne pas les avoir invités. Sans doute une idée de ma femme. ecartez vous, je vais le reveiller... Dans les règles de l'art."

Curtis se reveilla doucement puis plus rapidement et brutalement sous le coups des taloches que lui distribuait un Hartwood souriant sadiquement. Cette image aurait pus rester graver dans ça mémoire comme son pire cauchemar si il n'y avait eut les évènements suivants....

14H
Pour l'instant, l'honneur piétiné, les nerfs en pelote pour avoir été humilié publiquement, et la sensation bizzarre que le chat était devenu plus gros avec le flash, Curits errait... Le gros des invités avait déja rejoint la salle du repas, et Curtis avait la désagrable impression qu'aucun siège ne serait prévu pour lui. Pour eviter de donner un nouveau spectacle pour le plaisir d'Hartwood, Curtis discutait de tout et de rien avec les personnes qui restait dehors (ni'mporte quel PJ peut être dehors avec Curtis). Tout a coup, Curtis apperçut des policiers qui cavalait sur leur chevaux dans la direction des festivité. Il les vit s'approcher d'Owen Hurt, qui avait une minde visiblement contrarié et préoccupé.
Que peut il donc bien s'être passer, se dit Curtis.




Note du MJ: là ça rigole plus. Vous êtes vraiment dans le jeu. Alors il est vraiment temps de passer à l'action et de faire attention au gentil compteur qui s'est mis en route.

curTis newTon
10/03/2011, 10h57
Ah c'est ainsi ? :o: Dans ce cas, je réunis tout le monde dans le petit salon afin de désigner le meurtrier et en finir avec cette affaire :mrgreen:


Sur le perron, une cigarette en bouche, Curtis conversait de tout et de rien avec d'autres invités, tout en regardant de temps à autre la trace de morsure que lui avait laissé sur sa main cette sale bestiole. Quelqu'un lui conseilla de vérifier auprès du propriétaire que l'animal était bel et bien vacciné... On ne sait jamais, dans ces contrées sauvages...

Curtis aquiesca et chercha des yeux le vieux Hurt. Il le vit à quelque distance, alors que des hommes en uniforme arrêtaient leurs chevaux et mettaient pied à terre devant lui. "Des constables ?" murmura Curtis... Quelqu'un avait donc appelé la police ? A cause du chat ? Non, improbable...

Curtis jeta son mégot, et intrigué, se dirigea vers le petit attroupement formé par Hurt et les policiers, se retournant pour voir si d'autres invités l'accompagnaient.

[PS : un admin bienveillant et intrépide ne mettrait-il pas ce sous-topic en évidence dans le topic "Jeux", pour plus de visibilité ?] :hello:

Emp_Palpatine
10/03/2011, 21h43
L'incident avait amusé Van Palpaat.
A moins que les apéritifs l'aient enfin un peu déridé. Les apéritifs et les dames. Peu à l'aise avec ses congénères masculins, Van Palpaat était bien plus sociable en charmante compagnie. Etrange, pour un éternel célibataire.

Amusé était peut-être un mauvais terme, à vrai dire. Van Palpaat était trop sarcastique pour ça.
Quel propriétaire d'établissement sérieux et digne de ce nom laissait son animal importuner ainsi les invités? Un incident de ce genre était inévitable.
Ce qui était moins prévisible était l'irruption d'invités inattendus.
Van Palpaat n'était pas un homme d'attroupements, mais la curiosité était l'un de ses défauts. Hurt en était le centre.
Ah, quelle dommage que sa maitrise de l'anglais soit si mauvaise! Van Palpaat devrait se contenter de l'image. S'approchant, il reconnu la "victime" de l'animal. Il porta le pommeau de sa cane fétiche au rebord de son chapeau. Qui sait, peut-être la victime, toute secouée qu'elle semblait être, pourrait-elle éclairer sa lanterne linguistique!

curTis newTon
10/03/2011, 23h43
Curtis rendit son salut à l'homme qui l'accompagnait vers le lieu de l'attroupement. Il l'examina à la dérobée... L'oeil pétillant, le visage affable, des manières désinvoltes... De toute évidence, un continental... Tout en marchant, Curtis redressa le noeud de sa cravate et tendit la main vers l'homme : "- How do you do ?" et attendit dans la réponse une trace d'accent qui pourrait vérifier son hypothèse. " - Je me nomme Curtis... Curtis Newton"

Antonius
13/03/2011, 09h23
14H15

Alors que Curtis et Van Palpaat s'approchait, l'un des policier salua Hurt en baragouinant quelque chose comme "sorry" et "Have a good party" puis ils remontèrent sur leurs chevaux et repartir. Owen Hurt, la mine visiblement préoccupé, pris le chemin qui conduisait au banquet.



note du mj: Latatia et Reborn ils sont mort ou quoi?

Reborn
14/03/2011, 22h05
Décidément, cette journée ne manquait pas d'événements. L'irruption inopinée des forces de police dans l'hôtel avait fait son effet.
Les plus curieux étaient sortis voir de quoi il en retournait. La baronne en faisait partie. Mais la situation resta tout aussi mystérieuse, la police ayant pris soin d'être le plus discret lors de l'entretien avec Owen Hurt. Il était la seule personne connue par Gwendolen Kern parmi les nombreuses personnes présentes, attisant d'autant plus sa curiosité.
Elle n'eut pas le temps de questionner Owen que celui-ci était déjà reparti dans la salle où se tenait le banquet. La baronne le suivit tandis que les rumeurs les plus folles concernant l'arrivée puis le départ des forces de l'ordre s'échangeaient entre invités.

Emp_Palpatine
16/03/2011, 12h43
Curtis rendit son salut à l'homme qui l'accompagnait vers le lieu de l'attroupement. Il l'examina à la dérobée... L'oeil pétillant, le visage affable, des manières désinvoltes... De toute évidence, un continental... Tout en marchant, Curtis redressa le noeud de sa cravate et tendit la main vers l'homme : "- How do you do ?" et attendit dans la réponse une trace d'accent qui pourrait vérifier son hypothèse. " - Je me nomme Curtis... Curtis Newton"
Voilà que "la victime" prenait contact! Van Palpaat saisit la main qui lui était tendue et la serra en rendant son salut à son interlocuteur. Sa connaissance de l'anglais était plus que sommaire mais il se présenta néanmoins du mieux qu'il pouvait: "Erik Van Palpaat, enchanté de faire votre connaissance".
La main tendue était celle qui avait été l'objet de l'attention de l'animal. Van Palpaat allait pouvoir s'enquérir de l'état de Mr. Newton, et peut-être aussi savoir qui était cet homme, tout simplement.
Mieux encore, les événements se précipitant, le sujet de conversation qui était à la source de cette rencontre connaissait de nouveaux développements: voilà que les policiers repartaient. Mr Newton pourrait sans doute éclairer sa lanterne!