Voir la version complète : AAR Sicile
CK - Deus vult
Mod DVIP 9.21 (En français)
Difficulté : Très difficile - IA Agressive
Objectif : "Rôle-Play" =
- Ne pas abuser de la bêtise de l'IA
- Ne pas recharger
- Respecter les impératifs de l'époque
- RP quoi !
Personnage de départ joué : Roger de Hauteville, comte de Reggio.
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CHAPITRE I : PRELUDE
Nous sommes en 1067, dans le sud de l'Italie, région contestée entre les trois grands courants religieux :
- L'empire Bysantin orthodoxe
- Le St-Empire Romain Germanique catholique (aidé du Pape)
- Les émirats Siciliens et Nord-Africains musulmans.
Malgré ces puissantes rivalités, en 25 ans, une famille s'est imposée sur ces terres : Les HAUTEVILLE, du nom d'un petit château situé dans les terres Normandes du Cotentin, un nom porté par des descendants de Vickings.:viking:
"Double-Duché" Normands d'Italie en 1067 :
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Une famille ? Non : une bande de frères et de demi-frères, tous fils de Tancrède de Hauteville, le paysan qui devint seigneur par la volonté du Duc Richard II de Normandie.
Vers 1040 ap. JC, Les princes de Salerne et de Naples, menacés par l'empereur Germanique, l'empereur Bysantin et les émires de Sicile firent appel à des mercenaires ; les Normands vinrent et parmis eux, trois frères Hautevile. L'aîné, William "Bras-de-fer" de Hauteville s'imposa rapidement comme le chef des Normands et de mercenaires, grace à leurs conquêtes, ils devinrent des conquérants et créèrent le Duché d'Apulie (de Pouille en langue Franque) dont William fut le premier dirigeant, aidé de ses deux cadets.
Leur jeune demi-frère, Robert de Hauteville arriva alors de leur Normandie, il obtint des troupes avec lesquelles il se tailla un fief en créant le Duché de Calabre. Il acquit le surnom de "Guiscard" en raison de son génie militaire.
Après la mort de Willian "bras-de-fer", ses deux cadet assurèrent l'intérim puis Robert le Guiscard prit la succession, devenant Duc de Pouille et de Calabre.
( lui être grand guerrier :priere: )
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En 1067, Robert Guiscard est Duc depuis 10 ans. Au cours de cette période, il a expulsé définitivement les Bysantins d'Italie, unifiant ainsi ses terres.
Son plus jeune frère, Roger de Hauteville est arrivé en 1057 auprès de lui, au moment même où il devenait Duc. Tout comme William Bras-de-fer l'avait aidé à se tailler un fief, Robert Guiscard lui fournit des troupes et lui donne en fief le comté de Reggio.
Roger ne rêve que de la Sicile ; aidé de son frère-suzerain, il prend le comté de Médine aux musulmans, prenant ainsi pied sur le sol Sicilien.
Roger de Hauteville :
Je suis Rogert, Comte de Reggio et de Médine ; je n'ai pas de descendance mâle (seulement un bâtard) ; mon successeur direct est mon frère et suzerain : Robert Guiscard.
Je suis veuf d'une femme qui m'a donné trois filles.:mouais:
Mes plus chers désirs :
- avoir une descendance :siffle2:
- posséder la Sicile
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RoyalQuiche
10/05/2008, 14h44
wwwééééé ... voilà une région que je n'ai pas encore exploré ! Ca va me changer des Hautes-Terres d'Ecosse ! :clap:
Emp_Palpatine
10/05/2008, 15h22
Une des choses qui m'avaient stoppé à ce jeu, c'est que j'arriver pas à choper.
Un peu comme dans la vraie vie, mais en pire! :lol:
Je suis curieux de voir comment tu vas faire.
CHAPITRE II : Au commencement... année 1067
Dès le 03 janvier 1067, j'envoie personnellement une missive au Duc de Normandie, avec lequel nous entretenons forcément des liens privilégiés. Cette missive a pour objet de lui demander la main d'une de ses pupilles : Adelais de Ponthieu, l'une des plus belles filles de Normandie donc de la chrétienté. Un troubadour a chanté sur elle en ma cour en disant "si elle venait dans mon donjon, j'irais pas pieuter dans les latrines" ; la chanson a fait le tout des cour d'Europe. :cool:
Le Duc de Normandie, qui n'est rien de moins que le futur Roi d'Angleterre accède à ma requète ; le 15 février 2007, dès son arrivée, les noces sont célébrées en petit commité : me voici doté d'une belle et bonne épouse. :jumpy:
Et pour être Franc, ça n'a pas été si dure que ça. :siffle2: (Quand on est beau et riche, ça passe tout seul ... Riche suffit souvent malheureusement ... Nous puvons donc en déduire que ceux qui ne "chopent" pas sont ... :lol:)
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La comtesse de Reggio, puisqu'il faut l'appeler ainsi est immédiatemment nommée chancelière du comté. De toute façon, il suffit qu'elle apparaisse pour que la moitié de ces glands d'ambassadeurs chenus se taisent en bavant en hochant la tête approbativement à tout ce qu'elle dit.
Pendant ce temps là, mes agents de renseignement me rapportent quelques évènements lointains sans grand intérêt. L'empereur Bysantin est occupé à l'est par sa guerre avec le tout puissant sultanat Seldjoukides.
Une guerre civile vient de s'ouvrir dans le Royaume d'Angleterre entre Les Normands de William le conquérant et les ducs Danois qui dominent encore le nord du Pays. L'issue semble incertaine : les Ducs rebels se sont alliés avec les Gallois.
Beaucoup plus près, le Prince de Salerne, allié à une moitié de la Sardaigne, est en guerre contre l'autre moitié de l'île, elle-même allié à la Corse ...
Je procède à une inspection du Comté au cours de cette année 1067 :
Les revenus sont faibles, les troupes peu nombreuses : aucune initiative ne peut être prise pour le moment.
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Le régime de succession du comté, tout comme celui-ci du duché de Pouille-Calabre est "consanguinité semi-salique" ; les femmes peuvent transmettre l'héritage en dernier recours... Dieu nous en préserve :eveque:
Chapitre III : L'inspection. (1067 - 1068)
Poursuivant l'inspection de mon fief, je propose aux nobles de Reggio d'entreprendre, ou plutôt de faire entreprendre à leurs paysans l'assèchement des marais de Calabre.
Le travail est rapidement effectué et la province acquière le trait "prospère", augmentant les revenus de façon conséquente.
Voici donc la situation :
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A peine revenu dans mon château de Messine, les suivantes de ma si belle épouse m'annoncent que cette dernière est enceinte. Les réjouissances commencent immédiatement dans le comté.:bourre:
La situation diplomatique en Sicile se détèriore :
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Bien qu'enceinte, mon épouse me fait périodiquement rapport de la situation diplomatique des pays proches ou ayant des liens avec nous.
En Ibérie, le Royaume de Léon, allié au duché de Galice vient de rentrer en guerre contre plusieurs émirats Ibère. Le sort des armes semblent les favoriser. J'adresse aux souverains de ces états chrétiens de vifs encouragement.
En Angleterre, la guerre civile se poursuit sans qu'un ou l'autre camps ne semblent prendre un avantage décisif.
Dans la zone d'influence des Normands d'Italie, le prince de Salerne vient de conquérir le comté de Corse, terminant ainsi victorieusement sa guerre des îles. Notons que son héritier est son neveu : Roger Borsa de Hauteville, fils et héritier de mon frère le Duc de Pouille et Calabre.
Chapitre III : La marmaille (juin 1068 - août 1071)
Juin 1068 fut un mois magnifique :
mon épouse accoucha d'un magnifique enfant que nou prénomèrent "Eudes".
Une semaine après l'accouchement : elle était de nouveau enceinte.
C'est dire si notre amour s'exprimait.:love:
Tout heureux, et disposant des fonds suffisant, je lançais la construction d'une courre de justice dans chacune de mes deux provinces.
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En avril 1069, une deuxième fils m'est donné par Dieu : je n'en attendais pas autant si rapidement. Il se nommera Bernard de Hauteville.
A l'âge de 1 an, je confie mon héritier, Eudes de Hauteville à des nourrices, ne souhaitant ni l'envoyer chez les moines, ni ailleurs. Il montre très rapidement des marques d'avarice, ne supportant guère de partager les seins de ses nourrices. :siffle2:
C'est à ce moment que ce pénible de bâtard de Jordan me fit une demande saugrenue que je refusais, bien entendu. Si encore il avait brillé par son intelligence...
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Après cette annonce, mon très cher fils faillit faire un tour en prison :chaine:, histoire de lui apprendre à réfléchir. Sa loyauté envers moi fut néanmoins très amoindrie ; je réfléchissait à lui retirer le commandement des troupes.:o:
En Angleterre, le roi Guillaume a écrasé la rébellion des Ducs, augmentant d'autant ses propres fiefs.
En Ibérie, le roi de Castille est mort a 29 ans, de façon soudaine et étrange. Son épouse a donné naissance à un fils ... après sa mort ; tous ses états et vassaux sont revenus à son frère Sancho, roi de Léon.
Les chrétiens avancent en Ibérie ; mais le Royaume des Almoravides vient de rentrer dans la danse... Remettant ainsi en question l'avenir de la chrétienté dans cette région.
En orient, l'empereur Bysantin Paléologue débile a laissé l'empire à un Doukas idiot qui ne devrait pas survivre longtemps. Alexis Commène, qui était le suivant dans l'ordre de succession est mort au cour d'une escarmouche .... l'héritier est ... un Commène, bambin de 1 an. L'empire Bysantin va-t-il bientôt rentrer en agonie ? :clap:
Et bien oui : la guère civile éclate dans cet état voué à se morceler, ébranlé qu'il fut par ses défaites face aux Normands de Pouille et de Calabre.:mrgreen:
Août 1070 : Adelaïde me donne une fille : Yvon de Hauteville, elle est si jolie que les affaires l'état peinent à me détourner d'elle.
Cependant, il faut bien travaille :(. La construction des cours de justice de mes états se termine, me permettant d'augmenter les impôts des commerçants et autres négociants :mrgreen:. En Reggio surtout, je dois faire face à des mécontentements... la terre est mauvaise, les paysans peinent ... je décide de favoriser l'apparition de nombreuses petites seigneuries, augmentant la puissance des nobles (45%), au détriment de celle des paysans 5% ; Mais plus de chevaliers et cavaliers composeront l'Est de cet état. Parie réusssit : les hameau et ville de la provinces croissent et se développe, la prospérité du comté revient à la normale.
Une autre guerre civile vient d'éclater dans une grand état d'orient : le roi Fatimid d'Egypt voit se révolter ses émirs les uns après les autres et sa suzeraineté n'existe plus qu'en Afrique.
En août 1071, naquit le 3ème de mes fils légitimes : Odo de Hauteville
Chapitre IV : première bataille (sept 1071 - jan 1072)
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La guerre est victorieuse, elle me laisse maître de 3 comtés. Cependant, la perte de prestige fut conséquente. Le trésor est en déficit (-56), notamment en raison de l'allongement du siège .... Mon frère y étant pour quelques chose.:crise:
Il me faut maintenant resdresser la situation financière du comté, avant de faire en sorte que ce trop grand nombre de terres à gérer ne nuise pas à leurs prospérités.
CHAPITRE V : La politique (Janv. 1072 - Juillet 1073)
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A ma demande, mon maître espion me rapporte une synthèse des méandres de succession impliquant mon héritier : Eudes de Hauteville.
Il est le troisième dans l'ordre de succession du duché de Pouille-Calabre, après ses deux cousins, les fils de Robert Guiscard.
J'apprends avec stupeur qu'il est cinquième prétendant au trône d'Angleterre :shocked:. Je cours voir Adelais et la bouche en coeur elle me répond après m'avoir révélé que je suis un grand benêt : "Maman se nomme Adelaide de Normandie, c'est la soeur du roi William le conquérant... Donc Eudes est le petit neveu du Roi, puisque je suis ça nièce". :cultivé:
Ah bon, ben tant mieux. Eudes est également 5ème dans l'ordre de succession du duché de Normandie et de quelques comtés du Royaume d'Angleterre. On ne sait jamais, ça peut servir un jour.
Cela étant dit, cette campagne commune fait que mon frère et Duc, Robert Guiscard devient mon meilleur ami. Mon comportement vis-à-vis de la Sicile fait que j'acquiert le trait "obstiné" (+1 martial, -1 intrigue).
J'apprends enfin que, je ne sais pour quelle raison, mon épouse devient une de mes rivales. Souhaiterait-elle gouverner les comtés à ma place ?
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Ma cour reste un lieu relativement désert... certains diront que c'est normal dans un comté mais bon, il s'agit d'un comté comportant trois belles provinces quand même, tenu par un homme fabuleux issu d'une famille fabuleuse. :levite:
Adelais, ma chère épouse et rivale, donne naissance à une très belle petite fille ce qui me réconcilie avec elle ... au moins au lit. :2love:
Sur le continent, Robert Guiscard a des ennuis, Le temps qu'il ramène son armée en Pouille, le comte de Foggia a envahi le comté d'Apulie, se ralliant par cette victoire de nombreux sympathisants. Lorsque le choc eu lieu, Robert Guiscard, en infériorité numérique fut vaincu et son comté de Barri fut à son tour pris. Il réunit alors de nouvelles troupes et intercepte en ce moment même les rebels en Apulie mais le combat semble incertains, les forces étant sensiblement équivalentes.
Pourquoi diable ne fait-il pas appel à ses vassaux ? :crise:
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Si Robert Guiscard remporta la victoire sur le terrain ce jour là, il perdit beaucoup en signant juste après une paix dans laquelle il renonce à ses droits sur le riche comté de Reggio...
Voila qui est une encouragement à la rébellion...
Dans la foulée, il donne le compté de Consenza en Calabre à son bâtard : Bohémond de Hauteville, affaiblissant d'autant, selon moi, ses états.:pigepas:
Chapitre VI : L'éducation des enfants (juillet 1073 - décembre 1076)
En juillet 1073, j'envoie Eudes, mon héritier, auprès d'un maître d'arme. Il n'est jamais trop tard pour apprendre et le métier des armes est la chose à apprendre en priorité en ces temps troublés. :viking:
Eudes commence à révéler de bonnes dispositions, il est relativement équilibré comme garçon. ( 6 - 5 - 5 - 6 ) et ça devrait s'améliorer. :ok:
(Nota : Dans Deus Vult, les gamins naissent avec un beau 0 dans toutes les caractéristiques ; celles-ci augmentent au fur et à mesure, en partie en fonction des nombreux choix d'events qui apparaissent, c'est pas mal parce que ça enlève la tentation de recharger)
Dans la foulée, son frère Bernard est envoyé dans la même classe.
Mes filles resteront à la cour et feront leur éducation auprès de leur mère et de nos comptables.
Pendant ce temps j'entreprends la construction d'une cour de justice à Syracuse et, afin de contrer les pénalités de mon trop grands domaines, des constructions de Postes Royaux sont contruits successivement dans chaque province, lorsque le trésor le permet (construction de 1076 à 1078)
Ces efforts sont récompensés par une recrudescence de la croissance dans le comté entrainant le bonheur de mes sujets (Stabilité passe à +1 en 1076):clap:
1076 est une belle année qui voit Adelais me donner encore un fils qui portera le glorieux nom de "Norman de Hauteville".
En décembre 1076, le Pape appel à la croisade. J'apprends cette nouvelle sans trop marquer d'intérêt. Ce Pape, qui semble vouloir diriger les seigneurs est malade. Il ne devrait pas se faire de vieux os. :eveque2:
Chapitre VII : (janvier 1077 -
La vie s'écoule paisiblement, les enfants grandissent et acquiert peu à peu leur caractère. Filles et garçons me donnent de bonnes raisons d'être optimiste.
Puis, de nouveau, la terre de Sicile se couvre de sang, sans que nous ne puissions réellement réagir : nous somes en avril 1077.
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La paix interviendra rapidement : le sheik de Palermo, mon pire ennemi voit son pouvoir s'aggrandir : il annexe la trapani, nous nous partageons désormais la Sicile. Un jour où l'autre, il y aura la guerre, on le sait bien. :cool:
1077 s'écoule paisiblement avant que les évènements ne se précipitent :
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Malheureusement, ne possédant pas de revendication sur les titres détenus par Roger Borsa, je ne peux pas me déclarer contre lui. Je préfère en un sens ; se battre contre quelqu'un de sa famille me paraît immoral. :siffle2:
Cependant, ma loyauté envers ce suzerain tombe au plus bas. J'en profite pour m'allier avec plusieurs autres comtes du Duché de Pouille-Calabre (des cousins et des neveux il me semble)
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Quelle terrible guerre me dirait vous ? Et bien celle-ci, celle qui devait tôt ou tard nous tomber dessus :
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Malgré mon refus de lui prêter hommage, Roger Borsa lêve ses troupes pour me soutenir... Ses troupes ... moins de 1 000 soldats...
Le sheik de Palermo va lancer 8500 hommes sur mes terres.
CHAPITRE VIII : LA GLOIRE DES CHEVALIERS NORMANDS. (Décembre 1078 - avril 1079)
Je prends le commandement du régiment de reggio (1500 hommes d'élites). Mon bâtard, Jordan, prends les troupes de Syracuse (2200 hommes), le chevalier Franc Philippe dont nous avons parlé précédemment prend la tête du gros de l'armée : le régiment de Messine (2800 hommes). Je dispose en tout de 6500 soldats.
Mon suzerain est neveux, Roger Borsa, arrive avec 3000 hommes en renfort.
Le sheik de Palermo attaque directement, et, à la tête de son régiment de Palermo, fort 6500 hommes , prend d'assaut Syracuse, Jordan, obéissant à mes directives si cette situation advenait, prend la fuite et réalise sa jonction avec le général Franc Philippe.
A la tête de 5800 soldats musulmans, le sheik de Palermo se rue alors sur Messine. J'ai ordonné à mes hommes de tenir à tout prix !
En légère infériorité numérique, les armées se positionnent.
Nous pouvons alors constater que les musulmans sont pratiquement dépourvu de cavalerie :shocked: ... Quelques cavaliers légers seulement ... :o:
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Voyant la composition de l'armée ennemie, le général Philippe ordonne une charge irrésistible qui balaie littéralement l'armée adverse :clap:. Celle-ci se retire de façon désordonnée laissant 1000 cadavres sur le champ de bataille. De notre côté, aucune flêche n'a été tiré, les fantassins ne se sont mêmes pas battu : 750 chevaliers Normands ont chargés !!:chargez:
Je n'ai malheureusement pas participer à cette bataille :loose:, mais qu'importe, cette victoire est la mienne :tongue:
Presque tranquillement malgré quelques essaies de contre attaque risibles, notre armée s'empare des provinces de Palermo et de trapani ; Roger Borsa et ses troupes délivrent Syracuse et s'empare de la province d'Agrigento : le puissant sheik de Palermo est vaincu, ses terres appartiennent aux Hauteville !
Par contre, je n'ai pas retiré beaucoup de notoriété dans cette aventure et le déficit de mes états est énorme. :loose:
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Otto Granpieds
14/05/2008, 13h04
A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire... :mrgreen:
Chapitre IX : Guerre et pièce (avril 1079 - décembre 1080)
Cette guerre victorieuse avait considérablement aggrandit mes états. Cependant, comme il a été spécifié : le trésor était à sec, pire, nous devions de l'argent à tout le monde.
Roger Borsa de Hauteville, Duc de Pouille-Calabre, poursuivait seul la guerre contre l'allié du sheik de Palermo : ce traître de Prince de Naples.
A mon arrivée dans mon château de Syracuse, de nouveaux créanciers vinrent me présenter de nouvelles factures que je ne pouvais pas remettre en question ... :loose:
C'était trou de la CQ (d'une expression latine bien connu, usitée par les médecins en faillite)
Toujours est-il qu'en plus des 563 milles ducats que la guerre avait coûté, j'en devais 253 milles de plus ce qui plongeait les finances du comté dans un fossé sans fond... :ouin:
Pour ne rien arranger, voila ce qu'il advint dans ma plus riche province : c'est peut-être bien à long termes mais dans ma situation...
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Bien entendu, très rapidement, la révolte sévissant à Palermo s'étendit à ma seconde "plus riche province" : Messina. Nos dettes semblaient être capable d'asphixier l'état.:pasvrai:
J'eu donc recours à une basse méthode très lucrative ::mrgreen: tous les biens des révoltés de Palerme et de Messine seront saisis et revendu pour combler le trou de la CQ. Le remède fut souverain, la récolte de fond conséquente : le comté était sauvé de la faillite :
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(Nota : on peut voir ci-dessus les troupes de Roger Borsa et du Prince de Naples qui se battent)
Une nouvelle nouvelle me plongea alors dans ce qui pourrait s'apparenter à de la mélancolie :
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En décembre 1080, Roger Borsa termine sa guerre et annexe le riche comté de Naples : GLOIRE AUX HAUTEVILLE !!!
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'tain, j'avais loupé ça! :ok:
Vialin pas beau, tu me donnes envie de m'y remettre... :ouin:
Vialin pas beau, tu me donnes envie de m'y remettre... :ouin:De même mais moi j'ai revendu mon jeu :ouin:
Pareil, je vais peut-être investir dans DV :o:
Emp_Palpatine
15/05/2008, 19h13
C'est vrai que c'est vraiment sympa. :)
Et bien recommencez à y jouer. :)
Franchement, Deus Vult, additionné à quelques patch fabriqués par des fans est pas mal.
Plus d'events, plus de gestion de famille (on élève vraiment ses gamins), un petit peu moins "d'illogismes" (genre le fatimide qui traverse l'aurope entière pour aller détruire le Royaume de Pologne.... :pasvrai: et autres joyeusetés )
Les non-coreligionnaires, quand ils sont en guerre, n'annexent pas directement une province dès sa conquête :clap:. Et si une de ses provinces est conquise par un musulman, le régiment issu de cette province ne se disperse plus (ce qui m'horripilait au plus haut point :enerve: ). L'annexion d'un comté se fait donc obligatoirement lors de pourparlers et autres joyeusetés.
Lorsqu'une province est annexée ou qu'un régiment est détruit, les troupes ne mettent plus 5 ans à se reformer, d'après ce que j'ai vu, c'est assez rapide, surtout pour la première moitié.
De plus, lors des batailles, ce n'est plus celui qui a la plus grosse qui gagne :mrgreen:. Dans CK, la composition des régiments n'entrait pas tellement en compte ... Elle faisait pencher la balance, et encore.
Comme je le montre dans mon récit, au XIème siècle, une armée sans cavalerie lourde était pratiquement battue d'avance (ce qui, historiquement parlant, était très vrai). De plus, techniquement, même si l'empereur Germanique (par exemple) me déclare la guerre, je peux très bien résister en restant chez moi : bonus de terrain, pas d'attrition, coût de la campagne pour lui : il aura un déficit énorme très rapidement car les guerres coûtent beaucoup, beaucoup plus cher qu'avant...
Je ne décrit que certaines corrections et améliorations qui ont été apportées ; il y en a sûrement d'autres.
CHAPITRE X : Progéniture et révoltes (janvier 1081 - août 1084)
La première moitié de l'année 1081 se déroula tranquillement, sans histoire, la révolte continuait de gronder à Palerme et à Messine, plombant d'autant le budget du Comté.
Heureusement, le déficit avait été comblé et en Juillet 1081, les finances du comté me permettait de prendre une décision irréversible etb politiquement conséquente : hériger mon fief en Duché ! :clap:
Cette décision fut prise après réflexion, en effet, les terres de Sicile que nous venions d'anexer devrait permettre à Roger Borsa de Hauteville, Duc de Pouille-Calabre et Prince de Campanie de se proclamer Roi de Naples...
Nul doute qu'une fois Roi, il me nomme Duc de Sicile... Encore que... :mouais:
Mes conseillers et espions me firent savoir qu'au contraire, Roger Borsa envisageait de nommer son propre frère Duc de Sicile, après lui avoir donné le comté d'Agrigento.
Pour cette raison, je décidais de sacrifier le Royaume de Naples à mes propres ambitions :mrgreen: en me proclamant Duc :chicos:, donc l'égal de mon neveu, donc Prince souverain et indépendant :jumpy:
Un peu plus, tôt, l'âge aidant, j'avais repousser les avances d'une acorte donzelle, acquierant lors de l'acte le trait "chaste". Mon racket organisé sur les mécontents de Palerme et de Messine m'avait fait gagner la caractéristique "avare".
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Les revenus de mon Duché restait très modeste (Les révoltes, toujours ces révolets...). Ces révoltes qui avaient également pillé Palerme et Messine, réduisant les régiments de ces provinces à .... presque rien :crise:
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En novembre 1081 parvint une nouvelle qui assombrit mon humeur ; le comté de Trapani subissait à son tour des troubles religieux ; je décidais de les réprimer et la révolte éclata ... sans que la province se convertisse au catholicisme. :ouin:
Ma troisième et dernière fille de mon premier mariage. Bof... :mouais:
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De 1081 à 1083, pour le bien du Duché, j'entreprends la construction de cours de justice dans les provinces de Palerme et de Tapani. Une poste royale fut également bâtie en Trapani.
A propos de mes enfants, mon dernier fils, Norman de Hauteville, est envoyé dans un monastère afin d'y effectuer son éducation. Il est de coutume de procéder ainsi, il permettra sans doute à mon héritier de bénéficier de l'aide d'un évèque fidèle qui lui apportera piété, renommée et conseil.
Je marie également ma fille, Emma, (la plus moche, et la plus bête) à un pieux (et laid) chevalier Normand, vassal de Roger Borsa. Ils était amoureux l'un de l'autre et comme elle ne pouvait me servir à rien, autant faire son bonheur.
Adelise est marié à l'héritier du Comte de Surrey (riche province d'Angleterre) : elle sera comtesse et son mari est renommé pour sa bravoure, sa droiture et il est un proche du Roi d'Angleterre.
En 1084, mon fils et héritier, Eudes de Hauteville termine son éducation ; je le marie immédiatement à une des plus intelligente femme de la chrétienté. Eudes est un franc, il tient ça de sa mère ; je le marie à une Occitane.
(Il est pas beau mon fils :clap:, elle est un peu moche ma belle-fille :goutte: )
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Deux bonnes surprises me parviennent alors, à propos de ma belle fille : :jumpy:
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En août 1084, usant de ma notoriété, je décide de revendiquer le titre de comte de Agrigento qui selon moi, me revient en tant que Duc de Sicile. :roi:
GA_Thrawn
17/05/2008, 17h30
Une femme qui à de bonne stats pour gérer l'argent?
Voila bien encore un illogisme de CK! :mrgreen:
Bon du coup moi aussi j'ai envie de m'y remettre. Il coute combien DV?
Chapitre XI : Ainsi vont les choses (août 1084 - mai 1087)
La fin de cette année 1084 se déroula sans incident ni évènement particulier, tout comme la première moitié de l'année 1085.
Le ventre de l'épouse de mon héritier, Isabeu d'Angoulème s'arrondit paisiblement.
Et patrata, en juillet 1085, c'est le drame : un barbecue est organisé dans les jardins de Palerme auquel assiste Isabeu, qui en est à son 9ème mois de grossesse. L'ambiance fit qu'elle accepta de danser une gigue. Elle perdit son fruit, et la vie. :ko: La cour était sous le choc, Eudes, mon chancelier se réfugia dans le travail.
Souhaitant à la fois respecter le deuil de Eudes et assurer la descendance de la famille, je décidais de marier mon second fils, Bernard, âgé de 16 ans.
Je choisis comme bru la plus enviée héritière d'Occident :
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Précisons également que le duc d'Aquitaine à la soixantaine. Et puis c'est une excellente gestionnaire, qui remplace avec honneur la malheureuse 1ière épouse de mon 1ier fils.
Mais voila : les choses ne se passent pas toujours de la façon dont il aurait fallut qu'elles se passent :
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Un héritage conséquent échappe à ma descendance.
Mais qu'importe cela : grandir par les mariages est réservé aux faibles après tout ; les Hauteville valent mieux que ça. :yeux:
Dans le duché, la révolte dans la province de Tapani cessa (en août 1086). Je me repencherai sur la question ultérieurement.
Le Duché s'enrichissait et se stabilisait peu à peu, c'est tout ce que je demandais. :mouais:
Dans le voisinage, des évènements advenaient :
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Toujours dans le but d'assurer la pérénité des Hauteville, j'entrepris de nouvelles négociations matrimoniales car ... :
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Moui ... elle fera une bonne épouse et une bonne mère ... si Dieu lui prête vie et fécondité.
Petit aperçu de la situation du Duché et de la cour en l'an 1087 :
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C'est alors que de nouveau, le mal survient : la province de Syracuse connait des troubles, de nouveau religieux. En une seule journée, la province est pillée ; la révolte se calme aussitôt, le peuple gardant sa religion. Je n'y peux rien : je ne vais pas massacrer le peuple entier par la faute de quelques fanatiques... :o:
Une brève campagne est entreprise, presque une formalité :
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Très bon cet AAR :)
Il donne envie de se mettre à ce jeu...
CHAPITRE XII : L'EDUCATION NATIONALE, un grand titre pour une petite chose :mrgreen: (juillet 1087 - 1090)
1087 : 4 juillet - le jour de la dépendance (pfioouu, ce qu'elle était facile et prévisible celle-là :siffle: )
Toujours est-il qu'à cette date, mes sujets montre leur amour et leur besoin ... de révolte :ouin: le comté de Reggio, le comté mère de mon fief .... rentre en révolte ouverte contre l'autorité, donc contre moi.
Je commence à en avoir assez moi :crise: !
Je te vais me convertir tout ça gentiment à coup d'inquisition que ça va pas trainer :=(:.
( Mouais, encore faut-il avoir les events pour ça :goutte: )
Dans la foulée, ce cher Roge Borsa annexe le comté de Salerne. Et la paix survient (Le vieux Prince de Salerne, personnage qui m'est cher comme certains s'en souviendront, prévoyant la défaite avait donné le comté de Corse à son fils aîné)
Deux de mes enfants terminent leur éducation en même temps :
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Et oui, parfois, il arrive qu'un père puisse être déçu par ses enfants. Surtout lorsque ces derniers gâchent un fort potentiel.
En février 1088, malgré les révoltes qui sévissent dans une bonne moitié du Duché et qui grondent dans l'autre moitié, je poursuite mes efforts pour ce peuple ingrat : des chantiers de construction de routes sont lancés dans les provinces de Reggio et de Messine.
En mar 1088, l'opportunité de marié ce brave Odo se présente alors...
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En avril 1088, la révolte ré-éclate à Agrigento... :ouin:
Toutes ces révoltes sont dues à l'inefficacité grandissante de l'éducation territoriale du Duché : les gamins sont de plus en plus livrés à eux-mêmes, jouent au guerrier et finissent par croire qu'ils le sont :o:. Hein ! ... Quoi ? .... Je m'égare ? :siffle:
En tout cas, pour cette fois, 350 révoltés assiègent le petit château de bois d'Agrigente où une faible garnison résiste difficilement.
J'envoie mon second fils et commandant des armées : Bernard de Hauteville avec le régiment de Trapani (1 200 soldats) ; ça lui changera les idées.
Il écras la révolte ; tous les mutins sont éxecutés :=(: (parce qu'il y en a marre à la fin)
Deux enfants naissent à mon héritier, deux fils :banana: :
- Serril de Hauteville en 1088 (Normand)
- Eudes de Hauteville en 1089 (Franc)
Serril tombe malade à un an... :( Toute la cour prie pour sa guérison.
En 1090, un port et construit dans la province de Messine.
Peu après, une nouvelle désillusion me parvient :
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Ajoutez à cela le fait qu'une bonne moitié de mes enfants, aidés de quelques unes de mes brus me harcèlent pour obtenir des postes à la Cour, de l'argent ...
Mon moral de Duc est au plus bas :loose:.
Une bonne guerre pourrait-elle redresser la barre de mon navire de Sicile ? :clap:
CHAPITRE XIII : LA FIEVRE ... ET L'ORAGE (septembre 1090 - janvier 1095)
LA FIEVRE : (Sept 1090 - juillet 1092)
La situation générale du Duché ne s'améliorait pas...
Les paysans renâclent à la tache, les bourgeois bougeonnent et rechignent, les nobles, même les nobles ne semblent pas satisfait et rêvent de Gloire. Seul mon clergé me soutient ... tant que le Pape le veut tout du moins.
J'ai 59 ans, je suis un homme considéré comme âgé, tout le monde attend de moi que je m'enferme dans mon château de Palerme à compter les vagues de la mer et les fleurs de mes jardins... :?:
Pour ne rien arranger, la disette s'installe à Syracuse, les bourgeois de Palerme refusent de payer l'impôt, les nobles conspirent.
Les révoltes ne s'apaisent dans une province (reggio) que pour éclater avec plus de vigueur à côté (Messine).
Ma fille Yvon s'exile volontairement, ma cour ne devait pas lui convenir.
Mon dernier fils, Norman, bien que stressé, approche de la majorité et son charisme fait qu'il se crée des partisans et devient mon fils le plus influent à la cour ... devenant mon successeur. Tout le monde voit Norman comme le futur Duc de Sicile ... ce petit arriviste, beau parleur et intriguant, qui n'a jamais apprit le métier des armes...
Que va devenir la Sicile dans ses mains ? :mouais:
Odo, qui devait me faire un petit-fils avec la fille du Roi d'Angleterre (afin de placer un Hauteville sur ce trône) ne parvint qu'à me faire ... 4 filles :crise:
Malgré ou peut-être à cause de cela, je poursuis mon oeuvre en Sicile ... construisant des exploitations forestières et des lices à Reggio, Messine et Syracuse) ; les exploitations forestières amélioreront l'industrie dans ces provinces, les lices accélèrent le recrutement et permettent d'entraîner plus de soldats.
De nouveau, la révolte ne s'arrête à Palerme que pour éclater de plus belle à Syracuse... :ko:
Des épidémies de dysenterie éclatent dans ces deux provinces :ko::ko:
C'en est assez !!!!!!
Vraiment très bon Xav !
Le jeu a l'air quand même vraiment énormément amélioré par DV....
L'ORAGE : juillet 1092 - janvier 1095
Deux ans et six mois de Gloire et de souffrance.
Ne voyant toujours pas la mort venir, ne sentant pas la fatigue gagner mes bras, ne voulant pas écouter toutes ces voix qui m'entourent, c'est en septembre 1092 que, fuyant l'épidémie qui ravage Palerme, je prend la tête du régiment de cette province et je pars pour ... TUNIS.
La guerre contre le puissant Roi de Zirid est commencée :clap:
J'ordonne à ma famille de se rendre dans notre vieille bonne province de Reggio, à l'abri des révoltes et de la guerre.
La guerre peut commencer : :jumpy:
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Je débarque non loin de Tunis et je rencontre les troupes berbères pour la première fois, le 4 novembre 1092 :
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La victoire est chère, trop chère... d'autant plus que le Roi de Zirid n'a pas perdu beaucoup d'hommes (ces régiments en fuite ne se sont pas dispersés) :mouais:.
Dès la victoire, le siège de Tunis commence ; mais les armées ennemies, plus nombreuses que jamais se présentent pendant le siège. En décembre 1092, la seconde bataille de Tunis est rapidement gagnée, sans trop de perte
Suite à cette bataille, la paix est signée avec un vassal du Roi de Zirid contre 251 milles pièces d'or.
De Sicile parvient la nouvelle que la révolte a pris fin à Syracuse.
Bernard me rejoint à Tunis avec l'ost de Trapani, fort de près de 2000 hommes.
Février 1093, Tunis tombe entre nos main et tout de suite, l'armée ennemie se représente.
Le choc est inévitable :
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En mars 1093, la campagne semble être sur le point de se terminer : Tunis est entre nos mains, Malte est assiégée, les armées du Roi de Zirid ont été battue a trois reprises. :clap:
Mon maître espion vint alors me voir et me met alors en garde :
"Monseigneur Duc, le roi de Zirid disposait de 12500 hommes ... nous n'en avons combattu que 7 à 8000 ... où sont les 5000 hommes manquant ? :???:
D'autant plus que sur les 16 000 soldats du Duché, 4000 ont trouvé la mort ou on disparu...:goutte: "
Emp_Palpatine
23/05/2008, 21h02
Vraiment bien...
Il me ferait presque ressortir CK.
Presque... :o:
L'ORAGE : deuxième épisode (avril 1093 -janvier 1095)
"Monseigneur Duc, le mystère du manquement à l'appel des quelques milliers de soldats ennemis est résolu .... Pendant que nous étions occupé à combattre sous les murs de Tunis, ils ont écrasé notre corps expéditionnaire à Malte et ... viennent de débarquer en Sicile.
http://img502.imageshack.us/img502/6383/45hd1.jpg
J'apprends avec soulagement cette nouvelle. Me voir obliger de quitter l'Afrique du Nord aurait fortement amoindri nos chances de victoire. :goutte:
juin 1093 - octobre 1093, de multiples escarmouches se déroulent en Sicile, le pays est pillé, ravagé par les troupes ennemies qui refusent le combat, prenant la fuite à la vue de nos armées. :tongue:
Que ne suis-je sur place (En sicile)pour mettre de l'ordre à cela :o:
En Afrique du nord, j'emmène mes troupes à l'ouest de Tunis où deux provinces sont pillées ; des garnisons sont installées dans les châteaux : le pays est en bonne voie d'être conquis.:=(:
De mauvaises nouvelles me parviennent en novembre 1093 :
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Des rumeurs courent au sujet de la mort de Norman. Ce n'est pas le moment d'y prêter attention.
Cette douloureuse nouvelle familiale est rapidement tempérée par une missive de la "familia" qui réside dans mon château de MILET, dans la province de Reggio :
mon petit-fils, aîné de mon héritier vient de guérir de sa maladie. :)
Otto Granpieds
25/05/2008, 10h03
Bizarre... Bizarre... Un Hauteville ? Se suicider ?
Bien, ton AAR, en tout cas :clap:
L'ORAGE : TROISIEME EPISODE (janvier 1094 - janvier 1095)
Dès le début de l'invasion de la Sicile (par les ours :mrgreen:, un grand moment de littérature) ... Bref, dès l'invasion de la Sicile, J'envoyais mon héritier, Eudes, avec les 2500 hommes de Reggio à Malte : il fallait que cette île tombe entre nos mains.
Le 25 janvier 1094, les Siciliens se rendirent maître du château de Malte et immédiatement, la province entière fut annexée au duché. :clap: Seuls 24 milles ducats furent trouvés dans les coffres de l'ex sheik de Malte.
Le même jour, ma famille fut frappé par un nouveau deuil ... ma fille, Mathilde venait à son tour de se suicider :ouin: ... Que se passait-il à Reggio :?: ?
Après notre victoire d'Agrigento, les régiments de Messine et d'Agrigento furent renvoyer dans leurs quartiers...
Grossière erreur des mes généraux commandant en Sicile :crise: : la province d'Agrigento étant entre les mains de nos ennemis, son régiment se dispersa :loose: 1500 hommes devenaient indisponibles : il fallait reprendre cette province.
Oui mais voilà : comme d'habitude, notre victoire sous les murs d'Agrigento n'avait été qu'un coup d'épée dans l'eau : le roi de Zirid n'avait opéré qu'une retraite stratégique, rembarquant sur ces bateaux avant de ... débarquer à Palerme ... avec des renforts qui plus est : :mouais:
Le régiment de Messine, comptant 3600 hommes valides sur 4000, se rua sur les troupes ennemies : l'infériorité numérique de nos troupe était conséquente.
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Après cette défaite, nos troupes vaincues se dirigèrent vers la province d'Agrigento qu'elles délivrèrent sans être dérangé pendant le siège :goutte: : 1500 hommes se joignirent à l'armée de Sicile qui décidemment, était bien mal commandé : pensez-donc ! Un évèque et un vieux croulant ! :mouais:
Les choses commençaient à tourner d'une vilaine façon ...
D'autant plus que de nouvelles troupes ennemies avaient (encore) débarqué dans la province de Trapani, en avait pris d'assaut le château, et venait de faire leur jonction avec l'armée du roi de Zirid sous les murs de Palerme qui ... venait de tomber ... :loose:
Le trésor commençait lui aussi à afficher un sévère déficit.
Les régiments de Messine, d'Agrigento, renforcé du squelletique régiment de Syracuse (anéhanti lors de la bataille de Malte) se réunirent : L'ordre d'attaquer est donné ...
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La Sicile était perdue :loose:.
De mars à décembre 1094, j'ordonnais à mes troupes de Sicile de refuser les combats ... de se contenter de reprendre les châteaux perdus quand l'opportunité se présentait. Des mois et des mois de siège et de contre-siège, creusant les finances du Duché qui n'était plus soutenues par les revenus de la Sicile qui était livrée au pillage :ouin:
Heureusement, nous faisions de même chez le Roi de Zirid, les bénéfices étaient pitoyables mais bon :mrgreen:.
Car en Afrique du Nord, la vaillante petite armée que je menais remportait victoire sur victoire, prenant les villes, pillant, poursuivant les troupes ennemies ...Nous nous en donnions à coeur joie :banana:.
La situation se dénoua enfin en notre faveur par la capture de toute la famille du Roi de Zirid : :goutte: ; Il faut dire aussi que ce dernier était en proie à de gros soucis financiers...
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CHAPITRE XIV : DANS LE VASTE MONDE (janvier 1095 - mars 1096)
1095 ... Une année qui faisait suite à une guerre longue, sanglante, ruineuse et n'ayant au final que peu rapporté ... :mouais:
Une année "plombée" par une dette de près de 500 milles ducats d'or... :goutte: ... qui rendit impossible toute tentative de reconstruction.
Les revenus du Duché restaient largement inférieur à ceux d'avant-guerre (environ 25 milles ducats par mois) ; beaucoup de familles étaient endeuillées, certaines provinces étaient pillées, les épidémies qui s'étaient déclarées avant la guerre continuaient de sévir ... :loose:
Les jeunes hommes n'étaient pas légion et les troupes du Duché avaient un effectif de ... 8 500 soldats contre 16 000 avant guerre. Cela était grandement dû aux raisons évoquées ci-dessus ... et nous n'y pouvons rien... :mouais:
Au début de cette année 1096, je suis âgé de 65 ans ... je suis ... vieux et je le ressens dans chaque fibre de mon corps. :jag:
Mon chancelier et héritier (Eudes) vient me rendre visite tous les jours, accompagné de mon second fils, le commandant Bernard. Il me parle du vaste monde et de ce qu'il s'y passe.
Pas bien loin de nous, un peu à l'ouest :
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Pas bien loin de nous, mais à l'est :
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Beaucoup plus loin, dans les steppes de l'Est (nous ne sommes pas sûr des renseignements nous parvenant de là-bas) :
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Au Nord, chez les Vickings, qui sont après tout, des cousins éloignés des Hauteville :) :
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L'Europe Occidentale (continentale) bien occupée par les Germains ... , qui ont depuis toujours des vues sur l'Italie et qui n'attendent que l'occasion de rattacher à leur empire les terres de Sicile et d'Apulie. :tongue:
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Enfin, dans les îles brumeuses du Nord-Ouest, terres soeurs des nôtres, conquises de haute lutte par les fiers Normands.
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Le monde extérieur est violent, cruel et de plus en plus lointains. Vais-je m'y attarder ... ?
CHAPITRE ... EUH ... XV ! Celui qui ne finissait pas de s'en aller. (avril 1096 - mars 1100)
... Et oui, car au cours des 5 années qui suivirent, envers et contre tous, la vie s'attardait en moi ... au point que je ne pouvais pas m'empêcher de me demander si Dieu me voulait Roi :roi: .
Enfin bref, le fait est que j'étais encore là lors de la naissance de ce nouveau siècle.
Peu de chose, au fond, s'était déroulée pendant ce laps de temps qui me vit survivre.
L'année 1096 s'écoula doucement, je m'occupais des ... quatre filles d'Odo qui noyait son malheur et son dépit de ne pas avoir l'espérance de devenir un jour, le père du Roi d'Angleterre. Jour après jour, il devenait de plus en plus la honte de la famille, vivant pour s'amuser, boire ... la décadence incarnée.:gerboun:
Donc, remplaçant cet être défaillant dans ses devoirs de père, je m'occupais de l'éducation de ces filles.
Mon allié, le Duc de Sardaigne menait une guerre contre le Duché de Pise allié au comté de Corse ... ce dernier disparu à l'occasion, renvoyant la dynastie de Salerne dans l'anonymat ... :(
La Sardaigne ressortait grandie de cette guerre, j'en voulait beaucoup à ce Duc : je savais que je lui ferais un jour payer son impérialisme, d'autant plus que j'avais une revendication légitime sur un comté de Sardaigne ( je ne savais pas trop d'où venait cette revendication d'ailleurs mais bon ... :pigepas: )
Malgrè mon âge, je restais un habile chef d'Etat, secondé efficacement par le peu d'enfant valable qu'il me restait ... :?:
Toujours est-il que je savais encore voir ce genre de chose :
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En septembre 1096, mon troisième fils Odo, plus saôul et aigri que d'habitude m'insulta en publique ; il fut immédiatemment exilé ... peu de gens à la cour pouvait encore supporter son comportement ... moi en premier :mouais:
En octobre, je fus touché par une grave maladie : celle des poumons ... les médecins ne me donnaient que quelques mois à vivre ... sans tenir compte de mon grand âge :siffle2:
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1097 fut une année particulièrement ennuyeuse.
La province d'Agrigente récupéra de son statut "pillage" ... puis Malte connu des troubles religieux et acquit le statut de .. pillée :?:
En février, Odo revint d'exil ... plein d'excuse dans sa bouche. Il fut accueilli mais mis en garde ... :non:
Enfin, en avril, les comptes de l'état redevinrent positifs ... enfin ... Les revenus restaient .. euh ... lamentables, nous étions moins riches que le Duc de Sardaigne (par exemple et au hasard)
En 1098, la dysenterie sévissant à Palerme et à Syracuse gagna la province de Messine :ouin:... Mes trois plus riches provinces :( .
Malte récupéra de son statut de pillé... :) mais bof...
En juin, la fille de Roger Borsa mourut en couche :(... Mais elle avait donné un fils à Bernard, fils qui s'appelait Eudes de Hauteville, héritier direct des titres de Pouille, Calabre et Salerne :clap:.
Je pouvais sentir cet immense héritage à la portée de ma main. :mrgreen: Comment pourrais-je m'y prendre :siffle2: ?
A présent que les finances étaient assainies, je put lancer un grand programme de contruction de cours de justices dans les provinces (beaucoup de ces institutions avaient été détruites au cours de la guerre contre Zirid ou lors de révoltes locales.)
Des chantiers de construction de ces bâtiments furent lancer en 1098 et 1099 dans les provinces de Trapani, Agrigente, Syracuse et Malte.
En mai 1099, suite à une de ces nouvelles beuveries (il avait recommencé) l'esprit d'Odo éclata en morceaux.
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Suite à ce triste évènemment, après près de 3 ans de maladie, je guéris et retrouve ma forme d'antant, comme si rien ne s'érait passé, solide comme un roc. :o:
Fin de siècle : quelques troubles éclatent en Trapani. La toute neuve cour de justice est détruite :enerve:. M'en fous, je la reconstruits :tongue:.
Je sais que nous sommes en Sicile mais quand même. :goutte:
Nouveau siècle : nous sommes en 1100 et je suis toujours vivant :clap:
Mon petit fils, héritier de mon héritier commence à voir son caractère se préciser :
http://img165.imageshack.us/img165/595/59rj7.jpg
CHAPITRE XVI : LA FIN D'UN GRAND PRINCE. (Mars 1100 - août 1101)
Au cours de l'année 1100, le Duc, de plus en plus fatigué, ne mena aucune action. Aucunes décisions politique, économique ou familiale ne fut prise.
Seuls trois de ses enfants étaient encore présents : ses deux fils aînés, Eudes et Bernard et sa dernière fille : Hugolina.
Les autres avaient rejoint le seigneur ou s'étaient exilés.
Les enfants de son héritier, Eudes, virent leur caractère s'affirmer selon leur inclination à telle ou telle chose.:biere:
Un évènement local eu lieu en juin 1101 :
http://img80.imageshack.us/img80/5346/60kz1.jpg
Je suis Eudes de Hauteville, Duc de Sicile, prince régnant.
J'ai le regret de vous apprendre le décès de mon glorieux père, survenu à l'âge de 70 ans : :(
Ce dernier aura régné 30 ans sur la Sicile, la transformant en un état localement puissant. Il restera un prince respecté des siens et craint de ses ennemis. :priere:
http://img99.imageshack.us/img99/1885/61gp7.jpg
Je m'efforcerai d'être à la hauteur de ce que fut mon père, lui qui a fait de moi ce que je suis, lui qui me laisse en héritage un Duché aussi puissant qu'un Royaume et une ambition : celle de créer un Royaume sur la mer.
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Sortant de la morosité dans laquelle s'était réfugié le Duché depuis quelques années, une étude géopolitique fut menée (traduction : des espions furent envoyés partout :o: ).
Les faits importants étaient les suivants :
http://img47.imageshack.us/img47/2848/63tt3.jpg
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Enfin, en Ibérie, les émirats de Séville et de Tolède avaient vu leur puissance s'accroître de façon très inquiétante pour l'avenir de la chrétienté dans la péninsule. :mouais:
Otto Granpieds
30/05/2008, 09h16
Le nouveau siècle ne va pas être facile... :hello:
Emp_Palpatine
30/05/2008, 13h09
Superbe règne, et très bon AAR! :hello:
GA_Thrawn
30/05/2008, 14h36
Il a fini par mourir quand meme? :lol:
L'un de mes rois de france avait régné près de 50 ans heureusement il avait de bonne stats.
CHAPITRE XVII : Traîtrise, machiavélisme et ... couteau (Août 1101 - octobre 1103)
Un nouveau règne commençait donc. je fis le tour des places fortes de Sicile afin d'inspecter les comptes et la valeur de l'entraînement de nos troupes.
Un rapport fut rédigé :
http://img125.imageshack.us/img125/8073/65vb7.jpg
Au cours de cette inspection, je m'aperçus qu'un de mes gouverneurs détournait une partie des impôts : celui de Trapani. Il fut donc démis de ses fonctions et bannis ; après que ces biens ai été saisis et réinvestis dans les comptes de la province qui acquit le trait "prospère" :)
En octobre 1101, mon épouse, qui était enceinte (m'en étais pas aperçu :mouais: ) donna naissance à un enfant mort-né. :( Heureusement, j'avais 4 fils pour assurer ma succession.
http://img145.imageshack.us/img145/3180/66lf4.jpg
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Février 1102 : Une excellente nouvelle.
Après des années de maladie, le petit Eudes de Hauteville, mon neveu, guérit d'une terrible maladie.
Rappelons qu'il était l'héritier direct de Roger Borsa, mon cousin, Duc de Pouille et Calabre, Prince de Salerne. :p:
Pendant ce temps là, à l'Est, l'empire Bysantin devait faire face à un véritable Djihad : sa reconquête fulgurante de lses terres d'Asie énervait visiblement les musulmans.
Les Rois de Croatie et de Pologne s'étaient rangés aux côtés de l' Empereur qui faisait face à plusieurs états dont les plus importants étaient : Les turcs Seldjoukides, l'émirat de Damas, le Royaume de Zirid (tiens tiens ! :mrgreen: ). Quleques petits émirats d'Ibérie et d'Asie venaient se rajouter à ceux là.
En juin 1102, je lançais mon peuple dans un vaste projet de construction et de modernisation.
Un port de commerce fut construità Trapani (afin de réduire le coût du transport de troupes par voie maritime ; coût : 200 milles écus :goutte: ). Des chantiers furent lancés ailleurs en Sicile : réseau routier à Syracuse, tuileries à Reggio et à Agrigento.
Oui mais voilà, des jaloux ne pouvait pas admettre notre enrichissement :
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En décembre 1102, avant même le début des combats, la province de Trapani s'apaise et perd son statut de "pillé" : les agents semeurs de troubles étaient rentrés en Sardaigne. :o:
La guerre des îles : Sardaigne contre Sicile !
http://img141.imageshack.us/img141/6567/69jm6.jpg
Cette défaite à Cagliari était très malvenue :
Aucune économie n'avait été faite, la guerre ayant éclatée sans préparation. La victoire nous aurait permis de signer une paix sans conditions et, au lieu de cela, nous allions avoir poursuivre les combats, creusant d'autant le déficit du duché. :loose:
De terribles évènements : :ouin:
http://img153.imageshack.us/img153/6716/70dr3.jpghttp://img234.imageshack.us/img234/2945/70ot6.jpg
Mon père vient de se faire assassiner en Sardaigne. Heureusement, ma mère prend la régence et je suis proclamer Duc de Sicile.
Je me nomme comme mon père : Eudes de Hauteville. Celui-ci n'aura régné que 2 ans... :ouin:
http://img255.imageshack.us/img255/1379/71at1.jpg
La paix fut signée rapidement :
http://img259.imageshack.us/img259/6066/72cz6.jpg
HRP :
(Désolé pour les fautes d'orthographe : je ne me relis pas :loose: ndr)
Je le corrige de temps en temps, quand elle me saute aux yeux.
J'ai été très déçu, je pensais à tort que je pourrais usurper le titre de Duc de Sardaigne et vassaliser ce dernier, mais il m'aurait fallut être Roi pour cela...:non:
J'ai fait faire un beau mariage à Bernard de Hauteville (19 en intendance :jumpy: ) mais elle lui a déjà fait un fils... L'héritage de Pouille recule...
CHAPITRE XVIII : L'ESSOR ECONOMIQUE (Octobre 1103 - février 1105)
Une fois la paix signée, moi, Eudes de Hauteville, 14 ans ... :yeux: pu reprendre le cours de mon éducation militaire.
Mon principal professeur étant mon Oncle Bernard de Hauteville, commandant des armées de Sicile ( 18 en martial :priere: )
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http://img164.imageshack.us/img164/5681/73bm9.jpg
Malheureusement, j'avais cédé ... :?: J'avais donné 30 milles écus à une conseillère pour m'assurer sa fidélité, mais aussi parce que j'étais généreux.
Je ne pus que le regretter : tous les membres de la Cour vinrent alors me voir pour quémander une "part du gâteau". J'étais encore bien jeune (autre trait : timide :mouais: ) ... et ma générosité me poussa à accepter : le trésor fut amputer de la somme énorme de 430 milles écus : :choc:
Qu'importe ... on ne m'y reprendra plus. J'avais compris la leçon : ce n'est pas au bénéfice de mes courtisans que je dois céder à mon envie d'être généreux : c'est pour mon peuple.
Après cette épisode, les caisses de l'état restaient néanmoins bien remplies. Je me lançais dans un grand programme de construction : la Sicile entière allait vers la lumière .. et la connaissance :cultivé:
En 1104 et 1105 furent construits des bibliothèques Ducales à Reggio, Syracuse et Agrigento, ainsi qu'à Messine et Trapani. En plus du gain en prestige et en revenu, la création d'une élite intellectuelle Sicilienne ne pourra que renforcer mon état . (recherches plus rapides :mrgreen: )
Mon jeune frère, Guy, profita de cela :
http://img113.imageshack.us/img113/4351/74qc3.jpg
Ajoutez à cela que l'épidémie de dysenterie, la dernière sévissant en Sicile, venait de prendre fin à Messine :clap:
La situation du Duché de Sicile n'avait jamais été aussi bonne.
http://img164.imageshack.us/img164/5746/75xs5.jpg
Février 1105 : je commençais la construction d'une dernière bibliothèque à Palerme.
Le Duché affichait des revenus de 53 milles ducats par mois ! :clap:
CHAPITRE XIX : LE TEMPS DES CONQUETES. (mars 1105 - août 1107)
Mon règne commençait donc sur de bons hospices. Bien entendu, certains essayèrent de profiter de ma nature conciliante mais je su faire abstraction à mes penchants et répondre fermement : l'homme pouvait avoir des faiblesses, le Prince oubliait celles-ci !
http://img374.imageshack.us/img374/755/76ve1.jpg
Par la suite, l'année 1105 s'écoula tranquillement, sans incident.
En décembre, un nouveau programme de construction fut lancé :
- des écoles furent bâties dans les provinces de Reggio, Messina et Trapani et Syracuse.
- Un monastère fut mis en chantier à Agrigento.
Tout cela devait encore une fois permettre au peuple du Duché d'accéder à la connaissance. :cultivé:
Puis, ma période d'apprentissage pris fin : mon règne promettait vraiment d'être glorieux :ok: (février 1106)
http://img359.imageshack.us/img359/1086/77ip6.jpg
J'affichais de plus mon amour de la connaissance et des arts : (avril 1106)
http://img179.imageshack.us/img179/8209/78ey5.jpg
La prospérité augmenta dans la province d'Arborea en Sardaigne. :cool:
Puis une nouvelle vint entacher cette période faste :
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Je décidais alors, un peu par principe, un peu par piété et beaucoup par opportunisme de lancer mes états dans une guerre gagnée d'avance :siffle2: :
http://img504.imageshack.us/img504/1456/80zq5.jpg
Nous débarquâmes à Tunis :
http://img504.imageshack.us/img504/1104/81jj9.jpg
Notre croisade attira vers nous des expatriés (il faut dire que l'Ibérie était en passe d'être totalement occupée par des musulmans, principalement de l'émirat de Séville) :
http://img156.imageshack.us/img156/5403/82jc8.jpg
C'était de peu fiables mercenaires, certes, mais des professionnels endurcis de la guerre, notamment contre les musulmans.
La période s'écoulant de décembre 1106 à juin 1107 fut marqué par une suite de siège victorieux ; le royaume de Zirid était en passe d'être conquis :banana: .
Une dernière bataille :
http://img72.imageshack.us/img72/9647/83yk4.jpg
Et la paix pouvait être signée :
http://img363.imageshack.us/img363/9019/84vp2.jpg
J'étais désormais aussi puissant qu'un roi...
Mais seulement Duc :?:
CHAPITRE XX : LE TEMPS DE LA GESTION (Août 1107 - mars 1108)
Première partie :
Nous faisions place à un grave problème : mon titre de Duc ne me permettait pas de gérer autant de provinces. L'efficacité était tombée à 30% :shocked: ; il fallait prendre des mesures urgentes !
Nous devions accorder de nombreux titres de comtes.
Pour commencer, je devais me marier : il fallait assurer ma descendance.
http://img144.imageshack.us/img144/3446/85fb6.jpg
Je donnais l'ensemble de mes comtés d'Afrique (hormis Tunis) à des membres de ma cour (et de ma famille).
Je fis des erreurs dans l'attribution des comtés, notamment en donnant les provinces de Constantine et Abanna à ma mère : Adelise Hastings. Mes trois frères la suivirent, je donnais d'autres comtés à celle-ci afin que tous mes frères deviennent comte en Afrique.
Ce n'était pas si mal après tout : mes trois frères tiendrait pour moi mes possessions d'Afrique ; moi et l'oncle Bernard continueront de tenir le gouvernail de la Sicile :cool: .
Dès septembre 1107, je lançais un nouveau programme de construction :
- des tuileries furent construits à Trapani, Messine et Syracuse.
- une école à Palerme
- un port à Agrigento
- une bibliothèque à Tunis.
- un monastère à Reggio.
En janvier 1108, je me proclamaient Duc de Tunis ! Il fallait légitimer ainsi ma suzeraineté sur ces terres d'Afrique.
Ma réputation s'était sérieusement dégradée suite à cette conquête ; je sentais qu'il s'en fallait de peu pour qu'un Djihad soit décrété contre le Duché de Sicile et de Tunis. :goutte:
Toujours très bon !
Tu vas bientot atteindre la périodre critique pour un AAR CK où tu es tellement fort que les guerres sont gagnées d'avance (ca a déja commencé :chicos: ) et où tu passes ta vie à gérer de petites révoltes plus ou moins chiantes selon ton gouvernant (mais bon zont de bonnes gênes les Hauteville :chicos: ).
Bientôt le titre de Roi de Tunisie, ou celui de Naples ? ;)
Super AAR :ok:
Il n'y a pas les mongols qui arrient dans une petite centaine d'années et qui eux sont vraiment invincibles ?
Sinon modifs de save pour augmenter le challenge si il faut :siffle:
Toujours très bon !
Tu vas bientot atteindre la périodre critique pour un AAR CK où tu es tellement fort que les guerres sont gagnées d'avance (ca a déja commencé :chicos: ) et où tu passes ta vie à gérer de petites révoltes plus ou moins chiantes selon ton gouvernant (mais bon zont de bonnes gênes les Hauteville :chicos: ).
Bientôt le titre de Roi de Tunisie, ou celui de Naples ? ;)
La guerre contre le Royaume de Zirid était gagnée d'avance, certes, mais pour les raisons que j'ai évoquée : il sortait de graves troubles, plusieurs provinces étaient pillées et le Roi était gravement blessé. C'était beaucoup par opportunisme. :mrgreen:
Si cela n'avait pas été le cas, j'aurais dû envoyer toutes mes troupes et je n'en avais pas les moyens.
De graves events nous tombent dessus en cas de déficit (la preuve : mon précédent duc a été assassiné à cause de ça :( )
Ensuite, j'ai prévu le "risque" trop puissant, vous verrez bien. :hello:
Enfin, dans Deus Vult, c'est le Royaume d'Afrique et le Royaume de Sicile qui peuvent être créé dans cette région :o:
Modif de save Comeon ? Comment ça ? :shocked:
Réponse : en donnant les traits : hérétique, fous, lépreux et bossu à tous les males de la famille :lol:
Toujours très bon en effet cet AAR :love:
Ca me donne vraiment envie de m'y mettre, il est facile à prendre en main?
Quel mode faut-il prendre (Deux Vult c'est ça?)
On ne s'en lasse pas trop vite?
Bon ben Athax a rapporté 15 euros à Paradox, j'ai acheté DV :chicos: (puis betapatché et moddé, comme de bien entendu :chicos: )
Me commencerait une partie incessamment :)
C'est vrai qu'il est tentant vu comme cela :) Mais je résiste :chaine:
Bon ben Athax a rapporté 15 euros à Paradox, j'ai acheté DV :chicos: (puis betapatché et moddé, comme de bien entendu :chicos: )
Me commencerait une partie incessamment :)
Deus Vult est un mod qui s'achète? Pas tout compris là :honte:
Deus Vult est un mod qui s'achète? Pas tout compris là :honte:
Ce n'est pas un mod (comme AGCEEP pour EU2, Franchil pour Vic, etc...), c'est une extension (comme NA pour EU3 ou Doomsday pour HOI).
Dans la pratique ca ressemble franchement plus à un mod qu'à une extension (je trouve que l'AGCEEP révolutionne au moins autant EU2 que DV ne révolutionne CK) d'autant que tu ne peux pas l'acheter en version CD mais seulement par téléchargement sur gamersgate, la plate forme commerciale de para.
Et une fois acheté/installé, là tu peux, comme pour tous les jeux para, patcher ton jeu (un beta patch vient de sortir) et installer des mods (gratuits cette fois :goutte: ).
Ceci dit je ne regrette pas mon achat pour l'instant : certaines des innovations font un peu gadget mais c'est quand même mieux foutu, plus ergonomique, et ca a l'air d'etre plus équilibré/réaliste.
C'est juste dommage que le CK d'origine soit sorti incomplet....
Et oui ... Deus Vult s'achète ...:crise:
http://www.paradoxplaza.com (en bas à gauche GAMERSGATE)
14 € 99 pour un fichier de moins de 25 Mo.
N'empêche qu'il transforme le jeu et le rend réellement jouable et stratégique.
Ce n'est plus si facile de devenir Roi de tout (par exemple, rien que pour avoir annexé quelques provinces, j'écope d'une réputation exécrable et la fidélité de mes vassaux est frappée d'un malus de -5,7%, compensé par ma réputation (un peu : +1%) et par mes traits : généreux, miséricordieux et aimable - mais surtout par le fait que tous mes vassaux sont de la famille très proche ... sinon : ce serait la guerre civile.
Je savais bien Coelio allait y venir :clap: ...
Ensuite, pour les mods, j'ai fait l'installation suivante :
très stable, pas un seul plantage :ok:
- CK
- Deus Vult
- Beta patch 2.1
- DVIP v9.21
- DVIP (traduction Française)
LE TEMPS DE LA GESTION
Deuxième Partie (Janvier 1108 - Mars 1110)
En janvier 1108 donc, je me proclamais Duc de Tunis ; ma réputation, ma gloire retentissait de plus en plus dans le monde chrétien. J'étais un prince Riche, puissant, craint et respecté :roi:
Et ça n'était qu'un début !
En Mars 1108, je lançais la construction d'un nouveau monastère (à Reggio). Peu après, la révolte sévissant à Syracuse prit fin.
Les bonnes nouvelles affluaient :
http://img162.imageshack.us/img162/994/86ay3.jpg
Les revenus de mes états étaient en passe de rejoindre ceux d'avant guerre. :ok:
Il fallait bien que ça arrive ; même si je ne pensais pas que cela vienne si tôt : :goutte:
http://img367.imageshack.us/img367/8792/87ve1.jpg
Cela restait une excellente nouvelle ; d'autant plus qu'un mois seulement après ces évènements, la province récupéra de son statut de "pillée". :)
J'eu alors l'idée de cesser de payer la solde de mon millier de mercenaires Catalans. En contrepartie, je les installais dans un village proche de Palerme où ils purent s'installer. Ils continuaient de s'entraîner le matin et cultivaient pour se nourrir l'après-midi. (Curseur entretien d'armée à 0 :cool: )
Du coup, les revenus atteignaient 64 milles écus par mois :clap:.
En octobre 1108, Malte fut pillé et la révolte s'y déclara ... encore et toujours ces fichues tensions religieuses :crise:.
Le temps s'écoula alors paisiblement, des brigands furent pendus à côté de Syracuse : après les pillages et les révolte, l'ordre se réinstallait peu à peu sur mes terres.
Eudes, le fils de mon oncle Bernard, héritier de Roger Borsa fut atteint d'une pneumonie, il était malade depuis sa naissance celui là ... pas un vrai Hauteville :tongue:. Enfin bref, avec un peu de chance, il ne mourrait qu'après avoir hérité de tous les titres de ce vieux Borsa.
A part ça, je m'occupais de l'éducation des cousins et des cousines, les autres fils et filles d'oncle Bernard : ils apprendront le métier des armes, il n'y a que ça de vrai :mrgreen:. Pour les filles euh ... qu'elle importance ?:yeux:
J'eu un second fils que nous prénommèrent Géraud.
Je lançais la construction d'Eglise dans les provinces de Palerme et de Syracuse.
Le troisième fils d'oncle Bernard vient de mourir de maladie...
Je me perfectionnais dans la gestion de l'état, ma mauvaise réputation commençait à l'être moins.
Le Pape m'envoya alors une missive :
http://img76.imageshack.us/img76/1778/88ca9.jpg
Ma bonne gestion fit que Syracuse se sortit enfin de la disette qui y régnait (statut de la province : pauvre)
Mon oncle Bernard vint alors me trouver ; il désirait s'acheter un fief à proximité de Palereme. J'accédais à sa légitime demande.
http://img399.imageshack.us/img399/364/89sv8.jpg
...
GA_Thrawn
04/06/2008, 10h53
Je viens de voir les changements apporté par le Mod DVI c'est énorme!
http://forum.paradoxplaza.com/forum/showthread.php?t=325867
Me demande si je vais pas craquer moi. Mais 15E ca fait cher le Mo quand meme. :goutte:
J'ai craqué et franchement je me prends au jeu.
Mais bordel c'est plus aussi évident de devenir duc : comme souvent j'ai foncé dès que possible sur les Baléares (les Baléares c'est un peu le duché low cost : des vacances au soleil, un titre qui vaut autant que les autres duchés, mais c'est moins cher :chicos: ), mais par une traitrise que je ne m'explique pas je ne peux plus en faire un duché, saloperie de DV :loose:
J'ai donc patiemment monté l'héritage d'un autre duché, en attendant que mon bambin hérite du titre dès que le vieux duc allait crever....... mais je me suis fait griller par la fille dudit vieux duc : cette catin, que j'ai rendue sobre et schizophrene (fertilité - 7 :chicos:...elle avait eu le malheur d'être placée en page chez moi...inutile de dire qu'elle a été savamment martyrisée :mrgreen: ) et qui était marié à un vieux courtisan de 52 ans, sobre lui aussi (fertilité -2) a à ma grande stupeur engendré un fils :enerve:
Ya des assassinats qui se pedent :enerve:
J'ai craqué et franchement je me prends au jeu.
Mais bordel c'est plus aussi évident de devenir duc : comme souvent j'ai foncé dès que possible sur les Baléares (les Baléares c'est un peu le duché low cost : des vacances au soleil, un titre qui vaut autant que les autres duchés, mais c'est moins cher :chicos: ), mais par une traitrise que je ne m'explique pas je ne peux plus en faire un duché, saloperie de DV :loose:
J'ai donc patiemment monté l'héritage d'un autre duché, en attendant que mon bambin hérite du titre dès que le vieux duc allait crever....... mais je me suis fait griller par la fille dudit vieux duc : cette catin, que j'ai rendue sobre et schizophrene (fertilité - 7 :chicos:...elle avait eu le malheur d'être placée en page chez moi...inutile de dire qu'elle a été savamment martyrisée :mrgreen: ) et qui était marié à un vieux courtisan de 52 ans, sobre lui aussi (fertilité -2) a à ma grande stupeur engendré un fils :enerve:
Ya des assassinats qui se pedent :enerve:Un ch'tit aar de derrière tes fagots ? :siffle:
Un ch'tit aar de derrière tes fagots ? :siffle:
Bah franchement c'est la premiere fois depuis bien longtemps que j'ai vachement envie de faire un AAR, ca montre que le jeu me branche :)
Mais faut bien être réaliste, je doute franchement d'en avoir vraiment le temps....déja que j'ai peu de temps pour jouer...
@ Athax : ma première partie avec DV m'inspire quelques questions, par rapport à CK :
1°) Bordel c'est super dur de gagner des territoires avec les couts d'entretien :shocked: . J'ai voulu lancer une croisade en partant du Sud de la France vers l'Algérie (pas le bout du monde donc).... Avant même l'arrivée en Afrique j'étais super déficitaire et les nouveaux events sont destructeurs : mes provinces perdaient leurs bâtiments et mes troupes désertaient. Et pour finir mon suzerain, qui ne se mêlait même pas de la guerre, a fini par accepter une paix....que j'ai dû rompre de suite pour pas avoir fait ça pour rien et pan, -100 de prestige. Je continue la guerre et hop, nouvelle paix conclue par mon suzerain, je me retrouve avec deux comtés paumés, pauvres et isolés alors que j'étais sur le point de terminer la conquête de tout le royaume :enerve:
Franchement c'est cool d'avoir augmenté la difficulté mais là avec l'aspect financier et l'aspect suzerain relou c'est impossible de se croiser sans avoir économisé d'abord 10.000 ducats et avoir renié sa vassalité ?
2°) Tu envoies tes gosses comme pages chez tes amis toi ? J'ai eu tendance à les garder chez moi, histoire de maitriser leur éducation mais je ne sais pas si c'est la meilleure stratégie
3°) Puisqu'on parle des ennemis/amis, ca a un intérêt ou c'est juste un gadget drôle ? La seule conséquence que j'ai vu c'est qu'un ami t'envoyait ses gosses en pension à l'occasion et qu'il y avait de temps à autres un event. En revanche je n'ai vu aucune conséquence sur le fait d'avoir un rival. Ni sur le fait d'avoir des amis autres que des souverains (je suis ami avec un chevalier d'un obscur comté hollandais. Cool hein?).
4°) Ca a un intérêt quelconque de marier ses filles ? (à part l'aînée où on reçoit du pognon). J'avais tendance dans CK à les garder vieilles filles pour leur donner des comtés (sauf les meilleures que j'utilisais comme ministres) ou à les marier avec mes courtisans mâles. Mais les incessantes demandes en mariage de l'IA pour toutes mes filles mariables, qui sont super chiantes à refuser tous les trois jours, ya un intérêt à accepter ? (à part qu'on me foute la paix)
1 - Et oui, faire la guerre au loin coûte très très très cher.
C'est donc réservé aux rois et à la rigueur aux Duc ou Emir très très très riche :o: (et indépendant aussi :chicos: ).
Le mieux est de rester réaliste :
- guerre défensive : on économise le coût de maintien au maximum et on optimise la levée de troupe.
- guerre offensive : il vaut mieux envoyer au maximum 1/4 de ses troupes et ... faire des économies avant = c'est ce qui se faisait à l'époque ; les Rois chrétiens partaient en croisade avec un petite partie de chevaliers et soldats en tout genre (les plus turbulents, ça avait du bon)
Les guerres sont relativement cohérentes néanmoins. J'ai beaucoup aimé écraser la piétaille avec mes chevaliers :yeux:
D'ailleurs, j'ai même remarqué que ne pas avoir d'infrastructures portuaires augmentait de façon exponentielle le coût de transport des troupes ; avec un malus en période de guerre. (Ca me fait penser au racket des Républiques commerciale Italienne pour transporter les croisades :mouais: )
C'est pour tout ça que je me montre prudent dans ma partie :goutte:
2 - Je n'ai pas encore essayé d'envoyer des gamins comme page...
J'en ai reçu quelques-uns à ma cour. Sais pas trop... :???: ça favorise les amitiés entre les fils d'amis peut-être.
3 - pour les machins d'amis/ennemis, j'ai fait la même observation que toi : ça provoque des events.
Exemple : ton frère est ton ennemi, tu lui donnes un comté, il acquiert le trait "rebel" et renie ta suzeraineté :?:
Mais il y a plein d'autres events/traits ...
4 - pour mes filles, comme pour le reste, j'essaie de "me la jouer rôle play" : je les marie dignement, de façon à ce qu'elle soit au moins comtesse, où que leur mari soit un beau jeune homme gentil plein de qualités.
Quand il y en a une qui est vraiment bonne (intellectuellement bien sûr, bande de petits pervers que vous êtes :siffle2: ), je la garde chez moi en me disant qu'elle est suffisamment intelligente pour avoir le bon sens de rester célibataire. :lol:
4. Tu peux aussi faire de l'élevage de conseillers en marriant tes filles les plus compétentes dans ta cours.
CHAPITRE XXI : LA MONTEE EN PUISSANCE (Juin 1110 - décembre 1113)
http://img357.imageshack.us/img357/39/90ne0.jpg
En Octobre, j'eu mon 3ème fils:clap:. Décidément, ma dynastie se confortait de plus en plus !
Cette grande nouvelle fut quelques peu atténuée par la grave maladie qui touchait ma cousine Sybil, fille de mon oncle Bernard.
En février 1111, je relançais un grand programme de construction dans mes états : furent mis en chantier :
- une scierie à Palerme
- des monastères à Syracuse, Trapani, Tunis et Messine.
- une lice à Agrigento
Pour combattre une efficacité moyenne, j'érige la province de Malte en évêché, nommant l'évêque envoyé par le Pape pour la dirigée. Je b'ai plus d'évêque ... mais bon, vu qu'il était concupiscent et que sa piété était négative, je ne perds pas grand chose. :p:
Ailleurs qu'ici, voici ce qu'il et ce qu'il s'était passé :
http://img339.imageshack.us/img339/5527/91ib4.jpg
http://img78.imageshack.us/img78/8369/92cz4.jpg
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Puis Giselle me donna un 4ème enfant : encore un fils :jumpy: Yaouuuhh
http://img370.imageshack.us/img370/6978/94ou8.jpg
En 1112, je pus lancer en chantier d'autres infrastructures : un monsatère à Palerme, 1 port à Tunis et une lice à Trapani.
Dans la foulée, Trapani vit son commerce et son artisanat augmenter, acquiérant ainsi le statut de province "riche".
Syracuse perdit dans la foulée son statut de "pillée". :fou:
http://img394.imageshack.us/img394/7076/95se8.jpg
En avril 1113, Giselle accoucha de notre première fille : Yolande.
J'envoyais ensuite mon fils aîné, Charles commencer son éducation militaire auprès d'oncle Bernard.
Je pus ensuite continuer mon oeuvre de construction frénétique en poussant le navire de la Sicile dans les mers :des ports de commerce furents construits dans les provinces de Tunis, Agrigento et Tunis. (le transport des troupes en outre mer coûtera moins cher. :ok:
En décembre 1113, je conclus une alliance avec un Roger Borsa vieillissant. Je veillais ainsi sur l'héritage du cousin Eude (fils d'oncle Bernard, je ne le répèterait jamais assez).
Oui mais voila : l'épouse de Roger Borsa est décédée un an plus tôt ! Ce vieil emmerde.... s'est remarié et il a un fils :loose: :loose: :loose: ... Adieu mes projets d'unification des terres d'Italie tenues par les Hauteville ... Adieu la création d'un grand royaume de Sicile :ouin: ; je vais devoir porter mes ambitions modestes ailleurs. (devenir Roi :roi: )
On est en panne d'AAR? :siffle:
Athax est en vacances, vil faquin. :p:
Athax, reviens, c'est un ordre! :o: Cet nAAR est excellent. Envie de craquer moi aussi...
Trop de craquages de prévus, ça va pas du tout :ouin: :lol:
CHAPITRE XXII : Le lion d'azur couronné sur fond d'or. (Janvier 1114 - janvier 1116)
Je pousse à deux mains la porte de la grande salle du château de Tunis.
1 000 comtes, barons, seigneurs et chevaliers m'acclament alors : "Hauteville ! Hauteville ! Hauteville !"
Je remonte lentement la salle, ceint de mon épée, faisant claquer mes éperons sur le dallage. Je porte une tunique simple mais de bonne facture, celle que j'ai portée au cours de ces campagnes militaires ; je porte la barbe, plus pratique en période de guerre.
Je me retourne, faisant face aux seigneurs réunis en ce jour. Le légat du Pape s'avance, il porte une couronne qui repose simplement dans un petit plateau en bois. Je saisis cette couronne et la dépose sur ma tête : je suis Roi ! Roi d'Afrique.
:trone:
Les évènements s'étaient enchaînés rapidement : mes projets sur l'héritage de Roger Borsa étaient compromis. (J'avais dans l'idée, dès la mort de ce dernier, de revendiquer pour la moi les titres de Pouille, Calabre et Salerne, de faire de mon neveu le Duc de pouille après m'être proclamé Roi de Sicile. Ca n'était plus réalisable.
Je décidais donc de tourner mes ambitions ailleurs : dans cette terre d'Afrique sur laquelle j'avais solidement pris pieds.
De janvier à septembre 1114, je commençais un solide travail diplomatique auprès de sa Sainteté : je portais le glaive du Christ en Afrique et en échange, il m'accorder le titre de Roi d'Afrique : il n'était que temps que mes états soient érigés en un Royaume.
En novembre 1114, mon épouse, Giselle, accoucha d'une fille : Emma. Pris que j'étais par mes préparatifs de guerre à Tunis, je n'eu même pas le loisir d'aller les voir. :siffle2:
http://img246.imageshack.us/img246/5831/96ev1.jpg
En deux batailles, la victoire est remportée, les provinces de notre adversaire sont peu fortifiées, les sièges se déroulent rapidement. En février 1115, La province de Kairwan est annexée, les Sheiks de Gabes et de Djerba acceptent de prêter allégeance. :priere:
Au cours de cette guerre, une épidémie de dysenterie s'est déclarée à Messina. :(
En avril 1115, la stabilité de mon état passe à +1 :clap: (je ne sais pas encore quelle est l'influence de la stabilité mais ça doit être bien :) )
Un nouveau programme de construction est lancé ; il faut dire que les caisses sont pleines à craquer, cette courte guerre a coûté moins que les revenus :mrgreen: :
de belles églises orneront bientôt les provinces de Kairwan et de Trapani. Une scierie est construite à Reggio, une mine à Palerme et un réseau routier étendu à Syracuse.
Dès alors, je repars dans mes projets militaires : un souverain doit aller au bout de ses décisions.
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La campagne est rude, elle débute en même temps qu'un été brûlant ; beaucoup de mes 7000 hommes résistent mal à la chaleur. Heureusement, en face, il n'y a que quelques troupes éparses de cavaliers et chameliers qui sont vites écrasés, d'autant plus qu'ils agissent sans concertation. :mouais:
Plus d'homme seront mort dans les sables que sur le champs de bataille au cours de cette camapgne. Qu'importe : la province de Benghazi est annexée, les sheiks de Leptis Magna, Syrte, Senoussi et Cyrenaica se soumettent à ma suzeraineté.
Cette campagne prend fin en janvier 1116.
Le légat du Pape est déjà à Tunis, je n'ai plus qu'à m'y rendre afin de me faire couronner.
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Je dirigeais désormais un Royaume, je pouvais parler avec les autres Rois en égal !
Emp_Palpatine
25/06/2008, 20h14
Une double monarchie avec la Sicile, c'est très bien ça... :mrgreen:
CHAPITRE XXIII : LA GRANDE GUERRE NORMANDE - (Janvier 1116 - Novembre 1120)
Première partie : la naissance d'un conflit.
Roi d'Afrique, un titre grandiloquent pour un homme qui ne détenait qu'une mince bande de terre aride de ladite Afrique. Et encore, nous ne dominions que les côtes, ports, grandes routes et forteresses de ces terres.
De plus, la moitié de mes vassaux d'Afrique étaient indigne de confiance car vassalisés par la force.
Cela apportait des richesses considérables et un beau titre de Roi et c'est tout ce dont j'avais besoin.
Je m'inquiétais aussi de ma réputation ; j'étais dans l'obligation de verser des pensions à certains de mes grands vassaux afin de "garantir" leur fidélité. Certains de ma propre famille en font parties... :crise:
(un de mes frères est mon rival : -3% / mois de fidélité :goutte: )
En mars 1116, la province Tunisienne de Kairwan se convertit au catholicisme :clap: entraînant néanmoins des troubles néfastes au commerce et au développement (pillage + révolte) . C'était quand même une bonne nouvelle.
En avril 1116, l'épidémie de dysenterie sévissant en Sicile s'étend de Messine à Agrigento, déjà deux provinces de touchées. :ouin:
Qu'importe, je continue à bâtir et à développer en 1116 et 1117 :
- Eglise à Tunis
- Monastères à Kairwan
- Commanderies templières à Palerme, Reggio et à Trapani
- mines à Trapani et à Syracuse
En 1118, plusieurs évènements politiques aboutissent à une guerre à laquelle peu de monde pensait, une guerre contre des Normands, contre des alliés, contre un état dirigé par mon propre cousin, portant mon nom : une guerre contre Roger Borsa de Hauteville, Duc de Pouille, Calabre, Salerne et Bénévento...
Les raisons de cette guerre :
- Il prend pied en Afrique, à l'est du Cyrénaïque
- annexion d'un de mes vassaux de Lybie
- refuse de devenir vassal du Royaume d'Afrique
- besoin de créer un Royaume Normand de sicile
Je dispose d'un armée de 50 000 hommes, Roger Borsa en a 35000, dispersés par les récentes guerres qu'il vient de mener.
Le trésor du royaume a été écorné récemment par les récents travaux. Je ne dispose que de 990 milles ducats d'or.
Je ne dispose pas de fonds suffisant pour lever des troupes nombreuses, je compte profiter de la dispersion des troupes de Roger Borsa.
Le plan de campagne :
- le régiment de Kairwan (2200 hommes), mené par le commandant Bernard, est envoyé à Leptis Magna, détenu par un vassal de Roger Borsa.
- Le régiment de Reggio (4800 hommes) que je commande, se dirige vers Consenza.
- Les régiments d'Agrigento et Messine ( 2200 et 4500 hommes) se rend dans la province de Salerne.
http://img181.imageshack.us/img181/899/99vb1.jpg
La campagne commence relativement bien.
Deuxième partie : escarmouche et guerre de siège.
En avril 1118 débute le siège du château de Leptis Magna, qui n'est défendu par aucune troupe ennemie.
Le sheik de Cyrenaica renie son allégeance, je décide de ne pas m'occuper de lui dans l'immédiat. Mais je ne l'oublierai pas :mrgreen: .
Tout l'été 1118 est une suite de petite victoire contre de maigres troupes défensives levées manifestement à la hâte. Il apparaît rapidement que nous perdons autant d'hommes que nous en tuons ou capturons (épidémies, désertions, combats...)
Néanmoins, nous assiégeons et prenons au cours de cette période les cités de Salerne, Naples et Capoue. De plus, les comte de Bari et de Leptis Magna, ancien vassaux de Roger Borsa se voient obligés de nous prêter allégeance.
Puis, en août 1118, une nouvelle inquiétante nous parvient : Roger Borsa est de retour en Apulie, accompagné de 3 armées :
- une de 12 000 hommes qui débarque à Foggia, commandé par Roger Borsa soit même.
- une de 7 000 hommes qui débarque à Barri
- la dernière, composée de 8 000 hommes débarque à Lecce.
Je ne dispose plus que de 12 000 soldats sur les terres de ce dernier.
Une victoire rapide n'est plus possible. Les troupes ennemies bouscule les sièges que je commençais en Apulie et en Foggia, mes troupes se replient ... Capoue, Naples et Salerne sont perdues... et .... thrahison, une bonne moitié de mes troupes ainsi que 1000 mercenaires allemands que je venais de recruter .... se dispersent !!!!:enerve:
Le trésor est tombé à 400 milles ducats d'or.
Je prends alors une grande décision : disperser toutes mes troupes, renflouer un peu les caisses, laisser croire à Roger Borsa qu'il peut envisager de venir sur mes terres et l'écraser en réunissant une grande armée.
Cela ne manque pas, en juin 1118, Roger Borsa débarque en Sicile, à Messine, avec seulement 7 500 hommes. J'envoie le commandant Bernard à la tête des 15 000 hommes du régiment de Palerme. :viking:
J'escompte une victoire écrasante mais ...
http://img397.imageshack.us/img397/725/100ix4.jpg
Roger Borsa se retire donc en bon ordre avec ses troupes pratiquement intacte. :mouais:
Je décide alors de prendre une décision permettant de contrecarrer cette réputation de guerrier que je suis en train de me construire :siffle2:
http://img502.imageshack.us/img502/9572/101gt7.jpg
Dorénavant, il faut aller de l'avant.:poursuit:
Après la défait de Roger Borsa, un statut quo s'installa : ce dernier retranchait ses troupes sur ces terres et de mon côté, je laissait les miennes au repos afin notamment de renflouer les caisses de l'état.
En automne de l'année 1119, Roger Borsa envoya une seconde armée en Sicile, toujours à Messine ; elle fut également repoussée avec peu de pertes de chaque côté. Une seconde armée ennemie s'empara de la province de Reggio : la seule que je détenais en Italie. :goutte:
Novembre fut une année tragique : la guerre civile de séclarait dans mon Royaume d'Afrique ; les sheiks de Djerba, Syrte et Benghazy se révoltent contre mon pourvoir à quelques semaines d'intervalles. Une trahison plmus retentissante fut celle du comte de Medjerda, mon propre frère : Guy de Hauteville (nous étions rivaux depuis l'enfance ce qui n'avait pas arrangé les choses.:(
Enfin, en décembre 1119, mon intendante fut frappée par la pneumonie, entrainant une baisse considérable des revenus de l'état. La seule bonne nouvelle fut la fin de lépidémie de dysenterie qui sévissait à Messine ; bonne nouvelle aténuée par le fait que la province de Syracuse connut des troubles religieux entrainant la révolte et le pillage de cette province, qui ne s'était même pas convertie.
L'année 1120 débutait, il y en avait marre à la fin !
je décidais de reprendre l'initiative de la guerre. :boxing:
Dans un premier temps, j'envoyais les 3300 hommes du régiment de Reggio, menés par le commandant Bernard avec pour mission de piller les terres de Roger Borsa:poursuit:et d'anéhantir ses régiments les plus faibles. Il essuyèrent une cuisante défaite à Tarente contre seulement 1200 soldats ennemis menés par un vassal de Roger Borsa. :loose: Qu'importe ! Le commandant Bernard poursuivit néanmoins sa mission en commençant le siège de Salerne.
Dans un second temps, les troupes de Tunis furent levées afin de contenir la guerre civile sévissant en Afrique. Une première victoire fut remporté sous les murs de la ville.
Dans un troisième temps, je prends la tête des 4500 hommes du régiment de Syracuse et je me rends en personne en Italie afin d'opérer une jonction avec les troupes du commandant Bernard.
Coup de théâtre : Roger Borsa vient de débarquer à Syracuse avec 10 000 hommes :goutte:, il prend cette ville d'assaut. Seul le régiment de Palerme (14 000 hommes) est en mesure de faire face. Une défaite signifierait la perte de cette guerre et l'abandon de nos prétention en italie :goutte:
Heureusement, Roger Borsa est écrasé en une sanglante victoire :clap:
Malgré cela, il lui reste de nombreuses troupes et le trésor se vide.
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Pour pallier à mes problèmes d'argent, j'accepte une paix avec le sheik de Syrte qui me donne 76 milles ducats.
Je prends d'assaut le château de Medjerda et signe une paix avec mon frère : il me prête à nouveau allégeance et renonce à ses prétentions sur le titre de Duc de Sicile.
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Les escarmouches s'intensifient en Italie, le sang se répand sans qu'un avantage se dessine.
C'est vrai que ça donne envi de s'y remettre. J'avais été un peu dégouté du jeu avec une partie où les Mongols avaient envahit le monde - sauf moi, en plein milieu en Bohème :goutte: .
Mais si les quelques tout petits bugs sont corrigés pourquoi pas.
PS: j'ai pas bien compris cette histoire des deux royaumes.
C'est vrai que ça donne envi de s'y remettre. J'avais été un peu dégouté du jeu avec une partie où les Mongols avaient envahit le monde - sauf moi, en plein milieu en Bohème :goutte: .
Mais si les quelques tout petits bugs sont corrigés pourquoi pas.
PS: j'ai pas bien compris cette histoire des deux royaumes.
Tu n'avais pas fait un AAR de cette partie ? je me rappelle cette image de l'île de la bohème, sur le QG peut-être.
Sinon, c'est quoi cette histoire de 2 royaumes, j'en ai parlé ?
Troisième partie : La victoire finale !
Rappelons qu'elle était la situation au début de ce moi de mai 1120 :
- la situation en Afrique était maîtrisée.
- 3000 de mes soldats bataillaient en Italie ; je m'apprêtait à débarquer à Naples avec 4500 soldats afin d'opérer une jonction.
- Roger Borsa disposait d'un effectif de 7500 hommes en Italie et disposait des restes de son armée d'invasion qui était sur mer (environ 9 000 homes)
- Ma province de Reggio était occupée
- Mes vassaux me refusaient leur aide (Loyauté < 80%)
- Le trésor était à 0.
Tout d'abord, le régiment de Messine, composé de 900 hommes seulement (la province avait été pillée) fut envoyé en Italie afin de reprendre Reggio.
En août 1120, j'opérais un brillant débarquement à Naples avec le régiment de Trapani et remportais une grande victoire : :roule:
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Les combats se poursuivirent ainsi jusqu'en novembre 1120. Le déficit de l'état commençait à se faire sentir. Les fonctionnaires n'étaient plus payés, le nobles n'étaient plus subventionnés : le désordre s'installait...
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Cependant, petit à petit, notre supériorité s'affirmait en Italie : nous tenions déjà plusieurs provinces de Roger Borsa, qui étaient certe reprises par ce dernier mais après leur pillage. Chaque défaite coûtait cher à nos ennemis.
De février à avril 1121, j'envoyais des renforts, d'ultimes renforts, près de 5000 homes !
De plus, Reggio venait d'être libérer par le régiment de Syracuse. :p:
Mais voila, alors que cette guerre était gagnée, lors d'une ultime bataille dans la province d'Apulie, emporté par mon enthousiasme et pour donner du coeur au ventre à mes chevaliers, je me lançais dans la charge qui aboutit à une victoire ... mais qui me valut un coup d'épée dans le flanc : j'étais grièvement blessé !
http://img236.imageshack.us/img236/7652/106md2.jpg
Toutes les terres de Roger Borsa étaient néanmoins entre nos mains et je pus lui imposer ma paix selon les conditions suivantes :
- Roger Borsa devenait mon vassal :priere:
- Il me cédait son titre de Duc de Calabre
- Il donnait le Duché de Bénévent à son épouse
- Il donnait le Duché de Salerne à son second fils
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C'était une grande victoire militaire, politique et économique ... ternie par la terrible blessure dont je souffrais que les meilleures médecins n'arrivaient pas à soigner. :loose:
Vive le roi des pâtes... heu, d'Afrique! :banana:
Le royaume d'Afrique et le royaume de Sicile, ça fait deux royaumes non ?
(l'AAR Bohème je crois qu'il était sur Benzo)
CHAPITRE XXIV - L'après guerre-
(Décembre 1121 - décembre 1124)
Première partie : état des lieux.
Au 1ier janvier 1122, après toutes ces années de guerre, je décidais de faire un tour d'horizon afin de voir ce qu'il se passait ailleurs.
En Ibérie et en Afrique occidentale, les choses n'avait pas évolué.
En Europe Occidentale, c'était le contraire :
http://img357.imageshack.us/img357/1085/108nx2.jpg
Ajoutons à cela que le Royaume d'Ecosse était pratiquement détruit et que le Royaume d'Irlande était en passe d'être proclamé.
A part ça, au Nordland ça n'avait pas beaucoup bougé non plus, surprenant de la part de nos farouches cousins.
Sur les terres Rus : idem, sauf que la Hongrie, qui rappelons le, détenait une bonne partie des terres Russes était en guerre contre Novgorod et ... était en passe d'être vaincu.
En méditerrannée Orientale :
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Après ce rapide tour d'horizon, une seule pensée me vint : nous étions tranquille, le seul état susceptible de nous nuire était l'émirat de Séville mais il n'avait pas la puissance nécessaire pour nous vaincre sur notre propre terrain (la réciproque était encore plus véridique)
Je me tournais alors vers l'état de mon Royaume :
http://img224.imageshack.us/img224/6774/110ge0.jpg
Les revenus dépassaient tout juste 50 mille ducats par mois, j'étais blessé, le Royaume était religieusement divisé.
C'est néanmoins avec une grande satisfaction que je revis mes enfants après cette si longue guerre.
http://img133.imageshack.us/img133/1695/111bj4.jpg
Puis, entre janvier et mars 1122, les bonnes nouvelles affluèrent :
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Les revenus passent à 76 milles ducats par mois, le déficit du Royaume est comblé, je suis guérit et un long règne s'ouvre devant moi : je n'ai après tout que 32 ans.
Deuxième partie : campagnes en Afrique !
Il ne fallait pas oublier que j'étais encore en guerre contre un des mes ancien vassal : le comte de djerba ; les comtes de Gabes et de Mehdja avait également renié ma suzeraineté il y a quelques années, alors que je n'étais pas en mesure de leur imposer ma souveraineté.
Il était temps de les mettre au pas ! :=(:
Je pris donc la tête du régiment de tunis et de ses 4200 hommes, dont 400 chevaliers.
Ces anciens vassaux n'étaient pas en mesure de faire face à cette force : il furent donc rapidement ramené à la raison.
J'annexe à mes terres les comtés de Mehdja et de Gabes. Je vassalise à nouveau le comté de Djerba. :clap:
Malheureusement, il y avait un revers à cette médaille : ma réputation se dégrada grandement ( - 5,5% )
Le comte de Barri, mon vassal de Pouille se révolta alors contre mon pouvoir ; il fut rapidement maté et "revassalisé" mais le message était passé : je devais prendre garde.
Je pris alors des mesure afin d'améliorer ma réputation. Des fiefs devaient être distribués. J'avais sous la main les deux fils de mon oncle Bernard, grand commandant du comté. Son aîné, Eudes de Hauteville et son cadet William de Hauteville furent nommés Comtes de Reggio et d'Agrigento.
(2 comtés ruinés par les troubles qui y avaient sévits :mrgreen: )
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En octobre 1122, j'avais marié un de ces deux là avec une jeune fille très intelligente : Agnès de Béarn (18 en diplomatie) qui était depuis peu chancelière du Royaume (la qualité de la diplomatie contrecarre les envies de révolte)
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En janvier 1123, une nouvelle épidémie se déclara en Sicile :une dysenterie à Syracuse.
En mars 1123, je décidais de repartir en guerre ... encore :siffle2:
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Je prends la tête du régiment de Tunis et de ses 4500 hommes dont 450 chevaliers :chargez:. Je me fais accompagner par mon frère aîné, Serril de Hauteville et de 1200 de ses soldats.
Cette guerre fut une promenade dans les terres sèches des montagnes d'Afrique.
En avril 1123, j'appris avec tristesse que mon fils aîné, Charles de Hauteville, venait de tomber gravement malade. :(
En mai, un grand honneur est fait à ma famille. Je fis à cette occasion une promesse solenelle : que le Royaume de Jérusalem tombe, malgré mon soutien, et j'irais reconstruire ce dernier, le glaive à la main. :=(:
http://img224.imageshack.us/img224/2609/116wf6.jpg
En juillet 1123, la promenade d'Afrique prit fin et j'obtenais ce que je voulais :
http://img295.imageshack.us/img295/7396/117ru8.jpg
Je pus rentrer tranquillement à Tunis en me faisant une promesse : ne plus entrer en guerre pendant quelques années et administrer mes ... non, mon Royaume. :roi:
Emp_Palpatine
03/07/2008, 21h03
Très bonne idée les petits résumés de la situation générale! :hello:
Très bonne idée les petits résumés de la situation générale! :hello:
Merci, je trouve effectivement que ça manque quand ça n'y est pas :mrgreen: (Au moins dans crusader kings parce que dans Europa ... c'est pire :lol: )
En exclusivité, établi par les plus grands historiens Sicilien, j'ai le plaisir de vous proposer ceci, afin de mieux se rendre compte de l'évolution de la famille des Hauteville.
http://img354.imageshack.us/img354/9234/gnalogierg8.png
SeNTEnZa
04/07/2008, 11h18
le seul hic je trouve, c'est que tu vas devoir te balader avec ce titre de roi d'afrique meme si tu choppes celui de roi de naples (a moins de refiler le titre de roi de naples a ton successeur avant 'ta' mort ... dans ce cas la ne pas oublier de faire un reload, sinon bug d'apres mes souvenirs). Le titre de roi d'afrique lui reviendra, mais son titre principal sera roi de naples :ok:
Maurice Morisson
04/07/2008, 11h57
le seul hic je trouve, c'est que tu vas devoir te balader avec ce titre de roi d'afrique meme si tu choppes celui de roi de naples (a moins de refiler le titre de roi de naples a ton successeur avant 'ta' mort ... dans ce cas la ne pas oublier de faire un reload, sinon bug d'apres mes souvenirs). Le titre de roi d'afrique lui reviendra, mais son titre principal sera roi de naples :ok:
Ça marche pas tout le temps ce truc, dans CK 1.05, j'ai essayé souvent de changer mon titre de roi de Naples contre celui d'Empereur Byzantin avec cette technique sans succès:(
Bon AAR:)
latiatia
04/07/2008, 13h23
Vraiment très bon cet AAR.
Troisième partie : Seconde campagne en Afrique.
Nous étions en août 1123, le Royaume se portait bien, et les finances aussi :ok:
Je pouvais donc lancer un programme de grands travaux :
- réseau routier étendu à Messine
- Blibliothèques à Banghazi et Gabes
- Ecole à Madhia.
C'est à ce moment que mon fils aîné, Charles de Hauteville perdit le grand stress qui aura marqué toute son enfance. Il fait tout à l'envers, il attend l'adolescence pour s'apaiser ... :mouais: Enfin bon, c'était une bonne nouvelle.
Celles-ci l'étaient moins :
http://img359.imageshack.us/img359/8208/118bd8.jpg
En novembre 1123, la province de Madhia se convertit au catholicisme. La province entra bien entendu en révolte et fut pillé mais c'était quand même une bonne nouvelle.:eveque:
La province de Gabes connut alors le même sort mais ne se convertit pas .:(
Avec l'arrivée précoce du printemps en février 1123, je décidais de rpartir de nouveau en camapgne, toujours en Afrique. J'étais Roi d'Afrique après tout :mrgreen:. Je devais ramener au sein du royaume les très pauvres provinces de Syrte et de Cyrenaica. Comte tenu de ma réputation, je devais évidemment me contenter de vassaliser les comtes de ces provinces. :mouais:
Je pris donc la tête du régiment de Syracuse composé de 2 000 soldats : renforcé par le régiment de Benghazi et le régiment du Comte de Leptis Magna, cela devrait faire l'affaire :o:
http://img392.imageshack.us/img392/1711/119wi2.jpg
Dès juin 1124, je fus à pied d'oeuvre, la guerre fut déclarée au sheik de cyrenaica.
De bonnes nouvelles me parvinrent alors : mon fils aîné, après avoir perdu son symptôme de stress venait de guérir de sa maladie ; malheureusement, un grand homme périt au cours de la première escarmouche, le seul combat que j'eu a mené contre le sheik de Cyrenaica. L'oncle Bernard, mon mentor, fidèle guerrier qui avait accompagné ma fulgurante ascension n'était plus ... :eveque2:
http://img395.imageshack.us/img395/1613/120al0.jpg
Je n'avais qu'une seule personne capable de remplacer Bernard : Charles de Hauteville, récemment guérit fut donc nommé commandant du royaume ; il n'avait que 8 en martial mais poursuivait une éducation dans ce domaine... qui sait ?
Le sheik de Cyrenaica fut rapidement vassalisé ; mais je n'avais plus coeur à mettre au pas le comte de Syrte (le frère du précédent, mais qui s'était convertit au catholiscisme.), d'autant plus que la paix avec ce dernier avait été signée moins de 5 ans auparavent (perte de 100 en prestige si je lui déclare le guerre)
Les régiment furent donc dispersé et, alors que je me dirigeais vers Tunis une mauvaise nouvelle, encore une, me parvint :enerve:
http://img360.imageshack.us/img360/580/121dr0.jpg
C'était bien une catastrophe économique, qui ne serait réparée qu'au bout de plusieurs années... :loose:
Ralalala, les events de révoltes dans les régions éloignées :crise:
J'ai fini par tout donner à des vassaux tellement c'était ingérable...
Très bien en tout cas, continue :)
CHAPITRE XXV - Gestion et administration du royaume
(janvier 1125 -
Première partie : l'explosion des revenus.
En cette belle année 1125, ma 36ème année, force est de constaté la chose suivante :
Je suis prince souverain depuis 22 ans, Roi depuis 9 ans. C'est bien d'être devenu Roi mais voila : l'état est plus pauvre aujourd'hui qu'hier :siffle2: ... Trop de guerre ? trop de pillage ?
Non : trop de révolte contre mon pouvoir, de mécontentement des différentes classes : trop de soucis.
Je pensait de plus en plus à nommer de grands vassaux, des Ducs, qui tiendraient pour moi les terres du Royaume les plus reculées (et les moins riches :mrgreen: )
Mes deux premiers fils, Charles et Géraud, terminèrent alors leur éducation militaire :
http://img393.imageshack.us/img393/7602/122hr4.jpg
http://img99.imageshack.us/img99/6929/123oh8.jpg
Les revenus du Royaume étaient tombés à 48 milles ducats par mois ... Deux fois moins que jadis. :loose:
Il fallait remédier à cela !
En octobre 1125, je retire à mon frère aîné Serril son titre de Comte de Bizerte (il possédait 3 comtés : c'était trop). Il s'agit d'une province relativement riche.
Au cours de l'année 1126, je lance la construction de bâtiments usuriers dans 5 de mes provinces. Cela entraîne une baisse de ma réputation religieuse, ces bâtiments étant tenus par des juifs mais qu'importe : tant qu'ils paient l'impôt et me sont fidèles :o: (Hausse de 10% des revenus dans ces 5 provinces)
Une église est bâtie à Benghazi, cette province récupère de son statut de pillée.
Entre avril et juillet 1126, les révoltes s'apaisent peu à peu dans le royaume (fin des troubles à Madhia, Syracuse et Benghazi).
En novembre 1126, la province de Palerme récupère à son tour de son statut de pillée. :)
Pourtant, les troubles continuent...
http://img91.imageshack.us/img91/1126/124rt2.jpg
Deuxième partie : une période de calme.
L'année 1127 s'écoule paisiblement ; j'organise de nombreuses fêtes dans les luxuriants jardins de Tunis. La fraîcheur du soir est propice à ce genre de manifestations. :cour:
La richesse du royaume me permet de ne pas écraser mon peuple sous les impôts.
Les nobles eux-mêmes, sous réserve qu'ils me soient fidèles et qu'ils me servent (en tant que chevalier, diplomate, administrateur, gouverneur ...) sont bien traités. Je favorise le commerce et fait preuve du plus grand respect envers l'église. :eveque:
En août, l'épidémie qui sévissait à Syracuse depuis de nombreuses années prend fin. Le Pape appelle les peuples à la croisade en septembre : je décide de faire la sourde oreille : aucun peuple non chrétien ne nous menace ; le seul état musulman puissant est l'émirat de Séville, dont le dirigeant est un grand et sage chef d'état avec lequel j'entretiens de bonnes relations.
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Au cours de l'année 1128, j'entreprends la construction de verreries dans les provinces de Tunis, Gabes et Mahdia ; je souhaite commencer à développer les industries du Royaume. Cela ne pourra avoir que de bonnes retombées sur le commerce.
J'apprends alors que mon quatrième et dernier fils, âgé de seulement 16 ans a prit une concubine et que cette dernière vient de lui faire un bâtard :main:... me rendant grand-père à 39 ans par la même occasion. Comme le temps passe ... :mouais:
troisième partie : celle qui vient après la seconde
Août 1128 : sous mon gouvernement éclairé, le Royaume d'Afrique se dirige vers la lumière. La révolte de la province de Palerme prend fin : que peut reprocher un peuple à son souverain quand celui-ci assure la paix, favorise le commerce et fait le nécessaire pour que les ventres soient pleins ? :o:
J'entreprends la coûteuse construction de trois châteaux en Sicile, dans les provinces de Messine, Trapani et Syracuse.
Les échos de ma puissance traverse les mers, des ambassades de plus en plus nombreuses viennent recueillir notre amitié, nos conseils et notre bienveillance.
Plus aucun de mes vassaux ne songe seulement à l'idée d'une révolte : ce serait tellement inconvenant (tout les deux mois, j'ai un event : un vassal est heureux de votre règne juste et bon :mrgreen: )
:trone:
Las artistes de toute nature, les scientifiques :chazam:, les philosophes:levite:, les historiens et cartographes :cultivé: : ma cour devient le phare de la culture Méditerranéenne, le lien entre l'Islam et le Christianisme. (j'ai également le droit à de nombreux events de découverte scientifique)
Cette période faste est subitement entachée en septembre 1128 par la révolte et le pillage de deux provinces d'Afrique : Gabes et Bizerte ; ces évènements font suite à des troubles religieux. :( Mais qui fomente ces troubles :crise: ????
Situation en février 1129 :
http://img166.imageshack.us/img166/8954/126su1.jpg
Mai 1129 ; de nouvelles preuves de la justesse de mon pouvoir s'étale à la face du monde :
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En juillet 1129, un terrible évènement se produit alors : je suis victime d'une tentative d'assassinat !!! :choc:
Qui a osé ?
http://img177.imageshack.us/img177/6835/129cv9.jpg
Otto Granpieds
07/07/2008, 22h03
Moi je verrai bien les héritiers : comme le vieux fait de l'incruste, on le "pousse" vers la sortie :lol:
Moi je verrai bien les héritiers : comme le vieux fait de l'incruste, on le "pousse" vers la sortie :lol:
La suite semble prouver que non.
Et puis je me demande si ce genre d'event n'apparait pas quand un souverain étranger essaie d'en assassiner un autre. Parce que là, il n'y avait aucune raison : je n'était ni excommunié, ni hérétique, pas en guerre .... je ne sais pas :mouais:
CHAPITRE XXVI : LA PLONGEE VERS LES TENEBRES. (août 1129 -
Première partie : le début des troubles
Je venais donc d'être victime d'une tentative d'assassinat, qui m'avait grièvement blessé.
Cependant, croyant que ce fait n'aurait d'incidence que sur ma santé, je décidais de continuer mon oeuvre pour mon peuple. Je ne pouvais plus diriger l'Etat que par le biais de mes conseillers mais je présidais néanmoins au Conseil : je conservais toutes mes facultés de chef d'état... seul mener les armées m'était interdit. :loose:
Je continuais donc la modernisation de mes domaines en faisant construire une mine à Tunis et une église à Gabes.
Bizerte récupéra de son statut de pillée en octobre 1129 : les revenus du Royaume dépassaient les 90 milles ducats par mois. :clap:
En décembre, je retire à Roger Borsa (qui gatouille à 69ans) son titre de Duc de Pouille que je donne à son fils aîné. Je donne également le titre de Duc de Calabre à mon cousin : Eudes de Hauteville, comte de Reggio.
Ces mesures entrainent une baisse de ma mauvaise réputation. ( -3,8% au lieu de -4,5%)
Curieusement, mon 4ème fils Enguerrand quitte la Cour en janvier 1130... Quitte ou fuit ? Je l'ignore. :pigepas:
Toujours est-il que :
http://img68.imageshack.us/img68/5868/130ba8.jpg
Mars 1130, alors que je suis déclaré agonisant depuis moins de deux mois, il semblerait que le nouvelle est parvenue en Italie...
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Deuxième partie : Guerre civile et morcellement
Heureusement, dans la tempête, le peuple prit l'initiative de me montrer son soutien : les révoltes paysannes de Gabes et Bizerte prirent fin ; Benghazi récupéra du pillage dont elle avait été victime. :)
Malheureusement, des bandes armées commençaient à se promener dans le royaume ; la scierie de Palerme fut détruite ainsi que d'autres bâtiments n'appartenant pas à l'état. Il ne s'agissait plus d'un risque de pillage, de rançon : il s'agissait de destruction. :boum:
J'étais cloué au sol par la maladie et ma blessure. Mes fils, les trois qui étaient restés auprès de moi prirent le commandement de mes armées afin de ramener de l'ordre dans le Royaume. :policier:
Le comte de Tarente fut rapidement mis au pas, ses terres furent annexées à la couronne : je pensais qu'il était grand temps de faire comprendre comment serait traités les traîtres ! :guillo:
100 milles ducats passèrent par la même occasion dans les caisses du trésor.
Mal m'en pris : mes vassaux rebelles semblaient n'attendre que cela pour me déclarer tyran !
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En septembre 1130, le duc de calabre, mon cousin, Eudes de Hauteville se déclare indépendant: il ne fait plus partie du Royaume d'Afrique !
Afin d'éviter une accélération du morcellement de l'Etat et d'asseoir ma légitimité et celle des mes descendants, je prends alors une décision que je pensais prendre dans un moment plus glorieux.
Sur mon lit ... de mort selon tous, je me fait couronner Roi de Sicile, Duc de Constantine, Duc de Cyrenaique et Duc de Tripolitaine. :clap:
Même si ces royaume ou duchés sont partiellement perdus, mes héritiers pourront remettre la main dessus. :o:
http://img503.imageshack.us/img503/1285/133fh6.jpg
En quelques mois, la stabilité du royaume était passée de + 2 à -1 ! 50 années d'efforts sont mis à mal ! :loose:
Lorsque j'ai donné ma fille aîné à Roger de Pouille, ce dernier m'a envoyé 1039 sacs de 1000 ducats d'or. Je ne le savais pas si riche. Je n'oublierai pas son soutien, et mes fils non plus. :p:
SeNTEnZa
09/07/2008, 14h35
Roger de Hauteville :.
Je suis veuf d'une femme qui m'a donné trois filles.:mouais:http://img508.imageshack.us/img508/5849/76764282bz1.jpg
marrant j'ai commencé une partie avec comté de reggio ... mais j'ai une fumelle moi ... ma chanceliere :confus:
edit un lien interessant : http://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_Ier_de_Sicile
Arg, que va devenir le royaume?? :pasvrai::ouin:
Arg, que va devenir le royaume?? :pasvrai::ouin:
Je ne sais pas, non, je ne sais pas. :siffle2: Je m'inquiète quand même un peu, si je me fais attaquer par un puissant royaume, ça va être dure de faire face. Mais en même temps, les caisses sont pleines à craquer, donc je pourrais mobiliser un grand nombre de troupes.
Ce qui m'embête le plus, c'est la perte de stabilité ; je ne sais pas encore à quoi ça sert, mais en tant qu'ancien "joueur EU2", ça me gêne. :goutte:
Bah, de toute façon, le génie militaire de la famille fera qu'une solution sera trouvée ... face aux vassaux récalcitrants :fessée:. Je suis quand même très content (au fond) je commençais à être un brin trop puissant (ce qui n'est plus le cas) et puis c'est assez réaliste : je suis blessé donc amoindri et paf, les grands du royaume essaient d'en profiter pour tirer les marrons du feu.
En attendant, je suis en repos longue durée qui occasionne une pause dans l'AAR.
SeNTEnZa
21/07/2008, 17h02
a mon avis, la stabilité influe sur la fréquence d'apparition de certains evenements ... en revanche je ne sais pas lesquels, mais ca me parait plausible
J'ai toujours la save (bien que n'ayant pas joué depuis 2 mois :yeux: )
Y a eu les vacances entre temps et maintenant, j'ai pas mal d'obligation professionnelle ... je joue beaucoup moins :ouin: ; mais c'est point grave : je reprendrai :roi:
J'ai toujours la save (bien que n'ayant pas joué depuis 2 mois :yeux: )
Y a eu les vacances entre temps et maintenant, j'ai pas mal d'obligation professionnelle ... je joue beaucoup moins :ouin: ; mais c'est point grave : je reprendrai :roi:
:fouleencolère: T'a intérêt a continuer ! On ne laisse pas un si bon Aar sans fin !!
;)
ar sparfell
15/04/2009, 17h10
Y a eu les vacances entre temps et maintenant, j'ai pas mal d'obligation professionnelle ... je joue beaucoup moins :ouin: ; mais c'est point grave : je reprendrai :roi:Parolé parolé parolé...:angel:
C'est (malheureusement) souvent par ces mots que finissent les AARs. :yeux::chicos::lol:
Au fait, comment ça va Athaxounet???? :hello::hello::hello:
Ben ça va plutôt bien. Et toi Arounet : digne Mérovingien, comment te portes-tu ? Ou en est-tu ? Raconte moi tout (en MP si c'est des trucs inavouables, crapuleux voir licencieux, ce qui ne saurait m'étonner :chicos:.)
Il faudrait qu'on monte un coup pour s'inviter bouffer chez chazam cet été :siffle: :siffle: :siffle:
Sinon, j'ai pas "bougé" depuis 1 an : pas mal de boulot et assez peu de temps pour avoir des activités extra-professionnelles fatigantes telles que l'écriture d'un AAR :yeux:.
Mais j'ai toujours la save et qui sait, l'hiver prochain, si tout va bien, j'aurais le temps de m'y replonger.
I will be back comme dirait l'autre :2gun:
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