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World In Flames - Côté Axe
Après mon triomphe avec les Alliés (voir ce fabuleux AAR ici, avec des photos nombreuses dès le mois de juillet 1940 http://www.franconaute.org/forum/showthread.php?t=7392), je remets en jeux devant vos yeux émerveillés mon titre de Maître du monde autoproclamé :chicos:. Et cette fois, je vais jouer les forces de l’Axe (Allemagne, Italie et Japon). L’ennemi tiendra les Alliés et est avide de prendre sa revanche.
Notre partie précédente est restée dans les esprits : le Reich tenait encore Moscou en février 1944 et pourtant il n’en restait plus rien en septembre 1945. L’Italie s’était effondrée comme un château de carte dès 1942, montrant par là une grande vulnérabilité (pour rappel, les conditions pour obtenir la chute au moins partielle de l’Italie sont moins strictes que celles pour les autres puissances majeures, France exclue). Le Japon conquérant s’était fait grignoter sans jamais pouvoir reprendre le territoire perdu et avait terminé la partie sans plus tenir quasi aucun objectif. En 1944, le poids monstrueux de l’économie alliée s’était tout simplement fait sentir : offensives chits sur offensives chits :=(:.
Ces observations sont à la base de ma stratégie pour cette partie. Je crois désormais (et l’ennemi pense de même) que certaines parties précédentes ont été stoppées trop tôt, pour cause de « victoire alliée désormais impossible ». La façon dont tout a basculé la partie précédente nous a fait forte impression (URSS qui n’avance quasi pas pendant 18 mois puis la tornade en été 1944, avec au même moment le débarquement Anglo-Saxon en France, la Wehrmacht était complètement accculée).
Paradoxalement, je ne vais pas tenter la guerre courte, pour vaincre avant l’explosion de puissance des alliés (c’était ce que mon adversaire avait tenté et les conditions lui étaient vraiment très favorables : une campagne de France incroyablement rapide et peu coûteuse, un seul offensive chit utilisé notamment), mais la guerre longue. Le but est d’une part de saigner au maximum les ressources des alliés pour les empêcher d’atteindre trop rapidement cette immense supériorité en moyens, ce qui implique une vigoureuse bataille de l’Atlantique, quasi inexistante l’autre partie, et d’autre part d’offrir une forteresse Europe plus solide qu’elle ne l’était la partie précédente, ce qui passe par la fermeture de la méditerranée afin de mettre à l’abris le ventre mou de l’Axe, l’Italie. Et si les conditions sont vraiment très favorables, peut-être tenter l’opération Lion de Mer… :p:
Pour le Reich, le but est donc d’écraser la France et de poursuivre ensuite contre l’Espagne, avec Gibraltar au bout du chemin. L’Afrikacorps devra soutenir l’Italie, qui vise Suez principalement., avec des objectifs intermédiaires comme Malte ou Chypres. La méditerranée fermée, les lignes de communication anglaises seront considérablement étendues et les convois particulièrement vulnérables. Le Japon devra naturellement soutenir cet effort de son côté, l’océan Indien est dans sa ligne de mire. Cette puissante base acquise, une visite de courtoisie sera lancée auprès du camarade Staline, si possible en été 1942 : l’Axe a pour vocation de dominer le monde, pas d’attendre que les ploutocrates efféminés trouvent en eux assez de courage pour écraser sous un déluge de matériel les intrépides impérialistes.
Septembre / Octobre 1939. Mise en bouche pour le Reich
Cette partie voit une nouveauté majeure par rapport à toutes les précédentes : nous allons utiliser la table de combat 2D10, qui changerait énormément de choses (plus grande importance de la coopération interarmes, villes industrielles plus difficiles à prendre etc etc) et que nous n’avons jamais essayé. Cette innovation me décide à bouleverser mes habitudes : je place en effet pas moins de 75% de la Wehrmacht à l’est. Ignorant tout de cette table, je préfère en effet éviter les mauvaises surprises et rater complètement ma partie par un échec précoce en Pologne :yeux:. Un apprentissage sans risques qui risque de retarder d’autant l’offensive à l’ouest. L’URSS masse ses troupes à la frontière Roumaine.
Maigre garnison à l’ouest
http://img36.imageshack.us/img36/1465/setupouest.jpg (http://img36.imageshack.us/i/setupouest.jpg/)
La guerre est déjà déclarée en Chine
http://img40.imageshack.us/img40/962/setuppacifique.jpg (http://img40.imageshack.us/i/setuppacifique.jpg/)
La guerre à l’ouest
Le Reich déclare la guerre à la Pologne (+1 us chit) et, menée par Rundstedt et Bock, la Wehrmacht écrase tout sur son passage : les Polonais sont matraqués par la Luftwaffe, Danzig est pris d’assaut et la flotte Polonaise se saborde. Choqués par cette lâche agression, France et Angleterre déclarent la guerre au Reich (-1 us chit), les trois pays lèvent leurs réserves, la deuxième guerre mondiale vient de commencer :=(:. Pendant que les Français ramènent leurs troupes de Tunisie puis de Syrie, le Bomber Command fait décoller tous ses bombardiers pour un raid surprise à longue distance : le Reich hausse les épaules, c’était prévu et les meilleurs unités de la Kriegsmarine sont bien à l’abris dans les ports de Prusse Orientale. Seuls quelques croiseurs légers sont en danger en Allemagne. Mais, première surprise de la guerre, les bombardiers anglais ne vont pas si loin : ils lâchent leurs bombes à la frontière Germano-Danoise ! Les troupes allemandes discrètement stationnées là pour une prochaine invasion :o: échappent cependant aux bombes, ainsi que Leeb, dans les forêts d’Allemagne, bombardé lui par les Français. « Ils veulent la guerre, ils l’auront ! Mais que le monde en soit témoin : le Reich est l’agressé et non l’agresseur :chicos:! » affirme le Führer.
L’Abwehr révèle au grand jour des documents prouvant sans équivoque la complicité des autorités Danoises dans le bombardement anglais :enerve: et la guerre est aussitôt déclarée : la Wehrmacht s’empare de Copenhagen en même temps que de Varsovie. Les Polonais ont été massacrés, l’armée allemande est intacte et commence à se redéployer vers l’ouest. Profitant d’un beau temps persistant, le Reich déclare la guerre à la Hollande et prend Rotterdam d’assaut, capturant dans la foulée 25% de la flotte Hollandaise tandis que la Luftwaffe endommage un transport dans Amsterdam. Le reste de la flotte rejoint Londres quelques jours avant la chute d’Amsterdam, le gouvernement Hollandais se réfugie à Batavia et promet de poursuivre la lutte jusqu’à la victoire. Quelques torpilles saluent sa fuite honteuse : les U-Boats font leur apparition le long des côtes du Sénégal, bien loin de leurs bases, mais les alliés comprennent qu’ils vont devoir prendre cette menace avec le plus grand sérieux :tongue:.
A l’Est, le camarade Staline exige la cession de la Bessarabie Roumaine et, lâché par Berlin, Bucharest ne peut que céder. Hongrois et Bulgares avancent aussitôt leurs propres revendications, la Roumanie cède une fois encore, dépecée par ses puissants voisins, mais avide de revanche. En méditerranée, Balbo débarque à Tobrouk, au grand désespoir de l’Angleterre, qui expédie de son côté Gort et l’élite de l’armée en France, secteur principal du front.
http://img33.imageshack.us/img33/179/oct39ouest.jpg (http://img33.imageshack.us/i/oct39ouest.jpg/)
La guerre du pacifique
Dans le pacifique, Umezu, renforcé par des troupes venant de Manchourie, lance l’offensive : chute de Chengchow, des dizaines de milliers de civils sont massacrés (+1 us chit) puis traversée en force du grand fleuve Hang Kiang. Retranchés dans Si An, les communistes chinois restent indifférents devant les défaites de leurs « alliés » nationalistes. Ceux-ci remportent néanmoins un succès plus au sud : Yamamoto, débarqué du Japon avec des renforts, lance en effet l’assaut à partir du sud et de Canton, mais est repoussé avec de lourdes pertes :loose:.
Conclusion du tour
Chute de la Pologne, du Danemark (=> Baltique fermée) et des Pays-Bas, quasi sans pertes. Pour l’apprentissage de la table 2D10 par contre, c’est un peu raté : il y avait une trop grande disproportion des forces. Cerise sur le gâteau, le transport Hollandais endommagé est capturé :jumpy:.
A suivre: le pari Belge
Novembre / Décembre 1939. Le pari Belge
Les Alliés gagnent l’initiative, une fine pluie tombe sur l’Europe et c’est sous un temps gris et brumeux que Wavell débarque à son tour en France avec des renforts : le corps expéditionnaire Anglais est à son maximum (les mauvaises langues affirment qu’ils ont amené le mauvais temps avec eux :mrgreen:, mais ces puissantes unités seront très utiles pour la future bataille de France). Le Reich décide alors de tenter un coup de poker : une déclaration de guerre prématurée à la Belgique (+1 us chit)! Pari audacieux, une partie de la Luftwaffe et Von Runsdtedt étant toujours sur le front Polonais. Liège et Anvers tombent, mais Bruxelles résiste farouchement, les troupes Françaises pénètrent aussitôt dans le plat pays, mais la capitale est encore hors de leur portée (les Anglais ne sont pas invités, les relations Franco-Anglo-Belges n’étant pas au beau fixe :yeux:).
Paniqué, l’OKW relance l’assaut : les pertes sont terribles, mais une unité blindée s’empare de Bruxelles, la Dyle est entièrement franchie, le pari allemand semble avoir réussi, mais Berlin presse Rome de renforcer toujours plus Tobrouk : la menace sur l’Egypte doit faire hésiter Londres, massivement engagée à l’ouest. Mais la menace est Française et non Anglaise : le général Georges, profitant d’un inespéré retour du beau temps, contre-attaque vigoureusement. L’aviation française est décimée au-dessus de Bruxelles et les Stukas apportent un massif soutien défensif… En vain :enerve:! Malgré de lourdes pertes, les troupes françaises exterminent les blindés du Reich et reprennent laborieusement la capitale Belge, mais leurs lignes sont très fragiles. La Wehrmacht paye cependant au prix fort son attaque prématurée : les moyens manquent pour contre-attaquer efficacement et l’OKW décide de se renforcer sans prendre de risque. Une action de passe Italo-Nippone permet de mettre fin au tour, coup de chance pour l’Axe. Le gain de l’initiative sera crucial au prochain tour et devrait déterminer le succès ou non du pari Belge : si le Reich l’emporte, il devrait avoir l’occasion d’isoler Bruxelles. Dans le cas contraire, c’est mal parti… :?:
http://img25.imageshack.us/img25/4046/dc39ouest.jpg (http://img25.imageshack.us/i/dc39ouest.jpg/)
Dans le pacifique, le général Yamamoto s’empare d’une ressource chinoise après de violents combats : des unités blindés manquent cruellement, chaque mètre de terrain gagné se paye au prix fort :goutte:.
Les Etats-Unis prennent parti pour la Belgique, brillamment défendue par la France (+1 us chit) et décident d’autoriser l’envoi de ressources à la Chine, ce qui provoque de vives tensions avec Tokyo.
Conclusion du tour
Le pari Belge était audacieux (pluie, troupes et aviation encore en partie à l’est) et a bien failli tourner au désastre. Le prochain tour déterminera s’il fut avisé ou non, en attendant les pertes sont rigoureusement semblables et assez lourdes ( 17 BP).
A suivre : Bruxelles dans la tourmente
Chouette, un AAR WIF!! Toujours trés chouette à suivre!
Merci Danton. :ok:
lemarseillais
25/10/2009, 19h20
Totalement inintéressant :o:
Je n'ai pris le temps de le lire que pour vérifier si tu n'avais pas fait de multiples fautes d'orthographe :tongue:
L'AAR du Reich Marseillais est certainement plus intéressant :o:
N'est-ce pas celui qui est au bord du gouffre dès 1942 dans la gpo HOI? :chicos:
Prend donc exemple :tongue:
La suite ce soir si j'ai le temps :o:
lemarseillais
26/10/2009, 21h03
Et voilà, ne jamais croire en les paroles des feignasses. On est le soir et toujours rien :tongue:
Non pas que cela soit intéressant et attendu mais je ne pouvais manquer de soulever ton manque de fiabilité
Tu ne pouvais pas attendre 20 minutes de plus? :tongue:
La parole d'un travailleur étant sacrée, voici la suite :o:
Janvier / Février 1940. Bruxelles dans la tourmente (3 impulses seulement !)
L’Axe gagne péniblement l’initiative (via un re-roll) et passe immédiatement à l’offensive malgré la neige. Une bataille aérienne voit l’anéantissement des chasseurs Belges et Français, mais les Stukas échouent leur bombardement : qu’à cela ne tienne, les blindés, après s’être laborieusement extirpés de la neige, balayent tout sur leur passage et Bruxelles est entièrement encerclée :clap:! Le Reich pousse un long soupir de soulagement, le désastre à l’ouest n’est pas passé loin, mais le danger est désormais passé : les ploutocrates décadents, faibles et frileux, n’oseront jamais quitter leur nid douillet alors que le thermomètre est au plus bas.
Le Bomber Command brise bruyamment ce doux espoir et pilonne avec force les positions de la Wehrmacht, non sans succès, mais le pire restait à venir : les troupes Franco-Belges passent à l’offensive :?:, venant de Lille et de Bruxelles, bien décidées à briser l’encerclement de la capitale ! Le gros Goering cède aux injonctions des généraux inquiets et fait décoller immédiatement tout ce qui est encore capable de voler : les B-109 écrasent les derniers chasseurs Français et ouvrent le chemin aux Stukas, qui bombardent sans relâche, brisant net l’assaut allié, qui se solde par un désastre. Bruxelles reste encerclée, le général Georges perd espoir, mais ses troupes résistent toujours : l’artillerie du Reich bombarde en effet en vain la capitale et l’OKW, qui estime avoir pris bien assez de risques ainsi, décide de temporiser et se contente de renforcer ses positions en attendant le retour du beau temps :o:.
En méditerranée, les renforts Italiens ne cessent d’affluer et le tour extrêmement court ne permet guère à l’Angleterre de se renforcer :chicos:.
En Chine, Yamamoto tente un bombardement massif suivi d’un assaut à la baïonnette : les deux échouent lamentablement et le haut commandement Impérial décrète la fin des hostilités sur ce front… En attendant l’arrivée des renforts blindés qui sortent des usines de production fin février :=(:.
Conclusion du tour
Bruxelles reste aux mains des alliés, 4 mois après la déclaration de guerre du Reich à la Belgique, mais la fière et majestueuse capitale est complètement isolée et les Français ne sont plus ravitaillés :tongue:.
Mars / Avril 1940. Entre espoir et désespoir
La guerre à l’ouest
Un beau temps soudain décide l’OKW à lancer prématurément l’offensive (« Cela ne nous a pas si mal réussi la dernière fois » affirme t-il, oubliant que Bruxelles tient toujours :siffle2:) : offensive chit sur Runsdtedt. Bruxelles est prise d’assaut et une double percée est effectuée par les blindés. La première permet d’expulser les Français du nord de la Belgique puis d’atteindre Calais dans la foulée. La seçonde, au sud de Lille, débouche sur la prise d’une ressource puis de l’écrasement dans la foulée d’une faible unité d’infanterie française : les chars allemands atteignent les faubourgs de Paris ! Encore un petit effort et nos troupes pourront passer la fin de l’hiver au Moulin Rouge :jumpy:! La Hongrie, pressentant sans doute la future victoire du Reich, entre en guerre à ses côtés.
Mais l’avancée allemande est fragile et les Anglais décident de mettre une fois de plus leur grain de sel (ces empêcheurs de tourner en rond vont-ils encore longtemps abuser de notre patience et empêcher l’inéluctable domination du Reich de 1000 ans sur l’Europe continentale ? :enerve:) : leurs bombardiers clouent la moitié des blindés allemands puis le général Gort lance le corps expéditionnaire britannique quasi au grand complet sur le maillon faible des lignes allemandes, une unité d’infanterie de montagne. Les Stukas interviennent massivement, la RAF aussi et les pertes aériennes sont lourdes des deux côtés, mais quelques bombardiers allemands passent et permettent aux allemands de se replier en bon ordre : la tenaille est cependant refermée, les blindés allemands sont isolés :(.
http://img515.imageshack.us/img515/8681/0440ouest.jpg (http://img515.imageshack.us/i/0440ouest.jpg/)
L’OKW cependant ne panique pas : une fois encore, la Luftwaffe a permis d’éviter le pire et les réserves terrestres sont importantes. Une rapide contre-offensive et l’ennemi sera balayé, en vérité tout va pour le mieux et cette contre-offensive alliée ne fera qu’accélérer la chute de la France :mrgreen:.
Des tempêtes s’abattent alors sur l’Europe et l’OKW doit se rendre à l’évidence : tout assaut n’a que 25% de chances de réussir, au mieux :?:. Les Alliés n’ont cependant pas de meilleures chances contre les blindés isolés devant Paris et, surtout, ne peuvent pas se permettre un échec qui entrainerait la rupture totale de leur front, faute de réserves. Le Reich décide donc de patienter et, pour tromper l’ennui :o:, lance ses sous-marins le long des côtes de Dakar : 600.000 tonnes de navires marchands alliés sont coulés, l’Amirauté s’interroge sur le rayon d’action apparemment si étendu des U-Boats, merveille de technologie longuement vantée par la propagande du Reich ( la réalité est plus prosaïque et on parle discrètement de sous-marins ravitailleurs, surnommés affectueusement ‘Les Vaches à lait’ :mrgreen:, mais Goebbels trouvait ce nom trop peu accrocheur).
Des escadrilles de chasseurs Hongrois arrivent sur le front pour tenter de combler l’hémorragie subie par la Luftwaffe lors des combats en France (la propagande parle d’observateurs alliés venus admirer de plus près les superbes manœuvres de la Luftwaffe, qui n’a nul besoin d’aide pour vaincre les ploutocrates décadents :o:). Londres riposte en annulant l’envoi d’une escadrille de chasseurs prévue pour l’Egypte : elle passe sous le commandement du corps expéditionnaire anglais en France. Des navires Français quittent la métropole, craindrait-on une future capitulation :chicos:?
Enfin, les tempêtes s’achèvent et la Wehrmacht, après avoir contemplé la pluie tomber, décide de relancer l’assaut pour libérer ses blindés : c’est un échec, l’OKW ordonne l’arrêt des hostilités en attendant le retour du beau temps (il faut bien laisser aux Français une occasion pour capituler :tongue:).
La guerre en méditerranée
Suite aux incessantes protestations de Berlin, qui atteignent leur paroxysme quand Londres décide d’engager dans la bataille de France ses chasseurs prévus initialement pour l’Egypte, Rome se décide enfin et déclare la guerre à l’Angleterre (+1 us chit). La flotte et les sous-marins Italiens réalisent une sortie massive, mais c’est un coup d’épée dans l’eau : pas un navire anglais n’est trouvé :loose:. Cette entrée en matière ratée est rapidement suivie de deux mauvaises nouvelles : la France, malgré sa situation très précaire, entre en guerre aux côtés de son allié Anglais (-1 us entry) et les porte-avions de la Royal Navy coulent les convois de ravitaillement Italiens. La Libye n’est plus ravitaillée !
Après avoir copieusement invectivé l’ambassadeur allemand (« Je l’avais bien dit, l’Italie ne sera pas prête pour la guerre avant 1942 !), Mussolini retrousse ses manches et relance l’assaut avec vigueur : le ravitaillement est rétabli après une courte bataille aéro-navale qui se termine en victoire italienne (1 Nav anglais abattu) et Balbo lance enfin ses troupes en Egypte. On raconte que les Italiens avancent vers Alexandrie les yeux tournés vers Tobrouk : le précieux ravitaillement arrivera t-il bien ?
http://img517.imageshack.us/img517/5244/0440med.jpg (http://img517.imageshack.us/i/0440med.jpg/)
La guerre en Chine
Les blindés tant attendus arrivent sur le front le jour anniversaire de l’Amiral Yamamoto, qui décide de tester immédiatement son nouveau jouet (il est d’autant plus ravis que le général Umezu, bloqué devant Si-An, espérait lui aussi ces blindés :o:) : les chinois sont bousculés et une ressource est capturée. Après avoir fait le plein d’essence, les blindés repartent en avant et une farouche bataille commence devant Kwei-Yang. La pathétique aviation nationaliste intervient et, surprise, abat les chasseurs Japonais. L’affront fait au Mikado est lavé dans le sang : la grande ville est prise d’assaut :clap:! Victoire stratégique de la plus haute importance, le soutien économique allié à la Chine sera désormais limité aux seules usines de Kunming.
http://img20.imageshack.us/img20/7914/0440chine.jpg (http://img20.imageshack.us/i/0440chine.jpg/)
Conclusion du tour
J’ai probablement claqué mon offensive chit un peu tôt, le mauvais temps m’a empêché d’exploiter mes succès, mais ceux-ci demeurent : Bruxelles est enfin conquise, le front ennemi est affaibli et, surtout, l’aviation alliée a été massacrée. Le printemps sera chaud en France et, une fois encore, le gain de l’initiative sera cruciale : je dois l’obtenir pour libérer rapidement mes blindés isolés. En Chine, le Japon a remporté un succès d’importance sur le long terme.
Belle résistance de la Belgique. L'honneur est sauve... pour une fois! :roi:
ah çà la belgique elle résiste bien avec le sang des fiers soldats français :siffle2:
toujours un plaisir à lire monsieur de Danton
Et ma modestie naturelle, tu y a pensé? :honte:
ah çà la belgique elle résiste bien avec le sang des fiers soldats français :siffle2:
La Belgique va se battre jusqu'au dernier soldat Français :chicos:
Donc si la Belgique perd, ce sera la faute de la France :siffle2:
Mai / Juin 1940 sera très chaud, je le sens :o:
lemarseillais
29/10/2009, 19h25
Un jour je vais être vraiment obligé de t'exécuter. La France ne supportera pas éternellement ton venin :o:
Maurice Morisson
29/10/2009, 20h18
Chouette AAR.:hello:
La France a t'elle de réelles capacités à résister au moins un moment?
Je n'y connais pas grand chose, mais n'as tu pas intérêt à essayer de faire jonction entre les deux armées japonaises dans la région de Chungking, quitte à donner un peu de mou dans la région de Shanghai pour encercler le gros de l'armée nationaliste?
quel talent !! mais quel talent !!! :clap:
c'est quoi un "chit" ?
RoyalQuiche
30/10/2009, 18h26
C'est un "pion" offensive, qui coute très cher, mais qui une fois produit, donne de multiples avantages à un de tes QG lors d'une "impulsion". Le seul que je connaisse de mémoire (le plus facile à retenir) est celui qui te permet, pour une "impulsion combinée" (multi-armes en fait), de faire autant de mouvements de flottes, escadrille aérienne et troupes terrestres que tu veux (enfin c'est valable pour les anciennes versions du jeu).
En gros, un "offensive chit" est un "super bonus", qui est long à produire, qui coûte cher, mais qui peut s'avérer décisif.
Un chit = un pion ;)
Les règles étant en anglais, j'ai pris la mauvaise habitude de parler d'offensive chit (pion offensive :mrgreen:) ou d'us entry chit ( pions piochées au hasard lors de certaines actions de l'axe, si jet de dé réussi, et qui déterminent l'engagement américain de plus en plus massif en faveur des alliés puis au final de la guerre :=(:. Plus il y en a, moins bien je me porte :goutte:).
Chouette AAR.:hello:
La France a t'elle de réelles capacités à résister au moins un moment?
Je n'y connais pas grand chose, mais n'as tu pas intérêt à essayer de faire jonction entre les deux armées japonaises dans la région de Chungking, quitte à donner un peu de mou dans la région de Shanghai pour encercler le gros de l'armée nationaliste?
Mais il fallait dire cela plus tôt :enerve:
Bon, si j'arrive à faire ma jonction au niveau de Chungking, on peut dire que la guerre en Chine est en grande partie gagnée :mrgreen:, mais ce n'est pas vraiment facile à réaliser: le terrain est montagneux et sauvage (manque de chemin de fer et de routes pour le ravitaillement), l'aviation tactique Japonaise est en-dessous de tout (je veux des Stukas :ouin:)
Par contre, j'avais effectivement une occasion en or d'isoler complètement une partie de l'armée nationaliste, en prenant l'hexagone de montagne libre lors de ma première impulse de mai/juin (le tour est terminé à présent ;)), mais j'ai malheureusement raté cette opportunité (l'autre hexagone, avec la milice de Shangai, est en effet séparé de la grande ville de Shang Sha, où se trouve le quartier général Chiang Kai Tchec, par un lac infranchissable => J'aurais pu isoler tout ce petit monde, sans lui couper son ravitaillement, Chang Sha étant une source de ravitaillement). Une occasion de ratée :loose:
Pour la France, oui elle peut résister, mais sauf malchance allemande, il ne faut pas se faire trop d'illusions quand les deux joueurs ont la même expérience (et c'est le cas). Elle tombera, mais quand, là est la question? La base est le tour de juillet/août, donc toute conquête avant ce tour peut être considérée comme un succès et inversémment. Par contre, tout retard dans la rupture du front Français se paye cash et le prix est élevé: la production alliée est en effet importante. Le Reich doit vaincre rapidement...
C'est un "pion" offensive, qui coute très cher, mais qui une fois produit, donne de multiples avantages à un de tes QG lors d'une "impulsion". Le seul que je connaisse de mémoire (le plus facile à retenir) est celui qui te permet, pour une "impulsion combinée" (multi-armes en fait), de faire autant de mouvements de flottes, escadrille aérienne et troupes terrestres que tu veux (enfin c'est valable pour les anciennes versions du jeu).
En gros, un "offensive chit" est un "super bonus", qui est long à produire, qui coûte cher, mais qui peut s'avérer décisif.
Tiens, un vétéran wifesque de plus :o:
Excellente mémoire, je me contenterai de rajouter un petit complément:
- 1 pion offensive utilisé en impulse terrestre permet de doubler la valeur de combat de x unité terrestres (selon la valeur du quarteir-général utilisé) et de réorganiser pour la moitié du coût.
- 1 pion offensive utilisé en impulse aérienne permet de doubler les valeurs de bombardements et de réorganiser les avions pour la moitié du coût.
J'ai utilisé mes deux pions offensives en terrestre ;)
lemarseillais
31/10/2009, 10h20
Tu es donc toujours incapable de vaincre sans bonus à ce que je vois :o:. C'était déjà pareil à EU2 où il fallait toujours booster tes pays pour que tu survives...
Mais tu n'as de nouveau rien compris :tongue:
Les pions offensives font partie de wif, les alliés en sont d'ailleurs les principaux bénéficiaires grâce à leur production supérieure... Mais l'Axe en a 3 dès le début pour simuler les effets de la blitzkrieg :=(:
Et pour ton info, jamais un de mes pays n'a été boosté à EU2 :tongue: (par contre, on l'a fait pour mes adversaires... Je me souviens notamment d'une certaine France qui, après avoir bien bénéficé de tous les avantages pour ses idées coloniales, fut propulsée puissance terrestre majeure d'un coup de baguette magique, certains jaloux mesquins n'arrivant visiblement pas à encaisser que le Danton restait invincible...)
lemarseillais
31/10/2009, 18h56
Rooo tu ressasses encore cette histoire avec pedrolane :lol:....c'était sur EU3 en plus.
Bref, saches que j'avais parfaitement compris le principe des pions offensifs dans WIF, mais je constate encore et toujours que sans ses bonus tu es incapable de vaincre :tongue:. Quant à savoir s'ils sont légitimes ou non c'est pas mon problème :chicos:
Mai /Juin 1940. Les Allié sombrent corps et biens
7 impulses de beau temps, l’Axe gagne l’initiative malgré un re-roll des alliés.
La guerre à l’ouest
Les Stukas bombardent avec succès Lille et le corps expéditionnaire britannique, la RAF est balayée, puis les panzers repartent à l’assaut : le front est rompu, c’est la percée et le lien est rétabli avec les blindés allemands isolés devant Paris ! Le Général Gamelin décide une contre-offensive généralisée pour protéger la capitale : toute l’aviation Française décolle pour bombarder les panzers, mais les chasseurs Hongrois interviennent et déciment les chasseurs Français. Rendu responsable des échecs aériens alliés à répétition, le généralissime est limogé et, avec lui, ce sont les projets de contre-offensive qui disparaissent. Rappelé en urgence de Syrien, le général Weygand étudie posément la situation et ordonne de rester sur la défensive en attendant qu’il termine d’examiner le front. Les Anglais, mis en déroute en méditerranée, font en outre savoir qu’ils ne pourront rien faire de leur côté pour le moment.
Ravi de cette aubaine, l’OKW relance l’assaut : Lille est prise d’assaut et le corps expéditionnaire anglais massacré. La patiente analyse du général Weygand est déjà périmée et, pris de court par la vitesse de la Wehrmacht, les alliés ont laissé passer leur seule chance de contre-offensive : si le Bomber Command matraque les panzers, ce n’est plus en prélude d’une contre-offensive, mais bien pour couvrir la retraite ! Gort se replie sur Rouen, Wavell, isolé en Champagne, prend ses jambes à son cou et l’armée Française quitte en grande partie la ligne Maginot pour couvrir la fuite honteuse de son allié d’outre manche. Weygand rassemble ses troupes devant la Seine, la bataille de Paris ne fait que commencer !
http://img682.imageshack.us/img682/7813/mai40france.jpg (http://img682.imageshack.us/i/mai40france.jpg/)
Un dilemme se pose alors pour l’OKW : utiliser son offensive chit ou le préserver pour la suite de la guerre ? Car celle-ci ne fait que commencer, personne n’en doute malgré la proximité de Paris. L’ordre tombe de Berlin : assez de prises de risque, maintenant il faut en terminer. Runsdtedt bénéfice d’un offensive chit et les troupes Françaises sont écrasées : les unités blindés percent et traversent la Seine en deux endroits ! A Paris, on brûle les archives, le gouvernement prend la fuite, le général anglais Gort est évacué par la Royal Navy, Wavell paniqué ne sait plus où donner de la tête. Dans la capitale quasi encerclée, Weygand promet un ultime combat, pour l’honneur de l’armée Française : il faut gagner du temps !
Mais déjà les blindés partent vers l’ouest : St-Malo, Lorient et Brest tombent puis vient le grand assaut sur Paris, complètement encerclé. Après quelques heures de combats acharnés, les Champs-Elysées voient défiler les unités d’élite de la Wehrmacht : la blitzkrieg a mis la France à terre.
http://img255.imageshack.us/img255/165/juin40france.jpg (http://img255.imageshack.us/i/juin40france.jpg/)
La guerre en méditerranée
« De l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace ! » s’écrie le général Balbo qui, sans hésiter, contourne Alexandrie, bien défendue, et lance les blindés Italiens à l’assaut : les unités territoriales britanniques sont pulvérisées et le Nil est atteint ! Mussolini quitte immédiatement Rome et rejoint la Lybie avec son cheval blanc : « l’Empire romain sera reconstitué ! ». L’Angleterre est obligée de négliger le front Français pour lancer partout la Royal Navy : des renforts arrivent d’urgence à Malte et à Suez, les navires Italiens sont traqués partout, mais toujours en vain ! Un bombardement Italien sur Alexandrie échoue, Graziani et Balbo décident de continuer à ignorer cette ville fortement défendue et lancent les blindés : le Nil est franchi !
Les sous-marins anglais réussissent enfin là où la Royal Navy échoue sans cesse : les convois Italiens sont coulés, le ravitaillement est coupé. Mussolini, isolé dans Tobrouk et affamé ordonne à ses convois de se sacrifier pour lui apporter ses repas quotidiens : il est entendu, les pâtes lui parviennent et Balbo lance l’assaut contre Suez. Les pertes sont terrifiantes, mais Suez tombe, ce qui provoque la fureur des Etats-Unis (+1 Us entry chit) : un des principaux objectifs Italien vient d’être atteint. Avec un temps de retard, la Royal Navy coupe à nouveau le ravitaillement Italien et cette fois, excédé, Mussolini ordonne une offensive navale de grande envergure.
Les sous-marins italiens surgissent près de Dakar, mais sont décimés par les croiseurs d’escorte anglais, la flotte de surface Italienne, couverte par un parapluie aérien, surgit devant Alexandrie et une sauvage bataille aéro-navale commence. Non décisive cependant, les moyens des deux camps ne sont pas assez importants pour porter de réels coups ( le ravitaillement est cependant rétabli.). Il est vrai que l’élite des porte-avions anglais se trouve toujours à Gibraltar, gardé là en réserve pour contrer la sortie de la flotte Italienne : une cible de choix pour les hommes-Torpilles du Prince Noir. Ceux-ci quittent discrètement La Spezia, esquivent les navires anglais présents en méditerranée, franchissent les filets de défense du port de Gibraltar puis déposent leurs bombes : à 6h00 du matin, deux grandes explosions et l’Ark Royal, le plus grand porte-avion anglais sombre corps et biens (maximum de points de surprise : j’ai fais ‘1’, l’ennemi ‘10’…). Pour les Alliés, c’est la plongée dans les ténèbres : alors que l’honneur de la Royal Navy sombre dans les eaux de Gibraltar, Paris rend les armes et le général Pétain demande l’armistice. Comme pour venger les déboires des ploutocraties occidentales, le Camarade Staline sort de sa torpeur et déclare la guerre à l’Iran, dans l’indifférence générale : Téhéran est pris d’assaut.
La méditerranée après le retour à la base de la plupart des flottes et avec les pertes du tour en haut : dérisoires pour le Reich (un offensive chit), assez lourdes pour l’Italie. La fin du tour à cette 7° impulse (10% de chances que cela arrive) n’est vraiment pas une bonne chose pour moi : Suez est conquis, mais pas le Caire, les unités territoriales vont pouvoir revenir.
http://img252.imageshack.us/img252/8606/medjuin40.jpg (http://img252.imageshack.us/i/medjuin40.jpg/)
La guerre en Chine
Le Japon ouvre le tour par une impulse aérienne : Si-An est matraquée, ainsi que les montagnes au sud de Chung King. Craignant de se retrouver isoler de sa capitale, Tchang Kai Tchec ordonne un repli vers l’ouest : l’armée nippone en profite pour s’emparer sans combat du port de Foochow et pour se rapprocher de Chang Sha. Au nord, Umezu lance un assaut à la baïonnette : les Samouraïs balayent les communistes ( 17 aux dés) et s’emparent de la grande ville ! Le repli chinois s’intensifie. Enhardi par son récent succès, Umezu relance l’assaut : ses troupes avancent avec succès dans les montagnes, direction Chung King ! La capitale chinoise est à portée de l’artillerie nippone !
http://img255.imageshack.us/img255/3504/chinejuin40.jpg (http://img255.imageshack.us/i/chinejuin40.jpg/)
Le Reich accorde l’armistice au général Pétain, qui installe un nouveau gouvernement à Vichy. La France est coupée en deux, la Syrie, l’Indochine, Madagascar, la Somalie Française, mais aussi le Congo Belge annoncent leur fidélité au nouveau gouvernement de collaboration. Le général Wavell et les débris britanniques sont expulsés en zone occupée, à la merci de l’envahisseur. Mais des voix s’élèvent pour refuser la défaite et, à Londres, un certain général De Gaulle lance un appel à la résistance : l’espoir renait et la France Libre se crée, sa capitale sera Dakar. Tout le Maghreb, l’Afrique de l’ouest Française mais aussi équatoriale, ainsi que la Nouvelle Calédonie rallient le bouillant général.
Les Etats-Unis décrètent un embargo sur les matériaux stratégiques contre le Japon et décident de fournir quantité de destroyers à l’Angleterre menacée.
Conclusions du tour
Superbe, indéniablement. La France s’est effondrée comme un château de carte, pour le prix d’un offensive chit. Plusieurs éléments expliquent cette victoire fracassante : des victoires aériennes à répétition et des Stukas assez performants, des combats terrestres sans mauvaises surprises, mais aussi une parfaite combinaison Italo-Allemande. Déjà frustrés par l’absence de collaboration réelle franco-anglaise, qui a rendu impossible cette fois une réelle contre-offensive, les Alliés ont en outre du subir simultanément la rupture du front français et Egyptien. L’offensive Italienne a joué un réel rôle dans la chute de la France et, cerise sur le gâteau, l’objectif principal, Suez, a été atteint. Pout autant, je ne me voile pas la face : si la victoire en France est totale, celle en Egypte repose sur de l’argile. La fin prématurée du tour, qui m’a empêché d’achever la conquête de l’Egypte (Alexandrie excepté, trop bien défendue) risque de peser lourd. Plus grave, les convois de ravitaillement Italiens ont subis de trop lourdes pertes, je n’aurai bientôt plus matériellement les moyens de maintenir le ravitaillement vers l’Egypte ! Mais le Reich va désormais peser de tout son poids dans la guerre en méditerranée… La destruction de l’Ark Royal est en outre de bon augure.
Dans le Pacifique, la guerre en Chine se déroule mieux que prévu : j’ai quasi atteint tous mes objectifs et je vais probablement revoir ceux-ci à la hausse… Chung King est une proie juteuse et scellerait le sort de la Chine. Problème, les USA s’excitent beaucoup trop à mon goût.
Haaa, maintenant que le cas de la France et du benelux sont reglés, suis impatient de voir si il y aura une belle guerre de l'Atlantique.
Je trouve çà toujours aussi chouette de lire des AAR WIF. Merci Danton.
Maurice Morisson
01/11/2009, 13h18
Le problème français est réglé sans acro, félicitations (bon c'est pas encore aujourd'hui qu'on va voir la France gagner la guerre :loose: ). :ok:
Je précises à nouveau que je n'ai jamais joué ni assisté à une partie ni fais quoi que sa soit en rapport avec World in Flames, je suis donc susceptible de dire de grosses conneries ou des évidences mais deux trucs m'ont interpellés. :honte:
Tout d'abord le front méditerranéen: si j'ai bien compris presque toute l'Afrique est aux mains de la France Libre mais qu'en est t'il des armées/avions/flottes qui s'y trouvaient? Ne crains tu pas que cela te complique sérieusement la situation avec l'Italie qui souffre déjà de problème de ravitaillement, il risque de te falloir un peu de temps pour vaincre la Royal Navy même avec les deux accès de la Méditerranée fermés (mais je m'avance peut être, j'ai du mal à imaginer la RM vaincre la RN en deux coups de cuillère à pot :confus: ) si elle peut bénéficier de ravitaillement via l'Algérie par exemple.
Et quid d'Alexandrie? D'ici à ce que tu prennes Gibraltar (allez je m'avance à nouveau disons entre août et début septembre au pire :mrgreen: ) ne crains-tu pas une contre attaque anglaise depuis ce point avec l'arrivée de renfort (du Commonwealth par exemple?) alors que tu es en train de finir l'Egytpe voir de te battre également en Palestine (où les anglais pourraient aussi débarquer pour menacer Suez) et en Lybie (le "problème" français?) avec un ravitaillement limité?
Et d'ailleurs à propos de l'Espagne que vas-tu faire? La faire rentrer dans l'Axe ou l'envahir (je suis parti du principe que tu l'attaquais dans ce que j'ai écris plus haut :yeux: mais peut être qu'HoI brouille ma vision des choses)? Admettons à nouveau qu'il faille attaquer l'Espagne, vas-tu stopper les allemands à Gibraltar et te contenter par la suite d'un Afrika Korp "standard" ou y aller plus franchement?
Et puis tu ne nous parle pas beaucoup de l'Éthiopie...
Enfin bon, peut être que je coupe les cheveux en quatre...:froid:
Sinon autre chose :mrgreen: :je crois reconnaître à l'est de Rhodes de drôles de pions, un Potez 631, un Amiot 143 et un Dewoitine D510, je suppose que les unités au dessus sont turcs :confus: mais je ne vois pas très bien ce que font ces avions français là bas (ni les anglais d'à coté mais il y a peut être un porte avion?) et je suis encore plus perplexe vis à vis des pions jaunes ,rouges et du vert du nord de Chypre.
Quezako?:?:
Je précises à nouveau que je n'ai jamais joué ni assisté à une partie ni fais quoi que sa soit en rapport avec World in Flames, je suis donc susceptible de dire de grosses conneries ou des évidences mais deux trucs m'ont interpellés. :honte:
En vérité je te le dis, tes analyses lumineuses me mènent droit vers la victoire :o:. J’ai en effet effectué, lors du tour de juillet/août (terminé, reste juste la production), ta manœuvre préconisée pour la Chine et cela a plutôt bien fonctionné ;).
Tout d'abord le front méditerranéen: si j'ai bien compris presque toute l'Afrique est aux mains de la France Libre mais qu'en est t'il des armées/avions/flottes qui s'y trouvaient? Ne crains tu pas que cela te complique sérieusement la situation avec l'Italie qui souffre déjà de problème de ravitaillement, il risque de te falloir un peu de temps pour vaincre la Royal Navy même avec les deux accès de la Méditerranée fermés (mais je m'avance peut être, j'ai du mal à imaginer la RM vaincre la RN en deux coups de cuillère à pot :confus: ) si elle peut bénéficier de ravitaillement via l'Algérie par exemple.
Les armées d’Afrique et du Levant ont été rapatriées dès décembre 1939 pour défendre la mère patrie menacée et la débacle de 40 n’a guère permis d’y renvoyer des unités :mrgreen:. Seule une partie de la flotte est passée dans les mains de la France Libre, mais le reste ne va pas tarder à suivre, étant donné ce que j’ai été contraint de faire suite à la duplicité du Maréchal :(. Des renforts FFL sont en outre prévus automatiquement si le Maghreb est entre leurs mains (pas de chance, c’est le cas :loose:), pour le reste, il faudra compter sur la générosité britannique ou américaine :yeux:
L’Italie est puissante et valeureuse, mais elle n’arrivera jamais à terrasser la Royal Navy :loose:, surtout avec le renfort du gros de la flotte française pour cette dernière. On ne peut malheureusement pas tout avoir : pour prendre Gibraltar, il faut, sauf chance exceptionnel et anglais maladroit (ou marseillais :o:), passer par l’Espagne et donc provoquer la dissolution de Vichy, avec ralliement d’une partie aléatoire de la flotte française à l’Angleterre.
Cependant, la prise de Gibraltar et de Suez suffisent pour faire de la méditerranée un Mare Nostrum Italien : sans entrer dans les détails, l’Algérie, la Tunisie ou même l’Egypte sont des sources de ravitaillement seçondaires, c’est-à-dire qu’elles peuvent être utilisées, mais uniquement comme relai vers une source primaire, Angleterre ou Inde. Suez et Gibraltar contrôlés par l’axe, l’anglais n’est plus ravitaillé en méditerranée, excepté au Maroc via l’atlantique et une partie de l’Egypte via la mer rouge.
Et quid d'Alexandrie? D'ici à ce que tu prennes Gibraltar (allez je m'avance à nouveau disons entre août et début septembre au pire :mrgreen: ) ne crains-tu pas une contre attaque anglaise depuis ce point avec l'arrivée de renfort (du Commonwealth par exemple?) alors que tu es en train de finir l'Egytpe voir de te battre également en Palestine (où les anglais pourraient aussi débarquer pour menacer Suez) et en Lybie (le "problème" français?) avec un ravitaillement limité?
C’est malheureusement à peu près ce qui est arrivé :loose:. Les Anglais ont repris une solide position en Egypte et je doute pouvoir désormais les expulser sans l’aide de l’Afrikacorps. Mon principal problème, ce fut le ravitaillement…
Et d'ailleurs à propos de l'Espagne que vas-tu faire? La faire rentrer dans l'Axe ou l'envahir (je suis parti du principe que tu l'attaquais dans ce que j'ai écris plus haut :yeux: mais peut être qu'HoI brouille ma vision des choses)? Admettons à nouveau qu'il faille attaquer l'Espagne, vas-tu stopper les allemands à Gibraltar et te contenter par la suite d'un Afrika Korp "standard" ou y aller plus franchement?
Parfaitement, je me dois d’attaquer l’Espagne :o:, ce vil traître de Franco refuse de rejoindre ses frères et ne me laisse pas le choix :mrgreen:. Pour la suite, j’aviserai, mais le Reich interviendra en Egypte pour s’assurer de la prise définitive de Suez et probablement au Maroc pour prévenir une future contre-offensive sur Gibraltar.
Et puis tu ne nous parle pas beaucoup de l'Éthiopie...
Ben en fait, l’Ethiopie, c’est comme la Tunisie ou l’Egypte : source de ravitaillement seçondaire :?:. Dès 1939, l’Italie, toujours en paix, s’est donc empressée de rapatrier les troupes du Duc d’Aoste. Il ne reste plus que quelques unités territoriales, des unités locales qui sont elles ravitaillées, mais sont de faible valeur (les territoriaux Egyptiens ont été pulvérisés par les blindés Italiens :=(:).
Sinon autre chose :mrgreen: :je crois reconnaître à l'est de Rhodes de drôles de pions, un Potez 631, un Amiot 143 et un Dewoitine D510, je suppose que les unités au dessus sont turcs :confus: mais je ne vois pas très bien ce que font ces avions français là bas (ni les anglais d'à coté mais il y a peut être un porte avion?) et je suis encore plus perplexe vis à vis des pions jaunes ,rouges et du vert du nord de Chypre.
Quezako?:?:
Soit tu as une très bonne vue :clap:, soit tu as agrandis le screen pour distinguer ainsi les avions. Il s’agit en fait des pertes du tour, pour simplifier je n’ai fais qu’une seule photo, mais cela prête un peu à confusion :loose:. Sur la photo en question, le tiers inférieur c’est l’Egypte, le tiers du milieu les quelques navires qui sont resté en mer en fin de tour, mais le tiers supérieur ce sont les pertes du tour, la Grèce et la Turquie sont bien vides de troupes pour le moment. De gauche à droite, on aperçoit ainsi les Italiens (vert clair), les Anglais (bleu foncé, dont l’Ark Royal), l’offensive chit allemand, les Français (bleu clair) avec les avions en question et quelques anglais perdus sur le front de l’ouest, les Chinois nationalistes et communistes (en jaune), les Japonais (en rouge) et la Cavalerie Royale Iranienne (en vert), massacrée par les Soviétiques (ce sont eux les envahisseurs qui menacent le monde libre, je me dois d’intervenir :o:)
Haaa, maintenant que le cas de la France et du benelux sont reglés, suis impatient de voir si il y aura une belle guerre de l'Atlantique.
Je trouve çà toujours aussi chouette de lire des AAR WIF. Merci Danton.
Qui sait, un jour peut-être tu passeras le cap de passer à la pratique? :o:
Il n'existe pas mieux que WIF :jumpy:
Vivement la sortie version pc.:jumpy:
J'ai relu rapidement ton AAR précedent (celui dans lequel tu as arraché la victoire par une chance insolente :o: )
Selon moi, 3 éléments ont été capital pour la victoire des Alliés :
- Une résistance efficace en Chine (fermeture de la route de la Birmanie uniquement après l'entrée en guerre du Japon contre les occidentaux)
- Une bonne gestion du front est dans la 1ère partie, avec une stratégie générale de repli en bon ordre, et de brèves contre-attaques mais suffisantes pour avoir des pertes équilibrées à certains tours
- Une mise hors-jeu précoce de l'Italie par, je dois le reconnaître:clap:, une brillante stratégie de débarquements qui a été permis par un contrôle presque général sur l'Afrique Nord.
lemarseillais
01/11/2009, 23h24
J'ai relu rapidement ton AAR précedent (celui dans lequel tu as arraché la victoire par une chance insolente :o: )
C'est la clef des qlq victoires de Danton à n'importe quel jeu, de toute l'histoire.
Maurice Morisson
02/11/2009, 10h49
Vivement la sortie version pc.:jumpy:
C'est également quelque chose que j'attends :p:, quel dommage que le développement soit si long (d'ailleurs, ne devait il pas encore sortir cet été? :mrgreen: ).
En vérité je te le dis, tes analyses lumineuses me mènent droit vers la victoire :o:. J’ai en effet effectué, lors du tour de juillet/août (terminé, reste juste la production), ta manœuvre préconisée pour la Chine et cela a plutôt bien fonctionné ;).
Et bien, heu, merci. :honte:
Les armées d’Afrique et du Levant ont été rapatriées dès décembre 1939 pour défendre la mère patrie menacée et la débacle de 40 n’a guère permis d’y renvoyer des unités :mrgreen:. Seule une partie de la flotte est passée dans les mains de la France Libre, mais le reste ne va pas tarder à suivre, étant donné ce que j’ai été contraint de faire suite à la duplicité du Maréchal :(. Des renforts FFL sont en outre prévus automatiquement si le Maghreb est entre leurs mains (pas de chance, c’est le cas :loose:), pour le reste, il faudra compter sur la générosité britannique ou américaine :yeux:
L’Italie est puissante et valeureuse, mais elle n’arrivera jamais à terrasser la Royal Navy :loose:, surtout avec le renfort du gros de la flotte française pour cette dernière. On ne peut malheureusement pas tout avoir : pour prendre Gibraltar, il faut, sauf chance exceptionnel et anglais maladroit (ou marseillais :o:), passer par l’Espagne et donc provoquer la dissolution de Vichy, avec ralliement d’une partie aléatoire de la flotte française à l’Angleterre.
Cependant, la prise de Gibraltar et de Suez suffisent pour faire de la méditerranée un Mare Nostrum Italien : sans entrer dans les détails, l’Algérie, la Tunisie ou même l’Egypte sont des sources de ravitaillement seçondaires, c’est-à-dire qu’elles peuvent être utilisées, mais uniquement comme relai vers une source primaire, Angleterre ou Inde. Suez et Gibraltar contrôlés par l’axe, l’anglais n’est plus ravitaillé en méditerranée, excepté au Maroc via l’atlantique et une partie de l’Egypte via la mer rouge.
C’est malheureusement à peu près ce qui est arrivé :loose:. Les Anglais ont repris une solide position en Egypte et je doute pouvoir désormais les expulser sans l’aide de l’Afrikacorps. Mon principal problème, ce fut le ravitaillement…
Parfaitement, je me dois d’attaquer l’Espagne :o:, ce vil traître de Franco refuse de rejoindre ses frères et ne me laisse pas le choix :mrgreen:. Pour la suite, j’aviserai, mais le Reich interviendra en Egypte pour s’assurer de la prise définitive de Suez et probablement au Maroc pour prévenir une future contre-offensive sur Gibraltar.
Ben en fait, l’Ethiopie, c’est comme la Tunisie ou l’Egypte : source de ravitaillement seçondaire :?:. Dès 1939, l’Italie, toujours en paix, s’est donc empressée de rapatrier les troupes du Duc d’Aoste. Il ne reste plus que quelques unités territoriales, des unités locales qui sont elles ravitaillées, mais sont de faible valeur (les territoriaux Egyptiens ont été pulvérisés par les blindés Italiens :=(:).
Ok.:ok:
Pour la Grèce, que feras-tu du coup? C'est une attaque qui me semble généralement peu intéressante pour l'Italie (la Grèce c'est assez vide mais plein de montagnes :mrgreen: ), mais une fois la Méditerranée sécurisée tu peux peut être te le permettre?
Soit tu as une très bonne vue :clap:, soit tu as agrandis le screen pour distinguer ainsi les avions. Il s’agit en fait des pertes du tour, pour simplifier je n’ai fais qu’une seule photo, mais cela prête un peu à confusion :loose:. Sur la photo en question, le tiers inférieur c’est l’Egypte, le tiers du milieu les quelques navires qui sont resté en mer en fin de tour, mais le tiers supérieur ce sont les pertes du tour, la Grèce et la Turquie sont bien vides de troupes pour le moment. De gauche à droite, on aperçoit ainsi les Italiens (vert clair), les Anglais (bleu foncé, dont l’Ark Royal), l’offensive chit allemand, les Français (bleu clair) avec les avions en question et quelques anglais perdus sur le front de l’ouest, les Chinois nationalistes et communistes (en jaune), les Japonais (en rouge) et la Cavalerie Royale Iranienne (en vert), massacrée par les Soviétiques (ce sont eux les envahisseurs qui menacent le monde libre, je me dois d’intervenir :o:)
En fait j'ai triché :lol:, à l'époque du projet T.H.E pour HoI2 sur l'AF, Fernando Torres qui était à la fin de sa période d'hyper activité avait proposé de faire des avatars à partir des pions de World in Flames à ceux qui travaillaient au projet et j'avais gardé la "planche" de pions français qu'il avait publié. Quand j'ai vu le "bazar turc" je l'ai ressorti et j'ai comparé... :mrgreen: Bon le mystère est résolu.
Au vue de ces informations, je pense que si j'étais le joueur Allié, à moyen terme (une fois la Méditerranée isolée) j'axerai ma défense principalement sur le Maghreb (pour menacer l'Espagne et la Lybie tout en profitant des renforts anglo-saxons via le Maroc, et je suppose que certaines régions comme Alger ou Casablanca doivent être assez bien équipé par rapport au reste de l'Afrique), j'essayerai de maintenir des "places fortes" sur les arrières de l'Axe comme Alexandrie, Malte et peut être Chypre tout en sachant que sans ravitaillement il ne faut pas y laisser d'unités trop importantes pour la suite (donc si c'est pas rentable on oublie) et j'essayerai de harasser l'Axe en contre attaquant au Soudan contre son avant garde (ou son arrière garde si pas de grosses actions dans la zone :mrgreen: ) et en Palestine via l'Irak (possible à HoI mais aucune idée de la faisabilité à WiF) pour maintenir la pression sur Suez. Le but étant bien évidemment d'engager le plus de forces de l'Axe sur ce front et d'attendre l'arrivée des américains.
Ceci dit, tenir le Maghreb face à un Afrika Korp puissamment blindé risque d'être plus dur, il n'y a pas de passe magique El Alamein...
Enfin c'est ce que j'en dis hein :confus:, à voir, j'attends avec impatience la suite. :)
Tient je vais y aller de mes questions :
- comment tu comptes attaquer la russie si tu engages de fortes forces allemandes en méditerranée ?
- attaquer la Turquie pour consolider suez via la palestine et foncer sur l'Irak c'est possible sans déclencher une intervention russe ? çà permettrait de passer des blindés vers le front sud t'assurer des ressources en pétrole une fois gibraltar pris
- il suffit d'avoir un coté pour considérer un détroit comme bloqué ou tu doiss tenir les 2 cotés ? (gibraltar/suez)
- la perte de la Lybie c'est grave pour l'Italie ?
voilà c'est tout pour le moment.. là je le sens pas ton avenir en afrique du nord ...
Je peux te répondre sur quelques éléments, je n'ai pas autant d'expérience (une partie avortée très rapidement) que Danton ou d'autres.
Concernant la perte de la Libye par l'Italie, cela revient à placer une épée de Damoclès au dessus de la malheureuse tête du Duce. Pour rentrer rapidement dans les détails, pour provoquer la chute du régime fasciste, les Alliés doivent remplir 3 conditions parmi les 4 suivantes (de mémoires) :
- Prise de Rome (pas la plus facile)
- Prise de Tripoli ( Facile si l'Axe laisse un trop grande liberté aux Alliés en Méditerranée)
- Un nombre d'unités alliées supérieur par rapport au nombre d'unités ITALIENNES sur le sol italien (Sicile incluse)
- Prise d'une usine sur le sol italien, autre que celle de Rome (Naples est souvent l'élu)
Donc j'imagine que tu vois déjà le problème d'un corps expéditionnaire allié important en Méditerranée. L'Italie devient alors un proie facile, surtout après l'entrée en guerre des USA qui permet un surnombre rapide d'unités en Méditerranée si celle-ci n'est pas préalablement fermée.
Pour illustrer ceci je te conseil de relire rapidement l'AAR précédent, qui montre bien la chute possible très rapidement de l'Italie. Allié très précieux pour le Reich mais très fragile.
Je connaît malheureusement que très mal les stratégies possibles pour le Reich, mais un corps expéditionnaire en Afrique me paraît être un obligation pour soutenir le Duce.
surnombre rapide d'unités en Méditerranée si celle-ci n'est pas préalablement fermée.
C'est justement la stratégie choisie par dantounet : fermer la méditerranée
En fait je vois pas comment l'italie peut survivre sans fermer cette mer et si il la ferme les détroits sont bloqués donc j'imagine qu'un débarquement en force en sicile est .... difficile. Du coup quel est l'intérêt de conserver des forces sur le continent africain si il n'y a pas/peu de ressources/usines en Afrique alors qu'au pire l'armée italienne peut être utilisée pour protéger gibraltar (débarquement maritime je suppose donc avec malus de l'attaque elle devrait tenir) et même suez (en se fortifiant/renforcé par une AK light) mais en limitant le front que représente la lybie (attaque via le sud/maroc ou ethiopie). Ca ferait un petit hérisson le temps de libérer des troupes du front de l'Est.
Enfin en même temps je n'y connais rien hein... juste que l'Allemagne a déjà assez de boulot comme çà sans aider un pays faible pour des gains limités (même si il doit le soutenir forcément)
J'ai relu rapidement ton AAR précedent (celui dans lequel tu as arraché la victoire par une chance insolente :o: ) C'est la clef des qlq victoires de Danton à n'importe quel jeu, de toute l'histoire.
Tu apprendras, mon jeune Padawan, que la chance sans le talent n'est rien (et inversémment) :tongue:
J'ai relu rapidement ton AAR précedent (celui dans lequel tu as arraché la victoire par une chance insolente :o: )
Selon moi, 3 éléments ont été capital pour la victoire des Alliés :
- Une résistance efficace en Chine (fermeture de la route de la Birmanie uniquement après l'entrée en guerre du Japon contre les occidentaux)
- Une bonne gestion du front est dans la 1ère partie, avec une stratégie générale de repli en bon ordre, et de brèves contre-attaques mais suffisantes pour avoir des pertes équilibrées à certains tours
- Une mise hors-jeu précoce de l'Italie par, je dois le reconnaître:clap:, une brillante stratégie de débarquements qui a été permis par un contrôle presque général sur l'Afrique Nord.
Dans ce cas je suis pluôt bien parti :mrgreen:
- Le tour de juillet / Août a été désastreux pour la Chine
- L'Italie sera mise à l'abris, qu'on se le dise :tongue:
Ok.:ok:
Pour la Grèce, que feras-tu du coup? C'est une attaque qui me semble généralement peu intéressante pour l'Italie (la Grèce c'est assez vide mais plein de montagnes :mrgreen: ), mais une fois la Méditerranée sécurisée tu peux peut être te le permettre?
La sagesse parle encore par ta bouche :o:
La Grèce est plutôt pénible et rapporte peu, mais si je m'en empare j'ai une possibilité d'aligner ensuite la Yougoslavie. Dans ma partie précédente, c'est ce que l'axe avait fait et je m'étais posé la question de l'intérêt sur le long terme: cela empêche en effet l'alignement de la Roumanie avant de déclarer la guerre à l'URSS, ce qui pose des problèmes pour le front sud lors de Barbarossa. Dans l'optique de guerre courte et d'écrasement de l'URSS retenue alors par mon adversaire, j'en suis venu à considérer cela comme une erreur... La situation est différente sur cette partie. Mon optique étant la guerre longue, les avantages d'un alignement de la Yougoslavie, et donc d'une conquête préalable de la Grèce, pourraient bien surpasser l'inconvénent Roumain. Je dois encore y réfléchir :o:
Au vue de ces informations, je pense que si j'étais le joueur Allié, à moyen terme (une fois la Méditerranée isolée) j'axerai ma défense principalement sur le Maghreb (pour menacer l'Espagne et la Lybie tout en profitant des renforts anglo-saxons via le Maroc, et je suppose que certaines régions comme Alger ou Casablanca doivent être assez bien équipé par rapport au reste de l'Afrique), j'essayerai de maintenir des "places fortes" sur les arrières de l'Axe comme Alexandrie, Malte et peut être Chypre tout en sachant que sans ravitaillement il ne faut pas y laisser d'unités trop importantes pour la suite (donc si c'est pas rentable on oublie) et j'essayerai de harasser l'Axe en contre attaquant au Soudan contre son avant garde (ou son arrière garde si pas de grosses actions dans la zone :mrgreen: ) et en Palestine via l'Irak (possible à HoI mais aucune idée de la faisabilité à WiF) pour maintenir la pression sur Suez.
Je m'attends en effet à une pression constante des alliés sur Suez (via la mer rouge, pour l'Irak cela pose des problèmes insolubles de ravitaillement), il faudra y maintenir quelques unités allemandes, et surtout ils devraient s'accrocher au Maroc (encore faut-il que Gibraltar tombe et ce n'est pas gagné d'avance :?:), mais pour les forteresses à l'intérieur de la zone méditerranée, pas de soucis: si Suez et Gibraltar tombent, ces forteresses seront condamnées (pas de ravitaillement, c'est mortel à WIF une fois que les unités en question ont été désorganisées...)
Je peux te répondre sur quelques éléments, je n'ai pas autant d'expérience (une partie avortée très rapidement) que Danton ou d'autres.
Encore un joueur de WIF :jumpy:
Franchis le pas, relance une partie :o:
Tient je vais y aller de mes questions :
- comment tu comptes attaquer la russie si tu engages de fortes forces allemandes en méditerranée ?
- attaquer la Turquie pour consolider suez via la palestine et foncer sur l'Irak c'est possible sans déclencher une intervention russe ? çà permettrait de passer des blindés vers le front sud t'assurer des ressources en pétrole une fois gibraltar pris
- il suffit d'avoir un coté pour considérer un détroit comme bloqué ou tu doiss tenir les 2 cotés ? (gibraltar/suez)
- Je ne sais pas encore :chicos:. 95% de mes parties de WIF ont suivi, que je joue l'axe ou les alliés, le développement "France 1940 - Barbarossa 1941", donc je ne sais trop ce que l'avenir va me réserver. Cependant, une fois Suez et Gibraltar conquis, je n'ai plus à maintenir trop de troupes en méditerranée, surtout si je maintiens la pression sur les alliés via une intensive bataille de l'atlantique. J'espère trouver de quoi vaincre le colosse Russe qui, naturellement, sera bien plus solide qu'en 1941 :?:
- Ce n'est en tout pas pour le Russe une cause de rupture du pacte germano-soviétique. Pour le reste je ne sais pas, mais... Je n'ai JAMAIS vu une Turquie attaquée par qui que ce soit (une fois ou deux alignée par le Reich, mais il faut pour cela atteindre le Caucase via l'URSS): trop vaste, trop montagneux, trop peu civilisé :?:. Il faudrait des mois et des mois pour pouvoir amener une armée solide aux frontières de la Syrie et de l'Irak...
- Gibraltar doit être conquis de vive force (et le sera :enerve:), mais pour Suez il suffit en effet de contrôler un côté, les navires ne vont pas se risquer à emprunter ce petit canal sous les feux de l'artilelrie ennemie :mrgreen:
Concernant le problème Italien soulevé par Syrco et Cerbère, ben vous avez fait le tour et tout est correct et bien vu :clap:
- Une Italie qui perd la Lybie est très vulnérable à une capitulation soudaine, on peut même dire qu'elle est condamnée à terme (la seule chose capable de la sauver, ce sont les décisions des alliés: frapper d'abord le Japon ou débarquer directement en France ans rêgler au préalable le problème italien.
- La fermeture de la méditerranée change complètement la donne. Pour des raisons de ravitaillement, les alliés ne peuvent plus se maintenir en méditerranée à ce moment, Maroc et une petite partie de l'Egypte exceptés. Si le Reich est nécessaire pour conserver Gibraltar et Suez, les forces italiennes devraient suffire dès ce moment pour "nettoyer" le reste de la méditerranée, qui de toute façon n'est plus guère utile: l'Afrique du nord ne rapporte quasi rien et ne peut plus servir de base de conquête de l'Italie tant que la méditerranée reste fermée ;)
Mais bon, je l'ai dis, je n'ai quasi aucune expérience de ce type de stratégie à WIF et mon adversaire idem, nous verrons bien de quoi l'avenir sera fait :o:
Juillet / Août 1940. La Chine s'effondre
Les alliés ont l’initiative, 10 impulses de beau temps
Le front Européen
Sur le front d’Egypte, la situation Italienne est rapidement gravement compromise : la Royal Navy coule ou repousse rapidement les convois Italiens. Mi-juillet, les amiraux Italiens avouent au Duce qu’il ne leur est plus possible d’assurer le ravitaillement en Afrique du nord sans un renouvellement massif des convois : Balbo et Graziani sont abandonnés à leur triste sort et doivent rester l’arme au pied :loose:, eux qui campent devant Alexandrie et le Caire et occupent Suez ! Pour ne rien arranger, des troupes Indiennes et Sud Africaine débarquent près du Caire, le général Gort prend ses quartiers à Port Saïd et même des bombardiers anglais arrivent d’Angleterre : l’Empire Romain serait-il déjà menacé ? Prudent, Gort évite cependant pour le moment de prendre l’offensive et laisse les Italiens pourrir sur place.
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L’Abwher dévoile à Berlin que ce rétablissement britannique a été grandement facilité par l’attitude du nouveau gouvernement de Vichy, qui fait transiter discrètement armes et ravitaillement de la Syrie vers l’Egypte. Sommé de s’expliquer, le Maréchal Pétain feint de ne pas comprendre et, excédé par sa duplicité, le Reich décide d’étendre la zone occupée en France à tout le pays, massacrant au passage Wavell et ses troupes. Le gouvernement de Vichy annone sa dissolution (+2 Us entry), il n’aura guère subsisté longtemps. Preuve indéniable de la fourberie Française :mrgreen:, pas un seul navire ne rejoint le Reich : 25% de la flotte se saborde en effet à Toulon, mais le reste rejoint la France Libre, qui dispose désormais d’une réelle puissance navale.
La Wehrmacht s’empresse d’occuper tout le pays et des ambassadeurs partent à Madrid contacter le nouveau voisin du Reich, le camarade Franco. Pas reconnaissant pour un sou, ce dernier refuse de s’engager auprès de Berlin et, plus grave, n’accepte pas d’accorder un libre passage : il défend de ce fait Gibraltar et l’Angleterre, ce n’est plus une position de neutralité et Madrid doit désormais être comptée parmi les innombrables ennemis du national socialisme. La déclaration de guerre germano-italienne ne tarde guère (+1 us entry), la guerre ne cesse de s’étendre.L’armée Espagnole se retranche dans les Pyrénées, solide position défensive. La Luftwaffe bombarde avec succès puis l’infanterie lance l’assaut en trois endroits différents : deux percées sont obtenues, le front est rompu.
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La réaction des alliés ne se fait pas attendre : des bombardiers anglais bombardent Essen ( 1BP détruit) et même des positions allemandes dans les Pyrénées à partir de Gibraltar. Des troupes britanniques débarquent en outre déjà à Santander et Séville, des chasseurs arrivent en Espagne : un nouveau front est ouvert ! L’armée Espagnole, elle, se replie derrière l’Ebre. Bien décidée à en terminer au plus vite, la Wehrmacht repart à l’assaut : Bilbao est prise d’assaut et franchissement de l’Ebre au sud de Saragosse, mais les troupes sont désorganisées, le terrain difficile ne facilite guère les choses. Les Alliés ne peuvent cependant contre-attaquer et prient pour mettre fin au tour (action de passe, en vain). La Kriegsmarine puis les U-Boats quittent leurs ports de la Baltique, esquivent la Royal Navy et se retrouvent au large des îles Féroés, Bordeaux sera leur nouvelle base. Un ultime effort permet au Reich de s’emparer de Barcelone.
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La guerre du Pacifique
Le Japon s’empare de l’Indochine juste avant la dissolution du gouvernement de Vichy (+ 1 Us entry) puis expédie en Chine un de ses plus brillants officier : le Général Morisson :clap:. Ce dernier détient le commandement en chef des armées nippones en Chine et ne vient pas les mains vides, il a une stratégie qu’on pourrait résumer en un mot : Chungking. Sous ses directives, le général Umezu lance l’assaut dans les montagnes et arrive au nord de la capitale chinoise (18 aux dés…), Yamamoto obtient le même succès au sud et prend position dans les montagnes au sud de la capitale. Dans l’extrême-sud, Nanning tombe à son tour (+1 Us entry), ce qui permet de sécuriser la nouvelle conquête Indochinoise, mais le général Morisson ne perd pas son objectif majeur de vue : ordre est donné à Terauchi de quitter la Manchourie et de rejoindre Umezu, dont le ravitaillement devient difficile suite à sa poussée vers l’ouest.
Pris en tenaille et menacés d’encerclement, les nationalistes se replient et tentent de sauver les meubles : en vain, le Japon perce une fois encore et ses troupes arrivent dans les plaines au nord de Chungking ! Incapables de réagir, les Chinois ne peuvent qu’assister impuissants à la chute de leur pays, qui s’effondre sous l’indifférence générale du monde occidentale : les villes de Chang-Ta et Cheng-Tu tombent (pas d’Us entry !), Yamamoto arrive dans les montagnes au sud de la capitale, c’est la déroute, le général Morisson triomphe et Tokyo se met à rêver : une conquête totale serait-elle possible ?
Les Alliés tentent de réagir : des bombardiers Russes partent pour la Sibérie, Timoshenko rejoint Joukov et les Chinois Nationalistes lancent leur première contre-offensive depuis 1939, ce qui isole cependant définitivement Tchang Kai Tchec, mais il faut isoler les Japonais retranchés dans Cheng-Tu et récupérer la riche vallée industrielle autour de Chungking. L’assaut se solde par de lourdes pertes, bien que Cheng-Tu soit isolée. Les communistes chinois effrayés se replient à leur tour, ils sont peut-être le dernier espoir de la Chine. Chungking reste à portée de main du général Morisson, la Chine est à genoux.
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Conclusions du tour
La guerre en Chine dépasse toutes mes espérances et une victoire totale semble à portée de main. Seul bémol, l’allié a compris, avec l’attaque sur l’Espagne, qu’il n’y aura pas de Barbarossa 1941 et l’URSS pourrait bien tenter d’en profiter pour intervenir dans le Pacifique et voler au secours de la Chine :?:.
En Europe, les Pyrénées sont complètement franchies, mais la route vers Gibraltar sera plus longue que prévue : Madrid devrait cependant tomber au prochain tour. En Méditerranée, le manque de convois condamne l’Italie au statu quo, au mieux, en Egypte. Consolation, les alliés subiront sous peu les mêmes problèmes avec les convois pour ravitailler Gibraltar, en tout cas je l’espère.
Pertes du tour. Chine 19 BP, Espagne 17 BP, Reich 15 BP, Angleterre 12 BP et Japon 11 BP.
Les Etats-Unis décident d'autoriser l'envoi de ressources aux alliés occidentaux et les coloniaux français d'Indochine se lancent dans la guérilla: Saigon est occupé!
Maurice Morisson
04/11/2009, 22h00
[...]expédie en Chine un de ses plus brillants officier : le Général Morisson :clap:.
Haaa, ça y est ma tête a triplée de volume. :lol: :honte:
Grosso modo, comment ça se passe une entrée en guerre de l'URSS contre le Japon comme elle semble se profiler?
Comme ça, "à chaud" et sans savoir grand chose :mrgreen: , j'ai presque tendance à penser que cela pourrait être une bonne chose, si tu réussis à achever (ou réduire à presque rien) la puissance chinoise avant que le marteau soviétique ne te tombe dessus il y a peut être un gros coup à jouer!
Si tu pouvais parvenir à engager l'URSS dans une coûteuse campagne de Chine jusqu'à Barbarossa tu te simplifierais peut être considérablement la tâche! En abandonnant la Mandchourie pour te retrancher dans les montagnes chinoises et en t'appuyant sur le soutien de la Marine Impériale tu peux peut être lui faire mal, le laisser venir, contre attaquer, débarquer sur ses arrières chaque fois que c'est possible et tout faire le moment venu pour l'empêcher de repartir en Russie.
C'est de l'Allemagne que viendra l'opportunité de porter l'estocade fatale aux Alliés, pas du Japon qui à moyen terme n'a pas les moyens de lutter contre les USA; au final cela me semble revenir au même de sacrifier le Japon pour retarder de quelques mois l'arrivée des américains en Europe ou pour distraire les soviétiques, à la différence que sans flotte l'URSS ne peut finalement pas lui faire si mal que ça...
Après ce n'est peut être pas réaliste de penser que le Japon puisse tenir en respect l'URSS pendant un an et demi. :confus:
Une campagne en Chine magistrale! :clap:
Au vu de l'état actuel des choses, il me semble que la victoire totale semble acquise, sauf catastrophe.
Concernant le problème posé par le redéploiement des troupes russes, je suppose que tu ne comptes pas passer ton hiver avec tes panzers en Andalousie.
Je sais pas ce que tu projettes pour la suite (pression sur l'Angleterre, ou l'URSS), mais je vois mal ton adversaire dégarnir son front ouest de façon trop importante, alors qu'il ne connaît pas encore ton prochain objectif, même si un Barbarossa en 41 paraît difficile.
Tu vas faire quoi après ta victoire en Chine avec l'Empire du soleil levant? Les Indes?
Personnellement j'aimerais bien voir une invasion de l'Angleterre. N'oublie pas que l'Axe restera le perdant pour l'Histoire, donc les choix historiques n'ont pas forcément été les bons :o:
Grosso modo, comment ça se passe une entrée en guerre de l'URSS contre le Japon comme elle semble se profiler?
L'URSS déclare la guerre, les Etats-Unis sont mécontents et on peut se taper dessus :mrgreen:. L'URSS deviendra alors une puissance majeure active, ce qui lèvera certaines limitations actuelles (neutre, l'urss est limitée à des actions combinées, ne peut construire de milices etc)
La guerre Russo-Japonaise a une particularité: si l'URSS s'empare de 3 ressources nippones, le Japon peut demander la paix et l'urss doit l'accepter (gagnant la Manchourie minimum). A l'inverse, si le Japon contrôle Vladivostok, l'URSS peut demander et obtenir la paix, en cédant cette ville minimum.
Si tu pouvais parvenir à engager l'URSS dans une coûteuse campagne de Chine jusqu'à Barbarossa tu te simplifierais peut être considérablement la tâche! En abandonnant la Mandchourie pour te retrancher dans les montagnes chinoises et en t'appuyant sur le soutien de la Marine Impériale tu peux peut être lui faire mal, le laisser venir, contre attaquer, débarquer sur ses arrières chaque fois que c'est possible et tout faire le moment venu pour l'empêcher de repartir en Russie.
C'est de l'Allemagne que viendra l'opportunité de porter l'estocade fatale aux Alliés, pas du Japon qui à moyen terme n'a pas les moyens de lutter contre les USA; au final cela me semble revenir au même de sacrifier le Japon pour retarder de quelques mois l'arrivée des américains en Europe ou pour distraire les soviétiques, à la différence que sans flotte l'URSS ne peut finalement pas lui faire si mal que ça...
Je n'ai pas assez d'expérience pour réellement analyser les conséquences à venir d'une guerre Russo-Japonaise, celle-ci étant peu fréquente à WIF: le Japon a peu à y gagner et l'URSS est générallement bien plus préoccupé par sa survie en Europe...
Les partisans de ta stratégie existent cependant et j'ai lu des articles à ce sujet dans la revue d'ADG qui édite WIF. Et on trouve de tout: pour certains, c'est le meilleur moyen de gagner pour l'axe (tous contre l'urss en gros :mrgreen:), pour d'autres c'est du pain béni pour les alliés. Vraiment difficile à dire, j'espère que cette partie me permettra d'y voir plus clair à ce sujet.
Les données à prendre en compte sont multiples: cela peut m'empêcher de conquérir la Chine, la Manchourie et la Corée représentent quasi 25% de la production actuelle du Japon, une guerre retarderait ma production pour la future guerre du pacifique... Mais retarderait celle de l'URSS pour un futur Barbarossa, tout comme cela pourrait retarder l'intervention us. Etc, etc, pas facile d'y voir clair :?:
Naturellement, il faudra voir comment tournent les opérations et les pertes :chicos:
J'aimerais bien pouvoir achever la Chine avant un éventuel duel avec l'URSS, mais l'ennemi m'en laissera t-il le temps? Vu la richesse de la Manchourie, je n'ai pas trop envie de céder trop rapidement non plus... Et l'urss joue gros aussi, si le Reich peut vite se redéployer...
Concernant le problème posé par le redéploiement des troupes russes, je suppose que tu ne comptes pas passer ton hiver avec tes panzers en Andalousie.
Je sais pas ce que tu projettes pour la suite (pression sur l'Angleterre, ou l'URSS), mais je vois mal ton adversaire dégarnir son front ouest de façon trop importante, alors qu'il ne connaît pas encore ton prochain objectif, même si un Barbarossa en 41 paraît difficile.
Pour le moment, je m'en tiens à ma stratégie initiale: fermeture de la méditerranée, Barbarossa en 1942 et forte pression sur les convois anglais (quasi inexistante pour le moment :?:). Reste à voir comment vont tourner les événements...
Tu vas faire quoi après ta victoire en Chine avec l'Empire du soleil levant? Les Indes?
Si l'URSS me laisse en paix, l'objectif est de préparer au mieux la guerre du pacifique, avec une pression maximale sur les convois anglais et une poussée vers l'océan indien en effet.
Personnellement j'aimerais bien voir une invasion de l'Angleterre. N'oublie pas que l'Axe restera le perdant pour l'Histoire, donc les choix historiques n'ont pas forcément été les bons :o:
Avec l'ancienne version 5 de WIF, j'ai mené plusieurs fois cette stratégie, générallement avec succès, mais avec l'actuelle je ne l'ai jamais tentée ni subie. Cela me semble tout simplement horriblement périlleux. La Royal Navy est trop puissante et les préparatifs pour une invasion de ce genre ne passent pas vraiment inaperçus. Il faudrait vraiment que j'essaye un jour mais là je vais sans doute passer mon tour :chicos:, sauf événements en faveur de cela (grosses victoires aéro-navales lors des futurs batailles pour couper le ravitaillement de Gibraltar par exemple).
Très grosse séance de WIF ce samedi :clap:
Cela devient très chaud :goutte:, ces ploutocrates corrompus et décadents se battent comme des chiens enragés, et je ne vous parle même pas de la vermine rouge :?:.
Les combats ont fait rage en Espagne, au Portugal, Gibraltar est cannoné sans répit, en Egypte, en Manchourie et à Chungking, la capitale chinoise.
Mais nous l'emporterons car nous sommes les plus forts :enerve:
Septembre / Octobre 1940. La Manchourie s’embrasse
La guerre dans le pacifique
Coup de tonnerre dans le Pacifique : l’URSS déclare sans attendre la guerre au Japon et vole au secours de ses frères communistes chinois. Le redéploiement vers l’est étant précoce, peu de troupes Soviétiques sont présentes, mais Joukov ne s’en soucie guère : il passe à l’offensive en Manchourie et avance violemment dans les montagnes. Terauchi quitte immédiatement le front Chinois et prend le train pour la Manchourie, mais le général Morisson ne renonce pas pour autant à son projet de mettre à terre définitivement le colosse chinois : Chang Kai Tchec, isolé dans les montagnes, est massacré :=(:.
Les sous-marins soviétiques quittent leur base de Vladivostok et s’attaque aux convois nippons, indispensables pour la survie de Tokyo, mais en vain. Frustré, l’armée rouge relance l’assaut : elle s’empare d’une ressource et marche sur Harbin, mais les moyens manquent encore trop. Du Japon se déverse alors quantité de troupes : des porte-avions partent escorter les convois, des fantassins débarquent en Manchourie : le colosse Russe va apprendre ce qu’il en coûte de défier le Mikado. Les Chinois, eux, s’enterrent et résistent avec succès aux bombardements frénétiques du Japon, qui tente d’en finir sur ce front. Le mois se termine avec la prise sans combat d’Harbin, capitale de la Manchourie jugée indéfendable par Terauchi, qui établit sa ligne de front en fonction du terrain (dans les montagnes et derrière le fleuve Tonghua) : 80% du potentiel industriel de la Manchourie restent aux mains des Samouraïs.
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http://img188.imageshack.us/img188/8518/chine1040.jpg (http://img188.imageshack.us/i/chine1040.jpg/)
La guerre à l’ouest
Sur le front d’Espagne, l’Angleterre lutte avec acharnement, bien décidée à gagner du temps : des troupes sont débarquées à Santander et la Luftwaffe subit une cinglante défaite en tentant de bombarder celles-ci. Plus inquiétant, la Wehrmacht échoue un assaut contre Saragosse ( 4 aux dés…). Mais la disproportion des forces est telle que l’Espagne ne peut que céder : Franco établit une ligne défensive devant Madrid, avec le soutien des britanniques et attend le choc avec fatalisme. Saragosse tombe au deuxième assaut et les panzers percent dans les plaines près de la capitale : le Tagus est franchi. Le dictateur Franquiste se replie dans Madrid, il ne doit pas attendre longtemps : les fantassins allemands lancent l’assaut et s’empare de Madrid, ce qui laisse isoler le corps expéditionnaire britannique (excepté les troupes à Santander, ravitaillées par mer).
Les croiseurs auxiliaires allemands tentent une sortie à partir de Bordeaux, mais mal leur en prend : l’Orion est coulé, les autres doivent se replier. Mais la revanche ne tarde guerre : le Bismarck et son escorte s’échappe de la grande base navale et surgit en Atlantique nord, où il coule 100.000 tonnes de navires marchands, l’Espana et le Navara. « Coulez le Bismarck ! » rugit Churchill, fou de rage, mais le cuirassé rentre à bon port.
http://img33.imageshack.us/img33/6308/espagne1040.jpg (http://img33.imageshack.us/i/espagne1040.jpg/)
Sur le front d’Egypte, c’est la statu quo : Rome parvient à rétablir le ravitaillement et Balbo établit un lien avec Suez, mais manque de moyens pour passer à l’offensive. La Royal Navy échoue toutes ses tentatives de détection, le Bomber Command bombarde en vain Suez, au final rien ne bouge vraiment. Plus à l’ouest par contre, quelques centaines de supplétifs Italiens montés sur des chameaux s’emparent de toute la Tunisie sans jamais rencontrer d’opposition.
Conclusion du tour
La déclaration de guerre de l’URSS, intervenue plus rapidement que je ne le pensais, ouvre un nouveau front, mais pas question de passer à la contre-offensive tant que le problème chinois n’aura pas été réglé. L’avancée vers le sud, en Espagne, est plus lente que prévue, la résistance de Saragosse et l’envoi d’un corps expéditionnaire britannique devant Madrid y est pour beaucoup, mais je garde bon espoir d’arriver devant Gibraltar pour la fin de l’année.
Novembre / Décembre 1940. L’axe piétine
7 impulses, un temps relativement clément.
La guerre dans le Pacifique
L’URSS et le Japon se renforcent tous les deux sur le front de Manchourie, qui n’évolue guère : les bombardements russes échouent lamentablement, mais l’Armée Rouge ne cesse de masser des troupes.
http://img198.imageshack.us/img198/7346/manchourie1240.jpg (http://img198.imageshack.us/i/manchourie1240.jpg/)
En Chine, Umezu lance l’assaut et repousse les communistes chinois au nord de Chungking : le lien avec Cheng-Tu est rétabli et la capitale chinoise vit dans la terreur, encerclée aux 2/3 par les troupes Impériales. Un dernier effort et ce fruit pourri va s’effondrer, il sera temps alors de donner une bonne leçon au camarade Staline.
En Europe, l’Angleterre évacue Santander, mais abandonne le corps expéditionnaire isolé aux environs de Madrid. Bien lui en prend, la Luftwaffe et la Wehrmacht se cassent complètement les dents dessus : après trois bombardements et deux assauts, les irréductibles Anglais tiennent toujours. A Berlin, c’est l’incompréhension et la fureur : Gibraltar est toujours hors de portée. A Rome, après un nouveau raid de la Royal Navy, on annonce qu’il n’est à nouveau plus possible d’assurer le ravitaillement vers l’Egypte. Seule satisfaction, les incessants bombardements anglais en Egypte échouent systématiquement.
Conclusion du tour
Pas terrible, l’Angleterre a réussi à me mettre un coup d’arrêt. La situation en Egypte devient inquiétante, j’essaye d’y envoyer quelques renforts, mais le problème principal demeure le ravitaillement. La chute de Gibraltar devait simplifier la situation sur ce front, mais le Rocher n’est toujours pas atteint. Dans le Pacifique, c’est une course contre la montre qui a commencé : l’URSS masse sans cesse des troupes et pour faire de même, je n’ai qu’une seule solution, affaiblir le front chinois, ce que je refuse pour le moment. Chungking doit tomber.
Janvier / Février 1941. La chasse aux convois
4 impulses seulement, un temps complètement pourri.
L’Angleterre renforce massivement Gibraltar et Tanger et escorte lourdement ses convois : elle fait bien, les Germano-Italiens lancent une offensive navale et sous-marine de grande ampleur. Sans le moindre succès malheureusement. Ah si, le ravitaillement vers l’Egypte est rétabli. « Ils courent, nous chassons » déclare Churchill, qui riposte avec la Royal Navy : le Leipzig et le Bande Nere sont coulés, mais le Diomede subit le même sort. La Luftwaffe rallie massivement les aérodromes du sud de l’Espagne : que le soleil revienne et ces pleutres d’anglais verront l’enfer s’abattre du ciel !
Dans le Pacifique, c’est l’humiliation pour le Japon : des sous-marins Soviétiques coulent 200.000 tonnes de navires marchands. La Marine Impériale riposte et escorte lourdement les précieux convois.
Conclusion du tour
Pas grand-chose à dire, si ce n’est que l’allié défend mieux ses convois que moi ^^
La suite sera bien plus animée :o:
Mars / Avril 1941. Reculer pour mieux frapper
6 impulses
Le front d’Egypte
L’Angleterre coupe une fois encore le ravitaillement Italien en Egypte puis bombarde avec succès Suez : les blindés Italiens, désorganisés, sont balayés et le canal de Suez est de nouveau libre d’accès pour les alliés. Quasi au même moment, les forces françaises libres s’emparent de Tunis. Le Duce, furieux, ordonne de rétablir à tout prix l’envoi des pâtes, mais le gros de la flotte a pris le large pour aller défier les britanniques devant Gibraltar ! Trop faiblement escortés, les convois sont massacrés par les torpilleurs anglais, qui enregistrent leur plus belle victoire : 200.000 tonnes de navires italiens sont envoyés par le fond. Le moral gonflé au maximum, Gort lance l’opération Crusader : le Bomber Command frappe, l’infanterie Indienne et sud africaine achève le boulot. Balbo est anéanti, il ne reste plus en Egypte que le général Graziani pour faire vivre le rêve Mussolinien. Signe qui ne trompe pas, Eclair, le cheval blanc du dictateur, sur lequel ce dernier voulait parader dans la capitale Cairote, est rembarqué direction l’Italie. En voilà un au moins qui ne succombera pas de faim.
La fin du rêve Mare Nostrum de Mussolini ? :loose:
http://img204.imageshack.us/img204/5797/egypte0441.jpg (http://img204.imageshack.us/i/egypte0441.jpg/)
Le front d’Espagne
Dans les ports du Maroc et de Gibraltar, les Anglais déversent quantité de troupes, de bombardiers et de chasseurs. Le général Alexander établit son centre de commandement sur le Rocher même : l’Angleterre ne cèdera jamais la clef de la méditerranée. Surtout pas après avoir récupéré Suez. Mais le Reich, lui, est bien décidé à faire sauter ce verrou. Les débris du corps expéditionnaire britannique d’Espagne sont enfin massacrés, le Portugal est envahi et Lisbonne tombe rapidement. Une excellente base navale pour la Kriegsmarine, qui surgit au large du Rocher : après une courte canonnade, l’Amiral Raeder ordonne le repli, le Karlsruhe a sombré. Il est vrai que le gros de la Luftwaffe se concentre plutôt sur la méditerranée, en soutien de la marine Italienne, qui décide de venger l’honneur du Duce, humilié par la perte de Suez. Une farouche bataille s’engage, les aviateurs de l’axe font des miracles et coupent le ravitaillement anglais (ce qui ne concerne en réalité que les troupes françaises présentes à Tunis, Alexander est toujours bien ravitaillé par l’atlantique). Le Guilio Cesare est certes perdu, mais Londres perd des centaines d’avions, le Kent et surtout le porte-avion Glorious !
L’étau se referme sur le Rocher
http://img12.imageshack.us/img12/2940/gibraltar0441.jpg (http://img12.imageshack.us/i/gibraltar0441.jpg/)
La guerre du Pacifique
Russes et Japonais se regardent et se défient, mais le mauvais temps calme leurs velléités. Tokyo en profite pour escorter lourdement ses convois, Moscou pour faire avancer ses renforts. Enfin, une accalmie et l’Armée Rouge passe sans attendre à l’assaut des montagnes de Manchourie. Après une grande bataille aérienne où les Soviétiques surprennent par leur pugnacité (et surtout leur nombre…), Joukov lance ses hordes et avance dans les montagnes. Au Japon, c’est l’inquiétude : une fois les montagnes dépassées, comment arrêter l’inexorable marée ? Terauchi se retranche derrière le Songhua, ce grand fleuve étant avec les montagnes son meilleur espoir. L’autre est l’envoi massif de renforts venus de Chine, mais le général Morisson refuse d’abandonner son rêve : il faut achever le serpent chinois avant de se retourner contre l’ours Soviétique puis contre les méprisables fourmis occidentales. Etape indispensable de ces projets ambitieux, prendre Chungking, la capitale des chinois nationalistes. Celle-ci est bombardée puis les fantassins chargent ! Mais les troupes du Mikado refluent, c’est l’ échec…
Conclusion du tour
La chute de Suez est particulièrement navrante, juste au moment où l’étau se resserre sur Gibraltar, c’est une bouée d’oxygène pour l’Angleterre, qui ne risque plus de perdre le contrôle total de la méditerranée pour le moment, mais c’était prévisible : non seulement le Reich n’intervient pas sur ce front, mais en plus l’Italie a concentré le gros de ses forces aéro-navales sur le front d’Espagne. C’est un choix, je connaissais les risques. Dans le pacifique, c’est une course contre la montre : mon seul espoir d’endiguer la marée Soviétique passe par l’écrasement rapide de la Chine.
je te trouve en mauvaise posture en fait ... j'ai hate de voir comment tu vas t'en sortir
Ce n'est pas dangeureux de possèder toute la péninsule ibérique? çà en fait des côtes à défendre pour quand le grand méchant ricain voudra débarquer en Europe, non?
RoyalQuiche
11/11/2009, 13h54
Oui je trouve aussi ... je ne sais pas si la prise du Portugal était nécessaire ? D'autant plus que l'activité partisane pour ces 2 pays (Espagne et Portugal) est particulièrement vive. Je ne sais pas non plus si sur les cartes des dernières versions les Açores sont préentent ? Parce que dans ces cas là, avec une prise rapides de ces îles par les Alliées, la bataille de l'Atlantique devient beaucoup plus difficile pour l'Axe. Même si Madrid est très loin de Berlin, les alliés, une fois les USA en guerre, ont les moyens d'ouvrir un front ibérique, alors que l'Axe lui, ne les a pas ... c'est donc dangereux, mais si Gibraltar tombe, ça restera un gros coup réalisé par Danton !:clap:
Mais la stratégie méditerranéenne de Danton est logique et globale. Il faut pour ça contrôler le canal de Suez et prendre Gibraltar. Une fois la Méditerranée verrouillée, l'armée Italienne peut se mettre en posture défensive. Elle sert de garnison dans la Péninsule Ibérique et en AFN.
Le soucis c'est que les Anglais ont parfaitement joué le coup en frappant l'Italie là où ça fait mal ... dans leurs convois ... et si Suez est aux mains des Anglais et que Gibraltar résiste, c'est toutes la stratégie méditerranéenne de Danton qui s'effondre.
Notre Généralissime va se trouver confronter aux 2 ou 3 tours les plus cruciaux de la partie. C'est une double, voire triple, course contre la montre qui se joue.
Je vois 4 scénarii possibles :
1) Gibraltar ET Chungking tombent le tour prochain (ou peut-être dans 2 tours si les Alliés ne sont pas trop véhéments). La Méditerranée est verrouillée à 50% (disons même 75%, parce que la route des renforts par le cap de Bonne Espérance est trèèèèèès longue ...). Les troupes italiennes et quelques renforts allemands peuvent dorénavant bloquer et repousser les Anglo-Français d'Algérie. Une fois l'AFN contrôlée (ou tout du moins les Alliées bloqués), la marche sur Suez peut reprendre avec cette fois moins de chance de voir les convois italiens coulés (Malte va très vite se trouver à cours de ravitaillement et une guerre navale agressive en Méditerranée orientale peut empêcher la Royal Navy de s'établir en force à Alexandrie). Si Suez tombe sous la coupe de Danton, sa stratégie sera un grand susccès, certes un poil plus tardif que prévu, mais sans forcément trop de conséquences.
4) Gibraltar tombe mais pas Chungking. La stratégie européenne de Danton sera bousculée. Il s'agira pour lui d'en finir le plus rapidement possible en Méditerranée pour se libérer la Wehrmacht et attaquer l'URSS dès que possible, afin de venir en aide à son allié japonais. Il lui faudra alors prendre le maximum de risque, soit pour écraser les Anglais au Maroc et en Egypte, soit au contraire tenter de miser sur un défense bien établie pour, à défaut de fermer Suez, empêcher les Alliés de reprendre le terrain et de menacer les côtes italienne (à mon avis, qui n'est pas forcément très éclairé vu que je n'ai pas mis les doigts dans une partie de WiF depuis des lustres, il vaut mieux tenter le tout pour le tout et infliger le maximum de pertes aux Britanniques. Après tout, si les convois italiens sont sécurisés par la prise de Gibraltar, le Duce pourra concentrer sa production sur les troupes terrestres).
La vitesse à laquelle l'Allemagne pourra se porter à l'aide du Japon sera déterminante, car plus son adversaire le verra s'enliser en Méditerranée, plus il pourra dégager des troupes de l'Ouest pour les envoyer en Extrême-Orient.
Si l'Allemagne ne peut redéployer son armée rapidement pour menacer les Soviétiques, ceux-ci vont facilement submerger les Japonais. Il ne faut pas se leurrer, le Mikado ne peut à la fois lutter contre la Chine et contre une URSS en paix en Europe. Déjà que contre l'ours soviétique seul, ça me semble très difficile, mais avec une armée chinoise, certes très affaiblie, mais encore présente dans son dos, je ne vous explique pas ... :goutte:
Dans ces cas là, Danton peut-dire adieu à sa stratégie Pacifique et Sud-Asiatique ... il n'aura jamais les moyens de se lancer dans une offensive navale à long terme ... il devra donc soit se contenter de porter quelques coups rapides sans lendemain pour affaiblir autant que faire se peut l'US Navy, soit carrément attendre que les USA entrent en guerre d'eux-même, et faire le dos rond en attendant que les choses s'arrangent avec l'URSS. Le soucis c'est qu'avec la prise de Gibraltar, il me semble que les USA ont encore un US Entry chit à piocher, ce qui va commencer à faire beaucoup ... l'opinion publique yankee doit commencer à souffler des mots de guerre aux oreilles de Roosevelt.
3) Chungking tombe mais pas Gibraltar. Là ça me parait moins grave. Le Japon peut alors retourner toutes ses forces contre l'URSS. Même si ça me semble encore trop juste pour une contre-offensive qui pousserait le Russe à une paix négociée, ça laisse de quoi tenir pendant plusieurs tours, voire essayer quelques débarquement dans le dos de Vladivostock. La clé sera une nouvelle fois la vitesse à laquelle Gibraltar sera prise, mais avec un peu moins de pression, car de toute façon, dorénavant, tout le monde sait que Barbarossa n'aura pas lieu en 1941. Ca laisse encore 3 ou 4 tours pour venir à bout du Rocher avant de redéployer la Wehrmacht début 1942.
Le problème principal dans ce cas de figure est que les Alliés peuvent continuer à mettre la pression sur les convois italiens, et donc continuer leur offensive en Egypte sans que le Duce puisse envoyer des renforts conséquents. Les FNFL ont dû donner un sacré coup de pouce aux Alliés, car leurs flotte est loin d'être négligeable et doit sans doute permettre d'avoir une puissante flotte alliée à Gibraltar ET à Alexandrie.
4) Ni Gibraltar ni Chungking ne tombe ... ben là, y'a plus qu'à prier pour le pauvre Danton ... l'URSS voyant l'Allemagne embourbée en Espagne (sauf peut-être si Danton renonce à prendre le Rocher et se contente d'un cordon défensif ... mais dans ces cas-là il dit adieu à toute l'Afrique) va envoyer renforts sur renforts en Asie et à mon avis facilement venir à bout des Japonais. Soit le joueur allié accepte une paix de compromis à son avantage, soit il pousse jusqu'à l'effondrement de l'armée japonaise, qui n'aura alors plus qu'a tenter le tout pour le tout dans le Pacifique. Peut-être qu'une résitance à tout prix avec l'essentiel de l'IJA dans les montagnes de Corée peut lui permettre de garder le contrôle des précieuses ressources continentales ? Parce qu'il ne faut pas se leurrer, avec le Japon comme unique source de production (usines et ressource), l'Empire n'a aucune chance de tenir longtemps contre les USA. Et avec une Chine libre, impossible de menacer les Britanniques en Birmanie où en Malaisie. Bref, c'est le scénario catastrophe pour Danton ... :idiot:
Bon, tout ça ce sont des perspectives personnelles, avec une vue lointaine de la situation.
Par contre, j'ai une question essentielle : les conditions de paix entre Soviétiques et Japonais sont imposées par le vainqueur, ou le perdant peut annoncer une demande de paix qui DOIT être acceptée par le vainqueur ? Evidemment ça change tout !
En tout état de cause, les prochains tours vont être cruciaux ! :jumpy:
Une analyse plus que brillante :priere:
Les tours de mai/juin et juillet/août sont terminés, je me mets au boulot pour l'AAR :o:
En gros, c'est un mix des scénarios 1 et 2 je dirais :mrgreen:. En Europe, tout se passe bien (puisque je vous le dis :o:), dans le Pacifique... Euh... Un peu moins bien :siffle2:. J'ai des décisions importantes à prendre...
Quelques précisions:
- Pour le Portugal, je l'ai conquis car il y a une ressource (vous n'imaginez pas tout ce qu'il faut fournir à l'Italie, cet allié est un gouffre avide) et une excellente base navale (Lisbonne est un port qui donne sur 2 mers, toute ma flotte et mes sous-marins s'y sont installés :mrgreen:). Pour les côtes à défendre, ben je dirais que j'ai plutôt intérêt à y être en personne, ce ne sont pas les Portugais qui vont rejetter les alliés à la mer :yeux: et les Alliés, croyez moi, ne sont pas de doux agneaux, mais des monstres impérialistes qui se moquent de la neutralité des pays (que je cherche de mon côté à défendre contre ces affreux :siffle:). Si les alliés déclarent la guerre au Porto, ils débarquent avec l'avantage de la surprise et se heurtent aux paysans locaux. Non, non, c'est dans l'intérêt même du Portugal que j'ai décidé d'installer mes vétérans, habitués aux fourberies de l'ennemi :o:. En outre, il n'y a pas de partisans au Portugal (uniquement en Espagne ;))
- La stratégie méditerranéenne a effectivement des avantages, mais aussi de gros inconvénients, je ne cesse de m'en rendre compte: plus de côtes à défendre, la flotte française libre sur le dos (et ce n'est pas du gâteau comme RoyalQuiche l'a souligné :?:), tout cela je m'y attendais, par contre j'ai sous-estimé la nuissance que l'URSS pouvait devenir du fait de l'absence de Barbarossa 1941 (pour rappel, 95% de mes parties ont vu un Barbarossa 1941). Mais je n'oublie pas non plus l'importance majeure dans ma partie précédente de la chute précoce de l'Italie. La méditerranée sera fermée :enerve:. En terme de ressources, c'est aussi assez profitable :o:.
- Dans le cadre de la première guerre Russo-Japonaise, le perdant peut demander la paix et le vainqueur est obligé de l'accepter si: le Japon (gagnant) contrôle Vladivostok ou l'URSS (gagnant) contrôle 3 ressources. La paix est alors signée, avec traité de neutralité, et les gains sont basés sur les hexagones contrôlés (addition de l'annual 2008: le Japon, perdant, cède toute la Manchourie en plus des autres hexagones éventuels).
- Les USA ont eu beaucoup de pions Us entry, mais mon petit doigt me dit qu'ils doivent être de faible valeur ;) (le meilleur témoin, c'est la première augmentation de la production US: fin juin 1941 seulement. C'est tardif...)
Bon, je vais continuer mon aar :o:
RoyalQuiche
13/11/2009, 13h50
Peut-être qu'un alignement de la Finlande avec l'Axe mettrait un poil de pression au Russe ?
C'est étonnant que le Portugal n'est pas d'activité partisane ... connaissant le caractère lusitanien, ils auraient autant fait souffrir l'éventuel occupant allemand que bien des peuples ... sauf si le légendaire charisme dantonien ne calme les velléités locales ! :mrgreen:
Je ne pense pas que la Finlande arrive à faire peur à l'URSS :yeux:, mais de toute façon, Moscou n'ayant pas réclamé le territoire frontalier finlandais, je ne pourrai l'aligner qu'après avoir déclarer la guerre à l'URSS.
On y arrivera un jour, mais pas tout de suite :o:
... sauf si le légendaire charisme dantonien ne calme les velléités locales ! :mrgreen:
Cela devrait en effet très bien fonctionner :chicos:
Mai / Juin 1941. L’opération Felix
11 impulses de beau temps
La guerre en Europe
L’Allemagne et l’Italie ouvrent le tour avec une impulse navale, voilà qui promet de l’action sur les mers ! Tous les sous-marins et croiseurs auxiliaires allemands partent traquer les convois anglais le long des côtes d’Afrique, sans le moindre résultat cependant. En méditerranée, l’Italie coule l’Emerald, mais c’est la Kriegsmarine qui porte le coup le plus rude : fortement soutenue par la Luftwaffe, elle surgit devant Gibraltar et engage le fer avec les Anglais : des chasseurs Spitfire, le Manchester et, surtout, le Duke of York sont coulés :=(:! Ce dernier est le premier gros cuirassé envoyé au fond de l’eau depuis le début de la guerre. La riposte anglaise tourne au désastre : certes, les Condor allemands sont abattu, certes les convois italiens à destination de l’Egypte sont coulés, mais en Afrique les U-Boats font un carton plein : 350.000 tonnes de navires sont torpillés !Tous les porte-avions anglais se concentrent au Cap Saint-Vincent, avec un seul objectif : maintenir le ravitaillement de Gibraltar.
Le Reich ne l’entend cependant pas de cette oreille et la Luftwaffe prend la relève de la marine : le Rocher est noyé sous les bombes et des centaines d’appareils partent couvrir la flotte et relever le défi lancé par les porte-avions anglais. En méditerranée, le Duce comprend que ce duel des titans est une aubaine pour lui : la présence britannique est réduite. 100.000 tonnes de navires sont coulés au large d’Alexandrie et, pour la première fois depuis le début de la guerre, c’est le ravitaillement anglais en Egypte qui est coupé ! Seule Alexandrie est cependant concernée, l’armée de Gort reste ravitaillée par la mer rouge. L’Amirauté ne perd pas espoir, rétablit le ravitaillement et riposte en force, mais subit de nouveaux revers : 250.000 tonnes de convois sont envoyés par le fond, des bombardiers sont abattus au Cap Saint-Vincent.
Le Duce se met à rêver et ordonne à son armée de s’emparer une fois pour toute de l’Egypte. Le Tromp et 50.000 tonnes de convois sont coulés et Alexandrie isolée est pilonnée par l’artillerie italienne, avec succès. Graziani n’est pas homme à laisser passer une telle occasion : avec les renforts venus d’Italie, il lance l’assaut, mais des bombardiers anglais tentent d’intervenir. Des escadrilles de B-109 interviennent, Berlin a enfin envoyé des forces en Egypte, mais laissent passer les Anglais. « Pas moyen de compter sur nos alliés allemands :mrgreen:. Tant pis, nous prendrons le grand phare à mains nues et sous les bombes ! ». L’assaut se déroule parfaitement bien et Rome s’empare enfin d’Alexandrie !
Un signal de bon augure pour l’opération Felix, qui atteint son paroxysme : la Luftwaffe et la Kriegsmarine tentent en effet de chasser les convois anglais du Cap Saint-Vincent. Bataille décisive qui tourne à l’hécatombe pour le Reich : des centaines d’avions sont abattus, couper le ravitaillement du Rocher ne semble plus possible. Puisque la subtilité a échoué, place à la force brute :tongue:! Et l’enfer s’abat sur le Rocher : les Stukas bombardent sans répit, l’artillerie fait de même, puis les canons des cuirassés allemands d’un côté, Italiens de l’autre, enfin les fantassins partent au combat alors que des centaines de parachutistes sautent au-dessus du Rocher ! Le Reich ne recule devant rien, le Rocher est désintégré, la croix gammée flotte sur Gibraltar :clap: :clap:! (14 aux dés avec un +9)
Ce triomphe aux accents Wagnérien ne décourage cependant par Churchill, qui, avec flegme, ordonne de tenir solidement Tanger, en vue d’une contre-offensive ultérieure, et Suez, pour maintenir ouverte la méditerranée. Le général Gort l’entend parfaitement et contre-attaque : les dernières unités Italiennes à l’est du Nil sont balayées, Alexandrie est en vue. Une offensive qui vient deux semaines trop tard : lancée plus tôt, le ravitaillement d’Alexandrie n’aurait pas pu être coupé comme il l’a été. En attendant, Gort et Graziani, chacun d’un côté du Nil, se regarde en frères ennemis. Un Afrikacorps viendra t-il assurer la conquête de l’Egypte ? Déjà en effet, des troupes quittent l’Espagne, mais elles s’arrêtent en Hongrie et en Autriche. Les Balkans vont-ils s’enflammer à leur tour ?
La guerre du Pacifique
L’aviation Japonaise bombarde Harbin et Chungking puis repousse avec succès les bombardiers Russes au-dessus de Changchun, où Terauchi coordonne les opérations. Un seul mot d’ordre, tenir le terrain coûte que coûte. Le 6 mai, à l’aube, c’est l’assaut : des dizaines de milliers de fantassins et des centaines de blindés, soutenus par l’artillerie et l’aviation. Joukov a reçu des moyens considérables pour percer (offensive chit) et il les utilise avec brio : le Songhua est franchi. La riposte vient de Chine : le général Morisson ordonne l’assaut contre Chungking, désormais entièrement encerclée. Après de sanglants combats de rue, la capitale des nationalistes chinois est prise d’assaut ! Seule Urumchi reste entre leurs mains, soutenue à bout de bras par les envois de ressources britanniques.
Ce triomphe pour l’Armée Impérial ne peut cependant éclipser la situation désastreuse en Manchourie : les T-34 se ruent dans les plaines et bousculent les débris de l’armée du Kwantung. Le fleuve Lia He est atteint par les avants-gardes de l’Armée Rouge, qui lorgne désormais sur la Chine même. Faute de moyens, Terauchi ne peut contre-attaque et se retranche dans Mukden : la grande ville offre quelques avantages, mais cela sera t-il suffisant quand ni les montagnes de Manchourie ni le grand fleuve Songhua n’ont pu stopper les Soviétiques ? La seule solution se trouve peut-être en Chine : le général Umezu bouscule les communistes dans les montagnes et atteint les faubourgs de Lan-Chow, où s’est retranché Mao !
La course contre la montre reprend et les Soviétiques relancent un violent assaut : Mukden tombe, Terauchi est massacré et la Corée est envahie ! Tokyo n’a plus le choix et doit envoyer en urgence des renforts à Port-Arthur et à Tien-Tsin, la prise de Chungking a heureusement libéré quelques unités et il faut stopper l’avance de l’armée Rouge avant qu’elle ne menace les lignes de ravitaillement nippones en Chine même ! La marche vers l’ouest n’est cependant pas oubliée : Umezu lance l’assaut contre Lan-Chow pour en terminer avec les communistes chinois. C’est un sanglant désastre…
Le destin est cependant capricieux, et c’est ensuite à l’Armée Rouge de subir un désastre devant Port Arthur. Les ressources de Corée et de Manchourie, le grand port excepté, sont cependant toutes contrôlées désormais par l’URSS. Une unité d’infanterie japonaise débarque en renfort à Port Arthur et une nouvelle vague Soviétique vient se briser lamentablement contre les défenses de la grande ville : le dernier rempart de l’Empire du Soleil Levant contre les hordes rouges ?
http://img526.imageshack.us/img526/8378/chine0641.jpg (http://img526.imageshack.us/i/chine0641.jpg/)
http://img5.imageshack.us/img5/4780/manchourie0641.jpg (http://img5.imageshack.us/i/manchourie0641.jpg/)
Pertes du tour. France Libre 1 BP, Italie 3 BP, Chine 12 BP, URSS 24 BP (dont 15 pour l’offensive chit), Japon 34 BP et Angleterre 51 BP !
Les Etats-Unis, de plus en plus préoccupés par la situation en Europe, décident d’augmenter enfin leur production. Le Reich, lui, soutien à bout de bras son allié Italien : envoi de 3 ressources, 2 pétrole et 3 BP !
Des négociations de paix commencent entre Tokyo et Moscou, mais les conditions sont lourdes : outre la Corée, le port de Wensan excepté (encore occupé par une garnison Japonaise), toute la Manchourie doit être cédée, Port Arthur inclus. L’ensemble représente 25% du potentiel de production actuel du Japon. Le débat est houleux : céder ou poursuivre le combat ? Les partisans de la lutte à outrance avancent principalement deux faits en leur faveur : le Reich a commencé à se redéployer vers l’est et la Chine est écrasée, réduite à deux villes. Les partisans de « la paix » ont d’autres arguments, révélateurs de l’absence totale en réalité de camp de la paix au Japon : il faut céder aux exigences de l’URSS car lui résister obligerait l’armée à un désengagement massif de Chine d’une part et, plus grave, retarderait d’autant les préparatifs de guerre contre les occidentaux.
L’Empereur finit par trancher : il a encore besoin de temps avant de se décider. La guerre se poursuit donc pour le moment, Tokyo vise en réalité deux objectifs avant de céder éventuellement : d’une part reconquérir la Corée, d’autre part ralentir le redéploiement de l’armée rouge vers l’ouest. La proximité de la Wehrmacht à ses frontières décidera peut-être le camarade Staline à se montrer plus souple.
Juillet / Août 1941. La guerre de Manchourie atteint la Chine
8 impulses de beau temps, les Alliés gagnent l’initiative, malgré un re-roll de l’Axe.
La guerre en Europe
En méditerranée orientale, chacun porte des coups à tour de rôle, parfois extrêmement violent. L’Italie tente ainsi de débarquer 2 corps d’infanterie allemands, l’Afrikacorps, mais la Royal Navy veille et la moitié des transports sombre en chemin. Rude coup pour Rome, qui déclenche toute une série de batailles indécises. Au final, l’Italie perd, outre un transport, le Trento et le Montecuccoli, mais coule le Dragon et le Revenge. Plus inquiétant, le ravitaillement Italien en Egypte est coupé et les raids du Bomber Command désorganisent fortement l’armée de Graziani. Les difficultés de Mussolini sont telles que Berlin décide d’accroitre les moyens de son intervention dans la région : il faut refermer le canal de Suez !
Au Cap Saint-Vincent, la Luftwaffe réalise un exploit de taille : elle coule le Jean Bart et le porte-avion Hermes et coupe brièvement le ravitaillement allié au Maroc ! La Wehrmacht n’a cependant pas le temps de passer en Afrique, la Royal Navy lance tous ses porte-avions et écrase les aviateurs du Reich. La Kriegsmarine arrive cependant à surprendre les convois britanniques, qui sont envoyés par le fond : la disette règne à nouveau au Maroc.
Les Balkans s’enflamment subitement. Sofia, suite à d’incessantes violations de sa frontière avec la Yougoslavie, décide de se mettre sous la protection du Reich et entre en guerre à ses côtés. Un ultimatum à Belgrade suit immédiatement, qui est repoussé. La Yougoslavie est écrasée, le Reich ne cesse de grandir. Des troupes parviennent à la frontière Polonaise, le Führer préparerait-il quelque chose ?
La guerre dans le pacifique
D’emblée, l’Armée Rouge frappe fort : prise de Port Arthur et de Wensan. L’armée Impériale doit désormais défendre la Chine continentale et des troupes déferlent à Tien-Tsin, des grandes unités quittent l’ancien front de Chung King et se dirigent vers le nord à marche forcée : le colosse Russe doit être stoppée. Des fantassins débarquent enfin dans le sud de la Corée, l’aviation bombarde en vain Séoul.
L’URSS renforce la Corée, s’empare de Pékin et lance l’assaut contre Tien-Tsin : sanglant désastre ! Et les renforts n’arrivent plus, on aperçoit même quelques unités quitter le front et prendre le train pour l’Europe : le Bolchevique est inquiet, la Wehrmacht multiplie les manœuvres d’exercices à la frontière Polonaise. Tokyo ne jubile cependant pas pour autant : ses bombardiers échouent une fois encore au-dessus de Séoul et la ligne Soviétique est solidement retranchée dans les montagnes. Seule la pointe avancée en Chine est vulnérable et c’est là que le Mikado décide de venger l’honneur du Samouraï : les blindés Soviétiques sont balayés, Pékin retombe entre les mains nippones.
Pertes du tour : France Libre 4 BP, Japon 7 BP, Reich 10 BP, Italie/URSS 14 BP, Angleterre 23 BP.
L’Angleterre, malgré de réels revers, résiste plutôt bien, elle a très clairement pris l’avantage en Egypte, mais je devrais pouvoir me renforcer sur ce front plus rapidement qu’elle désormais. Dans le Pacifique, la guerre Russo-Japonaise se termine en relatif statu quo, la Chine respire à nouveau, ou en tout cas ce qu’il en reste.
Mais les Etats-Unis se déchainent alors : ils décident de geler les avoirs nippons et d’escorter les convois anglais tant sur la côte Est des USA qu’en Atlantique nord !
Nouveau dilemme au Japon : poursuivre la guerre, sans trop d’espoir de pouvoir réellement renverser la vapeur, afin d’immobiliser l’Armée Rouge et faciliter la future attaque du Reich (on y est pas encore…) ou signer enfin la paix et se concentrer sur la guerre contre les occidentaux. Un élément va à lui seul me décider à demander la paix : le pétrole. Je sens en effet venir l’embargo pétrolier à plein nez et l’attitude plus que belliqueuse de l’Armée Impériale sur le continent ne m’a pas permis de créer de réels stocks. La maigre unité de pétrole synthétique construite sur l’Archipel ne suffira jamais à mes besoins si l’embargo tombe. Le besoin impérieux de pétrole me pousse à la guerre au sud. Le 31 août 1941, le Japon signe la paix avec l’URSS et lui cède toute la Manchourie et la Corée :loose:, Fusan excepté.
http://img526.imageshack.us/img526/8461/manchourie0841.jpg (http://img526.imageshack.us/i/manchourie0841.jpg/)
Triste jour pour l’Axe, mais que les Alliés profitent bien de cette petite victoire, ce sera la dernière. Qu’ils tremblent, les ploutocrates corrompus et décadents, qu’ils tremblent les Bolcheviques avides de sang, car toute la puissance des forces de l’Axe se prépare à la guerre totale ! Nous lutterons et nous vaincrons :tongue:!
Septembre / Octobre 1941. Le Japon pris à la gorge
La guerre en Europe
Une offensive Germano-Italienne de grande envergure contre les convois anglais ne donnent guère de résultats : la Kriegsmarine surgit au large de Dakar, les U-Boats et les croiseurs auxiliaires allemands s’enfoncent plus loin encore le long des côtes d’Afrique, mais le bilan reste limité à 100.000 tonnes de navires marchands coulés. En méditerranée, la flotte de surface Italienne coule le Sheffield et oblige la Royal Navy à se replier sur Port Said : le Mare Nostrum sera bientôt une réalité :clap:!
Mais les Anglais n’ont pas dit leur dernier mot et Gort contre-attaque avec des blindés : les Italiens sont pulvérisés et subissent de lourdes pertes. Bon prince, le Führer vole au secours de son allié : des fantassins et des blindés débarquent en Egypte, l’Afrikacorps s’étoffe. Prudent, Gort se retranche derrière le Nil. A l’autre bout de la méditerranée, la Luftwaffe bombarde en vain Tanger. Malte par contre est matraquée avec succès, la garnison britannique n’a plus ni vivres ni munitions, son destin semble scellé.
La guerre du Pacifique
Le haut état major Impérial ordonne la fin des offensives terrestres en Chine : la guerre est gagnée, que les bandits chinois pourrissent donc à Kunming et Lan Chow, le Mikado les juge indigne de mériter la gloire d’un anéantissement complet. Les partisans français terrés à Saigon sont enfin massacrés, il s’agira de la seule action réelle du Japon en deux mois et la propagande alliée affirme de façon mensongère que le Japon tente de préserver ses maigres stocks de pétrole. Pour appuyer ses dires, les Etats-Unis décrètent un embargo pétrolier total contre l’Empire du Soleil Levant, auxquels se joignent rapidement l’Angleterre et les Indes Néerlandaises. Plus une goutte de pétrole n’arrive au Japon :?:.
L’Empereur Dieu du Japon convoque son gouvernement pour une réunion de crise : les vermines occidentales tentent de contraindre l’Empire à la paix en lui refusant tout ce pétrole indispensable pour la guerre. Que faire ? Céder comme il a fallu le faire contre l’URSS ou déferler sur l’Asie du sud ouest ? C’est alors qu’une nouvelle de plus parvient à Tokyo : le Sénat Américain a voté le redéploiement de la flotte américaine à Pearl Harbour. Ils veulent la guerre, ils l’auront…:tongue:
Novembre / Décembre. Le pétrole, nerf de la guerre
5 impulses seulement.
La guerre en Europe
Nouvelles sorties de la Kriegsmarine au grand complet et des sous-marins de l’Axe, mais ans plus de résultats que la fois précédente. La Wehrmacht par contre débarque à l’est d’Oran et prend Malte d’assaut, puis Alger. La Royal Navy quitte enfin piteusement la méditerranée, jugée désormais trop dangereuse. Il ne reste plus qu’à fermer le canal de Suez et la méditerranée sera un lac italien, mais la tâche ne sera pas aisée…
http://img233.imageshack.us/img233/9083/egypte1241.jpg (http://img233.imageshack.us/i/egypte1241.jpg/)
Et pendant ce temps, à l’Est…
http://img514.imageshack.us/img514/3097/urss1241.jpg (http://img514.imageshack.us/i/urss1241.jpg/)
La guerre du Pacifique
L’Empire du Soleil Levant relève le défi que les vils occidentaux lui ont jeté à la figure : les Indes Néerlandaises sont envahies, Batavia est prise d’assaut par Yamamoto en personne. Scandalisés, les Etats-Unis, pourtant responsables de cette invasion légitime, décident d’augmenter leur production et de fermer le canal de Panama à tous les navires de l’Axe. Toutes ces misérables mesures anti-Japonaises ne resteront pas impunies, l’heure est venue de montrer à ces sous-hommes la valeur inégalable du Samouraï., la Chine peut témoigner… :=(:
http://img514.imageshack.us/img514/3933/chine1241.jpg (http://img514.imageshack.us/i/chine1241.jpg/)
Janvier / Février 1942. Tora, Tora, Tora !
La guerre du Pacifique
La flotte Américaine poursuit son redéploiement vers Pearl Harbour, tandis qu’un corps d’infanterie Indienne quitte l’Egypte pour retourner au pays. Tous les voyants sont en effet au rouge : la Marine Impériale a quitté ses nombreuses bases :siffle2:! Des navires de guerre Japonais sont repérés au large de Pearl Harbour, dans le golfe du Bengale et même en mer d’Arabie. Les Occidentaux harcèlent Tokyo de questions et exigent la fin immédiate de ces mesures belliqueuses, les porte-avions US quittent leur base navale par précaution, la tension est à son comble, le Pacifique va-t-il s’embraser ?
Le 11 janvier 1942, l’Empereur Dieu du Japon répond aux Occidentaux en lançant l’opération Tigre : Tokyo déclare la guerre à l’Angleterre et aux Etats-Unis. Les ploutocrates décadents ont voulu faire plier l’Empire du Soleil Levant, ils vont à présent en payer le prix. La flotte Américaine de Pearl Harbour est attaquée la première : les gros cuirassés Arizona et Pensylvania sont envoyés par le fond, le Mississippi est endommagé. La flotte britannique est la seçonde cible, en mer d’Arabie : le porte-avion Argus est coulé, 150.000 tonnes de navires marchands subissent le même sort, le ravitaillement vers l’Egypte est coupé, voilà qui va réjouir les puissances de l’Axe en Europe.
L’aviation passe ensuite à l’offensive : Mac Arthur est pilonné et désorganisé dans Manille, les Chinois bombardé à Kunming (délicate attention du Japon, qui montre ainsi qu’il n’oublie pas son voisin Chinois :o:), la moitié de leur aviation est massacrée au passage, mais le gros de l’effort se concentre sur Singapour, matraqué par des centaines de bombardiers. En vain malheureusement, la garnison Australienne tient bon.
C’est alors l’Armée Impériale qui s’élance à son tour : Hong Kong, Sarawak et Kuala Lumpur tombent sans combat, Rangoon et Manille sont pris d’assaut ( un beau « 20 » pour Manille, le premier de la partie je crois) : la tornade Japonaise est lancée et elle va balayer tous ces ploutocrates corrompus ! Ceux-ci réagissent en rétablissant le ravitaillement vers l’Egypte. Les Etats-Unis enfin déclarent la guerre à l’Allemagne et l’Italie, liant le sort de ces deux pays à celui du Japon. Le Reich attend les Yankees de pied ferme.
http://img20.imageshack.us/img20/323/pacifique0242.jpg (http://img20.imageshack.us/i/pacifique0242.jpg/)
La guerre en Europe
Les Germano-Italiens lancent une nouvelle offensive de grande ampleur contre les convois anglais : la Kriegsmarine surgit au Cap Saint-Vincent et engage le fer avec la Royal Navy, qui repousse l’Amiral Raeder ( le Bismarck est endommagé, la flotte se replie), les U-Boats se concentrent sur les côtes d’Afrique et font un carton plein, pas moins de 500.000 tonnes de navires marchands alliés sont envoyés par le fond ! Les loups gris de l’Amiral Dönitz vont mettre l’Angleterre à genoux. Puis la nouvelle tombe : l’allié Japonais est entré en guerre et vient de couper le ravitaillement allié en Egypte. Les bombardiers Italiens et Allemands quittent aussitôt leurs bases et matraquent tout ce qui bouge en Egypte, puis les blindés passent à l’offensive. Les Anglais de Gort se replient cependant en bon ordre. Leur situation devient cependant de plus en plus précaire : la Wehrmacht débarque en effet en Syrie !
RoyalQuiche
15/11/2009, 20h04
Voilà une partie pour l'instant bien maitrisée ... et avec un Japon qui devient enfin un vrai allié pour l'Axe (la chute de la Chine aide bien), les Anglais vont avoir du soucis à se faire pour tenir en AFN ...
Bravo au généralissime Danton ! :clap:
deux questions:
- garder la chine en vie çà te rapporte quelque chose ou c'est juste par manque de troupes ? elle risque pas de se renforcer et de devenir gênante bientôt ?
- Elle-t-il toujours possible au japon d'attaquer la Russie... (je dirais pas hasard une fois que l'armée allemande attaquerai) ou la signature du traité de non agression rend le japon inutile contre l'URSS (vu ce que t'as apparemment perdu en production/ressources...) ?
édit : memoire de bulot inside
- Garder la Chine en vie pourrait avoir une raison: sa conquête choque profondément les Etats-Unis. Etant déjà en guerre avec eux, je me moque de ce qu'ils pensent :chicos:. Mais je manque effectivement cruellement de troupes :loose:
- Maintenant que la route de Birmanie est coupée, la Chine est réduite à ce que je lui ai laissé, c'est à dire pas grand chose :o:: 2 usines et une unique ressource... L'allié a le choix: soit il reste ainsi, ce qui m'oblige à maintenir pas mal de troupes en Chine, soit il lance des attaques risquées pour tenter de récupérer des ressources, seul moyen pour lui de se renforcer. Mais si ces attaques échouent, il pourrait bien ne jamais récupérer et la conquête pourrait suivre :=(:. En alternative, il peut tenter de reprendre le contrôle de la route de Birmanie, le retour de l'aide économique anglaise serait un ballon d'oxygène pour la Chine.
- Le traité de non agression Russo-Japonais consécutif à la signature de la paix ne pouvait être rompu l'année de la signature de celui-ci (1941), mais peut l'être ultérieurement (plus les années passent, plus cela devient facile). Pour cela, il faut obtenir un ratio de garnison de 2 / 1 ou plus (on compte la valeur des troupes aux frontières et des marqueurs tirés aléatoirement tous les tours et additionnés). Le pacte Germano-Soviétique relève des mêmes règles, le briser en 1942 ne me posera aucun problème :mrgreen:. Mais j'ai déjà fort à faire avec la vermine occidentale, je ne suis pas certain de pouvoir ajouter l'URSS à la liste de mes ennemis :loose:, même si cela aiderait le Reich et pourrait me permettre de récupérer le vaste potentiel économique de la Corée et Manchourie.
Mars / Avril 1942. La guerre devient mondiale
La guerre du Pacifique
Japonais et Occidentaux protègent leurs convois, les tempêtes en mer sont légions. Seul succès de la marine Impériale, le Coventry est coulé au large d’Aden. Le retour du beau temps permet aux Samouraïs de repartir à l’assaut : les Marines débarquent à Tricomalee puis poussent jusqu’à Colombo, toute l’île de Ceylan est occupée. En Malaisie, Yamashita tourne les puissantes fortifications de Singapour, tournées vers la mer, et s’empare de la forteresse malgré les échecs à répétition de l’aviation nippone, qui ne s’est guère distinguée par son efficacité durant cette bataille.
La riposte des alliés est inflexible : l’infanterie Indienne sécurise les puits de pétrole de Birmanie et le général Clark débarque dans les îles Marshalls : chute de Kwajalein ! Tokyo paye là son manque de préparatifs, il a fallu frapper dans l’urgence suite à l’embargo pétrolier des occidentaux. Trop de temps perdu à lutter contre la Chine d’abord, contre l’URSS ensuite. L’Empire du Soleil Levant se venge en bombardant les maigres ressources chinoises : la production de la Chine sera une fois de plus de 0. En mer d’Arabie, le Royal Oak est envoyé par le fond et les convois anglais dispersés : le ravitaillement vers l’Egypte est coupé !
La guerre en Europe
Les forces de l’axe profitent des tempêtes pour réaliser des sorties massives. Si la Kriegsmarine n’arrive à rien ( Devonshire coulé, mais Königsberg perdu), les sous-marins, eux, réalisent un carton : 400.000 tonnes de navires marchands alliés sont envoyés par le fond. En méditerranée, Haifa, Damas et Jaffa tombent. Ces succès décident Bucarest à entrer en guerre aux côtés du Reich : la Wehrmacht pénètre aussitôt massivement en Roumanie. Les troupes sont à peine arrivées qu’un soleil radieux tombe enfin sur le continent. A Berlin, le dilemme est lourd : attendre ou se lancer à l’assaut du colosse russe ?
Plusieurs éléments s’opposent à une entrée en guerre en fin de tour : les réserves Soviétiques arriveront en masse et seront rapidement disponibles (désorganisées lors du déploiement, mais réorganisées à la fin du tour), la production russe va flamber un tour plus tôt et de massifs renforts terrestres et aériens doivent arrivés pour le Reich début mai, moment planifié pour Barbarossa. Ceux-ci sont prévus intégralement pour le Groupe d’Armée Nord.
Au sud, tout est prêt :
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Pas au nord :
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Le front d’Espagne :
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Berlin reste fidèle à ses habitudes de paris hasardeux, qui ne lui ont pas si mal réussis pour le moment : le Reich déclare la guerre à l’URSS ! La Finlande fait de même, le monde retient son souffle. Guderian et Rommel s’emparent de Brest-Litovsk et de Lvov, Manstein se charge lui de la tâche la plus délicate de cette invasion prématurée : conquérir l’intégralité de la Bessarabie sans pénétrer en URSS même (ainsi, la production Soviétique aura un +0,25 pour les combats en territoire national, la Bessarabie, mais pas de +0,25 pour une présence ennemie dans le territoire national… La Bessarabie entièrement conquise étant restituée à la Roumanie et fait donc plus partie du territoire national de l’URSS !). Chisinau, bien défendue, est prise d’assaut, la Bessarabie est conquise et restituée à la Roumanie.
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Si tout se déroule au mieux au sud, les opérations se révèlent plus compliquées au nord. Le Groupe d’Armée Centre de Rundstedt s’empare de Kaunas, mais subit de lourdes pertes au sud de la ville ( un « 2 » naturel, le premier de la partie). Le Groupe d’Armée Nord de Von Bock, lui, souffre cruellement de l’absence des renforts massifs prévus pour le mois de mai : la Luftwaffe n’a pas les moyens de bombarder Riga et l’assaut de la Wehrmacht échoue complètement.
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En Egypte, un assaut contre les anglais désormais privé de ravitaillement suite aux actions de la Marine Impériale, échoue complètement et suscite l’inquiétude de Berlin : cette épine dans le pied mobilise trop de moyens et se révèle beaucoup plus tenace que prévu (à la base, je considérais qu’il s’agissait d’une erreur pour l’allié de s’incruster là avec la menace Japonaise désormais matérialisée, mais le pari semble payant)
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Fin du tour, l’initiative sera décisive ! Si je l’obtiens, je pourrai foncer dans le sud de l’URSS et devrait pouvoir atteindre les rives du Dnieper avec mes blindés avant qu’une solide ligne de défense ne soit constituée. Au nord et au centre de l’URSS, le gain de l’initiative sera de peu d’importance.
Mai / Juin 1941. L’opération Barberousse
Les Alliés, maudit soient-ils :enerve:, obtiennent l’initiative après un re-roll. 8 impulses de beau temps.
Le front de l’est
L’URSS se précipite et établit une solide ligne de défense : derrière la Dvina au nord, autour de Minsk et Vilna au centre et devant le Dnieper au sud, avec une maigre deuxième ligne derrière le grand fleuve. Le Reich prend Odessa d’assaut, mais se heurte sur le reste du front à un problème majeur : la Luftwaffe est trop éloignée des lignes de front. Les Soviétiques, comme pour se moquer de Berlin, font alors usage de leurs bombardiers à long rayon d’action, sans équivalent au sein de la Luftwaffe : partis du sud de l’Ukraine, ils vont bombarder les puits de pétrole de Ploesti, détruisant les 2/3 de la production du tour ! Le Reich prend alors une option aérienne pour redéployer massivement la Luftwaffe, ce qui laisse tout le temps au Camarade Staline pour créer une solide deuxième ligne derrière le Dnieper et sortir sa flotte en Baltique, à la recherche des convois allemands qui transportent le précieux fer Suédois ! Coup dans l’eau cependant.
Légitimement excédé par toutes ces petites agressions Soviétiques, le Führer ordonne une offensive sur l’ensemble du front. Guderian s’empare des riches ressources de l’Ukraine et pousse vers Dnepropetrovsk, Manstein arrive devant Kiev, solidement défendue, Rundstedt prend Minsk d’assaut et Von Bock perce avec ses blindés à travers la Dvina ! « Comme prévu, l’URSS n’est qu’un sac de pommes de terre pourries qui va s’effondrer en 6 semaines » jubile Keitel.
Le 3 juin 1942, comme pour le contredire, les plaines d’Ukraine prennent feu : le général Joukov lance des milliers de T-34 à l’assaut des avant-gardes de Guderian, après un bombardement meurtrier que la Luftwaffe n’a pas su empêcher. Le succès est mitigé, les panzers allemands s’accrochent et tiennent le terrain, mais est suffisant pour que Joukov annonce la promotion d’un corps blindé, qui devient la deuxième unité blindée de la Garde. Au nord, Koniev amorce par contre un repli. Il fait bien, la Wehrmacht reprend l’offensive : Von Bock enfonce Yeremenko et les panzers isolent Riga, Rundstedt s’empare de Vilna, isolée.
Le GAN et le GAC ont à peine pénétrés en URSS, mais l’objectif principal qui leur avait été assigné a été atteint : Minsk est conquis (+0,25 de production pour l’URSS dès 1942 si Minsk et Kiev sont sous contrôle)
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Au sud, Rommel inflige un sévère revers aux blindés de Joukov, son unité de la Garde est bousculée et déroutée, mais c’est une fois encore à Manstein que revient la mission la plus délicate : prendre Kiev d’assaut ! Pour réussir, le bouillant général utilise les grands moyens : il dirige personnellement l’assaut (HQ support), bombarde sans relâche avec les Stukas puis lance un assaut combiné d’infanterie et de parachutistes ! La ville tombe, le premier grand objectif de Barberousse est atteint (Minsk/Kiev). Reste à présent à franchir le Dnieper…
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Pertes du tour en URSS : 21 BP pour le Reich, 42 BP (et 3 ressources) pour l’URSS
Le front de l’ouest
L’Italie coupe 100.000 tonnes de navires marchands alliés et, soutenue par la Luftwaffe, livre bataille à la Royal Navy au Cap Saint-Vincent : les pertes aériennes anglaises sont lourdes, mais la ligne des convois est maintenue. En Egypte, l’Axe dépend des succès du Japon et ceux-ci sont aléatoires : l’Angleterre parvient à rétablir et maintenir son ravitaillement vers l’Egypte. La Marine Impériale est en effet débordée et consacre l’essentiel de ses moyens dans les batailles de la mer du Corail. Il faut cependant en terminer avec la résistance de Gort en Egypte : l’Italien Balbo débarque pour renforcer Graziani et les troupes allemandes prennent Damiette d’assaut, le Nil est franchi ! Des bombardiers lourds anglais s’attaquent en vain aux puits de pétrole allemands.
La guerre du Pacifique
Les communistes chinois sortent de leur léthargie et prennent Cheng-Tu d’assaut ! Grand bien leur fasse, les usines de la ville sont ravagées et inutilisables avant longtemps. Un corps d’infanterie américaine prend position sur Rabaul, port majeur à partir duquel l’US Navy pourra menacer toutes les lignes de communication Japonaises. Tokyo relève le défi, la bataille de la mer du Corail vient de commencer. Les Marines Nippons débarquent à Lae, en Papouasie, un terrain d’aviation est aussitôt établi, et la Marine Impériale coule l’Atlanta en mer du Corail. L’US Navy surgit à son tour et la bataille s’engage, indécise. Le ravitaillement de Rabaul est cependant coupé et les bombardiers Japonais, venu tout droit de Singapour, matraquent la garnison avec succès cette fois.
L’Armée Impériale s’empare de Brunei, Guam et Yamashita prend le commandement de l’armée de Birmanie, mais les moyens lui font défaut pour pouvoir prendre l’offensive. En Chine, des partisans supplémentaires font leur apparition et prennent le contrôle d’une ressource supplémentaire. Le Japon subit de plein fouet les conséquences d’une guerre coûteuse contre l’URSS, qui l’a empêché d’achever la Chine et l’a obligé de lancer l’offensive contre les puissances occidentales avec des préparatifs incomplets. Mais le Samouraï se moque de l’adversité, plus difficile est la victoire, plus belle elle sera.
La mer du Corail
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RoyalQuiche
21/11/2009, 00h16
Ce n'est peut-être qu'une impression, mais tu n'aurais pas lancé Barbarossa et la Guerre du Pacifique avec un peu de précipitation ?
Vaut-il mieux une attaque surprise mal préparée, ou une attaque bien préparée mais attendue ?
Vaste et pertinente question, je suppose que chacun se fera son opinion :o:. Il faut cependant garder à l’esprit qu’il y avait alors beaucoup d’inconnues (l’initiative, le temps etc, etc, si j’avais pu prédire cela, j’aurais agis autrement, c’est certain :mrgreen:)
Le problème Japonais
Suite à l’embargo pétrolier, j’ai précipité la déclaration de guerre aux Indes Néerlandaises, en novembre/décembre 1941, ce qui a fait exploser l’us entry. Dès janvier/février, je risquais une déclaration de guerre Américaine, j’ai pris les devants pour bénéficier de la surprise et d’une supercombinée contre Angleterre/USA simultanément, ce qui a permis le succès total de l’assaut initial. Avec les Indes Néerlandaises, l’engrenage était lancé, Pearl Harbourg devait suivre, pas de regrets de ce côté.
Pouvais-je par contre retarder l’assaut contre les Indes Néerlandaises même et donc contre USA/Angleterre ? Cela m’aurait permis de mieux me préparer (renforcer les Marshalls notamment), mais j’avais un problème avec le temps. Novembre/Décembre pour les Indes Néerlandaises, c’était faisable. Janvier/Février, c’était 60% d’avoir des tempêtes dans la région :?:, pas moyen d’envahir, je me retrouvais en mars/avril avec le risque d’être attaqué par les USA et obligé de réagir dans des conditions plus difficiles (Indes Néerlandais, USA, Angleterre, trop à faire même avec une supercombinée). Le destin a voulu qu’il pleuve dans la région en janvier/février, un assaut à ce moment aurait été possible, mais c’était un pari hasardeux et cette fois je n’ai pas voulu le prendre :loose:(en mars/avril, un risque de tempête subsistait, je ne pouvais pas m’engager dans la guerre du pacifique sans avoir assuré mes réserves de pétrole !). Le temps et le pétrole m’ont poussé à agir.
Là où je pense par contre avoir commis une lourde erreur, c’est contre l’URSS. J’aurais du signer la paix dès la fin de mai/juin 1941, ce qui m’aurait donné un précieux tour supplémentaire pour planifier la guerre du pacifique, mais je n’ai pas su me résoudre à la perte de la Corée, que j’espérais pouvoir reprendre. A ma décharge, je pensais avoir encore du temps, de nombreuses options américaines dangereuses n’avaient pas encore été jouées (les USA ont réalisé leur première augmentation de production fin juin 1941 justement, à priori cela me laissait encore quelques tours de paix, mais tout s’est trop vite emballé par la suite.
La guerre du Pacifique éclate, il faut faire avec les moyens du bord (Marshalls non protégées, aucune réserve en Chine etc). Une nouvelle erreur : la conquête de Ceylan. Logique si je pousse ensuite sur l’Inde, mais cela demanderait un investissement trop lourd, j’aurais mieux fais de renforcer le pacifique ou même de convoyer des troupes en Chine, contre les partisans.
Objectifs actuels
D’une part, sécuriser le problème chinois, à savoir anéantir ces partisans qui occupent deux précieuses ressources et maintenir la fermeture de la route de Birmanie. D’autre part, couper le ravitaillement vers l’Egypte afin de permettre à l’Axe en Europe d’enfin en terminer avec ce front qui mobilise toujours des moyens bien trop importants. Et enfin, conquérir Rabaul, je ne peux laisser ce port majeur entre les mains des Américains. J’espère en outre pousser l’US Navy à l’affrontement avant qu’il ne soit trop tard : Rabaul sera mon Guadalcanal et la mer du Corail le lieu où, comme Yamamoto jadis, j’espère infliger un sérieux revers à l’US Navy !
Le problème de Barberousse
Là aussi, la question se pose : ai-je précipité l’invasion ? Si j’avais gagné l’initiative en mai/juin 1942, la question ne se poserait même pas, les rives du Dnieper auraient été atteintes dans la foulée. Le pari a échoué, malheureusement, et ce fut lourd de conséquences, mais même ainsi l’attaque précoce fut-elle une erreur ? Pas certain. J’ai pu bénéficier d’une précieuse impulse de beau temps supplémentaire et le seul retard observé avec cette attaque précoce fut au nord, avec Riga qui tient bon et qui retarde la conquête des Etats-Baltes. Mes objectifs au nord étaient cependant et restent limités, idem pour le centre, ce n’est pas un Barberousse 1941 et je dois conserver trop de moyens en Espagne et en Egypte.
Le succès ou non de l’invasion reste à déterminer. Mes objectifs n’ont pas changé. Au nord, je vise l’isolement de Léningrad, au centre Smolensk, probablement pas au-delà, c’est donc au sud que tout reste à faire : franchir le Dnieper et conquérir les grandes villes de Dnepropetrovsk, Kharkov, Stalino et si possible Kursk. Des usines, des ressources et au passage casser les reins de l’Armée Rouge. A voir pour la suite, sans oublier un élément majeur : poursuivre la bataille de l’Atlantique de façon soutenue. L’Angleterre peine à produire désormais à son maximum, alors le soutien à l’URSS n’en parlons pas, il ne devrait pas atteindre les 7-8 BP que j’expédiais tous les tours lors de ma précédente partie avec les Alliés.
Une situation très tendue des deux côtés.
Pour le front Pacifique, il me semble que tu as tout intérêt à écraser les armées chinoises au plus vite, au vu des problèmes qu'elles ont posé au Japon durant la partie précédente, au moment où l'intensité des batailles américo-japonaise étaient à son paroxysme. L'intervention de l'URSS à fait très mal, dans la préparation de la guerre du Pacifique pour le Japon.
Pour l'URSS, je peux me tromper, mais j'ai l'impression que la défense mise en place par l'armée rouge, notamment au Sud, est bien maigre...
Bonne chance pour la suite! :clap:
Merci, je vais en avoir besoin, mais la situation reste sous contrôle :o:
Pour l'URSS, je peux me tromper, mais j'ai l'impression que la défense mise en place par l'armée rouge, notamment au Sud, est bien maigre...
Une remarque au passage: je prends désormais mes photos en fin de tour et non plus en début de tour après le placement des renforts. La photo montre donc la situation de l'Armée Rouge après un long tour d'été, mais avant le placement des renforts ;) (qui apparaissent dans les villes et pas directement sur la ligne de front naturellement :yeux:)
Juillet / Août 1942. Sie Kommen !
Le front de l’Est
L’OKW lance le plan Bleu : Manstein doit dépasser le Dniepr (offensive chit joué). L’assaut commence cependant fort mal : les Stukas ne trouvent aucune de leurs cibles (mais où est donc le gros Göring ?) et l’assaut contre Dnepropetrovsk échoue complètement. Plus au sud de la ville, ainsi qu’au nord, le succès est cependant au rendez-vous : Timoshenko est anéanti, deux corps Soviétiques sont isolés. Le GAC, faute de soutien aérien, se contente d’avancer sans combattre. Le GAN, lui, s’empare de Riga. Le camarade Staline riposte avec un nouveau raid spectaculaire sur Ploesti : les 2/3 de la production sont en flammes :loose:. L’Armée Rouge, elle, se retranche derrière la Dvina et le Dniepr.
Le GAS lance alors une opération de nettoyage de la riche occidentale du Dniepr, toujours partiellement occupée par les Soviétiques et c’est le GAN qui bénéficie du soutien massif de la Luftwaffe pour franchir la Dvina : l’aviation Soviétique intervient, mais est massacrée. Les panzers percent et exploitent, ils atteignent le fleuve suivant, le Velikaya, devant Pskov. Privé de ses blindés, le GAC atteint néanmoins les faubourgs de Vitebsk et subit de plein fouet une contre-offensive Soviétique de grande envergure : le général Koniev lance ses blindés et repousse l’infanterie allemande. La 7° unité de la Garde nait de cet engagement victorieux. Plus au nord, Yeremenko évacue l’Estonie, à l’exception d’une petite garnison laissée à Talin.
La pluie s’abat alors sur l’ensemble du front au nord de Kiev (double 10 au temps, 1/100 que cela arrive, pffff :enerve:) et va ralentir les opérations. Seul le GAS, mené par Rommel, va poursuivre l’offensive… Et subir une lourde défaite au nord de Dnepropetrovsk. L’obstacle du Dniepr est décidemment plus que sérieux : le franchir était le deuxième grand objectif de Barberousse et ce dernier n’est toujours pas atteint. Les usines Soviétiques sont évacué sans crainte aucune vers la Sibérie et la flotte Russe se paye le luxe d’une sortie en Baltique, sans trouver cependant les convois allemands qui transportent le précieux fer de Suède.
Le retour du beau temps permet au GAN de s’emparer de Talin, achevant ainsi la conquête des Etats Baltes, alors que le GAC perce au sud de Vitebsk. Mais sur le front principal, le Groupe d’Armée Sud, rencontre encore et toujours les mêmes problèmes : si le Dniepr est franchi au niveau de Kiev et au sud de Dnepropetrovk, les Soviétiques tiennent toujours le reste de la rive…
http://img193.imageshack.us/img193/5672/ursss0842.jpg (http://img193.imageshack.us/i/ursss0842.jpg/)
Bien que plus faiblement doté, le GAC a quasi atteint ses objectifs. Pour le GAN, l’isolement de Léningrad semble encore fort loin…
http://img171.imageshack.us/img171/9085/urssn0842.jpg (http://img171.imageshack.us/i/urssn0842.jpg/)
Le front de l’ouest
L’Italie frappe la première, coulant 250.000 tonnes de navires alliés et le Bonaventure au Cap Saint-Vincent : l’armada Anglo-Saxonne quitte alors ses bases, mais, surprise, que fait-elle donc ? Elle ne vogue pas vers le Maroc, mais s’arrête au large des côtes occidentales de France ! A Berlin et à Rome tous les voyants passent aussitôt au rouge : Sie Kommen ! Des troupes prennent le train et sont expédiées hâtivement en France et dans le nord de l’Espagne, l’OKW ne sait où les Alliés vont débarquer. Des bombardiers Italiens quittent même l’Egypte pour l’ouest : la forteresse Europe est menacée ! Sie Kommen !
Et ils arrivent effectivement : l’aviation alliée frappe partout en France, mais ans réel succès, puis les vagues d’assaut déferlent au milieu des vagues. Les Marines Américains prennent péniblement Saint-Nazaire, les Anglais d’Alexander ne laissent aucune chance à la garnison de Lorient ( « 20 » aux dés, le deuxième de la partie). Des blindés sont prêts à se ruer dès que les ports auront été libérés : Staline voulait un deuxième front, il l’a.
La Wehrmacht fait affluer des renforts, notamment des blindés venus d’Espagne, le Maréchal Badoglio, commandant en chef des forces de l’Axe en France, colmate la brèche et assure que la situation est parfaitement sous contrôle. Cavallero le rejoint cependant, la défense de la forteresse Europe dépend grandement des généraux Italiens. Sage décision de l’OKW : cela gonfle en effet le moral des soldats Italiens et ceux-ci accueillent l’assaut des blindés américains à peine débarqués par un déluge de feu, de fer et d’acier. Les Yankees sont repoussés, Mussolini triomphe, qui ira encore se moquer de la valeur du fantassin Italien ? Les Anglais d’Alexander, eux, prennent cependant Brest d’assaut, la garnison allemande est écrasée sous le feu des gros cuirassés alliés.
http://img515.imageshack.us/img515/8592/france0842.jpg (http://img515.imageshack.us/i/france0842.jpg/)
En Egypte, une offensive Germano-Italienne permet enfin d’arriver à proximité du Canal, qui est désormais fermé pour les Alliés (il était temps…), mais la Wehrmacht subit un désastre devant Suez, perdant ses blindés dans la bataille : avec le nouveau front à l’ouest, il est peu probable que ces troupes soient remplacées. L’infanterie pourra t elle achever seule la conquête de l’Egypte ? Le ravitaillement anglais passe toujours, la Royal Navy a mobilisé deux grands porte-avions, deux cuirassés et plusieurs croiseurs dans l’océan Indien pour maintenir celui-ci…
La guerre du Pacifique
La Marine Impériale coupe le ravitaillement américain de Rabaul puis bombarde l’île avec succès : les Marines s’élancent pour achever le travail ! Trois heures plus tard, faute de recevoir la moindre nouvelle, l’Amiral Japonais envoi quelques avions en mission de reconnaissance. Ils reviennent avec de sombres nouvelles : les corps d’invasion n’existent plus, la garnison tient toujours. Tokyo ne s’explique toujours pas ce qui a bien pu mal tourner, une arme nouvelle peut-être :loose:?
Et comme pour narguer l’Empire du Soleil Levant, l’US Navy vient rétablir le ravitaillement de Rabaul et se joue avec habileté des Amiraux Japonais. En Birmanie, Lord Mountbatten sécurise partiellement la route de Birmanie : le pétrole Birman peut à nouveau être expédié vers la Chine, les Nationalistes respirent. Acculé, le Japon ne perd cependant pas son calme : Lae, en Papouasie, est renforcée et Yamamoto débarque en Chine avec des renforts : les partisans sont traqués et massacrés sans la moindre pitié. Cette sérénité finit par payer : la Marine Impériale surprend l’US Navy en mer du Corail ! L’aviation Américaine est complètement battue et les bombes pleuvent : le Wasp et l’Enterprise sont envoyés par le fond :clap:! Le Japon a eu sa bataille navale, deux porte-avions Américains en ont fait les frais. Le désastre de Rabaul est éclipsé par cette indiscutable victoire : la guerre du Pacifique ne fait que commencer, le Samouraï est patient :chicos:!
Conclusions du tour
L’URSS a perdu 55 BP, le Reich 36 (dont les 15 de l’offensive chit). Rien à redire, ce n’est pas Barbarossa 1941 et cela se voit : le Dniepr tient toujours. Les Alliés ont déjà débarqués en France, mais leurs moyens sont limités, notamment au niveau aérien. Reste que cela va détourner de l’Est tous mes renforts, ce qui est probablement l’objectif. Suez tient toujours, cette épine dans mon pied est réellement tenace, mais la victoire de la mer du Corail devrait me permettre de distraire quelques forces supplémentaires vers l’océan Indien.
A suivre, le tour suivant est joué et il faut assez long et animé…
lemarseillais
23/11/2009, 09h48
Qu'est ce que c'est nul ! :o:
Heureusement qu'il y a le joueur allié pour relever le niveau de la partie
courage petit danton... c'est pas gagné :non:
RoyalQuiche
23/11/2009, 12h01
Le joueur Allié me semble jouer intelligemment, plaçant des "bouchons" pour gagner du temps, et frappant peu mais toujours là où ça fait mal ... avec la montée en puissance de l'URSS et des USA dans le tours qui viennent, il va falloir s'accrocher !
Courage Généralissime !
Je sens venir la Bérézina... :siffle2:
lemarseillais
23/11/2009, 12h55
Qui en est surpris ici ? Pas moi puisque c'est Danton qui joue l'axe :chicos:
RoyalQuiche
23/11/2009, 14h33
Qui en est surpris ici ? Pas moi puisque c'est Danton qui joue l'axe :chicos:
On nous fait parvenir à l'instant que les troupes allemandes stationnées dans le Sud de la France auraient reçu comme consigne de passer tous les habitants de la cité Phocéenne par le fil de leur baïonnette ... :mrgreen:
L'optimisme règne je vois :o:
Le monde sera bientôt mien, c'est juste une question de temps :chicos:
Les Alliés en Bretagne, c'est comme un marseillais sur un terrain de football: beaucoup de bruit, certes, mais totalement inutile :o:
Pour résumer en une phrase, je dirais "C'est Dieppe plutôt qu'Overlord"
1942, c'est trop tôt, les Alliés ne prendront pas la France, ils n'en ont pas (encore) les moyens. Par contre, ils détournent du front de l'est quantités de troupes et de l'aviation, et cela c'est intolérable :enerve:
Je vais intensifier la bataille de l'Atltantique comme mesure de représailles :tongue:
RoyalQuiche
30/11/2009, 19h20
Notre Généralissime aurait-il été malencontreusement victime d'un "accident" aérien, comme feu l'Amiral Yamamoto ?
Notre Généralissime aurait-il été malencontreusement victime d'un "accident" aérien, comme feu l'Amiral Yamamoto ?
Non, il a juste perdu la guerre... :o:
Il n'ose pas nous l'avouer! :mrgreen:
RoyalQuiche
30/11/2009, 19h42
Non, il a juste perdu la guerre... :o:
Il n'ose pas nous l'avouer! :mrgreen:
:chicos:
Et là je n'imagine même pas la réaction de notre Marseillais !!! :lol:
lemarseillais
30/11/2009, 19h45
:clap::banana::jumpy::angel: ..................*tousse*............*reprend son calme*..........je l'avais dit, il est nul :o:
Le Danton n'abandonne jamais :o: (prend exemple, marseillais ingrat :tongue:)
Il y a juste un petit retard pour des raisons techniques :chicos:
La suite sous peu, vous verrez, tout va très bien et le Monde sera bientôt mien :o: (j'aimarais juste que les Etats-Unis et l'URSS cessent de produire comme des malades, leur production d'enfer devient complètement indigeste :?:)
lemarseillais
01/12/2009, 00h36
Le Danton n'abandonne jamais :o: (prend exemple, marseillais ingrat :tongue:)
Je n'ai jamais abandonné :o:
Septembre / Octobre 1942. L’URSS dans les cordes
L’OKW décide de profiter du beau temps et de la position précaire de l’Armée Rouge pour frapper un grand coup : l’opération Tannenberg est soigneusement mise au point à Berlin. L’objectif est très ambitieux : une première percée au nord de Kiev, où la Wehrmacht a déjà franchi le Dniepr, suivie d’une exploitation des blindés vers le sud et une percée au nord de Dnepropetrovsk, suivie elle aussi d’une exploitation de blindés vers le nord cette fois. Au final, 4 corps d’armée Soviétiques devraient se retrouver isolés, toute la rive est du Dniepr sera quasi nettoyée et il sera enfin temps de passer au-delà.
Les Stukas donnent le signal et bombardent avec succès les positions Russes : 2 des futurs corps isolés sont déjà désorganisés, leur destruction ne sera plus qu’une formalité une fois la tenaille refermée sur eux. La pince nord s’abat la première : les panzers anéantissent 2 corps ennemis puis foncent plein sud. Reste à franchir le fleuve pour la pince sud et les grands moyens sont employés : de l’artillerie, des blindés, un largage de parachutistes et un massif soutien aérien : l’opération Tannenberg s’annonce comme un succès particulièrement brillant. C’est à ce moment que des centaines d’avions Soviétiques viennent jouer les troubles fêtes…
« Il faut attaquer, l’heure est venue, les parachutistes ont été largués ! » « Mais… Où sont les Stukas qui devaient soutenir l’offensive ? Il y a un fleuve à traverser ! » « Ils… Ils ont rencontrés quelques ennuis techniques, du genre Bolchevique enragé, et ont du faire demi tour… Enfin, les survivants naturellement… » « Et que font là haut ces Sturmoviks ? La traversée sera un carnage si la Luftwaffe ne les balaye pas, où sont passés nos B-109 ? » « Eux aussi ont du faire demi tour »
Le grain de sable dans le plan superbe, la Luftwaffe a été atomisée, non seulement ses bombardiers ont du faire demi tour, mais en plus les bombardiers ennemis, eux, sont bien passés et soutiennent les défenseurs retranchés derrière le fleuve. Qu’à cela ne tienne, l’assaut est maintenu et, avec de lourdes pertes, la Wehrmacht traverse le fleuve et rejoint les parachutistes épuisés. Mais l’ennemi recule en bon ordre et tout exploitation est impossible : aucun corps Soviétique n’est isolé, l’opération Tannenberg est un échec époustouflant, la rive est du Dnieper reste sous contrôle ennemi. A Berlin, une question prédomine : mais où se trouve le gros Göring ?
Au centre, l’OKW lance l’opération Hildegarde. Celle-ci est moins ambitieuse que la précédente, mais d’une réelle importance pour l’ensemble du front : une bonne moitié du GAN de Von Bock passe en effet sous le contrôle du GAC de Rundstedt, qui lance une puissante offensive blindée. L’aviation Soviétique intervient à nouveau, abat les chasseurs de la Luftwaffe puis bombarde les positions de la Wehrmacht. Mais où est donc le gros Göring ? Les panzers emportent néanmoins la décision et se rue vers l’est : les faubourgs de Smolensk sont atteint !
La riposte Soviétique ne se fait pas attendre : les avant-gardes du Reich sont bombardés au nord de Smolensk ( mais que fait la Luftwaffe ?) puis Koniev lance une contre-offensive d’envergure. La 2° unité blindée de la Garde est taillée en pièce, la Wehrmacht a tenu bon. Au sud, prudent, Joukov reste sur la défensive.
Des tempêtes éclatent sur une bonne partie de l’URSS (pluie pour le sud), Berlin en profite pour lancer ses sous-marins et sa flotte à l’assaut des convois alliés, le camarade Staline riposte avec un nouveau raid sur Ploesti : malgré le temps pluvieux, les bombardiers Soviétiques déchainent l’enfer, toute la production de pétrole est anéantie, 1/3 des puits sont même fort endommagés. Mais où est donc le gros Göring ?
Le retour du beau temps permet à la Wehrmacht de repartir en avant : le Groupe d’Armée Sud obtient la chute de Dnepropetrovsk, puis s’empare de Berdiansk et Kharkov ! Le Groupe d’Armée Centre de Rundstedt et Kesselring prend Smolensk et Vitebsk d’assaut, Barbarossa se déroule fort bien malgré le seçond front à l’ouest. L’URSS contre-attaque alors sur les points faibles du front allemand : Yeremenko attaque en Estonie et, surtout, une masse de blindés est rassemblée pour une offensive au nord de Kiev, qui vise à enfermer une partie du GAS. Les deux offensives se soldent par de sanglants échecs, la Wehrmacht avance encore au sud et isole Stalino. Le fruit pourri Soviétique s’effondrerait-il ?
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Le front de l’ouest
Les aviations Germano-Italiennes se lancent en mer et tentent de couper le ravitaillement allié en France : 100.000 tonnes de convois et l’Edinburgh sont coulés, le résultat est maigre mais suffisant pour créer la panique chez les Alliés Occidentaux, qui redoutent fortement de voir leurs armées en France isolées. Tous les convois à destination de l’URSS sont abandonnés purement et simplement, le camarade Staline devra se débrouiller seul, et les flottes escortent massivement les convois Anglo-Saxons. Malgré cela, les U-Boats expédient 200.000 tonnes de navires marchands par le fond.
Les tempêtes s’abattent sur l’Europe et l’Axe lance tous ses moyens pour couper les lignes alliées : la flotte Italienne contraint la Royal Navy à une fuite humiliante au large du Maroc, les sous-marins et la Kriegsmarine coulent 350.000 tonnes de navires marchands alliés et le Calcutta ! Le ravitaillement en France est cependant maintenu, mais l’OKW décide de passer à la contre-offensive : les troupes Américaines sont pulvérisées à Saint-Nazaire et, incapables de retraiter, entièrement détruites. Des renforts débarquent cependant et le port change à nouveau de main, capturé par une unité de Marines. Badoglio relance l’assaut, bien décidé à rejeter les Yankees à la mer, mais les Marines tiennent bons et se payent le luxe de contre-attaquer avec succès : la tête de pont alliée en Bretagne n’a pu être éradiquée, mais elle est contenue.
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En Egypte, un nouvel assaut contre Suez se solde par un résultat indécis et à Berlin on s’impatiente de plus en plus : aucun renfort allié n’est arrivé en Egypte depuis des mois, au contraire une partie des troupes britanniques ont été réorientée vers l’Inde, et pourtant l’Afrikakorps n’arrive pas à achever la campagne de méditerranée. Un coup de pouce arrive enfin de l’allié Japonais, qui coupe le ravitaillement anglais en Egypte et les Italiens en profitent aussitôt pour relancer l’offensive : le Nil est franchi, le Caire est pris d’assaut ! Cette fois, la campagne d’Egypte touche enfin à sa fin.
La guerre du Pacifique
Le Japon va consacrer l’ensemble de ses moyens sur deux axes d’offensive. Le premier est l’océan Indien, où Tokyo n’a qu’un objectif : couper le ravitaillement anglais vers l’Egypte, afin de supprimer enfin cette épine du robuste pied germanique. Deux porte-avions sont mobilisés pour contrer la Royal Navy, qui en aligne autant. Après de nombreux échecs de détection, la Marine Impériale obtient enfin le succès tant espéré : l’Ark Royal est endommagé et le ravitaillement anglais coupé. La chute du Caire suit rapidement.
Mais le gros de la flotte se consacre aux combats dans la mer du Corail : 5 porte-avions soutenus par l’aviation basée à Truk se heurtent à 4 porte-avions de l’US Navy soutenus par l’aviation de Kwajalein. Le résultat est indécis et Tokyo décide de renforcer ses positions et ses bases aériennes dans cette zone stratégique : l’Armée Impériale s’empare de Guadalcanal, Port Moresby et Wewak. Toute la Papouasie est conquise ! Des troupes débarquent à l’ouest de Rabaul et les bombardiers pilonnent la garnison Américaine, qui tient bon mais se trouve isolée : l’US Navy n’ose plus s’aventurer en mer du Corail et toutes les tentatives d’envois de convois rapides pour ravitailler l’île se solde par des échecs (150.000 tonnes de navires américains coulés). Rabaul tient toujours, mais l’étau ne cesse de resserrer !
Dans les îles Marshalls, les Marines de l’oncle Sam se vengent : Eniwetok et Majuro sont pris d’assaut, tous ces archipels sont perdus pour le Japon.
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Conclusions du tour. Pertes à l’Est : 14 BP pour le Reich et… 57 BP pour l’URSS ! Ce tour est un désastre pour l’URSS, le plus meurtrier depuis le lancement de Barbarossa et de nombreuses villes sont tombées. Si le Groupe d’Armée Nord est désormais sur la défensive, les Groupes d’Armée Centre et Sud ont encore de belles perspectives devant eux. A l’ouest, comme prévu, les Occidentaux sont contenu : ils n’ont pas la maîtrise aérienne, et je leur conteste toujours les mers, leurs convois ont été mis à rude épreuve. Dans le Pacifique, ma décision de consacrer le gros de mes forces en mer du Corail semble payer : Rabaul tient toujours, mais ma position est de plus en plus solide, de nombreuses bases proches ont été conquises. Un dernier effort…
Novembre / Décembre 1942. La forteresse Europe rétablie
Le Groupe d’Armée Nord de Von Bock remporte une victoire en Estonie puis se place sur la défensive : l’OKH a envoyé une grande partie des troupes rejoindre le Groupe d’Armée Centre. Et celui-ci, sous la pluie, relance l’offensive et perce au nord de Smolensk puis, avec le retour du beau temps, Rundstedt lance ses blindés plus loin encore vers l’est : Koniev est isolé. Ce succès inespéré permet à l’OKH de ressortir les plans de l’Opération Typhon.
Mais le 6 décembre, Vatutin contre-attaque et les blindés Soviétiques obtiennent une percée, deux corps allemands sont encerclés, une unité blindée de la Garde est promue. La neige vient alors compliquer la riposte du GAC, qui obtient de jolis succès mais n’arrive pas à briser l’étau : matraqués par les Sturmoviks, les troupes allemandes isolées sont anéanties par Vatutin, une unité d’infanterie de la Garde est promue.
Le rêve Moscovite s’éloigne
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Le Groupe d’Armée Sud repart lui aussi à l’assaut de l’ogre Soviétique : Joukov est isolé et massacré, Stalino est laissée de côté pour le moment, mais Manstein prend Rostov sous la neige : la porte du Caucase est tombée ! En face, l’Armée Rouge, décimée par les grandes offensives de septembre-octobre, n’a pas grand chose à opposer, aussi le camarade Staline confie la riposte à la flotte et à l’aviation. Les cuirassés Marat et Octobre Révolution quittent leur base de Léningrad et font régner la terreur en Baltique : 200.000 tonnes de navires marchands allemands sont coulés. Du Caucase décollent des centaines de bombardiers, mais les complications cette fois ne manquent pas : il neige et des centaines de chasseurs Italiens veillent sur les précieux puits de pétrole de Ploesti, le camarade Staline ordonne alors de mener le raid de nuit, ce qui diminue l’efficacité des chasseurs Italiens, mais aussi des bombardiers Soviétiques. Une batterie entière de DCA protège en outre désormais le site Roumain, l’Axe peut dormir en paix. A la surprise générale, neige, raid de nuit, chasseurs et DCA ne suffiront pas : 1/3 de la production est en flammes. A Berlin, c’est la stupeur et le gros Göring est activement recherché…
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Le front de l’ouest
L’OKW expédie de nouveaux renforts en France, bien décidé à rejeter les Alliés à la mer, mais une surprise de taille attend le Reich : les troupes Anglo-Saxonnes évacuent ! Seule une unité de milice reste sur place et est aussitôt taillée en pièce. « Ils sont venus, ils ont vus et ils sont repartis piteusement » triomphent les généraux Italiens qui sont à la tête du commandement des troupes de l’Axe en France. Rome est à l’honneur car au même moment, l’infanterie Italienne entre victorieuse dans Suez, achevant enfin la conquête de l’Egypte. Tombé dès juin 1940, mais reperdu en mars 1941, il aura fallu attendre décembre 1942 pour que Suez retombe enfin aux mains de l’Axe : une campagne beaucoup trop longue alors que Gibraltar était tombé depuis longtemps.
D’importants moyens sont déployés par les Alliés pour couvrir leurs convois et renforcer leur potentiel dans leur lutte contre les sous-marins. Les Italiens rapatrient Graziani en France et décident de tester le nouveau dispositif allié : la flotte et les sous-marins s’élancent. Sans résultat cependant.
La guerre du Pacifique
Des milliers de bombardiers matraquent Rabaul et finissent par désorganiser la garnison US : soutenues par les cuirassés et un assaut parachutiste, les troupes Nippones lancent l’assaut et s’emparent enfin du grand port, la campagne en mer du Corail est terminée et se solde par un succès complet.
Tokyo tourne alors son regard vers d’autres horizons et l’ennemi séculaire Chinois. Les usines de Lan-Chow sont bombardées, des renforts débarquent en Chine et, surtout, en Birmanie, où Yamashita lance l’opération Sai-Ho : les troupes Indiennes sont mises en déroute, le fleuve Irrawaddy est franchi, la route de Birmanie est complètement coupée. La Chine est à nouveau seule face à son destin…
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Les partisans en Chine occupent une ressource.
Conclusion du tour : tout baigne pour l’Axe. La forteresse Europe est plus solide que jamais, l’Egypte est enfin sous contrôle et les Alliés ont évacués la France, l’URSS a tremblé et si les Groupes d’Armée Nord et Centre sont sur la défensive, le Groupe d’Armée Sud reste toujours sur l’offensive. Dans le Pacifique, la campagne de mer du Corail est terminée et la Chine est à nouveau isolée.
Janvier / Février 1943. La bataille de l’Atlantique reprend
5 impulses seulement, temps exécrable.
La guerre en Europe
Un blizzard s’abat sur l’URSS, le Reich reste sur la défensive, mais lance sa flotte et ses sous-marins à l’assaut des convois alliés : 250.000 tonnes de navires marchands sont coulés, ainsi que le Libertad, un croiseur Espagnol qui a jadis rallié l’Angleterre. Les Alliés ripostent, coulant le Pinguin, mais seuls les Soviétiques obtiennent de réels succès : leur flotte de Baltique disperse les croiseurs allemands et coule 100.000 tonnes de convois. Des renforts partent pour l’Espagne et l’URSS, où Manstein s’empare de Stalino sous la neige.
La guerre du Pacifique
Des renforts nippons débarquent en Chine, les usines de Lan-Chow sont à nouveau bombardées et l’US Navy est chassées des Mariannes, perdant le Phoenix et le Minneapolis : le périmètre défensif Japonais se met en place.
Un deuxième partisan apparaît en Chine, privant Tokyo d’une ressource supplémentaire.
Les productions Américaines et Soviétiques explosent littéralement, l’Axe s’interroge : la balance risque de pencher de plus en plus du côté des Alliés, qui vont désormais produire comme des malades. Une solution pour réduire un peu la production Soviétique : s’emparer de Léningrad, Moscou ou Stalingrad. L’OKH doit cependant admettre que cela n’est guère réaliste, l’heure est peut-être venue de passer sur la défensive généralisée à l’est… A l’ouest, une seule solution : frapper sans relâche les convois alliés. Mais ceux-ci ont été considérablement protégés, le temps béni du tir aux pigeons semble révolu. L’avenir est incertain…
Défensive ou pas en URSS, là est question :o:. Je suis plutôt offensif, donc la tentation pourrait bien venir me narguer. Je dois cependant prendre en compte que la production des alliés est désormais vraiment très importante, les Soviétiques vont facilement remplacer leurs pertes alors que de mon côté je dois toujours les amener par train et les diviser entre front est et front ouest. Se mettre trop tôt sur la défensive est une erreur, mais trop tard risque d’être pire encore (front pulvérisé sans espoir de rétablissement avant un repli massif, encerclements etc etc)
J’ai pu ramener quelques troupes de l’ouest, mais pas tant que cela : les Occidentaux ont évacué la France, ils n’ont pas été rejetés à la mer avec pertes et fracas. Les troupes, considérablement renforcées, sont donc prêtes à l’emploi en Angleterre et je m’attends à un nouveau débarquement massif dès l’été : Espagne, France ?
Ci-dessous 2 screens que je viens de prendre, les renforts de mars/avril ont été placés, mais le tour n’a pas encore commencé :
http://img46.imageshack.us/img46/251/urssnord0343.jpg (http://img46.imageshack.us/i/urssnord0343.jpg/)
http://img36.imageshack.us/img36/849/ursssud0343.jpg (http://img36.imageshack.us/i/ursssud0343.jpg/)
Au final, cela nous donne ceci sur le front de l’est :
- Le GAN est constitué de 12 unités terrestres et 4 d’aviation, contre 12 unités terrestres Soviétiques, mais pas d’aviation.
- Le GAC, c’est 13 terrestres et 7 aériennes contre 14 et 6.
- Le GAS, le plus important, c’est 27 terrestres et 14 aériennes contre 31 terrestres et 12 aériennes.
L’équilibre n’est pas aussi flagrant que les chiffres le laissent penser, les Soviétiques ont une proportion de troupes de faible qualité (milices, garnisons) bien plus importante que l’Axe, qui aligne en outre 14 unités blindées ou mécanisées et 3 unités de parachutistes contre seulement 6 unités blindées ou mécanisées. Je garde donc l’avantage pour le moment, suffisamment pour continuer l’offensive ?
En France et en Espagne, j’aligne 25 unités terrestres et 10 aériennes, auxquelles s’ajoutent 14 unités terrestres Italiennes et 8 aériennes, mais la qualité n’est pas du tout la même que sur le front de l’est : quasi 50% des troupes sont de faible valeur (milices, garnisons). J’ai des réserves en Allemagne (les renforts du tour) et l’Afrikakorps à rapatrier, plus naturellement quelques troupes de garnison dans les Balakans.
Priorité à l’offensive à l’est pour tenter de réduire la production Soviétique (Léningrad ou Stalingrad me semblent plus à portée que Moscou) ou priorité au front de l’ouest pour repousser l’invasion d’été des alliés ?
Priorité à l'invasion de l'URSS, aller le plus loin possible en restant prudent et humble dans ses ambitions. Car comme tu le dis, le retour de baton peut être terrible, de ce qu'on a vu dans le précédent AAR sur le jeu.
Mais ce n'est qu'un avis exterieur d'un gars n'ayant rien à perdre. lol
Il me semble que le coup de poker serait quand même d'envoyer tous les renforts en URSS, et tenter si possible d'assurer la prise d'au moins deux des 3 grands villes. Non?
Maurice Morisson
06/12/2009, 15h54
A mon avis, tu as perdu la guerre en Mandchourie, "sur le principe", je suis convaincu qu'à partir du moment ou l'URSS allait se lancer à l'attaque là bas il fallait renoncer au Pacifique pour se recentrer sur ce front...
Tu ne peux pas essayer d'entrer en Crimée? Je ne sais pas ce qui se cache dans cette grosse pile à Sébastopol mais si ce n'est pas trop "lourd", ça pourrait peut être te permettre de relâcher la pression sur Ploesti en privant d'aérodrome/faisant fuir les bombardiers soviétiques?
A mon avis, tu as perdu la guerre en Mandchourie, "sur le principe", je suis convaincu qu'à partir du moment ou l'URSS allait se lancer à l'attaque là bas il fallait renoncer au Pacifique pour se recentrer sur ce front...
Je crois qu'à l'époque le gros soucis c'était que le Japon avait besoin de partir à la conquête de ressources, genre pétrole. Non?
Au fait, est il impossible à présent pour le Japon de blinder ses positions dans le Pacifique, de mettre le paquet pour supprimer la Chine et ouvrir un front contre URSS, histoire de laisser une chance à l'Allemagne? Je vois pas l'interet pour le Japon de continuer à s'éttendre dans le Pacifique si l'Allemagne finit par sombrer face à URSS.
Maurice Morisson
06/12/2009, 18h47
Je crois qu'à l'époque le gros soucis c'était que le Japon avait besoin de partir à la conquête de ressources, genre pétrole. Non?
Certes, mais la perte de la Mandchourie et de la Corée n'arrange rien de ce coté, en outre c'est l'embargo sur le pétrole des américains qui a obligé le Japon à la guerre, au moment de ce conflit il n'était pas encore effectif...
Au fait, est il impossible à présent pour le Japon de blinder ses positions dans le Pacifique, de mettre le paquet pour supprimer la Chine et ouvrir un front contre URSS, histoire de laisser une chance à l'Allemagne? Je vois pas l'interet pour le Japon de continuer à s'éttendre dans le Pacifique si l'Allemagne finit par sombrer face à URSS.
En terme de jeu je n'en sais rien, mais j'imagine qu'après l'évènement de paix avec l'URSS ça ne doit plus être possible... Je suis toutefois de ton avis concernant la Chine et le "problème soviético-allemand": à mon avis, à partir du moment ou l'URSS a attaqué le Japon celui-ci ne pouvait (dans tout les cas de figures) plus avoir les ressources suffisantes pour mener à bien la guerre du Pacifique, ne lui restait donc comme solution que de tout mettre en œuvre pour bloquer l'URSS et permettre à l'Allemagne de gagner de son coté; dans un jeu "réaliste" sur la SGM, le rôle du Japon est de se sacrifier pour permettre à l'Allemagne de gagner à l'ouest et dans le cas présent cela ne pouvait (à mon avis) être possible de façon optimale que contre l'URSS.
A mon avis, tu as perdu la guerre en Mandchourie, "sur le principe", je suis convaincu qu'à partir du moment ou l'URSS allait se lancer à l'attaque là bas il fallait renoncer au Pacifique pour se recentrer sur ce front...
Je vous trouve bien pessimiste, général Morisson, est-ce parce que la Chine vous résiste encore et toujours? :mrgreen:
Bon, le problème de la Manchourie est indéniablement crucial, je le reconnais, tout comme j'aurais du bien mieux anticiper cette attaque, pourtant prévisible dès le moment où il était évident que l'URSS serait tranquille pour 1941 (à ma décharge, je tente une stratégie que je n'avais jamais essayé sous WIFFE :honte:), cela m'a coûté cher en terme de ressources et profite désormais à l'URSS :enerve:, mais quand j'ai signé la paix, je n'avais plus trop le choix :loose:
Je crois qu'à l'époque le gros soucis c'était que le Japon avait besoin de partir à la conquête de ressources, genre pétrole. Non?
Parfaitement :o:
Je n'aurais pas signé la paix, l'embargo pétrolier me serait de toute façon tomber dessus et là, plus moyen de continuer le combat contre la seule URSS, faute de pétrole :?:.
En signant la paix, je me suis au moins laissé 1 tour de préparatifs pour lancer la guerre dans le Pacifique et conquérir le précieux pétrole.
Je dois faire avec les moyens du bord :loose:, le Japon ne peut se contenter de lutter contre la Chine ou l'URSS, l'embargo pétrolier lui pend au nez et il n'y a qu'une seule façon de sortir de cette spirale infernale (la guerre :=(:). Je crois d'ailleurs que c'est assez fidèle à l'histoire, le pétrole est le nerf de la guerre...
Tu ne peux pas essayer d'entrer en Crimée? Je ne sais pas ce qui se cache dans cette grosse pile à Sébastopol mais si ce n'est pas trop "lourd", ça pourrait peut être te permettre de relâcher la pression sur Ploesti en privant d'aérodrome/faisant fuir les bombardiers soviétiques?
Tiens, le général Morisson a quitté les rangs de l'Armée Impériale Japonaise pour rejoindre ceux de la Wehrmacht :mrgreen:. J'y songe en effet, il y a là un coup à jouer. La Crimée n'est pas bien difficile à conquérir, Sévastopol excepté, et le Caucase est juste derrière, mais les détroits sont aussi faciles à défendre :?:.
Pour Sévastopol, il n'y a que 2 milices, mais il s'agit d'une forteresse :?:, le reste c'est la flotte de mer noire, qui n'a jamais quitté sa base, et des bombardiers qui ont un rayon d'action suffisant pour agir si nécessaire à partir de l'extrémité occidentale du Caucase. Mais j'ai pris mes précautions et Ploesti devrait enfin être à l'abris (maudit soit le gros Göring :enerve:): une batterie complète de DCA, deux escadrilles de chasseurs Italiens et une escadrille de chasseurs de nuit allemands, cela devrait suffire :mrgreen: (l'URSS n'a pas de chasseurs à long rayon d'action pour escorter un raid sur Ploesti)
Au fait, est il impossible à présent pour le Japon de blinder ses positions dans le Pacifique, de mettre le paquet pour supprimer la Chine et ouvrir un front contre URSS, histoire de laisser une chance à l'Allemagne? Je vois pas l'interet pour le Japon de continuer à s'éttendre dans le Pacifique si l'Allemagne finit par sombrer face à URSS.
C'est possible en effet et l'idée ne me déplait pas :o:. Pour la Chine, je ne cesse d'y penser, mais cela devrait être possible aussi contre l'URSS, il faut que je regarde...
"De l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace" :o:
RoyalQuiche
08/12/2009, 11h00
La situation me semble cependant de plus en plus difficile.
Je pense que notre Généralissime va devoir faire un choix crucial.
Une offensive importante contre l'URSS pour mettre le plus à mal possible ces ressources ? Tenter quelques attaques ciblées pour infliger le plus de pertes possible sans que ça coute trop cher, histoire de maintenir l'équilibre du rapport de force encore quelques temps ?
Il me semble que le GAN serait plus à même de gêner Staline.
Est-il envisageable d'isolée la Carélie, pour capturer Mourmansk et rendre les convois anglo-saxons quasi-impossibles ? (la route de la Perse peut-elle être menacée par les Italiens ?). Y'a-t'il beaucoup de troupes finlandaises mobilisée dans le Grand Nord ? Ces renforts pourraient être utiles contre Léningrad. L'avantage que je vois dans une offensive au Nord, c'est que, outre la prise où l'isolement de Léningrad, ça permettrait de menacer Moscou par le Nord. Sans aller jusqu'à prendre la capitale soviétique, la défense de Moscou a tendance à omnibuler Staline. Avec une bonne force au Nord de la ville, y'a des chances que l'essentiel des renforts russes arrivent là, dans une région plus facile à défendre avec ces marais et ses forêts ... peut-être que dans un 2ème temps, ça laisserait la place à une grosse offensive au sud ... y'a quand même toute une Armée Blindée SS autours de Stalino ... il suffit de voir la différence de valeur entre les corps russes et allemands.
Par contre pour le Japon, je suis plus pessimiste ... :goutte:
La capture de la Nlle-Guinée ne permettrait-elle pas une avance dans les Salomons, histoire d'isoler l'Australie ? Une progression Guadalcanal - Nlle-Calédonie et pourquoi pas Nlle-Zélande ? Il y a assez de réserves pour tenir ces 3 îles ?
Et Wake ?
Peut-être faut-il anéantir le plus rapidement possible la Chine pour libérer des forces ? Mais à quel prix en temps et en vie ?
Pour résumer les analyses des uns et des autres, je dois attaquer absolument partout :chicos:
Et tout le monde a raison naturellement, tous les axes d'offensive peuvent apporter beaucoup, reste à faire un choix et il n'est pas facile :loose:, j'aimerais bien esssayer l'ensemble mais je n'en ai pas les moyens :lol:
Je jette par contre aux oubliettes la décision de passer sur la défensive à l'est, je suis désormais convaincu que c'est trop tôt, il doit encore être possible de réaliser de grands assauts pour améliorer ma situation et assurer ma victoire finale :siffle2:
Une offensive majeure du GAN avait déjà germé dans mon esprit (tout comme une offensive du GAC et du GAS :mrgreen:), non pas pour Mourmansk ( il n'y a aucune aide économique anglo-saxonne à l'URSS :o:, c'est là un grand succès de ma stratégie méditeranéenne / bataille de l'Atlantique sauvage, malheureusement cela ne suffit pas :loose:), mais bien pour Léningrad, une des 3 villes à conquérir si je veux un peu réduire la production Soviétique. A priori, l'atteindre serait bien plus facile que Moscou ou Stalingrad. Problème, la prendre c'est autre chose :?: (marais, fleuve), cela nécessiterait de gros moyens. Là encore, je dois faire un choix...
Cela éliminerait quasi complètement la raison d'être du GAN, qui pourrait alors renforcer le GAC, cela libérerait les troupes Finlandaises (j'ai profité de l'hiver pour débarquer 2 gros corps Finlandais dans les Etats-Baltes, ils vont enfin servir à quelque chose au lieu de rester plantés devant Léningrad) et éliminerait la menace sur mes convois qui ramènent le fer de Suède.
Pour le Japon, le problème d'une concentration des moyens sur l'Australie, c'est que cela n'apporte rien de vraiment décisif: les ressources australiennes sont déjà passées en perte pour l'Angleterre, qui trouve ailleurs et bien plus proche ce qu'il lui faut, et qui serait difficilement utilisables pour le Japon.
De même, la Nouvelle-Zélande ou l'Australie, c'est trop éloigné du Japon, les USA auraient beau jeux de foncer directement sur Truk ou Rabaul sans se soucier de l'Australie, laissant pourrir sur place les troupes nippones. J'ai pris Gudalcanal pour renforcer mes positions dans la mer du Corail et les îles Salomons, mais l'Australie, je ne pense pas que ce soit à ma portée :?:
Surtout avec le problème chinois qui persiste... Tant que la route de Birmanie reste coupé, je ne me fais pas de soucis, la Chine ne sera pas une menace, mais si je parviens à l'achever, je libèrerais pas mal de troupes, qui me permettrait alors de reprendre l'offensive ailleurs... J'ai amené des renforts en Chine, dès leretour du beau temps, j'espère bien reprendre l'offensive, ce que je n'ai plus vraiment fais sur ce front depuis 1941 et la guerre en Manchourie... A voir ;)
RoyalQuiche
09/12/2009, 13h31
Oui, la chute définitive de la Chine semble l'option la plus bénéfique.
Et ensuite ? l'Inde ou l'URSS ?
A ce propos, tu en est où de tes constructions navales ? Tu attends de nouveaux PA ?
Et je vois que tu parles fréquemment de "promotions" d'unités russe en unités de la Garde ? C'est nouveau ça ? (enfin nouveau, ma version date de 1995 :lol:)
Oui, la chute définitive de la Chine semble l'option la plus bénéfique.
Et ensuite ? l'Inde ou l'URSS ?
Si j'obtiens la chute de la Chine, je favoriserai plutôt l'URSS... Une revanche à prendre :=(:
A ce propos, tu en est où de tes constructions navales ? Tu attends de nouveaux PA ?
Oui :o:
Mais les USA plus encore :loose:
J'ai les deux plus grands porte-avions Japonais qui arrivent en septembre/octobre, les USA n'ont pas d'équivalent, mais le reste ce sont plutôt des porte-avions légers (6-7 doivent arriver dans les mois à venir)
Et je vois que tu parles fréquemment de "promotions" d'unités russe en unités de la Garde ? C'est nouveau ça ? (enfin nouveau, ma version date de 1995 :lol:)
De mémoire, c'est apparu dans l'Annual millenium. Ce sont des unités d'élite que l'URSS ne peut pas construire: elles arrivent via la promotion d'unités qui ont remporté une bataille. Une fois détruites, elles retournent dans le pool de réserve en attendant la prochaine promotion. Ce sont les unités "oranges" qu'on voit sur certains screens (ne pas les confondre avec les Sibériens) et il en existe de différents types (cavalerie, infanterie, mécanisés, blindés etc), c'est toujours du lourd :?:
Si j'obtiens la chute de la Chine, je favoriserai plutôt l'URSS... Une revanche à prendre
Et surtout le seul choix qui laisse une chance à l'Axe. Je lui souhaite bonne chance quand même... :mrgreen:
(et merci encore pour l'AAR, c'est toujours sympa à lire)
:hurle: Le siège de Moscou a commencé!
Attention, je répète: le siège de Moscou a commencé!
:hurle: Le siège de Moscou a commencé!
Attention, je répète: le siège de Moscou a commencé!
On veut un rapport détaillé dans l'heure sinon ... :fouet:
Patience :o:
Nous avons joué jusqu'à passé 2h00 du matin et le tour fut très long, il va me falloir un certain temps pour l'AAR ( Oui, Moscou tient toujours, mais la 1 ère Panzer SS a le Kremlin à portée de canon :mrgreen:)
On les aura car nous sommes les plus forts :tongue:
(Notez que sur le dernier screen, la 1 ère Panzer SS était à Berdiansk, extrême sud de l'URSS, elle est maintenant aux portes de Moscou, cela donne un indice de ce que l'OKH a réalisé :mrgreen: )
Mai / Juin 1943. L’opération Typhon
Alors que l’OKH étudie les plans du mur de l’Est qui doit permettre à la Wehrmacht de rester victorieusement sur la défensive à l’est, des coups de feu se font entendre : l’Armée Rouge, ici ? En réalité, il s’agit plutôt d’un putsch. De nombreux officiers mécontents, à la tête desquels on retrouve les généraux Morisson, RoyalQuiche et Cypho :mrgreen:, ont décidé de manifester bruyamment leur mécontentement devant la nouvelle stratégie décidée par le haut quartier général. Sous la force des baïonnettes, le projet mur de l’est est abandonné et, après de longues réflexions sur les différents axes d’offensive possibles, ce sont les plans de l’opération Typhon qui sont ressortis et mis à jour : Moscou est désormais dans le collimateur de la Wehrmacht, le camarade Staline peut commencer à trembler :=(:.
Le trio rebelle décide de placer en fer de lance de l’offensive les troupes d’élite du Reich, des fanatiques tous convaincus, avec raison, de l’inéluctable victoire du Dantonisme :siffle2: et pour lesquels envisager seulement la possibilité d’une défaite du Reich de 1000 ans est une hérésie abominable : les unités de la Waffen SS !
Le 4 mai 1943 à l’aube, ces troupes partent à l’assaut, l’opération Typhon commence et l’objectif est ambitieux : Moscou :clap:! Les plans d’invasion du Caucase ont en effet été abandonnés, le GAS est le plus avancé à l’est, mais une avancée supplémentaire laisserait ses lignes de communication dangereusement exposées à une offensive Soviétique lancée à partir de Kursk et du front centre. A la place, la Wehrmacht décide d’utiliser à son avantage ce déséquilibre des fronts en profitant de sa vitesse de manœuvre supérieure : le GAS va entièrement remonter plein nord afin d’isoler le centre Soviétique et d’empêcher la remontée similaire des Soviétiques du front sud. L’Armée Rouge, sous la pression simultanée des Groupe d’Armée Centre et Groupe d’Armée Sud, sera enfoncée, balayée et incapable de résister à cette double pression. Moscou tombera, tel est l’objectif avoué de la Wehrmacht pour son offensive d’été de 1943.
Même le Groupe d’Armée Nord est sollicité et plusieurs de ses unités rejoignent le Groupe d’Armée Centre pour porter le premier coup : Kesselring perce au nord de Smolensk. La 4° Panzer SS, elle, perce au nord d’Orel et s’enfonce plein sud, à la rencontre des unités du GAS. Kursk constitue l’autre pivot central du plan élaboré par l’OKH : la 1° Panzer SS perce à l’ouest de la ville et exploite plein nord, la 9° Panzer SS perce à l’est de la même ville et remonte tout aussi rapidement. Le premier volet de l’opération Typhon est un succès complet :clap:! Pas moins de 9 armées Soviétiques sont isolées dans les poches qui viennent de se former autour d’Orel et Kursk ! Certes, ces villes fournissent du ravitaillement aux Bolcheviques, mais le Camarade Staline n’a pas grand-chose pour reformer un front centre viable et arrêter la déferlante du Reich.
http://img109.imageshack.us/img109/8673/typhon10543.jpg (http://img109.imageshack.us/i/typhon10543.jpg/)
Complètement prise au dépourvu par cette manœuvre audacieuse, l’Armée Rouge comprend parfaitement le danger qui la menace et effectue ses propres mouvements pour contrer l’offensive majeure qui vient d’être lancée : Vatutin se replie sur Bryansk, Rokossovsky quitte Vornonesh et remonte vers le nord, Koniev et ses troupes traversent le Don pour menacer le front sud allemand, désormais affaibli.
L’OHK cependant ne se laisse pas distraire de son objectif : la 1° Panzer SS et la 5° infanterie de montagne SS poursuivent leur assaut vers le nord : une nouvelle percée est obtenue et la ville de Kursk est entièrement encerclée. Au sud de Smolensk, l’Armée Rouge est pulvérisée, malgré la farouche résistance de la 5° infanterie de la Garde : la route de Moscou est grande ouverte !
http://img412.imageshack.us/img412/2586/typhon300543.jpg (http://img412.imageshack.us/i/typhon300543.jpg/)
L’Armée Rouge poursuit sa remontée vers le nord : une solide ligne de défense est établie derrière le Don et des renforts parviennent en hâte dans la région Moscovite, mais Vatutin reste bien démunis, le camarade Staline ordonne à la population de creuser des tranchées autour de la capitale. La Wehrmacht arrive :chicos:! Pour soulager la pression du front centre, le général Yeremenko attaque au sud de Pskov et remporte une bataille, la 7° infanterie de la Garde est promue.
L’opération Typhon passe alors dans sa deuxième phase : la prise d’assaut des villes, où l’Armée Rouge s’est réfugiée, à l’abri des attaques meurtrières des Panzers et qui ne peuvent toujours être ignorées. Tula tombe et un assaut massif est lancé sur Bryansk, entièrement encerclée, avec notamment des parachutistes : sanglant désastre :(! Il s’agit du premier revers sérieux subis depuis le lancement de l’opération et celui-ci regonfle le moral des Soviétiques, qui décide de contre-attaquer au sud : Koniev lance l’assaut contre Rostov ! La ville tombe, mais les pertes Soviétiques sont effroyables.
L’infanterie allemande n’obtient pas de meilleurs résultats : désastre sanglant d’un assaut contre Kursk et prise de Bryansk avec de lourdes pertes. Mais les Panzers, leurs arrières désormais plus ou moins assurés par l’infanterie, peuvent repartir en avant : la 9° Panzer SS perce au sud de Tula et traverse le Don en force, poussant jusqu’à Ryazan, qui tombe dans la foulée. Au nord de Tula, c’est la 1° Panzer SS qui perce et exploite vers le nord : les coupoles de Moscou sont en vue ! A Berlin, c’est l’euphorie : la 1° Panzer SS est à 30 kilomètre de la capitale Soviétique :clap:! Deux armées Russes sont encerclées suite à cette double manœuvre. Plus au nord, Rokossovsky repousse la Wehrmacht devant Kalinin : les villes ne sont pas faciles à prendre…
L’Armée Rouge contre attaque alors avec succès à l’est de Kursk, un couloir est établi, mais les nouvelles du front de l’ouest sont catastrophiques et, avec désespoir, la camarade Staline est informé du transfert sur le front de l’est de plusieurs unités de la Wehrmacht : les généraux Morrisson, RoyalQuiche et Cypho sont bien décidés à aller jusqu’au bout de l’opération Typhon, tous les défaitistes, opposants au régime et autres Marseillais sont traqués sans relâche, la victoire à l’extérieur nécessite une volonté nationale indomptable, c’est la guerre totale, la victoire ou l’anéantissement :o:.
Les 1° et 4° Panzer SS percent toutes les deux aux alentours de la capitale et étendent considérablement l’encerclement de la ville : le siège de Moscou a commencé !
http://img683.imageshack.us/img683/1173/urssnord0643.jpg (http://img683.imageshack.us/i/urssnord0643.jpg/)
http://img297.imageshack.us/img297/6129/ursssud0643.jpg (http://img297.imageshack.us/i/ursssud0643.jpg/)
Pertes du tour en URSS : 26 BP pour le Reich et… 84 BP pour l’URSS !! Il s’agit du tour le plus sanglant pour l’URSS depuis le lancement de Barbarossa. Oui, je suis content de ne pas être resté sur la défensive :siffle2:.
Front de l’ouest (« Ils » sont revenus) et guerre du Pacifique à venir
Haaa, voilà de biens bonnes nouvelles. On les aura ces russes!!! :mrgreen:
Bravo.
Au fait, c'est quoi le plan une fois Moscou prise?
Tiens, tiens, des partisans en Ukraine? :o:
Des réticents au dantonisme?
RoyalQuiche
14/12/2009, 18h05
Patience :o:
...
(Notez que sur le dernier screen, la 1 ère Panzer SS était à Berdiansk, extrême sud de l'URSS, elle est maintenant aux portes de Moscou, cela donne un indice de ce que l'OKH a réalisé :mrgreen: )
Il a déplacé les pions en douce ? :chicos:
RoyalQuiche
14/12/2009, 18h05
Tiens, tiens, des partisans en Ukraine? :o:
Des réticents au dantonisme?
Certainement des Slaves avec un accent du Sud-Ouest ... :siffle2:
RoyalQuiche
14/12/2009, 18h12
Haaa, voilà de biens bonnes nouvelles. On les aura ces russes!!! :mrgreen:
Bravo.
Au fait, c'est quoi le plan une fois Moscou prise?
Je dirais que les forêts à l'Est de la capitale soviétiques me semblent parfaites pour passer l'hiver "au chaud", et contre-attaquer au Sud en obliquant quelques unités blindées, pour reprendre Rostov ?
Avec Moscou au mains des Allemands, Léningrad est très isolée, peut-être y'a-t'il moyen de porter un autre rude coup là-bas ?
Au fait, c'est quoi le plan une fois Moscou prise?
Prenons d'abord Moscou, nous aviserons bien ensuite :o:
Avec Moscou au mains des Allemands, Léningrad est très isolée, peut-être y'a-t'il moyen de porter un autre rude coup là-bas ?
A priori, si Moscou tombe, le coup suivant devrait effectivement se porter sur Leningrad, ville stratégique de la plus haute importance pour de nombreuses raisons et qui se retrouve fort isolée une fois la capitale conquise...
Tiens, tiens, des partisans en Ukraine? :o:
Des réticents au dantonisme?
Il existe quelques mécontents :?:, des individus corrompus qui profitent du système décadent actuel et qui craignent l'avènement du Dantonisme juste et bon :mrgreen:
Ces fous occupent les ressources d'Ukraine, les usines de Dnepropetrovsk, une ressource en Chine et les ressources de la valeureuse Belgique ( sans aucun doute des Flamands :enerve: )
Il a déplacé les pions en douce ? :chicos:
:roule:
Cela dit, je pourrais, la partie se joue chez moi cette fois :o:
Front de l’ouest (« Ils » sont revenus) et guerre du Pacifique à venirla situation doit pas être brillante vu que le Danton se cache (enfin notre journaliste a réussit à le filmer) ... viens voir par là mon Danton, çà va bien se passer ... tu vas juste y perdre la chine, la bretagne et des iles du pacifique
:bananax2:
RoyalQuiche
20/12/2009, 13h26
Allons allons, ne doutons pas pas de notre Grand Stratéguerre Intercosmique !
Je suis sur que le monde est sur la voie de la Rédemption et va bientôt découvrir les bienfaits du Dantonisme.
Par contre effectivement, je me demande si le chat de Danton n'aurait pas sauté sur le plateau de jeu ... :ko:
Ne doutez pas, hommes de peu de foi, le triomphe du Dantonisme peut être retardé mais il est inévitable :chicos:
J'avais oublié de compléter l'AAR, mais je vais m'y mettre :honte:
La partie s'est bien poursuivie hier et je peux déjà vous annoncer le tour le plus long et probablement le plus sanglant de toutes mes parties de WIF :mrgreen:
Une vrai boucherie, Verdun à côté ce fut une promenade de santé :p:
Ah chouette, la suite de l'AAR. :ok:
Un tour sanglant, tu sais comment faire monter le suspens toi dis donc!! Ton public n'y tient plus!!! :banana:
Pressé de voir comment va évoluer la situation en tout cas.
RoyalQuiche
21/12/2009, 20h18
D'après le Grand Devin Nostradantus, les troupes dantoniennes sont déjà à Moscou, Londres, Oulan-Bator, Tombouctou et Rio de Janeiro ... quand à New-York, la Big Apple est en flammes ... :mrgreen:
Cette lumineuse prédiction est déjà en partie réalisée :o:
Bientôt elle le sera entièrement et le Dantonisme règnera sur le monde :chicos:
Bon, j'ai terminé, mais je dois maintenant encore m'occuper des screens... :siffle2:
Edit. Déclaration de la production: en raison de problèmes techniques indépendants de notre volonté, la suite sera postée demain, nous mettons tout en oeuvre pour réaliser la mise à jour au plus vite :o:
RoyalQuiche
22/12/2009, 23h13
Edit. Déclaration de la production: en raison de problèmes techniques indépendants de notre volonté, la suite sera postée demain, nous mettons tout en oeuvre pour réaliser la mise à jour au plus vite :o:
Ca sent encore l'oeuvre de groupuscules extrêmistes d'origine marseillaise.
Je suis sur qu'ils sont aussi à l'origine des importantes chutes de neige de la semaine passée ! Mon Dieu, jusqu'au le vice et la sédition ira se loger ... :mrgreen:
:lol:
Je n'avais pas songé à le rendre responsable de la neige, mais maintenant que tu m'y fais penser, il est certainement impliqué :mrgreen: (l'ingrat ne recule devant rien pour tenter de me nuire :o:)
Le front de l’ouest
L’Italie relance la bataille de l’Atlantique avec vigueur et courage : la flotte surgit au large du Maroc, sans trouver cependant les convois anglais, et les sous-marins en Atlantique nord, où ils coulent 200.000 tonnes de convois, mais au prix de lourdes pertes, les Alliés ont considérablement renforcés leurs moyens ASW :?:.
Les flottes Alliés au grand complet quittent alors leurs bases d’Angleterre et arrivent au large de l’Espagne : Sie Komen ! La flotte Italienne, fortement soutenus par l’aviation, tente alors de s’opposer à l’invasion : après de violents combats, toute l’aviation de l’axe est décimée ou repoussée et les cuirassés Impero et Vittorio Veneto sont envoyés par le fond. Mussolini décide alors de prendre tous les risques afin de protéger la forteresse Europe : privée de protection aérienne, la marine Italienne n’en reste pas moins sur place et arrive à surprendre une petite partie de la flotte d’invasion, attaquée au canon : le Ceres et l’Hermione sont coulés, un transport de troupes Français Libre est repoussé.
Les troupes Britanniques débarquent avec succès sur deux plages au sud de Porto, mais les Marines Américains, qui s’attaquent directement au port, faiblement défendu par une garnison Italienne, sont accueillis par les Stukas, qui interviennent directement sur les plages, puis rejetés à la mer par les soldats du Duce :clap:! Sur terre ou sur mer, les Italiens se couvrent de gloire et remplissent admirablement le rôle qui leur a été fixé : tenir la forteresse Europe !
C’est néanmoins le général Allemand Kleist qui va mener la contre-offensive blindée sur les plages : les Anglais, bousculés, refluent en hâtent et périssent par milliers, noyés dans les flots de l’Atlantique. A Londres, c’est la stupeur et une décision difficile est prise : une fois de plus, les Alliés quittent piteusement le continent ! Les débris anglais de la force d’invasion retournent en Angleterre et Berlin triomphe : « Ils sont venu, ils ont vu et une fois de plus ils sont repartis ! :o:». La Wehrmacht se paye le luxe de prélever des troupes du front de l’ouest pour les expédier dans la fournaise du front de l’Est, où l’opération Typhon bat son plein et remplit les espoirs les plus fous de ses concepteurs : Moscou tombera :tongue:!
La guerre du Pacifique
L’US Navy surgit en mer du Corail et dans les îles Salomons, la Marine Impériale vogue à sa rencontre, mais les flottes se cherchent vainement. Guadalcanal, directement menacé, reçoit des renforts via le Tokyo Express : un puissant corps d’infanterie vient s’ajouter aux troupes de garnison déjà présentes. L’île représente la conquête Japonaise la plus au sud du Pacifique, elle ne sera pas cédée sans combats !
Des dizaines de milliers de fantassins et des centaines de blindés se déversent en outre en Chine : l’heure est venue de reprendre l’offensive sur ce front et de faire taire à jamais les inconscients qui s’opposent encore à l’ordre nouveau :=(:.
http://img6.imageshack.us/img6/1460/chine0643.jpg (http://img6.imageshack.us/i/chine0643.jpg/)
Conclusion du tour
Excellent tour ! L’URSS a subi un désastre incroyable, la forteresse Europe est plus solide que jamais et les Alliés piétinent lamentablement dans le Pacifique.
Juillet / Août 1943. La bataille de Moscou - Overlord
La bataille de Moscou
L’Armée Rouge renforcée lance une contre-offensive généralisée qui surprend l’OKH par sa vigueur : les troupes d’élite du Reich sont tout particulièrement prises pour cibles. La 5° unité d’infanterie de montagne SS est anéantie au sud de Tula, ce qui brise l’encerclement de 2 unités Soviétiques et permet la promotion de la 6° unité d’infanterie de la Garde et, plus préoccupant, la 2° Panzer SS est massacrée à l’est de Moscou :loose:. Le Camarade Staline dévoile par là même sa volonté de lutter jusqu’au bout pour défendre sa capitale : la bataille de Moscou a commencé !
La Wehrmacht n’entend cependant pas se laisser faire : Dnepropetrovsk est repris aux partisans, Kalinin désertée par les Soviétiques est occupée et la 9° Panzer SS perce au sud de Tula : 2 unités Soviétiques sont encerclées, bombardées et anéanties dans la foulée. Faute de moyens, l’Armée Rouge doit se placer sur la défensive, mai le rouleau compresseur Germanique est impitoyable : la Volga est franchie à l’est de Kalinin, l’Oka au sud de Moscou et le Don au sud de Tula, Yeremenko est massacré à l’est de Pskov.
Mais, une fois encore, ce sont les villes qui posent problème : il faut deux assauts particulièrement sanglants pour prendre Kursk et Orel. Dans la région Moscovite, les Panzers doivent lutter pour chaque mètre de terrain en direction de la capitale et, plus grave, plusieurs unités partent pour le front de l’ouest : « Ils » sont revenus et cette fois « ils » s’accrochent avec fanatisme, l’OKW n’a déjà plus guère d’espoir de pouvoir les rejeter à la mer.
Le général RoyalQuiche monte alors à la tribune : » Le Dantonisme ne saurait être arrêté, Sa Victoire passe par Moscou, la capitale Bolchevique doit et va tomber ! ». Galvanisées, les troupes du Reich repartent à l’assaut et percent dans la région de Moscou, en direction de Gorki, mais cela ne suffit toujours pas et, à Berlin, la décision tombe : priorité absolue est donnée à la bataille de Moscou, l’étendard Dantonien doit flotter au-dessus du Kremlin, envers et contre tous.
Le général Manstein reçoit les pleins pouvoirs et lance une offensive de grande envergure (je joue un offensive chit ;)) : Gorki tombe, il s’agit de la conquête la plus orientale de la Wehrmacht, et un violent assaut est lancé contre la capitale… Qui résiste. Les sous-marins Soviétiques tentent de frapper en Baltique, mais n’arrivent à rien, le fer Suédois transite sans soucis et un nouvel assaut est lancé : Yaroslavl tombe, mais le prix à payer est très lourd, l’OKH s’inquiète de plus en plus à ce sujet : le front de l’est est devenu une réelle boucherie pour les deux camps et, avec l’ouverture d’un seçond front à l’ouest, les renforts risquent de ne plus arriver avec autant de régularité que jadis.
Mais le Dantonisme doit et va triompher : un nouvel assaut est lancé et, le 18 août 1943, le monde émerveillé apprend la fracassante nouvelle : la 4° Panzer SS est à Moscou ! Les étendards Dantoniens flottent par dizaines au-dessus du Kremlin :clap:, le camarade Staline est en fuite : :hurle: Moscou est tombé !
Petit joueur et mauvais perdant, le Camarade Staline réfugié à Stalingrad décide de profiter du dramatique affaiblissement du GAS pour contre-attaquer : l’Armée Rouge reprend Koursk, si péniblement conquis par la Wehrmacht (« Tant de sang versé pour occuper cette ville moins de trois semaines » déplore le général Guderian) qui, saignée à blanc par les offensives dans la région Moscovite, n’arrive plus à tenir l’ensemble du front de l’est. L’Armée Rouge cependant n’est pas en meilleur état : le vainqueur est celui qui occupe Moscou, cible majeure de l’offensive d’été de la Wehrmacht et solidement tenu par les panzers SS.
L’apogée du Dantonisme en URSS
http://img31.imageshack.us/img31/1622/est0843.jpg (http://img31.imageshack.us/i/est0843.jpg/)
Overlord
Les flottes Anglo-Saxonnes quittent à nouveau leurs bases d’Angleterre et, cette fois, surgissent le long des côtes Françaises : Sie Komen ! « On commence à avoir l’habitude : ils débarquent, ils prennent une raclée puis ils rembarquent piteusement en criant victoire tels un Marseillais vaincu en GPO :chicos:» affirment les généraux Italiens. Des renforts aériens partent cependant immédiatement renforcer le front français, sait-on jamais. Sage décision, l’aviation alliée prend à son tour les airs et de sauvages batailles commencent : les parachutistes Américains sont repoussés, mais les Anglais sautent avec succès au sud de Cherbourg. Et des milliers de fantassins débarquent en hurlant : l’opération Overlord a commencé et mobilise des moyens bien supérieurs à tout ce que les Alliés ont jadis mobilisés lors de leurs tentatives d’invasion précédentes.
En Normandie, les Anglais sont à l’honneur : Alexander prend Cherbourg d’assaut, les Marines débarquent plus à l’Est. Les Américains, menés par Mac Arthur, retournent eux en Bretagne et s’emparent déjà d’un port majeur : Brest.
http://img130.imageshack.us/img130/8469/overlord.jpg (http://img130.imageshack.us/i/overlord.jpg/)
Badoglio contre-attaque immédiatement les parachutistes Anglais qui bloquent l’accès vers la Normandie, mais ceux-ci reçoivent le soutien des bombardiers Alliés : qu’à cela ne tienne, ils sont balayés et les panzers atteignent enfin les plages de Normandie, mais déjà l’avance des alliés se poursuit : Mac Arthur s’empare de Lorient, Alexander avance en Normandie. La Wehrmacht fait venir des renforts de partout et les Panzers se ruent vers les plages Normandes : une fois encore, les bombardiers Anglais se jouent des chasseurs de la Luftwaffe et apportent un vital soutien défensif, qui a tant fait défaut aux alliés lors de leurs débarquements en Espagne. Et les Marines Britanniques résistent, des centaines de carcasses de blindés Italiens et Allemands sont abandonnés sur les plages, la contre-offensive est un sanglant échec (« 3 » aux dés…:enerve:).
Soutenus par les canons des cuirassés de l’US Navy, les troupes Américaines poursuivent leur avance au sud de Brest, tandis que des centaines de blindés débarquent en Bretagne et en Normandie : la deuxième vague est désormais à terre. On raconte que deux autres sont prêtes à déferler, stationnées pour le moment dans les ports Britanniques…:?: Des troupes quittent le front de l’Est pour colmater la brèche de Normandie et la flotte Italienne, lourdement couverte par l’aviation, surgit au large de Brest : la forteresse Europe est menacée ! Un bref engagement avec l’US Navy n’apporte cependant aucun résultat et les anglo-Saxons repartent à l’assaut : ils s’emparent de Saint-Malo et opèrent ainsi la jonction entre les troupes Américaines de Bretagne et Britanniques de Normandie.
La situation est jugée critique à Berlin et l’on prend la décision d’envoyer le général Kleist, qui a si brillamment repoussé l’invasion alliée en Espagne, renforcer les généraux Italiens Cavallero et Badoglio. A peine arrivé, Kleist apprend l’étonnante nouvelle : Badoglio et ses blindés ont été écrasés par une offensive conjointe Anglo-Américaine. Cette nouvelle défaite scelle les derniers et déjà minces espoirs de repousser les alliés à la mer. Ils sont donc là, soit, mais ils n’en bougeront plus ! Une nouvelle avancée des blindés Canadiens confirme à Berlin que, cette fois, l’invasion est plutôt sérieuse…
http://img706.imageshack.us/img706/5996/ouest0843.jpg (http://img706.imageshack.us/i/ouest0843.jpg/)
La guerre du Pacifique
L’US Navy divise ses forces entre la mer du Corail et les mers des îles Salomons afin d’isoler Guadalcanal, cible de l’offensive allié : le succès est mitigé. Si le ravitaillement Nippon est bien coupé, les troupes du Mikado subissent sans fléchir bombardement sur bombardement et la Marine Impériale profite de la division de l’US Navy pour surgir en mer du Corail et infliger un sérieux revers aux envahisseurs : le porte-avion Lexington est coulé :=(:!
Concentrés sur l’Europe, les Anglo-Saxons laissent les mains libres au Japon, qui décide de mettre ce répit à profit pour frapper un grand coup en Chine : des centaines de bombardiers matraquent Lan-Chow, les troupes de Mao sont désorganisées puis les hordes de renforts précédemment débarqués en Chine partent à l’assaut. Chute du bastion communiste :clap:! Cheng-Tu est désormais la dernière ville encore tenue par les Communistes Chinois (les Nationalistes, eux, sont réduits à Kunming).
http://img130.imageshack.us/img130/4274/chine0843.jpg (http://img130.imageshack.us/i/chine0843.jpg/)
Conclusion du tour
Le tour a duré pas moins de 14 impulses, soit le maximum possible, réalisable uniquement dans certaines conditions (en été et avec beaucoup de résultats élevés aux tests successifs de fin d’impulse) : c’est rarissime, mais je ne sais qui en a réellement le plus profité. Badoglio et ses blindés ont été pulvérisés lors de la 11° impulse, Moscou est tombé à la 12° impulse, Kursk à la 13°.
Ce tour fut aussi un bain de sang sans précédent pour les deux camps, les fleuves d’URSS sont désormais du rouge le plus vif. Pertes URSS 110 BP, contre 87 BP pour le Reich. Pertes des Anglo-Saxons en Europe 27 BP seulement, contre 49 BP pour l’Axe, soit au total en Europe 137 BP pour les Alliés et 136 BP pour l’Axe. Sachant que la production des premiers surclasse complètement celle des seçonds, le « succès » est mitigé de mon côté, mais bien réel : Moscou est tombé ! (ce qui réduit considérablement la production de l’URSS justement…)
Je vois cependant ce tour comme l’apogée du Dantonisme sur cette partie : à présent, il y a un risque réel de replis. Les Alliés ont ouvert un solide front, l’Armée Rouge est amoindrie mais toujours belliqueuse, la reprise de Kursk le révèle assez clairement et le GAS est vulnérable (les renforts Soviétiques sont directement disponibles et peuvent se concentrer brutalement sur une partie vulnérable du front de l’est, les renforts du Reich doivent arriver d’Allemagne et seront partiellement détournés vers l’ouest).
Moscou tombée, c'est plutôt une bonne nouvelle, bravo. :ok:
Ce qui l'est moins, c'est le bain de sang généralisé... :?: L'Axe pourra t il s'en remettre ou vient il de griller ses dernières forces?
J'aime bien Danton qui nous donne comme une victoire la perte de 2 BB contre 2 petites unités :banana:
sinon les flotte Italiennes et Allemandes ne peuvent pas collaborer ? étrangement les Allemands en ce sont pas portés en Manche
J'aime bien Danton qui nous donne comme une victoire la perte de 2 BB contre 2 petites unités :banana:
Mais que racontes-tu donc là, je ne vois pas du tout de quoi tu parles :chicos:
La marine Italienne a coulé deux petits croiseurs, il s'agit donc d'une victoire :siffle2:
sinon les flotte Italiennes et Allemandes ne peuvent pas collaborer ? étrangement les Allemands en ce sont pas portés en Manche
Si, elles peuvent naturellement collaborer, mais pour déplacer des unités navales, il faut prendre une impulse combinée ou navale... Le Reich était plutôt dans le terrestre :mrgreen: (l'opération Typhon était en cours). La Kriegsmarine de toute façon n'est guère imposante, seule le soutien de la Luftwaffe était nécessaire (et elle était bien présente).
Lors de l'invasion (complètement ratée :tongue:) de l'Espagne, les Alliés étaient sur deux mers, la flotte Italienne était capable de lutter dans l'une d'elle: au canon, elle faisait jeux égal. Dans les airs, j'étais complètement dépassé pour les bombardiers, mais avec de bons chasseurs. Premier coup du sort, ce fut un combat air/nav et non de surface (il aurait fallu surprendre l'ennemi, comme ce fut le cas lors de la deuxième bataille, la grande victoire :o:), deuxième coup du sort, mes chasseurs ont été complètement pulvérisés... Et enfin, troisième coup du sort, les porte-avions anglais ont fait un carton :loose:
Ce qui l'est moins, c'est le bain de sang généralisé... :?: L'Axe pourra t il s'en remettre ou vient il de griller ses dernières forces?
Seul l'avenir nous le dira :o:
Mais je ne cache pas que quelques tours bien brefs et bien neigeux ne me déplairaient pas :mrgreen: (ou des tempêtes, encore mieux :siffle2:)
RoyalQuiche
29/12/2009, 15h01
Mais je ne cache pas que quelques tours bien brefs et bien neigeux ne me déplairaient pas :mrgreen: (ou des tempêtes, encore mieux :siffle2:)
Pour la neige, faut voir avec Le Marseillais et ses sbires ... :siffle2: :mrgreen:
Et pour la suite de l'AAR il faut voir avec qui? Nom dé Dome... :enerve:
J'étais privé d'internet depuis 6 jours (merci Belgacom :enerve:), le problème est ENFIN résolu, je vais pouvoir rattraper le retard à présent...
Pour la neige, faut voir avec Le Marseillais et ses sbires ... :siffle2: :mrgreen:
Bien, je le contacte immédiatement (ou plutôt, je lui en parlerai quand il viendra me rendre son hommage quotidien :mrgreen:), il ne saurait me refuser cela :siffle2:
RoyalQuiche
30/12/2009, 13h36
Bien, je le contacte immédiatement (ou plutôt, je lui en parlerai quand il viendra me rendre son hommage quotidien :mrgreen:), il ne saurait me refuser cela :siffle2:
Très bien, et dans ses dévotions matinales, je lui rajouterai 3 coup de feuille d'orties entre les jambes en psalmodiant "Et Dantonus Magnus est seul maître des éléments ! AMEN" :mrgreen::banana:
bon sérieusement ils ont apparemment privé le sous marin de royal d'oxygène ... c'est malin maintenant il a des séquelles !!!
Enfin je comprends mieux pourquoi ils ont la retraite aussi jeune ....:siffle:
RoyalQuiche est le sage par excellence parmi tous les sages, nul ne peut remettre en question sa pertinente sagesse :enerve:
Avec lui, je reprends espoir d'arriver un jour à former ce bon à rien de Padawan marseillais, plus prompt à courrir la gueuse qu'à vénérer Son Maître Tant Aimé :o:
Bon, la suite de l'aar sera pour 2010, mais cela ne laisse plus tellement de temps d'attente :siffle2:
lemarseillais
31/12/2009, 15h58
T'es vraiment une feignasse ! Mais le bon côté c'est que du coup tu pollues lentement le forum de tes horribles et soporifiques lectures.
Quant à cette histoire de neige, je crois rêver. Mon ex padawan comprendrait il enfin que je suis le Maîte qui commande aux Eléments ? :roi:
Très bien, et dans ses dévotions matinales, je lui rajouterai 3 coup de feuille d'orties entre les jambes en psalmodiant "Et Dantonus Magnus est seul maître des éléments ! AMEN" :mrgreen::banana:
Je propose de passer à 9 coups, visiblement le Padawan ne comprend pas :enerve:
Beaucoup à apprendre il a encore :o:
Je vaix cependant exaucer son voeux le plus cher et poster la suite :mrgreen:
Septembre / Octobre 1943. L’accalmie
5 impulses seulement, 4 de très mauvais temps, une de beau temps.
Le front de l’ouest
Des tempêtes s’abattent sur l’Europe, à la grande joie de Berlin qui n’en demandait pas tant, qui clouent au sol les avions et immobilisent les troupes terrestres. Seules les flottes prennent courageusement la mer : des hordes de transports de troupes traversent l’Atlantique et déversent des flots de renforts Anglo-Saxons en France. La flotte Italienne profite de ce temps de cochon pour prendre le large et attaquer au canon les forces Anglo-Saxonnes dispersées : deux sanglantes batailles navales se concluent par la perte de 5 croiseurs Italiens contre pas moins de 10 croiseurs alliés coulés ! Le succès est réel, mais mitigé : ni les lignes de ravitaillement, ni les navires de transport alliés n’ont été réellement menacés.
L’ampleur des pertes va cependant restreindre les moyens alliés pour protéger leurs convois car l’Axe ne renonce pas à la bataille de l’Atlantique : des hordes de sous-marins quittent Lisbonne et fondent en Atlantique nord, où ils torpillent l’Orion, mais ratent, là encore, le gros des convois :loose:. Le retour du beau temps permet à la Royal Navy de sortir ses porte-avions : les chasseurs Germano-Italiens se portent alors en protection de la marine Italienne et une titanesque bataille aérienne commence. Les forces aériennes de l’Axe sont repoussées et les intrépides cuirassés Italiens, qui viennent de prouver leur supériorité lors des combats au canon, sont bombardés sans pitié : trois croiseurs sont coulés, Rome ordonne le repli de la flotte.
Sur terre, un symbole de taille : Guderian, le père de la Blitzkrieg, et la 9° Panzer SS, l’unité qui a pris Gorki, c’est-à-dire la conquête la plus orientale de la Wehrmacht, quittent le front de l’Est et arrivent en France ! Berlin prend en effet très au sérieux ce seçond front qui vient de s’ouvrir à l’ouest : les Alliés ne peuvent plus être rejetés à la mer ! Ils doivent donc être contenus et l’OKW va révéler tout son talent pour cette tâche : une offensive majeure de Mac Arthur, qui profite du retour du beau temps, se termine en désastre sans précédent malgré l’ampleur des moyens engagé (offensive chit joué par les USA, mais un superbe « 2 » aux dés, le deuxième de la partie). Saint-Nazaire tombe par contre entre les mains Anglo-Saxonnes, mais après une farouche résistance qui fait trembler les alliés : chaque kilomètre gagné se payera par des milliers de tués. Les Alliés renonceront sous peu et offriront leur reddition, nul doute à ce sujet ! :tongue:
http://img31.imageshack.us/img31/6599/ouest1043.jpg (http://img31.imageshack.us/i/ouest1043.jpg/)
Le front de l’Est
Les sous-marins Soviétiques tentent un raid en Baltique, mais se heurtent aux navires d’escorte allemands, qui les repoussent sans difficulté. Le mauvais temps empêche tout redéploiement massif, mais, à Berlin, l’on constate avec inquiétude que l’Armée Rouge, lentement mais sûrement, masse ses troupes au sud. Stratégie censée, l’offensive majeure sur Moscou a considérablement affaibli le GAS et Berlin consacre l’essentiel de son activité ferroviaire pour renforcer non pas le GAS, mais bien le front Français : la Wehrmacht lutte désormais sur deux fronts. :?:
Le retour du beau temps permet au général Joukov de lancer ses blindés en avant : lâche et sans honneur, le mécréant s’attaque aux faibles milices et troupes Hongroises, des soldats quasi dépourvus de tout armement lourd, qui sont littéralement pulvérisées sous l’assaut. Les blindés s’engouffrent dans la brèche et poussent jusqu’à Stalino, qui tombe sans combat. Nous verrons bien ce que ces barbares feront quand ils se heurteront aux unités d’élite de la Wehrmacht et non plus à des paysans sans instruction et sans armement. :tongue:
http://img693.imageshack.us/img693/9378/ursssud1043.jpg (http://img693.imageshack.us/i/ursssud1043.jpg/)
La guerre du Pacifique
Les flottes se défient du regard, mais ne cherchent pas réellement le combat. Seule la guerre des convois se poursuit réellement, avec un raid massif des sous-marins alliés en mer de Chine, sans résultat cependant, et le torpillage par les forces navales Nippones du Java dans l’océan Indien. Puis, avec le retour du beau temps, la prise d’assaut par les Marines américaines de Guadalcanal, la conquête la plus au sud de l’Empire du Soleil Levant. L’Etat-Major Impérial avait cependant déjà pris la décision de ne plus s’accrocher à cette île : les batailles en mer du Corail sont révolues, Rabaul et Truk constituent les nouvelles zones de bataille du Japon, nous verrons bien si les Alliés oseront y pointer le bout de leur nez ! :tongue:
http://img686.imageshack.us/img686/9765/pacifique1043.jpg (http://img686.imageshack.us/i/pacifique1043.jpg/)
Conclusion du tour
Un tour court et avec un temps pourri, exactement ce que je souhaitais. Rien de décisif à l’ouest, les Alliés s’enlisent et l’hiver arrive, mais la percée de Joukov à l’est est plus préoccupante, il ne faudrait pas qu’il poursuive plus à l’ouest. Les partisans se multiplient en Pologne et en URSS, il est temps de s’occuper de cette vermine envahissante.
Novembre / Décembre 1943. L’agonie de Mao
7 impulses
Le front de l’ouest
Le général Model et la 2° Panzer SS rejoignent le front Français, massacrant au passage les partisans Belges qui occupaient Liège : avec Guderian, Kleist, Badoglio et Graziani, cela fait désormais pas moins de 5 quartiers-généraux de l’Axe stationnés en France. Suffisant pour prendre l’offensive : les 2° et 9° Panzers SS prennent l’offensive en Normandie ! L’aviation alliée intervient massivement et avec succès, mais rien ne peut arrêter les vétérans de la Wehrmacht, surentrainés après deux ans de combats à l’est : les Marines Anglais sont pulvérisés, les blindés Canadiens sérieusement endommagés.
Incapables de lutter à armes égales, les Anglo-Saxons déploient alors des moyens massifs et tentent d’écraser les invincibles soldats Teutons sous un déluge de fer, de feu et d’acier (offensive chit américain avec Mac Arthur) : si les Panzers reculent, la Wehrmacht repousse les Alliés devant Nantes et démontre une fois de plus qu’elle maîtrise aussi bien l’art du combat défensif que offensif. Dormez en paix, camarades, les Alliés n’atteindront pas l’Allemagne avant au moins 10 ans. :siffle2:
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Le front de l’est
Des renforts viennent redonner une consistance au GAS, qui profite de l’occasion pour massacrer les nombreux partisans qui pullulent désormais en URSS : Dnepropetrovsk et les riches ressources d’Ukraine sont à nouveau sécurisés. Au niveau aérien, les chasseurs Soviétiques se montrent cependant de plus en plus nombreux, mais cela n’empêche pas le général Kesselring de relancer l’offensive au nord, en direction de Vologda : les panzers obtiennent une percée. Timoshenko reprend Gorki, normal, la ville a été abandonnée par la Wehrmacht, qui doit surveiller d’un peu plus près ses lignes de communication depuis le départ à l’ouest de Guderian.
Là aussi, incapables de lutter à armes égales, les Soviétiques décident d’utiliser les grands moyens et le général Joukov lance l’opération Ivan le 8 décembre 1943 (offensive chit joué). La pince sud s’ébranle la première, à l’ouest de Stalino : les blindés Soviétiques ont pour mission d’exploiter la percée en fonçant sur Dnepropetrovsk. La résistance acharnée de la Wehrmacht tient cependant les barbares de l’Est en échec : les troupes se replient en bon ordre et sans laisser à l’Armée Rouge la moindre possibilité de percer. La pince nord cependant écrase les troupes d’infanterie de montagne allemandes et la 1° unité blindée de la Garde s’engouffre dans la brèche : Kharkov et 3 unités de la Wehrmacht sont isolés ! L’ordre d’évacuation arrive aussitôt de Berlin et les troupes quittent la ville de toute façon ravagée : pourquoi combattre pour un tel amas de ruine non productif ?
http://img193.imageshack.us/img193/5840/ursssud1243.jpg (http://img193.imageshack.us/i/ursssud1243.jpg/)
http://img34.imageshack.us/img34/7856/urssnord1243.jpg (http://img34.imageshack.us/i/urssnord1243.jpg/)
La guerre du Pacifique
Des centaines de bombardiers Nippons matraquent Cheng-Tu, où se sont réfugiés les dernières troupes Chinoises Communistes, puis le Mikado ordonne un assaut à la baïonnette : banzaï ! L’assaut des Samouraïs est irrésistible, pas un seul chinois ne parvient à fuir ( « 20 » aux dés), le général Morisson parade : il aura fallu attendre décembre 1943, mais cette fois c’est fait, les communistes chinois ont été éradiqués ! :chicos:
Comme pour venger ceux-ci, les Nationalistes Chinois lancent leurs bombardiers en Birmanie, où le ravitaillement est simultanément coupé par une action de la Royal Navy : le général Mountbatten en profite pour lancer ses blindés à l’assaut. Mais, même désorganisés par le bombardement et privés de ravitaillement, les valeureux soldats de l’Empire résistent farouchement et détruisent des centaines de blindés britanniques ! Les puits de pétrole de Birmanie tombent cependant entre les mains de la perfide Albion, qui va désormais pouvoir envoyer ces ressources aux Nationalistes Chinois via la route de Birmanie.
T'as l'air de tenir, pour le moment, non? Tours courts et météo défavorable t'aidant un peu visiblement.
Bon, le Japon n'a plus qu'à massacrer les derniers nationalistes chinois et pourra enfin ouvrir un nouveau front contre URSS? Ce serait cool çà! ^^
Tant pis pour le Pacifique, autant se la jouer défensive là, et consacrer ses ressources à attaquer l'URSS pour tenter de soulager le Reich. Mais bon, c'est une opinion de l'exterieure, sans vraiment connaitre la situation.
Les Forces Armées Dantoniennes tiennent bons :epee:, l'envahisseur sera repoussé :tongue:
Une revanche Japonaise contre l'URSS est bien à l'ordre du jour, on me signale d'ailleurs d'importants mouvements de troupes vers la frontière de Manchourie à l'heure où je vous parle :o:, mais il y a eu, dans le Pacifique, comme un problème... :loose:
Plus d'informations dès que possible, le grand Etat-Major des forces de l'Axe va tout mettre en oeuvre pour rétablir la situation au plus vite :o:
(courage, Danton, ce n'est qu'un mauvais moment à passer, la victoire finale reste inéluctable :mrgreen:)
RoyalQuiche
07/01/2010, 11h08
Si je ne m'abuse, l'année 1944 va commencer, avec son lot de troupes nouvelles dans les "force pool" ... mais il me semble bien que qualitativement, les troupes de l'Axe sont inférieures à celles des Alliés ... les temps s'annoncent durs, mais si le Reich peut tenir jusqu'à l'attaque japonaise, il y matière à espérer une victoire à l'Est. D'ici là, la situation me semble sous contrôle en France ... avec un peu de chance et une météo merdique en Russie, peut-être y a-t'il moyen de briser les capacité offensives anglo-saxonnes ?
L'URSS a beaucoup de troupes en Extrême-Orient ?
Maintenant, les mois passant et sa disproportion de moyens de plus en plus flagrante, il va falloir choisir précautionneusement ses attaques, pour limiter les pertes au maximum.
J'aime ton optimisme et plus encore ta nouvelle signature :chicos:
Mais pour la victoire totale à l'est, je n'y crois pas trop :lol:
En gros, les Etats-Unis produisent actuellement pour 75 points de construction par tour, l'URSS pour 40, l'Angleterre 33, France Libre et Chine dépendent entièrement des aides économiques, cela fait donc environ 148 points par tour :?:
Le Reich est à 50 quand tout va bien (ni partisans ni bombardements stratégiques), le Japon 26 et l'Italie 17, soit 93 points par tour.
Cela fait une grosse différence :loose:
Qualitativement, les Alliés font au moins jeux égal, quand ils ne dominent pas, mais l'Axe garde quelques atouts dans sa manche :=(:
En Extrème-Orient, l'invasion Japonaise toujours prévue pourrait bien entrainer de solides résultats, mais un temps pourri règne toujours là bas et pour l'effet de surprise c'est désormais raté :loose:
Je crains un avenir difficile, mais ne doute pas de la victoie finale du Dantonisme :roi:
RoyalQuiche
08/01/2010, 14h11
Sinon je propose une solution alternative, qui consisterait à ce que je t'envoie par la poste mes pions WiF Axe, afin de renflouer ton "Force Pool", notamment avec de belles unités blindées SS ... :chicos:
L'avantage de la pression nippone sur l'Extrême-Orient est qu'elle mobilise l'attention, autant que les troupes, du Camarade Staline,et ce me semble-t'il, à moindre frais, puisque la puissance terrestre japonaise n'a que peu d'utilité dans le Pacifique (surtout si ta navigation est devenue dangereuse). Alors autant occuper les soldats nippons quelque part.
Où en es-tu en Egypte ? As-tu moyen de forcer la route vers Bagdad et le Caucase ? Où serais-ce à ton désavantage d'ouvrir un 3eme front contre les Soviétiques ?
Rassures-moi, tu tiens encore Moscou ? Les hordes marseillo-bolcheviques ne pourront envisager autre chose que reprendre leur capitale !
PS : pour la signature, c'est une apparition en rêve qui me l'a soufflé :" J'ai eu un rêve, qu'un jour nous vivrions tous dans la paix et l'harmonie du dantonisme ..." etc etc .... avec le pasteur Martin Luther Dant.
Tiens, Marseillais n'est pas venu à Matine aujourd'hui ! Il va falloir sévir ... où ai-je mis mon martifouet ?
lemarseillais
11/01/2010, 14h48
... le soit disant dantonisme est une doctrine imaginaire sortie tout droit du cerveau malade d'un suppot du Mal. Il n'est donc pas étonnant que ce cerveau malade ait des "rêves" en phase avec sa pathologie :tongue:.
RoyalQuiche
11/01/2010, 17h43
... le soit disant dantonisme est une doctrine imaginaire sortie tout droit du cerveau malade d'un suppot du Mal. Il n'est donc pas étonnant que ce cerveau malade ait des "rêves" en phase avec sa pathologie :tongue:.
Ah la la, je sens bien là l'effronterie irréfléchie caractéristique de l'adolescent pré-pubère pour qui tout est source de révolte et de confrontation, dans un désir absurde, désordonné et illusoire d'exister derrière cette ingrate façade boutonneuse et difforme qui fait fuir même la plus vilaine des gourdasses ou le plus galeux des chiens errants.
Vivement que ça grandisse, que ça découvre le bien fondé du dantonisme et que ça devienne un Homme. M'enfin y'a du boulot, mais la grandeur du vénérable enseignement par les Saintes Ecritures Dantoniennes (Loué soit son nom) arrivent à bout des pires récalcitrants, fussent-ils des Boûches-du-Rhône !
Mais comme c'est beau :chicos:
Je vois que tu as parfaitement compris la psychologie du petit marseillais. Il a encore beaucoup à apprendre, mais un jour il comprendra et grandira: il deviendra un fervent partisan du Dantonisme, telle est sa destinée :o:
En attendant, je le laisse à sa révolte absurde d'adolescent pré-pubère ou plutôt non, je te le confie un moment, je sens qu'il gagnera beaucoup à t'écouter et méditer longuement sur tes sages paroles :mrgreen:
Sinon je propose une solution alternative, qui consisterait à ce que je t'envoie par la poste mes pions WiF Axe, afin de renflouer ton "Force Pool", notamment avec de belles unités blindées SS ... :chicos:
Cela me va, l'ennemi n'y verra que du feu et je ne ferai qu'accélérer l'inévitable victoire du Dantonisme :o:
L'avantage de la pression nippone sur l'Extrême-Orient est qu'elle mobilise l'attention, autant que les troupes, du Camarade Staline,et ce me semble-t'il, à moindre frais, puisque la puissance terrestre japonaise n'a que peu d'utilité dans le Pacifique (surtout si ta navigation est devenue dangereuse). Alors autant occuper les soldats nippons quelque part.
Je suis convaincu, mais le temps ne m'aide pas :loose:
Dès le retour du beau temps, l'Armée Impériale va déferler et venger l'affront de 1941 :enerve:
Où en es-tu en Egypte ? As-tu moyen de forcer la route vers Bagdad et le Caucase ? Où serais-ce à ton désavantage d'ouvrir un 3eme front contre les Soviétiques ?
Rassures-moi, tu tiens encore Moscou ? Les hordes marseillo-bolcheviques ne pourront envisager autre chose que reprendre leur capitale !
Les sympathisants du Dantonisme, loués soient-ils, contrôlent Bagdad depuis plusieurs mois :chicos: et idem pour l'Egypte. Mais, pour des raisons de ravitaillement, un front du caucase est assez illusoire. Il faudrait pour cela un accès en Turquie et ces sauvages refusent de joindre le grand mouvement Dantonien :enerve:
Pour Moscou, les hordes marseillo-bolcheviques se heurteront en vain à mon mur de fer, de feu et d'acier: j'y suis, j'y reste :o:
Les sympathisants du Dantonisme, loués soient-ils, contrôlent Bagdad depuis plusieurs mois :chicos: et idem pour l'Egypte
Et les AAR? Nom de dom! :enerve:
Ah mais, les AARS sont quasi à jour :o:
Cela fait longtemps que Bagdad et l'Egypte sont entre les mains justes et bonnes des Dantoniens :mrgreen:
En fait, nous sommes toujours au tour de mars/avril 1944, en grande partie terminé, mais la partie n'avance plus fort depuis 2 semaines :?:
MAIS nous allons reprendre massivement ce week-end :jumpy:
RoyalQuiche
14/01/2010, 17h30
Ah mais, les AARS sont quasi à jour :o:
Cela fait longtemps que Bagdad et l'Egypte sont entre les mains justes et bonnes des Dantoniens :mrgreen:
En fait, nous sommes toujours au tour de mars/avril 1944, en grande partie terminé, mais la partie n'avance plus fort depuis 2 semaines :?:
MAIS nous allons reprendre massivement ce week-end :jumpy:
Le représentant des démocraties plouto-marseillaises décadentes et du complexe marseillo-bolchevique sentirait-il le vent de l'inéluctable défaite lui caresser le séant ? Il décide de jouer la montre en espérant que ton chat vienne foutre le boxon sur la table de jeu pour déclarer un match nul et non-avenu ? :non:
lemarseillais
15/01/2010, 17h01
Faut arrêter avec cette histoire de chat. Le chat de Danton c'est son ami imaginaire en fait :o:
RoyalQuiche
17/01/2010, 23h42
Danton n'a pas un chat, il a un tigre domestique ... :mrgreen:
Danton n'a pas un chat, il a un tigre domestique ... :mrgreen:
Mais non, les tigres domestiques c'est pour les lâches.
Danton, lui il a un tigre sauvage!
RoyalQuiche
18/01/2010, 14h48
Mais non, les tigres domestiques c'est pour les lâches.
Danton, lui il a un tigre sauvage!
Enfin sauvage, il suffit que Danton le regarde dans les yeux pour que la Bête se couche ! :chicos:
lemarseillais
18/01/2010, 15h21
J'espère que lorsqu'on changera de forum (:ouin:), cette lèche malsaine à l'encontre du gros boulet cessera :o:
T'as qu'à toi aussi faire de grandes choses, et on te lèchera si tu veux.
lemarseillais
18/01/2010, 18h32
Je n'ai pas assez de temps libre comme l'autre feignasse de bruxelles pour poster mes aventures loufoques :tongue:.
Je n'y peux rien s'il a la moitié de l'année de vacances. Feignasse :tongue:
Enfin sauvage, il suffit que Danton le regarde dans les yeux pour que la Bête se couche ! :chicos:
C'est fort bien dit, mais je me dois d'ajouter une précision: cela fonctionne aussi avec les Marseillais belliqueux :o:
T'as qu'à toi aussi faire de grandes choses, et on te lèchera si tu veux.
:roule:
Marseillais faire de grandes choses... Allons, allons, soyons un peu sérieux :mrgreen:
Je n'ai pas assez de temps libre comme l'autre feignasse de bruxelles pour poster mes aventures loufoques :tongue:.
Ah bon, tu as des aventures loufoques? Voilà qui ne m'étonne guère :chicos:
Bon, on a bien avancé, mais je suis submergé de boulot là :o: (et tous les mardis pendant trois mois, ce sera départ à 8h00 et retour à 22h15 :loose:), je devrais poster la suite pour la fin de cette semaine ;) (jeudi, vendredi au plus tard)
Tout ne se déroule pas toujours comme je l'aurais souhaité, mais le Dantonisme finira inévitablement par l'emporter :siffle2:
RoyalQuiche
18/01/2010, 20h37
Je n'ai pas assez de temps libre comme l'autre feignasse de bruxelles pour poster mes aventures loufoques :tongue:.
Je n'y peux rien s'il a la moitié de l'année de vacances. Feignasse :tongue:
Ben, tu n'es pas de Marseille ? :siffle2:
lemarseillais
20/01/2010, 14h51
Ni au sens propre ni au sens figuré que tu sous-entends (enfin...) :tongue:
RoyalQuiche
20/01/2010, 20h11
Ni au sens propre ni au sens figuré que tu sous-entends (enfin...) :tongue:
Mais alors ? Tu ne serais qu'un produit de contrefaçon exporté de façon frauduleuse de Chine ? :chicos:
Tu viens d'où mon jeune padawan ? D'où te vient cette passion pour la Cité Phocéenne ?
Janvier / Février 1944. Boucherie dans le Pacifique – Première brèche dans le Mur de l’Est
Le front de l’Est
Le blizzard ou la neige s’abattent sur le front, les sous-marins Soviétiques en profitent pour faire une sortie à partir de Léningrad (que cette ville est donc pénible :enerve:) : 100.000 tonnes de convois sont envoyés par le fond, le solde se replie, la route du fer est coupée pour le moment.
Au sud, Joukov teste les défenses allemandes et marche sur Dnepropetrovsk : après un premier échec sanglant, l’Armée Rouge atteint enfin le Dniepr et décide de profiter du temps de cochon pour lancer un violent assaut à travers le fleuve. Privée du soutien de la Luftwaffe, la Wehrmacht ne panique cependant pas : l’infanterie est solidement retranchée derrière le grand fleuve, occupe une grande ville bien dense et le blizzard est violent. Moscou s’obstine cependant et lance ses troupes à l’assaut, des vétérans équipés pour la guerre d’hiver : 40% de chances de l’emporter seulement et… Succès ! Chute de Dnepropetrovsk et première brèche dans le mur de l’Est. :(
http://img684.imageshack.us/img684/4795/urss0244.jpg (http://img684.imageshack.us/i/urss0244.jpg/)
Le front de l’ouest
Le Grand Amiral Dönitz se rend à Berlin pour plaider la relance de la bataille de l’Atlantique, et affirme qu’il est encore temps d’étrangler complètement l’économie britannique, il suffit de couler 400.000 tonnes de convois par mois, une broutille. Berlin donne son feu vert et, après deux mois, 200.000 tonnes sont envoyés par le fond. Les équipages sont cependant à présent bien entraînés, nul ne doute qu’ils ne tarderont pas à faire des carnages : nous allons affamer l’Angleterre, ce sera une expérience enrichissante en prévision du blocus futur des Etats-Unis :chicos:.
La guerre du Pacifique
De nombreux navires de transport alliés quittent l’Atlantique et rejoignent le pacifique, signe évident que Londres et Washington veulent à présent intensifier la lutte contre l’Empire du Soleil Levant. Trop confiants, les Alliés divisent cependant leur flotte et la Marine Impériale leur tombe dessus dans les Mariannes : deux grandes batailles aéro-navales particulièrement sanglantes se soldent finalement par le repli de l’US Navy, qui a rendu coup pour coup. Le Japon perd en effet pas moins de 4 porte-avions, deux croiseurs et 800 avions contre 3 porte-avions, deux croiseurs, un navire de transport et 1100 avions. Ponape, dans les Mariannes, est en outre pris d’assaut par les Marines Américains.
Que la vermine occidentale s’excite donc, le Mikado restera inébranlable : c’est face à l’adversité que la valeur des grands hommes se révèle. Pour bien montrer le mépris que Tokyo porte aux gesticulations des alliés, l’Armée Impériale expédie des dizaines de milliers de fantassins, ainsi que des centaines de blindés à la frontière de la Manchourie. Le colosse Russe n’effraye pas plus le Japon que les ploutocrates corrompus de l’ouest :tongue:.
Mars / Avril 1944. Désastre dans le Pacifique
Le front de l’Est
Le calme règne, la Wehrmacht en profite pour se replier habilement sur des positions fortifiées préparées à l’avance : derrière le Dniepr et derrière la Volga essentiellement. Le mur de l’Est est plus solide que jamais, l’envahisseur Mongol sera refoulé ! Lâche et sournois, Staline n’ose pas prendre l’offensive et se contente d’agressions sur des fronts seçondaires : 150.000 tonnes de convois sont coulés en Baltique, malgré l’envoi de croiseurs d’escorte, et les puits de pétrole de Mossoul sauvagement bombardés. Des partisans Iraniens, révulsés par cette barbarie, se soulèvent contre l’oppresseur Bolchévique et occupent les 2/3 des puits de pétrole du pays.
La guerre à l’ouest
Profitant d’une brève accalmie, la Wehrmacht passe à la contre-offensive et les Panzers, malgré l’échec total de la Luftwaffe, arrivent à repousser les Américains d’une bonne centaine de kilomètre. D’ici peu, ils seront renvoyés de l’autre côté de l’Atlantique et pourront y préparer la défense des côtes américaines. Le piège de Dönitz se referme en effet sur le cou de poulet des alliés occidentaux : les flottes combinées Germano-Italiennes surgissent au large des côtes Françaises, se moquent du gros de la Royal Navy, et, par trois fois, surprennent les convois alliés et leur escorte : deux croiseurs légers, un navire de transport, un ASW et 350.000 tonnes de convois sont envoyés par le fond :clap:.
Le solde se replie, plus aucune ressource n’arrive en Angleterre, réduite à ses propres et limités moyens ! Le blocus a commencé, Churchill le misérable ne tardera plus à offrir sa reddition sans condition. Des renforts aériens et terrestres arrivent au Maroc, Washington semble préparer un mauvais coup, les défenses de Gibraltar sont passées en revue et le général Kleist affirme : « Je ne sais pas si les Yankees envisagent sérieusement de reprendre Gibraltar, mais ce qui est certain c’est que nous n’allons pas leur laisser la forteresse. Nous y sommes, nous y restons ! » :tongue:
La guerre du Pacifique
Des dizaines de milliers de troupes quittent le Japon, sous les vivats de la foule enthousiaste : une partie part pour Rangoon, afin de contenir les ridicules prétentions anglaises de réouverture de la route de Birmanie, le solde arrive au large de la Corée et de Vladivostok. Tous n’attendent qu’un mot de l’Empereur-Dieu pour se lancer à l’assaut du Bolchevique immonde et venger l’affront de 1941.
Les Alliés cependant ne l’entendent pas de cette oreille et, probablement terrifiés au sujet du sort de l’URSS, lancent une offensive de très grande ampleur qui confirme le recentrage allié sur le Pacifique (offensive chit US pour une supercombinée, avec l’Angleterre qui soutient en naval) : le croiseur nippon Oi est coulé dans les Mariannes, le Maya dans les Salomons et une petite flotte US, centrée sur un unique porte-avion, mène un raid audacieux en mer de Bismarck, coulant 50.000 tonnes de convois et isolant les garnisons de Truk, Rabaul, et Saipan de l’Archipel. Dans le golfe du Bengale, la Royal Navy coule 50.000 tonnes de convois supplémentaires, coupant le ravitaillement de toute l’Armée Impériale de Birmanie, qui vient justement d’être considérablement renforcée.
Mais le plus étonnant demeure la gigantesque offensive sous-marine des alliés contre les convois et pétroliers nippons en mer de Chine, pourtant lourdement escortés par des croiseurs et des bombardiers. Le destin bénit curieusement cette offensive insensée et les flots du pacifique se vident de la quasi-totalité des convois Japonais : le Chokai, 300.000 tonnes de convois et autant de pétroliers sont envoyés par le fond. Alors que Tokyo médusé contemple l’horrifiant spectacle de désolation, l’US Navy lance plusieurs centaines de bombardiers contre Truk et Rabaul, les garnisons Impériales sont matraquées, affaiblies et désorganisées (plus de ravitaillement pour rappel).
Les Marines Américains prennent alors Truk d’assaut, le grand port qui sert depuis des années de base principale pour la Marine Impériale ! L’Amiral Yamamoto, le génial concepteur de la brillante attaque surprise sur Pearl Harbour du 11 Janvier 1942 défend en personne l’île avec pas moins de deux corps d’infanterie d’élite. Coup de tonnerre dans le Pacifique, l’assaut est un succès (55% de chances d’y arriver), la Marine Impériale quitte précipitamment sa base. A partir de Truk, l’US Navy va gagner un potentiel de manœuvre bien supérieur à celui dont elle disposait pour le moment, via sa base éloignée de Pearl Harbour.
Le Mikado doit laisser tomber ses rêves de revanche sanglante contre l’URSS pour le moment, non pas en raison des gesticulations alliées mais bien à cause d’un retour inopportun du mauvais temps. Des centaines d’avions partent pour les Philippines, des pétroliers reprennent audacieusement la mer pour ramener le précieux pétrole des Indes Néerlandaises au Japon assoiffé et des sous-marins ravitailleurs partent livrer vivres et munitions à la garnison désormais isolée de Rabaul.
Le japon ne finira pas l'année :o:
RoyalQuiche
27/01/2010, 12h06
Mais si, mais si !
Votre foi en notre Chef bien-aimé me semble bien friable !
Soyez rassurés, rien ne peut entraver la marche triomphale du Dantonisme !
Dussais-je moi-même payer de ma personne et faire le sacrifice suprême de mon paquet de Pépito précieusement gardé en réserve dans mon bureau pour les jours funestes où la quête salvatrice de notre Divin Grand Stratéguerre Omniscient Omnipotent et Omniprésent serait remise en question par les hordes corrompues menées par de vils dictateurs fanatiques, enchaînés à leur bassesses et baignant dans la luxure et la médiocrité !
Que nenni, il ne passeront pas ! Ou alors juste un peu et pas longtemps !
Sinon, il nous reste combien de porte-avions dans le Pacifique ? :goutte:
Il va falloir renforcer les Mariannes et les Philippines, sous peine de voir la route des Indes Néerlandaises coupée ... :ko:
Je savais que je pouvais compter sur mon habile ministre de la Propagande, de l'économie et chef de l'état-major de la Wehrmacht :mrgreen:: le Dantonisme l'emportera, n'en déplaise aux marseillais :enerve:
La victoire est proche, l'Angleterre est à bout de force, je me lancerai sous peu à l'assaut des Etats-Unis :siffle2:
Sinon, il nous reste combien de porte-avions dans le Pacifique ? :goutte:
Il va falloir renforcer les Mariannes et les Philippines, sous peine de voir la route des Indes Néerlandaises coupée ... :ko:
16 porte-avions, et autant en face, mais la qualité est largement en faveur des corrompus (des porte-avions lourds), qui vont en outre en recevoir 7 de plus dans les 2 prochains tours. L'ennemi a l'avantage, mais pas autant qu'on pouvait le craindre, les USA n'ont pas eu un programme de construction navale réllement massif. Et nous compensons par la bravoure et l'ingéniosité :o:
Des centaines d'avions et des renforts terrestres ont été expédiés pour défendre les Philippines, mais pour les Mariannes, c'est sans espoir, la Marine Impériale ne devrait plus pouvoir assurer le ravitaillement de la garnison :?: ( la défense se concentre sur l'île de Saipan, mais rien de bien lourd, le piège se refermera sur les corrompus en mer de Chine :mrgreen:)
lemarseillais
29/01/2010, 15h56
Chaque tour qui passe me rapproche de ce grand moment que je savourerai avec délectation : celui de la branlée mémorable de Danton, le gourou à 2 balles de Bruxelles (ça me rappelera celles que je lui mettais sur EU) :chicos:
Le Dantonisme rencontre présentement quelques soucis mineurs en France :siffle2:, mais sa victoire finale est inévitable, d'ailleurs les hordes Bolcheviques viennent tout juste d'échouer lamentablement leur sauvage mais désorganisé assaut contre Moscou :tongue:
J'y retourne, je me dois de préparer la bataille de Paris :o:
Mai / Juin 1944. La revanche de 1941
Le front de l’ouest
Rome s’engage sans compter pour mettre en péril les lignes de ravitaillement alliées : les sous-marins expédient leurs torpilles au large de Dakar, la marine de guerre lutte des côtes Françaises jusqu’au Maroc, mais le bilan apparaît dérisoire : 200.000 tonnes de convois seulement sont envoyés par le fond et la Luftwaffe basée en Espagne subit une saignée en tentant vainement de soutenir son allié. En France, la Wehrmacht expédie d’importants renforts, 2° Panzer SS en tête.
Le tonnerre vient du ciel (quelle originalité :mrgreen:) : des centaines de bombardiers britanniques matraquent les positions de l’Axe en France : Model, Graziani et la 9° Panzer SS sont désorganisés, voilà quasi le cœur du dispositif de l’OKW neutralisé avant même le début de l’offensive alliée, qui suit immédiatement ces raids meurtriers : Mac Arthur lance une offensive de grande envergure (offensive chit). Nantes est prise d’assaut par le général Hodges, les blindés Italiens sont pulvérisés en Normandie, les Marines débarquent au sud de Saint-Nazaire, où ils se font taillé en pièce et des centaines de parachutistes sautent au sud de la Loire, directement sur le quartier général Allemand de Kleist, qui est sauvagement massacré ! Impulse aérienne Britannique et Offensive Chit Américain, les Alliés ont mis le paquet pour percer.
L’OKW ne panique cependant pas, malgré l’envoi de plusieurs unités, dont la fameuse 1° Panzer SS, sur le front de l’est, où la situation se complique et contre-attaque avec fougue les parachutistes US : les alliés ne doivent pas passer la Loire ! La supériorité aérienne alliée fait cependant échouer l’assaut et Eisenhower contre-attaque avec violence (nouvel offensive chit) : la Rochelle tombe, les 2° et 9° Panzers SS sont obligées de retraiter, mais en bon ordre, le front de l’ouest est plus solide que jamais et à ce rythme les alliés corrompus n’atteindront pas le Rhin avant 1950, le Dantonisme l’aura emporté bien avant cela.
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Le front de l’Est
Le général Koniev ouvre les hostilités avec une offensive à l’ouest de Kursk : non seulement c’est un sanglant échec, mais Manstein en profite pour contre-attaquer et pulvériser les Bolchéviques au sud de Tula. Au nord, Timoshenko et Vatutin se montrent plus prudents, méthodiques et lents dans leurs avancées qui menacent l’ensemble de la région Moscovite. Le général Kesselring, malgré la pression toujours grandissante, ne cède cependant pas grand-chose, seule Ryazan est perdu malgré la résistance des SS Slaves, et la Wehrmacht conserve plus ou moins ses positions, tout va pour le mieux :).
Dans le sud, Joukov concentre le gros des moyens de l’Armée Rouge et lance un assaut extrêmement violent (offensive chit) : les blindés de la Garde franchissent en masse le Dniepr, Nikolaev tombe après de sanglants combats. Tout le front sud est menacé d’effondrement, mais Berlin réagit avec calme et assurance : des unités d’élite arrivent de France, notamment la 1° Panzer SS, et une partie du GAC fonce vers Kiev afin de renforcer le GAS.
Ces mesures énergiques sont salutaires, les nouvelles offensives de l’Armée Rouge au sud de l’URSS se soldent toutes par de retentissants échecs ! Sournois et perfides, Timoshenko et Vatutin en profitent pour relancer l’offensive dans les régions de Tula et Moscou : qu’ils se réjouissent donc, ils ne pourront plus le faire longtemps ! Maintenant que la situation au sud a été rétablie, la Wehrmacht va pouvoir passer à la contre-offensive et repousser tous ces sauvages jusque derrière la Volga.
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La guerre du Pacifique
Le Japon escorte lourdement ses convois et rétabli le ravitaillement de l’armée de Birmanie, des dizaines de milliers de soldats prennent le large pour la Corée où, à peine arrivés, ils apprennent l’incroyable : le Hun barbare a déclaré la guerre au Japon ! Des unités du NKVD ont même pénétrés avec fourberie en Chine, territoire Japonais comme personne ne peut l’ignorer, où ils ont enlevés le douanier Hiro Mashi, honnête père de famille avec 6 enfants. Ce crime sauvage ne peut rester impuni, 150.000 soldats et des centaines de blindés franchissent la frontière et débarquent massivement, mais ils sont privés du bénéficie de la surprise :(.
La bravoure du Samouraï permet cependant de refouler les bandits Soviétiques, Seoul et Port Arthur sont pris d’assaut, à la baïonnette. Le brigadier Hiro Mashi et l’honneur de l’Armée Impériale, terni par la défaite de 1941, sont désormais saufs. Au Japon, l’on célèbre avec force enthousiasme cette victoire contre la barbarie, ni les chutes de Saipan et Palau, dans les Mariannes, pris d’assaut par les Marines US ni l’avancée dérisoire de Mountbatten en Birmanie ne parviennent pas à troubler l’ambiance festive qui règne à Tokyo : le colosse Russe, vainqueur en 1941, est repoussé et humilié ! :tongue:
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Juillet / Août 1944. Déchainement Allié en France
Le front de l’ouest
D’importants renforts convergent vers la France, l’OKW s’attend à un été particulièrement chaud en France et il ne se trompe pas : les Alliés, suivant une technique désormais bien rôdée, lancent d’innombrables bombardements aériens, principalement Britanniques, suivis de vagues entières de blindés Américaines (offensive chit Mac Arthur). Dénué d’imagination, le Haut Commandement Allié répète quasi sa stratégie du mois de juin et balance ses parachutistes directement sur le Quartier Général Badoglio cette fois. Le fougueux Italien est massacré, mais pas un parachutiste n’en réchappe cette fois. Ordre est donné aux officiers de Haut rang de se stationner désormais en permanence avec une puissante unité blindée, la Luftwaffe débordée ne pouvant plus pour le moment assurer leur pleine et entière protection.
Les unités blindées en question rencontrent malheureusement elles aussi quelques soucis : les troupes Américaines percent au sud de la Rochelle et au nord de la Loire, elles atteignent de fait la position occupée un instant plus tôt par le regretté général Badoglio. Berlin se réjouit : ainsi, les Yankees ont pu contempler, muets de peur, les innombrables cadavres des parachutistes Alliés, massacrés jusqu’au dernier. Les pleutres paniqués ne devraient pas tarder à supplier leurs officiers de s’en retourner rapidement de l’autre côté de l’Atlantique.
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Afin d’ôter aux ploutocrates leurs derniers espoirs, des troupes quittent précipitamment la péninsule Ibérique pour renforcer le front Français. Sage décision, les sauvages repartent à l’assaut et, après avoir bombardé sauvagement la 2° Panzer SS, désorganisée, s’élancent entre Seine et Loire (offensive chit Eisenhower). Les blindés percent sur au sud de la Rochelle et, surtout, entre Seine et Loire : les blindés Américains atteignent la Seine, Paris, la Ville Lumière, est désormais à la portée des canons de ces brutes sauvages, des dizaines de milliers de civils Français ont été écrasés sans pitié par les véhicules blindés des envahisseurs. L’infanterie Canadienne crée en outre la surprise en débarquant de l’autre côté de la Seine : elle balaye les miliciens Italiens et s’empare de Rouen !
Pour des raisons humanitaires et afin de préserver les populations civiles Françaises, le général Model, approuvé par l’OKW, décide de déplacer le front défensif de l’Axe derrière la Seine, des renforts arrivent par trains entiers d’URSS afin d’établir ce nouveau front, le général Graziani, lui, se replie derrière la Garonne, mais les ploutocrates corrompus ne semblent jamais avoir assez de sang et relancent l’offensive (offensive chit sur Bradley… Oui, mais bon, il y en a encore beaucoup des comme cela :enerve:?). Les blindés Américains franchissent la Garonne et foncent à l’ouest : les faubourgs de Vichy et Paris sont largement atteints, la 2° Panzer SS, l’élite de la Wehrmacht à l’ouest, disparaît soudainement du front, ses hommes ont probablement décidés de venir prioritairement en aide aux populations françaises victimes de la sauvagerie Anglo-Saxonne.
Les U-Boats de Dönitz, chevaliers blancs de l’Europe en guerre, décident de venger ces martyrs et se lancent à l’assaut des lignes de communication alliée au large de la France : 300.000 tonnes de convois et le Tourville sont envoyés par le fond, mais le prix à payer est exorbitant, 125 sous-marins disparaissent dans les flots de l’Atlantique, la moitié de la force sous-marine du Reich ! Il est vrai que les alliés ont réduits désormais leurs convois et choisis de concentrer l’essentiel de ceux-ci en Atlantique : la production anglaise ne peut plus tourner à plein régime, aveux éclatant de l’impuissance des Anglo-Saxons à remporter la bataille de l’Atlantique, mais les escortes des convois maintenus ont été quasi doublées.
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Le front de l’Est
Le général Vatutin trouve enfin assez de courage en lui pour attaquer massivement dans la région Moscovite, l’Armée Rouge arrive même à isoler le général Kesselring et la garnison de Yaroslavl. L’OKH expédie alors Von Bock à Kalinin, ce dernier rétablit le ravitaillement, mais Yaroslavl est évacuée. Plus au sud, Manstein écrase les Soviétiques au sud de Tula et Rommel reprend Nikolayev, tandis que Rundstedt effectue un repli habile au centre sur des positions défensives préparées à l’avance.
L’Armée Rouge se sent pousser des ailes et attaque sur l’ensemble du front : l’attaque principale a lieu directement contre Moscou ! Mais la Wehrmacht ne cède plus un kilomètre et les Huns sauvages sont taillés en pièce, seul Joukov, au sud, obtient quelques succès bien éphémères. L’ennemi épuisé, l’OKH passe à la contre-offensive et rétablit complètement la situation dans la région Moscovite. Au centre, de même, les blindés Roumains reviennent devant les faubourgs de Koursk. Staline cependant refuse d’admettre que la victoire du Dantonisme est inéluctable : ses troupes prennent Tula d’assaut. Et tiennent la ville 9 jours, ni plus, ni moins : une contre-offensive de Manstein chasse l’Armée Rouge de la ville.
http://img246.imageshack.us/img246/1412/urssnord0844.jpg (http://img246.imageshack.us/i/urssnord0844.jpg/)
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La guerre du Pacifique
Les flottes alliées surgissent au large de Batavia et Rabaul, les sous-marins en mer de Chine, l’Armée Impériale s’empresse d’envoyer des renforts aériens à Manille et terrestres dans les Indes Néerlandaises : les ploutocrates corrompus ne passeront pas ! De fait, pleinement concentrés sur leurs opérations en France, les Alliés n’ont guère l’occasion d’agir dans le Pacifique : des renforts aériens Américains arrivent en Australie, l’US Navy bombarde en vain à de nombreuses reprises la garnison de Rabaul, qui s’accroche à son roche avec obstination.
L’Armée Impériale profite de cette accalmie pour relancer l’offensive en Manchourie : le général Terauchi perce au nord ouest de Mukden, le général Hata achève la conquête de la Corée et expédie ses forces vers le nord : prise en tenaille, la grande ville de Mukden est attaquée avec force, mais le général Soviétique Yeremenko parvient in extremis à repousser l’assaut.
http://img27.imageshack.us/img27/5168/manchourie0844.jpg (http://img27.imageshack.us/i/manchourie0844.jpg/)
Des partisans apparaissent en France (Lyon), Belgique, URSS et Yougoslavie, l’effondrement du front Français semble galvaniser les terroristes.
lemarseillais
08/02/2010, 13h39
Ca fait plaisir :chicos:
Wahou, eh bien... çà sent un peu le début de la fin pour le grand Reich. :mouais:
Quel est ton objectif à présent?
Mon objectif est simple: la victoire, la victoire et rien que la victoire :chicos:
Le triomphe du Dantonisme est proche, certains ne s'y sont pas trompés: des dizaines de milliers de Marseillais se portent volontaires pour défendre les étendards du Reich de 1000 ans :clap: (ou alors ils rejoignent la résistance, je ne sais plus très bien :siffle2:)
Le déluge allié en France n'est rien, maintenant l'ennemi est affaibli, vulnérable, j'aime cela :chicos:. Les USA n'ont plus d'offensive chit et n'en recevront pas le prochain tour! Certes, l'Angleterre en a un dans sa poche, mais ces bâtards ne m'effrayent pas. Le front de la Seine tiendra :=(:
S'il craque (peu probable :tongue:), il faudra sans doute effectuer un repli stratégique sur des positions défensives soigneusement préparées, derrière le Rhein et la Meuse probablement, les plaines Françaises ne sont pas tenables... A moins que le mauvais temps ne s'en mêle :mrgreen:
La Glorieuse Armée d'Italie se chargera de la défense des Alpes et des Pyrenées... Et n'oublions pas que le front de l'Est est plus solide que jamais :clap:. Quasi tous mes renforts peuvent partir à l'ouest et les troupes arrivent très rapidement sur le front :siffle2:.
En vérité je suis assez confiant :)
Dans le Pacifique, c'est plus délicat. Une fois que le mauvais temps frappera l'Europe, les Alliés devraient se concentrer sur ce front (il fera probablement beau dans la région des Indes Néerlandaises et Philippines), tout peut s'effondrer très rapidement... Mais l'Armée Impériale est en position de force sur le continent :clap:
Tout ira bien :o:
RoyalQuiche
09/02/2010, 00h25
Mon objectif est simple: la victoire, la victoire et rien que la victoire :chicos:
Le triomphe du Dantonisme est proche, certains ne s'y sont pas trompés: des dizaines de milliers de Marseillais se portent volontaires pour défendre les étendards du Reich de 1000 ans :clap: (ou alors ils rejoignent la résistance, je ne sais plus très bien :siffle2:)
Le déluge allié en France n'est rien, maintenant l'ennemi est affaibli, vulnérable, j'aime cela :chicos:. Les USA n'ont plus d'offensive chit et n'en recevront pas le prochain tour! Certes, l'Angleterre en a un dans sa poche, mais ces bâtards ne m'effrayent pas. Le front de la Seine tiendra :=(:
S'il craque (peu probable :tongue:), il faudra sans doute effectuer un repli stratégique sur des positions défensives soigneusement préparées, derrière le Rhein et la Meuse probablement, les plaines Françaises ne sont pas tenables... A moins que le mauvais temps ne s'en mêle :mrgreen:
La Glorieuse Armée d'Italie se chargera de la défense des Alpes et des Pyrenées... Et n'oublions pas que le front de l'Est est plus solide que jamais :clap:. Quasi tous mes renforts peuvent partir à l'ouest et les troupes arrivent très rapidement sur le front :siffle2:.
En vérité je suis assez confiant :)
Dans le Pacifique, c'est plus délicat. Une fois que le mauvais temps frappera l'Europe, les Alliés devraient se concentrer sur ce front (il fera probablement beau dans la région des Indes Néerlandaises et Philippines), tout peut s'effondrer très rapidement... Mais l'Armée Impériale est en position de force sur le continent :clap:
Tout ira bien :o:
Le temps me manque, mais sachez, mon chers Maître (pffff ... y'a du Star Wars dans la tête ... :mrgreen: ) que je suis de tout coeur à vos côté. Nous surmonterons cette crise comme nous avons surmontés les crises du Passé.
Les hordes corrompues pluto-bolchevo-marseillaises ne terniront pas le beau terreau de notre jeunesse (je sais, ça ne veut rien dire ! Mais les masses populaires dantoniques n'ont pas besoin de comprendre, elles doivent juste suivre Sa Grande Lueur :lol:). Leur culture décadente et dégénérée ne masquera pas le formidable éveil intellectuel du monde dantonesque. :enerve:
Souvenez-vous du slogan de vos heures glorieuses : "Quand j'entends le mot Culture, je sors ma kékette !". :o:
Courage mon Maître !
:vador:
lemarseillais
09/02/2010, 15h23
Tu n'as pas honte Danton de plagier une formule du bulldogue pour l'insérer dans un discours du Mal germanique :enerve:
Quant à votre slogan, je dois bien reconnaître qu'il sied parfaitement à l'image que l'on se fait de cette doctrine :o:
Le temps me manque, mais sachez, mon chers Maître (pffff ... y'a du Star Wars dans la tête ... :mrgreen: ) que je suis de tout coeur à vos côté. Nous surmonterons cette crise comme nous avons surmontés les crises du Passé.
Les hordes corrompues pluto-bolchevo-marseillaises ne terniront pas le beau terreau de notre jeunesse (je sais, ça ne veut rien dire ! Mais les masses populaires dantoniques n'ont pas besoin de comprendre, elles doivent juste suivre Sa Grande Lueur :lol:). Leur culture décadente et dégénérée ne masquera pas le formidable éveil intellectuel du monde dantonesque. :enerve:
Souvenez-vous du slogan de vos heures glorieuses : "Quand j'entends le mot Culture, je sors ma kékette !". :o:
Courage mon Maître !
:vador:
Comme c'est beau :chicos:
:hurle: Le Dantonisme l'emportera!
La production annonce une importante mise à jour sous peu: le tour de mars/avril 1945 est désormais terminé :o:
La production annonce une importante mise à jour sous peu: le tour de mars/avril 1945 est désormais terminé :o:
Heuu, et la partie avec?:mrgreen:
RoyalQuiche
15/02/2010, 11h48
Heuu, et la partie avec?:mrgreen:
:lol:
Oui, les Alliés ont été repoussés en Terre-Adélie ! :siffle:
Disons que l'ennemi s'accroche toujours à ses derniers espoirs, comme le poivrot à son dernier verre :o:
Mais il devra se rendre à l'évidence, la victoire du Dantonisme est inéluctable :clap:
Comment pourrait-il en être autrement alors que, fin mars 1945, Paris et Mosc... Ah non, juste Paris :siffle2: sont toujours solidement tenus par nos glorieuses armées?
:hurle: La victoire est proche!
Septembre / Octobre 1944. Paris et Moscou résistent
Le front de l'ouest
La Wehrmacht reste sur la défensive, confiante et assurée de sa force : les Etats-Unis doivent marquer la pause et revoir leur logistique avant de pouvoir réellement repartir à l’assaut. Mais l’Angleterre reprend soudainement le flambeau et lance une offensive de grande envergure (offensive chit sur Alexander) : Paris est bombardée puis les troupes Anglo-Américaines d’Alexander et Bradley lancent l’assaut contre la capitale, farouchement défendue par Guderian. La Luftwaffe intervient massivement et parvient à passer à travers les hordes ennemies : les Stukas font pleuvoir leurs bombes, l’assaut est un désastre. :p:
Plus au nord, les blindés Canadiens créent cependant la surprise en prenant Boulogne puis en exploitant directement sur Lille, la grande ville industrielle : les Alliés ont atteints la frontière Belge ! Et les blindés Américains, eux, percent à l’est de Vichy : la Loire est franchie, Eisenhower roule droit vers le Rhin. La réaction du Reich est vigoureuse : les troupes Germano-Italiennes reprennent Boulogne d’assaut et isolent de ce fait les blindés Canadiens dans Lille. L’artillerie frappe, les ploutocrates sont désorganisés et la grande ville industrielle est prise d’assaut. Le général Hodges lance alors une vigoureuse offensive en coordination avec les troupes Britanniques stationnées à Rouen pour franchir la Seine au nord de Paris, en vain : l’offensive alliée a échoué, Paris reste hors de leur portée.
L’axe sud craque cependant complètement. La 9° panzer SS est balayée dans les plaines Françaises, les parachutistes alliés sautent avec succès au nord de la Saône puis une vigoureuse offensive blindée du Canadien Crerar permet tout d’abord le franchissement de la Seine puis de la Saône : les blindés américains sont désormais à mois de 200 kilomètres du Rhin. Les troupes de Mac Arthur, elles, se ruent plein sud et s’emparent de Marseille : la méditerranée est atteinte, une première depuis deux ans pour les ploutocrates corrompus.
Face au danger qui semble peser sur le régime (illusion naturellement, mais les masses populaires et superstitieuses paniquent toujours sans raison :siffle2:), des dizaines de milliers de Marseillais s’engagent massivement dans les rangs de la Wehrmacht ou des armées Italiennes : l’amour sincère du Dantonisme est en effet profondément ancré dans le cœur de tous les Marseillais. Le général Graziani se replie en Espagne, le général Balbo prend le commandement de l’armée des Alpes, les généraux Guderian, Model et Kleist mettent au point un plan jaune bis, la réédition de la campagne de France de 1940.
http://img12.imageshack.us/img12/1373/france1044.jpg (http://img12.imageshack.us/i/france1044.jpg/)
Le front de l’est
L’Armée Rouge va lancer une offensive en trois étapes, auxquelles l’OKH va répondre avec tout son immense talent. Le lancement des deux premières étapes commence dès le début du mois de septembre : le général Joukov attaque avec violence et franchit le Dniepr, s’emparant à nouveau de Nikolaev, mais ses troupes font immédiatement face à une contre-offensive d’envergure. La 1° panzer SS repousse les Soviétiques épuisés, Joukov doit relancer l’offensive plus au nord, à l’ouest de Dnepropetrovsk : sanglant désastre. Méthodiquement, la 1° panzer SS contre-attaque à de nombreuses reprises les hordes Bolchéviques épuisées et les repousse derrière le Dniepr. Seule l’intervention de deux unités de la Garde permet à Joukov de conserver une tête de pont de l’autre côté du fleuve. Le front sud est plus solide que jamais, la Wehrmacht va pouvoir passer l’hiver bien retranchée sur ses positions : le mur de l’est tiendra !
http://img716.imageshack.us/img716/4995/urss1044.jpg (http://img716.imageshack.us/i/urss1044.jpg/)
Dans l’extrême-nord, l’Armée Rouge crée la surprise en lançant une offensive soudaine à partir de Pskov : les faubourgs de Vitebsk sont atteints ! Von Bock est immédiatement rappelé du front Moscovite, et, avec plusieurs unités retirées de ce front, colmate rapidement la brèche qui venait de s’ouvrir dans le flanc nord du Groupe d’Armée Centre. Moscou lance alors la dernière étape de son plan : une offensive de grande ampleur dans la région Moscovite à présent moins défendue (offensive chit sur Koniev). Les fantassins Soviétiques se lancent par vagues entières à l’assaut de la capitale Russe : des dizaines de milliers d’entre eux tombent avant même de pouvoir apercevoir les coupoles du Kremlin. Le drapeau Dantonien flotte toujours fièrement et le général Kesselring affirme haut et fort « J’y suis, j’y reste ! :chicos:». Tula tombe cependant après de sanglants combats de rue, lot de consolation dérisoire pour le camarade Staline vaincu et humilié. :tongue:
Du front de l’ouest arrive la nouvelle de l’échec de l’assaut Anglo-Saxon sur Paris : ce double succès Dantonien démoralise complètement l’ennemi terroriste, qui ne devrait plus tarder à offrir sa capitulation sans condition.
La guerre du Pacifique
Les flottes Anglo-Saxonnes prennent position puis les Marines s’élancent à l’assaut des Indes Néerlandaises et des Philippines : Legaspi, Davao, Makassar et Menado sont pris d’assaut et immédiatement transformés en terrains d’aviations. Des centaines de chasseurs et bombardiers Américains se ruent sur ces bases, l’Armée Impériale se venge en bombardant en vain Mukden, qui résiste farouchement. La Marine Impériale, elle, protège les convois et renforce ses positions aériennes en mer de Chine : sage initiative, l’US Navy au grand complet, escortée par les escadrilles des récentes conquêtes, surgit dans cette mer et recherche la bataille décisive. Les flottes cependant ne se trouvent pas. Le général Clark se venge en prenant Cebu, une base de plus pour l’US Navy. Le Mikado, lui, dispose de bases innombrables sur le continent et de nouvelles escadrilles ne cessent de se former dans l’Archipel, tout va pour le mieux.
http://img21.imageshack.us/img21/6363/nei1044.jpg (http://img21.imageshack.us/i/nei1044.jpg/)
Novembre / Décembre 1944. Trêve hivernale
6 impulses (passe de l’axe lors de la 5°), neige en Europe.
La guerre en Europe
La solidité du front de l’Est permet à Berlin d’expédier à l’ouest la totalité de ses renforts : constatant l’arrivée des indomptables hordes germaniques puis le mauvais temps qui règne sur l’ensemble du front, les Anglo-Saxons, frileux et couards, décident de marquer une pause hivernale, aucune offensive ne sera lancée sur ce front.
Les Soviétiques, pourtant plus habitués aux rigueurs du climat, se laissent contaminer par les ploutocrates décadents et restent de même l’arme au pied.
A Berlin, le froid n’empêche pas les défilés pour célébrer la fin de l’année 1944 : les fronts ouest et est sont plus solides que jamais, le Dantonisme est inébranlable et marche vers la victoire.
La guerre du Pacifique
La Marine Impériale et l’US Navy se cherchent et s’esquivent sans cesse en mer de Chine, personne ne semble réellement rechercher l’affrontement et la mer reste contestée durant deux mois. En mer du Japon, les sous-marins alliés profitent de tempêtes pour se livrer à des crimes sauvages : 250.000 tonnes de navires marchands et 200.000 tonnes de pétroliers sont envoyés par le fond.
De nouvelles invasions se lancent cependant : les Marines débarquent à Surabaya, le général Clark écrase les miliciens Japonais qui bloquaient la route vers Manille. Nous verrons ce que ce pleutre fera devant la capitale des Philippines, solidement défendue par deux unités d’élite de l’Armée Impériale. L’Australien Blamey débarque quant à lui en Malaisie, Kuala Lumpur tombe sans combat entre ses mains, le Mikado tient cependant solidement Singapour. Pour en terminer avec ces petites contrariétés mineures, la Royal Navy coupe le ravitaillement de l’armée de Birmanie, Yamashita affirme néanmoins que ses hommes tiendront le front sans jamais se sustenter si nécessaire : la foi dans la proche victoire du Dantonisme suffit pour combler leurs estomacs vides :mrgreen:.
Janvier / Février 1945. Le calme avant la tempête
4 impulses seulement (passe de l’axe qui met fin au tour :mrgreen:)
Un temps épouvantable s’abat sur l’Europe, les Alliés restent terrés chez eux et se veulent menaçants : « L’été verra l’apocalypse s’abattre sur l’Europe ». De fait, leur choix de rester passifs tout l’hiver leur permet d’accumuler d’immenses moyens, surtout pour les riches Etats-Unis en fait ( 6 offensive chit US disponibles début mars… L’été sera chaud :?:).
Le Dantonisme triomphant profite de ce délai pour renforcer massivement ses positions : des blindés arrivent en France, l’Italie expédie des renforts en Espagne.
Dans le Pacifique, où le temps est meilleur, les flottes Anglo-Saxonnes cherchent la bataille décisive en mer de Chine, mais la Marine Impériale se joue habilement de l’ennemi avec ses audacieuses manœuvres, preuve de son talent et de son immense supériorité sur les amateurs occidentaux à peine capables de naviguer. Des centaines de chasseurs prennent en outre position à Canton, Hong Kong, Manille et Batavia : le Mikado est prêt ! :tongue:
Mars / Avril 1945. La chute de Moscou
Le front de l’ouest
Les Etats-Unis et l’Angleterre frappent fort d’entrée de jeux : offensive chit pour une impulse « supercombinée ». Des bombardiers partis du sud de la France surgissent en méditerranée, une première depuis très longtemps, et anéantissent sauvagement 100.000 tonnes de convois : le ravitaillement de l’Axe en Espagne est coupé ! La garnison de Gibraltar est bombardée puis les Marines débarquent, soutenus par les tirs des gros cuirassés de la Royal Navy et les troupes de Tanger. Mais, en face, il y a deux corps d’infanterie de montagne, qui ont eu trois ans pour se retrancher solidement et qui n’ignorent rien de leur mission vitale : ils tiennent les portes de la méditerranée. Les Marines sont massacrés jusqu’au dernier :=(:. Plus au nord, les troupes Anglo-Saxonnes débarquent en force à Cadiz et sur les plages au nord de Gibraltar, la garnison Italienne est balayée.
En France, des centaines d’avions s’affrontent, la Luftwaffe sort indéniablement vainqueur de cette lutte des titans et des Stukas pilonnent les blindés Américains sur l’offensive : en vain cependant, Patton franchit la Seine avec succès, tant au nord qu’au sud de Paris. L’étau autour de la capitale Française se resserre. L’OKW estime la situation préoccupante et donne son feu vert à Guderian pour une contre-offensive de grande ampleur : les 2° et 3° panzers SS surprennent les Yankees à l’aube du 12 mars et les repoussent partiellement de l’autre côté de la Seine.
http://img638.imageshack.us/img638/7784/france0445.jpg (http://img638.imageshack.us/i/france0445.jpg/)
La neige s’abat alors sur le front, à la grande joie de Berlin, qui amène tranquillement des renforts et goûte à une nouvelle sérénité. Frustrés, les Alliés se vengent en Espagne, où le temps est meilleur : Bradley encercle Graziani, le coupe de son ravitaillement puis l’anéantit et perce jusque Saragosse. Montgomery, lui, débarque à Cadiz et lance le siège de Gibraltar, la fière forteresse qui défie Londres sans fléchir. La flotte Italienne rétablit le ravitaillement vers l’Espagne, tout va pour le mieux.
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Le front de l’Est
Le général Koniev lance l’armée Rouge à l’assaut de la région Moscovite (offensive chit) : ses troupes balayent la 4° panzer SS au nord de Tula, Timoshenko obtient le même succès contre la 5° infanterie de montagne SS et… Vatutin prend Moscou d’assaut ! Encouragé par ce succès extérieur, le terroriste Tito et son armée de partisans fous tente un assaut contre Belgrade : les SS Croates le taillent en pièces. L’OKH ordonne un repli stratégique sur des positions préparées à l’avance, mais Timoshenko ne l’entend pas de cette oreille : l’infanterie Soviétique repart à l’assaut et arrive à moins de 100 km de Smolensk. L’assaut n’est cependant pas décisif, faute pour le général Bolchevique de disposer d’unités de blindés (c’est le seul point du front où le Russe n’a pas de blindés).
Le repli s’accélère, mais la neige ne semble pas freiner les ardeurs des Soviétiques, bien équipés pour la lutte dans ces rudes conditions : ils s’emparent de Bryansk et Kalinin. La situation est jugée suffisamment sérieuse pour justifier une déclaration du numéro deux du régime, le très illustre RoyalQuiche : « Le Dantonisme est en pleine restructuration en vue d’assurer au mieux sa future victoire, et naturellement l’ennemi en a profité. Feu de paille qui ne saurait même pas retarder la victoire finale désormais inéluctable. Longue vie au Dantonisme ! :clap:»
http://img171.imageshack.us/img171/7897/urss0445.jpg (http://img171.imageshack.us/i/urss0445.jpg/)
La guerre du Pacifique
Les flottes Alliés cherchent en vain la flotte Impériale ou ses convois en mer de Chine, les amiraux Nippons sont trop habiles pour ces maladroits empotés. Rabaul, Hanoi et Saingapour sont bombardés en vain, mais Rangoon et Mandalay sont sérieusement matraqués. La Marine Impériale reçoit l’ordre d’intervenir et s’avance fièrement, puissamment soutenues par l’aviation Impériale. Deux porte-avions Nippons et un croiseur sont coulés en baie du Bengale, 500 avions et un porte-avion de plus en mer de Chine, mais le ravitaillement est rétabli. Fière de ce succès, la Marine Impériale retourne au Japon fêter sa victoire et les pleutres Anglo-Saxons en profitent aussitôt avec une rare mesquinerie pour couler 250.000 tonnes de convois.
Mountbatten lance l’assaut sur Mandalay, le général Yamashita est sérieusement blessé et rapatrié dans l’Archipel, les Marines US prennent Batavia d’assaut et l’intégralité des Indes Néerlandaises dans la foulée. Le Japon a cependant fortement augmenté sa production de pétrole et n’a plus besoin désormais des ressources des Néerlandais : cette dépendance était inacceptable, le Glorieux Empire sait subvenir seul à ses besoins. La Marine Impériale reçoit ainsi l’ordre de ne plus s’aventurer en mer de Chine, et encore moins en baie du Bengale, le Japon n’a plus rien à faire là bas, ces terres n’offrent plus aucun intérêt pour lui.
Mai/Juin et Juillet/Août terminés.
:hurle: Le Dantonisme va l'emporter!
Madrid, Paris, Talinn et Formose sont tombés (entre autre :siffle2: ), mais c'est l'euphorie qui règne à Berlin, Rome et Tokyo: les préparatifs pour le défilé de la victoire ont en effet commencés :chicos:
RoyalQuiche
22/02/2010, 15h13
Je ne dirais qu'une chose :
"Le Dantonisme est en pleine restructuration en vue d’assurer au mieux sa future victoire, et naturellement l’ennemi en a profité. Feu de paille qui ne saurait même pas retarder la victoire finale désormais inéluctable. Longue vie au Dantonisme !" :roi:
Entendons-nous bien, nous sommes à l'été 1945 et les frontières du Grand Dantonreich (à ne pas confonfre avec le Dantonku, qui est une simple province de l'Empire ... :siffle: ) sont toujours inviolées. L'inébranlable volonté de la jeunesse dantonienne saura tenir hors du territoire sacré de notre chère Patrie les hordes sanguinaires et corrompues des ennemis du Dantonisme.
Déjà la ferveur de nos innombrables partisans marseillais, prêts au sacrifice ultime pour leur Grand Leader Éclairé, fait frémir de terreur les soldats ennemis.
Nul doute que la victoire approche, elle est même plus proche que jamais, et ces insignifiants replis stratégiques, manœuvres totalement contrôlées par notre grand état-major, ne sont que le prémices d'une réorganisation de nos forces qui donnera à notre invincible armée la possibilité de lancer de formidables contre-offensives qui repousseront les Alliés désemparés jusqu'à Villedieu-la-Gravoyère ou même jusqu'à Châtelaillon-Plage !
Le Japon est déjà transformé en une formidable forteresse imprenable. Les vaillants soldats nippons attendent de pied ferme les vagues ennemies, qui viendront se briser sur le rempart inébranlable de l'esprit de sacrifice de nos chers soldats.
La barrière des Alpes est aussi un obstacle infranchissable, la fière armée italienne a déjà fait preuve de son courage et de son sens du sacrifice. Quant-à nos troupes d'élites stationnées en France, elle infligent jours après jours des pertes insupportables à l'ennemi, dont les peuples asservis et baillonés commencent à redouter que le Dantonisme n'arrive jamais à leurs portes apporter le bonheur d'une civilisation nouvelle et bienfaitrice. Nous savons de sources sûres que déjà les manifestations hostiles aux régimes ploutocrates et décadents de Washington, Londres et Moscou se multiplient dans leurs pays.
Que les peuples opprimés se rassurent, le Dantonisme vaincra, par sa seul foi dans sa mission salutaire et sacré pour le Monde entier, les puissantes forces dantoniques verront un jour briller le phare de la victoire sur toutes la planète !
PS : j'attends avec impatience les nouvelles orientations stratégiques de notre Bien-Aimé Chef !
Voilà une ferveur exemplaire :clap: et quel talent, mais quel talent :priere:
L'AAR est en grande partie terminé, je poste demain au plus tard :o:
Sur le QG, je reprendrai tel quel ce brillant discours, le peuple a le droit de connaître la vérité :mrgreen:
:hurle: La victoire du Dantonisme est plus proche que jamais!
lemarseillais
24/02/2010, 22h07
Vous êtes profondément atteints :tongue:
Mai / Juin 1945. Chute de Gibraltar, Singapour, Manille et Rangoon
6 impulses seulement, dont 2 de tempêtes :mrgreen:!
Le front de l’ouest
De violentes tempêtes secouent l’Europe occidentale et gèlent les opérations militaires. Le ciel lui même indique clairement par là la volonté unanime : le Dantonisme doit triompher. Les Alliés refusent de comprendre cette évidence et, avec le retour du beau temps, repartent sauvagement à l’assaut (offensive chit US pour une impulse supercombinée) : des centaines d’avions Anglo-Saxons déboulent en méditerranée et, après de violents combats contre l’aviation Italienne, parviennent à couper le ravitaillement de la péninsule Ibérique. Gibraltar est matraqué par les bombardiers lourds de l’USAF puis le général Montgomery lance l’assaut : les unités de montagnes de l’axe finissent par céder, non sans avoir infligés de lourdes pertes aux assaillants. La porte de la méditerranée est tombée !
La Kriegsmarine décide sagement de quitter Lisbonne, sa base navale depuis des années, afin de concentrer efficacement ses moyens contre les barbares Soviétiques. En méditerranée, la lutte se poursuit pour rétablir le ravitaillement de l’Espagne, que Mussolini refuse d’abandonner à son sort, malgré la percée des blindés américains, qui les mène jusqu’à Séville.
En France, les Anglo-Saxons repartent aussi au combat (offensive chit Eisenhower) : la Luftwaffe intervient massivement et les blindés Américains s’écrasent lamentablement devant Sedan comme une bouse de vache malodorante. Patton parvient certes à percer à l’est de Rouen, mais le sot ne comprend pas que l’OKW avait déjà décidé un repli à ce niveau du front, afin de préparer au mieux la contre-offensive victorieuse à venir :o:.
Le front de l’Est
Les Soviétiques attaquent sous la neige, mais ne parviennent pas à empêcher l’OKH d’achever brillamment le repli sur la nouvelle ligne de front, qui passe par Vitebsk, Orel, Kiev et Nikolayev. Le général Koniev mobilise alors toutes les maigres forces de l’Armée Rouge(offensive chit) et lance une manœuvre en tenaille dans la région de Vitebsk : si les blindés percent au sud de la ville, la branche nord de l’assaut échoue lamentablement, preuve est faite que seule la Wehrmacht maitrise l’art complexe de la blitzkrieg. Afin de ne pas trop décourager ces amusantes tentatives, pâles imitations des géniales manœuvres tactiques du Reich, un repli supplémentaire est ordonné, Orel est évacué.
Moscou déchaine alors ses forces au sud (offensive chit Joukov) pour franchir le Dniepr : sanglant désastre. Au centre cependant, Timoshenko et Vatutin répètent la manœuvre ratée de Koniev : le premier perce au sud de Pskov et, surtout, au nord de Vitebsk, isolant de ce fait Kesselring et les garnisons de Smolensk. Vatutin attaque déjà le Kessel et deux unités de la Wehrmacht, incapables de retraiter, disparaissent dans les steppes Russes.
http://img294.imageshack.us/img294/8807/urss0645.jpg (http://img294.imageshack.us/i/urss0645.jpg/)
La guerre du Pacifique
L’US Navy, dans son immense folie, surgit à la fois au large des Philippines et du Japon : un porte-avions Impérial, un cuirassé, deux croiseurs, 300 avions et 400.000 tonnes de convois sont envoyés par le fond, toutes les lignes de communication du Japon sont coupées et les bombardiers Anglo-Saxons déversent leurs bombes au-dessus de Hanoi, Manille, Singapour, Rabaul, Saigon et Rangoon. Les fantassins prennent la relève, le général Clark s’empare de Manille et des Philippines, Blamey de Singapour et Mountbatten de Rangoon, chaque fois avec des pertes effrayantes qui illustrent bien la combativité hors pairs des soldats Impériaux.
L’Empire du Soleil Levant, las de ces petites insolences, réagit avec vigueur : la flotte Impériale au grand complet quitte le Japon et repousse l’US Navy des côtes du Japon, coulant au passage un porte-avion et un croiseur.
Juillet / Août 1945. Chute de Madrid, Paris, Formose et du mur de l’Est
7 impulses seulement, un passe de l’axe met fin au tour.
Le front de l’ouest
La Royal Navy exécute son grand retour en méditerranée et se heurte à la Marine Italienne (enfin, ce qu’il en reste :o:) au large de Chypres. Les troupes Américaines de Bradley prennent Madrid d’assaut, celles d’Eisenhower lancent un violent assaut (offensive chit) en France, qui leur permet de prendre, cette fois, Sedan et Boulogne. L’ennemi croit triompher, mais en réalité il vient de tomber dans le piège habilement préparé par l’OKW : le 13 juillet, les armées Dantoniennes passent à la contre-offensive généralisée sur l’ensemble du front ouest :=(:!
Les blindés Italiens percent au sud de Saragosse et isolent Bradley, fantoche gouverneur de Madrid, la résistance Marseillaise, fanatisée et prête à se sacrifier avec joie et allégresse pour assurer le triomphe du Dantonisme, s’attaque avec force aux troupes de Hodges, bousculées et mises en déroute par les fantassins de Balbo : les foules Marseillaises en délire accueillent avec une joie indescriptible le retour victorieux des armées Dantoniennes dans la cité Phocéenne, leur commandant en chef déclare avec ferveur « Marseille est et restera à jamais fidèle aux idéaux Dantoniens :chicos:».
En France, la Luftwaffe matraque tout ce qui bouge puis les panzers s’élancent à toute allure, dans une réédition brillante de la campagne victorieuse de 1940 ! Guderian lui même assiste à l’écrasement des blindés américains, pulvérisés dans la région de Sedan et l’épouvante envahit le haut quartier général Allié, qui voit tomber sur lui le spectre d’un nouveau Dunkerke (offensive chit Guderian). L’OKW, plus préoccupé par les préparatifs du défilé de la victoire à Berlin, ne poursuit cependant pas l’assaut jusqu’à la Manche et les Anglo-Saxons tentent de reprendre l’initiative : les troupes Canadiennes percent au sud de Paris (offensive chit Alexander), Crerar s’écrase à son tour devant Sedan, Bradley rétablit son ravitaillement en Espagne et Hodges franchit le Rhône, repoussant devant lui les valeureux soldats Italiens retranchés dans les Alpes, profitant du fait que ceux-ci fêtaient avec un peu trop d’enthousiasme la brillante victoire du Duce en méditerranée.
L’aviation Italienne, seule, est en effet parvenue à repousser la flotte d’invasion alliée qui avait surgi au large de Malte et de la Sardaigne ! L’Italie est plus puissante que jamais, ses succès ne cessent de s’enchaîner.
Preuve en est donnée avec l’assaut victorieux des Italiens sur Saragosse, Blamey étant cependant désormais ravitaillé via le sud de l’Espagne (Valence), où les Anglo-Saxons massacrent Cavallero à l’est de Séville. La vermine Anglo-Saxonne ne recule cependant devant aucun crime et le prouve une fois de plus le 24 août 1945 : Patton écrase l’élite de la Wehrmacht (offensive chit Mac Arthur), la 3° Panzer SS, la meilleure unité d’infanterie du Reich et la meilleure unité de canons antichars sont pulvérisés après un déluge de l’artillerie US :goutte:.
L’encerclement de Paris est désormais complet et un matraque aérien de la capitale Française se solde par des dizaines de milliers de civils tués. La Ville Lumière n’est plus que ruines et cendres, la sauvagerie criminelle des Alliés est réellement sans limite. Afin d’épargner à la ville martyre des souffrances supplémentaires, l’OKW ordonne aux troupes de garnison de cesser le combat et de se fondre dans les campagnes, l’appui unanime des populations Françaises reconnaissantes permet à nos valeureux soldats de rejoindre les lignes de front et d’intégrer de nouvelles unités, au sein desquels ils font passer le message des Français : tous attendent avec impatience le retour et la victoire des armées Dantoniennes !
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Le front de l’est
Le général Manstein lance une contre-offensive qui permet de libérer l’étau autour de Kesselring et Smolensk, mais l’Armée Rouge riposte avec haine et de nombreux moyens (offensive chit Koniev) : Timoshenko prend Vitebsk d’assaut, faiblement défendu il est vrai par des paysans hongrois, les blindés Soviétiques percent à l’ouest de Gomel et franchissent le fleuve. Des renforts arrivent de Prusse orientale pour colmater les brèches, mais Vatutin ne laisse aucun répit aux troupes du Grand Reich : une double attaque dans la région de Vitebsk/Smolensk s’achève par l’encerclement de Kesselring tandis que plus au nord, les blindés percent au sud de Pskov et pénètrent en Lithuanie.
Une fois de plus, Manstein riposte avec talent et efficacité, se contentant d’évacuer l’Estonie pour trouver les troupes nécessaires à la contre-offensive : Kesselring est à nouveau dégagé ! Talin tombe sans combat, un nouvel assaut de Vatutin oblige Kesselring à retraiter et l’OKH ordonne au Kessel de Smolensk de résister avec vaillance en attendant le lancement de l’opération Typhon Bis, qui devrait ramener la Wehrmacht aux portes de Moscou :o:. Première étape de cette future campagne, les Soviétiques sont expulsés de Lithuanie.
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Sur le front sud, Rokossovsky frappe le premier coup, franchissant le Dniepr au nord de Kiev, les faibles troupes Roumano-Hongroises, mal entrainées et sous-équipées, ne peuvent rien faire : les Stukas sont appelés à la rescousse et bombardent les blindés de la Garde qui ont franchit le grand fleuve. Ce succès aérien rend les troupes trop confiantes et la vigilance se relâche, la surprise est ainsi totale quand, le 15 juillet, l’Armée Rouge lance une offensive de très grande ampleur (offensive chit Joukov) qui bouscule complètement le mur de l’est : plusieurs unités blindées, notamment les vétérans de la 1° panzer SS, sont balayés comme des fétus de paille :loose:.
Berlin expédie sur le front le général Cypho, avec les pleins pouvoirs pour rétablir cette discipline de fer qui fait l’admiration du monde entier et a permis le triomphe du Dantonisme. En attendant son arrivée, un repli doit être organisé hâtivement et tous les alliés du Reich se mobilisent pour envoyer des renforts afin d’endiguer au plus vite le flot Soviétique. L’Armée Rouge relance alors ses blindés à l’assaut, dans le but d’encercler complètement le général Rundstedt dans la région de Kiev. Mais le mot d’ordre de Berlin est scrupuleusement respecté : plus de replis, il faut vaincre ou mourir. De toute l’Europe les volontaires ont afflués pour défendre l’Empire Dantonien et le miracle se réalise : les blindés Soviétiques échouent complètement, leur assaut est brisé :=(:.
Le général Rommel enfonce le clou et contre-attaque avec fougue : Rundstedt est dégagé ! Le général Cypho l’affirme haut et fort « Nous avons évacué la rive ouest du Dniepr, certes, mais il s’agit là d’un mouvement volontaire. Téméraires, les Soviétiques se sont avancés sans assurer solidement leurs bases arrières : nous allons maintenant pouvoir contre-attaquer et, dans 4-5 mois tout au plus, nous serons à Rostov puis nous marcherons sur le Caucase afin de libérer les populations oppressées. Nous sommes des libérateurs, pas des conquérants »
http://img215.imageshack.us/img215/6028/ursssud0845.jpg (http://img215.imageshack.us/i/ursssud0845.jpg/)
La guerre du Pacifique
Les indomptables soldats Impériaux, menés par le général Hata, commencent très fort le mois de juillet, afin de rappeler à tous que la victoire du Dantonisme est inéluctable : l’infanterie lance l’assaut contre Vladivostok ! Il ne s’agit cependant que d’un avertissement, Tokyo n’avait pas pour objectif de s’emparer de la ville et, après une avancée victorieuse, les troupes repartent sur leurs lignes de front initiales, laissant derrière eux des Soviétiques glacés de peur. La Marine Impériale, elle, rétablit le ravitaillement avec toutes les possessions de l’Empire, tout va pour le mieux :o:.
L’US Navy surgit au large de l’île de Formose et les Marines prennent d’assaut Tainan ainsi que, bien plus loin, Rabaul : l’héroïsme de la garnison Impériale, qui a tenu quasi deux années sans recevoir le moindre ravitaillement suscite l’admiration universelle des foules. Les pleutres Anglo-Saxons sont incapables d’une tel dévouement pour une cause juste et bonne comme le Dantonisme, raison pour laquelle ils seront vaincus :mrgreen:.
Afin d’accélérer l’arrivée de cet événement inévitable, Tokyo décide de lancer toutes ses forces aériennes et navales contre l’US Navy qui a l’audace de naviguer si proche de l’Archipel : tous les porte-avions quittent leur base de Tokyo, des centaines d’avions décollent de tous les aérodromes du pays. Au total, pas moins de 3.500 avions sont rassemblés pour la bataille décisive ! Le Haut Commandement allié, terrifié, lance alors l’assaut sur Taiheku, s’emparant par là même de toute l’île de Formose, afin de s’emparer d’un port majeur dans lequel sa flotte pourra se replier dès que la Glorieuse Marine Impériale l’aura écrasée, ce qui ne saurait tarder :o:.
http://img36.imageshack.us/img36/4155/japon0845.jpg (http://img36.imageshack.us/i/japon0845.jpg/)
Conclusion du tour
Les pertes de Paris, Madrid, Talin, Formose ou l’abandon de la rive ouest du Dniepr pouvant entraîner une baisse de la confiance absolue dans la victoire finale du Dantonisme, le numéro deux du régime, l’illustrissime RoyalQuiche, prend la parole sur toutes les ondes radios de l’Empire Dantonesque :
Entendons-nous bien, nous sommes à l'été 1945 et les frontières du Grand Dantonreich (à ne pas confondre avec le Dantonku, qui est une simple province de l'Empire ... ) sont toujours inviolées. L'inébranlable volonté de la jeunesse dantonienne saura tenir hors du territoire sacré de notre chère Patrie les hordes sanguinaires et corrompues des ennemis du Dantonisme.
Déjà la ferveur de nos innombrables partisans marseillais, prêts au sacrifice ultime pour leur Grand Leader Éclairé, fait frémir de terreur les soldats ennemis.
Nul doute que la victoire approche, elle est même plus proche que jamais, et ces insignifiants replis stratégiques, manœuvres totalement contrôlées par notre grand état-major, ne sont que le prémices d'une réorganisation de nos forces qui donnera à notre invincible armée la possibilité de lancer de formidables contre-offensives qui repousseront les Alliés désemparés jusqu'à Villedieu-la-Gravoyère ou même jusqu'à Châtelaillon-Plage !
Le Japon est déjà transformé en une formidable forteresse imprenable. Les vaillants soldats nippons attendent de pied ferme les vagues ennemies, qui viendront se briser sur le rempart inébranlable de l'esprit de sacrifice de nos chers soldats.
La barrière des Alpes est aussi un obstacle infranchissable, la fière armée italienne a déjà fait preuve de son courage et de son sens du sacrifice. Quant-à nos troupes d'élites stationnées en France, elle infligent jours après jours des pertes insupportables à l'ennemi, dont les peuples asservis et baillonés commencent à redouter que le Dantonisme n'arrive jamais à leurs portes apporter le bonheur d'une civilisation nouvelle et bienfaitrice. Nous savons de sources sûres que déjà les manifestations hostiles aux régimes ploutocrates et décadents de Washington, Londres et Moscou se multiplient dans leurs pays.
Que les peuples opprimés se rassurent, le Dantonisme vaincra, par sa seul foi dans sa mission salutaire et sacré pour le Monde entier, les puissantes forces dantoniques verront un jour briller le phare de la victoire sur toutes la planète !
Le général Cypho l’affirme haut et fort « Nous avons évacué la rive ouest du Dniepr, certes, mais il s’agit là d’un mouvement volontaire. Téméraires, les Soviétiques se sont avancés sans assurer solidement leurs bases arrières : nous allons maintenant pouvoir contre-attaquer et, dans 4-5 mois tout au plus, nous serons à Rostov puis nous marcherons sur le Caucase afin de libérer les populations oppressées. Nous sommes des libérateurs, pas des conquérants »
Pourquoi même en personnage de fiction je suis obligé d'être bourré? :idiot:
Bon courage Danton. Tu as déjà choisi ton mode de suicide? :siffle2:
Quelle manque de foi :o:
La victoire du Dantonisme sera relatée sur le QG ;)
comme le forum va disparaitre dans les limbes du formatage je peux me permettre ceci :
Oh Danton !! oh toi magnificence parmi les faibles tacticiens, toi le splendide stratège je te salue bien bah et présente devant toi toutes les armes que j'ai osé un jour utiliser contre toi.
La postérité saura te reconnaitre et une statut de toi et par toi montrera au peuple marseillais toute la force de ton savoir, de ta bonté et de tes qualités tant physiques qu'intellectuelles.
Nous pauvre peuple des manants ne méritons que de nous prosterner devant ta splendeur et reconnaissant en ce jour ta supériorité inégalée depuis Alexander.
Ton magnifique combat pour la liberté de l'Allemagne face aux ploutocrates restera dans les annales tel Hannibal combattant Rome à cent contre un.
Umble je suis devant toi et glorieuse ta route te conduira au firmament.
:priere::priere::priere::priere::priere::priere::p riere::priere::priere::priere::priere:
C'est fort bien dit :o:
Mais ce ne sera pas perdu pour la postérité :mrgreen:
Message sauvé et archivé, comme l'intégralité de l'AAR, Marseillais le fera graver sur du marbre :chicos:
:hurle: Franconaute disparait simultanément au triomphe du Dantonisme!
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