Otto Granpieds
24/11/2008, 10h35
Développé par une équipe turque et commercialisé (?) par notre éditeur préféré :chicos:, ce jeu est pour moi une excellente surprise.
Il s'agit théoriquement d'un JDR, mais je le qualifierais plutôt de "simulateur de combats médiévaux".
En effet, après avoir créé votre personnage, selon des critères plutôt basiques, vous allez être abandonné à vous même dans les cinq royaumes de Calradia, sans rien d'autre que votre beau sourire et vos poings, à charge pour vous de devenir un haut et puissant seigneur, par tout moyen à votre convenance.
Vous pouvez tâter de l'Arène où les combats font paraître ceux de La Brute, chers à Lafrite et à Jag ;), des modèles d'urbanité, de douceur et de finesse tactique (un bon moyen de gagner de l'XP rapidement).
Vous pouvez prendre des quêtes de toute sorte, qui aboutiront généralement à un combat, individuel ou collectif.
Mais vous finirez sans doute par rassembler un groupe de soudards (héros ou mercenaires recrutés dans les tavernes, jeunes gens venus des villages du plat pays) pour vous livrer aux joyeusetés qui réjouissent la soldatesque : pressurer les paysans (ça rapporte pas mal), combattre les hordes de déserteurs, voleurs, malandrins, pilleurs, pirates et barbares qui pullulent dès qu'on sort des villes, effectuer des quêtes, combattre les autres seigneurs de la guerre, vendre des prisonniers ou des esclaves, ou les armes et marchandises récupérées, attaquer les caravanes, assiéger (ou défendre) des châteaux, participer à des tournois... et j'en oublie beaucoup...
Les membres de votre "mesnie" progressent, et l'adolescent boutonneux sentant fort la porcherie peut devenir un jour (si Dieu lui prête vie, ce qui n'est pas évident :lol:) chevalier.
Côté gestion, il faut payer et nourrir ce petit monde et armer vos héros (qui sont immortels, même si parfois, un sens moral trop délicat peut conduire certains à vous quitter :siffle: ).
Vous pourrez même apprendre à lire, mais je vous avertis : à Calradia, les livres sont TRES chers...
Bref, un univers où l'épée est (nettement) plus forte que la plume...
Il y a néanmoins un côté culturel, puisque Mount and Blade n'existe qu'en anglais (et en allemand, je crois) et vous améliorerez ainsi votre connaissance de la langue de Shakespeare. Personnellement, je l'ai acheté sur e-bay en Angleterre pour une somme relativement modique (moins de 30 €) pour avoir le support, la boîte et le manuel. Mais vous pouvez le télécharger et acheter la licence sur internet. Cerise sur le gâteau, il n'est pas trés exigeant en terme de puissance et ne prend que quelques centaines de Mo sur le DD.
Les graphismes, sans être transcendants, donnent une bonne impression d'immersion durant les combats et comme c'est l'essentiel du jeu...
Il s'agit théoriquement d'un JDR, mais je le qualifierais plutôt de "simulateur de combats médiévaux".
En effet, après avoir créé votre personnage, selon des critères plutôt basiques, vous allez être abandonné à vous même dans les cinq royaumes de Calradia, sans rien d'autre que votre beau sourire et vos poings, à charge pour vous de devenir un haut et puissant seigneur, par tout moyen à votre convenance.
Vous pouvez tâter de l'Arène où les combats font paraître ceux de La Brute, chers à Lafrite et à Jag ;), des modèles d'urbanité, de douceur et de finesse tactique (un bon moyen de gagner de l'XP rapidement).
Vous pouvez prendre des quêtes de toute sorte, qui aboutiront généralement à un combat, individuel ou collectif.
Mais vous finirez sans doute par rassembler un groupe de soudards (héros ou mercenaires recrutés dans les tavernes, jeunes gens venus des villages du plat pays) pour vous livrer aux joyeusetés qui réjouissent la soldatesque : pressurer les paysans (ça rapporte pas mal), combattre les hordes de déserteurs, voleurs, malandrins, pilleurs, pirates et barbares qui pullulent dès qu'on sort des villes, effectuer des quêtes, combattre les autres seigneurs de la guerre, vendre des prisonniers ou des esclaves, ou les armes et marchandises récupérées, attaquer les caravanes, assiéger (ou défendre) des châteaux, participer à des tournois... et j'en oublie beaucoup...
Les membres de votre "mesnie" progressent, et l'adolescent boutonneux sentant fort la porcherie peut devenir un jour (si Dieu lui prête vie, ce qui n'est pas évident :lol:) chevalier.
Côté gestion, il faut payer et nourrir ce petit monde et armer vos héros (qui sont immortels, même si parfois, un sens moral trop délicat peut conduire certains à vous quitter :siffle: ).
Vous pourrez même apprendre à lire, mais je vous avertis : à Calradia, les livres sont TRES chers...
Bref, un univers où l'épée est (nettement) plus forte que la plume...
Il y a néanmoins un côté culturel, puisque Mount and Blade n'existe qu'en anglais (et en allemand, je crois) et vous améliorerez ainsi votre connaissance de la langue de Shakespeare. Personnellement, je l'ai acheté sur e-bay en Angleterre pour une somme relativement modique (moins de 30 €) pour avoir le support, la boîte et le manuel. Mais vous pouvez le télécharger et acheter la licence sur internet. Cerise sur le gâteau, il n'est pas trés exigeant en terme de puissance et ne prend que quelques centaines de Mo sur le DD.
Les graphismes, sans être transcendants, donnent une bonne impression d'immersion durant les combats et comme c'est l'essentiel du jeu...