Voir la version complète : AAR GPO5 le VRAI
J'ouvre la section AAR de la gpo5, deuxième édition.
On joue le mardi à 20h30 (leaz :enerve: )
Scénario 1453
- France : Lemarseillais
- Autriche: Vince
- Venise: Pedrolane
- Pologne: Leaz
- Angleterre: Danton
- Castille: Comeon
- Empire Ottoman : Jimbo
- Novgorod: Marco Rale
- Suéde / Danemark : Elvis ?
- Portugal : Ciirse
Voici les gains pour les AARs : tout les 30 ans voir moins à négocier, chaque pays qui prend le temps d'écrire des AARs et marquera ses positions officielles (3 lignes ne suffisent pas), reçoit un certain nombre de ducats selon une brillante formule mathématique ayant nécessité 5 ans de recherches :
Gains en ducats = 100ln(x/2)
Avec x = revenus mensuels du pays.
http://web.genealogie.free.fr/images/Les_dynasties/Castille.gif
Déclaration du Royaume de Castille
La reconquista continue
Nous, Roi de Castille et de Léon annonçont notre intention de poursuivre la reconquista entrepris par nos glorieux ainés, et de bouter hors de la péninsule ibérique tout les mahométans et autres réfractaires à la sainte Lumière de l'Eglise Catholique.
Ainsi, nos armées se préparent activement et entreprendrons dès le 1er janvier 1453 les offensives par les armes pour reprendre nos terres sous l'emprise du califat de Grenade qui n'existera bientôt plus.
La Vrai Foi sera ainsi rétablie partout en Ibérie, les mahométans refusant de baiser les pieds du christ seront chassés et les mosquées seront rasées pour laisser place à de somptueuses églises.
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/7b/Reconquista3.jpg
nos armées écrasant les masses du Calife
L'accord de Cognac
Signé entre les rois de Castille et de France, le 20 décembre 1452 :
" [...]les deux royaumes très chrétiens annoncent leur intention d'unir leur force pour repousser toute attaque musulmane sur les terres chrétiennes d'Italie et du Dodecanese, ainsi que sur les terres vénitiennes, et toute terres qu'il plaira d'ajouter à cet accord dans le futur et selon les évènements, par la suite d'un commun accord entre les deux rois [...]"
L'Aragon
Malgre de nombreux évènements ayant retardé l'unification de la Castille et de l'Aragon, notre Roi a toujours le désir que lui incombe le devoir de poursuivre la politique de réunification de la péninsule.
Nous souhaitons que ce processus se fasse dans la paix et la serennité, aussi nous demandons au Roi d'Aragon de reconnaitre notre suzeraineté.
En cas de refus, nous serions forcés d'utiliser les armes pour que l'Aragon devienne notre vassal, ce qui serait regrettable.
Encore une fois, nous ne souhaitons que la vassalité, et en aucun cas une quelconque annexion brutale. Le processurs doit être progressif et paisible.
Diplomatie
A la France : Nous saluons le pieux roi de france avec qui nous défendrons ensemble les terres chrétiennes sous menace du sultan
A l'Angleterre : Nous souhaitons de bonnes relations entre nos eux pays.
A l'Autriche : nous proposons là aussi une alliance entre nos deux pays dont l'optique serait plutôt d'empècher voir de repousser les hordes ottomanes qui ne tarderons pas à fondre sur les terres chrétiennes de Hongries et les possessions vénitiennes.
A Novgorod : Nous ne souhaitons envoyer aucuns messages aux barbares incultes et schismatiques du nord.
A Venise : Nous garantissons vos possessions actulles, et seulemnt actuelles.
Cela va de paire avec votre modération en Italie étant donné votre puissance militaire face aux faibles mais riches cités voisines.
Pedrolane
25/06/2007, 14h02
/Indulgence requise, 1ere vrai aar :) merci\
Royaume de Venise, 1450
http://www.artsimages.com/VENISE/blasonVe1.jpg
Guerre guerre !!!!!
-Mama mia que se passe-t-il?
-T'inquiète Pedro c'est les nobles qui jouent...
-Fanfan culo que stronzo ces nobles !
Sonia, prépare tes affaires, on prend nos clics no clacs et on se tailles, ta mère avait raison laissons donc milan et sa pagaille, on part pour Venise !!
1453: Après un long, périlleux et courageux trajet, la famille Lanus arriva à bon port. 3 ans de voyages et de cache-cache pour éviter de rencontrer les armées de Milan d'abord, ensuite de venise mais aussi celles de toscane et de de mantoute, en effet toute l'Italie s'est embrasée dans cette guerre terrible et aussi inutile qu'injustifiée.
1. Arrivée à Venise
-Que bella !! tu as vu ca sonia? on y est !! venise l'enchantée, venise la belle , venise la magnifique, venise la...
- Si, si stronzo, ferme ta gueula et trouve nous a manger et un logement ...
- Si si amor mio ...
Pedro le petit berger se mit donc en quete d'un travail avant toute chose afin de pouvoir nourir et loger sa famille ( 7 enfants tout de meme). Il marcha, erra à la recherce d'un travail, lorsqu'il finit par revenir bredouille , il retrouva sa femme et ses enfants au pied de la fontaine de " La plaza de la Victoria".
Pedro attristé s'appuya contre un mur et se laissa tombé contre celui-ci, dans sa longue descente vers le sol pouilleux et malpropre des bas quartiers il apercut une lueur derrière un toneau sous une étable à environ 10 mètres...
Le dillème était de taille: Soit se lever et aller voir, soit rester là et attendre que le bon dieu intervienne. Ni une ni deux il se leva !!!
Il approcha doucement, écarta les tonneaux et vit avec stupéfaction une épée incandescante plantée dans un rocher de couleur reglease ... :yeux:
Tout le monde affluait de toute part et poussa pedro qui finit par se retrouver pour finir à l'extérieur du cercle qui entourait cette mystérieuse épée.
Enfin, un lettré arriva, et lu les inscriptions écrites sur la pierre :
"Qui parviendra a retirer cette épée de son rocher, deviendra le maitre absolu de Venise et aura la vie éternelle."
A cette annonce, tous les gueux s'essayèrent à retirer l'épée mais aucun n'y parvint, pour finir les nobles et bourgeois mis au courant de cette affaie accoururent à leurs tour et s'y essayèrent, mais aucun n'y parvint !
C'est alors que le Doge de Venise arriva, ce fut un moment intense en émotion pour tous les habitants de Venise qui n'avaient jamais vu leur souverain autre part que sur des pièces de monnaies. Le roi désigna Pedro et lui dit :
- Toi, le geux, comment te nommes-tu?
- Pedro, Pedro Lanus répondit pedro...
- PedroLanus, c'est ridicule tu t'appelleras Pedrolane à partir d'aujourd'hui ! Décret royal !! Bon, maintenant bouge ton gros culo de là et va m'enlever cette épée, t'as toujours pas compris que c'était toi qui devait la retirée cette épée et avoir une destinée extraordinaire??? M'enfin depuis qu'on a parlé de cette épée tout le monde le sais , allé actives-toi !!! dis le roi d'une voix transcendante ...
Pedro Lanus, nouvellement renommé Pedrolane se dirigea donc timidement vers l'épée, posa sa main sur le manche et la retira aussi facilement qu'un couteau dans du beure.
- Longue vie au nouveau Roi des Doges de Venise !!! s'exlama le Doge qui lui balanca sa couronne et s'en alla d'un pas pressé en lui disant : '' t'inquiète c'est tranquil comme Job, à propos t'es en guerre contre Milan et jte laisse mon fils comme pantin, moi je me casses vous me faites tous gerber...''
On apprit plustard que le Doge s'exila en mantoue ou il se fit courroné roi, soit-disant pour une histoire de coeur.
Pedrolane s'installa donc dans son nouveau Palais tout beau tout propre, fils trouver un logement à sa femme et ses enfants loin du Palais (pour pas avoir mauvaise conscience) et convoqua alors le nouveau Doge ''officiel'' de venise et lui fit part de son inquiétude dans la guerre contre milan, le doge le rassura rapidement et lui fit un petit état des lieux.
Voici donc Pedrolane Le Gueux Ier du nom à la tête de l'état le plus puissant d'Italie.
Pedrolane
25/06/2007, 14h24
Déclaration du grand Doge des Doges de Venise:
Pedrolane Le Gueux Ier,
Au monde, Venise exprime son souhait que la paix revienne en europe occidentale entre la France et l'Angleterre, que plus aucun conflit majeur n'ait lieu et que les chrétiens s'unissent afin de repousser les hordes barbares du perfide Sultant qui fondent acctuellement sur Constantinople.
Venise annonce aussi qu'après la terrible agression dont elle a été victime par Milan elle se réserve le droit d'exercer le chatiment qu'elle estimera nécessaire afin de les punir.
Ensuite Venise annonce aussi qu' aucun guerre ne sera déclarée sans un casus belli, sauf à l'encontre des nations qui ne respectent pas le vrai culte et sauf contre Mantoue qui refuse d'extrader l'ancien Doge de Venise qui y a lachement fui et pris le pouvoir, nous considérons donc que nous avons toute la légitimité nécessaire que pour y intervenir et le décapiter !
- Au royaume de France, bon roi, nous vous exprimons toute notre amitié et en tant que puissance dominante d'italie nous nous devons de garantir l'indépendance de la savoie : indépendance territoriale mais aussi de la cours (= pas de vassalisation), nous éspèrons que vous accordez autant d'importance que nous à cette indépendance qui serait un gage de notre respect mutuel .
- Au royaume de Castille, nous sommes heureux d'apprendre que vous avez pour volonté de repousser les hordes Musulmanes et nous vous soutenons, nous sommes aussi ravis d'apprendre que vous garrantissez nos possesions actuels mais vous faisons savoir qu'elles vont tout de meme tendre à s'étendre :chicos: , effectivement le royaume de milan nous a perfidement aggressé et nous ne laisserons pas passer cela !
De plus nous trouvons l'occupation de malte, de la sardaigne, de messine et de palerme par la couronne aragonaise on ne peut plus illégitime et vous prions d'insister auprès du Monarque Aragonais afin que ces territoires soient au plus vite rendus aux royaumes italiens!
- Au royaume d'Autriche, nous souhaitons une amitié longue et profonde entre nos deux peuples et une lutte forcenée conjointe contre l'envahisseur de l'est. Nous éspèrons que nous pourrons compter sur vous en cas d'avancée trop rapide des barbares musulmans , en tous les cas vous pourrez compter sur nous !
- Au royaume d'Angleterre, nous vous prions de signer une paix le plus rapidement possiblme avec la France et vous invitons a rejoindre l'alliance de la Chrétienté contre le perfide ottoman.
- Au semblant de royaume Ottoman : :tongue:
Chroniques Ottomanes
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/6/68/Image-Mehmed_II_Fatih%2C_Sarai_Albums%2C_Istanbul_-_Miniature%2C_fin_du_XVe_si%C3%A8cle.jpg/180px-Image-Mehmed_II_Fatih%2C_Sarai_Albums%2C_Istanbul_-_Miniature%2C_fin_du_XVe_si%C3%A8cle.jpg
Le Sultan Mehmed II
Chroniques Ottomanes an 1453
L'Empire romain d'Orient, un Etat vieux de 1125 ans est aujourd'hui déchu.
Il s'est écroulé face à la puissance et au talent du grand Mehmet II Sultan Ottoman.
Mehmet II le Conquérant proclame par décret que Constantinople sera désormais
la nouvelle Capitale du Sultanat Ottoman et rend sans délai à tous les survivants
du siège de la ville la liberté de commerce et de culte.
le Sultan devra désormais être appelé Kayser-i Rum ce qui signifie pour infidèles
méconnaissant la langue du Sultan : "l'Empereur romain".
Kayser-i Rum se veut l'héritier de la grandeur de Rome et déclare que les monuments
artistique de la nouvelle Capitale doivent être préservés. Tout homme qui portera
atteinte au patrimoine de la Ville se verra décapité sans autre jugement.
Kayser-i Rum désire conclure un accord commercial avec les République Marchandes
de Gêne et de Venise afin de permettre à Constantinople de retrouver sa grandeur
passée par le biais du commerce.
lemarseillais
25/06/2007, 23h23
Un instant perdu à la cour de France....
- Qu'est ce ceci ?
- La déclaration du roi de Castille mon seigneur.
- Faites savoir à mon cousin que nous ne tolérons aucune agression contre le royaume d'Aragon. Dans le même temps, informé le grand doge de Venise que nous sommes intéressés pour mener une action de concert contre l'Aragon. Et débrouillez vous pour que le roi de Castille apprenne ce rapprochement entre Venise et la France. Peut-être qu'ainsi il réfléchira un peu plus à la légitimité de nos revendications.
- Ce sera fait mon roi.
- Faites rappeler Monseigneur de Tignes. Je ne vois plus l'intérêt d'entretenir un ambassadeur à la cour de Castille. Les propos de ce roi sur Calais sont inadmissibles et malvenus. Je ne vois pas par quel miracle ce roi est en mesure de juger la légitimité de la meilleure des revendications entre celles anglaises et françaises. Tant qu'il n'y aura pas de rétractations, faites savoir à ce roi qu'il sera aise de nous ignorer comme nous le ferons.
http://web.genealogie.free.fr/images/Les_dynasties/Castille.gif
Déclaration du royaume de Castille
En ce jour du 31 décembre 1452, la Castille reconnait toute légitimité à la France vis à vis de Calais.
lemarseillais
26/06/2007, 17h33
Déclaration du roi de France :
Nous nous réjouissons de l'annonce officielle de la cour de Castille. C'est avec joie que nous reprenons contact avec notre cousin.
Chroniques du Portugal
http://images0.hiboox.com/vignettes/2607/v93vtbww.gif (http://www.hiboox.com/lang-fr/image.php?img=v93vtbww.gif)
Ca fait déjà un bon moment que le royaume du Portugal possède des cartes du nouveau monde. Après que notre bon Roi, redoutable au tarot, ai gagné une partie contre le Pape, Sa Sainteté dû céder cette mystérieuse carte, précieusement gardée dans la bibliothèque du Vatican, et sauvée auparavant du dernier incendie de la bibliothèque d’Alexandrie par Piri Reis, un pirate Turc.
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Mais c’est les Indes que je veux. La route des épices par la méditerranée n’étant plus sûre, j’ai mis en place une fine équipe qui sera chargée d’ouvrir la voie.
Ils sont sans pitié, ils sont prêts à tout faire cramer, ce sont mes 12 salopards.
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Regarder les bien : ce sont les pires crapules que la Terre n’ai jamais portée en son sein, des brutes féroces que rien ne pourra arrêter.
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Le 12ème, Bartolomeu Dias, c’est le chef, c’est le pire.
J’ai demandé qu’ils trouvent les Indes, en contournant l’Afrique. Je compte disposer des comptoirs tout le long de cette route, et installer une petite présence sur la côte indienne.
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http://images0.hiboox.com/vignettes/2607/6me184zs.jpg (http://www.hiboox.com/lang-fr/image.php?img=6me184zs.jpg)
Nous serons intraitable face aux forces musulmanes qui nous barreraient la route, et je compte, avec le temps, convertir des terres arabes, pour d’abord conquérir de nouveaux territoires, et ensuite pour affaiblir le monde musulman au profit du monde catholique.
En Europe le Portugal n’a pas le poids nécessaire pour avoir une politique européenne forte, et même si le Pape, qui veille sur ses enfants, excommunierait immédiatement tout pays qui voudrait porter atteinte à la souveraineté du royaume, je souhaite que la Castille nous garde sous son aile protectrice ; le Portugal viendra promptement appuyer sa politique dans le vieux continent, et ainsi constituer le bloc ibérique, notamment comme contre-pouvoir au royaume de France, qu’il faudra à coup sûr, dans un futur proche, contenir.
Néanmoins, au-delà des colonnes d’Hercule, place aux marchands et aux aventuriers, et que les plus audacieux dans la course aux nouvelles terres l’emportent !
lemarseillais
27/06/2007, 15h09
Déclaration du roi de France :
A notre très estimé cousin le roi du Portugal,
nous avons pris acte de votre position diplomatique. Vous avez fait le choix de vous unir étroitement à la couronne espagnole sans prendre le temps de vous renseigner sur les autres opportunités qui vous étaient offertes. Soit ! C'est votre choix.
Néanmoins, nous n'avons guère apprécié la remarque à notre encontre. Sachez, cher cousin, qu'on ne contient pas le royaume de France. Ce n'est que stupide et vaine entreprise. D'abord parce que la France, pas plus ni moins qu'un autre, ne menace qui que ce soit. Il n'y a donc lieu de le contenir. Ensuite, parce que tenir de tels propos c'est se placer d'office comme un concurrent, un rival, un adversaire de la France sans que de quelconques actes ou paroles de notre part puissent le justifier. Enfin, il est aussi candide de vouloir contenir le Ciel que de vouloir contenir la France.
Parlez ami ou périssez !
Que Dieu vous garde de vos "amis" car de vos ennemis vous ne pouvez attendre que de bonnes surprises.
Marco Rale
28/06/2007, 22h16
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lemarseillais
29/06/2007, 00h18
A la cour de France.....
- Mon seigneur voici la version de l'histoire de Novgorod que vous avez commandé
- Faites m'en lecture !
"Novgorod la grande, 1453 - 1465
1er mai de l'an de grâce 1453. (Pséphimei ?) II, archevêque primat.
L'hiver tarde (à) se reposer. (J)'avais besoin de prétexter une promenade autour du Kremlin pour cacher la gravit(é) de mes pensées.
Constantinople est tombée... C'est une terrible nouvelle pour la République. Le berceau de la seule vraie foi n'est plus et la route commerciale qui avait fait notre grandeur est fermée, ou du moins à la merci du bon vouloir du Sultan. Les principautés du grand peuple russe, si tristement divisées, s'en trouvent encore plus isolées... La situation est critique pour notre prospère mais fragile République.
A l'ouest, les chevaliers teutoniques se montrent aggressifs, multipliant les provocations envers notre soeur, Pskov. Au nord.....nous sommes le Nord (humour russe. Ne pas cherchez pourquoi il faut rire. Riez !). Au sud et à l'est, les Tartares, bien (qu)'affaiblis par la chute du grand Khanat, sont encore immensément nombreux. Nos colonies de Sibérie sont constamment sous la menace. Il va falloir ? en nous alliant au plus tôt avec les principautés Russes et en menant la lutte pour la survie de ce qui reste du royaume de Kiev.
Il nous faut réouvrir de nouvelles routes commerciales dans la mer Baltique et plus à l'ouest encore. Et en premier lieu, mère de toutes les priorités, condition de notre survie, il nous faut renforcer et reorganiser l'armée.
Convoquez les ?"
- convoquez les quoi ?
- Je ne sais mon Seigneur, le texte est illisible.
- Argh encore un auteur qui passe par word pour traduire en grec son texte. Résultat ça ressemble à rien. C'est à en perdre son latin.
- Son grec mon roi. Son grec !
*éclat de rires à la cour de France*
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Chroniques de Castille 1453-1465
La reconquista achevée
Comme nous l'avions annoncé à l'ensemble des royaumes d'Europe, l'année 1453 vis la destruction des restes du califat de Grenade, et la fin victorieuse de la reconquista.
Les armées du Calife furent écrasées, et nos troupes commandées par le Roi lui même firent le siège d'Algarde, Grenade et Gibraltar.
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La reddition du Calife.
Ces terres furent immédiatement rattachées à la Castille, les mosquées incendiées et détruites, et la construction d'une grandiose Eglise en la ville de Grenade commença. L'expulsion des mahométans refusant d'embrasser la Vrai Foi commença immédiatement sous l'égide de la glorieuse Eglise Catholique.
Ainsi les cardinaux castillans prirent une importance croissante à la Curie. Notre Royaume était en outre en passe de devenir controleur pontifical, quand un pot de vin versé par l'Autriche renversa un soutien bien versatile au profit de l'Empereur...
Pendant ce temps notre flotte mis le blocus devant Gibraltar, et repoussa les navires marocains alliés de Grenade. Des galères furent même capturées.
La paix blanche fut signée quelques années plus tard.
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La découverte du nouveau monde et la colonisation
Dès 1455, les galères castillannes partirent à l'ouest à la recherche de la route des Indes. Deux explorateurs furent recrutés pour l'occasion afin d'augmenter les chances de découvrir cette route gage de richesse.
Il faut dire ici que les navires étaient très mal adaptés à la navigation en haute-mer, et ils revenaient souvent de leurs expéditions à moité en ruine. Ainsi des tours de roulement entre les navires étaient nécessaires, et notre organisation nous permis de ne perdre aucuns navires jusqu'à la découverte du Nouveau Monde.
Des îles immenses aux richesses formidables, des civilisations barbares mais formidablement riches en or et pierres précieuses nous attendaient de l'autre côté de l'océan.
Immédiatement des colons volontaires furent envoyés, et l'Empire colonial se développa à une vitesse inouïe. Une expédition terrestre forte de 140 cavaliers et 800 hommes découvrit le royaume Aztèque : devant tant de richesses et de barbarie, dans l'ignorance terrible de toute éducation chrétienne, Nous nous devions d'aller porter en ces lieux lointains l'influence de notre royaume et de la parole de Dieu.
Une expédition de 800 cavaliers et 2 500 hommes fut envoyé sur place via une flotte de transport gigantesque, qui utilisa en passant notre île de ravitaillement des Bermudes, fort utile.
Les premiers mois de l'expédition furent parsemés de victoires héroïques, mais bientôt les aztèques reçurent de l'aide de leurs voisins barbares du sud, et nos troupes furent repoussées, et ne durent plus défendre qu'une petite colline à Tamaulipas. Ils étaient assiégées par une multitude de barbares : plus de 75 000. Immédiatement Doz Ignolas le chef de l'expédition envoya un courrier d'urgence à la métropole, porté par le plus rapide de nos navires.
Le message était simple mais clair : "envoyez nous des renforts le plus vite possible, ou bien toute l'expédition sera anéhantie. Dieu nous garde et protège le Navire porteur de cette lettre des tourments de l'océan !"
Nos troupes malades et exsangues ne tenaient plus face aux assauts ennemis que par une étincelle de Foi, devant chaque jour repousser les assauts des masses grouillantes de barbares assoifées de sang chrétien. Les défenses, de maigres murs de bois étaient sur le point de tomber. Le ventre de nos soldats tellement vides qu'ils devaient se nourir de vers et d'herbes. Les ravitaillement par la flotte étant impossible car l'accès à la mer était sévèrement gardé par l'ennemi.
Alors que la garnisons moribonde était sur le point de perdre tout espoir après voir été réduit à peau de chagrin, un fracas terrible se fit entendre à l'est, immédiatement Dos Ignolas regarda de son regard perçant, et vit l'espoir qui se profilait à l'horizon : une multitude de navires du Roi battant pavillon de Castille, flamboyants de fanions innombrables étincelaient à l'horizon par leurs coups de canons, qui balayaient les barbares aztèques. Des barques de débarquement grouillants d'hommes en armes et de cavaliers fondirent sur l'ennemi et perça leurs défenses jusqu'à la colline où la garnison fit une sorti.
Ils firent leurs jonction et ce fut grande joie et le coeur des hommes se remplit d'espoir, et leur Foi en notre Seigneur en fut plus grande qu'avant.
Immédiatement les barbares furent pourchassés et exterminés jusqu'au dernier.
Ce fut à son tour d'être pris au piège dans sa capitale de Tenochtitlan, où nos troupes miment le siège puis par un assaut énergique commandé par Esteban de la Cerda écrasa le Roi barbare et son armée.
Quelle ne fut pas la surprise de nos hommes de découvrir plus d'un millier de crânes humains, preuve de ce que nous ne pensions être que des racontards, mais qui se révèlèrent vrais : les sacrifices humains au nom d'une idolatrie absurde avaient donc lieu régulièrement en ces lieux infames.
la Justesse de notre cause était désormais totale.
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Tenochtitlan
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L'assaut de la capitale aztèque
A partir de là, les mines d'or aztèques furent utilisées à notre plus grand profit, et des quantités fabuleuses d'or transitent désormais chaque année du Nouveau Monde vers la métropole, d'où l'explosion du trésor royal.
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Carte de l'Empire colonial castillan 1465 :
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Diplomatie
Nous sommes conscient que notre dévelopement outre-mer a fait de nombreux jaloux parmis des pays ayant eux aussi décider de se lancer dans l'aventure coloniale avec un succès moins éclatant.
Nous tenons tout d'abord à féliciter le Portugal pour sa politique ambitieuse dans le sud du nouveau-monde, ainsi que pour l'accès qui fut octroyé à nos navires aux Açores. Néanmoins, nous ne comprenons pas pourquoi vous avez décidé de rompre notre alliance militaire lors de notre attaque sur les Aztèques. Peut être avez vous cru y perdre de la stabilité intérieure ? Il n'en aurait rien été.
A l'Angleterre, nous reconnaissant bien évidemment sa légitimité dans ses colonies du nord du Nouveau monde, et nous souhaitons aux colons anglais de francs succès dans leurs initiatives. De même nous condamnons la prise de Calais par la Bourgogne, et espérons que vous saurez reprendre cette terre pour la céder au Royaume de France par la suite s'entend.
A la France, nous saluons sa richesse, ainsi que sa politique vertueuse avec ses vassaux. Nous vous félicitons pour votre colonisation.
En revanche, nous avons eu connaissance de quelques bruits à la cour du Roi de France, ceux ci faisant notamment mention d'une certaine jalousie de certains vis à vis de la colonisation castillanne. A vrai dire nous ne comprenons pas ces critiques, nos colons et nos marchands n''étant jamais rentrés en concurrence avec les votres.
Nous espérons grandement que le Roi de France apporte quelques clarifications sur ce point.
A l'Autriche : oublions l'incident malencontreux de la Curie, et débutons ensemble une relation cordiale et profitable. Nous espérons que vous pourrez recouvrer les terres que nous considérons comme vous revenant légitimement possédés actuellement par la Bourgogne, qui decidemment est le vrai trublion de l'Europe ces temps ci.
lemarseillais
30/06/2007, 00h00
Suite du texte grec :
"1er janvier de l'an de grâce 1465. Le Knia Oleg Koninsky parle.
- Les troupes sont revenues de Sibérie ?
- Oui mon prince. Elles grondent. Elles ne comprennent pas l'annulation de l'expédition.
- Que l'archevêque primat fasse sonner les cloches de Sainte-sophie ! Le (selche ?) doit assumer les décisions graves que nous allons lui proposer !
Que d'événements depuis le temps du sage et prudent ? (word n'a pas réussi à convertir le mot). La guerre contre les chevaliers teutoniques, aussi inévitable que désespérée malgré les efforts de mes prédecesseurs, s'est transformée en surprenante victoire gr(â)ce à la guerre engagée par la Pologne, une divine surprise. Nous avons saisi cette opportunité pour nous jeter à l'assau(l)t avec la fougue de notre glorieux Alexandre Nevski, gloire éternelle à lui. La puissance et surtout le nombre des armées polonaises, occupant en quelques mois toutes les villes de notre ennemi, est impressionnante."
Il en reste encore pas mal mais je passe le relais à Danton.
lemarseillais
30/06/2007, 12h11
Au très cher et redouté seigneur, le roi de Castille.
Mon beau cousin,
votre ambassadeur m'a fait parvenir votre missive dans laquelle vous marquez votre étonnement quant à certaines remarques formulées par la diplomatie française.
Je vous le conçois volontiers. Ces remarques peuvent être mal prises et mal interprêtées.
Comme je ne vous cache pas, par exemple, que nous regrettons votre déclaration qui fait de l'Angleterre le légitime propriétaire des terres d'amérique du nord. Nous aimerions bien savoir d'abord en vertu de quelle autorité, de quelle pouvoir, l'angleterre est plus légitime qu'un autre au nord de l'amérique. Nous aimerions ensuite savoir de quel droit vous vous permettez de juger de la légitimité d'un prince chrétien sur ce nouveau monde qui, par définition, n'appartient à personne.
Mais, finalement, peut être ne parliez vous que des quelques colonies fondées par l'Angleterre. Et, dès lors, vous commes moi sommes les victimes de mauvaises interprétations des déclarations de l'autre. Concernant ce que vous avez pu entendre de mes gens, sachez que nous louons votre conquête d'un peuple barbare pour l'établir dans la vérité et la vraie foi. Toutefois, nous constatons l'existence d'un nombre important d'établissement coloniaux perfectibles (niv 1) qui ne semblent pas s'inscrire dans un projet de colonisation et christianisation immédiate de ces terres. Or nous récréminons ces pratiques qui visent à planter un drapeau sur un maximum de terres (coloriage de carte) car elles nuisent à la diffusion de la vraie foi.
C'est donc sur ce dernier point que nous nous permettons des remarques. Nous aurions énormément de mal à comprendre que la colonisation castillane continue de s'étendre quand un grand nombre de colonies précaires attendent de se développer. Mais comme vous pouvez le lire, tout ceci n'est que discussion entre gentilhommes. Loin de nous les chacals et autres hyènes (:lol: ).
Cordialement, votre cousin.
Chroniques Anglaises 1453- 1465
Le traité de Bordeaux.
La Gascogne, terre rebelle et pauvre, était comme une épine dans le pied du Roi d’Angleterre, qui pensait avec raison que rien de bon ne pouvait sortir de la tête épaisse et rude des Gascons barbares, trop sauvages pour faire partie du raffiné royaume d’Angleterre :mrgreen: . Il fut donc décidé de fourguer cette inutile province au Roi de France, qui l’accepta avec enthousiasme, allant jusqu’à nous payer, tout en nous remerciant sans cesse pour notre bonté.
La Macbethie
A Londres, il fut décidé d’utiliser cet afflux de capitaux pour lancer une expédition hasardeuse : un fier marin se faisait fort d’atteindre les Indes en prenant non pas la route du sud, mais bien celle de l’ouest. Il partit un beau matin de juillet 1455, à la tête de 4 navires financés par les ducats du Roi de France… Argent maudit ? Toujours est-il qu’il y eu aucun survivant :ouin: … Nullement découragé, le Roi d’Angleterre puisa une fois encore dans son trésor et une nouvelle expédition partit sous les acclamations de la foule en délire. L’on raconte que les paris engagés à cette occasion atteignirent des sommes vertigineuses ( « Dix contre un qu’ils ne reviennent jamais :yeux: »).
Cette fois, de terres nouvelles furent découvertes et le nouvel explorateur de sa majesté repartit en chantant : à lui les honneurs, à lui la gloire ! Mais il lui restait encore à rejoindre la mère patrie… Les navires prenaient l’eau et, très vite, il n’en resta plus qu’un… Qui sombra à 150 kilomètres des côtes Irlandaises :( . Lord Macbeth, solide gaillard Ecossais rallié à la cause Anglaise, fut retrouvé on ne sait trop comment sur une plage d’Irlande, où le Northumberland, vaisseau amiral de la flotte Anglaise ( et unique frégate :chicos: ) s’empressa d’aller le chercher, dispersant les sauvages Irlandais à coups de canons. De retour à Londres, le héros ne put que constater le climat morose qui régnait sur la capitale : l’exploration se passait fort mal et avait déjà englouti la totalité des ducats obtenus par la vente de la Gascogne à la France. Plus personne ne voulait partir :?: .
Lord Macbeth rassembla alors sa famille et tous les Ecossais qui avaient fuis la tyrannie du Roi Brutus le Sanglant, Roi autoproclamé d’Ecosse : ensembles, ils partirent et fondèrent un établissement modeste au cœur des nouvelles terres. Ils travaillèrent sans relâche, des mois durant, pour offrir un port d’attache aux navires Anglais. Un havre de paix fut créé de toutes pièces et cela décida le Roi d’Angleterre : une nouvelle expédition s’élança, commandée par Edgar Uxbridge. Cette fois, avec le soutien bienvenu de Lord Macbeth, les navires ne coulèrent plus et de nombreuses terres furent découvertes :) . Des colons s’élancèrent, subventionnés par la couronne Anglaise, et le port d’attache ne cessa de s’agrandir. En 1463, Unami abandonnait son statut de colonie et devenait une ville coloniale :clap: . Un nouveau monde s’offrait à Londres, mais c’est à ce moment précis que l’ancien se rappela fort inopportunément à elle…
Hélène de Bourgogne
Depuis quelques années, en effet, l’Angleterre, après s’être réconciliée avec la France, vente de la Gascogne à la clef, tentait d’améliorer ses relations parfois chaotiques avec le Royaume de Bourgogne : du temps et de l’argent étaient consacrés à cette noble mission, un succès semblait si proche… Quand le Duc de Bourgogne découvrit fort malheureusement le bouillant ambassadeur d’Angleterre, Lord Buckingam, dans le lit de sa délicieuse fille, la belle Hélène, futur Duchesse et plus belle femme de tout l’occident chrétien :p: . Notre héros essaya vainement d’argumenter qu’il s’agissait là d’une diplomatie non officiel, qui exigeait pour réussir et sceller les bons rapports Anglo-Bourgignons un lit et très peu de vêtements… Obtus, le Duc ne voulut rien entendre et appela à lui ses gardes brutaux. D’un bond, Lord Buckingam plongea par la fenêtre, se réceptionna en souplesse trois étages plus bas( nous sommes solides, nous autres Anglais :siffle2: ) et, nu comme un ver, traversa à vive allure la cour du château Ducal pour se perdre ensuite dans les vertes forêts de la région.
Des semaines durant, les gardes de Bourgogne recherchèrent vainement l’individu, qui finit par réapparaître, hilare, dans la bonne ville de Calais, terre d’Angleterre comme chacun sait :tongue: . Son honneur bafoué, le Duc de Bourgogne, sanguinaire et revanchard, déclara aussitôt la guerre à l’Angleterre et se précipita contre Calais à la tête de 20.000 soldats. Et pendant ce temps, la belle Hélène pleurait toutes les larmes de son corps, priant pour le salut du jeune et beau Lord Buckingam :ouin: … Les prières de la belle trouvèrent oreille compatissante car, lorsque Calais tomba finalement entre les griffes avides du Duc hargneux, le jeune Lord avait déjà trouvé refuge à Londres même :tongue: . Un dialogue de sourd commença : la Bourgogne refusait de signer la paix tant que Lord Buckingam ne lui était pas livré et l’Angleterre, elle, fière, noble et juste, refusait d’abandonner un de ses citoyens aux mains de l’ennemi : l’honneur guide l’Angleterre, qu’on se le dise !
Messages diplomatiques de Londres
A la France. Doux cousin, nous sommes bien aise de constater que nos relations sont désormais aussi radieuses que l’était Hélène de Bourgogne quand Lord Buckingam était dans son lit. Maintenez vos frontières actuelles et nous ferons de même…
A l’Autriche. Bien cher ami, comment se fait-il que nous ayons perdu le contrôle de la Curie :mrgreen: ?
A la Suède. Courage, vous allez en avoir besoin…:?:
Au Portugal cher à notre cœur. Digne allié, resserrons toujours plus nos liens d’amitié : restons unis et nous serons un exemple pour le monde civilisé :p: .
A la Castille. Nous restons circonspect, votre attitude changeante nous déroute, tout comme votre course effrénée en Amérique.
A la Bourgogne. Inutile d’insister, nous ne livrerons jamais Lord Buckingam : il n’a enfreint aucune loi et c’est la belle Hélène de Bourgogne qui l’a invitée dans son lit, émerveillé par cette force et cette vitalité que l’on retrouve chez tous les Anglais :siffle2: . Nous comprenons que vous jalousez notre supériorité indiscutable en ces domaines, mais vous devriez l’admettre comme une chose établie et inaliénable, occuper Calais n’y changera rien :tongue: .
Marco Rale
01/07/2007, 23h01
- Monseigneur...
- Oui!
- Les chroniques de Novgorod recontrent un certain succès chez les francs. Un marchand de Lubeck nous a rapporté qu'une copie latine se négocierait cher et serait prêt à assurer la vente contre une commission modeste.
- L'argent ne sort pas de terre au dégel. Trouvez dans le quartier allemand quelque lettré apte à réaliser une traduction dans la langue des francs.
- Bien monseigneur
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Chroniques Autrichiennes 1453-1465
"Non non non, l’archiduc il est pas mort !! Non non non, l’archiduc il est pas mort !! Car il bande encore !! Car il bande encore !!!"
Telle était la chanson à la mode, à la cour de Vienne, il est vrai animée par un bande de joyeux drilles, spécialement convoquée pour le 56e anniversaire de l’Archiduc(et empereur) Ladislas Postumus.
Après un bonne quinzaine de jours d’orgies en tous genres, il fallut non sans mal se ré-atteler à la tache de direction de l’archiduché. Et quoi de mieux qu’une bonne petite guerre pour se remettre dans le bain ? Ca tombait bien, l’alliance fraîchement créée avec la bohème voisine était mise à l’épreuve. Au menu : du Saxon. En deux temps, trois mouvements ( en fait 2 bonnes années…), ces gueux étaient vassalisés, tout comme leurs bouffons de Halle-Magdebourg (Anhalt). Deux années sans fêter dignement l’anniversaire de l’archiduc… quelle frustration (bon faut dire, on avait fait fort la dernière fois).
En 1460 (environ… en fait on ne sait plus, les scribes étaient tous imbibés de shnaps), une missive de notre province de Fribourg(Breisgau) faisait état de difficultés d’approvisionnement (Non, pas en shnaps… !!! m’enfin??? )… en bière.
Cette province isolée du reste du royaume posait problème. Un tel manque en matière liquide, risquait de provoquer des révoltes, voire une sécession. Une campagne envers la Suisse était donc envisagée. Objectif : capturer la province adjacante pour relier le duché à la province orpheline et déshydratée. On tacha d’évaluer les effectifs adverses, et l’archiduc contacta le gouverneur, Petrus Von Vulla :
« Ouuuuuuiiiiii….eh bieeeennnn, ici à Breisgau, nous faisons face à environ, 9000 soldats helvétiques, dont 1000 cavaliers… commandés par le suisse d’origine bulgo-finlando-allémanique, Tchernieniy Aleksykov, un capitaine, ma fooiii…d’uuunnn fort beau gabarit ! »
Il nous fallut du coup emmener nos plus vaillants cavaliers, pour emporter la décision (beh oui, on n'a pas d'éléphants hélas.. parait que c'est pratique dans les alpes).
1463 (environ..en fait on ne sait plus, les scribes en étaient à leur 5e cirrhose), l’archiduc se prit colère contre le petit voisin de Salzbourg, qui malgré moults dons de bariques en tous genres, refusaient obstinément une alliance militaire. Dipo-Vassalisation, on osait du coup même pas y penser(on n’ était pas assez bien pour eux qu’ils disaient… non mais comment qu’il se la pêtent, ceux-là ??). C’est alors que miraculeusement, un casus belli tomba du ciel. Une distillerie impériale avait fait l’objet d’une malveillance (Za-bo-ta-cheuu !!) et nos services secrets eurent tôt fait de faire porter le chapeau à nos pompeux voisins. Et Hop !! on entre dans Salzbourg( au son des « Jai deux Amouuuuuurrrsss : le Whisky et Salzbououuurggg ») où seul l’archevèque tenta de nous bloquer le passage... On ne retrouva que ses sandales…
Hélas cette affaire remonta jusqu’à la Curie de Rome, et l’archiduc eut droit à des remontrances de sa sainteté en personne. Il fallait faire pénitence(sobriété pendant 1 semaine, quel calvaire), et si possible retourner dans les bonnes grâce du pape (on est l’empereur quand même !!). Un pot de vin(c’est le cas de le dire) fut versé au cardinal espagnol (dont le penchant pour la bouteille était connus de tous), et Hop !! nous voila conseiller officiel du Pape !!
Diplomatie of..hips..ficielle :
A Venise : Santé !!
A la France : on nous vante les mérites de votre vinasse. Pouvez-vous nous envoyer quelques échantillons ? Sinon, nos vœux vous accompagnent pour vos campagnes contre la bourgogne et la Castille
A l’Angleterre : Mon ami, prenez soin de vous. Nous vous envoyons quelques bariques de bromure pour contenir la libido de Lord Buckingham.
A la Castille : Désolé pour votre cardinal. On l’a pas fait exprès. Vous êtes toujours le bienvenu à Vienne. Prenez garde, la France arrive !! On vous meuble un palais d’hiver.
A la Suède : Tenez bon !!!
A la Pologne : euh… rien.
http://www.ngw.nl/int/pol/images/poland.jpg
Chroniques du Royaume de Pologne
C'est en l'an de grâce 1453 que Kazimierz IV, roi de Pologne et prince de Lituanie me confia a moi, Jan Leazewsk le titre d'archiduc de Pologne en charge des affaires polonaise.
La Pologne était alors un petit royaume d'europe centrale. Loin de la richesse de nos voisins d'occident les revenus tirés des terres polonaise sont maigres. Seuls la cavalerie Polonaise est reputée par delà nos frontières. Ces fiers chevaliers, défenseur du Christ mandaté pour évangelisé les terres d'Orient et défaire l'héresie Orthodox et les impies Musulman forment un rempart invincible lorsqu'ils sont sur le champs de bataille.
Le destin de la Pologne est d'être un grand royaume, mais tout grand royaume doit disposer d'un accés a la mer. Malheuresement au sud le Khanat de Crimée sous protection de la horde d'Or reste toujours un énemis de taille a abattre. Sans compter que l'Empire des Ottomans qui a porté la guerre jusque chez nos voisins Hongrois veille sur cette partie du monde. La seule solution residait alors a reprendre les terres que les chevaliers Teutoniques nous ont volés.
http://www.garwood-voigt.com/catalogues/H23761PrussiaeDanckerts.jpg
Voici une carte du nord de la Pologne et des territoires Teutoniques longeant la baltique.
L'armée est renforcée petit a petit, a la hauteur de nos faibles moyens, et seuls la révolte des Ruthènes en 1454 puis en 1457 viens troubler la quietude et le calme en Pologne.
En 1458 le grand commandeur Teutonique va prendre une décision qui coutera trés cher a son cher ordre. Il décide d'attaquer la principauté de Pskov dans le grand Nord, ce faisant les grandes armées qui étaient massés a la frontière Polonaise remontent vers le Nord en diréction de ce nouvel énemis.
Le moment était revé pour intervenir, et la guerre fut déclarée. Rapidement nos armées prennent position des terres séparant la Pologne de la baltique, et remontent vers la capitale. La Lituanie, royaume soeur nous suis dans cette guerre et envois ses armées au centre de l'ordre.
http://img515.imageshack.us/img515/5436/aar1ak1.jpg
Rapidement nous prenons l'avantage et la guerre n'est dés lors plus qu'une formalitée. Les armées de l'ordre sont diserpsées et vont de déroute en déroute. Tout les provinces tombent les unes aprés les autres et le commandeur acculés est obligé de signer l'offre de paix que nous lui faisons.
Varmia et Danzig iront a la Pologne, offrant ainsi un large debouché sur la Baltique, la Lituanie héritera de Memel et du Courlande. L'ordre divisié en deux ne sera désormait plus une menace, mais a l'ouest et au sud grandissent des enemis bien plus redoutables..
Le roi m'a par ailleurs chargé de délivrer plusieurs messages dans ces chroniques :
- Au duc d'Autriche : Votre alliance avec la Bohème est bien menaçante, de même que votre absence de remarques vis a vis de la Pologne qui forme pourtant la marche Orientale du Saint Empire, le protegeant des invasions des barbare de l'Est.
- Au roi de France : L'influence Française en europe est forte et même a la cour de Pologne nous pouvons croiser des marchands et des artistes Francs. Nous aimerions connaitre un peu mieux ce brillant royaume.
- Au Sultan Ottoman : Votre déclaration de ne pas vouloir vous étendre en Hongrie a était trés appreciée en Pologne, mais nous surveillons attentivement l'évolution des choses. L'avancée des mahometans a notre porte ne peut être tolérer.
lemarseillais
02/07/2007, 21h33
Réponses diplomatiques françaises :
A notre ancien adversaire et cousin, le roi d'angleterre : sachez qu'aucun prince dans ce monde n'a la légitimité, l'autorité ou le pouvoir de nous dicter notre politique intérieure et/ou extérieure. De ce fait, nos frontières, et leur possible évolution, ne regarde que nous et nous seul. Que diriez vous si je vous avertissais de ne pas modifier vos frontières sur votre île ? Mis à part cette faute diplomatique de votre part, nous sommes satisfait de la paix entre nos deux royaumes.
A l'empereur du Saint Empire Romain Germanique : nous sommes heureux de voir que vos affaires se portent bien, ainsi que votre santé malgré votre train de vie......arrosé. Nous espérons et soutenons l'empereur dans sa politique de défense de la Chrétienté. Toutefois, cette politique ou une autre, ne justifierai en rien la disparition d'Etats indépendants allemands. Sachez que votre attaque contre la Suisse pendant notre maladie (absence IRL) ne va pas vraiment dans le sens d'un resserement des liens entre nos deux maisons. C'est malgré nous que nous sommes contraint de vous prévenir que la Suisse est dorénavant sous notre protection. Toutefois, comme vos raisons étaient peut être légitimes (nous les ignorons. HRP : je peux pas considérer au 15e siècle le rattachement de terres isolées comme une raison d'époque c'est pour ça que je dis ça) nous souhaitons maintenir le contact et vous offrons gracieusement ces 2 caisses du meilleur vin de notre royaume.
A notre cousin, le roi de Pologne : c'est toujours avec plaisir que les hommes de mon royaume oeuvrent à l'essor du vôtre ou servent dans votre maison. Nous louons votre vigilance vis à vis de ces Infidèles pourfendeurs de femmes et d'enfants. Sachez que votre ambassadeur a très bien été reçu et jouit d'une bonne place lors de mes interventions.
A notre féal, le duc de Bourgogne : ce n'est pas sans une certaine surprise que j'ai appris que vous aviez escompter aggrandir votre duché en terre d'Empire par la force et contre notre vouloir. Sachez, mon amé féal, que profitez de ma maladie pour passer outre mon autorité et mettre en péril l'honneur de ma maison dans le Saint Empire Romain Germanique est un grave crime contre moi, contre l'Etat. Osez prétendre que vous agissiez avec ma bénédiction n'est pas digne de mon sang ni d'un prince. En conséquence de quoi, je vous somme et commande de mettre immédiatement fin à vos entreprises belliqueuses, de restituer aux ducs, barons et comtes les terres usurpées par la force et qui ne vous ont pas été transmises par héritage ou don de ma personne. Je vous prie d'agir en toute diligence et de prendre garde de ne pas aller contre ma volonté car ainsi est mon plaisir.
Portugal 1453- 1465
La route des Epices.
http://img105.imageshack.us/img105/2500/politiqueportuguaisehy9.jpg (http://imageshack.us/)
La politique Portuguaise en 1453
http://img266.imageshack.us/img266/9844/budjetportgaldpart2wf9.jpg (http://imageshack.us/)
Le budget de départ
http://img266.imageshack.us/img266/3849/conseillersdpartqe6.jpg (http://imageshack.us/)
Choisir ses conseillers en début de partie : pire qu'un départ de formule 1
Les expéditions pour trouver la route des Epices sont lançées mais déjà les difficultés commencent, car Alfonso V (6/5/5), qui n’était pas un très bon monarque, était tout de même meilleur que la Régence(4/3/3) qui suit sa mort en décembre 1459.
Les explorateurs sont en mer, longeant l’Afrique. Le 1er point d’ancrage est l’île de Madeire, puis l’île du Cap Vert, puis beaucoup plus loin à l’est, une île baptisée Fernando Po.
Tout se déroule comme prévu jusqu’à ce que Bartolomeu Dias, cherchant à s’éloigner des rives africaines, et profiter des alizés de l’atlantique sud , essuie une tempête d’une extrême violence au large du Cap Vert.
Il découvre une terre nouvelle, celle là même qui semble être indiquée sur la carte de Piri Rei.
Ces terres se trouvent être très riches, et les premiers efforts de colonisations seront fait à Pernambouco, qui deviendra la 1ère ville coloniale.
http://img105.imageshack.us/img105/7006/pernambucke1.jpg (http://imageshack.us/)
Pernambuc, symbole du renouveau portuguais
Joao II (5/3/4), roi chétif et peu enclin à diriger, règnera à peine plus de 2 ans, de décembre 59 à février 62, avant de mourrir d’une fièvre étrange sans doute rapportée des expéditions d’Afrique ou du nouveau monde.
Ainsi, de 1456 à 1462, l’administration dont j’ai besoin pour coloniser aura été particulièrement nulle. J’ai donc concentré mes efforts sur quelques colonies accueillantes, notamment en Afrique du Sud, en attendant un monarque plus compétent.
http://img105.imageshack.us/img105/266/lecaply6.jpg (http://imageshack.us/)
Un lieu bien accueillant...
http://img406.imageshack.us/img406/4275/amsudfv5.jpg (http://imageshack.us/)
Des colonies éparses en amérique du sud
Le budget du royaume très faible ne donne droit ni à l’erreur, ni aux extravagances, et malgré la pression des royaumes coloniaux concurrents, je rechigne encore à engager le combat avec le richissime Empire Inca, nouvellement découvert, et ainsi passer d’une logique marchande à une logique de conquête. Il est encore trop tôt…
En 1462, Alfonso VI (7/7/5) monte sur le trône.
Une politique de colonisation plus audacieuse va pouvoir être mise en place, d’autant que Bartolomeu Dias vient de réussir son expédition aux Indes. Pendant ce temps, Caetano Dias au sud, et Teodosio de Sousa au nord continuent d’explorer les immenses terres de l’ouest.
En Europe, les choses semblent plutôt calmes. La Castille est allée s’emparer d’un immense royaume, celui des Aztèques, et d’ailleurs à cette occasion nous n’avons pas suivit notre allié de peur que la guerre ne fusse trop longue, et ne nuise au commerce.
Mais peu de temps après, je m’embarquais dans une autre guerre, avec l’Angleterre et contre l’alliance bourguignonne. Pur prétexte au départ pour imposer des impôts de guerre et accélérer la colonisation, je pourrais peut-être le regretter car l’ennemi est puissant, et le Portugal absolument pas préparé à la guerre.
http://img254.imageshack.us/img254/27/europeen1465gz5.jpg (http://imageshack.us/)
Pour la plaisir, une carte d'Europe en 1465
Chroniques Ottomanes
La pacification des Balkans
Après la chute de Byzance, il restait une lourde tâche au Sultan.
Il fallait pacifier l'Ouest de l'empire ou les Principauté
Chrétiennes de Serbie, de Transylvanie s'agitaient aidée par
le Roi de Hongrie.
Le Sultan entra en Force sur le terre Serbe et pris le commandement
de l'Assaut sur Belgrad qui tomba en quelques jours devant la Puissance
Ottomane. La Serbie fut vassalisée de force et le Prince Serbe reconnu
l'autorité du Sultan. Les batailles qui suivirent furent plus difficiles
pour le Sultan et ses troupes les terrains montagneux de Transylvanie
et János Hunyadi le redoutable général Hongrois obligèrent le Sultan à de
nombreux aller et retour afin de contrer les Pugnaces forces Hongroises.
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/ff/Siege_of_N%C3%A1ndorfeh%C3%A9rv%C3%A1r.jpg/250px-Siege_of_N%C3%A1ndorfeh%C3%A9rv%C3%A1r.jpg
Le siège de Belgrade
Néanmoins, en 1457, et après plusieurs défaites consécutives, le Prince de
Transylvanie rejeta la Suzeraineté Hongroise. Il n'en fallu pas plus au
Souverain Hongrois dont la Capitale était tenue par le Sultan, il sorti de la
guerre par une paix blanche et un profond respect réciproque avec son adversaire
turque. Le Prince fou de Transylvanie ne pu alors que pleurer sur les restes
de son armée détruite dans la province de Banat avant de perdre définitivement
la tête par le Sabre du Sultan. Son Frère fut installé sur le Trône et la
Transylvanie devint a son tour vassal de l'Ottoman.
A la mort de Mehmet II, son second fils, Ahmet I, monta sur le Trône Ottoman.
Le fils de Memhmet s'il était moins porté sur l'art de la guerre que son père
n'en était moins un redoutable diplomate et un Musulman très pratiquant.
Les première années de son rêgne virent apparaître au sein de l'Empire l'idée
selon laquelle l'Islam devait prédominer et les premières campagne eurent lieu
avec peu de succès auprès des minorité Albanaise de la péninsule Greque.
Ahmet continua l'ouvre de pacification des Principautés Belliqueuses entourant
l'Empire.
Il conitnua les opérations guerrières guerre contre les principauté de Karaman et
Dulakir et en 1459 ces 2 principauté reconnaissaient la Suzeraineté du Sultan
Ottoman et perdaient chacune la moitié de leur possession Anatoliennes.
Aussitôt cette affaire conclue, Ahmet profita du désordre au sein de l'Alliance
balkanique des Chevaliers De L'Hopital pour fondre sur les Principauté Chrétiennes
qui avaient accueilli les descendant des Despotes Byzantins.
En moins d'une année, l'Albanie et les Chevalier de l'Hopital entraient dans le giron
Ottoman par la force ainsi que les Iles Ionniennes fraichement annexées par le Duché
d'Athène.
L'An 1460 vit ainsi s'imposer sur les régions exangues de Grêce et l'Anatolie la Paix
Ottomane. Ahmet s'attelant durant les 5 années suivante à construire un Empire solide
capable de résister au poid du temps.
Chroniques Anglaises 1466- 1474
Suite à d’habile manœuvres diplomatiques :mrgreen: , l’Angleterre, via ses cardinaux, prend le contrôle de la Curie Romaine, et c’est par le biais de celle-ci qu’elle envoi une légitime proposition de paix blanche à la Bourgogne : deux nations chrétiennes ne peuvent ainsi continuer à se faire la guerre pour des raisons aussi futiles que le pucelage de la belle Hélène :chicos: . Las, le Duc de Bourgogne refuse d’entendre raison et calomnie grossièrement le Roi d’Angleterre. Puisque c’est ainsi, nous le faisons excommunier :tongue: .
Malheureusement, le scélérat pervers, loin de devenir plus raisonnable, poursuit alors toujours plus loin sa folie : non seulement il recrute des dizaines de milliers de soldats, mais en plus il ne cesse de construire des navires de guerre :?: . Sur les côtes de Hollande, ceux-ci poussent comme des petits pains et la menace se fait toujours plus grande. Il faut finalement se rendre à l’évidence : le Duc de Bourgogne est tellement fou qu’il prépare une invasion de l’Angleterre :goutte: , uniquement pour capturer le Duc de Buckingam.
La marine de guerre Anglaise est rassemblée et part affronter les Bourguignons qui se concentrent dans la manche : la bataille est violente et acharnée. Des centaines d’hommes périssent ce jour là, tout cela pour les beaux yeux de la belle Hélène…
http://img520.imageshack.us/img520/1594/eu316bb2.png (http://imageshack.us)
La flotte de Bourgogne est écrasée :clap: , mais le Duc refuse toujours la paix et mobilise à nouveau : l’Amirauté devra remettre les couverts en 1469, écrasant une nouvelle fois la flotte de Bourgogne mais non sans y laisser des plumes…:(
Excédé de voir les fonds Royaux mobilisés pour développer la flotte nécessaire pour contrer celle de Bourgogne, Lord Macbeth décide de se rappeler au bon souvenir de Londres en attaquant les Iroquois d’Amérique. Le rude Ecossais et ses frères balayent les sauvages, qui sont annexés pour la plus grande gloire du Royaume d’Angleterre.
Mais le peuple gronde et des révoltes éclatent : la guerre de Troie n’a que trop durée ! La flotte part établir le blocus total des ports de Bourgogne, mais le Duc fou refuse toujours de négocier la paix :?: . Enfin, en 1471, la France attaque ce royaume si pénible et le déferlement des chevaliers Français est comme un coup de massue pour le Duc fou, qui redevient brièvement lucide et offre enfin la paix blanche à l’Angleterre. 7 longues années de guerre pour la belle Hélène, il était vraiment plus que temps d’en terminer.
Pendant que France et Bourgogne s’étripent joyeusement, l’Angleterre panse ses lourdes plaies et se demande qui elle pourrait bien excommunier maintenant…:mrgreen:
Déclarations diplomatiques
Au Portugal. Cher ami, votre alliance fut tel un baume guérisseur pour notre cœur meurtri mais néanmoins aimant.
A la Castille. Mon pauvre ami, mais avec qui donc pensez-vous faire la course ? Votre boulimie sans limite apaise t-elle au moins votre sommeil agité ? Si non, à quoi bon toutes ces conquêtes qui foulent aux pieds les droits humains les plus sacrés ? Reprenez-vous que diable, le Très Haut vous regarde et vous juge !
A l’Empire Ottoman. Nous louons votre pacifisme, continuez ainsi sans quoi nous décréterons une croisade sainte contre vous :tongue: .
A la Suède. La tête hors de l’eau, enfin, cela vous rendra peut-être l’usage de la parole.
A l’Autriche tant aimée. Santé ! :mrgreen:
A la France. Vos dernières propositions au sujet de Calais nous ont faire rire aux éclats :lol: . Reprenez-vous enfin et n’oubliez pas ceci : la Bourgogne n’a pas pu nous vaincre, la France n’a pas pu vaincre la Bourgogne, donc la France ne pourra pas nous vaincre :tongue: .
A la Bourgogne. Misérable excommunié bâtard, l’heure de votre châtiment viendra et la belle Hélène sera amenée à Londres :tongue: .
lemarseillais
09/07/2007, 12h26
Histoire de France (1466 - 1474)
Cinq ans ! Cinq longues années s'écoulèrent avant que le jeune roi, Louis XI, monte sur le trône. La peur avait été grande dans le royaume de que le prince souffre souffre du même mal que son gand-père et que son père. En effet, le souvenir de la folie de Charles VI était encore bien présent dans les esprit, encore plus les malheurs que cela avait permis. Aussi, lorsque le roi Charles VII, après seulement quelques mois de règne, connu le même mal, le peuple redouta le pire. Beaucoup pensèrent que Dieu ne faisait que punir le royaume pour ses péchés. Viscéralement attaché à leur souverain, la maladie du roi ne pouvait qu'augurer une horizon noire à la France. Les Français ne furent sans doute jamais aussi pratiquant et aussi inquiet de leur avenir.
C'est pourquoi l'arrivée du jeune roi Louis XI était tant attendu. Pendant toute son enfance il n'avait montré aucun signe de ce fléau qui semble s'acharner sur la dynastie royale. Son grand-père, Charles VI, n'avait eu sa première crise qu'à 24 ans ; son père a 19 ans. Personne n'était donc rassuré qu'en, à l'âge de 13 ans, Louis XI était couronné en 1470. C'est avec une certaine anxiété latente que le peuple suive la vie de leur roi. Priant chaque jour que Dieu fait pour que le Seigneur accorde son pardon au royaume et épargne leur roi. Depuis ce jour quatre année se sont écoulées sans la moindre alerte.
Le jeune Louis apprend au fur et à mesure son métier de roi. Conseillé par le sage comte de Luynes, déjà au service de la monarchie au temps de Charles VII, il s'efforce de gommer les dernières années où l'absence d'une autorité souveraine s'est faite sentir. C'est dans cet esprit que le roi, en 1470, somme son oncle le duc de Bourgogne de s'acquitter de ses erreurs et de relâcher les ducs, barons et comtes emprisonnés en les restituant dans leur honneur et dans leurs biens. Pour réponse, le duc s'enferma dans ses terres et leva des troupes.
Le jeune roi allait très vite apprendre ce qu'était l'art de la guerre mais aussi combien son issue est aléatoire et peut être périlleuse. Se pensant fort de son armée de 25000 hommes à pieds et 20000 cavaliers, Louis XI entra en guerre contre la Bourgogne, alliée à la Lorraine, la Cologne et Trêves. Dans les premiers temps, la déesse Guerre semblait avoir fait de la cause française la sienne. Très vite la Lorraine fut acculé à une paix blanche, le roi n'avait aucun grief contre ce seigneur. Déjà les terres françaises bourguignonnes étaient tombées sous la contrôle des armées françaises et la Picardie, Valenciennes et l'Artois étaient en état de siège.
Hélas, les armées royales s'épuisaient petit à petit alors que celle de l'ennemi ne faisait que gonfler et revenir toujours plus forte en homme. Surtout, le commandement bourguignon était sans commune mesure meilleur que celui français. De fait, ils multiplièrent les exploits en infériorité numérique, là où les troupes françaises à deux contre un perdaient une fois sur deux.
Très vite, plus de 50000 soldats bourguignons faisaient face aux armées royales. Le roi entreprit alors un important effort qui greva lourdement l'économie du royaume (+2 en infla). Pendant que 10000 hommes à pieds étaient démobilisés ou regroupés avec d'autres pour reformer des corps entier, 10000 cavaliers supplémentaires furent levés et équipés aux frais du roi (on avait en effet dû faire appel aux jeunes nobliaux ayant fait leurs armes mais n'ayant les moyens de se payer l'équipement du chevalier).
Rien n'y fit inexorablement, progressivement, le commandement bourguignon redressait la situation. Déjà la Champagne et Caux étaient tombés, les armées royales ne faisant plus que défendre au Nord du royaume. La guerre durait depuis plus de trois ans.
Conscient des souffrances de son peuple et des risques qu'il coure, le jeune roi décide alors d'accepter la paix blanche proposée par le duc. Un constat s'imposait : les armées du duc de Bourgogne ne sont plus celles d'un simple duc mais bien celle d'un empereur (le duc est empereur depuis les années 1460).
Déclaration :
- A la reinette d'Angleterre : Vous feriez mieux de sérieusement réfléchir à ma proposition plus qu'honorable pour Calais. Sachez que je ne payerais pas pour retrouver la possession de ma terre.
- A l'archiduc : Méfiez vous de la Bourgogne !
- Au doge : Nous ne comprenons toujours pas pourquoi vous avez voulu nuire à nos bonnes relations. Prendre le Roussillon, une terre française que nous avons publiquement réclamé, a suscité énormément d'interrogation à la cour. Déjà que votre politique annexioniste suscite quelques mécontentements, nous avons très mal pris la proposition que vous nous avez faîtes.
- Au roi de Castille : C'est avec tristesse que nous avons constaté que la cupidité est un trait de votre personnalité. Vous semblez penser que le nouveau monde vous appartient. Vos conquêtes brutales et indignes d'un chrétien ont jeté le trouble dans les colonies d'amérique. Puisque la raison semble aussi vous échapper, puisque vous semblez apprécier les coups sournois (en vous goinfrant quand ceux qui pourraient réagir sont occupés ailleurs), nous n'hésiterons pas à utiliser les mêmes armes que vous. Cela vous apprendra peut être qu'on ne peut montrer patte blanche d'un côté et agir comme le pire des manants sans honneur.
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L'Empire de Castille en 1474
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Durant la période 1465-1474 qui vit l'accession au trône d'Isabel I, la royaume de Castille poursuivit paisiblement son développement.
Les seuls actes guerriers de cette période furent la révolte des Maya au sud de nos possessions du Mexique, ainsi que la glorieuse conquète des indiens au nord de nos possessions de Floride.
Le trésor royal continua ainsi de gonfler considérablement.
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Diplomatie- La guerre se prépare
Depuis de nombreuses années déjà nous reçevons des plaintes totalement infondées des royaumes de france et d'Angleterre concernant notre colonisation "trop rapide", pauvre argument masquant leur jalousie. Mais depuis quelques mois, il est évident que ces deux royaumes et notamment le royaume de France souhaitent la guerre afin de nous ravir quelques possessions aux amériques.
La rupture est désormais complètement consommée entre nos deux royaumes.
En conséquence de quoi, la reine Isabel I a décidé de soutenir davantage la garnison du Nouveau-monde, ainsi que l'armée royale de Castille. La flotte est également renforcée et des navires en construction dans les chantiers de Galice.
Nous attendons de pied ferme les français.
A la Bourgogne : Nous vous proposons une alliance. Nos deux royaumes ont le plus grand intérêt à se rapprocher car nos intérêts sont communs.
Au portugal : nous nous félicitons de l'alliance que vous allez signer avec nous, avec tout ce qu'elle impliquera, et nous soutenons votre développement outre-mer.
A la Pologne et à l'Autriche : Nous ne sommes guère d'une quelconque partie dans le conflit qui vous déchire actuellement. Tout ce que nous souhaitons est une résolution pacifique.
J'ajoute à l'Autriche que nous serions ravi d'une plus ample coopération à la condition que quelques garanties soient posées vis à vis de la Bourgogne.
Portugal 1466-1474
Durant ces 10 années, le pays est entièrement tourné vers les mers.
Les affaires européennes nous indiffèrent, fascinés que nous sommes par toutes les richesses qui arrivent au port de Lisbonne.
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L'Inde n'était que le début de l'aventure, qui l'eut cru?
La route des Indes est tracée, mais ce n’était que le début ! Durant ces 10 ans, les explorateurs iront beaucoup plus loin, vers l’ouest et l’est. Des colons iront même vers une des îles, dans le pacifique, mais n’atteindront jamais leur but, perdus dans l’océan indien.
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Un jour peut-être...
L’immense continent de l’ouest, les Amériques, voit ses côtes, du nord au sud à présent cartographiées, mais l’expédition s’aventura trop au nord, cherchant en vain de nouvelles terres au nord du pacifique, et disparut à jamais.
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Un point d'ancrage dans le trou du cul du monde
Sur les terres, les Conquistadors ont été chargé de trouver au plus vite les territoires où les activités commerciales sont les plus intenses. Et effectivement, de nombreux centres de commerce juteux, véritables paradis pour nos marchands, participent maintenant à la richesse du pays.
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Avec le Roi Alfonso VI, et son conseiller Manuel José Corte-Real, dont l’aura grandit (offrant un bonus de +15% de colonisation de 1468 à 1474), c’est le début d’une grande période de colonisation, mais surtout le début, à grande échelle, de l’exploitation du Brésil.
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C'est beau la terre en vert
Des vagues incessantes de colons partent du royaume pour envahir ce nouveau territoire, pour en faire un nouveau Portugal, et Santana, une nouvelle ville au sud de Pernambouco, est créée.
Pourtant ce ne sera pas facile. Après une période calme, la population indigène commence à s’agiter. D’abord dans les Caraïbes, à Cuba et Curaçao, puis au Bresil même, à Diamantina, où les sauvages saccageront plusieurs fois la petite colonie.
Qu’importe, ils seront bientôt eux aussi heureux d’être les sujets du roi, et les enfants de Sa Sainteté le Pape.
Il fut une époque où les monarques pouvaient décider ou non d’appeler leurs alliés quand une guerre éclatait. Mais ce n’est plus le cas, c’est pourquoi la Castille doit accepter le fait que le Portugal n’ira jamais dans une guerre stérile, contre le Maroc notamment, c’est pourquoi il est absurde de juger de la qualité de son allié pour ces broutilles. La vraie alliance se révèle dans les moments de crise.
Enfin la Castille doit comprendre qu’une alliance est un accord de bienveillance et d’intérêts réciproques. Mettre mon royaume en guerre pour rien, nuit à mon royaume. Et c’est lui qui m’importe avant tout. La Castille n’a en revanche pas besoin des soldats portugais pour vaincre les berbères ou les Aztèques.
A la cour, nous écoutons avec délice les nouvelles musiques venues d’Angleterre, et l’hiver nos femmes portent les sublimes fourrures venues de leurs colonies.
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Quel génie des mers sortira de l'école militaire?
Marco Rale
12/07/2007, 23h56
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Chroniques Anglaises 1475 – 1483
Acte I. Le baril de poudre explose
L’Angleterre se remettait péniblement de sa trop longue guerre de Troie et n’aspirait qu’à la paix… Hélas, hélas, trois fois hélas, les actions de nos voisins allaient faire voler en éclat notre pieuse volonté pacifiste :loose: . Difficile et semé d’embûches est le chemin du Juste et du Vertueux.
Tout commence en 1475, avec l’attaque de la France contre l’Aragon : jusque là, rien qui ne nous concerne. Mais, moins de 12 mois plus tard, la Castille entre dans la danse et ne se contente pas de voler au secours de l’Aragon : ses troupes marchent sur les colonies Françaises d’Amérique. A Londres, c’est aussitôt l’effervescence : la boulimie Espagnole serait-elle donc sans limite ? Madrid souhaite t-elle contrôler les côtes d’Amérique du Mexique au Canada :?: ? Londres ne peut pas accepter la domination exclusive d’une quelconque puissance en Amérique. Déjà, 1/3 des colonies Françaises sont tombées et le moment où les Espagnols avides seront nos voisins directs en Amérique se rapproche à grands pas. Contrainte et forcée, l’Angleterre entre à son tour dans la guerre… :(
Acte II. La débacle
La France nous accord prestement l’accès militaire et nos régiments franchissent la frontière pour, douce ironie, défendre les colonies Françaises :mrgreen: . Surpris, les Espagnols reculent brièvement, mais ce n’est que pour mieux sauter… Ils concentrent leurs forces et s’apprêtent à déferler : le nombre de leurs soldats est tel que, à Londres, l’on ne peut s’empêcher de se dire que tel était leur but depuis des années… Un corps expéditionnaire Anglais est envoyé distraire l’attention des Espagnols : leurs colonies de Cuba sont prises et rasées :=(: , puis nos soldats lancent des raids en Floride.
Malheureusement, cela ne ralentit guère les Espagnols, qui lancent 30.000 soldats sur l’empire colonial Français, défendu exclusivement par des régiments Anglais :lol: … Qui se replient immédiatement, incapables de stopper cette avalanche. Des renforts arrivent d’Angleterre et une ligne de défense est rapidement mise en place, mais le désastre nous colle au nez :?: . Tout l’empire colonial Français tombe en effet entre les mains Espagnols et ce sont désormais les colonies Anglaises qui sont directement menacées. Plus de 25.000 soldats Espagnols, commandés par de redoutables vétérans des guerres Indiennes, s’élancent en hurlant : du Mexique au Canada, l’Amérique sera-t-elle Espagnole ???
Avertie du redoutable danger, la France avoue son impuissance : elle est entièrement concentrée sur l’Europe et ne peut rien envoyer en Amérique. Lord Macbeth serre les dents et le rude Ecossais entame un combat désespéré pour défendre l’œuvre de sa vie. Déjà, deux villes coloniales Anglaises tombent, mais nos régiments se battent avec une furie incroyable et s’accrochent sans fléchir à nos colonies menacées. De nouveaux renforts arrivent d’Angleterre, où l’on dépense sans compter pour défendre la Macbethie, tout en maudissant la France qui nous a plongé dans cette situation si précaire :tongue: .
Acte III. La contre-offensive victorieuse de Lord Macbeth
Les combats incessants et les marches forcées usent de plus en plus les soldats Espagnols, qui ne sont plus que 18.000 lorsqu’ils lancent un nouvel assaut contre nos colonies : leur marche est difficile, ils doivent explorer le terrain et, derrière chaque arbre, se trouve un soldat Anglais :=(: . Lord Macbeth rassemble enfin ses troupes, encore renforcées par des chevaliers venus d’Angleterre, et tend une embuscade réalisée de main de maître dans la province de Lenape. Ce sera la plus grande bataille de toute la guerre et elle se soldera par un véritable triomphe Anglais :siffle2: , tout comme elle marquera l’échec définitif des Espagnols.
Vaincus et traqués, les Espagnols, après la bataille de Lenape, tenteront vainement d’échapper à nos soldats victorieux : des 25.000 soldats partis pour conquérir nos colonies, aucun n’est revenu en territoire Espagnol :tongue: … La victoire acquise en Amérique l’est aussi en Europe, où la France est victorieuse, ce qui lui permet de débarquer quelques centaines d’hommes en Amérique pour rapidement conquérir une grosse partie de l’empire Espagnol, désormais sans défense. Curieuses méthodes en vérité :goutte: … Les troupes Anglaises, qui ont mis à bas les Espagnols, sont quasi systématiquement devancées par des Français qui arrivent à point nommé pour rafler quasi toute la mise… Des ambassadeurs partent à Paris pour tenter de trouver une solution à ce problème tragique, Londres attend toujours leur retour…:yeux:
Acte IV. La guerre reprend
Cette guerre terminée, nos régiments repartent plein nord, où les Hurons ont profité de l’éloignement de nos soldats pour lancer d’incessants raids meurtriers contre la Macbethie. Ils sont châtiés et annexés, cela leur apprendra :tongue: .
La paix, enfin ? Malheureusement non, toujours pas :( : le Roi d’Ecosse, à moitié fou, revendique à son tour notre Empire colonial, sous le prétexte particulièrement ridicule qu’il a été lancé par Lord Macbeth, un Ecossais exilé et fidèle à la couronne Anglaise. Contrainte et forcée, l’Angleterre est une fois de plus obligée d’entrer en guerre. Mais quand donc pourrons-nous goûter à cette paix délicieuse à laquelle nous aspirons tant ?
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Histoire de Frise : 1454-1483
L’histoire glorieuse de Frise débuta avec le règne de Hendrik III qui régna de 1454 à 1460, durant celui ci Frise commença son expansion territoriale, les territoires de Osnabrück et de Gueldre rejoignirent le minuscule royaume tourné alors vers la mer, un rêve tourné vers l’intérieur des terres prenait forme, ces successeurs Hendrik Casimir I (1460-64) et Albrecht II continuèrent dans la même voix, l’un en prenant Brème et Liège et le second en prenant le Lunebourg et Munster.
L’agrandissement du royaume nu pas que des effets bénéfiques, ces années de guerre firent souffrirent grandement les populations soumissent aux pillages des hordes de soldats traversant la région, menant à une rancœur des populations soumissent, menaçant la paix du royaume, la force armé permirent dissuader toute Jacqueries.
Le retour à la cour d’un noble revenant des grandes universités d’Espagne, Vritz Von Litenbourg, celui-ci arriva à changé la politique du pays en 1474, le retour a la prospérité devint alors une priorité pour le royaume, des conseillers furent engagé dans ce sens remplaçant les défunts conseillers militaires. Il avait amené aussi dans ses bagages ses relations avec des personnes des plus influentes a la cour d’Espagne, permettant un l’établissement d’une très grandes amitiés envers les deux pays, de très nombreux furent fait entre les deux ligné ce qui amena une alliance entre c’est deux puissances
L’année 1475 fut des plus tristes avec la mort du roi le 10 aout, celle ci étant d’autant plus regrettable qu’il n’avait eu aucun héritier malgré son règne qui battait les records de longévité (11 ans de règnes), établissant une période morose pour la nation, la politique international fut des plus réduites, a par le soutien a l’allié Hessien contre Clèves, rien ne fut entreprit. Le principal problème qui se posa aux conseils fut la guerre contre la France en soutient à l’allié Castillan, les discutions furent des plus houleuse mais malgré cela rien ne fut entreprit, démoralisant les corps d’armé prêt a frappé Paris.
La période du conseil se termina en 1481 avec l’arrivé sur le trône d’un nouveau suzerain, Ernest Casimir I intronisé le 2 septembre dans la plus majestueuse cérémonie qu’avait connue le pays jusqu'à lors. Le début de son règne fut marqué par la demande d’appuie militaire de la Castille contre le royaume félon de d’Aragon et ses laqués, la réponse de notre fut des plus positives, Frise voulant faire oublier sa passivité durant la guerre franco-castillane, après de couteuse transaction pour traverser la Lorraine nos troupes purent atteindre le royaume de Savoie, les combats qui se déroulèrent furent des plus éprouvant, l’armé de Frise n’étant point habitué à subir un tel relief, chacun des combats demanda un dépassement de soit pour chacun de ses combattants, le 21 aout 1483, la victoire de la coalition était déjà assuré.
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La suite au prochain tome
Situation de Frise le 21 Aout 1483 :
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La situation du royaume en 1483 après de grand investissement est stabilisé, le risque de Jaquerie est encore là mais aucun de leur leader n’a encore réussit a ce que la populace se soulève. L’intégration des provinces conquise a commencé à se faire, la population voit en Frise une garantit de stabilité face aux autres nations.
En économie, la situation reste des plus catastrophique, aucune amélioration notable ne vint améliorer le système productif et commercial du royaume, l’inflation galopante dut a l’entretien des moyens militaires, est des plus inquiétante, atteignant 9% cette dernière année.
Lettre diplomatique :
A la Castille :
Très cher ami nos bonnes relations me ravisent, nous vous soutiendrons totalement dans votre unificatrice de l’Espagne, votre amitié et l’un des fondements de notre paix. Une seule chose nous grippe dans votre politique, le soutien que vous affiché à la Bourgogne, un royaume fondé sur la déloyauté, celle ci empiète sur notre sphère d’influence légitime, qu’ont ils à faire en Allemagne et en Hollande qui sont des territoires en dehors de la France ! Son alliance est elle si importante a vos yeux, nous ne requérons aux mieux votre soutien ou sinon votre passivité dans l’affaire.
A la France :
Nous protestons contre la capture des territoires que vous avez faite en Espagne lors de votre guerre contre l’Aragon, vous n’avez aucune légitimité à contrôler ses territoires, cela est il raisonnable de continuer sur cette voie ?
A la Bourgogne :
Votre politique agressive dans notre région, nous rend plus que perplexe, que a à faire la Bourgogne en dehors de France et de son royaume que celle –ci lui donner ? Quitter les territoires de Hollande et d’Allemagne que vous avez acquit par votre félonie, où sinon nous serons obliger d’agir par la force, pour les libérés !
Au Danemark :
Nous vous sommons de nous céder Oldenbourg ! Ce territoire fait partie de notre nation, notre légitimité est plus grande que la votre, votre refus n’amènera que la guerre entre nous !
Pedrolane
14/07/2007, 17h41
-Venise - Chroniques 1453 - 1483
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Rapidement, la guerre contre la Lombardie commenca a tourné a la faveur de la glorieuse nation Venitienne, et le problème fut vite réglé: le Monarque Millanais qui craignait la plèbe vu sa mauvaise gestion accepta bien vite la paix qui consistait a laissé au peuple de parme le droit de choisir à quelle nation il désirait être attaché. Bien évidément il choisit Venise. Parme fut donc rattachée à Venise.
C'est alors qu'une GENIALISSIME idée germa dans le cerveau du Grand Doge des Doges Pedro l'anus , renommé Pedrolane Ier Le Gueux , lors de son sacre.
L'idée consisterait à faire de l'Italie une gigantesque République ou la Plèbe aurait le droit de s'exprimer. Ce gigantesque projet devait dans un premier temps s'exercer lentement dans le temps et par la voie de la paix.
Mais hélas cela ne se passa pas comme prévu...
Dans un premier temps, le Grand Doge voulu régler le compte à Raguse qui ne cessait d'envoyé des espions afin de savoir comment fesait le Doge pour que sa population soit à ce point heureuse...
La guerre fut donc déclarée a Raguse, mais hélas la morée décida de s'en meler, après quelques batailles, la guerre était gagnée, raguse sans défense fut annexée par la Bosnie tandis que la Morée fut vassalisée par la Glorieuse Venise qui n'en avait que faire de ces barbares.
Venise recommenca après cette épisode a se concentrer sur ca vocation pacifique et d'unification, mais les Monarques Italiens ayant eut vent de ce projet prirent peur, en effet les plèbes de toute l'italie demandait à etre rattachées à la glorieuse République de venise. Les chefs Italiens se réunirent donc en secret à Gênes afin d'y signer l'accord de lutte contre Venise. Cet accord, d'après nos espions prévoyait de déclaré la guerre a Venise au tour par tour afin de faire baissé sa stabilité et de l'empechée de pouvoir accomplir son projet.
Le Doge était au pied du mur, il n'avait plus le choix, lorsque la 1ère déclaration de guerre savoyarde arriva au Palais, le Doge dut ordonné à contre coeur la formation de nouvelles troupes de cavaliers et ordonna dans un premier temps que l'on défende la frontière uniquement, mais les attaques des savoyards et de leurs alliés étaient trop sauvages, venise répondit alor s avec vigueur et jamais nous ne vîmes des soldats se battre avec autant de bravoure.
Comme l'avaient décidés les Rois Italiens, ils déclarèrent tous la guerre à Venise les uns après les autres, et souvent meme les uns en meme temps que les autres, biensur Ce fut une période noire pour Venise car beaucoup de soldats périrent dans de gigantesques batailles . Mais à chaque fois Venise parvenait à remportée la victoire décisive et à chaque fois elle pratiqua les memes résolutions de paix que pour Milan, le peuple avait le choix entre rejoindre Venise ou rester sous l'autorité de leur ancien Despote. Bien entendue à chaque fois les villes d'Italie préfèraient se rattachées à la glorieuse république Venitienne. Seuls 2 régions refusèrent et jamais Venise ne les y forca malgré qu'elle en avait les moyens, dans un premier temps la Savoie dont le peuple refusa toujours de rejoindre venise (malgrés que ces derniers temps des dissentions se font ressentir...) Et Gênes dont le peuple ne voulait pas perdre sa souveraineté, par contre ils souhaitaient tout de meme faire partie de l'aura Venitienne et nous proposèrent de les faire devenir nos vassaux, nous acceptâmes dans notre grande Manduétude et c'est ainsi que Gênes propspera comme jamais, son âge d'or était très certainement en train de se déroulé.
C'est ainsi qu'en 1483 Venise devint la 1ere puissance d'Italie, une puissance non seulement économique mais ausi une puissance à l'intérieure de laquelle règne la paix, et la prospérité. Malgrés quelques déboires économiques nottement liés à l'inflation , les gens sont heureux et cela se ressent.
Jusqu'a Kaffa ont voulu rejoindre la République mais vu leurs barbaries la région fut cédée à L'empire Turc avec lequel Venise entretient de plus que bonnes relations...
Le contat de Venassin décida aussi de rejoindre venise mais vu son isolation, le Doge se pose encore pas mal de questions sur le bienfait de se rattachement. Il n'est pas exclu de s'en séparé...
Messages diplomatiques :
- A l'Autriche, nous sommes désolés que notre scribe se soit perdu en chemin, en effet nous vous garrantissions que Siene ne sera pas annexée, biensur après votre déclaration de Guerre, nos chefs militaire furent pris de folie et obligèrent les habitants de sienne à rejoindre la République... Tous ces chefs ont été pendus et Sienne sera, comme le désire sont peuple vassalisée à l'image de Gênes. Nous sommes désolé pour ce mal entendu.
- A Frise, si jamais un seul territoire Savoyard est rattaaché a votre royaume ou que le Roi savoyard vous pret allégence, toute raltion entre nos deux nations sera gelée immédiatement, vous serez baniis de nos centres de commerces et la guerre vous sera déclarée. Faites attention Roi ...
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Castille 1474-1483
La coalition anti-castillanne : guerre et défaite
Alors que nous étions bien conscient qu'une guerre allait se déclarer prochainement de l'initiative de la France, voir de l'Angleterre, nous ne pensions pas que la France utiliserait la tromperie et la duperie, pourtant moyens plus anglais que français, pour arriver à ses fins.
La France en effet n'était pas sans savoir, comme toute l'Europe d'ailleurs, de nos volontés d'unification avc le Royaume d'Aragon, étant donné que nous en avions fait la déclaration publique.
Sachant cela, la France sur-préparée militairement, possédant notamment des milliers de cavaliers en armures de plate, ainsi qu'une avance technologique militaire considérable par rapport à nous, attaqua vilement l'Aragon, dans le but non-déclaré de vassaliser ce royaume, empéchant ainsi tout possiblité pour nous d'unification.
Cela ne pouvait être toléré, et immédiatement la guerre fut déclaré à la France, qui put compter sur son allié anglais, toujours à l'affut d'opportunités financières.
Malheureusement pour Nous, la guerre fut déclarée sans aucune préparation car nous ne pensions pas qu'elle viendrait si tôt, de plus il fallait intervenir immédiatement en Aragon car les provinces commes celles de Navarre ou de Barcelone tombaient à un rythme alarmant.
La guerre une fois déclarée fut donc une grande défaite pour la Castille.
Au départ, dans les colonies, nos troupes avancèrent sans mal en balayant quelques troupes françaises, et les colonies furent capturées, mais l'arrivée décisive de troupes anglaises bien pourvues, notamment en cavaliers, eu raison de notre corps colonial qui fut bientôt complètement exterminé. En effet les javeliniers indiens ne pouvaient faire grand mal aux cavaliers lourdement cuirassés anglais. Et seul la lointaine province de Mexico possédait les élevages de chevaux pouvant ainsi lever quelques cavaliers.
La guerre dans les colonies fut donc une défaite, et il était en outre impossible pour nous d'envoyer le moindre renfort d'Espagne, car la situation en métropole fut encore plus catastrophique : une armée fut envoyé en Aragon dès que le roi nous donna un droit de passage militaire, mais nos armées furent battues par les français devant les murs de Valence.
Dès lors l'Aragon fut perdu, et le roi de france, dans un délir mégalomanique annexa purement et simplement les marches d'Espagne de feu l'empire de Charlemagne (on se doute donc de ses intentions en Italie et en Allemagne...).
Une fois l'Aragon tombé, il fut facile pour la France, et il faut reconnaitre là le talent des généraux et des maneuvres françaises, de nous battre à chaque rencontre. L'exemple le plus frappant en fut les batailles de Madrid, où nos troupes en surnombre au début ne réussissent pas à faire fuir les français (admirablement commandés) assez vite pour empêcher les renforts français de venir écraser nos hommes.
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Les batailles pour Madrid : à chaque fois des renforts français viendront remporter la bataille. Il faut dire ici que nos campagnes bien peu peuplées ne purent pas supporter l'effort de recrutement nécessaire.
Le roi fort sage décida donc d'envoyer une proposition de paix à la france et à l'Angleterre : il proposa de céder 10 colonies de culture et de religion barbare du nord de la Floride.
Ceux ci acceptèrent, et au final cette défaite se révéla bien moins couteuse qu'il n'y parait : en effet, les couts de stabilité et de technologie diminuèrent sensiblement, alors que nos revenus mensuels restèrent stables.
Une fois la paix signée, nos conseillers de talent nous permirent par deux fois d'augmenter notre stabilité et de gagner en réputation.
Des révoltes éclatèrent au Mexique et ce de façon très soutenu. Une campagne de fortification des colonies est donc en passe d'être lancé afin de faire taire cet menace.
L'unification
A la suite de la défaite contre la France, il fut décidé par le Roi d'une campagne militaire rapide et décisive en Aragon afin d'empècher d'autres puissances de nuire à notre unification.
L'Aragon épuisé par la précédente guerre fut facilement conquise, de même que son allié napolitain.
Diplomatie
Une alliance militaire fut signée avec Gueldre et la puissante Bourgogne.
A la France et l'Angleterre : toute négociation est possible pour la cession des marches d'Espagne, à la condition qu'elles soient correctes. De même nos colonies enclavées de Louisiane hors centre de commerce pourraient être vendues.
A Gueldre : Nous assurons entier soutien militaire à votre royaume, et notre aide vous est acquise en toute occasion.
A l'Autriche et Venise : D'une part, il est évident pour Nous que le maître d'Autriche est le seul à pouvoir prétendre au titre d'Empereur, et par conséquent nous condamnons les actions menées par la vorace Venise.
Il nous semble qu'une libération de Sienne et de Modène puis dévassalisation serait un geste appréciable. Nous serons ainsi tout à fait prêt à ne pas toucher à Naples qui est tombé entre les mains de nos troupes il y'a quelques semaines.
Au Portugal : Vous ne nous avez pas apporté votre soutien militaire lors de la dernière guerre en prétextant que votre pays n'était pas prêt et donc nous vous croyons.Vous associez à la défaite inévitable n'aurait en effet servit à rien. Nous vous remercions pour votre aide à réprimer les rébellions au Mexique. La flotte portugaise en construction nous semble tout à fait impressionnante tant en nombre qu'en qualité, et nous sommes sûr que vous saurez en faire bon usage.
Pedrolane
16/07/2007, 17h02
Déclaration Venitienne :
Après avoir écouter toutes les parties Venise en est venue à la conclusion avec l'Empereur qu'une erreur avait dut etre comise en ce qui concerne Modène, en effet le vote aurait été truqué par les memes généraux qui ont forcés l'anexion de Sienne.
Leur exécution étant déja programmé, nous éspèrons qu'elle apaisera nos voisins, cependant il est clair que nous ne pouvons pas continuer à oppresser le peuple de Modène c'est ainsi que tout comme Sienne,Modène sera vassalisée lors de la signature du traité de Paix de Corfou (paix entre Viennet et Venise). De plus Venise garantira pendant 20 ans minimum l'indépendance de ces deux nations.
En ce qui concerne la revendication Castilanne de dévassailsé ces pays , sachez Mr qu'il nous est impossible d'y accéder, en effet les dévassalisation nous couteraient énormément en stabilité (-6) , deplus nous nous devons de controler un minimum ces etats qui n'hésitèrent pas à déclaré guerre sur guerre à Venise lorsqu'elle était encore frèle et petite.
lemarseillais
16/07/2007, 23h46
La 1er guerre d'Espagne : tenants et aboutissants
Contexte de l'époque
Au cours de la guerre qui avait opposé la France à la Bourgogne durant les premières années de 1470, la Castille, déjà fortement enrichie par sa découverte de riches mine d'or dans le nouveau monde, avait fait étalage de son côté rapace et de son envie de dominer le monde. Pour comprendre cela, il faut revenir quelques années en arrière. Nous sommes alors vers 1465, le jeune roi de France, Louis XI, vient de monter sur le trône après la longue folie de son père. La France qui ne s'était que modestement lancé dans la conquête du nouveau monde change de politique. Sur les directuves de son nouveau roi, des colons snot envoyés coloniser la façade atlantique des terres du nord de l'Amérique où les anglais et les espagnols sont déjà présents. Dans le même temps, des discussions sont ouvertes avec le roi de Castille pour un échange de colonie. La France fait clairement comprendre à son voisin qu'elle entend se réserver une zone coloniale. La castille accepte l'échange. Cet accord fut perçu par la France comme une marque de bonne volonté castillane qui semblait prête à reconnaître une zone française sous peu que l'on pouvait s'entendre ailleurs.
C'est cet esprit qu'allait trahir la Castille quelques années plus tard avec la plus grande lacheté. Alors que les troupes royales luttaient contre la Bourgogne, alors que ce conflit s'éternisait sans qu'aucun des deux bélligérants ne puissent vraiment prendre le pas sur l'autre, le roi des Castillans en profita pour attaquer et annexer les tribus indiennes du nord de l'amérique, précisément celles situés dans le voisinage immédiat des colonies françaises (ce qui en bloquait d'ailleurs les possibilités d'expansion). Evidemment, ce prince courage prit soin de ne pas ébruiter ni de se vanter de sa guerre. Aussi, notre bon roi de France ne s'en rendit compte que bien après que castillan et indiens se soient affrontés. L'annexion était déjà faite depuis un moment. La colère du roi fut grande. Que voulait donc ce roi ? Tout rattaché à sa couronne ? Il n'avait pas assez de ses mines d'or d'amérique qui l'engraissaient, lui et les siens, comme jamais ? Il lui fallait venir donc, sous les yeux des français et des Anglais, venir se place. Il poussa même le vice jusqu'à capturer et revendiquer sien la riche colonie de Louisiane qui servait de point de rencontre pour les marchands. Cet espace tirait principalement ses richesses des colonies anglais et françaises et ce serait la Castille qui en tirerait les bénéfices ?
Le rapprochement franco-anglais
Il n'en fallait pas plus pour motiver le roi a entreprendre une expdition armée contre la Castille pour lui faire comprendre comment nous traitions ceux qui se moquent de nous. L'Angleterre, qui était aussi mécontente que nous, prêta une oreille attentive à nos projets au point d'en devenir un maillon actif. Depuis la guerre de Cent ans c'était la première fois que les rapports entre nos deux royaumes passaient de l'ignorante neutralité à des actions communes. Pourtant Dieu sait que l'anglais est mal vu en France, mais la Castille était allée trop loin. Les deux rois se rencontrèrent à 2 reprises pour mettre au point leur projet. Il fut alors convenu de prendre le temps de se préparer. Le porjet initial prévoyait d'entrer en guerre vers 1484 pour prendre le temps de renforcer nos positions. Il faut en effet rappeler qu'à ce moment la Castille seule possède plus de 50% des revenus de la France et de l'Angleterre combinés. Sa flotte n'est pas loin d'égaler celles de la France et de l' Angleterre réunies. que dire alors si le pportugal soutient la Castille ! Enfin, la Castille possède autant d'homme quasi que la France. Mais le pire c'est qu'elle en possède autant en temps de paix que nous qui sortons d'une guerre avec les finances militaires qui tournent à plein régime.
Le tableau n'est pas avantageux mais les deux rois s'efforcèrent de trouver une soplution qui offrait une bonne chance. C'est alors que notre jeune roi Louis XI proposa l'idée qui allait devenir le plan de la guerre. Et le succès de ce plan que nous pouvons constater aujourd'hui, préfigure le génie de notre roi. Nous louons le seigneur de nous avoir envoyé un maitre de la guerre. Le plan se décomposait ainsi : il fallait jouer de nos forces chacun de nore côté. En nous divisant le travail, nous avions deux avantages sur l'adversaire : nous ne sommes pas pénalisé par les commandements partagés qui ont toujours le défaut de nuire à la réactivité des chefs, nous pouvons ouvrir deux fronts très éloignés. L'Angleterre dont la position était beaucoup plus stable et solide en amérique gérerait seule le front américain ; la France mènerait la guerre en Castille même. Un problème se posait : la France n'avait pas d'accès terrestre à la Castille, l'angleterre n'avait aucun accès direct aux colonies espagnoles. Pour le cas de l'Angleterre la solution était simple, la France lui donnerait un accès à travers ses colonies. Pour nous, il n'y avait qu'une seule solution : traverser l'Aragon.
De l'attaque contre l'Aragon à la guerre générale
L'idéal aurait été de pouvoir battre l'Aragon sans que la Castille intervienne (c'était un pari osé il est vrai) ce qui nous aurait laissé du temps pour nous préparer. Hélas, il n'en fut rien et en fait, là où la grande guerre ne devait débuter qu'en 1484, le conflit se généralisa dès 1476-77, quelques mois seulement apres l'entrée en guerre de la France contre l'Aragon. La france fut pendant plusieurs mois seule dans cette guerre. L'angleterre tentait de gagner le plus de temps possible pour acheminer des troupes en amérique. Sur les batailles en amérique, nous ne pouvons en dire mot. La France n'y a pas participé et ses qlq troupes ont été abandonnées . L'Angleterre, conformément au plan, se débrouilla seul sur son théâtre comme nuos sur le nôtre. Il est revenu à nos oreillesque de grandes batailles eurent lieu et que les Anglais firent preuve d'un grand courage et de beaucuop de ténacité pour parvenir à vaincre à l'usure les castillans. Est ce cela qui précipita la défaite de la Castille et la résolution de ce roi à accepter la paix du vaincu ? Impossible à dire. D'aucuns, des Français bien sur, pensent que le coup décisif fut porté en Europe. Nous ne sommes pas là pour dire qui a raison car en fait personne ne connait la vérité et cela n'a pas d'importance.
Ce que nous savons, c'est ce que nous allons raconter ici : la guerre d'Espagne.
La campagne d'Aragon était une promenade de santé pour nos troupes aguerries contre la Bourgogne quelques années auparavant. déjà la Navarre et Barcelone était tombé dans nos mains quand la Castille entra en guerre. Notre roi prit alors la décision d'avancer méthodiquement et patiemment pour ne jamais laisser une troupe de siège sans un soutien de cavalerie savamment commandé. Cette tactique se révéla payante. D'autant plus qu'en légère infériorité numérique les troupes françaises tenaient fort bien le choc face aux troupes espagnoles alors que dire lorsque les troupes royales étaient en supériorité. En quelques mois l'Aragon tomba complètement et la paix fut conclue avec celle-ci. La seule chose qui nous intéressait était d'avoir un accès terrestre vers la Castille : seule les Pyrénées et la Navarre furent réclamés. Notre roi était même prêt à restituer ces terres au roi d'Aragon si il signait une alliance avec nous et entrait en guerre contre la Castille. Celui-ci refusa. Il aura tout le temps de regretter son erreur.
La lutte continuait en Espagne et les français menaient toujours la même tactique. Plusieurs grandes batailles opposèrent plus de 15000 castillans contre autant de Français. Pas une fois ! Pas une fois la France ne connut les affres de la défaite. C'est invaincu que les troupes royales entrèrent dans Madrid la riche. Aucun pillage, aucune exaction ne furent commis dans la capitale ennemie. Les ordres du roi étaient clairs. L'honneur de notre seigneur ne pouvait être baffoué par les pulsions de certains hommes. Je crois surtout que c'est la discipline de fer que faisait règner les remarquables généraux français qui permit à la ville castillance de s'en sortir vierge dans tous les sens du terme. Petit à petit, le nord de la Castille tombait aux mains des français. Plusieurs fois les castillans tentèrent de briser nos sièges, de casser nos colonnes mais à chaque fois ils furent repoussés.
La victoire des alliés, la défaite du riche goinfre
Vaincu, humilié, écrasé dans son propre royaume, en difficulté dans le nouveau monde, le roi de Castille ne pouvait plus en arriver qu'à une seule conclusion : il avait perdu. Il fallait signer la paix. Ses ambassadeurs furent envoyés au devant des troupes françaises. Ils portaient une demande paix avec proposition de céder 4 colonies d'amérique du nord. L'offre était ridicule. Tellement que le roi de France ne prit même pas la peine d'en faire part à son allié. Il refusa net. Quelques jours plus tard, il fit savoir aux ambassadeurs castillans qu'il accepterait 4 colonies dont la riche place commerçante de louisianne. Le roi d'angleterre était d'accord pour signer une telle paix mais cette fois-ci le roi de Castille refusa. En temps normal, une roi vaincu qui refuse une paix n'aurait eu qu'à s'en mordre les doigts car la guerre aurait alors duré pour son plus grand malheur. Mais le roi de Castille cru pouvoir jouer au plus malin : dans le même temps où il refusait l'offre française il contre-proposait 10 colonies. Le roi de France en discuta alors avec son allié. Il fit savoir au roi de Castille que les deux anciennes colonies françaises devaient être restituées en plus des 10 colonies et que la Castille devait s'acquitter d'un tribut de 150 ducats pour dédommager la France pour avoir raser une colonie entière et fortement ravagé une autre. La réponse fut positive. La paix étaient signée.
Les deux rois alliés convenaient de se partager les terres gagnées de la manière suivante : à la France 6 colonies et à l'Angleterre 4 colonies. De mauvaises langues d'Angleterre trouvèrent à redire et il est fort à parier que de mauvais esprits castillans tentèrent ou tenteront d'user de cette différence pour créer un sentiment de rancune chez les anglais envers les français. Pourtant, aucun problème ne se posait entre les deux rois. Le roi d'Angleterre avait bien conscience que 4 ou 6 cela changeait peu de chose et n'était pas lié à une volonté française d'en avoir plus mais simplement aux circonstances géographiques. D'autre part cette collaboration avait une grand mérite, beaucuo plus important que de simples terres : dans les esprits français l'Angleterre, après plus de 100 ans, redevenait un partenaire potentiel. Les intérêts français n'étaient plus à la nuisance totale de l'Angleterre, dès lors l'alliance écossaise n'avait plus d'utilité. Voilà pourquoi, Louis XI ne bougea pas lorsque l'Angleterre attaqua l'Ecosse.
lemarseillais
17/07/2007, 12h20
Messages diplomatiques :
Angleterre : Nous ne pouvons que nous réjouir de la réussite de notre entreprise. Sachez que nous avons de l'estime pour le peuple anglais. Certes, il fait encore mauvais de se dire anglais par chez nous, mais tout le monde en France connait bien la valeur au combat des anglais. L'adage ne dit-il pas que ton vieil ennemi est celui qui te connait le mieux ? Votre peuple aspire à la paix comme le nôtre, elle est amplement méritée. Que Dieu vous garde !
Autriche : Archiduc, nous sommes heureux de la nouvelle manière de gouverner que vous imprimez à votre maison. Nous constatons que vous avez su trouver une issue avec Venise sans faire parler les armes. C'est signe d'une grande sagesse. J'aimerais vous entretenir au sujet de la situation au nord de l'Europe particulièrement étrange.
Venise : Cher doge, vous savez à quel point la disparition rapide des Etats italiens nous a choqué, comme vous savez que la Savoie demeure un point de déssacord entre nous. Mais cette franchise dans nos relations est une force qui nous permet, malgré tout, d'entretenir de bons rapports. Faisons confiance au temps et méfions nous des formenteurs de coalition qui, sous couvert de nous séduire, ne pense toujours qu'à leur seul intérêt propre au final.
Frise : Votre récente arrivée à la tête du duché a été marqué par des décisions assez surprenantes et des prises de positions malvenues. Il est évident qu'un jeune prince a besoin d'être bien conseillé pour apprendre son métier. Nous regrettons que la disparition brutale de la famille ducale, qui vous a porté vous sur le siège ducal, n'ait pas permis à vos proches de vous offrir une formation adéquate à votre rang d'aujourd'hui. Qui aurait pu prévoir. Toutefois, mon ambassadeur m'informe que vous devriez faire un grand duc très vite.
Sachez que la France n'a pas la prétention ni le mensonge assez fort pour pouvoir prétendre vous conseillez au mieux de vos intérêts. De même, elle n'a pas l'argent pour, sous couvert de vous aider à vous développer, vous faire faire participer et prendre des positions qui ne vont pas dans l'intérêt de votre peuple. De toute façon, même si nous avions cet or, nous ne le disposerions pas pour nous "acheter" des armées. Une roi de France n'est pas élévé ainsi.
Vous nous avez menacé de guerre une fois, puis avez accepté de rester neutre après nos explications. Aujourd'hui encore, vous vous alliez à un roi qui ne cherche qu'une chose : monter un maximum de pays contre notre royaume. Sous quel prétexte : la surpuissance présumée de la France.
Le vrai prétexte le voulez vous ? La Castille a deux rivaux : l'Angleterre et la France. Elle sait qu'elle a commis une erreur en rapprochant ces deux pays contre elle. Elle sait également que, ne pouvant refreiner sa rapacité annexioniste, elle va de nouveau subir les foudres de ces deux pays. Sa fragile richesse d'amérique est menacée alors elle veut frapper. Le plus simple a atteindre, le pays qui suscite le plus de crainte, le pays qui peut le plus potentiellement nuire aux intérêts d'autres pays, celui donc contre qui il sera le plus facile de trouver des alliés (se dit-il) c'est la France. Epargnons l'Angleterre et peut être que ça la détournera de la France après tout.
Beaucoup d'hommes sont guidés par la cupidité. Aucun homme cupide ne peut réellement se soucier des intérêts d'autrui. Il feint de le faire. Dites moi, duc de Frise, qu'a fait le peuple de France au peuple de Frise ? Quand avons nous porté atteinte à vos intérêts ?
Vous êtes jeune, vous ne savez peut être pas qu'il est illusoire de croire que l'argent peut remplacer la considération diplomatique, l'image de votre Etat. N'entretenir aucun contact si ce n'est pour déclarer la guerre à son voisin sans motif est une chose indigne qui ne vous fera ni gagner le respect de vos pairs ni leur confiance. Lorsque la Castille vous abandonnera (quand elle n'aura plus besoin de vous ou quand elle aura trouvé plus fort), vous comprendez alors l'importante d'avoir une bonne situation diplomatique.
Castille : mon cousin, vous êtes visiblement très mal conseillé. Vous l'êtes en plusieurs points. D'abord en profitant de l'inexpérience d'un prince pour l'acheter et le perdre dans la défense de VOS intérets. La maison de Castille n'a t'elle aucun honneur ? Ensuite, vos pitoyables tentatives pour susciter la haine de la France dans les cours de nos voisins montre les moyens que vous appréciez (et que nous avons déjà pu apercevoir dans vos guerres pleines de courage contre les indiens) : fourberie, corruption, pot de vin. De plus, votre alliance avec notre vassal félon, le duc de Bourgogne est une gravissime erreur. Vous avez décidé de nous mettre des batons dans les roues alors que vous n'avez que faire de la Bourgogne. C'est pourquoi nous avons accueilli la famille royale d'Aragon en notre sein. Sachez que la France va jouer à votre petit jeu. Si vous provoquez une guerre, ne vous avisez surtout pas de la perdre, car nous ferons renaitre l'Aragon selon ses frontières de 1453 et nous la défendrons comme nos propres terres.
Enfin, votre dernière erreur, la plus grave, c'est d'avoir cru un seul instant que vous pourriez sortir vainqueur dans un conflit avec nous. Vous gagnerez peut etre quelques guerres, mais vous aurez tout le loisir de regretter n'avoir choisi la voie de la médiation lorsqu'il était encore temps.
Portugal 1475-1483
A Lisbonne, les affaires prospèrent, même si de nombreux marchands portugais viennent constamment se plaindre qu’il est impossible de faire du commerce dans notre propre capitale, la concurrence y étant trop forte.
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Pas un seul marchand portugais à Lisbonne
Il y a quelques royaumes particulièrement retords, comme le Mecklembourg ou la Bourgogne, qui étouffent depuis de nombreuses années les marchés européens.
Mais en l’an de grâce 1475, des affaires plus critiques occupent les esprits : la guerre éclate dans la péninsule ibérique !
La France n’hésite pas à plonger son pays dans l’instabilité, à –3, pour pouvoir frapper l’Aragon, mais pour quelle raison ?
L’année qui suit, tout va très vite, et je reçois des missives alertées, qui demandent l’envoi immédiat de troupes portugaises sur le front castillan ! Il doit s’agir d’une erreur, elle doit être destinée aux autrichiens cette lettre, car notre royaume est fait d’explorateurs et de marchands, pas de militaires. Nous n’avons aucune vue sur l’Europe, c’est d’ailleurs pourquoi nous jouissons d’une réputation immaculée…
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Erreur de casting... le Portugal n'est pas une puissance militaire en 1475
Pourtant, c’est bien à nous que la Castille fait appel. Un conseil de guerre se réunit dans le plus grand secret, pendant 3 longues semaines, afin de décider si oui ou non le Portugal peut se permettre de rentrer en guerre.
Après d’infinies tergiversations nous décidons de rester neutre. La stabilité perdue, l’argent engagé dans l’emploi de mercenaires pour palier à notre manque de manpower pourrait être envisageable en ces temps de crise, mais 2 éléments suffiront à clore le dossier. Le premier, c’est d’avoir une flotte forte sans quoi nous sommes sans défense, et le deuxième est que l’ennemi était trop bien préparé, et le Portugal ne possède pas les moyens pour réagir vite.
Il est donc décidé de construire une immense flotte d’ici 20 années, afin de protéger nos biens.
En 1476, nous quittons à contre-cœur l’alliance qui nous unissait aux anglais, et dès 1477, la France obtient ce qu’elle désirait vraiment : un passage terrestre pour aller de la France à la Castille. Autrement dit, les choses sérieuses commencent.
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La France n'a pas hésité à mettre son royaume à -3 en stab pour avoir ces 2 territoires
1478, la France et ses alliés entre en Castille sans que rien ne semble pouvoir les arrêter. Pendant ce temps, à la cour, c’est le drame : Corté-Réal et ses +12% de colonisation meurt, emportant avec lui toute une époque glorieuse, peut-être à jamais la meilleure, en ce qui concerne l’expansion coloniale.
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C'est vrais ça, que veut la France ?
En 1480, la guerre s’intensifie à l’est, et de nombreux réfugiés dont les villages ont été ravagés affluent à nos frontières. Nous ne pouvons ni les contenir, ni les accueillir, ils sont trop nombreux, et déjà les effets se font ressentir à Lisbonne ; avec, en mars 1481, une première apparition de PESTE ! Même les meilleurs conseillers à la cour sont touchés, et tombent comme des mouches.
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C'est pas beau à voir ce qui se passe à côté de chez moi
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La guerre à nos portes, ça devait arriver...
Bientôt la guerre se termine, la Castille perd un grand nombre de territoires des Amériques, mais concerne l’essentiel de sa richesse, ses terres amérindiennes. Pendant que nous envoyons des troupes réprimer les révoltes aztèques de notre cousin, c’est la guerre contre l’Aragon qui le maintient encore en guerre. Il n’est pas question que la France ou un autre royaume profite une nouvelle fois de cette situation…
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Mes troupes font la police chez les azteques
Pendant ce temps, dans une île lointaine de l’océan indien, Dinis de Tavares, jeune prodige de l’école militaire, profite avec son équipage du climat paradisiaque ainsi que des faveurs de charmantes donzelles mauriciennes au lieu d’aller explorer…
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Voilà ce que peut donner 99% de tradition navale
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Tavares a bien mérité un peu de repos auprès de ces charmantes autochtones...
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L'Europe en 1483, de la castagne un peu partout
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Chroniques Anglaises 1484 – 1492
La guerre contre l’Ecosse ne posa guère de problème et, rapidement, le Roi fou capitula, nous offrant pour prix de son pardon la moitié de son royaume :mrgreen: . Autrement plus difficile à gérer fut le mécontentement qui gagna notre population, excédée par cet état de guerre quasi permanent, las de payer les contributions de guerre indispensables pour arracher la victoire. En Macbethie et en Angleterre, partout les révoltes grondaient et il fallut utiliser les grands moyens pour restaurer l’ordre et la stabilité. Calais était de ces provinces qui se révoltait sans arrêt. Comme elle ne nous apportait rien, il fut décidé de la céder au Roi de France, qui bavait dessus depuis longtemps (un boulet cédé à un boulet en somme :lol: )
Enfin, le calme revenait et l’exploration put recommencer, doucement, modestement : une colonie fut ainsi établie dans les Antilles :) . Mais le plus important restait de rendre un tant soit peu homogène les colonies que nous avions déjà. Un ambassadeur partit pour Madrid et, après 25 minutes d’entretien avec le Roi d’Espagne, retourna à Londres avec un accord signé et approuvé : l’Espagne nous cédait deux de ses colonies prises aux sauvages Indiens. Ravis de ce résultat promptement obtenu, le Roi d’Angleterre envoya alors son ambassadeur à Paris, où les négociations devraient se conclure encore plus rapidement, la France nous ayant toujours affirmé qu’un partage des gains suivrait notre guerre commune contre la Castille gourmande. L’ambassadeur tabla sur 15 minutes.
Las, le malheureux dut déchanter : après trois semaines entières de négociation, à raison de 12h00 par jour, l’ambassadeur, épuisé, signa enfin un accord accepté par le Roi de France… Qui le relut une dernière fois, toutes ses exigences étaient remplies, puis déposa sa plume : « Il manque une virgule, je refuse de signer. Reprenons tout à zéro, voulez-vous ? :ko: »… L’ambassadeur rentra immédiatement à Londres et le Roi d’Angleterre, lorsque ses cardinaux prirent à nouveau le contrôle de la Curie pontificale, dut se faire violence pour ne pax excommunier ce coupeur de cheveux non pas en 4 mais bien en 278…:tongue:
La colonisation se poursuivait et, surtout, le royaume retrouvait enfin paix et stabilité, après de longues années de guerre et de chaos : il était temps ! Tout allait pour le meilleur du monde, lorsque, surprise, un ambassadeur Français arriva à Londres pour relancer les négociations rompues il y avait presque dix ans. D’un caractère doux et aimant, le Roi d’Angleterre écouta le bougre et condescendit à envoyer un nouvel ambassadeur à Paris pour voir ce qu’il était possible de faire : son retour n’est pas attendu avant trois mois :chicos: .
Chronique Frisienne: Une grande puissance nordique en devenir [1483-1492]
Cette période de l’histoire de Frise fut durant ses 4 premières années une époque de paix, ce fut en 1487 que l’expansion du royaume continua avec la conquête du riche territoire d’Hambourg qui dura une année, c’est à la fin de celle-ci que mourut Ernst Casimir I le 29 septembre 1488, dans des circonstances très floues.
Son successeur Willem V, continua le combat pour l’agrandissement du royaume, après une très grande préparation, l’armé fut lancer contre les forces danoises, le Brandebourg et le Luxembourg agirent de la façon prévue et déclarèrent la guerre aux frisiens, les forces danoises et du brandebourg occupé a combattre en Suède furent prise de cour, ses royaumes non défendu furent terrassé, le Luxembourg fut annexé, le Brandebourg fut réduit au territoire de Berlin, quant aux danois ils durent laissé la majeur parti de leur territoire national.
Le nord de l’Europe en 1492 ne représentait plus un danger, surtout avec l’alliance avec les Suédois, qui voyait la menace danoise disparaître et la paix revenir, maintenant seul une menace plane, celle de la perfide Bourgogne, le prochain chapitre donnera peut être réponse a ce problème plus qu’épineux.
Compte-rendu royal de septembre 1492.
L’époque qui s’étend devant nous est des plus troubles, nous sommes en train de faire face à des choix qui influeront sur tout notre avenir, face à la bourgogne qui occupe des territoires qui doivent nous revenir de droit, nous devons choisir notre allier, devons-nous continuer à attendre alors que le moment est plus que propice comme nous le demande notre allié espagnol ? Devons nous répondre positivement aux demandes françaises d’alliance anti bourguignon, pour en finir au plus vite ? La cour est très divisée sur ce point, petit à petit de plus en plus de nos nobles passe dans le camp pro-français, ne voyant pas ce que nous rapporte l’alliance avec les Espagnols, malgré l’amitié qui nous lie, enflammer par les promesses de conquête.
Situation de l'empire en 1492:
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Lettre diplomatique :
A la France : Nous vous présentons, nos plus plates excuse si nos actions vous ont offensé, nous ne recherchons que la paix en Europe et le respect des ères légitime de domination, nos actions plutôt impétueuse n’ont été portées que pour protégé ces valeurs et aucunement d’une haine envers vous. Vos multiples tentatives diplomatiques d’un rapprochement de nos deux peuples pour écraser les Bourguignons à de plus en plus d’échos à la cour, mais le dilemme et des plus grands pour nous, vous devez le comprendre, toute action de notre part contre la bourgogne, déstabiliserait nos relations avec l’Espagne dont l’amitié nous est chère.
A l’Espagne : Très cher ami, face aux actions de rapprochement française, ma situation envers vous est de plus en plus délicate, beaucoup de noble ne vois pas ce que nous rapporte cette alliance, et me presse de répondre positivement aux demandes françaises d’autant plus que la période est des plus clémente pour les attaquer, sans gestes fort de votre part je ne vois pas comment je pourrais encore retenir mes forces.
A l’Autriche : Très cher empereur, nous vous demandons l’ouverture de négociation sur nos zones d’influences, voyez sur le document ci dessous que nous vous avons préparé, ce que nous réclamons comme notre.
Eres de primauté Frisienne.
http://img249.imageshack.us/img249/8409/ee311ln3.png (http://imageshack.us)
La zone definit en orange est celle sur lasquelle nous combatteront jusqu'a notre dernier soufle, aucune négociation sera possible!
Celle definit par le bleu, sont celle que nous voudrions comme notre où dont la séparation ne nous ferrais rien (danemark), nous souhaitons les acquerir où les céder en accord avec nos voisins (France, Autriche, Pologne, Suède).
Missive de l'empereur KARL
Au souverain Frison
L'empereur a pris connaissance de vos souhaits expansionnistes, et vous reconnaît la pleine jouissance des terres de culture Hollandaise, Flamande et Walonne.
Toute terre de culture autre que celles-susnommées n'ont pas vocation à entrer sous votre juridiction, et resteront de fait sous la coupe du Saint-Empire.
L'empereur tient également à préciser une chose : la bourgogne semble actuellement affaiblie par la guerre qu'elle mène avec l'empereur et son fidèle allié le Wurtemberg. Nous espérons que les nations qui lorgnent sur la bourgogne auront la décence de ne pas se jeter sur la bête blessée comme des vautours ou autres hyènes.
L'empereur connait le roi de France, sait sa réputation chevaleresque, et ne doute pas qu'il aura la noblesse de ne pas agir de la sorte.
Nous espérons que le souverain de Frise aura la même attitude.
L'empereur Karl I
lemarseillais
23/07/2007, 15h08
Missive diplomatique du roi de France
A l'adresse du duc de Frise : Nous sommes heureux d'enfin constater que nos messages ne s'étaient pas perdus et vous sont bien parvenus. Vous nous faites l'honneur de prendre en considération nos paroles, chose dont nous vous remercions. C'est sur de telles bases que nous pourrons peut être construire quelque chose. Nous renouvellons notre intérêt pour une collaboration contre la Bourgogne.
Cordialement, le roi de France.
Pour la puissante maison d'Autriche : Cher archiduc, encore une fois nous renouvellons notre soutien dans l'entreprise que vous menez contre notre vassal félon. Nous savons que votre action est justifiée par les actions bourguignonnes contre les Etats du SERG et que donc d'éventuels gains se limiteront à cela. La France n'envisage pas d'entrer dans l'immédiat en guerre contre la bourgogne pour ne pas gêner votre campagne (c'est bien cela votre crainte ?) quoique nous pensons que nos champs de batailles seraient suffisament éloignés pour ne pas se marcher dessus. Nous espérons, pour le bien de tous ces peuples, que la guerre ne s'éternisera pas. Enfin, nous ne pouvons cacher notre étonnement suite à votre déclaration qui reconnaît (on ne sait pourquoi) les terres wallonnes à la Frise. Nous espérons qu'il s'agit là d'une petite méprise.
Cordialement, Louis XI.
Pour sa Majesté le roi du portugal : Cher cousin, les relations entre nos deux pays sont, à notre regret, trop faibles depuis trop de générations. La France aimerait savoir si l'ouverture d'une ambassade permanente dans votre capitale serait acceptée. Comprenez bien que nous entendons ouvrir une ambassade active et non "pour la forme". Certains vous pensent déjà soumi à une autorité étrangère. Nous ne le pensons pas et c'est pourquoi nous aimerions ouvrir des discussions privées.
Cordialement, le roi de France.
A l'adresse du roi de Castille : Monsieur, nous vous avions signifié notre grand mécontentement suite à votre rapprochement avec notre vassal félon. Vous n'avez, semble t-il, pas daigné prendre en compte notre avertissement. Votre politique nous étonne car elle va à l'encontre de votre allié frison. Elle nous étonne mais nous comprenons très bien le pourquoi de cette alliance. Nous avons la politesse de vous envoyer des messagers. Pouvons nous espèrer une réponse quel quel soit ? Vous semblez considèrer que la force est la seule forme de discussion possible. Cela est regretable car totalement faux.
Mustafa I le Valeureux
La première guerre de Crimée
Aussitôt après sa prise de pouvoir le jeune prince décida qu’il fallait montrer au monde Musulman
que l’Ottoman était de retour et qu’il ne comptait pas jouer les seconds rôles.
Il profita donc d’unne querelles de frontière avec la Crimée pour déclarer la guerre a cette dernière
et précipiter les hordes Ottomanes à la rencontres des hordes Tartares. La Crimée totalement prise
au dépourvu et faiblement fortifiée fut rapidement submergée et du céder les provinces à
l’Ottoman qui prenait ainsi durablement pied sur la Côte nord de la Mer Noire.
Ce fut ensuite au tour de la Horde d’or puis de XXX de s’incliner, ce dernier faisant don de
plusieurs provinces situées très a l’Est dont la Province aurifère de Samara en 1479 tout était terminé.
L’Ak Koyunlu un voisin gênant
L’Empire eu droit a 2 années de paix passées à penser ses plaies avant que la guerre surgisse a
nouveau à l’horizon. En 1485, la horde d’or jeune vassal Ottoman est agressé par la tribu ak
Koyunlu et ses Alliés Persans.
La guerre s’annonce difficile, la Perse est un gros morceau. Le Grand Vizir fait masser des troupes
à la frontière avec l’ ak Koyunlu et mène une rapide campagne contre ce dernière qui finit par plier
en cédant l’Arménie. La guerre semble bien partie et la Perse est en difficulté avec des compagnie
Ottomane qui pille ses cités, le Vizir conseil au Sultan de ne pas accepter la paix blanche proposée
par la Perse et d’essayer de tirer le meilleur parti de cette guerre.
Ce fut là un bien mauvais conseil, les troupes Ottomanes dispersées en Perse se voient battre a
plusieurs reprise par de talentueux généraux Persans aux forces reconstituées… dans le même
temps Kafka et l’Albanie révoltent. En 1483, Les Perses assiègent XXX et avancent en Anatolie et
en Crimée, Kafka et l’Albanie sont aux mains des rebelles.
Tout semble perdu pour l’Ottoman, le Sultan décide de ne pas s’en laisser compter. Le grand Vizir
est décapité et le Sultan reprend les rennes de l’Empire. Il nomme un jeune et prometteur général
Orthodox à la tête de ce qu’il reste des troupes ottomanes à l’Est avec pour consigne de retarder
les troupes Perses. Dans le même temps, Abdulrahman Lala le général aux 30 victoires est dépêché
en Albanie pour lever une armée capable de défaire rapidement les rebelles pendant que le Sultan
lui-même parcours l’ouest de l’Anatolie pour lever une nouvelle Armée.
La guerre bascule à nouveau, Abdulrahman Lala écrase les rebelles Albanais et reporte ses
troupes en Crimée pour stopper l’avancée persane. Le Sultan lève 7000 cavaliers et anéantit les
troupes Persanes en Anatolie de l’Ouest, son sens de la manœuvre et de la logistique lui permettra
d’empecher toute fuite des Perses qui devront se résoudre à mourir loin de leur pays. Pendant ce
temps à l’Est Mehmet Serdar le jeune livre bataille sur bataille repoussant à chaque fois les Perses
et les empêchant d’avancer en Anatolie.
Mais ils insistent !
Alors que le Sultan regroupe ses forces pour aller reprendre l’Arménie aux mains Persannes, l’ak
Koyunlu entre à nouveau dans la guerre. Ses traîtres sans honneur croient pouvoir retrouver leur
honneur face à un Ottoman blessé.
On dit que Mustafa n’eu qu’un sourir pour réponse à la déclaration de l’ak Koyunlu, il dirigea
immédiatement toutes les forces Turques sur la tribu et en moins d’une année réussit à vaincre
l’ancienne tribu à l’appétit féroce et à la mettre hors d’état de nuire pour un moment.
La Perse fut à son tour enfoncée par les braves Ottomans, qui atteignirent la capitale de l’Empire
exsangue. 3 Provinces persannes fut arrachés et la Paix signée alors que les sabres s’aiguisaient à
nouveau dans les cités Perse.
Une tribu fort agaçante
La paix fut comme à l’accoutumée courte pour l’Empire de Mustafa, 3ans à peine, en 1490 l’ak
Koyunlu déclara sa dernière guerre à l’Ottoman suivi par la Perse. Une fois encore la rage de
l’ak Koyunlu ne suffit pas a emporter la victoire, Mustafa pu contenir les Perses le temps de
vassaliser la tribu puis accepta de rendre 2 provinces au Perse pour éviter une nouvelle longue et
dure guerre dans le Caucase.
La seconde Guerre Contre la Crimée
Une fois l’affaire Persanne terminée, le Valeureux décida de se retourner au Nord. La guerre contre
la Perse avait montrer combien le Pays des tartars était vulnérable et combien il fallait de toute
urgence sécuriser ces territoires.
Il profita donc des revendications territoriales sur la Crimée pour abattre le cimeterre acéré des
Ottomans sur la Crimée et ses Alliés. Les 3 armées principales du Turc s’enfoncèrent comme dans
du beurre durant les 3 premiers mois de guerre mettant à bas les fortifications de la Crimée et
mettant en déroute les armées Casaques dans les Steppes de Crimée.
Une grande victoire semblait s’annoncer !!
Diplomatie du royaume de Castille :
À La France : vous nous accusez à grand tort, de vouloir la guerre avec votre grand royaume. Ainsi, vous souhaiteriez que notre alliance avec la Bourgogne prenne fin. Mais comprenez bien ceci, la sécurité de notre royaume qui a été mis à mal lors de la dernière guerre, où vous avez suffisamment saigné nos campagnes, ne dépend pas du royaume de France mais de la seule volonté du roi de Castille. Ainsi, la Bourgogne et notre allié et le restera tant que la France n'aura pas adopté d'attitude plus conciliable.
J'en veux pour preuve l'exemple californien : vous avez en effet envoyé des colons dans cette zone, sans en parler à personne, sans un mot à Madrid, alors que vous connaissez bien les tensions coloniales entre nos deux pays.
Au lieu d'ouvrir des négociations, vous avez décidé unilatéralement de coloniser cette zone malgré sa proximité évidente avec nos riches mines d'or du Mexique. Ce n'est donc pas nous qui provoquons mais vous.
Nous ne sommes pas sans savoir que vous lorgnez depuis longtemps sur les terres bourguignonnes, vous essayez ainsi d'attirer vers vous notre allié frisois.
Nous accuser par la suite de goinfreries, ne peut que faire rire l'Europe entière.
À Venise : nous nous félicitons de votre médiation concernant l'affaire des Pyrénées. Vous avez pu constater que le royaume de Castille tenait sa parole : le royaume de Naples n'a en effet pas été touché.
Nous vous soutiendrons dans l'unification de l'Italie, de toute l'Italie.
À l'Autriche : sachez que nous sommes désolés de la guerre qui vous déchire actuellement avec la Bourgogne. Bien que cette dernière soit allié nous condamnons ses actions militaires à votre encontre. Ainsi nous ne verrions pas d'inconvénient à ce que vous préleviez un tribut pour vous dédommager. À la condition bien évidente qui ne soit pas exorbitant pour notre allié.
Reponse a la missive Autrichienne:
Votre réponse a été des plus desobligeante, nous vous proposons un accord qui n'a rien de très lourd pour vous, comme nous ne demandons aucun territoire qui n'est votre, et vous nous demandez de quitter ce que nous avons conquit de haute lutte! Nous voulions la paix entre nos deux royaume mais vu votre totale dédain a notre égard nous sommes obliger de vous compter parmis nos ennemies! Si vous continuez sur cette voie, nous serons moins enclain a réduire nos prétentions territorial en saxe...
Missives diplomatiques de l’empereur
A la France et à la Castille
Grand roys, soyez sans crainte : la Bourgogne ne sera pas démembrée. Nous savons vos prétentions sur votre vassal pour l’un et sur votre allié pour l’autre. Si Dieu nous prête victoire, nous nous contenterons d’un tribut modeste.
A la France, en particulier
Désolé de n’avoir pas été assez précis sur les terres Walonnes. Libre à vous et au souverain Frison d’en disposer comme bon vous le jugerez tous les deux. Nous n’interférons pas.
A Frise
Libre à vous de nous compter parmi vos ennemis. L’empereur est le garant de l’intégrité du Saint-empire. Nous n’aurons rien à redire concernant tout rapprochement diplomatique entre états du SERG. En revanche, toute goinfrerie militaire sera toujours sévèrement condamnée.
lemarseillais
23/07/2007, 17h35
Message diplomatique de Louis XI
Au rêveur de Castille : Si "Attitude conciliable" signifie se plier à vos volontés, alors nous ne serons jamais conciliant avec vous. Par contre, si l'on se base sur le sens commun, la France me semble avoir fait suffisament preuve de conciliation à votre égard. Cela fait grosso modo 10 ans que notre guerre est finie et vous n'avez toujours pas achevé de payer le tribut de guerre. 10 ans pour verser une partie de 150 ducats nous nous trouvons extrémement conciliant sur le coup. Nous avons accepté de transmettre les Pyrénées à Venise. vous croyez sincérement une seule seconde que nous ne nous doutions pas de ce qu'aller devenir ces terres ? En acceptant ce marché, nous acceptions indirectement de négocier avec vous pour vous laisser les Pyrénées. Encore une fois, je nous trouve très conciliant puisque dans le même temps vous vous alliez avec la Bourgogne et la Frise (tout le monde comprendra que ces alliances ne sont pas dirigées contre l'Infidèle par ex).
Enfin, concernant votre remarque sur la colonisation que nous avons entrepris en amérique de l'ouest. Nous sommes sincérement navré. Nous n'avions pas reçu la missive nous informant que dorénavant nous devions demander l'autorisation de la Castille pour coloniser un monde vierge. Et comme vous ne nous aviez pas montré l'exemple en ne nous demandant jamais l'autorisation de coloniser en amérique centrale ou du nord ou encore dans les Antilles, nous n'avons pu le deviner.
Je vous souhaite un prompt rétablissement cher cousin et vous invite à reprendre contact avec moi et à me faire perdre mon temps lorsque vous aurez des choses un peu plus réfléchies à m'annoncer. Sachez, à titre d'exemple, qu'une déclaration du genre "la Castille considère la France comme son ennemi et ne désire pas s'entendre avec elle" aurait été perçu comme une réponse diplomatique. Le truc que vous m'avez envoyé s'approche plus d'une histoire qui tente d'être drôle.
Message diplomatique a l'adresse du souverain de Frise.
Apparement vous avez completement oublié l'existence de la Pologne, nous garantissons l'integrité de la frontière est de l'empire, et notre absence ne nous a pas permis de réagir pleinement mais sachez que nous désaprouvons vos visées expansionniste.
La principauté de Lubeck est vassal de la Pologne, et le Brandebourg anciens alliés et amis du roi s'est fait dépecer par vos molosses. Tout celà en notre absence.
La Frise peut trés bien s'étendre vers la Hollande comme l'a souligner l'empereur, mais toute extension a l'est rencontrera la résistance de la Pologne.
Reponse au royaume de Pologne:
Nous pouvons abandonner nos visés sur le brandebourg, mais lubeck ne fait pas partie de vos vassaux, nous l'avons libéré de son statut de vasal du danemark, je ne vois pas en quoi cette province est de votre ressort, nous ne voulons que valider nos acquis, nous ne nourrisons aucune envie sur les territoires de l'est de l'empire, a par celle que nous avons réalisé jusqu'a présent, nous savons que vous nourrisez des pretentions envers la bohème, nous serions heureux de vous aidez, si vous nous garantisez votre appuie dans nos pretentions envers le royaume de Hesse.
Réponse de l'empereur
Non content d'oublier la Pologne, voila que le Frison oublie que la Hesse est en guerre avec l'empereur, et que l'empereur est fermement décidé à mettre la Hesse au pas.
Le Frison aurait-il d'autres revendications, qui sont déjà la préoccupation d'autres nations ?
Par exemple, l'Ecosse en conflit avec l'angleterre ? Ou la crimée, en conflit avec l'Empire ottoman? Ou peut-être les Ming, qui menancent la Russie ?
Si ce monarque pouvait cesser d'avancer ses pions avec ses gros sabots, je crois que la diplomatie européenne y gagnerait en qualité...
Reponse a l'Autriche:
Je voulais établir de bonne relation avec vous, mais vous m'avez envoyer un message négatif en ne me reconnaisant pas mes droits sur les territoires allemands conquis, j'ai exprimé mes demandes, vous les avez refusé, je suis pret à la négociation avec tout mes voisins sur les ères d'influence, vous non, vous avez plus que glacé nos relations, ceci est plus que malheureux pour le bonheur de nos peuples.
réponse de l'empereur
Vous ne nous parlez que de conquêtes, que de revendications territoriales, que de valorisation d'acquis militaires.
L'empereur continuera à vous parler de "garantie de l'intégrité et de diversité de l'empire".
Nous répétons donc :
Des rapprochements intra-Serg sont possibles, par la voie diplomatique. L'empereur ne s'opposera pas à la vonlonté des peuples de se rapprocher.
En revanche tout usage de la force dans le SERG reste assimilé à la volonté mégalomane d'un seul homme, et est donc condamné sévèrement par l'Empereur.
Tentative de conciliation:
A l'autriche:
Je n'est jamais parlé que ères d'influence rimé avec annexion, Hesse était notre allié avant qu'il ne vous déclare la guerre lachement, nous reclamons le privilège de chatier ce missérable en le vassalisant à notre courronne, prenez le Wurtzbourg en contrepartie. Pour Cologne et Trève que nous reclamons aussi dans notre ères d'influence, nous les libérons en tant que vasaux de l'emprise bourguignonne, nous demandons en contre partie la reconnaissance des terrtoires sous notre emprise, et nous engageons si cela est fait a ne pas avoir de vu territorial sur des territoire du saint empire germanique.
A la pologne:
Nous ne nourrisons aucune envie vers l'est, soyez en convaincue, mais Lubeck que vous declarez comme avoir été votre vasal, ne l'a point été a notre connaissance, nous l'avons libéré du joue des danois, lors de la guerre que nous avons eu contre eux, nous serions pret a ceder Rupin et a reconnaitre le Brandebourg comme votre, si vous abandonner toute vu sur Lubeck.
A la Suède:
Les territoires conquit aux danemarks ne nous sont d'aucune utilité, nous serions heureux de vous les laissez contre quelques menus réparations pour le cout humain de leur conquete, qui c'est deroulé en reponse aux multiples guerres d'agressions dont ils ont été les instigateur contre vous.
Réponse de l'Empereur
Nous acceuillons avec bienveillance votre tentative de conciliation.
Concernant la Hesse, hélas c'est trop tard. Le ducaillon nous a vilement attaqué dans le dos, nos soldats l'ont combattu et le combattent encore. A présent, le ducaillon a un genou à terre.
L'empereur, qui a fourni tous les efforts, chatiera lui-même le fourbe. Quoi de plus normal ?
Concenant Cologne et Trèves, princes-électeurs historiques, votre proposition est la bienvenue. Nous sommes mêmes disposés à vous aider dans l'entreprise de libération des archevéchés, à condition que ce ne soit pas à des fins d'annexion, biensur.
En revanche, ceci reste une pomme de discorde :
.....en ne me reconnaisant pas mes droits sur les territoires allemands conquis, ......
Il est toujours hors de question de reconnaître des conquêtes militaires dans le SERG.
KARL I
Reponse a l'empereur:
Nous acceptons votre position, sur le royaume de Hesse, nous pourrons concentir a une libération des terrtiroires germanique concquit, sous la forme de vassaux après la prise des territoires des pays bas.
Nous respecterons notre parole soyez en certain.
Pedrolane
24/07/2007, 14h38
Venise 1483-1492
http://img363.imageshack.us/img363/4570/eu33ah4.png
Situation
Après des décénies de guerres et de luttes pour la survie, Venise aspirait maintenant à la Paix, en effet trop souvent le peuple fut le premier à subir les conséquences de la stupidité des Roitellets Italiens avides et cupides.
C'est ainsi que Venise ne fut aucune conquête territoriale durant cette décénie, si ce n'est Naples qui revint à Venise après un vote, autorisé par les Etats Pontificaux, de la population Napolitaine qui demande à se rallier à Venise.
Durant cette période Venise arriva auss grace à sa finne diplomatie à Régler le problème des pyrénées entre Francais et Espagnols, nous éspèrions que cela pourrait donner un nouveau départ aux relations entre la France et l'Espagne, mais apparement cela s'annonc eplus ardu quue prévu.
Après que la France l'ai demandé, Venise accepta de demandé à la plèbe du Comtat Venassin à quel pays elle souhaitait etre rattachée (France ou Venise), la plèbe choisit la France et Venise s'inclina donc en cèdant à la France le comtat, la France accepta tout de meme d'indemniser Venise pour la perte des ateliers de tissages qui se situent dans cette région.
Commerce, économie et armée.
Le Grand Doge des Doges, Pedrolane IER le Geux, décida en accord avec ces ministres qu'il fallaitfaire revenir Venise au devant de la scène commerciale internationale, un grand plan fut alors mis en place pour favorisé le commerce et le centre de commerce se situant à Venise, fut à nouveau plein de marchands Venitien.
Dans le meme temps, la situation économique inquiétait le Congrès, qui dut prendre des mesures drastiques afin de freiner l'inflation galopante et limités les prets.
D'un point de vue militaire, Venise n'ayant pas de volonté expantioniste décida d'investir de greosses sommes dans la formation d'une flotte digne de ce nom et ce afin de protéger nos cotes des pirates. Un grand plan de Construction de Vaisseau lourd fut donc lancé et est actuellment encore en cours.
Diplomatie
Autriche : Comme prévu, Sienne fut relachée, en ce qui concerne Modène par contre, nous ne pouvons satisfaire à la demande, car la cupidité de l'ex Roi déchu dépasse tout entendement, il refuse d'accepter la ville de modène seulement, il réclamme en plus 2 autres territoires, que nous ne pouvons lui céder, tout d'abor dpour le principe et ensutie pour des raisons économiques (-30 pr cent de revenus sur provinces du sud,car pays coupé en deux plus de liaisons par la mer).
Castille : Nous vous remercions de votre soutien et retenons que vous etes le seul pays à nous reconaitre , nous éspèrons que d'autres Pays maintenant, vous suivent et garantissent tout au moin nos Frontières actuelles et les reconaissent.
Frise : Nous sommes heureux que vous ayez trouver un accord avec l'Autriche et vous soutenons dans votre plan d'influence.
France : Nous sommes heureux que nos ambassadeurs s'entendent à ce point ( trop d 'ailleur , des rumeurs circulent .... sur leur possible ... Hum "déviance"), le seul désaccord entre nos Nations reste bien entendu la savoie, mais nous avons bon espoir d'arriver a un accord dans les 10 prochaines années avec vous et éspèrons que vous examinerez la situation avec toute la lucidité et la clairvoyance nécessaire .
Au monde : Venise annonce son ambiton de neutralité et son ambition de médiateur internationale , après sa magnifique prestation dans les échanges de territoires entre France et Espagne. Nous demandons aussi à toutes les nations de nous reconnaitre dans nos frontières acutelles.
Portugal 1483-1492
Quand le jeune Alfonso VII ( 3/7/6) monte sur le trône en décembre 1483, se termine avec lui la fin d’un cycle.
Outre le fait qu’il rend définitivement toute tentative de politique colonialiste audacieuse impossible, s’ouvre avec lui une période de troubles profonds dans le pays.
Après 40 années glorieuses, où le Portugal, devenu phare de l’Europe, s’enrichit pacifiquement en découvrant bien avant les autres nombre des terres inconnues qui parsèment le nouveau monde, l’élan s’est brisé.
Il y eut d’abord l’attaque française contre Aragon en 75, qui alerta le roi Alfonso, mais c’est la facilité avec laquelle les armées de Louis XI et ses alliés purent conquérir la Castille, qui inquiéta profondément le peuple lusitanien. Nous étions sans défense ! A la merci de n’importe quel prédateur, qui en voudrait à nos biens, acquis patiemment par un travail sans relâche depuis près de 30 ans. Ce fut le premier coup.
Le deuxième coup porté au royaume, est une conséquence directe de la guerre : la Peste à Lisbonne.
Elle fut très virulente et même nos précieux conseillers à la cour en furent victimes.
Nombreux ceux qui prirent peur, et de nombreux gens de la cour partirent au nouveau Portugal, ou au Brésil comme on l’appelle maintenant, pour y trouver refuge et échapper aux envahisseurs qui s’amassaient toujours aux frontières du nord.
Malheureusement ce sont aussi des hommes de lettre, érudits, hommes de loi, qui partirent ou moururent de la maladie, laissant le royaume dans une vague atmosphère de superstition stupide, avec le sentiment d’avoir subi le châtiment de Dieu, mais que surtout ce n’était que le début.
Idée idiote, mais qui trouva son écho ultime le 7 mai 1486 : L’Aragon, attaqué de tous côtés, par Venise, la France ou encore la Castille ; dépecé jusqu'à ce qu’il ne lui reste que la province de Barcelone, est annexé par Muhammad Ier, grand Calife du Maroc !
Une peur indicible s’empara du pays, et dans toutes les régions du Portugal on appelait à la croisade.
Le peuple rendu fragile par la guerre précédente, et surtout par l’idée qu’il pouvait perdre ce qu’il avait mis tant de temps à gagner, trouva dans cet évènement les prémisses d’une nouvelle invasion arabe.
La machine était lancée, et cette peur se transformait lentement en haine.
Le clergé en profita pour étendre son influence, et il fut bientôt proclamé que le Portugal serait le glaive flamboyant de la Foi du Christ partout dans le monde, et que bientôt la colère de Dieu s’abattrait sur Muhammad Ier et tout son royaume, et qu’il regretterait amèrement l’injure faite aux Royaumes Catholiques d’Europe, et que d’autres suivraient.
Le Roi reçu la bénédiction du Pape Clemens VII, qui envoya également de nombreux prêtres pour nous aider dans cette noble tâche, et également pour faire taire d’éventuels opposants, revenus du Brésil.
Ainsi le Portugal rentra dans un nouveau cycle…
http://img255.imageshack.us/img255/7566/eu35mg2.jpg (http://imageshack.us/)
16 mille hommes tiennent le détroit de Gibraltar
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L'infâmie de Muhammad Ier roi des fous
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Chronique de Frise : 1492-1499
Les premiers événements marquant de la période fut la seconde guerre contre le Danemark, celle-ci, fut des plus brève vu le rapport de force entre les partis, le Oldenbourg et Lubeck rejoignirent le royaume, en réponse au demande polonaise sur la région, une habile diplomatie fut mise en place pour arriver à un compromis, l’empire accepta la sédation des territoires pris aux Brandebourg contre une reconnaissance mutuel des frontières par les deux parties.
Le fait majeur de cette période fut le retournement diplomatique qui se passa à la cour, avec l’arrivé sur le trône de Johan Willem I en 1495, le 27 avril précisément, ce roi engagea les pourparlers d’alliance avec la France pour s’assurer un soutient stable a l’une de ses frontières, celle-ci allez à l’encontre des accords avec la Castille, qui renouvelait des demandes de soutiens contre la France, celle-ci furent repousser à plus tard, ce qui excéda, l’Ibère qui menaça le petit royaume de la mer du Nord, ceci finit de faire passer le royaume dans le clan français.
La guerre qui s’en suivit contre les forces coalisées de la Castille et de la bourgogne fut des plus âpres, mais l’honneur du royaume dicté une ligne inflexible de soutient à la France auxquelles Willem I avait promis son aide, en 1499, l’armé était en lambeau mais continuer son combat après la victoire sur la Bourgogne, ¼ de l’armé était encore là, le sud de la France subissant l’occupation castillane, la victoire était des plus improbable…
http://img443.imageshack.us/img443/9893/ee2wl9.png (http://imageshack.us)
Situation du royaume :
La situation du royaume est mitigé, le royaume connaît de grave problème en matière économique avec une inflation galopante, atteignant presque les 20 pourcent, seul la fin de la conquête des Pays Bas permettrait de trouver la paix, et de permettre le passage du royaume de l’épée, à la charue.
http://img443.imageshack.us/img443/2732/ee21tb2.png (http://imageshack.us)
Missive diplomatique :
A la Castille: nous sommes près à signer la paix mais nous attendons que la France le soit aussi, nous sommes en accord avec votre proposition que la France cède la Navarre auxquelles vos prétentions sont justifiées.
A l’Autriche : Nous ne comprenons pas votre action contre la Lorraine dont la population qui Bourguignonne et non attaché à l’Allemagne mais à la France, que vous apporte cette guerre ? Quelle prétention nourrissez-vous sur les terres de Bourgogne et de Lorraine ?
A la Pologne : Nous nous réjouissons de l’entente qui c’est instauré entre nos deux peuples, nous espérons qu’une coopération prolifique pourra être établie entre nos deux peuples.
A Venise : Nous regardons avec plaisir votre combat contre les infidèles sur les terres du Maghreb, nous espérons que votre expédition sera un succès, et que vous arriverez à amener à la vraie foi, ces pauvres égarés, que Dieu soit avec vous dans cette pieuse entreprise!
Nous renouvelons notre garantie de soutien inflexible a la république de Venise qui a su amener la Paix en Italie en l’unifiant.
A la France : Nous nous réjouissons du rapprochement entre nos deux peuples, l’épreuve que nous endurons ensemble aujourd’hui, cèle dans le sang la fraternité qui unit aujourd’hui nos deux royaumes. Le royaume de Frise de Frise vous fait part de l’abandon de ses prétentions sur l’Hainaut, qui est pour nous l’une de vos provinces légitime a partir ce jour.
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Pedrolane
31/07/2007, 14h54
Venise 1492-1499
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Venise durant cette courte période, continua a prospérer. C'est ainsi que peu a peu toutes les cités italiennes, devinrent des provinces dites "nationales" et que par conséquent ces revenus furent considérablement accrus, Venise continua son entreprise de pacification italienne, ainsi la paix règna en Italie et ce grace à l'unification amenée par Venise.
Vu la prospérité de la nation Venitienne, de nombreux conseillers vinrent louer leurs services au sénat Venitien. Mais cette prospérité était aussi due à la formidable flotte que Venise avait réussi à batir afin de protéger ces cotes et ces bateaux marchands des pirates, la flotte venitienne comptait en effet à ce jour 32 caraque, une vingtaine de galère et 12 Cogue, ce qui en fit une des flottes les plus puissantes du monde connu et l'investissement fut encore accru en matière navale, de plus de Brillants amiraux dirigeait la flottte .
Mais une tache vint salir ce magnifique tableau, en effet la tunisie et la bourguogne ne remboursèrent pas leurs prets à Venise qui avait accepter de les aider gentillement, La Castille prit l'engagement de payer pour son allié bourguignon, mais la tunisie refusa encore et toujours de payer.
Venise déclara donc la guerre à la Tunisie, qui fut rapidement Vassalisé, l'algérie son allié, la suivi dans cette folle guerre et est maintenant quasiment totalement sous le controle venitien, Venise n'exigera que quelques ducats et la libération de Tripoli.
Message diplomatiques :
A Frise, nous vous remercions pour votre soutient et nous nous portons également garant de votre indépendance et vous soutenons dans votre plan de répartition des terres du nord en accord avec voscollègues frontaliers.
A la France, nous nous réjouissons que vous vous soyer rétabli, la France n'aurait put etre dirigé par les nobles seuls, cela aurait été une cat&astrophe, nous vous fesons savoir que nous aimerions entammer des pourparler plus que sérieux au sujet de la Savoie, nous pensons qu'il devient maintenant temps d'en discuter sérieusement et d'arriver a un accord, meme si cet accord prévoit des modalité spour dans 15-20 ans par exemple
A l'Autriche, nous vous prions de jetter un oeil vers l'Est et de vous rendre compte que la Hongrie n'est plus à prendre à la légère, nous vous invitons à prendre contact avec notre ambassadeur afin d'établir une stratégie pour contrer cette puissante montante.
A l'Ottoman, nous vous prions à vous de jetter un oeil à l'Ouest et de prendre également contact avec notre ambassadeur si vous etes intéressé pour contrer cette puissance qu'est la Hongrie.
A la Castille , vous nous devez encorte 35 ducats du remboursement de votre ami Bourguignon.
http://web.genealogie.free.fr/images/Les_dynasties/Castille.gif
chroniques du royaume de Castille : 1492 – 1499
(désolé j’avais pris des tonnes de screens ingame mais à priori ça a pas marché donc pas de screens sur la campagne de France L )
la guerre Franco castillane :
Le roi Enrique IV, monté sur le trône le 21 juillet 1486, ne pouvait tolérer plus longtemps la politique française d’intimidation. Deux points de discorde majeure justifiaient une action militaire contre ce royaume :
d’une part,la province de Navarre, qui revenait en toute légitimité royaume de Castille de l’aveu même des Français.
D’autre part la colonisation de la Californie par les colons français et notamment d’une riche mine d’or, colonisation de provocation puisqu’au sud le Mexique était à nous comme l’Alaska au nord.
Le plan était simple, nous devions attaquer au sud de la France et remonter jusqu’à la Loire, prendre les colonies d’Amérique du royaume de France, capturer la Californie, tandis que notre allié frisois devait mettre le siège devant Paris.
L’alliance avec la principauté de Frise avait été négociée quelques année auparavant, le royaume de Castille promettant à cette dernière les riches terres du duc de Bourgogne, paria de l’Europe, avec qui nous entretenions une alliance militaire dans notre seul intérêt.
Néanmoins, deux ans avant la déclaration de guerre, notre allié frisois nous trahi, des diplomates français étant parvenus à retourner notre allié, en lui proposant un partage de la Bourgogne rapide.
À la cour du roi, on se demanda dès lors, si une action militaire était réellement envisageable sans allié solide au nord. En effet nous n’étions pas sans savoir que la France, le pays le plus peuplé d’Europe, avait un potentiel de recrutement extraordinaire, et qu’une guerre d’usure contre ce pays, si nous étions seuls à combattre, ne pouvait être envisagé sans des difficultés certaines.
Mais notre roi n’eut pas la même analyse, pour lui, il était clair que la France cherchait la guerre avec l’Espagne, commençait déjà à retourner chacun de nos alliés, envoyait des diplomates à Madrid pour des négociations stériles, afin de gagner du temps pour sa préparation militaire.
En ce temps, nous nous préparions activement à la guerre qui était inévitable. Plus de 70 000 hommes avaient déjà été recrutés.
Dans les colonies, 10 000 hommes soutenus par 10 000 alliés indiens devaient s’emparer de la côte est de l’Amérique du Nord, et 3000 cavaliers devaient aller capturer la Californie. Pendant ce temps la flotte royale devait mettre le blocus devant la côte est pour empêcher toute évacuation des troupes françaises ainsi que tout renfort.
En Espagne, quatre corps de 10 000 cavaliers et 15 000 hommes à pied devaient remonter le plus rapidement possible vers Paris, tout en écrasant les armées françaises présentes, afin d’empêcher que le roi de France ne concentra ses troupes au nord en masse.
En 1496, la guerre fut déclarée après qu’un ultimatum eut été lancé au royaume de France réclamant la Californie et la Navarre.
La prise des colonies fut extrêmement facile, du fait de la quasi-absence de troupes françaises dans ces zones. Notre flotte coula néanmoins une demi-douzaine de navires français, et nos troupes coloniales embarquèrent immédiatement pour débarquer en France.
La neutralité de l’Angleterre avait été précédemment négociée.
http://img238.imageshack.us/img238/6779/californieze2.jpg
http://img238.imageshack.us/img238/2479/coteestyz4.jpg
Pendant ce temps, nos troupes traversaient les Pyrénées assez facilement profitant de la belle saison. On dénombrait quelque 30 000 Français qui barraient la route vers le nord. Nos troupes de chocs furent envoyées et les Français furent battus.
Commença alors pour l’armée française en fuite un véritable calvaire à travers la campagne. Ils furent poursuivis par nos armées pendant plus de six mois, et plus des trois quarts d’entre eux y périrent.
Pendant ce temps notre piétaille mettait le siège devant de nombreuses places françaises, et nous utilisâmes nos nombreux espions pour corrompre les défenseurs de ces villes, qui semblaient fort peu loyaux à Paris.
Pendant ce temps, en Bourgogne, la situation était catastrophique : Frise et France écrasèrent facilement les maigres troupes du duc de Bourgogne, précédemment fatiguées par la guerre avec l’Autriche. les places fortes bourguignonnes tombèrent les unes après les autres.
Profitant de ce succès dans les Flandres, les Français massèrent leurs troupes au nord de la Loire, comme nous l’avions craint, et descendirent vers nous. Heureusement, nous avions appris de la précédente guerre avec la France, de l’importance des manœuvres de cavalerie et des communications pour arriver en surnombre à n’importe quelle bataille engagée par l’ennemi. Ainsi, Frise et France furent déconfits à de nombreuses reprises, notamment Frise perdu 10 000 hommes dans la seule bataille de Limoges.
Pendant ce temps, nos hommes remportèrent des succès magnifiques dans leur siège, et tout le quart sud-ouest ainsi que sud-est de la France tombèrent entre nos mains. Seule la ville de Toulouse résiste encore aux assauts de troupes.
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Actuellement c’est le Roi Louis XII de France en personne, qui descend le Rhône pour déloger nos troupes à Lyon et au Dauphiné, pendant que de nombreux français prennent les armes au nord de la Loire.
Cependant, le roi de France est un homme raisonnable, dans sa descente du Rhône il prit la décision d’engager des pourparlers avec nos diplomates. Il reconnaissait l’éclatante victoire du royaume de Castille, tout en affirmant que ses capacités de recrutement de troupes étaient encore considérables. En Castille, recruter des hommes hors mercenaires, était devenu très difficile. Après d’âpres négociations, on signa la paix de Toulouse qui consistait en quatre points majeurs :
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La paix de Toulouse du 21 août à 1499
la Navarre cédée à la Castille.
La Californie cédée à la Castille.
Le Royaume de Castille n’interviendra pas dans les futures éventuelles conquêtes du royaume de France en Bourgogne.
Les deux parties s’engagent mutuellement à négocier dans l’avenir un accord sur le partage des colonies en Amérique du Nord.
Enfin, le royaume de Castille s’engageait à verser un léger dédommagement à la France pour sa perte de la Californie.
Un léger accord particulier de dédommagement en notre faveur a en outre été signé avec Frise.
Diplomatie
A la France : nous nous félicitons de la paix qui nous l’espérons, régnera pendant des siècles entre nos deux royaumes, maintenant que les seuls points de discorde n’existent plus. Maintenant que nous sommes redevenus amis, peut-être pourrions-nous discuter ensemble afin de faire collaborer nos deux diplomaties en Europe et dans le reste du monde. Notamment sur la question hongroise.
A Venise : encore une fois nous réaffirmons notre reconnaissance de l’Italie pleine et entière, sous l’autorité de Venise. Néanmoins, vos menaces à peine voilées envers le royaume de Hongrie, et vos appels du pied avec l’infidèle ottoman, ne peuvent pas être toléré. Nous ne reconnaissons aucune légitimité à des prises territoriales sur le territoire du royaume de Hongrie par aucunes puissances quelles qu’elles soient si ce n’est l’Autriche.
Ainsi les ducats que nous vous devons ne seront versé qu'après clarification de votre position.
A l’empire Ottoman : Que les choses soient bien claires une agression contre le royaume de Hongrie entraîneraient immédiatement la mobilisation de notre flotte et de nos troupes, suivi d’une déclaration de guerre à votre encontre. Nous appelons tous les pays concernés à savoir la France, l’Autriche, la Pologne et Venise à réfléchir à cette question. La barrière hongroise est le meilleur de nos atouts contre l’invasion musulmane.
A la Pologne : nous sommes heureux du rapprochement entre nos deux pays, et nous sommes certains que cette collaboration portera ses fruits très bientôt. A ce propos, une proposition très intéressante vous sera probablement faite dès la fin du mois d’août 1499.
À l’Angleterre : nous vous remercions pour votre neutralité, et nous savons compter sur vous comme un homme de parole.
Au Portugal : Vous êtes également un homme de parole puisque vous avez honoré notre accord en Amérique su Sud. Nous vous pressons néanmoins de développer plus avant votre flotte car votre fragile puissance financière attirera inéluctablement des appétits féroces.
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lemarseillais
31/07/2007, 19h52
Chronique de France 1483 - 1492
Ces années formèrent la première période de paix de plus de une ou deux années du règne de Louis XI. Notre bon roi en profita pour mener une politique intense de développement économique et coloniale. Fort des préceptes du philosophe-guerrier grec, Sebastonikos de Phocée, il amorça................Pardon ?!!! Vous ne connaissez pas Sebastonikos de Phocée ???!!!???? NONNNNNN !!! Vous me chariez ? Bon je ne peux poursuivre l'histoire de France sans vous parlez de ce grand grec.
C'est à Troie que le nom de ce grec entra dans l'Histoire pour ne plus jamais l'en quitter (c'est pourquoi je m'étonne que vous ne connaissiez pas). Nous sommes alors aux Temps obscurs de l'Antiquité, entre 1200 et 600 av J.C. Le monde civilisé se constitue à l'Ouest des royautées grecques qu'un roi cruel et fourbe, Dantomemnon, a fédéré sous la force de son armée. A l'Est, sur le littoral de l'Asie mineure, un chapelet de puissantes cités, dont, la première de toute et la plus proche des Dieux, Troie. Dantomemnon, suite à l'enlevement de la femme de son frère, s'est servi de se prétexte pour porter la guerre contre la puissante Troie aux murs inébranlables. Il fait alors appel à tous les rois de sa fédération et à leurs armées. Sebastonikos est le roi d'un peuple de guerrier, les Myrmidons. Voici son histoire à partir du moment où elle entra dans l'Histoire, c'est-à-dire aux portes de Troie.
A peine débarqué sur les plages proches de Troie, Sebastonikos s'emploie à couper l'approvisionnement de la ville. À la tête de ses nefs, il attaque et réduit ainsi onze cités d'Asie Mineure tributaires de Troie. C'est dans l'une de ces villes, lors de la dixième année de siège, qu'il reçoit pour part d'honneur, Briséis, tandis que Dantomemnon reçoit Chryséis lors du sac de Thébé. Peu après, une peste frappe le camp grec et Calchas, encouragé par Sbastonikos, révèle qu'Apollon a puni Dantomemnon pour avoir refusé à son prêtre, Chrysès, de lui rendre sa fille Chryséis. Obligé de céder, Dantomemnon furieux réclame une autre part d'honneur. Sébastonikos se récrie et Dantonmemnon, pour l'humilier, décide de prendre Briséis, sa captive. En colère, ce dernier se retire sous sa tente et jure sur le sceptre de Dantomemnon, don de Zeus, de ne pas retourner au combat. Il implore sa mère de demander à Zeus l'avantage aux Troyens, tant qu'il sera absent du champ de bataille. Zeus le lui accorde.
Privés de son appui, les Grecs essuient défaites sur défaites, et alors que les Grecs sont acculés et que les Troyens menacent de brûler leurs nefs, le vieux sage Nestor convainc Napoléanos, l'ami de Sébastonikos, de se substituer à lui. Napoléanos obtient l'autorisation de Dantomemnon de sauver les Grecs en se faisant passer pour Sébastonikos. Nul doute que fourberie conseille Dantomemnon alors, ce dernier caresse l'espoir que Napoléanos meurt à la bataille pour provoquer la vengeance de Sébastonikos contre les Troyens. La manœuvre réussit, Napoléanos est tué par Hector. Furieux et humilié, Sébastonikos décide de se venger, malgré les avertissements de sa mère : s'il affronte Hector, il mourra peu de temps après. Héphaistos lui forge de nouvelles armes, avec lesquelles il sort à la recherche d'Hector.
Revêtu de son armure divine, il s'engage à nouveau dans le combat et abat un grand nombre de Troyens sur son passage, tellement que les eaux du Scamandre sont souillées de cadavres. Il rencontre enfin Hector, le défie et le tue avec l'aide d'Athéna. Il traîne sa dépouille trois fois autour de la ville, avec un char habituellement conduit par Automédon et chaque jour autour du tombeau de Napoléanos. Sébastonikos fait pourtant preuve d'humanité en laissant le roi Priam venir lui réclamer le corps de son fils pour lui accorder des dignes funérailles. Il obéit ainsi à sa mère, envoyée par les dieux mécontents du traitement infligé à la dépouille du héros. Il organise ensuite les funérailles de son ami Napoléanos et ses jeux funéraires.
Mais les jours de Sébastonikos sont comptés, peu après avoir vaincu dans une mêlée, à lui tout seul, 700 troyens et sauvé de la débacle l'armée de Dantomemnon il meurt, au pied des murailles de Troie, le talon, son point faible, percé d'une flèche tirée par Pâris, guidé par Apollon, ou par Apollon lui-même. Malgré tous les efforts oratoires de Dantomemnon pour s'attribuer tous les faits d'armes glorieux de Sébastonikos, malgré le recour à l'intimidation et à la menace, il ne pu jamais étouffer la légende qui s'était forgée à Troie. Sébastonikos le philosophe est considéré par les Grecs à l'égal d'un demi-dieu, et vénéré dans des temples qui lui sont dédiés à Sparte et Massilia. Il a de nombreuses aventures et on lui prête de nombreux amours mais il demeura toujours célibataire à son plus grand dam.
PS : les années 1483 - 1492 ont été des plus chiantes avec construction d'améliorations provinciales et developpement des colonies. Il y eut bien l'épisode des discussions anglaises pour les colonies d'amérique du Nord mais la classe française empêche de répandre cela sur la place publique comme certain. C'est donc pour vous épargner un monologue chiant que je vous ai compté cette fabuleuse histoire.
lemarseillais
02/08/2007, 13h01
Le vrai récit de la guerre franco-castillane
(J'ai repris certaines images de l'aar de Comeon. J'avais pas fait de screens)
Le roi Louis XII, qui avait succédé à son père depuis peu, reçut comme cadeau d'avénement par le roi de Castille une guerre pour des prétextes falacieux. En effet, deux points de discorde existaient entre les deux royaumes :
d’une part, la province de Navarre, que notre grand roi feu Louis XI avait conquis était revendiqué de longue date par le roi de Castille
d’autre part, le roi de Castille revendiquait depuis peu (cad depuis 1486) la Californie comme sienne. Or il se trouvait que depuis des années nous colonisions cet espace.
Il faut dire que les relations entre les deux royaumes étaient exécrables depuis la victoire de l'alliance anglo-française contre la Castille quelques années plus tôt. Depuis sa défaite, le roi de Castille n'avait oeuvré que contre la France (ce qui nous amène d'ailleurs a pensé qu'il considère donc que la France fut la plus grande cause de sa défaite passée plutôt que l'Angleterre). Il prit contact avec de nombreux princes dont le grand Doge de Venise, le roi d'Angleterre, notre allié d'hier, le roi du Portugal, le duc de Frise et très certainement l'empereur lui-même. Cette intense diplomatie montra des succès rapides. Dans le plus grand secret, la Castille obtenait la neutralité de l'Angleterre pour le conflit à venir. Le duc de Frise se rapprochait encore plus de la Castille en nouant alliance avec lui. Le félon duc de Bourgogne, vassal du roi de France, renouvellait les folies de ses aieux en s'alliant avec un ennemi de la couronne.
La situation devenait difficile pour la France avec un front nord contre deux adversaires, un front sud contre la Castille et un front américain. D'autre part, l'Angleterre en affichant clairement sa neutralité, allait complètement à l'encontre de sa politique antérieure. En effet, lorsque vous combattez un roi qui aspire à la domination du monde, vous ne lui donnez pas carte blanche quelques années après contre le seul pays, avec vous, qui peut combattre cette hégémonie castillane. L'Angleterre n'avait pas manqué de faire savoir au roi de France qu'elle aspirait à une période de paix. Le roi de France n'avait rien demandé à l'Angleterre mais espérait que celle-ci userait du poids de sa parole au moins. Qu'aurait-il coûté à l'Angleterre de dire à la Castille qu'elle resterait neutre mais qu'elle ne tolérerait pas des gains coloniaux. Après tout, quand on fait la guerre à un roi parce qu'on le considére trop fort dans les colonies, ce n'est pas pour le laisser reprendre sous une autre forme, quelques années plus tard, ce que nous lui avions si durement enlevé. Mais tout ceci échappait visiblement à la cour anglaise. La situation était périlleuse. La Castille, seule, avait des moyens que nous n'avions pas. Mais que dire alors avec deux alliés stratégiquement idéalement placés.
Mais le roi de France n'était pas dupe et se doutait de ce qui se tramait dans son dos. Il pouvait aussi compter sur un certain savoir faire diplomatique et des ambassadeurs de talents. Progressivement il parvint à transformer cette situation périlleuse en situation difficile. D'abord, il obtient l'assurance de la neutralité impériale et vénitienne. Ce qui montre qu'il existe en ce monde des princes qui accordent plus de poids à la parole et aux rapports entre homme qu'à l'argent. Le plus franc succès diplomatique français fut sans conteste le ralliement du duc de Frise. Après une longue discussion, les arguments français et le comportement colérique et irrespectueux de la Castille surent convaincre le duc qu'il avait opté pour le mauvais camp. La France gagnait un allié de poids.
Pendant tout ce temps, le roi de France ne manqua pas d'entamer des négociations difficiles avec le roi de Castille. Notre roi acceptait sans difficulté de céder la province de Navarre dont les moeurs, après tout, était plus proches de ceux castillans que de ceux de langue d'oc. Malheureusement, le roi Castillan ne voulait pas se contenter de cela. Le vrai motif de son mécontentement était la Californie colonisée par la France. Il suffit de dire que les premiers mots du roi castillan furent "nous voulons la Navarre et la Californie" pour comprendre où se situerait le problème. La France demanda pourquoi la Castille voulait la Californie puisque rien ne justifiait une telle demande. Là, le fol nous annonça, avec une confiance dans ses dires que seul un fou peut avoir, que la Californie était une revendication légitime de la Castille. Nous avons insisté en demandant pourquoi cela serait légitime. La réponse étrange fut "parce que j'ai colonisé au mexique et en alaska donc ce qu'il y a entre les deux est légitimement à moi".
Notre bon roi comprit alors qu'en fait le roi de Castille ne cherchait que la guerre. Nous lui fîmes part du ridicule de son argumentaire, qu'une légitimité ne s'obtenait pas simplement parce qu'on le clamait. Nous avions beau lui expliquer, qu'en agissant comme lui, il nous suffirait de coloniser la Terre de feu pour ensuite revendiquer notre le Mexique sous prétexte que tout ce qui se trouve entre la Terre de feu et la Lousiane est légitimement notre, il ne comprit jamais. Ou plutôt, voulant la guerre, il ne voulut jamais comprendre.
Malheureusement notre roi commis une erreur. Il pensait que le roi de Castille travaillait sincérement à trouver une issue pacifique. En fait, celui-ci faisait perdre son temps à la France par tromperie tout en préparant une armée gigantesque. Notre roi, fort du code de l'honneur, ne menait aucune préparatifs de guerre alors que des négociations étaient ouvertes. Une fois prêt, le roi de Castille quitta la table des discussions et déclarait al guerre en claquant la porte. Nous n'étions pas prêt. La Castille alignait 70000 hommes, nous 45000 dont seulement 2000 en amérique. N'ayant pas le contrôle des mers, les colonies étaient déjà perdues avant même les 1er combats.
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Pendant ce temps, les troupes espagnoles traversèrent les Pyrénés et, apercevant une forte concentration de cavalerie française sur Toulouse, envoya 50000 hommes. Nos 35000 cavaliers en pleine réorganisation ne pouvaient tenir longtemps le combat et se résignèrent à retraiter. Les pertes étaient faibles. Mais, contre tout manquement au code de l'honneur, le roi de Castille poussa une partie de sa cavalerie à la poursuite de nos troupes à travers toute la France. En 6 mois, nous étions passé de 35000 à 8000 (à cause de l'usure). Ce fut la source de beaucoup de malheurs pour la France car dès lors nous ne pouvions plus opposer de résistance aux troupes espagnoles dans le sud. Il nous fallait reconstituer nos forces et cela allait prendre plus de 2 ans. Ce véritable coup du sort fut à l'origine du désastre méditérranéen.
Au Nord, dans le duché de Bourgogne, la situation était catastrophique : Frise et France écrasèrent facilement les maigres troupes du duc de Bourgogne, précédemment fatiguées par la guerre avec l’Autriche. Les places fortes bourguignonnes tombèrent les unes après les autres. La France avait 10000 hommes sous ses ordres qui guerroyaient contre le duc félon. Le plus gros de l'effort fut fourni par le duc de Frise qui, presque à lui seul, mis à genoux le duc de Bourgogne. La gloire lui en revient.
Profitant de ce succès au Nord, et devant l'attention trop longue de reconstitution des troupes, nous décidammes de payer des mercenaires pour retrouver une force pouvant gêner les espagnoles au sud à défaut de les chasser. Nous massèrent nos troupes au nord de la Loire, environ 10000 cavaliers furent ainsi recrutés. C'est à ce moment que nous nous rendimes compte que le roi de Castille avait retenu la leçon précédente et copié les techniques de guerre des commandants français. A savoir l’importance des manœuvres de cavalerie et des communications pour arriver en surnombre à n’importe quelle bataille engagée par l’ennemi. A cause de cela et des faibles moyens à notre disposition, et malgré l'aide de la Frise qui en avait fini avec la Bourgogne, nos troupes furent déconfits à de nombreuses reprises. Progressivement tout le quart sud-ouest ainsi que sud-est de la France tombèrent entre les mains castillanes.
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Notre bon roi prit lui même le commandement d'un fort détachement armée qui descendait le long du Rhône pour déloger les ennemis à Lyon et au Dauphiné. La situation redevenait enfin meilleure. Après une longue attente nos 35000 cavaliers ecrasés au début de la guerre avait reconsituté une part importante de leur force. Notre roi pouvait compter sur 25000 d'entre eux. Il en prit 15000 et en laissa 10000 pour soutenir la Frise au centre.
Cependant, le roi savait qu'il n'avait aucun moyen de récupérer la Cafifornie. La perte d ela Navarre ne l'affligeait guère car il était résolu, bien avant la guerre, à la cèder à son voisin. Mais la Californie ce n'est pas pareil. Il était essentiel de montrer au roi de Castille qu'il ne pouvait, sous des prétextes inventés, revendiquer comme sien ce que bon lui semble. A noter que l'Angleterre, qui pourrait aussi un jour subir ce genre de revendication, n'a même pas esquissé une condamnation officielle des propos castillan. Nous nous demandons si le roi anglais a conscience qu'il a donc reconnu implicetement le droit, au roi de Castille, de revendiquer des terres comme bon lui semble.
Pour une fois, et ne voulant surtout pas que la paix s'éternise, le roi de Castille offrit de ne rien réclamer d'autre que la Navarre tout en conservant la Californie contre la paix. Il était même disposé à abandonner son allié bourguignon vaincu. Belle démonstration de l'honneur et de la garantie qu'offre l'alliance castillane. Le roi de France savait sa position bien meilleure qu'au début de la guerre : il avait déjà perdu ses colonies, son point faible, et le front nord allait être achevé sous peu, ses forces étaient bientôt reconstituées et la contre-attaque aurait pu démarrer.
Fort de cela, il ouvrit des négociations avec le roi de Castille mais nullement avec le comportement d'un vaincu. Notre bon roi déclara accepter de cèder la Navarre, si la Castille abandonné définitivement la Bourgogne. Il rajouta que la Californie serait un point de discorde pour longtemps entre nos deux pays si une solution n'était pas trouvée et réclama un dédommagement financier pour son vol. Le roi de Castille céda. Les deux rois reportèrent a plus tard la négociation de zone coloniale avec reconnaissance de la souveraineté castillane sur la Californie.
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La situation économique française en pleinen guerre, avec une partie du royaume occupée, est très difficile.
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Chronique Frisienne : 1499-1515.
Lors de cette période, 5 fait marquand que je vais vous compter si bas, se sont produit, ceci marquent le tournant vers une nouvelle époque pour Frise.
La Bourgogne mise à genoux !
Le déclin de la Bourgogne commença il y a plus de 3 décennies en 1485 exactement, avec la guerre contre l’Autriche, et continua par la suite, le Duché de Bourgogne n’u jamais le temps de se reconstruire de celle-ci, l’arrivé de la guerre entre la France et l’Espagne emporta se qui restait de la puissance du royaume, et de son soutien international, la Castille, les forces coalisés Franco Frison écrasèrent une à une les armés et les places fortes du Duc, la guerre se solda par la perte de Lippe, de Cologne en Allemagne et de 4 provinces revenant de droit au Royaume de France.
Une seconde Guerre durant la même période avait déjà commencé celle-ci, opposant l’Autriche à la Lorraine, allié de la Bourgogne qui répondit à son appelle, on ne peut pas dire que la Bourgogne ne tenait pas ses engagements même si l’emmenait droit dans le mur, le Duc était-il devenu totalement fou, ou un esprit chevaleresque démesuré l’habitait-il ? La folie reste l’hypothèse la plus crédible.
Quelques années plus tard, vint la guerre qui mit définitivement la Bourgogne a genoux, les armés de Frise et de France après un long repos pour rétablir-leur forces après la Grande Guerre, s’élancèrent à travers les plaines du nord et de l’est pour mettre à bas le Duché, la stratégie mise en place était des plus ingénieuse, pendant que les forces Frisienne assiéger les places fortes de Bourgogne, les importante forces de cavalerie française poursuivait l’ennemie, Frise remporta lors du conflit, Brabant, Zélande et Trèves qui fut libéré, la France quant à elle vassalisa la Lorraine et finit de conquérir les territoires du nord qui lui revenait, celle la Bourgogne restant.
La troisième guerre que le Duc de Frise mena contre le duché félon, fut mené seul, finissant d’écraser ce qui rester du pouvoir, ducal, qui perdit les Flandres et le Breda.
La prochaine période verra la fin inévitable du duché, n’ayant plus que la Hollande et sa province mère comme seul territoire, même Utrecht se lance a l’attaque de sa dépouille !
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Une paix avec la Castille pour rétablir la neutralité des relations.
Après de longue négociation sur un tribut à verser pour la paix, Frise proposa la sécession des terres danoise dont il n’avait que faire, du fait de leurs mœurs différent du bon peuple germanique, la Castille s’empressa d’accepter cela, Frise gagna dans l’affaire la possibilité de ne pas payé et de se défaire de terres pauvres qui auraient créer un conflit avec le suède.
Conclusion, perte insignifiante pour nous, et gain pour le futur.
Une espérance de vie hallucinante sur le trône de Frise !
Depuis des générations, le trône du duché se caractérise par une forte mortalité de ses souverains, sur le trône, sur les 7 souverains qui se succédèrent depuis 1453, la moyenne de vie sur le trône avant Willem Frederick I, était de 6 ans, notre bon roi adoré en est à sa 16 émes année de règne, du jamais vu ! Le bas peuple commence à voir en lui par sa grandeur d’âmes et de ses réalisations, un saint ! Déjà quelques-uns un de nos archevêques sont allés demander sa béatification. Que son règne continue encore pour les décennies à venir et son nom laissera un souvenir impérissable de noblesse, de justice, dans le royaume et au-delà.
Première colonie du Duché !
Le royaume a enfin réussit a s’installer sur une terre aux bords du nouveau monde, l’ile de Jamaïque, plusieurs expédition ont été nécessaire à l’établissement de la colonie, chaque années des navires partiront de nos rives vers cette iles où poussent la cane à sucre, délice des fines bouches, espérons que notre établissement s’arriment profondément sur l’ile et que le sucre coule à flot pour le bonheur de nos papilles !
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Réapparition de l’hérésie !
Après 4 siècles sans appariations de nouveaux hérétiques avec l’extermination des cathares, voilà que née sur les terres du peuple Bourguignon, un nouveau dogme le protestantisme rejetant le pape, voilà encore un signe de la décadence de ce peuple, mais celui-ci à commencer à s’étendre en Europe, atteignant Londres, la Suède, et formant un bloc dans l’est de la France, arrivant même sur nos bonnes terres Frisienne, le roi dans sa très grandes tolérance, n’a encore rien entreprit contre eux, voulant les conduire dans la paix vers la vrai fois, qui ne peut être que celle qui même vers le salut de l’âme selon les théologiens romains.
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Situation du pays en 1515 :
La joie règne dans le royaume, bientôt tout le royaume sera libéré des bourguignons celle la terre d’hollande continuent de vivre sous le joug du félon.
La situation économique reste quant à elle très difficile, l’inflation bat des records dans notre pays avec presque 25 pourcent, notre grand roi Willem Frederick premier promet de remettre le royaume sur les rails économiquement par une politique stricte à toute épreuve !
Missive diplomatique :
A Venise : Nous espérons pouvoir travailler avec vous pour l’établissement de nos deux royaumes sur les territoires africains, notre alliance nous est des plus importantes.
A l’Autriche : Je ne vous mentirai pas, les dons faits à la Bohème étaient fait dans le but, de rallier, son alliance ce qui a été fait, pour qu’elle ne vous suive pas dans une guerre contre notre royaume, mais le problème a été réglé par sa vassalisation. Le trône du saint empire nous fait rêver, mais qui n’en rêve pas ? Mais nous nous battrons pas pour l’avoir, il est votre et il le restera, jusqu'à ce notre seigneur décide de vous le retirer.
Nous ne voulons que la paix, aujourd’hui et ne nourrissons plus aucune, envie en Europe., Nous voulons la paix entre nos deux royaumes, mais aussi entre vous et notre ami le Doge de Venise.
Nos rapports ont été des plus glacial par le passé et continue de l’être malheureusement encore aujourd’hui, cela nous ennuis profondément.
Nous espérons que notre franchise, nous permettra d’établir de meilleure relation pour l’avenir.
Pedrolane
02/08/2007, 17h50
Venise 1499-1515
Paix
Le Grand Doge des Doges , Pedrolane Ier le Geux, avait un rêve, apporter la paix dans toute la méditéranée, hélas, son rêve ,n'était qu'une utopie, et rapidement il s'en rendit compte, mais lagré cela il décida de continuer l'union des peuples, quelques soient leurs origines ou leurs religions, c'est ainsi que l'A.C.M (Alliance centre-méditéranéenne) naquit. Cette Alliance qui réunit acutellement 7 Nations ( Sienne, Genes, Morée, Tunisie, Tripoli, Corfou et Venise), avait pour but de batir un havre de paix au centre de la méditéranée, ce parit fut lancé et réussi par Pedrolane Ier, ene ffet Tripoli fut courageusement libérée par nos fiers soldats et le peuple Tunisien après la débacle de leur armée contre les soldats Vénitiens, décida de rejoindre l'Alliance, en tant que vassal de Venise, cette décision fut donc respectée et Venise accepta l'allégence de tout un peuple.
Ces pays sont maintenant assurés de ne plus entrer dans des guerres fatricides et cela grace à l'oeuvre d'un seul homme : Pedrolane Ier le Geux ! (acclamé par la foule)
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En rouge l'A.C.P , en vert les possibles futurs entrées dans l'A.C.P.
Situation économique
Après avoir si durement construit la paix, le Grand Doge des Doges, décida de redresser le pays économiquement, l'inflation fut stoppée et stabilisée, le commerce reprit d eplus belles , et nous passales de 0 marchands dans 0 centres de commerce à l'implantation de 5 marchands en Venise, 4 en Thraces, 5 en flandres et 6 en Pensacola (Venise fait parti du club très fermé à pouvoir possèder des monopoles).
C'est ainsi que Venise continua à prospérer, le pays était maintenant fort bien équipé en infrastructure, meme si des tribunaux doivent encore etre construits, en effet nous venons d'en recevoir les plans.
Nouveau Monde
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En rouge, collonies Venitiennes, en vert zone srevendiquées.
Durant ces années, de folles découvertes nous parvimes, en effet le s cartes du nouveau monde dont parlaient tant les autres nations européennes, arrivèrenet enfin jusqu'a nous, Venise toujours dans un souci d'innovation et d'achange de culture décida d'envoyer ces 1ers colons en afrique tout d'abord, mais nous furent fort mal accueilli et ne pouvant faire comprendre aux indigènes nos intentions nous dument plier bagages de 3 provinces pour finalement nous établir à Ouidah qui est proche de devenir la 1ère ville coloniale Venitienne (941 habitants).
Mais vu le rejt des africains et en attendant de pouvoir recruter un intèrprète ( il parait qu'ils en font de très bon au portugal). Nous décidames de rejoindre l'aventure amricaine, c'est ainsi que 3 collonies furent fondées, une fut détruite par les indigènes sans aucune raison et les deux autres sont en phase de devenir des cités colloniales tout comme Ouidah.
L'aventure commence et continuera !
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Diplomatie
Au portugal , Nous n'avons jamais vraiment entretenu de contacts avec vous mais nous vous demandons si cela ne vous dérange pas la limite que nous nous sommes fixés pour le nord de l'amérique du Sud, nous ne voulons pas allé contre vos intérets et nous vous invitons donc à nous envoyer une missive si vous voyez un point de discorde.
A la Castille, Nous souhaitons aussi savoir si nos limites fixés pour l'amérique du sud ne vous genes pas , nous pensons d'après ce que vous nous avez dit que cela ne vous dérange pas.
A Frise, Nous sommes heureux d enotre alliance, en effet elle nous permet d'apprendre d'autres cultures et moeurs, nous éspèrons que notre collaboration sera fructueuse, surtout au niveau commercial.
A l'Autriche, Nous devons réfléchir à votre offre, en effet certains conseillers Ministériels émètent des avis négatifs, nous vous tenons au courant.
Sinon nous regrettons la manière dont vous avez attaquer la Hongrie sans meme nous envoyer une missive avant alors que nous avions la possiblité aussi de le faire et que nous vous avons envoyé des missives pour vous demander une collaboration et ce pour qu'il n'y ait point de discordances après... Mais apparement le fait que nous ne vous reconaissions plus comme empereur a du vous mettre de mauvais poil..
Tant qu'a Sienne ne vous inquiétez pas pour elle, son Indépendance est garantie autant de temps que son peuple le voudra.
Nous éspèrons que nos relations se réchauffront à l'inverse de ce qu'elles sont devenue, en effe nous avons l'impression que l'Archiduc prend Venise de haut et ne la considère pas à sa juste Valeur et cela le Peuple Venitien de le supporte pas.
A la France, nous voulons sceller un accord définitif avec vous en ce qui concerne la Savoie, nous sentons que nous arrivons (enfin) au bout de cette négociation, Vive la diplomatie.
lemarseillais
02/08/2007, 19h24
Alerte française
Mes espions sont parvenus, au péril de leur vie, à volé une copie de ce film. J'en informe le monde car c'est de la plus haute importance et nous sommes tous concernés.
http://www.grapheine.com/bombaytv/index.php?module=see&lang=fr&code=7d30b7903f971d4f54a4dbc0cc35b3d5
Marco Rale
03/08/2007, 00h00
http://www.les-noeuds.net/blog/img/aar1515.jpg
Un jour à la cour de Castille ...
Coméon :
-Mon Bon Roy ?
Le Roi de Castille :
-Oui
Coméon :
-Hum, nous avons reçu un troubadour désirant vous transmettre... hum...un message du Roy De France.
Le Roi de Castille :
-Quelle agréable attention de m'envoyer un message diplomatique chanté !!
-Faites donc entrer ce troubadour, j'ai hâte de l'entendre !
Coméon :
- heu..oui...enfin je suis pas sûr que sa majesté appréciera...
Le Roi de Castille :
- Au diable rabat joie faites le donc entrer !!!
Coméon :
-Le voilà Monseigneur
Le Troubadour
- hum...hum.... lalalala
http://media.humour-fun.net/sons/Max-Boublil_Ce-soir-tu-vas-prendre_Humour-Fun.NET.mp3
lemarseillais
05/08/2007, 11h25
Histoire de France : 1499-1515
Le royaume de France sortait d'un conflit de plusieurs années contre le royaume castillan. Nous avons déjà vu les tenants et aboutissants de ce conflit. Nous ne reviendrons pas dessus, mais il est nécessaire de rappeler au lecteur, que le roi de France avait obtenu du roi de Castille l'abandon de son allié bourguignon.
L'anéantissement de la maison bourguignonne
Après toutes les vilaines et les trahisons qu'avaient fomentés le sang des duc de Bourgogne, leur nom était honni et déconsidéré en France. Dans les jours qui suivirent la paix avec la Castille, le roi de France, Louis XII, en son conseil, prit la décision, soutenue par tous les grands présent, que la maison de bourgogne avait gâché son sang, l'avait souillé et que dès lors il ne serait plus jamais considéré comme sang royal. Il fut proclamé dans toutes les bonnes villes du royaume que la dynastie bourguignonne n'appartenait plus au sang royal, et de ce fait les ducs de Bourgogne perdaient leur titre de pair de France. Le roi de France réclamait la recouvrance immédiate des terres de sa couronne confiée jadis à Philippe le Bon.
Evidemment, le duc bourguignon refusa. Mais il n'était plus en position de résister. Louis XII s'était déjà entendu avec le duc de Frise, qui , pour le remercier de son soutien, avait obtenu du roi de France sa complaisance pour l'annexion de la partie orientale du duché bourguignon. En trois campagnes, la Bourgogne fut dépecée et ne survit que pour peu de temps encore aujourd'hui. Ainsi, Picardie, Artois, Franche-Comté, Nivernais, Valenciennes et Hainaut ont été réinvestis par les troupes royales.
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Le développement du pays
L'échec contre la Castille avait montré, outre l'impérieuse nécessité d'une bonne préparation militaire, le besoin évident d'une économie solide pour appuyer une armée forte. Notre bon roi, dans sa grande sagesse prit d'importante mesures sur les plans commercial, fiscal, et colonial. Des colonies riches des Antilles furent colonisées. Le rachat de colonies anglais permit de gonfler la production de coton français. La multiplication des affaires commerciales coloniales engendra la création d'une zone de marché de premier importance en Pensacola.
Notre roi, qui constatait l'enrichissement de certaines nations par le commerce, décida que la France se devait d'être parmi les nations commerçantes de ce monde. Il encouragea les marchands à s'ouvrir au monde et à sortir du carcan européen surconcurrencé et peu rentable à la vue des investissements. Après de longs efforts, cette politique commence à porter ses fruits aujourd'hui même si les revenus commerciaux demeurent illusoires par rapport aux revenus bruts de la nation.
Toutes ces mesures, soutenues sans relâche pendant 15 ans, permirent un enrichissement fabuleux de notre royaume, de ses sujets et donc des caisses du roi. Parallèlement, Louis XII prona une politique stricte de contrôle de l'inflation. Même si la France restait dans les moyennes de ses voisins, il importait de faire un effort. Les résultats furent assez rapide et encourageant.
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La situation en 1502. Observez la valeur du COT français en bas à droite.
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La situation en 1515. La valeur du COT a bien monté.
Un avenir compliqué : le problème de l'hérésie.
Pourtant malgré toutes ses réussites, une ombre grandissante étendait son bras sur l'est du royaume. L'hérésie qui trouvait sa source en Bourgogne et en quelques autres foyers éparpillés en Europe, était en train de gagner un nombre de plus en plus important de provinces. l'inquiètude gagnait de plus en plus notre roi qui, embarquait dans une colossale politique économique, n'avait pas eu les moyens de lutter et d'éradiquer cette hérésie dès son apparition. En quelques années, elle avait déjà gagné 5 provinces françaises. A croire que le peuple français est un terreau idéal. Comment nous, le peuple élu, pouvons nous abriter une telle chose ? De quoi nous punissez vous Seigneur ?
D'autre part, dans l'empire colonial d'amérique du nord, nombre d'indiens restent à convertir à la vraie foi. Perdus comme ils le sont, ils se révoltent sporadiquement en se croyant guidé par des dieux qui n'existent pas.
Tous ces soucis causent beaucoup de maux à notre souverain qui a décidé d'employer les grands moyens pour réunifier spirituellement le royaume. Cette campagne de la foi va nécessiter beaucoup de moyens et de temps. Mais Dieu ne peut attendre et il ne saurait y avoir d'autres priorités.
Chroniques Anglaises 1492 - 1515
Des années difficiles pour l’Angleterre :loose: , frappées par des revers de fortune et des monarques incompétents ( Richard III : 3 – 5 – 5 puis un conseil de régence).
Les pirates ravagent les côtes de Macbethie, les Ecossais nous insultent ouvertement, les indigènes se soulèvent à de nombreuses reprises et détruisent nos nouvelles colonies d’Afrique et d’Amérique du sud, le Roi de France n’arrête pas de se plaindre et nous lance des accusations d’un tel ridicule que nous n’allons même pas y répondre :tongue: , l’exploration devient difficile faute de ports.
Une réaction énergique s’imposait ! Un important effort de renforcement militaire fut réalisé, les arsenaux du Royaume tournaient à plein régime. Et, très vite, des résultats sont obtenus :) . Nos nouveaux navires de guerre pulvérisent les pirates et assurent désormais la protection des lignes de communication entre l’Angleterre et la Macbethie, nos soldats déferlent en Ecosse, qui est vassalisée.
L’exploration reprend suite à d’intenses négociations avec des royaumes indigènes qui nous offrent désormais l’accès à leurs ports. Grand succès de la diplomatie Anglaise, mais qui a coûté cher au trésor royal, déjà bien appauvri par la construction de nos navires :( .
Enfin, une enquête est en cours pour déterminer si les révoltes qui ont ravagé nos nouvelles colonies étaient réellement fortuites. Certains, à Londres, sont persuadés qu’il faut y voir la main sournoise d’un pays européen. Si cela se vérifiait, l’Angleterre réagira en conséquence.
En Europe, outre les plaintes incongrues et totalement non fondées du Roi de France, un événement attire notre attention : la quasi disparition du Royaume de Bourgogne. Le Duc félon et vindicatif n’a eu que ce qu’il méritait :=(: , nous n’allons pas pleurer sur son sort.
Enfin, le conseil de Régence se termine et Henry VI monte sur le trône : il est compétent, habile et dynamique. Une nouvelle ère va commencer pour l’Angleterre :mrgreen: . Pour le moment, le Roi a ordonné l’application d’une stricte rigueur budgétaire afin de mettre fin aux excès budgétaires de son prédécesseur ( + 4,5% d’inflation en 20 ans).
God Save The King !
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Chronique Frisienne : 1515-1526
Traité de Düsseldorf.
Tout le peuple attendait la conclusion de l’entrevu entre leur duc et l’empereur, dans la belle cité de Düsseldorf, celle ci dura toute une semaine, durant laquelle une bataille diplomatique fut engager, le duc Willem Frederick I savait que son pays ne pourrait supporter une attaque, la guerre avait essoufflé le royaume, qui depuis 3 décennies avait supporter bien des batailles sur son sol pour arriver à l’unification, une autre affaire devait remplir l’attention du souverain, le 15 aout 1515 que finit l’attente, les deux souverains apposant leur signature sur le papier mêlant par l’encre et non pas par le sang leur destiné commune.
Le traité comprenait les termes que voici :
-Sécession des territoires de Lubeck, Hanovre et Lunebourg en contrepartie d’un dédommagement financier.
-Le duché et l’Autriche, déclaré un pacte de non-agression entre eux.
La joie et l’allégresse emplirent les cœurs de la populations qui vivait mal, la tension entre l’empereur et le Duc, le royaume pourrait vivre en paix, Willem Frederick I devint le plus grand souverain que Frise eu connu.
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Création de la compagnie néerlandaise des Indes.
C’est pendant l’année 1519 que la compagnie vit le jour, sous l’instigation de notre très Grand Duc, après la signature du traité Friso-autrichien, après une construction navale important durant 4 années, le Duc envoya une escadre de 16 mille hommes pour capturer les riches terres d’Afrique de l’Est, leur mission, a leur débarquement naissait officiellement la compagnie des Indes, il demanda dans sa gentillesse coutumière si Venise voulait bien se joindre à l’expédition, celle-ci demanda des négociations pour savoir ce qu’elle y gagnerait laissant devant son port d’Afrique de l’Ouest l’escadre Frisienne, qui perdit prêt de 3 mille hommes, dans cet épisode, avant d’y entrer, Frise se souviendra toujours de ce moment, Venise envoya des forces, qui permirent de remplacer les pauvres Frisons morts bêtement par leur faute.
Des gains important furent remporter, installant une basse militaire pour déploiement régional dans la région.
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Guerre en Oman.
Après le conflit en Afrique de l’est, et la mise en vigueur dans le pays, d’une valeur religieuse mettant comme point d’orgue la domination chrétienne de la chrétienté, le duché s’élança sur le royaume d’Oman dans le but de le vassaliser à la couronne, mais le roi fut obliger de voir la réalité en face, la non connaissance de toute les terres de cette états ne permettrait pas d’arriver a cela, le royaume devra écraser et annexer Nedj pour sauver la face.
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Non-intervention européene de Frise.
Face aux grandes coalitions européennes, le duché qui vit choisit la voie de la paix, décidant de continuer sur une voie de paix et de prospérité, et de renforcement de la compagnie néerlandaise des indes devant apporté les fonds nécessaires au développement du royaume et de son industrie, par les ressources amenées, et par le marché ouvert a ses produits.
Situation economique.
Le royaume connut durant la période malgès la perte de son centre de commerce et des deux autres provinces lors du traité avec l'empereur, une augmentation de ses richesses crée chaque année dans le royaume grace a la création de la compagnie néerlandaise des indes.
En ce qui concerne l'inflation, elle fut totalement bloqué, grace a la bonne gestion du royaume lors de la période et des fonds gagné lors du traité avec l'autriche.
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.....
Chroniques Anglaises 1515 – 1526
L’enquête ordonnée par Henry VII n’apportait pas de conclusions fermes, mais de très sérieux soupçons : comme nous le pensions, les révoltes indigènes qui avaient sans cesse ravagés nos nouvelles colonies d’Afrique et d’Amérique du sud n’étaient pas naturelles :enerve: . Une main sournoise était derrière tout cela et elle allait apprendre à ses dépens ce qu’il en coûte de harceler ainsi la Glorieuse Angleterre :=(: .
Des ambassadeurs partirent pour Venise, où ils furent reçus par le Doge, fort mécontent lui aussi : ses colonies d’Afrique subissaient les mêmes revers et il était persuadé aussi que tout cela n’avait rien de naturel. Tous les regards se tournèrent alors vers l’Espagne et le Portugal, insatiables impérialistes :?: . L’un d’eux, voir les deux, était sans nul doute coupable. Et comme ils étaient alliés, ils allaient payer tous les deux :mrgreen: . En 1525, l’axe Vénéto-Anglais passa à l’offensive : la France nous avait déjà devancé, même si ses griefs à l’encontre de l’axe Ibérique sont d’une toute autre nature.
Le Portugal bafoua sa parole et trahit son alliance, laissant l’Espagne seule à subir nos foudres. Venise et l’Angleterre tiennent à signaler ceci à l’Espagne : si votre pays n’est pas responsable des révoltes qui ont détruit nos colonies, alors vous êtes en train de payer pour un pays qui vous a abandonné. Si vous êtes le responsable ( aucun saboteur n’a en effet jamais été capturé, raison pour laquelle nous ne pouvons être affirmatif), alors assumez les conséquences de vos actes :tongue: .
Après 12 mois de guerre, l’heure était arrivée de passer un premier bilan.
Les colonies Espagnoles d’Indonésie sont entre nos mains et Venise en a conquis d’autres en Amérique du sud, où nos forces conjuguées avancent toujours, mais butent pour le moment sur le verrou de Carthagène. Plus au nord, les Indiens Creeks, alliés à l’Espagne, ont été entièrement conquis et deux grandes batailles ont déjà eu lieu à Pensacola. La première se caractérisa par l’extrême lenteur des troupes Françaises pour nous rejoindre : malgré les incessantes affirmations de l’état major Français comme quoi « les troupes sont en mouvement », les chevaliers Français ne se mirent en marche qu’au moment où l’armée Anglaise commençait les combats à Pensacola :?: . Naturellement, quand ils arrivèrent enfin, tout était déjà joué.
Nos armées mécontentes prirent alors soin, lors de la deuxième bataille de Pensacola, de ne partir que 12 jours après le début du mouvement Français. Nouvelle preuve de la lenteur de celles-ci, nos armées arrivèrent en même temps sur le champ de bataille :yeux: .
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Longtemps, la victoire pencha de notre côté, mais l’Espagnol était un cocu avéré :tongue: et il finit par l’emporter une fois de plus. Soit, ce n’est que partie remise. En Europe, cependant, les choses se compliquèrent avec l’arrivée totalement irrationnelle des Polonais en France et des Russes en Italie. Soit les souverains de ces deux pays ont reçu un coup trop violent sur la tête qui leur a fait perdre tout bon sens, soit ils ont été achetés par la richissime Espagne, ce qui ne leur fait guère honneur. La France étant notre allié de circonstance ( et cela nous coûte :mrgreen: ), des discussions sont prévues avec son Roi pour déterminer la meilleure façon de régler ce petit problème.
Portugal, 1493 – 1515
Cela fait maintenant 10 ans qu’Afonso VII est sur le trône du Portugal, 10 ans également qu’il cantonne les investissements coloniaux au Brésil. Avec 3 en administration, impossible d’investir dans de nouvelles zones lucratives, notamment dans le pacifique.
Dans le même temps, les parties belliqueuses du pays s’impatientent, avec en chef de file le clergé. Car le Portugal s’est engagé à récupérer Barcelone, aux mains des marocains, et à les punir, or rien de tout cela n’a été fait.
A la cour, on hésite. Il est encore trop tôt, les nouvelles terres ne rapportent pas assez, et surtout le Maroc est l’allié d’Alger, qui à eux deux possèdent une armée au moins 10 fois plus nombreuse que la nôtre. Devons nous nous embarquer dans une guerre longue et coûteuse ?
Il nous faut 2 choses : en premier lieu, la bénédiction du Pape, pour que le peuple suive sans doute aucun, les prochaines campagnes.
En second lieu, une grande flotte, et une grande armée, et pour cela, il nous faut de l’or. Beaucoup plus d’or…
Les regards se tournèrent vers l’ouest, à nouveau.
Depuis maintenant de nombreuses années le Portugal entretenait quelques relations commerciales avec un grand pays formé de montagnes, qui borde l’océan Pacifique, et que l’on nomma l’Empire Inca. Bien sûr, nous avions tout de suite vu qu’ils semblaient riches… mais surtout énormes. Jusqu’à présent il avait été décidé de les laisser tranquille, pour ne se concentrer que sur nos nouvelles terres, mais à présent, il était temps de faire parler la poudre.
Fin 1494, la nouvelle valeur « Dieu le veut », symbolisant l’appui inconditionnel du Pape dans nos entreprises hors Europe, donna le signal : tout le pays se met au travail pour construire une flotte, et les premiers fils de chaque famille sont réquisitionnés par arrêté royal, afin de créer la première véritable armée portugaise.
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Durant l’année 95, de nombreuses manœuvres sont nécessaires pour ramener une armée conséquente ( environs 25 mille hommes) dans les terres sauvages qui bordent cet empire inca Le Roi lui-même fera partie du voyage, et nombreux sont ceux qui espèrent que cet incapable ne reviendra pas.
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Ramener des troupes prend beaucoup de temps
22 Mars 1496, c’est la guerre contre les Incas ! (mars 96- janvier 99)
Mais pour l’instant, c’est de la marche à pied. Les distances à parcourir sont gigantesques, et ce n’est que fin juin, que le Roi Afonso participe à sa première bataille dans la province de Chichas.
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Le roi fera toute la guerre sans mourir ! D'habitude ils se font dézinguer dés le 1er combat
Le plan est simple : la première armée, accompagnée du Roi, devra contenir l’armée ennemie le plus longtemps possible, pendant que la 2ème armée, de cavalerie uniquement, accompagnée par un conquistador, devra faire le tour de leur royaume le plus vite possible, explorant et capturant, tout en évitant les combats dans un premier temps.
Novembre 96
L’armée du Roi a souffert, et s’est réfugiée dans notre petite colonie d’Atacama, et se prépare à contre-attaquer, mais pendant ce temps, l’armée de cavalerie a réussi à s’infiltrer et est aux portes de leur capitale, Cuzco.
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Ca sent la guerre bien chiante...
Mars 97, un nouveau conflit éclate entre la France et l’Espagne, cette fois les mines d’or de Californie sont en jeu.
La 2ème armée prend Cuzco laissée sans défense.
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Entre Comeon et Lemarseillais, c'est les Liaisons Dangeureuses...
Avril-mai 97, le roi essuie une défaite après une bataille de près d’un mois, à Caracara, et s’enfuit vers le nord. Pendant ce temps, des renforts venus du Brésil ont pour mission de reprendre les territoires occupés, du côté de Chiquitos, car les amérindiens ont repris tout le sud.
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Après avoir enchainé plusieurs batailles victorieuses, le moral néanmoins affablit trahit l'armée d'Afonso
Septembre 97, l’armée de cavalerie continue sa progression au nord, vide d’armée ennemie, tandis que l’armée du roi, qui a besoin de se réorganiser, abandonne le sud pour se positionner dans la région centrale, près de leur Capitale Cuzco.
Janvier 98, le gros de l’armée inca remonte vers sa capitale et met la pression sur l’armée du roi, qui aurait bien besoin de renforts, mais la 2ème armée est encore loin au nord, et surtout, doit encore découvrir quelques territoires, ce qui prend un temps infini.
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Juillet 98, la 2ème armée est enfin à Lima, et ferme le passage du nord aux amérindiens, mais doit encore faire un détour dans les terres car il reste une région à découvrir.
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Autour de Cuzco, de nombreuses batailles ont fait rage, mais les manœuvres audacieuses du roi, qui dispose d’une armée bien plus rapide, lui ont permit de combattre à chaque fois en évitant le gros de l’armée adverse, et démoralisant les armées isolées, accomplissant sa mission : gagner du temps.
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Enfin, le vent tourne définitvement en notre faveur
Octobre 98, avec l’arrivée de la 2ème armée, les armées ennemies commencent à être rabattues méthodiquement vers le sud, et en novembre, tout le centre est à nous, jusqu’à fin janvier, le 29, où le dernier territoire inca est capturé, et leur empire, annexé.
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Ce fut une guerre laborieuse, et surtout très longue. Les espaces à parcourir -et à découvrir- rendent les manœuvres et autres effets de surprises quasiment nuls, l’attrition devient forcément importante puisque tout est long, et l’absence de forteresse rajoute encore dans le côté laborieux de l’affaire, mais c’est fait, cet empire est à nous.
Les coffres explosent, le point de stabilité explose, le Badboy explose, et le centre de commerce de Cuzco vampirise immédiatement celui de Lisbonne. Enfin ! Je vais pouvoir mettre un gros doigt aux insupportables marchands de Lubeck et de Bourgogne, ça fait plaisir…
En attendant, avec la nouvelle réputation du pays, on profite, et on se calme pour un bon moment.
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A moins de vouloir que toute la planète me tombe dessus, je vais devoir me faire discret pendant un bon moment
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Un bon screen d'ensemble fait toujours du bien à mes penchants mégalomane
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13 mille le point de stab? Allez, encore un effort, je peux mieux faire
Le pays retrouve donc ses vieilles habitudes, mais cette fois avec une nouvelle manne ; l’or inca. Les colonies dans le pacifique se développent, avec enfin, après plusieurs échecs, une colonie à Sumba en 1501, et un projet de relier le Brésil aux terres Incas est mis en marche, en 1502.
1504, Afonso VII meurt. Le pire roi pour les Portugais, avec 3 en administration, aura régné de 1483 à 1504.
Joao III est à peine meilleur (5/8/5), mais c’est avec joie que le peuple portugais, rempli d’une nouvelle fierté accueille son nouveau souverain : il a un beau pays dont il va devoir prendre soin.
Et d’ailleurs, de ce beau pays, Joao a bien envie d’en profiter. C’est simple, durant ses 6 années de règne, il ne s’occupera que d’organiser des festivités, toutes plus extravagantes les unes que les autres, invitant tous les grands d’Europe à sa cour, sans se préoccuper du monde qui bouge.
Une réforme qui contamine l’Europe depuis 1502, il n’en aura cure.
Les Espagnols qui reprennent Barcelone, et capturent les terres dorées du sud du Maroc, il n’en aura cure.
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Frise qui colonise à l’ouest du Brésil et en Jamaïque, l’Angleterre dans les plaines au sud du Brésil, et Venise qui envoie massivement des colons au sud de l’île de Curacao, il n’en aura cure.
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Rhoooo l'autre
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Rhooo l'autre
En 1510 Joao III mourra d’une maladie des poumons, mais certains soupçonneront un assassinat au poison.
Avec Pedro II ( 6/4/8), une période assez instable commence, puisque c’est 3 souverains qui vont s’enchaîner, chacun régnant à peine 3 années.
Il va néanmoins faire de grosses réformes, en améliorant l’efficacité des revenus outremers, grâce à la valeur nationale « Vice-Royautés ».
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Quand on a beaucoup de thunes, on en veut toujours plus, allez savoir pourquoi
En 1514, c’est au tour de Pedro III (3/7/3) de monter sur le trône. A présent le Portugal est un grand pays, et les terres à protéger, immenses. En Europe la tension entre la France et l’Espagne n’est pas du tout retombée, et les colonies proches de Venise ou de Frise sont potentiellement autant de bases avancées menaçant nos terres. La fête est terminée.
Cette année là, il fut déclaré que le Portugal aurait la plus grande flotte, ainsi qu’une armée comparable aux grands d’Europe. C’est ainsi que commençait pas moins de 10 années de construction militaire terrestre et navale sans interruption, faisant politiquement entrer encore un peu plus le Portugal dans le théâtre européen…
L'Empire Ottoman du Début du XVème siècle.
Les Entreprises des Sultans du Début du Xème siècle permirent
à l'Empire Ottoman de renforcer ses positions dans face à la Perse.
Cette dernière fut vaincues à l'occasion de 2 guerre successives.
Perdant ainsi sa pédominnce sur le Caucase et l'Arménie.
Le Centre de Commerce d'Astrakan et les riches mines d'Or d'Arménie
lui furent confisqués par l'Ottoman qui pouvait désormais compter sur
l'immense réservoir de cavaliers que formaient les immenses plaines de
L'Ukraine.
La réunion des terres Tartars sous la bannière Ottomane fut certainement
un fait important dans l'histoire de l'Est de l'Europe. Les Sultans entreprient
de valoriser les terres Tartars si longtemps ruinée par les rivalités des seigneurs
locaux et de mettre en place un système de recrutement des meilleures cavaliers
de ces vastes régions.
La prise de contrôle des terres Tartares permit certes à l'Ottoman de prendre le dessus
sur la Perse mais elle ouvrit également de nouvelles frontières avec des voisins redoutables.
Désormais, la Lithuanie, la Pologne et la République de Novgorod étaient frontalières de
l'Empire. Le laisser faire de la Pologne face à la guerre entre russes et lithuaniens et
l'alignement des Polonais et Russes sur la politique Espagnole face à la France semblaient
être de mauvais augure pour l'avenir de l'Empire. Il fallait donc en finir au plus vite avec
le Front Persans avant qu'un ambitieux souverain de l'Ouest vienne frapper à la porte de
l'Empire.
La Politique très orientale de l'Empire semblait donc vouloir s'occidentaliser avec l'entrée
dans la période médiane de se XVème siècle si sanglant.
Les hommes de lettre de l'Empire commencèrent à fréquenter les ambassades des
puissances Européenes, afin de mieux comprendre le fonctionnement de ces chrétiens
si proches et si éloignés à la fois.
Portugal 1515- 1524
1515, dans 10 ans ce sera la guerre. Pedro III avait su voir les signes annonciateurs de cet incendie qui allait embraser l’Europe entière.
Le premier signe, c’était les cartes. Depuis un moment, des cartes maritimes avaient fini, prises par des pirates, puis capturées par d’autres couronnes, par tomber entre les mains de pays qui n’avaient pas investi dans les Grandes Découvertes.
Certains d’ailleurs semblaient en avoir profité plus que d’autres, en premier lieu Venise, et Frise.
Toutes ces années nous avions été protégés par une connaissance géographique que nous étions les seuls à connaître, mais ce n’était plus le cas. Et maintenant que nous étions découverts, nous pouvions être attaqués.
C’est pourquoi Pedro III a entrepris de grands travaux dans les colonies, et déjà bien avant que la guerre ne commence, toutes les colonies étaient fortifiées, sans exception.
En novembre 1515 déjà, des frictions entre l’Espagne et Venise venu coloniser massivement les terres à l’ouest du Brésil apparaissent. Pendant qu’ils se disputent concernant une éventuelle guerre d’espions, ce n’est pas moins de 5 attaques d’indigènes qui brutalisent nos colons jusqu’à en éliminer une, de 300 habitants, tout au nord du Brésil.
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Fini ce temps béni où nous étions seuls avec l'Espagne...
En 1516, de nombreuses manœuvres en Europe et en mer donnent le signal pour une nouvelle alliance entre le Portugal et l’Espagne.
En 1517, Pedro IV, qui régnera jusqu’en 1520, permettra, avec son administration de 8, quelques implantation coloniales audacieuses, notamment au sud du Brésil.
En 1518, un évènement important survient, puisque Frise et bientôt Venise, attaquent en Afrique le lointain royaume de Swahili, ce qui donne une idée de leur capacité d’intervention. Ils prendront quelques territoires, dont le centre de commerce de Zanzibar.
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L'Afrique musulmane est une nouvelle cible pour les Occidentaux. Mais que
fait l'Empire Ottoman ?
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Un nouveau COT appraît en Afrique du Sud
En 1521, les territoires inca commencent à devenir nationaux, et lors de l’été 1522, la culture inca est acceptée ! Tous ces efforts pour amener ces indigènes dans la civilisation n’ont pas été vains, mais ils leur restent encore à embrasser la vraie foi.
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Putain c'est bon quand ça arrive !
Et puis ce qui devait arriver arriva :
7 Mai 1522, la France déclare la guerre à l’Espagne, nous suivons immédiatement.
Portugal,
Guerre des Pyrénées 1524- 1526
Pour l’instant, c’est la France qui a déclaré la guerre à l’Espagne et à son allié le Portugal.
Juillet 24, les armées françaises arrivent en masse du Béarn, et se placent en Navarre, à Gérone après un combat gagné, et à Barcelone, et sur les Pyrénées qu’ils prendront aussi par la force.
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De l’autre côté de la mer, l’espagnol va tenter de protéger la province de Pensacola, qui sera la zone essentielle des combats pendant les 1 an et demi de guerre.
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Septembre 24, la Navarre est reprise, l’armée de Mendoça est en route pour aider l’armée espagnole à déloger les français qui assiégent les Pyrénées. La bataille commence vers la fin du mois d’octobre, et ce ne pas moins de 40 000 hommes au final de chaque côté qui vont s’affronter dans les montagnes.
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1 mois plus tard la bataille est gagnée mais à quel prix ! C’est un vrais carnage, et c’est déjà le résumé de la guerre qui est dans notre première grande bataille : notre armée aura souvent l’avantage au moral, de nombreuses batailles seront gagnées, mais toujours au prix de pertes trop nombreuses, mais surtout beaucoup plus nombreuses que celles infligées au francais, qui a déjà un énorme avantage de manpower, et qui bénéficie de 3 nouveaux alliés : L’Angleterre, et Venise, venus profiter de l’occasion pour tenter de prendre une part d’un butin facile.
Le Portugal ne suivra d’ailleurs pas cette nouvelle déclaration de guerre contre l’Espagne. Le choix a été, à vrais dire, extrêmement difficile. Nos colonies sont toutes protégées et fortifiées, nous n’aurions eu aucun mal à les repousser, mais surtout à pulvériser leur flotte, et à brûler ou capturer les colonies de Venise, grâce à l’Amérique du sud qui aurait permis de lever une énorme armée en peu de temps, sans avoir à renflouer par la mer.
Tout cela était tentant, mais cela voulait dire aussi faire partir mes 35 mille hommes protégeant l’Espagne. Le choix était donc, soit se concentrer sur l’ennemi principal, alors que la défense des Pyrénées était encore faible, soit partir protéger nos colonies et attaquer les leurs.
Je choisis donc de rester concentré sur le Français.
A partir de janvier la 1ère armée reste en garnison dans les montagnes, tandis que l’Espagnol tente des offensives sur la côte barcelonaise. A Cuba, la 3ème armée de cavalerie venue d’Afrique du Sud déloge une armée française qui venait de brûler 2 colonies espagnoles.
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En mai 25, les efforts se portent à présent en Navarre, où il faut repousser une nouvelle armée française. Au sud Gérone a été capturé, mais l’espagnol semble gagner du terrain, et finira même par libérer cette province en août.
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Pendant ce temps, au Brésil, les garnisons de police commencent à être réquisitionnées pour remplacer les pertes du continent. La 2ème armée, de Sebastiao de Vasconcelos, ramène ses 11 milles cavaliers à la frontières des zones de combat.
Juillet 1525, c’est la 2ème batille des Pyrénées, gagnée ; nous enchaînons sur l’armée française en Navarre qui sera également repoussée, malgré un premier échec.
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Septembre 1525, Pensacola tient toujours, malgré l’arrivé en renfort des armées anglais, venues seconder le français.
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Avec la fin de l’été, le front s’est stabilisé. La côte Méditerranéenne a été sécurisée, et l’espagnol commence à rentrer dans le territoire ennemi. Malgré tout, aucune offensive sérieuse n’est à envisager, nous avons perdu trop d’hommes, et surtout, les alliés du français ont réussit à créer de nouveaux fronts, dont il va falloir s’occuper. Enfin, Pensacola a tenu, mais pour combien de temps encore ? Une fois ce verrou sauté, c’est toutes les colonies aztèques qui sont en danger, sans parler de Venise qui met sérieusement la pression du côté de la Colombie.
Notre dernier combat, et victoire sera au Béarn, pour sauver l’armée de Vasconcelos, qui restait piégée dans le territoire français depuis 2 mois.
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La guerre s’arrêtait en février 1526, alors que la 3ème armée de cavalerie débarquait en Bretagne pour foutre le bordel à l’arrière et exterminer les armées isolées…
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L’Espagne, n’avait plus de manpower, et préférait perdre maintenant la guerre plutôt que de s’enfoncer dans une défense vaine, qui ruinerait son pays à moyen terme.
Portugal 1526-1549
Les négociations furent longues, avant de trouver l’accord qui mettait fin à cette guerre.
L’Espagne perdit un nombre conséquent de territoires, quant à nous, nous cédions 3 colonies : Grand Para (Brésil) à Venise, Bourbon et Sumba à l’Angleterre, et enfin 300 ducats à l’Angleterre, que nous payeront en totalité, considérant que l’Espagne avait largement payé son tribut.
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A présent nous étions 3 à nous partager l’Amérique du sud. Venise possédait maintenant toute la très riche zone à café, encore plus lucrative que le sucre, et nous partagions une frontière à la fois du côté des terres Incas, et du Brésil. La jungle impénétrable au centre du continent se chargeait du reste.
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Une armée fantôme à la frontière de Caqueta ( bug des bateaux)
Malgré le calme revenu, le Roi Pedro V fut extrêmement affecté par cette défaite, et, oubliant ses devoirs conjugaux, il mourrait soudainement en octobre 1526 sans laisser de descendance.
La Régence (4/3/6) dura jusqu’en 1531, date à laquelle Sebastiao I monta sur le trône, heureuse nouvelle en vérité car ce monarque compétent (7/7/3) allait régner bien plus longtemps que ses prédécesseurs bien trop pressés de rejoindre l’Eternel, et toujours parmi les vivants en cette année 1549.
Vers 1531, c’était aussi le début d’un nouveau conflit, entre l’Autriche et l’alliance Polono-Vénitienne. D’après les renseignements que nous pûmes recueillir, l’armée de l’Empereur, pris en étau, finit par ne plus avoir de territoire où pouvoir retraiter, afin de réorganiser ses troupes démoralisées. Venise sortait une nouvelle fois grandie d’un conflit armé, il fallait donc à présent voir en elle un ennemi à prendre en considération, et en l’Empereur un compagnon dans la défaite… en attendant que Justice se fasse.
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C'est Mussolini qui serait content...
Mais au Portugal, c’était à présent une période de calme et de prospérité, et pour longtemps encore. L’heure était à la colonisation, et à la construction d’une université à Lisbonne. Ce fut en résumé des années bien tranquilles, à part une curieuse activité militaire de Frise, du côté de l’Inde et de l’Indonésie, vassalisant à tour de bras les royaumes locaux de Ceylan, Macassar, Atjeh et Oman. Autant dire que, tranquillement, Frise avançait ses poins.
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Frise expliquant gentilment à Atjeh qu'il est de leur interêt de devenir vassal
De 1536 à 1549, c’est l’éminent Senhor Kerbec qui pris les rennes du pouvoir, pendant que Ciirse passait la soirée en URSS. En voiçi le résumé :
Session assez calme pour le portugal. La guerre commerciale fait rage j'ai grosso modo concentré mes forces sur 3 centres commerciaux: amérique du sud, Pakistan et chine. Les revenus commerciaux sont très satisfaisants je pense.
Point de vu technologique l'effort à été porté sur le commerce et le Portugal est maintenant a la pointe de la technologique dans ce domaine et quasiment dans tout les autres.
Point de vue investissement j'ai lancer la construction de distillerie (2 ou 3 je sais plus)
Point de vue conseillers : le meilleur conseiller à rendu l'âme, j'ai mis la mains sur un explorateur spé colonisation +8% de réussite pour le remplacer. Pas trop mal ma fois.
point sur les colonies : quelques révoltes de locaux retissant à payer l'impôt mater de ci de la (une réduction d'impôt et puis quoi encore!). Sinon le Portugal possède maintenant une bonne base d'île dans le pacifique jusqu'a Hawaï avec quelques colonies transformée en villes.
point sur la religion : quelques provinces d'amériques du sud on pu entendre raison et se sont convertie à la vraie foi catholique. (contrairement à certains hérétique qui contrôle actuellement le tombeau du christ)
Sinon pour passer un peu le temps j'ai recruter un explorateur mais bon j'ai pas trouver grand chose. J'ai pas pu trouver notamment le centre commercial du japon que je cherchais.
Au final économique je fini à 1 ducat derrière l'espagne. Je suis pas mécontent de moi. Voila un peu près tout.
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Chronique Frisienne : 1526 –1540
L’océan indien comme ères de jeux.
La fin de la campagne d’Oman :
Après de rude combat, et avec la capture de la capitale du royaume, Musca, le général de Frise tenta d’entamer les négociations avec les musulmans de la région, la première délégation envoyée fut renvoyer sur-le-champ par le cheik, celui-ci trop barbare pour savoir les conséquences de ses actes, les massacres continuèrent donc durant 1 mois, le cheik face au mécontentement de plus en plus grand a son égard, dut enfin signer l’armistice en mai 1526, il céda l’indépendance de son royaume aux européens.
L’expédition sur Ceylan :
Après Oman, les généraux Frisiens durent trouver une nouvelle cible pour agrandir la puissance de la compagnie néerlandaise des indes, une cible retint leur attention par la facilité militaire de son écrasement, et par sa position insulaire la coupant des affaires continentales.
Les forces se mirent en route durant l’hivers 1527 pour échapper à la terrible mousson, que les explorateurs leur avaient dit d’éviter.
Face au canon Frisiens et leur tactique, les indiens furent très vite défaits et signèrent la paix en avril 1528, même chose que pour Oman vassalisation.
Vassalisation de l’iles de Atjeh et de Macassar.
Après la réussite de Ceylan, les généraux Frisiens trop content de leur succès s’élancèrent après une année de repos, et avec le renfort de 4 mille cavaliers, sur le royaume de Atjeh et de Macassar, les navires partirent de l’Afrique pendant l’hiver 1530, après avoir pris la pointe sud de Sumatra pour accueillir les navires, l’infanterie et l’artillerie partirent vers Macassar, seul cité fortifier de la région, l’armé de ce royaume tena admirablement face à nos forces, obligeant le commandement Frisiens à appeler sa cavalerie, a son arrivé le combat fut vite expédier.
Après plusieurs moi de siège la ville fortifier accepta la vassalisation, l’armé néerlandaise put repartir sur Sumatra pour en finir une bonne fois pour toute !
La remonté vers la capitale au nord de l’ile fut difficile face aux conditions climatique déplorable amenant de multiple maladie affectant la marche de nos hommes, et a la résistance opiniâtre de l’ennemie dans les jungles de l’iles.
Mais malgré cela l’inévitable arriva, Atjeh fut vassaliser en 1532.
Cette vassalisation des petites puissances régionales permit à Frise de gagner des fonds non négligeables, par les indemnités verser dans les traités et par leurs tributs annuels a Frise, amenant 40 ducas aux royaumes.
Conflit pour Oman :
En 1534, arriva un fait surprenant le royaume de Hedjaz attaqua le royaume d’Oman, son roi trop fier d’avoir réussit à avoir l’alliance des Mamelouks et de l’Ottomans voulait connaître une croissance rapide, nos forces n’étaient pas prête à un tel conflit, après envoyer quelques troupes en soutien, notre marine fut surprise par les navires Mamelouk au nombre de 40, bloqué au milieu de la mer rouge, sans grande possibilité de retraite, le Duc décida de signer la paix, abandonnant la province de Nedj.
Ce conflit servit de leçon au duc, son armé resterait loin des conflits régionaux, ne pouvant soutenir ses vassaux moyen-orientaux, c’est ainsi qu’il abandonna le royaume d’Al Hasa en 1538 face à l’assaut du fourbe souverain de Hedjaz.
Le duché vit quand même cet affront vengé, ce pauvre royaume fut renvoyé dans les limbes avec les conflits entre les Mamelouks et les forces perses et Ottomanes
Retour en Afrique :
Prise des mines d’or :
Après des années de préparation, Frise eu enfin la possibilité en mars 1541 de recruter un explorateur, Frise pouvait enfin poussait son avancer vers l’intérieur des riches terres d’Afrique de l’Est, après réunion du corps militaire coloniales, l’attaque sur le royaume du Monomotapas fut lancée, Frise se lancer vers l’inconnue, aucun explorateur n’avait poussait avant eux vers ces terres barbares, les terres découvertes montrèrent une richesse étonnante, prêt de 3 mines se trouvait dans le royaume, les conquistadors Frisiens excité par cet or, continuèrent le conflit jusqu'à destruction totale des forces africaines, après 1 ans et demi de guerre, l’annexion totale du royaume fut fait.
Avec cette afflue d’or, le budget du royaume connut une augmentation fulgurante de 50 pourcent, l’état pouvait lutter contre l’inflation tout en faisant des bénéfices !
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Novembre 1541 avancé dans les terres sans opposition.
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Mars 1542 Grande bataille de Barwé.
Première guerre d’Afrique de l’Ouest.
Suite au demande d’appuie de Venise, la guerre fut lancer contre Haousa, cette guerre entraina aussi les états du Songhai mais aussi du Swahili en Afrique de l’ouest, Frise lors de ce conflit ne perdit pas un soldat l’effort principal ayant était fourni par Venise en Afrique de l’ouest, et à l’est, notre Duché ne vit aucune résistance.
La guerre se solda par l’annexion du Bénin par Venise, et par la conquête en Afrique de l’Est par Frise de Mombasa et du Malindi et la vassalisation du pauvre royaume.
Pour Songhai, le duché fit une grande découverte, ce royaume avait des réserves en ducas, très importante pour un royaume africain, 300 ducas furent extorquer aux indigènes, cette somme fut bien entendu partager avec le Doge.
Situation du Royaume en 1549.
Le royaume en cette belle année a vu ces revenue de 50 pourcent, ce qui permettra dans l’avenir de faire des bénéfices tout en contrôlant l’inflation. Les coffres du royaume contiennent aujourd’hui deux fois plus d’or qu’auparavant, permettant à Frise un pouvoir de construction important pour ces futurs projets….
Au niveau de la stabilité, elle est passé de 1526 à 1549, de 1 à 3.
Pour le prestige, Frise reste encore aujourd'hui la nation la plus prestigieuse du Globe.
Pedrolane
25/08/2007, 19h59
Venise 1515-1549
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C'est en 1515 que sera signé le célèbre traité de Dusseldorf entre l'Autriche et Frise, ce traité fut accueilli avec beaucoup de soulagement à Venise, en effet cette nouvelle permetait à Venise d'éloigner l'idée d'une guerre contre le voisin Autrichien et ainsi de se concentrer sur son nouvel objectif qui est celui de la collonisation.
Mais la collonisation se voit freinée par d'étranges rébellions d'indigènes, en effet c es indigènes avec qui nous entretenions d'amicales relations semblaient du jour au lendemain nous hair, Venise ne put jamais prouver par A + B qui fut le coupable mais nos soupcons se posèrent sur le Portugal, en effet, l'angleterre nous avait déja avertit que le portugal tentatait d'exiter les indigènes locaux.
Nous ne pouvions nous laissé faire et nous nous préparions donc à la Guerre conjointement avec l'Angleterre.
Cependant, la guerre explosa entre la France et l'Espagne, la France avec qui nous avions toujours entretenu de bonnes relations nous demanda notre aide et comme le Portugal était allié à l'Espagne, nous acceptâmes. Mais le Portugal réussi à échapper aux griffes de l'Anglais et de Venise en refusant d'aider son allié espagnol lorsque nous lui déclarâmes la guerre.
Au bout de quelques années et de nombreuses négociations, un accord fut trouvé entre les différentes Nations: L'espagne assumait sa défaite et c'est ainsi que nous recûmes les collonies espagnoles du nord de l'amérique du sud ainsi que Gran Para (du portugal).
Le portugal ayant réparé ces faits vis a vis de l'Angleterre et de nous meme l'histoire des collonies brulées était donc règlée.
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Après cette guerre, Venise en sortit grandie et la collonisation repris de manière intensive, mais un grand malheur touc ha notre nation, en effet les meilleurs conseillers de Notre cours et le Doge en place moururent tous d'une mystèrieuse maladie, c'est ainsi que toute la cours fut remaniée et la collonisation ralentie par le manque de talent admministratif de la nouvelle équipe.
mais Venise ne comptait pas se laissée abattre pour autant et cobntinua a collonisé les terres ou nous étions déja implantés afin d'en faire des villes.
Cepandant une sombre nouvelle nous arriva de Pologne, l'Autriche lui avait déclarée la Guerre, deux solutions s'offraient à nous, soit rentrer en guerre une fois pour toute ou refuser d'aider notre allié et ainsi nous permettre de relancer notre croissance...
Le choix fut rapidement fait, nous ne pouvions laissé tombé notre allié et nous suivîmes notre allié. La guerre fut tout d'abord difficile car l'Autriche réussit à percer notre territoire et a menée un siège.
Ensuite, après avoir réussi à repousser l'offensive Autrichienne et brisé le siège, nous suivimes les troupes autrichienne en déroute et fimes la jonction avec les troupes Polonaises ce qui nous permit de détruire les divisions Autrichienne.
L'Autriche était abttue et l'admit, c'est ainsi que Trentin et la Croatie devinrent terres Venitienne.
Après cette guerre, venise aspirait a la Paix et lanca immédiatement des pourparlers avec l'Autriche afin de signer enfin, un traité de non -agression et de reconaissance territoriale, pour prouver sa Bonne foie, Venise remit meme Trentin à l'Autriche, qui après mure réflexion se rendit compte que là était le salut de nos deux peuples.
Vers la Fin des années 40 l'économie Venitienne déclibna, en effet le manque de Prestige faiblissait notre commerce et le peu de talent administratif de notre Doge n'arranga rien, de plus nosu fumes obligé d'emprunter deux cents ducats suite aux erreurs d'un comptable (emrpunt automatique). Le Défit pour Venise est de redorée son blason Commercial et relancer son économie en stoppant définitivement l'inflation.
1526-1549. Timide montée en puissance de l’Angleterre
L’hiver avait temporairement gelé les opérations militaires et l’Espagne en profita pour faire feux de tout bois au niveau diplomatique, sa confiance dans la victoire étant des plus minces. Elle tenta tout d’abord de signer la paix avec l’alliance Veneto-Anglaise, lui proposant quelques maigres biens et espérant se payer ensuite sur la France :yeux: , mais l’alliance refusa après réflexion et non sans hésitation les propositions de Madrid car celles-ci étaient non seulement insuffisantes mais, surtout, ne dédommageait pas les pertes subies à cause des saboteurs Portugais, qui avaient si prestement abandonné leur allié Espagnol.
L’Espagne tenta alors de signer une paix séparée avec la France, selon le même principe : elle cédait des biens à la France et entendait se payer sur l’alliance Vénéto-Anglaise. Bien que déloyal de nature :mrgreen: , le Roi de France refusa et le Roi d’Espagne dut enfin se résigner à signer une paix globale, sans possibilité de récupérer à droite ce qu’il allait perdre à gauche. De cette façon, et c’était très important pour la coalition Vénéto-Anglaise, le Portugal fut directement inclus dans les négociations globales. L’Angleterre obtient Guantanamo et Demak de l’Espagne, Bourbon et Sunda du Portugal, ainsi que 300 ducats pour nous dédommager des pertes subies à cause des saboteurs Ibériques.
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Henry VII décéda trois années plus tard, l’histoire retiendra de lui qu’il fut un grand Roi pour l’Angleterre :) : il avait vengé l’honneur de la nation, bafoué par de vils saboteurs, et renforcé durablement, par la guerre, nos positions en Asie. Ses successeurs se montrèrent plus ternes, l’Angleterre pansait ses plaies et tentait laborieusement de rattraper l’immense retard technologique :loose: qui s’était accumulé face aux autres nations occidentales ( l’absence de tout centre de commerce bien à nous pesait lourd en ce domaine et nous maudissons ce destin contraire qui fit apparaître un centre de commerce en Appalache, chez ce Roi de France avide et déjà bien assez riche, plutôt que chez nous :enerve: ).
Les choses commencèrent enfin à changer avec l’arrivée d’Edgar III, monarque compétent et très dynamique. Sa fougue gagna le pays tout entier et, en l’espace de quelques années seulement, le pays était métamorphosé : la stabilité était au sommet, comme elle ne l’avait jamais été depuis un siècle (première fois depuis le début de la GPO que je dépasse +1 en stabilité ;) ), le commerce se développa grandement, des édifices religieux et des forts furent construit un peu partout, les revenus mensuels doublèrent presque ! C’était l’euphorie et nous prions le Seigneur :priere: pour que cela se poursuive encore très longtemps.
lemarseillais
26/08/2007, 15h43
Commentaire français de ce simulacre de travail historique intitulé 1526-1549. Timide montée en puissance de l’Angleterre
Préambule nécessaire : le royaume de France entre 1515 et 1526
Les préparatifs de guerre
A cette époque le royaume de France prospérait dans la paix. Depuis sa dernière guerre contre l'Espagne qui lui avait coûté la Californie, Français et Espagnols n'étaient pas parvenus à s'entendre sur une reconnaissance mutuelle de zone coloniale en Amérique du Nord. Cupides et avides de richesses, les ibères demandaient que la France reconnaisse la souveraineté espagnole sur la Californie et n'entretienne pas un espoir de reconquête. La France, en contre-partie d'un tel sacrifice, demandait la reconnaissance du quart sud-est de l'Amérique du nord par l'Espagne, ce qui impliquait un désengagement espagnol du centre de commerce de Pensacola, de 4 villes coloniales, de 5 colonies et l'abandon de son vassal indien Creek.
Evidemment, la France proposait de dédommager l'Espagne à un prix équitable. Le roi espagnol d'alors, Cupide III, refusa s'estimant probablement en position de force. La nouvelle parvint à notre bon roi Henri III le 27 janvier 1515 alors que celui-ci se trouvait au château de Plessis-lès-Tours. Il fit réunir ses proches conseillers et là, nous tint exposa son opinion : "puisque mon cousin d'Espagne ne juge pas nécessaire de trouver un arrangement diplomatique avec moi, nous allons lui faire prendre conscience qu'il faut aimer la diplomatie, surtout quand on traite avec nous !".
Conscient des lacunes qu'avait révélé la dernière guerre, notre roi promulga un certain nombre d'édits touchant à l'organisation de l'armée. Pendant 5 ans, une bonne part de la recette des impôts servis à recruter, former et équiper les armées royales. Tous ces efforts coûteux ne furent pas infructueux. La qualité et la quantité des troupes augmenta significativement (moral en hausse), l'instauration d'un contrôleur des approvisionnements permis au royaume de gerer à moindre cout l'approvisionnement auprès des marchands de guerre toujours prompt à faire des bénéfices espagnoliques* (*terme entré dans le langage courant en France dont le sens est synonyme de cupide mais en plus fort).
Une active diplomatie française
Parallèlement à cette préparation des hommes et du matériel, notre roi ne ménagea pas sa peine sur la scène diplomatique. Cet art n'est pas né en France par hasard. L'Empereur fut contacté pour lui renouveler nos bonnes dispositions à son égard ; démarche à laquelle il répondit avec une courtoisie et une félicité identique. Nos ambassadeurs avaient assuré le roi que le duc de Frise ne serait pas un ennemi de la France en cas d'intervention contre l'Espagne. Ils avaient raison. Par contre, ils se fourvoyèrent complètement avec le roi de Pologne comme nous le verrons plus tard. Vis à vis du Portugal, la situation était dans le fou. Depuis toujours Français et Portugais avaient pris soin de ne pas se gèner et n'avaient jamais pris les armes les uns contre les autres, même quand la folle espagne agressa la France. De fait, les conseillers du roi étaient partagés entre une intervention portugaise aux côtés de l'Espagne ou la poursuite d'une relative neutralité à notre égard.
Les brillants succès diplomatiques furent obtenus auprès des cours vénitiennes et anglaises. Le roi de France envoya discrètement ses meilleurs diplomates auprès de ces deux princes avec pour mission de remporter la neutralité, à défaut d'adhésion, de ces deux royaumes. Henri III n'était pas sans connaître les relations qu'entretenaient ces deux maisons avec les ibériques. Il savait y trouver des oreilles prêtes à écouter et des esprits prêts à rêver à un monde différent. Les diplomates ne dissimulèrent pas les intentions du roi. Il préparait la guerre à l'Espagne, mais à l'Espagne seule et il ne demandait l'aide de personne. Non sans ruse, notre roi faisait donc savoir à ces princes que l'Espagne serait occupée. Il n'avait pas besoin de leur rappeler que le Portugal avait pratiqué une politique coloniale extrémement agressive (coloriage de carte et achat de révoltes) au détriment, étonnement, de l'Angleterre et de Venise.
Ces deux maisons informèrent alors leur homologue française qu'ils allaient s'allier entre eux pour attaquer le Portugal d'ici quelques années. Par amitié, la France leur indiqua ses intentions d'entrer en guerre contre l'Espagne dès l'automne 1523. Eux-mêmes décidérent alors d'attaquer le Portugal en hiver 1525. Cela montre bien l'infondé de certains propos ibériques qui soutiennent que ces deux guerres furent concertées et organisées dans leurs tenants et aboutissants. On ne peut imaginer des "alliés" entrer en guerre 2 ans après le premier (car en fait anglais et vénitiens n'entrèrent en guerre qu'à l'été 1525). Néanmoins, l'attitude du roi du Portugal modifia les plans initiaux et transforma ces deux guerres imaginées en une guerre de fait, ce qui explique que la paix fut négocier après des concertations globales entre Français, Anglais et Vénitiens.
La guerre
La guerre éclata à l'automne 1523. Le roi disposait alors de 6 corps armées en France, 3 de sièges et 3 de combats. Précisément, les 3 corps de sièges étaient constitués de 7000 Lancastre pour encercler les places fortes, appuyés par 4000 artificiers, enfin 1000 cavaliers faisaient office d'éclaireurs et de troupes rapides pour colmater les brêches. Les 3 autres corps, ceux destinés aux batailles, comprenaient entre 12000 et 16000 cavaliers ; ils devaient soutenir et donc rester à proximité des troupes de sièges. Cette armée était commandée par les meilleurs généraux français de l'époque, supérieur en qualité à ceux de l'Espagne. L'objectif était simple : une conquête lente mais irréversible de l'Espagne du nord et du sud-est jusqu'à la capitale.
En Amérique, le roi avait fait massé 5000 Lancastres appuyés par 2000 artificiers et 15000 cavaliers dont l'objectif était de bousculer les 10000 espagnols stationnés à Pensacola pour assièger la ville. La cavalerie, elle, poursuivrait les troupes en déroute en redescendant sur le Mexique et en brulant ou capturant des colonies espagnoles au passage.
En Europe, la guerre évolua selon les plans des généraux français, les troupes espagnoles furent chassées des Pyrénées et les troupes français entamèrent alors de nombreux sièges jusqu'à Barcelone même. En Amérique, les 15000 cavaliers et les 5000 Lancastres réussirent l'exploit de perdre une bataille à 2 vs 1. Les renforts espagnols arrivèrent et prirent par surprise 4000 cavaliers français en déroute qui se débamdèrent complètement. Les choses ne tournaient pas vraiment comme il fallait. Maigre compensation, les petites unités débarquées un peu partout dans l'empire colonial espagnol réussirent en majorité à détruire plusieurs colonies.
sur le champ pyrénéen, l'arrivée du Portugais et un effort colossal de recrutement de la part de l'Espagne, leur permis de générer à nouveau suffisament une masse armée pour tenter de nous déloger. Les combats furent acharnés et particulièrement sanglants. Hélas, Dieu n'était pas avec nous à ce moment. Plusieurs armées furent vaincus dans des conditions particulièrement étranges. Comment des troupes françaises en position défensive, avec un moral éprouvé (meilleur que ceux ibériques), mieux commandé que ses ennemis, à égalité numérique voir même en supériorité au début du combat, pouvaient elles connaître autant de défaites successives. De facto, l'année 1525 fut une longue et lente période de reflue des troupes françaises.
Les troupes étaient complètement démoralisées. Non pas par peur de l'ennemi mais par incompréhension et fatigue. Dans maintes batailles, pour 1000 français tués plusieurs milliers d'ibériques étaient tombés. Quel était donc ce prodige qui permettait aux troupes ibériques mortes de remporter les batailles ? L'opposition près du petit village de Bueno Pella dans les Pyrénées est à ce titre éloquente : plus de 30000 ibériques, par vagues, furent concentrés dans cette bataille contre environ 25000 français. Un peu plus de 1000 de nos frères périrent alors que 10000 ibériques étaient tombés..........et pourtant c'était les troupes à la fleur de lys qui battaient en retraite.
Dans le même temps, le roi du Portugal, qui avait manifestement décidé que le temps de la neutralité vis à vis de la France était fini, débarqua un petit corps de troupes dans le nord de la France pour tenter de piller et semer le désorder dans nos régions nords mal défendues.
C'est à ce moment que nous primes conscience que le roi polonais avait envoyé 10000 cavaliers dans l'Est du royaume. Lorsqu'Henri III fut informé de cette nouvelle, il entra dans une extrème colère (que sentit passer le service en porcelaine de ma dame de Beauvoie, duchesse du Béarn, qui hébergeait en son château le roi. La pauvre fut toute effondrée par la perte d'un trésor familial présent depuis plus de 100 ans dans la famille. Si le roi avait mis la main à ce moment sur le grand vase de cristal au fond de la pièce, je crois que la duchesse se pamaît sur place). Comment le roi de Pologne pouvait prendre les armes contre le royaume de France ? Quels motifs conduisaient ses troupes ? Il n'était pas idiot au point de suivre son "allié" sans autres raisons ? La Pologne et la France, qui n'avait jusqu'alors eu que peu de contacts mais toujours en termes amicaux, devenaient ennemis par la force des promesses espagnoles. Il y a chez certains rois une facilité à se vendre quitte à se comporte avec le plus grand déshonneur et un manque flagrant de clairvoyance. Il était sur en effet que le roi d'Espagne aurait pris le partie de l'Autriche contre la Pologne plus tard si un conflit venait à éclater (ce qui est arrivé depuis et a donné raison à tous les conseillers français). Quoiqu'il en soit, avec un extrême courage, les 10000 cavaliers polonais attaquèrent les unités dispersées de cavalerie français, tout récemment armée pour partir à la guerre.
Le deuxième motif de la colère mémorable du roi fut l'Empereur. Car si la Pologne envoyait des troupes en France c'était par le biais des terres de la maison d'Autriche. Or, cette dernière entretenait depuis presque 100 ans de très bons rapports avec la maison de France. A maintes reprises, les princes de ces deux maisons avaient pu constater les nombreux points d'accord qu'ils avaient. Une diplomatie régulière et fréquente fut entretenue de tout temps depuis la fin de la guerre de Cent Ans. Chacun n'empiéta jamais sur les intérêts de l'autre. A peine quelques mois avant la guerre, l'Empereur nous assurait encore n'avoir aucun grief envers la France et ne pas prêtait oreille aux sirénes espagnoles. Alors pourquoi donnait il l'accès à notre ennemi ?
Le roi fit dépêcher aussitôt son meilleur diplomate à la cour de Vienne. Celui-ci chevaucha avec grande célérité pour atteindre la capitale autrichienne en moins de 2 semaines. Le roi lui avait donné des consignes claires : obtenir de l'Empereur la fin du passage des troupes polonaises sur ses terres. La France le demandait en tant que service et en vertu de l'amitié de nos deux maisons. Le roi faisait aussi savoir qu'il ne pouvait que s'étonner qu'indirectement l'Autriche prenne le parti de nos ennemis. Encore une fois la sagesse impériale s'illustra. L'Empereur ne pensant pas trahir sa neutralité en accordant cet accès nous assura qu'il était disposé à nous donner également un accès pour faire route vers la Pologne. Notre diplomate lui fit savoir que la France n'avait aucunement l'intention de faire la guerre au peuple polonais, car, contrairement au roi de Pologne, le royaume de France n'a pas cette faculté à transformer un Etat ami ou neutre en ennemi simplement sur agitation d'une carotte, quelque quelle soit. L'honneur et la parole valent plus que l'or aztèque de l'Espagne pour nous Français. Se retrouvant dans notre déclaration et ayant entendu la demande de geste à notre égard par amitié, l'Empereur, sans hésiter, fit envoyé un diplomate à la cour de Varsovie pour les informer de la fin de l'accès terrestre. Notre roi ne manqua pas de remercier l'Empereur par la suite.
Suite à venir....
Pedrolane
26/08/2007, 17h26
Traité de Gênes
L'Autriche et Venise sont arrivées à l'accord suivant:
-Signature d'un pacte de non-agression mutuelle
-Reconaissance de la souveraineté Venitienne sur l'Italie actuelle et du droit de vassalisé Rome.
-Restitution de Trentin à l'Autriche et cession de l'ile de Barbade
__________________
Par cet accord les deux parties entendent ne plus se chamailler et enfin offrir aux peuples Venitien et Autrichien la Paix entre ces deux nations.
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....
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...
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Chroniques d'Espagne : 1515-1549
La 3e guerre franco-espagnole (1523-1526)
Cela faisait longtemps que la France et son ambitieux souverain Henri III souhaitaient mettre la main sur nos possessions coloniales du quart sud-est du Nouveau continent. Consciente de sa force, suite à ses conquêtes sur la Bourgogne, la France, pays le plus peuplé d'Europe, et de loin, pouvait compter sur son incroyable gisement humain pour recruter des troupes en quantité. Le Roi de France souhaitait assuremment la guerre. Pour faire croire du contraire il envoya ses diplomates à Madrid pour y effecteur des simulacres de négociation.
En effet ceux ci proposaient de racheter le très riche centre de commerce de Pensacola pour une bouchée de pain, et ne souhaitait pas faire de compensations autres qu’en argent. Et les sommes proposées étaient franchement scandaleuses et insultantes,
La diplomatie française s’était assuré du soutien de l’Angleterre et de Venise, ce que nous ne savions. En effet, il semblerait que la France les ait monté contre nous en soutenant des révoltes indigènes dans les colonies de ces deux derniers pays, en se faisant habilement passer pour des portugais.
Nous pouvons soupçonner ceci car le roi du Portugal nous assura et nous donna les preuves qu’il n’était absolument pour rien dans ses rébellions. Et donc les soupçons se portent évidemment sur la nation qui avait tout intérêt à ainsi former une lâche coalition contre nous, à savoir la France.
Inquiète de la montée en puissance de la France, nation plus que belliqueuse qui n’avait pas hésité à dépouiller la Bourgogne, déclarer deux fois la guerre à l’Espagne, et dont la vantardise, les prétentions et le ton supérieur était plus qu’insupportable, la reine Isabel II, unificatrice de l’Espagne, ne pouvait ainsi céder aux exigences françaises, sous peine de donner le leadership à ce pays qui comme on l’a vu était loin de souhaiter un monde en paix et en équilibre.
Les intentions de l’Espagne ont en effet toujours été l’équilibre en Europe, ainsi que dans les colonies, n’en déplaise à la France qui fut la seule nation à se plaindre.
On ne peut mesurer la puissance d’une nation à ses seuls revenus mensuels qui en effet étaient très important pour l’Espagne, et les évènements qui vont suivre donneront raison à ceci.
Ainsi, après avoir préparé la guerre depuis longtemps en grand secret, la France nous déclare la guerre sans aucun ultimatum, d’une façon à la fois barbare et complètement lâche, en automne 1523. Disposant de plus de 45 000 cavaliers, et de 35 000 hommes à pieds, les français culbutent nos premières armées dans les pyrennées, en infériorité numérique écrasante et mal équipées.
La situation devient rapidement préoccupante quand les trois provinces frontalières avec la France sont assiégées par les troupes françaises. Le souvenir de la première guerre franco-castillane refait surface : si les pyrénnées sont prises, la France pourra facilement avancer au cœur de l’Espagne et dévaster les très riches terres d’Aragon, en profitant du terrain favorable.
Il est donc décidé de reprendre les pyrénnées à tout prix, quelqu’en soit le prix, afin d’y installer des positions défensives, bloquer les vallées et les passages. Appuyées par nos amis portugais, les troupes espagnoles vont alors reprendre les montagnes après des combat absolument terribles et meurtriers. Des victoires à la Pyrus dans les deux camps, ainsi que de lourdes défaites. La boucherie de Gérone en est un exemple flagrant : 13 000 espagnols tomberont pour reprendre la province, alors que la France n’en perdra que 2 000.
Dès l’hiver 1523, partout dans l’Empire espagnol, colonies et métropole, le recrutement est massif. L’effort financier et humain à consentire pour reformer les 3 armées des pyrénnées est colossal. Mais il est fructeux puisque une à une les 3 provinces sont reprises, l’armées française sérieusement entamée doit se replier, et nos troupes peuvent même mettre le siège du Roussillon, pendant que la cavalerie portugaise fait des ravages.
Au même moment, nos fidèles alliés polonais (10 000), après un long périple à travers l’Autriche, arrivent en Champagne et commence à piller et prendre le nord-est de la France. Intelligemment, Isabel II avait noué des liens d’amitié avec ce lointain royaume, comprenant des accords secrets.
La reconquète des Pyrennées :
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Cependant en hiver 1525, anglais et vénitiens nous tombent dessus dans l’espoir probable de récupérer quelques miettes de notre Empire de la part de leur suzerain français.
Venise profite de l’absence de notre flotte en méditerranée, mobilisée aux amériques, pour débarquer des troupes dans notre dos en Andalousie et à Gibraltar.
Le Portugal neutre dans le conflit entre nous et les anglo-vénitien ne peut rien faire.
Dans les colonies, la situation est plus grave : par deux fois De Cardona réussit à repousser les français et anglais à Pensacola, grâce à des maneuvres de défenses géniales. Il met même un pied en Floride, mais doit vite refluer vers Pensacola face aux masses anglo-françaises bien plus nombreuses.
Des corsaires anglais pendant ce temps brûlent et pillent nos colonies non-fortifiées des caraïbes, notamment Cuba. Notre flotte les fait fuir, et détruit une escadre vénitienne forte de plus de 20 navires au large de Maracaïbo. Plus au sud, la situation est stabilisée : en Colombie, les troupes de Venise et d’Angleterre sont contenues suite à l’arrivées de 4000 hommes en renforts. Mais ces renforts si ils sont au sud, ne sont plus au nord à défendre le verrou de Pensacola. Des forces colossales de plus de 30 000 hommes menacent en effet les 10 000 hommes qui défendent héroïquement cette zone. Si Pensacola venait à céder, alors les français prendraient facilement le Mexique puis la Californie.
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De Cardona félicite son lieutenant Merera d'avoir tenu le flanc droit héroïquement
La défense de Pensacola :
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Il fallait se rendre à l’évidence, les campagnes étaient vides et l’Espagne ne pouvait plus recruter.
Le Portugal nous informa qu’il ne pouvait envoyer ses troupes à la fois dans les pyrénnées et en Amérique. Or nos troupes en Espagne, fortemment entamées devaient faire face à Venise au sud, et aux troupes françaises en intense campagne de recrutement au nord. De plus, les mercenaires avaient déjà été tellement recrutés qu’on en trouvait plus aucun dans toute l’Europe, ou bien à des prix prohibitifs ( 120 000 Ducats pour 1000 cavaliers).
Si la guerre continuait, soit nous perdions nos colonies, soit nous perdions l’Espagne, mais nous ne pouvions défendre les deux face à une telle coalition.
Un léger espoir arriva à Madrid en hiver 1524, quand un émissairs de la lointaine Novgorod, Aedanovski, offrit les services de ses féroces mercenaires à la couronne d’Espagne. En effet l’Espagne avait récemment aidé financièrement la cité du Nord pour l’aider à poursuivre l’expulsion des musulmans des plaines de l’est.
Un premier contrat amena 10 000 cavaliers russes à ravager l’Italie, avant d’être stoppé par des troupes vénitiennes.
Un second contrat bien plus imposant de 1 000 000 de ducats d’or devait amener plus de 30 000 cavaliers russes à traverser le Baltique pour débarquer dans le nord de la France.
Mais devant la situation dramatique dans les colonies, dont la défense pouvait d’un moment à l’autre craquer, nous fûmes amené à négocier.
Après 3 semaines d’intenses négociations dans le château de Beynac en France, la paix de Beynac fut signée. L’Espagne cédait Pensacola, ainsi que 3 colonies de 100 colons à la France.
L’Angleterre recevait Cuba ( du moins ce qu’il en restait après les pillages) ainsi que deux colonies de 100 habitants en Asie du Sud-est. Venise reçut également 4 colonies en Amérique du Sud. Le Portugal du aussi céder quelques colonies ainsi que de l’or.
La paix était enfin signée. Afin de mettre un terme aux disputes depuis 50 ans entre la France et l’Espagne, le traité de Carthagène fut signée pour se partager le sud-est de l’Amérique.
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Les mercenaires russes ravagent le nord de l'Italie.
Chroniques Ottomanes 1526-1549
L’An 1529 vit la seconde régence Ottomane prendre fin avec la Majorité
d’Alam premier. Ce dernier de santé fragile comme un bonne partie de ses
frères fut sous la complète influence du Vizir Bobakum qui avait
précédemment dirigé la régence.
Ce dernier dirigea le Sultan vers la Perse alors durement éprouvée par
une longue guerre avec le Mamelouk accomplir l’unification de la
péninsule Anatolienne sous l’étendard Ottoman. La Karamanie fut annexée
à la Perse après une courte guerre qui montra la supériorité dans tous les
domaine des Janissaires Ottomans.
Alam eut à peine le temps de se marier avant de décéder d’une infection
oculaire en 1532 cédant ainsi le trône à son frère Selim II lui aussi très
jeune. Ce dernier subit à son tour l’influence du puissant Vizir et lui laissa
pratiquement le contrôle de l’Empire. Ce furent donc sans surprise que
voisins de l’Empire virent les ambitions territoriales de l’Ottoman
perdurer.
Le grand Vizir Bobakum avait le projet de faire de l’Ottoman la tête de
file des Royaumes Musulmans, il avait donc besoins pour cela de mettre à
bas le principal concurrent Sunnite de L’Ottoman : Le puissant Mamelouk et ses 65000 Hommes en armes.
Le Vizir n’était pas dupe quant à la difficulté de l’affaire, les déserts de
Syrie d’Egypte et de Palestine étaient de redoutables mangeurs d’hommes
pour une armée conséquente et les Mamelouk nombreux. Il lui fallait donc
s’assurer de ses arrières et si possible trouver un soutien extérieur lui
permettant de ne pas laisser le conflit s’embourber.
La préparation
Il mit donc sur pied un plan afin de mettre un terme aux menaces larvaire
qui pesaient sur le Nord et l’ouest de L’empire et de trouver l’appui d’un
autre ambitieux seigneur. Pour résoudre les problèmes posés
par l’agitation Albanaise, le Vizir annexa par la force l’Albanie et la
riche province Athénienne à l’Hongrois et fonda un nouvel Etat Albanais à
qui il fit don de Janina. Cet acte plein de générosité attira la sympathie
des Chrétiens de l’Empire qui voyaient là un signe de la fin des conversions
forcée de citoyens de l’Empire.
Une fois cette formalité réalisée, le Vizir négocia avec le Russe qui
Cherchait à fixer des frontières stables dans le grand Nord, un échange
de terre fut convenu ainsi qu’un accord de non agression jusqu’en 1555.
Cet échange de terre vit l’Empire renoncer au terre Tartars les plus aux
nord et récupérer la riche Crimée ainsi que les Terres Russe enclavée a l’Est de l’Oural.
L’accord de non agression permit au Vizir d’avoir les main libre au Sud de
façon a ne pas avoir à se battre sur 2 fronts importants.
L’affaire de Jérusalem
Le Vizir finit par trouver un allié qu’il ne soupçonnait pas, le très
chrétiens Roi de France s’inquiétait des nombreux massacres de chrétiens
sur la Route de Jerusalem. Malgré ses nombreux missives au Sultan
Mamelouk, ce dernier ne fit jamais signe de prendre en compte les demandes
Françaises.
Le Vizir eut vent de ce désaccord et proposa au Roi de France de lui faire
don de la Palestine lui permettant d’assurer lui-même la sécurité des
pélerins, il demandait en échange une petite aide militaire contre le
Mamelouk afin d’en finir le plus vite possible.
Les Roi de France fut enthousiasmé par ce glorieux projet et, en 1537, les
armée Ottomanes et Française entraient en Syrie en force.
Les combats pour la Palestine et l’entrée en Egypte furent sanglants
mais tournèrent rapidement au profit des Coallisés, même la mort du
Sultan en 1537 ne put permettre au Mamelouk de se redresser. IL finit
par céder aux exigences du Nouveau Sultan Amhet II et du Roi de
France, cédant ainsi les provinces de Judée, Alep, Damas, Harwan et
Badyiat Ash Sham. Le Mamelouk était blessé mais pas encore à terre.
Enfin la paix
En attendant d’avoir l’occasion d’en finir avec le Mamelouk, le nouveau
Sultan mit un terme au contrôle quasi-total du Vizir sur l’Empire.
Il reprit en main les affaires attenantes à la politique laissant le Vizir
gérer l’Armée. Il mit ainsi fin à la campagne de conversion nationale des
Ortodox, Il reconnu leur foi et décida d’utiliser les précieux deniers
jusqu’alors utilisés à la conversion des infidèles pour mettre en place une
instruction militaire efficace des Janissaire. D’autre part, il décida de la
création d’une banque d’état afin de contrer les effets de l’inflation
dans l’Empire. Ces mesures bien que peu populaires au sein de la population
Musulmanes, permirent de renforcer efficacement l’empire sur ses
fondations.
Tout comme ses frères Amhet II ne vécu pas assez longtemps pour influer
durablement sur l’Empire, il décéda en 1543 laissant le pouvoir à son
fils et au Vizir bien décidé de regagner l’influence perdue. Il parvint sans
trop de peine à prendre l’ascendant sur le médiocre souverain qu’était
Abdulhamhid Ier.
La chute de la puissance Egyptienne
L’Empire retrouva donc rapidement ses habitudes expansionniste et
n’hésita pas longtemps à achevé le Mamelouk sortant d’un long conflit
avec la Perse, lui arrachant de force 4 nouvelles provinces : Gaza,
Alexandrie, Sinai et Al Karak.
Le Mamelouk était désormais cantonné à l’Afrique et le Vizir avait réussit
son grand projet, L’Empire Ottoman prédominait désormais sur les autres
puissances Musulmane un nouvel âge allait commencer.
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La Situation au Nord de l'Empire en 1549, la Russie y est notre principale voisin.
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La Situation au Sud de l'Empire en 1549, Le Mamelouk est cantonné à l'Afrique
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Un aperçu démographique et economique de L'empire Ottoman en 1459
Un développement en paix ( 1526-1549)
Après la mort de la reine Isabel II en 1527, un conseil de régence prit temporairement les affaires en main jusqu’en 1533 où Carlos Ier, petit fils d’Isabel atteignit sa majorité pour gouverner.
Jusqu’à sa mort à la suite d’un accident malheureux avec une courtisane en 1539, il développa le commerce et les colonies. Vis à vis des colonies, il décida de cesser de coloniser de plus en plus de terres, tant que des bases solides, à savoir des villes fortifiées n’étaient pas mis en chantier.
Mais c’est sous le règne de son oncle Carlos II, que l’Espagne connut, parallèlement au Portugal, une explosion des revenus, notamment grâce au commerce. Les monopoles dans les centres de commerce du monde nous rapportent en effet des sommes considérables. Ceci d’autant plus que quasiment tout ces centres sont connus de l’institut de cartographie de Madrid.
Du point du vue militaire, l’Espagne prit de l’avance vis à vis des autres nations d’Europe, suite à la mise en place des Tercios par De Cardona à son retour d’Amérique. Formés d’un complexe assemblage de piquiers, de mousquetaires et d’arquebusiers, ces formations solides sont capables de terribles dommage à l’ennemi.
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Diplomatie :
A la France :
-suite à l’accord de Mexico, nous espérons gagner votre amitié et l’alliance des deux sangs pourrait être envisagé. Néanmoins, pour gagner notre confiance et celle de toute l’Europe, plus de transparence dans vos actions seraient souhaitables:Nous vous félicitons pour la prise de Jérusalem. Toute la chrétienté est derrière vous et applaudis le Roi de France pour cet acte de Foi. Mais toute l’Europe souhaiterait sans doute connaître le contenu des tractations secrètes entre vous et le Sultan pour aboutir à cet accord.
-De même, suite aux conversions massives à l’hérésie protestante en France, notamment à l’Est et surtout à Paris, quelle sera la politique religieuse de la France ? On parle d’une conversion à l’hérésie mais il s’agit probablement de rumeurs car nous ne saurions croire à une telle infamie de la part d’un si grand royaume. Comme l’a montré l’Empereur, seule l’envoie de missionnaires, mais aussi et surtout d’inquisiteurs permettra d’extirper de vos provinces ce culte infâme.
A l’Empereur: l’alliance signée entre nos deux pays est un gage de paix et d’équilibre en Europe.
Nous sommes prêt à servir de médiateur entre vous et notre ami polonais suite aux divergences qui vous ont opposées et qui pourraient toujours vous opposer.
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La stabilisation de l'inflation grâce à un système moderne de banque (3e valeur)
lemarseillais
27/08/2007, 21h59
Commentaire français de ce simulacre de travail historique intitulé 1526-1549. Timide montée en puissance de l’Angleterre
2e partie
*Les rectifications françaises sont en bleu*
L'historien anglais écrit :" L’hiver avait temporairement gelé les opérations militaires et l’Espagne en profita pour faire feux de tout bois au niveau diplomatique, sa confiance dans la victoire étant des plus minces. Elle tenta tout d’abord de signer la paix avec l’alliance Veneto-Anglaise, lui proposant quelques maigres biens et espérant se payer ensuite sur la France :yeux: , mais l’alliance refusa après réflexion (c'est avec un certain étonnement que nous apprenons que vous avez hésité) et non sans hésitation les propositions de Madrid car celles-ci étaient non seulement insuffisantes mais, surtout, ne dédommageait pas les pertes subies à cause des saboteurs Portugais, qui avaient si prestement abandonné leur allié Espagnol (il est marrant de voir que vous avez pu hésité un instant pour une proposition aussi nulle visiblement. Ca en dit long sur le concept de fidélité qui habite le roi anglais).
L’Espagne tenta alors de signer une paix séparée avec la France, selon le même principe : elle cédait des biens à la France et entendait se payer sur l’alliance Vénéto-Anglaise. Bien que déloyal de nature :mrgreen: , le Roi de France refusa (vous noterez, cher lecteur, que le roi de France n'a, lui, pas hésité. On peut donc s'interroger sur qui est le plus déloyal entre un roi de France sur de lui et un roi anglais qui hésite) et le Roi d’Espagne dut enfin se résigner à signer une paix globale, sans possibilité de récupérer à droite ce qu’il allait perdre à gauche. De cette façon, et c’était très important pour la coalition Vénéto-Anglaise, le Portugal fut directement inclus dans les négociations globales. L’Angleterre obtient Guantanamo et Demak de l’Espagne, Bourbon et Sunda du Portugal, ainsi que 300 ducats pour nous dédommager des pertes subies à cause des saboteurs Ibériques."
La négociation de la paix (1526):
Pour une fois, la vérité ne diffère guère de ce qu'un anglais écrit. Effectivement le perfide roi espagnol, Cupide III, tenta une politique sournoise (comme Gollum) de division de ces ennemis. Devant l'échec de sa fourberie qui ne pouvait dominer la force de la volonté et de la conviction de ces ennemis, l'Espagne, certainement après avoir sondé les forces et les alliés qu'il lui restait, émit le souhait d'ouvrir des négociations avec ses adversaires.
C'est le doge qui en informa le roi de France. Alors aux commandes de ses troupes dans le sud de l'Espagne, un plénipotentiaire ibérique vint lui soumettre la demande de son maitre. Le doge, Impatient V, envoya aussitôt deux de ses plus rapides messagers vers les rois d'Angleterre et de France.
Lorsque la nouvelle parvint à la cour de France, la première réaction du roi fut de rire de ce qu'il pensait être une pitoyable manoeuvre espagnole pour gagner du temps. Il faut dire que nous n'avions pas l'habitude, en France, à ce qu'un Espagnol mène sincèrement une négociation. Néanmoins, consciencieux, notre roi ordonna au sieur de Gonville de participer à ces pourparler mais de ne pas céder sur les renvedications françaises. A la table des négociations se trouvait un envoyé du doge, un d'Avide III et le sieur de Gonville. L'Espagne représenta les intérêts de son allié en attendant l'arrivée de l'envoyé portugais. L'Angleterre n'estima pas nécessaire d'envoyer un diplomate. Encore une fois, ils se reposaient sur les talents diplomatiques français.
Les négociations furent tendus. Au départ, l'Espagne s'opposait à nos exigences pour l'ensemble de nos Etats. A plusieurs reprises l'envoyé français tapa du poing sur la table pour rappeler que son roi n'avait rien demandé et qu'il ne perdrait pas son temps à de veines discussions dont est friand la cour espagnole. La France réclamait la reconnaissance de sa souveraineté sur le sud-est de l'amérique et pas moins ni plus. Cela n'était nullement négociable et notre roi était parfaitement prêt à poursuivre la guerre pour l'obtenir.
Finalement, après moults chipotages et tapages du poing et une ultime renégociations sur les demandes vénitiennes, les ibériques acceptèrent la plupart des demandes de l'Angleterre, de Venise et de la France. La paix fut signée en vainqueur par le roi de France pourtant la réalité du terrain était beaucoup plus nuancée.
Les années de paix, de gloire et de développement (1526-1549):
La disparition du duché de Bourgogne
Après 1526, s'ouvre une nouvelle période de prospérité et de paix pour le royaume. Du moins, une paix dans le sens où le royaume ne fut pas menacée. Il fut en effet décidé de la déchéance finale du duc de Bourgogne dont le duché se résumait aux terres de Bourgogne. Le roi somma le duc de renoncer à ses terres et son titre et celles-ci furent rattacher au royaume de France par les armes (le duc avait osé refuser après toutes les trahisons dont sa famille s'était rendue coupable).
Le developpement du contrôle de la zone colonial
Le roi lança une active politique de colonisation et de développement de la zone française d'Amérique. Ainsi, en à peine 10 ans, les 3 colonies capturées sur l'Espagne devinrent de belles et solides villes françaises. Le roi ordonna de vérouiller les colonies frontalières avec celles espagnoles. Parallélement à cela, en vertu d'accord passé aux temps des négociations de paix, l'Espagne vendit 3 villes coloniales, anciennement terres indiennes, qu'il possèdait encore dans le quart nord-est de l'Amérique. A la demande de la France, qui dù tout de même encore expliquer au roi d'Espagne que lorsqu'on reconnait la souveraineté d'une pays sur une zone on doit arrêter d'entretenir des vassaux dans la zone, les indiens de Creek furent abandonner par Cupide III. Dans leur immense folie, ils s'attaquèrent aussitôt à nos colonies.
Notre roi pris une décision pour le moins étrange. Il ordonna de ne pas attaquer les villages indiens et de seulement défendre nos colonies et il ordonna à ses diplomates de proposer la paix à Creek contre les 3 villes espagnoles récemment achetées. En fait notre roi avait un plan en tête. Il voulait faire accepter son autorité au peuple de Creek mais ne souhaitait nullement sa disparition. En faisant ce "cadeau", il pensait gagner la reconnaissance indienne. Malheureusement, le coeur des hérétiques est trop imprévisible. Nos troupes durent se résoudrent à faire sentir aux chefs creeks l'intérêt qu'ils auraient à se placer sous notre autorité, ce qu'ils acceptèrent finalement.
La France en quête de gloire et de pardon
C'est que la France préparait un autre projet beaucoup plus ambitieux, beaucoup plus prestigieux et beaucoup plus chrétien (si je peux m'exprimer ainsi) : la libération du tombeau du Christ. Face à l'ampleur et au succès dans le bas peuple, mais aussi chez certains aristocrates, de la nouvelle hérésie, les catholiques du royaume, et en premier lieu le roi, étaient très inquiets et tentaient de trouver des remèdes à ce fleau. En 1535, déjà un quart du royaume était touché dont l'oppulente capitale royale. Les conseillers du roi rappelèrent alors au roi que cela faisait bien longtemps qu'aucun chrétien ne s'était intéressé au sort de Jerusalem aux mains des Infidèles. Dieu en était peut-être fort mécontent et frappait le peuple élu, celui qu'il considérait comme le guide de ce monde.
Aussi pieux qu'il était, notre roi ne manquait pas de pragmatisme et de bon sens, il savait que Jerusalem ne pouvait être reprise mais surtout conservé sans une aide locale et un accord avec une force locale. L'Empire Ottoman semblait être le candidat idéal. Avant la France, aucune cours d'Europe n'avait jamais tenté de négocier un tel accord avec le Sultan, simplement parce que tout le monde croyait cela impossible. Pourtant, la diplomatie française y est parvenue (c'est d'ailleurs suite à cet épisode que l'adage "Impossible n'est pas Français" s'est développé). Il n'y aurait aucun intérêt à expliquer comment se déroulèrent ces pourparlers, seul le résultat compte : le Sultan reconnaissait que Jerusalem devait être placé sous l'autorité d'un Etat chrétien.
Cet Etat serait la France qui partit alors en guerre contre le Mamelouks avec l'aide du Sultan. De 1539 à 1543, des Français se battirent en Asie contre des musulmans, parfois même aux côtes de musulmans, mais dans un but authentiquement chrétien et qui devrait animer tout homme de foi : rendre à la communauté chrétienne les sources de son essence même.
Et le 25 décembre 1543, la France offrit au monde chrétien la ville sainte de Jerusalem. Alors que de par le monde on fêtait la naissance du Sauveur, le royaume de France se plaçait en sauveur et protecteur du tombeau du Seigneur. Qui mieux que la fille de l'Eglise et le peuple élu pour accomplir cette tâche ?
lemarseillais
28/08/2007, 00h18
Diplomatie française :
Au roi d'Espagne : Cher cousin, nous venons de prendre connaissance d'un passage de l'histoire officielle espagnole sur le contexte qui entourait la 3e guerre franco-espagnole. Sachez que certains passages nous ont profondément outré et révolté. Certaines atteintes à notre honneur ne nous permettent plus d'entretenir de quelconque rapport cordiaux avec vous sans que notre honneur soit lavé. Pour ce faire il n'existe que deux solutions : le combat singulier ou le pardon. Je ne saurais souffrir de vivre dans la honte dans laquelle vous m'avez plongé. Je vous somme donc de choisir entre la guerre ou les excuses diplomatiques pour les accusations ou mensonges suivants :
il semblerait que la France les ait monté contre nous en soutenant des révoltes indigènes dans les colonies de ces deux derniers pays, en se faisant habilement passer pour des portugais.
nation plus que belliqueuse qui n’avait pas hésité à dépouiller la Bourgogne
Nous avons moins passé d'années en guerre que vous et contre un nombre d'ennemis plus restreint que vous.
Sinon vous pouvez me rappeler quel sort vous avez réservé au royaume d'Aragon ?
la vantardise, les prétentions et le ton supérieur était plus qu’insupportable
On ne peut mesurer la puissance d’une nation à ses seuls revenus mensuels qui en effet étaient très important pour l’Espagne
On ne peut mesurer la puissance d'une nation à son seul manpower qui en effet est très important pour la France
Les intentions de l’Espagne ont en effet toujours été l’équilibre en Europe, ainsi que dans les colonies, n’en déplaise à la France qui fut la seule nation à se plaindre.
Si l'équilibre veut dire le contrôle par un même Etat de l'ensemble des richesses orifères et commerciales du continent nord et centre américain au détriment des autres Etats présents et en usant de la force si nécessaire, alors dans ce cas oui nous pouvons dire que l'Espagne défend l'équilibre...
Pour notre part, nous nous sommes plaint de l'absence d'équilibre au sens traditionnel du terme, c'est-à-dire : état d'un espace territorial dominé par des forces qui se contrebalancent. Nous n'avions pas connaissance de la définition espagnole à l'époque.A titre purement informatif, il est stupéfiant de constater que l'Espagne qui défend une valeur si noble et humaine de partage équitable du monde soit obligée de "payer" ses alliés (pologne, russie) tandis que la France, qui ne cherche que le déséquilibre du monde à son seul profit, parvient sans difficulté à rallier Anglais et Vénitiens sans dépenser le moindre centime.
Marco Rale
28/08/2007, 10h43
Précision Russe relative au protocole:
Certaines communications qui nous parviennent sont adressées au "Tsar"
Il n'y a pas de Tsar en Russie. Il n'y a qu'un Kniaz, Grand Prince Marchand élu, qui représente l'alliance éternelle de la noblesse, des guildes et du peuple au seing du Grand Velche de toutes les Russie, à Novgorod.
Actuellement le pouvoir est délégué au grand Prince de Moscou Aedanski qui siège à Novgorod avec sa grande horde pour toute la durée de son mandat.
Merci
On ne peut mesurer la puissance d'une nation à son seul manpower qui en effet est très important pour la France
Malheureusement nous pensons que si : en effet, dans notre dernière guerre malheureuse contre vous, nous avions énormément de liquidités, et nous pensons que la France également puisqu'elle a pu recruter en masse dans ses campagnes en permanence.
Seulement la différence flagrante de population mobilisable a apporté l'avantage décisif et structurel à la France. Ajoutons à cela les terres de France continentale extrèmement riches et facilement défendables.
Tout cela fait de la France probablement la nation la plus puissante de ce temps. Mais il n'y là aucune honte à avoir, tout au contraire nous saluons la puissance de ce grand Royaume qui a pu libérer Jérusalem.
Il faut seulement assumer les quelques critiques inévitables que peuvent faire telle ou telle nation à votre encontre. Critiques qui vous le conviendrez certainement ne sont guères insultantes ou menaçantes surtout maintenant que tout contentieux entre nos deux pays est réglé. Il ne s'agit que de demandes de précisions auquel vous n'avez toujours pas répondu d'ailleurs.
Concernant vos alliés Venise et Angleterre,surtout Venise il faut dire, cette nation n'a jamais fait montre d'un grand courage, et l'appater d'une proie facile en difficulté n'a pas du être très difficile.
lemarseillais
28/08/2007, 14h47
Diplomatie française :
C'est votre opinion. Nous avons la nôtre. Cela n'était pas ce que nous appelons des accusations à tords dont nous demandons toujours des excuses, qu'il nous faudra aller chercher si vous n'y êtes disposé. Lorsque vous nous accusez d'avoir lever les indigènes contre dans les comptoirs anglais, par exemple, vous ne formulez pas une critique mais une accusation infondée et erronée.
Nous avons parfaitement conscience de ne pas répondre à vos questions. Rassurez vous, elles ne nous ont pas échappé.
Pedrolane
28/08/2007, 14h53
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surtout Venise il faut dire, cette nation n'a jamais fait montre d'un grand courage, et l'appater d'une proie facile en difficulté n'a pas du être très difficile.
Si l'Espagne souhaite tant la paix en Europe elle ferait mieux de commencer par ne pas insulter les autres Nations, nous avons certainement toujours eut plus de courage que l'Espagne, en effet nous avons eu le courage de rentrer en guerre alors que nos niveaux technologiques , notre manpower et nos revenus financiers étaient tous nettement inférieurs a ceux de l'Espagne et du Portugal.
Venise a eu le courage de TOUJOURS, et ce depuis le début de la GPO de respecter ses engagements quoiqu'il arrive, c'est peut etre pour cela qu'aujourd'hui l'Espagne se trouve isolée et non pas Venise...
Venise, elle, a toujours oeuvré pour la Paix contrairement à l'espagne et ces sbires qui n'ont cessé d'etre belliqueux et qui n'ont cessé de regarder les autres de haut.
Sachez Roitelet, que jamais plus vous ne pourrez avoir notre pardon, car en effet il est SI simple de stigmatiser venise, qui est faible et dont tout le monde peut avoir une rancoeur...
En effet le Portgual, vous meme et l'Autriche ont une ''raison'' d'en vouloir à venise, cette raison c'est le fait qu'on ai gagné la guerre et vous ne l'avez jamais digérer cela, comme vous n'avez jamais pu digérer le fait que l'on s'installe en amérique.
L'Autriche et Venise sont parvenues à un accord raisonable pour les deux parties, certes qui ne garantit pas que nous nous entendrons toujours très bien mais au moins qui va permettre à nos deux nations de reprendre des relations diplomatiques saines et neutres.
L'Espagne n'a jamais cherché cela avec personne car son roi est cupide et lache, l'Espagne à toujours tenté d'avoir le dessus meme par la parole, l'Espagne n'acceptera jamais d'avouer qu'elle a eu tort a tels ou tels endroit, lorsque l'Espagne se dit vouloir l'équilibre de l'Europe et des collonies .... entendez Roitelet: les cours de toutes l'Europe ricannent.
Jamais l'Espagne n'a cherché a rééquilibrer quoique ce soit en Europe. Et le soit disant équilibre que vous souhaitiez en amérique est l'équilibre de "l'hégémonie espagnole", pour vous : équilibre = tout possèder.
Que l'Espagne soit prete a faire des concessions et à redescendre de son piedestal sur lequel elle ne se trouve plus depuis la dernière guerre ! En effet, vous ne ferez plus que courir après votre gloire passée que jamais vous ne pourrez récupèré tellement votre arrogance et votre dédain des autres vous perdra.
A la France : concernant l'affaire des colonies brûlées, vous aurez noté que les services espagnols ont des soupçons et non des accusations définitives contre vous : à partir du moment ou ni le Portugal ni l'Espagne ne sont en cause, nous aimerions bien savoir qui est à l'origine de ces forfaits.
Si la France nous donne sa parole, devant Dieu et l'Eglise qu'elle n'est pour rien dans cette affaire, alors nous la croirons, et nous ferons nos excuses bien humblement.
A Venise : aucune espèce d'excuse ne sera faite à une nation de marchands sans scrupules qui n'est autre qu'une nation de couards et de lâche profitant des disputes passées entre France et Espagne pour se goinfrer de colonies.
D'ailleurs si la France n'est pour rien dans les révoltes indigènes, peut être y êtes vous plus impliqué qu'on ne le pensait : allant brûler des colonies anglaises et simulant des révoltes chez vous, tout en accusant le Portugal que vous aviez en vue (vous nous aviez d'ailleurs dit que vous cherchiez à vous agrandir en annexant des terres portugaises avant la guerre). De cette façon vous ameniez dans votre folie le sage royaume anglais.
Pedrolane
28/08/2007, 15h17
Juste sachez ceci : Les seuls pays qui avaient les moyens financiers de soutenir autant de révoltes étaient l'Espagne et le Portugal. Je le sais, vous le savez,le Portugal le sait, l'Angleterre le sait et la France le sait aussi.
Pour le reste , c'est-à dire vos insultes "marchands sans scrupules qui n'est autre qu'une nation de couards et de lâche" référer vous à ce que nous vons avons dit précédement.
Le problème n'est pas l'argent : cela ne coute quasiment rien d'envoyer des espions, mais bien le nombre d'espions lui même qui est très faible de notre côté.
lemarseillais
28/08/2007, 15h25
Le roi de France fait savoir qu'il est prêt à jurer sur le tombeau même du Christ qu'il n'a strictement rien à voir avec les révoltes autochtones.
Nous attendons donc les excuses officielles du roi d'Espagne.
Nous nous étonnons de votre volonté de mener au clair cette histoire alors même que vous n'êtes pas la victime dans l'histoire. Notez que pour l'Angleterre et Venise, le coupable ne faisait pas l'ombre d'un doute et il ne couche pas dans le royaume de France.
Nous faisont donc de plates et sincères excuses au Roi de France pour nos soupçons passagers.
Quant à notre volonté de tirer au clair cette affaire de révolte, nous voulons tout simplement savoir quel est le lâche pays par qui notre réputation et celle de notre ami portugais fut entachée.
Et étant donné que ce pays est profondemment lâche, les soupçons naturellement se portent maintenant sur Venise...
Pedrolane
28/08/2007, 16h42
L'Espagne ne fait que confirmé par ces propos ce que nous avons déclaré précédement, contiuez :) vous aller dans notre sens.
Déclaration Anglaise
Quand deux de nos colonies à peine implantées dans des régions où l'hostilité des autochtones est notée comme ' faible', voire même 'très faible', que ces deux colonies disparaissent simultanément suite à une double révolte indigène et que, enfin, deux colons étrangers partent immédiatement coloniser ces deux régions à peine vierges, il ne faut pas être devin pour deviner qui a armé ces indigènes.
Le coupable est celui qui envoit immédiatement ses colons. Le coupable est le seul qui se fait tout petit, espérant se faire oublier. Le coupable est celui qui sait que aucun de ses espions n'a jamais été capturés et qui pense le Roi d'Angleterre, loué soit-il :priere: , trop sot pour additionner un et un.
Le coupable n'est pas Venise. Le coupable n'est pas la France. Le coupable n'est pas l'Espagne.
Le coupable est le Portugal
Alors, Roi d'Espagne, vous qui avez tant hurlé votre désapprobation devant ces méthodes ignobles, qu'allez-vous faire à présent? Continuez à défendre de votre corps l'ingrat qui vous a abandonné? Qui a déclenché contre vous l'offensive Veneto-Anglaise? Qui vous a délibéremment menti sur sa participation à ce crime odieux?
Agissez ainsi et vous serez aussi coupable que lui, complice d'un crime que vous approuvez moralement. Agissez ainsi et ralliez le camp des comploteurs saboteurs qui n'ont même pas le courage de leurs actes. Agissez ainsi et tournez le dos à l'Honneur, la Justice, la solidarité chrétienne!
Faites votre choix et que le monde entier sache réellement qui siège en Espagne: un juste inquiet de l'équilibre mondial ou un forband prêt à soutenir tous les crimes pour maintenir son hégémonie et celle de son complice!
Aux yeux de l'Angleterre, le Portugal a payé pour son crime, mais notre Honneur nous interdit de voir ainsi accuser injustement des nations chrétiennes qui n'ont rien à voir avec ce crime. Londres constate aussi avec quelle facilité l'Espagne accepte pour argent comptant les déclarations d'innocence du Portugal, que personne d'autre n'a jamais vu d'ailleurs, mais s'obstine à accuser la France et Venise... Sachez que le Roi d'Angleterre n'est pas dupe, il sait.
***** Chroniques de la Sainte Russie *****
La victoire sur la Lithuanie
Les armées Lithuaniennes sont inombrable et submerge la république de Novgorog peu habituée à des combats sur une telle échelle. Le Conseil supérieur de la république proclame l'état d'urgence et le gel de tous les avoir étranger à Novgorod. 12.000 mercenaires Janissaires sont recruté à grand fraid ainsi que ll'instruction de 5.000 Cosaque Suplémentaire.
La terrible vague Lithuanienne sera finalement arretée par l'Hivers. Au Printemps, Novogord assigée pu etre dégagée par les armées reconstituées de la république. La contre attaque longue et méthodique commence. Au sud, dans les plaines, les combats de cavalerie font rage. Mais les armées républicaines sont irresistibles et finalement la Lithuanie devra ceder 3 provinces dont la ville de Tver à la république
Mercenaires en Italie
Pendant la terrible épruve de la guerre en lithuanie, le puissant et riche royaume d'espagne nous apporta une garnde aide financière. Mais la guerre éclata bientot à l'Ouest entre nations occidentale et nous offrimes nos services au roi d'Espagne. 12.000 Cosaques embarqué sur navires débarquèrent à Dantzig en pologne, traversèrent toute la pologne puis l'Autriche et enfin parvient en venetie, une ennemie de nos employeur espagnols. La Vallée du Po étant déserte, les cosaque de Novgorod se portèrent sur Ancone et livrant une batille à égalité numérique, écrasèrent les vénitiens faisant 2900 morts contre seulement 200 cosaques. Poursuivant les débrit vénitiens, les forces de Novgorod se firent surprendre dans les montagnes de Toscane dans une situation difficile. Alors que els combat faisait rage et tournait à la catastrophe, la nouvelled e la paix parvint sur le champs de bataille. Notre employeur faisait la paix et nos fiers cosaques retournèrent au pays avec l'impression d'un travail mal fait, d'un travail inachevé
Vive la Sainte Russie
La disparition du duché de Moscovie et de l'empire Byzantin laissait le monde orphelin d'un grand guide, d'un empereur. La montée en puissance du duché de Moscovie fut le signe pour le grand patriarche, que la pourpre impériale pouvait etre reprise afin de federer tous les orthodoxes. Le Patriarche offrit alors la courone de toute les russies à la plus illustre famille de Novogorod. La république marchande de Novgorod devenait ainsi le nouvel empire de Russie même si dans les faits, les anciennes institutions républicaines furent conservées et que la dignité impériale ne devint pas heréditaire mais elective sur le principe de l'ancien conseil de Novgorod.
La campagne de Kazan.
L'avénement de la Russie offrait la possibilité de revendiquer les terres de l'ancienne principauté de Kiev du IXeme siècle. La Russie entra en guerre avec Kazan et la Sibérie. Mais KAzan disposait d'une enclave en Crimée et heureusement le sultan Ottoman de montra coopératif. Kazan et la Sibérie furent reduite à leurs capitales et toutes leurs terres furent annexées.
L'accord avec le Sultan, la disparition de Kazan
Un accord fut finlement trouvé avec le sultan pour un echange de terre permettant la constitution d'une frontière sure entre les deux empires. Une 2eme guerre permis alors la conquete complete et définitive de la Sibérie et de Kazan.
La 2eme guerre de Lithuanie
La Lithuanie catholique comportait 50% de sa population d'origine russe et Orthodoxe. Apres accord avec la Pologne, une vaste offensive Russe débuta contre la Lithuanie. L'arme Lithuanienne comportait 45.000h et il faudra 3 années d'une campagne terrible pour aboutir aux obejctifs prevus. Toute la lithuanie orthodoxes fut annexée à l'empire de Russie.
Aujourd'hui la Russie est devenu une trés grande puissance par la force de ses armées....
Campagne du Mali: Juin 1553 – Mai 1555
Prologue : long préparatif. 1540-1553
Suite à la campagne du Zimbabwe, par nos conquistadors, Frise vit ses revenus exploser de près de cinquante pourcent, l’ouverture de Frise qui n’avait ramené que du prestige et de faible revenu, commencé à payer. Le Duc ne fut pas pour autant totalement rassasié, de l’autre coté de l’océan il voyait de nombreux galions partir vers la péninsule ibérique, chargé d’un butin phénoménal ! Il fallait continuer pour renforcer Frise face à ces vauriens ! Une expédition fut donc préparée pour conquérir les dernières mines d’or d’Afrique, celle du Mali.
La campagne fut préparée longtemps à l’avance, Frise devait déjà installer des bases coloniales vers la cote et l’intérieur des terres, et lancer son explorateur a la découverte d’un maximum sur le terrain avant d’engager le combat contre le roi nègre, il fallut près de 10 ans a Frise pour réunir ses moyens militaires.
Frise premièrement installa une colonie en cote d’ivoire après le massacre des indigènes par nos 4 milles cavaliers aux débuts des années 40, cette base devait servir de centre pour la découverte de l’intérieur des terres, mais aussi de centre de ravitaillement de notre flotte, pour enlever notre dépendance des colonies du Doge d’Afrique de l’ouest.
Le duché par la suite repartit vers l’est pour sa guerre contre le Zimbabwe.
C’est en 1546, avec la fin du conflit sur les terres d’Afrique de l’est, que Frise reprit ses préparatifs pour le Mali, le conquistador Enhard Bonga commença à découvrir l’intérieur des terres africaines, cartographiant méticuleusement les provinces frontalières des différents états africains. Après la cartographie une autre mission vint, face aux forces numériquement importante qu’avait à disposition le royaume du mali, Frise avait besoin d’un nombre important de terre où installait ses troupes, vu les faibles revenues qu’ont pouvait tirer de ces terres, c’est ainsi que impitoyablement les troupes Frisiennes chassèrent de la Cote du Poivre, de Konian et de Worodougou, les populations non civilisé pour y installer des colonies Frisienne, les préparatifs d’accueil de nos troupes fut finit en 1553, après plusieurs non-réussite de colonisation dut aux problèmes dont était secoué le duché, par la succession de souverain a sa tête.
La préparation des forces militaires pour ce conflit ne commença qu’en 1549, pour faire face aux nombres de troupes dont disposer le royaume africain, Frise recruta 8 mille cavaliers, et prêt de 8 mille arquebusiers dans les terres de Liège et du Luxembourg, où se trouvaient des manufactures ayant réussit à découvrir ces nouvelles technologies militaires.
En 1553, nos troupes étaient prêtes à l’action.
http://img209.imageshack.us/img209/7259/ccry2.png (http://imageshack.us)
La guerre : 1553-1556.
Le lancement de l’opération fut fait en juin 1553, l’armé Frisienne comptait 12 mille chevaliers, soutenus par 8 k d’arquebusier suivant le modèle de Maurice de Nassau et 4k de lansquenet, et le Malien aligné quand a lui, une armée de 30 mille hommes, mais aussi une forte réserve de pauvre bougre, mobilisable.
La première phase de l’action était la plus délicate, il fallait réussir à mettre en déroute les 2 grands corps d’armé ennemi, le conquistador Enhard Bonga, grand stratège décida d’attendre que l’ennemie face une erreur, celle-ci vient au moi de juillet, le mali avait commencé à disperser ses forces armées pour tenir toute la frontière, cette manœuvre mit en position de faiblesse les troupes défendant leur capitale Niani, la cavalerie s’élança du Konian pour écraser les 8 milles qui restait, l’infanterie de Worodougou, constituait de 4 mille lansquenet et de 2 mille arquebusier, suivi la maneuvre.les forces ennemie furent culbuter en une dizaine de jour, ceci faisant retraite vers le gros de leur armé.
Une seconde erreur vint ensuite, le roi nègre voyant le Konian non défendu y lança une partie de ses forces, les restes des troupes Frisienne restées sur la coté y furent envoyés, après cette victoire toute les troupes néerlandaises furent lancées sur la province de Bouré, où stationnaient les dernières troupes fraiche de l’ennemie, ayant perdu leur moral, et plusieurs millier de ces hommes, la retraite était la seule solution.
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/2/2e/Coronado-Remington.jpg
Troupe de Frise en marche
L’armé de Frise commença une longe campagne de poursuite dans les régions côtières où avaient fui les troupes maliennes, Enhard Bonga ne voulant pas laisser une seule chance a l’ennemie de se réorganiser. Ce général n’ayant aucune des sièges, le duché dut envoyer un de corps de siège métropolitain, 4 mille lansquenets et 2 mille canonniers furent envoyé assiéger en décembre 1553 la capitale du royaume, celle ci tomba en octobre 1554.
http://img444.imageshack.us/img444/3720/cccms0.png (http://imageshack.us)
L’année 1555 fut marqué en son début par le massacre total des corps de batailles d’avant guerre malien, l’armé put se tourner totalement vers la prise des régions aurifères, les garnisons de Bourré, Bambouk, Koumassi puis Djenné tombèrent tour a tour durant l’année et demi qui suivit, la cavalerie continua à poursuivre les troupes de maraudeur malien qui essayait de prendre nos colonies
En juillet 1556 la paix fut enfin signer à Walata, le Mali abandonne ses 3 mines aux ducs.
Le bilan de la guerre fut une victoire écrasante des troupes Frisienne qui ont montré des qualités manœuvrières de premier ordre, n’ayant subit aucune défaite. Pour un Frisien tué prêt de 3 maliens sont tombé, et ce ne sont pas maliens qui ont tué le plus de Frisien, la maladie a fait beaucoup plus de ravage que ces guerriers ineptes. Selon les dernières estimations, les pertes malienne ont été de prêt de 60 mille hommes, pour 20 mille Frisiens.
[1549-1561]
Journal : La Voie de la Vérité
Article :La dynastie ducale touchée par des morts inexpliqués.
Depuis la mort de notre bien aimé duc Willem Lodewijk I le 21 aout 1549, le trône de Frise subit une mortalité inconcevable ! Notre Duché est Habitué à cela, mais aujourd’hui cela dépasse tout ce qu’on avait connu ! Depuis sa mort jusqu’en 1561 se sont succédé 4 Duc sur le trône !
Ernst Casimir II : 1549-1550
Johan Willem III: 1549-1555
Johan Willem IV:1550-1560
Ernst Casimir III:1560-....
Ces morts ont crée beaucoup de rumeur dans le royaume, une partie la populace commença à croire à une malédiction divine, certain voulurent faire croire que cela venait d’un complot protestant, mais la majorité du peuple était instruite, et le dogmatisme n’avait que peu court a Frise, et le pouvoir balaya ces allégations.
D’autres rumeurs font état d’empoisonnement, mais aucun poison connu ne fut découvert lors des examens post mortem, mais les découvertes dans ces domaines allait plus vite que la médecine ; surtout avec la découverte d’herbe dans les terres d’outre mer !
Qui aurait bien pu vouloir tué nos souverains ? Nous pouvons déjà éliminer les états suivant, Venise, l’Angleterre et la France, avec lesquelles nos relations sont plus qu’honorables et qui n’aurait aucun intérêt a semé le trouble dans notre duché, nous pourrions penser a un complot Autrichien pour finir d’unifier le saint empire Germanique mais nos relations se sont améliorer, et sont aujourd'hui plus qu'amicale.
Que reste t'il donc?!
Deux royaumes ont peut-être des raisons de vouloir semer le trouble dans le royaume, l’un qui s’inquiète de notre progression en outre mer, et l’autre qui ne c’est peut être pas remit de notre alliance avec les Français, et oui les soupçons ce posent vers la péninsule Ibérique !
Aujourd’hui cette thèse est plus que accepter dans le duché, la fourberie étant une marque des peuples de cette région ! L’un corrompant les bourses des monarques, l’autre brulant les colonies de ses concurrents !
Nous demandons aujourd’hui à notre duc de tout faire pour arreter les actions de ces mécréants ! Que justice soit rendue!
Hector Hunk.
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http://img108.imageshack.us/img108/9765/aar15616nq4.jpg
http://img504.imageshack.us/img504/6465/aar15617ny5.jpg ...
Missives diplomatiques
A notre amie l'Espagne
Cher cousin, votre situation fut délicate, lors de la dernière guerre. Afin de vous éviter un aurtre dilemne de ce genre, à l'avenir, nous venons en toute amitié vous rappeler cette maxime : "A vouloir satisfaire la plupart, on finit par mécontenter tout le monde"...
Au bon Sultan de constantinople
Grand sultan, l'Empereur considère avoir une dette envers vous. N'hésitez pas à nous la réclamer.
A tous les royaumes catholiques d'Europe
L'Empereur souhaite qu'une grande offensive de la part de toutes les nations catholiques, soit menée immédiatement pour faire barrage à l'hérésie protestante qui fait des ravages. Nous allons de ce pas en faire part à sa Sainteté pour qu'un Concile se réunisse. Cette offensive devra être la priorité des priorités. Tous les pays catholiques devront y participer, même si son territoire est actuellement épargné. La solidarité entre nations catholiques devra être de mise. Il en va de l'avenir de l'Eglise.
1550 – 1561. Pour une place au soleil
Acte I. L’échec des négociations avec le Portugal
Edgar III succomba un beau matin de mars 1554, laissant derrière lui une Angleterre plus prospère que jamais. Mary II lui succéda, première Reine depuis bien longtemps. Alors qu’Edgar avait concentré toute son attention sur le commerce, elle tourna de son côté un regard nouveau et bienveillant vers l’Asie, où l’Angleterre disposait désormais de 2-3 bases suite aux exploits d’Henry VII. Ce qu’elle vit ne lui plut pas du tout :enerve: : le Portugal, après s’être approprié avec la plus grande sauvagerie l’Afrique du sud et l’Amérique du sud, récidivait à présent avec l’Asie : des dizaines de provinces étaient occupées. Non pas développées, mais bien occupées. Moins de 100 colons par province, le seul but étant de priver les autres pays d’un débouché qui revenait pourtant à tous :?: . « Plus ils en ont, plus ils en veulent dirait-on » murmura avec tristesse la Reine. Lisbonne avait visiblement pour ambition de parsemer au moins la moitié du monde de ses colons…
Cela était naturellement inacceptable et le Roi de France décida d’organiser une grande conférence regroupant toutes les nations coloniales afin que celles-ci s’engagent à respecter les valeurs chrétiennes que tous étaient censés défendre. Deux points étaient à l’ordre du jour : l’interdiction des sabotages, méthode indigne entre chrétiens, et l’interdiction de thésauriser dans le seul but de priver son voisin, ce qui est pêché selon les préceptes de notre Seigneur Jésus. Venise, la France, l’Angleterre et l’Espagne donnèrent leur accord. Le Portugal, lui, refusa tout en bloc :( . Son Roi hurla que les sabotages étaient légitimes pour contrer toute tentative de colonisation « dans sa zone d’influence » et qu’il colonisait comme il l’entendait « dans sa zone d’influence ». L’Angleterre pacifique et bienveillante demanda alors en quoi consistaient ces « zones d’influence ». Stupeur et indignation, la « zone Portugaise » comprenait l’intégralité de l’Amérique du sud, l’Afrique du sud et les ¾ de l’Asie :goutte: . Autant pour la solidarité et la tempérance chrétienne…
Le ton commença à monter et le Roi du Portugal se vanta publiquement d’avoir envoyé les saboteurs qui avaient détruit nos colonies d’Afrique du sud et d’Argentine : il avouait enfin :enerve: . Après s’être si longtemps caché dans un silence coupable, après avoir laissé son allié Espagnol subir nos foudres pour ces destructions, après avoir laissé les nations chrétiennes et coloniales s’accuser les unes les autres, il avouait, les preuves rassemblées par l’Angleterre étant de toute façon irréfutables. Mary était pacifique, elle pouvait pardonner ces actions barbares, mais encore fallait-il qu’il y ait volonté de repentir… Tel n’était pas le cas et le Portugal refusa de réviser d’un iota sa très agressive politique coloniale :?: . Quand deux positions sont inconciliables, l’heure des discussions est terminée… Les armes allaient parler :=(: . Le Roi de France admit l’échec de la conférence et s’en retourna navré à Paris.
Acte II. Une guerre mal embarquée
La guerre fut déclarée en 1558, deux David contre un Goliath, l’Angleterre et Venise contre le très riche Portugal. Celui-ci était aussi riche à lui seul que les deux David et il disposait surtout d’une avance technologique incroyable :?: . L’Angleterre et Venise, unis maintenant comme il y a 35 ans, ne disposaient que d’un unique avantage, en théorie en tout cas : la supériorité numérique, terrestre principalement. Restait encore à pouvoir l’utiliser et la nature même de la guerre allait en fait rendre cela impossible, raison pour laquelle le Portugal allait en fait bénéficier de tous les avantages et prouver à tous qu’il était plus puissant que l’Angleterre et Venise réunis :loose: . Néanmoins, nous vaincrons quand même car le Très Haut est avec nous :mrgreen: .
Le plan établi était le suivant : Venise devait concentrer ses efforts en Amérique du sud uniquement, contre l’ancien royaume Inca d’une part, contre le Brésil Portugais d’autre part. L’Angleterre, elle, avait aussi deux fronts principaux à gérer : le Brésil, où 20.000 de ses soldats devaient soutenir l’offensive Vénitienne, et l’Asie, où un corps expéditionnaire de 12.000 soldats devait prendre l’offensive, en coordination avec les garnisons locales.
L’Amiral Richard Uxbridge, dès que la guerre fut déclarée, quitta nos villes d’Amérique sous les acclamations de la foule en délire : il partait pour l’Asie, remplir la mission que Londres s’était fixé :) . Après avoir traversé l’atlantique, il dut faire escale dans les ports Vénitiens d’Afrique de l’ouest, les navires ne pouvant supporter sans réparation une aussi longue traversée. Là, nos alliés lui apportèrent les dernières nouvelles : s’ils avançaient un peu dans l’ex-royaume Inca, c’était l’échec total au Brésil et les réserves Anglaises devaient intervenir pour relancer l’offensive.
C’est à ce moment que Londres constata que, dans son enthousiasme à envoyer en Asie son corps expéditionnaire, elle avait comme qui dirait oubliée d’envoyer les 20.000 soldats prévus au Brésil :loose: . Seuls 8.000 étaient présent et ils reçurent ordre de rallier nos alliés. Richard Uxbridge décida cependant de passer un savon aux officiers du corps expéditionnaire qu’il convoyait, partant du principe que tous les officiers de l’armée de terre étaient les mêmes. L’envoyé spécial de Mary II, l’illustre Danton :mrgreen: , réputé pour son habileté technique avec les nouvelles technologies ( micro, hauts-parleurs et autres :siffle: ) s’en alla réunir ces vétérans.
(Lord Danton) « Amiral, euh, il y a comme un problème… »
(Richard Uxbridge) « Nous n’avons débarqué que 8.000 hommes auprès de nos alliés Vénitiens, je sais, mais voyez le temps qu’il nous a fallu pour traverser l’Atlantique ! Non, nous allons remplir notre mission puis nous reviendrons, tout ira bien, vous verrez. Bon, où sont les officiers, que je les tance un peu pour cet oubli impardonnable :enerve: »
(Lord Danton) « Il n’y a pas d’officier de l’armée de terre ici, pas un seul »
(Richard Uxbridge) « Comment ? Mais qui va commander les troupes alors ? Je suis un marin, moi, pas un général :tongue: ! »
(Lord Danton) « Il n’y a pas de troupes non plus »
(Richard Uxbridge) « Plait-il ? »
(Lord Danton) « Nous les avons aussi oublié :loose: , elles sont toujours en Amérique »
(Richard Uxbridge) « Comment ? »
(Lord Danton) « C’est la faute de Marseillais :mrgreen: »
(Richard Uxbridge) « Mais, mais, mais… Vous êtes certains au moins que nous sommes en guerre ? »
(Lord Danton « Oh oui, cela aucun doute :p: ! Nous avions juste oublié qu’il fallait des soldats pour faire la guerre :loose: … Bon, on fait quoi là ? Nous retournons les chercher ? »
(Richard Uxbridge) « Surtout pas, nous serions la risée de tous ! Euh, faisons comme si tout allait très bien, cela trompera l’ennemi :o: , vous verrez. Bon, continuons vers l’Asie et espérons que les garnisons locales suffiront »
Et c’est ainsi que la Royal Navy reprit sa route vers l’Asie, avec pas un seul soldat embarqué :yeux: . Au large de l’Afrique du sud, Richard Uxbridge croisa une petite flotte Portugaise, qui s’échappa péniblement, y perdant la moitié de ses navires.
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Cette victoire, toute limitée qu’elle fut, n’était pas sans importance : elle semblait prouver que le Portugal rassemblait ses navires au Brésil. La flotte Anglaise d’Asie se décida alors à quitter ses ports et convoya les troupes de garnison en Australie : ce fut un désastre, nos troupes se sont fait tailler en pièces :ouin: . Au Brésil, nos soldats engageaient eux aussi les hostilités, pour un résultat identique…
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Richard Uxbridge se sépara de quelques navires, qu’il envoya renforcer la flotte d’Asie et repartit pour l’Amérique : il errait comme une âme en peine depuis 18 mois, cela devait cesser et il fallait repartir sur de meilleurs bases. De fait, l’Angleterre s’était complètement fourvoyée, suite à une préparation des plus catastrophique et quelques oublis…:loose: Il fallait redresser la situation, et vite. De nouvelles garnisons locales levées en Asie nous permettent de brûler quelques colonies Portugaises en Indonésie puis, surtout, de reprendre l’avantage en Australie, où le centre de commerce d’Eoza tombe entre nos mains. Le conquistador George Blake pousse son avantage et s’enfonce à l’intérieur des terres, où il triomphe une fois encore des armées Portugaises.
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Au Brésil, par contre, c’était la déroute la plus complète et les armées Portugaises, désormais trois fois plus nombreuses :goutte: , étaient passées à la contre-offensive : les positions Vénitiennes tombaient les unes après les autres. Il fallait envoyer des renforts décidèrent les deux David. Mais la flotte Portugaise de l’Amiral Uriel de Queirez veillait : elle tomba à l’improviste sur les navires Vénitiens et envoyèrent par le fond les ¾ de ceux-ci. Sans navires, pas de renforts et sans renforts pas de victoire possible :?: . La situation devenait des plus tragiques :ouin: , le très riche et très puissant Portugal semblait déjà avoir, après deux ans de guerre seulement, la victoire à portée de main… Il fallait réagir ! Et commencer par ce qui aurait du être fait il y a deux ans déjà : débarquer des renforts auprès de Venise en Amérique du sud.
Alors que la Royal Navy approchait du Brésil, avec des troupes à bord cette fois, un cri d’alerte fut lancé : le pavillon d’Uriel de Queirez, le boucher des Antilles ! Hurlant et vociférant, Richard Uxbridge oublia ( c’est une habitude chez lui :yeux: ) les troupes terrestres qu’il convoyait et cingla à toute allure vers le Portugais, afin de venger nos alliés de Venise. Manœuvre d’une folle audace qui sentait bon le quitte ou double : si la Royal Navy était vaincue, la guerre au Brésil était perdue et le retour d’Uriel de Queirez en Asie aurait scellé de même tout espoir de victoire sur ce front. La victoire ou la mort :=(: !
Un 9 au choc pour l’ennemi, c’est bien partis :goutte:
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Victoire ! :clap:
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Les pertes cependant ont été lourdes, supérieures même de notre côté malgré notre victoire et notre supériorité numérique :goutte: : un appel est donc lancé aux débris de la flotte Vénitienne et le Doge y répond favorablement. Sa flotte nous rejoint pour une nouvelle bataille contre Uriel de Queirez :) .
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Cette fois, la victoire est sans appel :chicos:
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La flotte de Venise, fortement endommagée par les combats, rentrent au port, mais pour la Royal Navy l’heure n’est pas venue de se croiser les bras : Richard Uxbridge poursuit les Portugais en déroute et les écrase deux fois de plus avant d’en terminer une fois pour toute le long des côtes du Brésil .
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Uriel de Queirez parvient enfin à se replier dans un port Portugais, la flotte Anglaise, très sérieusement endommagée, se replie avant que l’usure ne la décime. Immense victoire navale pour l’Angleterre :clap: et inespérée bouffée d’oxygène pour la coalition, qui est passée de la retraite au Brésil à la déroute la plus complète :( . Les renforts finalement débarqués par Uxbridge sont taillés en pièce par des Portugais trois fois supérieurs en nombre aux troupes coalisées : la supériorité numérique de l’alliance n’était-elle pas son seule et unique avantage ? Où est cette supériorité :?: ????
Néanmoins, Londres ne perd pas espoir, le moral gonflé à bloc par sa victoire navale, et le conquistador George Blake apporte une nouvelle victoire au Royaume
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Victoire qui malheureusement qui lui coûte la vie :ouin:
Le très riche et très puissant Portugal, malgré sa défaite navale, conserve l’avantage, après trois années de guerre, mais au Roi du Portugal nous disons ceci : la guerre ne fait que commencer. :siffle2:
lemarseillais
02/09/2007, 13h23
La position diplomatique française durent les années 1550-1561
Depuis la fin de sa dernière guerre contre l'Espagne, le Portugal et la Pologne, le royaume de France vivait des jours de paix. Toutefois, notre bon roi savait pertinement que la paix ne dure que le temps que se forge les novuelles ambitions. Il ne fallait donc pas se reposer sur le confort de la paix et perpétuer la tradition française d'une intense diplomatie pérenne. Auréolé de sa gloire récente suite à la libération de Jerusalem, le roi de France se senti le devoir de trouver des issues pacifiques aux problèmes de ce monde. Il s'attela d'abord à celui générateur de multiples conflits depuis 80 ans : la colonisation.
En effet, chaque pays avait sa propre politique et philosophie coloniale. L'Angleterre et la France misait sur un développement lent mais sur, l'Espagne et le Portugal avait choisi une voie opposée. Les nouveaux coloniaux, quant à eux, s'étaient contentés des restes et/ou avaient usé de la force pour aggrandir leur zone d'influence. Les deux anciens adversaires de la guerre de Cent Ans maudissaient le recours à une pratique dite de coloriage qui n'avait que pour conséquence d'attiser les envies et les rancoeurs. Les nouveaux coloniaux, principales victimes de ces coloriages par la diminution des espaces libres, portèrent crédit aux dénonciations franco-anglaise et embrassèrent leurs idéeaux.
L'autre problème colonial consistait à une pratique que l'on ne peut vraiment pas qualifier de chrétienne et qui reposait sur le péché de convoitise : le financement de révoltes autochtones dans de jeunes colonies. Ce problème fut rencontré par deux royaumes : l'Angleterre et Venise. Très vite leur soupçons portèrent sur le royaume du Portugal. Il semblerait, suite aux dernières révélations, que cela soit exact mais la prudence est de mise dans cette affaire. Quoiqu'il en soit, cette méthode attisa la rancoeur des anglo-vénitiens face aux Portugais, déjà champion du coloriage de carte depuis que l'Espagne s'était rangée, il y a quelques années, à l'idée d'une modération coloniale.
C'est ainsi qu'en 1556, le roi de France contacta les différentes cours des royaumes coloniaux pour trouver une issue pacifique et chrétienne à ces problèmes. A la table vinrent les envoyés du roi d'Angleterre, d'Espagne, de Venise, du Portugal. Le roi de Pologne dépêcha également un ambassadeur pour se tenir au courant des décisions qui seraient prises. Très vite, les participants purent se rendre compte de la tâche colossale qui les attendaient, notamment devant les ressentiments anglais et la faible volonté de modération portugaise.
Aussi étonnant que cela puisse paraître, c'est en Espagne que la France trouva son meilleur soutien pour mettre cette assemblée sur la voie du succès. Dans un trop rare esprit de sagesse, le roi d'Espagne comprit qu'il y avait tout intérêt à s'entendre. C'était une carte de la paix de l'Europe que nous jouions. L'échec fut à la hauteur des espoirs de paix.
Face à l'empressement anglais, à l'intransigeance portugaise, l'influence hispano-française ne put rien. Et c'est ainsi, avec un profond dépit, que le roi de France appris que l'Angleterre et Venise venaient de déclarer la guerre au Portugal. L'assemblée avait vécu et avait échoué.
Il nous fallut très vite savoir ce qu'il convenait de faire. Il n'était pas question pour nous d'entrer en guerre contre le Portugal, même si nous récusons sa politique coloniale, eu égard à notre volonté pacificatrice récente. La meilleure solution restait la neutralité sans cacher que nous n'étions pas défavorable à une issue qui permettrait une redistribution des terres. Dans le même temps, l'Espagne sembla hésiter quelque peu. Elle suivit après quelques jours de réflexion son allié agressée.
La France ne pouvait tolérer cela. Nous n'avions aucune envie de faire la guerre à l'Espagne, nos griefs respectifs ayant été soldés lors de la dernière guerre. Mais nous ne pouvions laisser faire la première puissance du monde. Elle aurait déséquilibrer incontestablement le conflit en faveur du Portugal. Victorieux, celui-ci n'aurait jamais eu raison de mettre fin à sa politique coloniale et de choisir la voie de la modération. D'autre part, nous savions l'Espagne dans les mêmes dispositions que nous à cet égard, aussi seul la loyauté envers son allié pouvait la guider mais sans avoir la conviction du coeur.
Contraint, le roi de France dù faire pression sur l'Espagne pour l'inciter à rester en dehors du conflit et l'obliger à signer une paix blanche immédiate avec Venise et Angleterre. Celui-ci s'y résolut sans manquer de demander l'indulgence des adversaires du Portugal et leur modération pour pouvoir construire un avenir de paix.
Diplomatie :
- Cher Empereur, nous avons été informé de la teneur de votre récente déclaration. Croyez bien que le fléau qui se répand en Europe nous préoccupe autant que vous. Malheureusement, et malgré nos actes en Jérusalem, Dieu ne semble toujours pas vouloir nous accorder son pardon. Il refuse de stopper l'hérésie sur nos terres et ne nous offre pas les moyens d'y faire face (30 de rois pourris en administration). Nous prions le Seigneur intensément pour laver nos fautes.
- Aux anciens participants de l'assemblée des Coloniaux, la France maintient sa position vis à vis des deux problèmes exposés lors de cette assemblée. Elle demeure également dans un soutien neutre vis à vis de l'Angleterre et de Venise et demande à l'Espagne d'en faire autant vis à vis du Portugal. Néanmoins, nous faisons savoir à tous que la France défend l'Angleterre et Venise parce qu'ils se sont placés comme défenseurs d'un partage colonial. Dans cette optique, la volonté de redistribution des colonies portugaises non développées est comprise et c'est en cela que nous les soutenons.
- Au roi de Pologne, nous nous réjouissons à l'idée que vous puissiez comprendre quelle folie guida vos aieux lorsque vous nous fîtes la guerre. L'ironie du sort vous a montré que vos anciens amis dispendaient plus généreusement leur or à l'Empereur qu'à vous. Nous continuerons à ignorer la Pologne sur la scène internationale. Ce n'est pas nous qui avons fait la guerre à l'autre par le passé. Ce n'est donc certainement pas à la France de faire le premier pas et le premier geste.
- Au roi D'Espagne, votre intervention malheureuse contre le Sultan peut porter préjudice à notre accord avec ce dernier sur la souveraineté de Jerusalem. Nous ne saurions tolérer que vous mettiez à nouveau en péril le tombeau du Christ par vos aventures exotiques.
- A toutes les cours du monde, la France fait savoir qu'elle vend son monopole sur le centre de commerce de la capitale.
Diplomatie:
A toute les nations Catholique: Frise a aujourd'hui décidé de mettre fin à la liberté que le Duché avait laissé au peuple de Trève, leur passage a la religion protestante a profondèment choqué le Duchet, cela en est trop! La province de Trève sera annexé bon grès malgrès, ils insultent la couronne!
Notre position de tolérance envers nos sujets protestants continuera tant qu'ils n'intrigueront pas et qu'ils ne chercheront à répendre leur religion.
Nous demandons a toute les nations catholiques de mettre fin à ces états hérétique!
Missive Impériale
Au duché de Frise
L'Empereur vous soutient dans votre démarche de lutte contre l'hérésie. Comme nous l'avons déjà dit, ce mal est profond, et il gagne du terrain d'année en année. Si nous ne faisons rien aujourd'hui, qui sait ce qu'il adviendra ?
A tous les royaumes catholiques
Notre requète n'a été que trop peu relayée, et l'Empereur le déplore vivement !! Il nous faut faire de cette lutte, la priorité des priorités !! Toute autre quête, ambition, velléité... doit être repoussée à demain !! Y compris la colonisation !! A quoi bon tenter de répendre l'évangile à des indigènes, si nous ne sommes pas capable de la défendre sur nos propores terres ???
Janvier 1561 – Janvier 1577 :
Une croissance économique décuplée !
Le Duché avait de grave problème de trésorerie, cela remonté déjà à plusieurs décennie mais cela devenait de plus en plus perturbant pour le développement du royaume de Frise, le duché partit donc en quête de fond pour sa révolution économique ; le duché mit donc en vente le centre de commerce de Zanzibar, celui-ci rapportait moult ressource mais sa perte était plus que nécessaire et bientôt la seconde expédition d’Enhard Bonga en rapporterait un nouveau.
Plusieurs nation envoyèrent leur diplomate à Amsterdam où se trouvait le siège de la compagnie néerlandaise des indes, les négociations entre la France, l’Angleterre et l’Espagne furent très vive, Frise avait le choix de vendre à un moindre prix à l’Angleterre soutenue par la France pour renforcer son alliance avec eux, ou le vendre à l’Espagne et en avoir un revenu plus qu’important, notre Duc décida de le vendre à l’anglais pour ne refroidir nos relations avec eux.
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C’est ainsi que Frise put lancer avec l’argent franco-anglais un large plan de reforme de l’état, le duché pu se doter d’une administration plus développée avec l’établissement de prévôté dans toute les provinces du duché, l’autre secteur où le royaume investit fut les armes, avec la création de manufacture dans les provinces du Luxembourg et de Liège, permettant de renforcer les investissements frisiens dans le secteur clé des armes.
L’état aussi se dota d’une banque centrale, permettant de juguler l’inflation dans le royaume.
La conséquence de ces réformes fut une nette croissance dans le duché, la santé financière de l’état fut enfin retrouver après plusieurs décennie de calvaire financier…
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Annexion de Berg selon le traité de Düsseldorf !
Lors du traité entre l’Autriche et nous, une clause avait été mise entre l’empereur et nous sur la terre de Berg qui appartenait à leur vassal de bohème, avec tous les morts qui se succédaient sur le trône et les affaires d’outre mer, notre duché oublia de demandé restitution de cette terre, cette affaire revint sur la scène lorsqu’un général de notre armé fit voir à notre bon duc que nous avions oublié cette affaire, et lui montra que cette terre était trop vitale pour nous, du fait du carrefour qu’elle représente entre nos différentes provinces, après missive à l’empereur ; celui-ci après vérification fut obliger de reconnaître notre bon droit…
Capture de Tombouctou :
Notre Duché dut continuer sa lutte coloniale du fait des problèmes financiers du royaume qui demandait des prises de guerre constante, le général Enhard Bonga lors du dernier conflit n’avait pas pu mettre la main sur l’un des joyaux de l’Afrique de l’Ouest, Tombouctou !
Les troupes du conquistador émérite avaient eu plus de temps qu’il n’en faut pour se préparer à cette seconde campagne du Mali, après quelque discussion nos amis français furent convier à ce safari, cette campagne ne constitua pas une épreuve pour les troupes de notre royaume face à nos cavaliers et a nos fusils aucun africain ne pouvait résister ;après avoir abandonné Zanzibar nos troupes retrouvèrent un centre de commerce pour la gloire de notre duché…
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Message Ducal sur la situation religieuse européenne :
Nous avons vu de grand changement partout en Europe sur la question religieuse, deux vague religieuse se développe sur nos terres catholiques, le protestantisme et la contre réforme, c’est deux courant religion sont en réponse aux mots qui touche dans beaucoup de contré la foi de nos fidèles et auxquelles un clergé dévoyé n’arrive pas à répondre du fait de sa corruption, nous voyons en Angleterre, en France, Autriche et en Suède se rependre de nouvelle fois, certain prince d’Europe veulent combattre ces changements dans l’architecture sociale de leur état, mais ce n’est pas en punissant ceux qui quittent nos églises qu’ils retourneront dans le chemin du catholicisme !
La seul chose à faire et de réformer le clergé ! Notre duché a réussit à garder ses fidèles que de cette façon ! Sans cela aucun acte fort, même la reprise du tombeau de christ des mains des infidèles n’aura de quelconque résultat !
Les problèmes de notre église se situent à toute les échelles du clergé, ou l’ont voit le vice et l’ignorance des saintes écritures a bien des niveaux de celle-ci, le pape a démontré, il y a peu la corruption et l’indignité qui règne en son âme en attaquant Venise! Il s’occupe de faire la guerre a une nation chrétienne alors que le message du christ, est un message d’amour ! Pourquoi amène t’il la guerre dans notre royaume alors que les infidèles occupes des terres chrétiennes ? Comment reprocher à vos sujets de quitter la fois catholique en voyant ce qui la dirige ! Il ne mérite rien d’autre que la confiscation de ses terres ! Cela l’empêchera au moins de s’occuper d’autre chose que e religion ! Tache qu’il a abandonné, il y a bien longtemps..
Le duché de Frise reconnait ces religions comme chrétienne, et ne fera rien pour combattre celle-ci, l'édit de Cologne reconnait aujourd'hui la liberté religieuse de tout les sujets frisiens tant que les dites religions ne portent pas atteinte aux lois en vigueur dans le duché.
1562 – 1577. L’Angleterre rattrapée par son destin tragique
L’année 1562 marqua l’apogée de l’Angleterre, juste avant que ne commence son inexorable déclin qui ne s’arrêtera probablement que lorsque nous aurons disparu complètement de la surface de la terre :ouin: ( si nous avons de la chance, nous pourrons nous réfugier sous terre, afin de mener pour l’éternité une vie entière de damné qui plus jamais ne verra la chaleureuse lumière solaire). Sic transit gloria mundi.
Cette année là, en effet, à notre grande surprise, la paix avec le Portugal fut signée :clap: ! Notre allié de Venise y gagnait une province de mines d’or et deux petites colonies, l’Angleterre, de son côté, annexait le centre de commerce d’Eora et trois petites colonies, dont une, Porto Rico, fut immédiatement donnée à la France, comme nous lui avions jadis donné Calais, l’accès à nos ports pour atteindre l’Asie et 80% des gains obtenus lors de nos deux guerres communes contre l’Espagne. C’est que, pensions-nous, il y allait enfin avoir une contrepartie à nos générosités : la France allait partager avec nous une partie du lourd fardeau que constituait l’achat au royaume de Frise du centre de commerce de Zanzibar.
La vente eu lieu la même année et, à Londres, c’était l’hystérie : après des décennies de disette et de misère, nous étions enfin parvenu à sortir la tête de l’eau :) . Personne ne prêtait la moindre attention à l’Archevêque de Canterbury, Laocoon, qui ne cessait de s’exclamer « Timeo Massillienses, et dona ferentes » :mrgreen: : le malheureux fut emporté par deux serpents surgis de la Manche et personne ne le revit jamais.
L’Angleterre triomphante, sans se douter un seul instant que le destin tragique qui allait s’abattre sur elle s’était déjà mis en marche et se rapprochait inexorablement de son innocente tête blonde :( , se lança alors dans un nouveau projet d’unification des îles britanniques. L’Irlande fut vassalisée et l’on dépensa sans compter pour inonder le Roi d’Ecosse de cadeaux, espérant ainsi le convaincre de rejoindre notre pauvre mais industrieuse nation. Tout semblait nous réussir et Mary II semblait promise à rester à jamais dans les légendes Anglaises comme la Reine qui avait élevé le pays sur son piédestal :clap: . Plus grands sont les espoirs, plus grandes seront les désillusions. Car tandis que nous nous prenions à rêver et à espérer, le Malin, lui, tissait les fils de notre destin et de notre chute : depuis l’aube des temps, la destinée de l’Angleterre était de sombrer corps et bien et, suprême cruauté, cela devait commencer au moment où elle se pensait enfin tirée d’affaire :loose: .
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Le destin cruel vient frapper à notre porte en l’année de 1568 : telle la grande faucheuse, impitoyable souveraine de notre destinée, les ambassadeurs d’Ecosse et de France surgirent. Les premiers nous signifièrent leur refus brutal de joindre notre tendre nation, malgré tous les cadeaux offerts, les seçonds nous réclamèrent le remboursement intégral et immédiat des sommes avancées pour l’achat du centre de commerce de Zanzibar, sans considération aucune de tous les sacrifices consentis par l’Angleterre en faveur de la France ces dernières décennies :tongue: ( Calais, Porto Rico, accès à nos ports vers la lointaine Asie etc etc). Le trésor Anglais était aussi vide à ce moment que lors de l’achat effectif et aucun espoir de le remplir sans pomper lourdement, ce qui fut fait : l’inflation s’envola, comme elle se serait envolée si nous avions payé directement nous même il y a 10 années. Pourquoi nous avoir avancé des ducats si c’était pour exiger le remboursement intégral à un moment où la situation Anglaise n’avait en rien changé ?
Le Destin tragique venait de nous frapper cruellement et le coup qui nous fut porté laissa Mary II d’Angleterre à genoux, effondrée : ainsi, notre joie n’avait durée que moins d’une décennie. Le Malin abattait sa faux au moment où nous espérions enfin pouvoir atteindre les cieux et le Paradis Céleste : l’Angleterre, foudroyée en plein vol, tomba lourdement et s’enfonça plus bas que terre, toujours plus proche des fosses démoniaques qui attendait les damnés que nous sommes depuis l’aube des temps :ouin: .
Deux expéditions lancées au cœur de l’Afrique profonde disparurent corps et bien en 1570 : de partout, les éclairs diaboliques nous foudroyaient et s’acharnaient sur l’innocente brebis déjà frappée à mort par ce destin ignoble :( . L’inflation galopante, le retard technologique, les difficultés commerciales, la haine viscérale de nos voisins pourtant Chrétiens comme nous, l’apocalypse et la déchéance commençait.
Mais au milieu de la tempête, le front ensanglanté, les vêtements en lambeau, Mary II releva fièrement la tête et brandit un poing vengeur vers les cieux, desquels semblaient s’échapper un long ricanement sinistre, comme si les Dieux eux-mêmes riaient de notre déchéance: « Nous sommes peut-être maudits, mais nous ne nous rendrons pas sans lutter ! Noblesse oblige ! England for Ever :enerve: ! ».
Ainsi, afin de faire face à la tourmente, il fut décidé les choses suivantes :
-L’Angleterre met en vente les centres de commerce d’Eora et de Zanzibar, véritables tuniques de Bessus qui nous ont étouffés et empoisonnés à petits feux là où nous espérions qu’ils nous sortent au contraire de la tourmente. Puisse les ducats retirés de la vente nous permettre de nous remettre enfin à flot :loose: .
-L’Angleterre se retire des affaires du monde, notre îlot désertique balayé par les vents glacials sera notre refuge contre ce tragique destin. Seul un cas de force majeure pourra nous en faire sortir prématurément.
-L’Angleterre va revoir la nature de ses relations avec certains pays ( Venise exceptée, ce pays restant notre allié de cœur :) ), son gouvernement, ses affaires religieuses et bien d’autres choses encore : le moment est venu d’extirper le cancer interne et externe qui nous ronge et qui nous a valu de subir ce coup du sort.
lemarseillais
07/09/2007, 21h57
Réaction française suite aux omissions anglaises :
Le destin cruel vient frapper à notre porte en l’année de 1568 : telle la grande faucheuse, impitoyable souveraine de notre destinée, les ambassadeurs d’Ecosse et de France surgirent. Les premiers nous signifièrent leur refus brutal de joindre notre tendre nation, malgré tous les cadeaux offerts, les seçonds nous réclamèrent le remboursement intégral et immédiat des sommes avancées pour l’achat du centre de commerce de Zanzibar, sans considération aucune de tous les sacrifices consentis par l’Angleterre en faveur de la France ces dernières décennies :tongue: ( Calais, Porto Rico, accès à nos ports vers la lointaine Asie etc etc). Le trésor Anglais était aussi vide à ce moment que lors de l’achat effectif et aucun espoir de le remplir sans pomper lourdement, ce qui fut fait : l’inflation s’envola, comme elle se serait envolée si nous avions payé directement nous même il y a 10 années. Pourquoi nous avoir avancé des ducats si c’était pour exiger le remboursement intégral à un moment où la situation Anglaise n’avait en rien changé ?
Après avoir attendu 9 ans, le roi de France a envoyé un ambassadeur à Londres pour demander à la reine selon quelles modalités elle pensait rembourser la France de son prêt de 1100 ducats. Nous n'avions formulé aucun délai, aucune exigence de remboursement intégral, ni de versements annuels élevés. Nous laissions une entière liberté à l'angleterre. Nous étions même prêt à accepter un remboursement sur 11 ans pour ne pas pénaliser l'économie anglaise.
A notre ambassadeur, la reine répond : "mais je t'ai donné porto rico contre le cot". Puis plus rien, après une nouvelle relance toujours pas de réponse. Quelques années s'écoulent encore sans que nous obtenions de réponse de la part de l'Angleterre sur ses préférences (à elle pourtant). Puis un jour, l'Angleterre nous envoie 1100 ducats d'un coup sans que nous ayons jamais exigé une telle chose.
Le don de porto rico est une geste amical pour remercier la France des 2400 ducats DONNES pendant la dernière guerre des anglo-vénitiens (1200 à chacun).
Calais a été rétrocédé par l'Angleterre pour sceller notre alliance et en échange d'un accord colonial et de notre abandon de l'allié écossais.
L'accès aux ports anglais est un geste purement amical sans aucune contre-partie. C'est le seul.
Les etc, etc... n'existent pas.
De son côté, la France s'est retiré de la vente aux enchères du cot de Zanzibar (lorsqu'il était vendu par la Frise) pour soutenir l'Angleterre et nous étions même disposé à payer de notre poche une partie de la somme (l'Angleterre n'est jamais venu nous le demander).
La France a, par ses efforts diplomatiques et son abandon de la Savoie, offert à l'angleterre un allié : Venise.
La France a fait savoir lors de la dernière guerre anglaise, lors de sa période de paix récente, qu'elle était disposée à offrir de l'or que l'Angleterre n'a jamais réclamé (excepté à un seul moment pendantla guerre et elle l'a reçu).
La France ne gagne que 30 ducats de plus que l'Angleterre par mois et non le double comme on pourrait le croire lorsqu'on lit commentaires anglais. Il y a 20 ans, la France ne gagnait que 10 ducats de plus par mois que l'Angleterre....
Le don de porto rico est une geste amical pour remercier la France des 2400 ducats DONNES pendant la dernière guerre des anglo-vénitiens (1200 à chacun).
Tant que cela, vraiment? :mrgreen:
Selon les chroniques de Don Jimbus le Sachem, ce serait plutôt 150 ducats :lol: , la preuve ici même http://www.europa3.ru/cgi-bin/mpstats/stats.cgi?action=show&game=XXII&league=int&season=test&yearsave=1561
Les etc, etc... n'existent pas.
Voir paragraphe 2 :mrgreen:
lemarseillais
07/09/2007, 22h56
Tant que cela, vraiment? :mrgreen:
Selon les chroniques de Don Jimbus le Sachem, ce serait plutôt 150 ducats :lol: , la preuve ici même http://www.europa3.ru/cgi-bin/mpstats/stats.cgi?action=show&game=XXII&league=int&season=test&yearsave=1561
Hum oui effetivement 10x12 ça fait pas 1200....me suis planté :siffle2:
Au fait j'ai oublié de rajouter tous les "etc, etc" évidemment que la France a aussi :tongue:.
Pffff, isolationisme ..... ! La bonne blague ! Toi tu t'es encore fait bourré le mou par les ricains de la GPO. Je la sens poindre la trahison :o:
Marco Rale
09/09/2007, 16h30
http://img520.imageshack.us/img520/8195/aar1576cs5.jpg
La Pologne soutiens pleinement le Royaume de Novgorod dans sa périlleuse expedition contre les Ming et leur puissance qui serait sans égale de mémoire d'homme.
Tout pays profitant de cette période pour affaiblir la Russie où lui déclarer la guerre devra aussi se confronter a la Pologne et aux régiments de Hussards.
Royaume de Novgorod
Les Souverains Européens en choeur:
Mais ou est donc encore passé Leazky ? Il doit encore être en train de fumer quelques-unes de ses fameuses épices Indiennes:lol:
La Russie, Novgorod.. vous savez comme sont les routes en Pologne, des chutes d'arbres tout le temps, des brigands, et le pire c'est qu'il n'y a même pas de station pour faire des haltes.. avec tout celà mon bon comment voulez vous que la moindre information correcte arrive en Pologne ! :honte:
http://i23.servimg.com/u/f23/11/19/35/48/aar12.jpg
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Démographie Ottomane
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Les plus riches Nations
CHRONIQUES AUTRICHIENNES 1562-1576
Après ces années de guerre où l’Empire paya un lourd tribut humain, l’Empereur Friedrich V honora la dernière clause du traité de Düsseldorf (écrite en tout petit), c'est-à-dire la cession de Berg. Cela lui coûta, mais puisque le sceau impérial avait été apposé par ses prédécesseurs, Friedrich s’exécuta. Il y allait de notre honneur.
Puis il s’attela à deux chantiers qu’il jugeait prioritaires :
- augmenter la réserve d’hommes disponibles en cas de conflit. En effet, notre contingent mobilisable était l’un des plus faible d’Europe. Dans un premier temps, des centres de recrutement furent construits dans les provinces les plus peuplées de l’empire, doublant ainsi leur potentiel militaire, tout en améliorant la rapidité avec laquelle les troupes étaient prêtes à combattre. Dans un deuxième temps, l’Empereur décréta la conscription nationale. L’Autriche pouvait donc compter sur tous les hommes valides ayant au moins 21 ans, et non sur les seuls soldats volontaires.
- Le deuxième chantier prioritaire n’était pas le moins compliqué. Il s’agissait de lutter contre l’hérésie luthérienne. … Malgré tout, l’Empereur prit des mesures impopulaires mais qui s’avéraient indispensables. Il décréta des lois religieuses que bon nombre de scientifiques prirent comme un retour à l’obscurantisme (innovation – 1), en favorisant le clergé qui du coup ne rechignait plus à former des inquisiteurs (1 tous les 2,5 ans), chargés de ramener vers la vraie foi les brebis égarées. CE sera u travail de longue haleine pour l’Autriche. L’Empereur, à plusieurs reprises a lancé un appel aux cours européennes, pour qu’elles combattent ce fléau à leur tour(des terres protestantes à nos frontières sont une menace pour le travail accompli) . En vain… Personne dans les grands royaumes catholiques ne se semble prendre la menace au sérieux, au grand dam de l’Empereur. La politique extérieure de l’Autriche risque donc d’être revue…
Preuve des efforts que fournit l’Autriche, sa Sainteté elle-même accorda audience à l’Empereur, et lui proposa d’être son bras armé (alliance). L’Empereur n’imaginait pas à quel point sa Sainteté était belliqueuse, puisque tout à tour, elle déclara la guerre à Venise, avec qui nous signâmes une paix blanche, en vertu du traité de Gênes, puis la Savoie. (guerre encore en cours).
Messages diplomatiques
Au Kniaz de Russie : L’Empereur n’a pas oublié comme vous fûtes une entrave dans sa politique extérieure (lors de la guerre avec la Pologne). Aussi, il ne vous accorde pas la garantie que vous réclamez. D'autant qu'il est hors de question d’attaquer le Sultan qui fut notre allié, et auprès de qui nous avons toujours une dette d’honneur. Toutefois, entre vous et les Ming, l’Empereur préfère que Dieu vous prête victoire.
A toutes les cours catholiques
L’Empereur ne peut que renouveler ses appels à la rigueur cléricale. L’hérésie protestante doit être combattue.
Pedrolane
11/09/2007, 11h04
Message diplomatique de Venise :
- A l'Autriche, nous soutenons votre lutte contre l'hérésie et allons vous rejoindre dans cette lutte dès que nous le pourrons, Toutefois comme bien éclairé par notrez ami le Duc de Frise, le Pape a perdu la tete et son comportement à l'égard des nations chrétiennes est plus qu'inaccetable, nous demandons la nominations d'un nouveau pape basé à Jérusalem!
- A la Russie, nous n'avons pas oublié que vous avez essayé de nous entraver dans notre guerre contre l'Espagne en vous laissant acheté comme une vulgaire catin, nous ne sommes pas de cette race d'homme qui se font acheté et nous refusons donc votre offre.
- A l'Angleterre, le lien qui nous unit est encor eplus fort aujourd'hui que l'Angleterre souhaite se consacrer à sa politique intérieure pendant un certain temps, sachez chèr ami que si quelqu'un vient perturber votre "retraite", nous lui ferons payer cette affront.
lemarseillais
11/09/2007, 11h46
Message diplomatique du roi de France :
- à l'Angleterre : nous ne vous louons pas pour votre décision de vous retirer des affaires du monde. Cet abandon dissimulé de votre part était une crainte enfuie au fond de chaque français. Le souvenir de votre pitoyable position de neutralité jadis quand l'Espagne nous frappa ne s'est pas estompé avec les caisses de ducats que vous nous réclamez pour sceller une amitié bien particulière.
- à l'Espagne : On peut être déçu par ses amis mais jamais par ses ennemis en qui nous trouvons parfois nos futurs amis. Depuis la dernière guerre, nos deux royaumes, malgré quelques tensions, oeuvrent pour maintenir la paix. Nous aimerions savoir si, malgré votre affront pour le versement du monopole français, vous souhaitez faire un geste supplémentaire vers l'amicalité ? La France propose la tenue de négociations commerciales entre nos ambassadeurs.
- à l'Empereur : Cher voisin, nous ne sommes pas sourd, en France, à ce que dit l'Empereur. Comme nous vous l'avons déjà fait savoir, la médiocrité de nos hommes de foi (taux de conversion effroyable) nous empêche de lancer une vaste offensive contre l'hérésie. Croyez bien que dès que les choses viendront à changer, nous menerons un effort colossal pour ramener à la raison nombre de mes sujets et au dèlà.
- à la Russie : vous connaissez déjà notre position suite à votre demande, nous l'a faisons savoir à tous. La France, tant que la Russie ne montrera pas des signes tangibles d'un changement de politique, ne pourra se porter garant de son intégrité territoriale.
- à toutes les maisons d'Europe : Le sort de Jérusalem nous importe au plus haut point et devrait être le cas de tous bons chrétiens. Nous avertissons quiconque de prendre le risque de remettre en cause la suzaireneté chrétienne sur le tombeau du Christ. Suzeraineté qui pourrait être mis en péril en provoquant l'ire du Sultan. Vous commettriez alors une grave faute envers la communauté chrétienne. De ce fait, la France se fait un devoir de protéger le tombeau du Christ par tous les moyens. Nous prions nos frères catholiques d'Occident de ne pas entreprendre de projets périlleux et dépourvus de bon sens.
Marco Rale
11/09/2007, 13h05
Proclamation de la République de Russie:
Nous avons été déçus par les réactions Autrichiennes, Venitiennes et Française à notre appel à un simple soutien moral. L'Autriche et Venise qui semblent se repaître de vieilles rancunes, alors que 6 Kniaz se sont succédés à la tête de notre République depuis les "opérations" contre Venise, et la France rancunnière en plus, et exigeant des clarifications diplomatiques que l'on exige pas d'elle me semble-t-il. Et bien soit! ce modèle de la vertu aura ses clarifications. Voici la position diplomatique de la Russie
- La Russie est en alliance défensive permanente, et en alliance offensive ponctuelle, avec la Pologne et la Suède. Nous sommes liés avec ces Etats frères par ce eue j'appelerais "le pacte des pauvres". Elle secourera ses frères gratuitement et sans compter son sang.
- La Russie est l'amie de l'Espagne et du Portugal, qui ont su nous apporter aide et considération et pas seulement indifférence et réprobation. Mais pour plus de clarté, l'alliance militaire avec l'Espagne sera quittée et sera remplacée par une garantie de l'Espagne et du Portugal de notre part.
- La Russie continuera à louer ses régiments de cosaques et refuse les insultes des moralistes qui prefererait la voir croupir ou ne pas entendre parler d'elle. Mais la différence est que cette location est desormais interdite à l'Autriche, à la France et à Venise, et réalisée à un prix amical à l'Espagne et au Portugal. Elle ne peut servir à envoyer des cosaques contre des nations auxquelles nous avons accordé notre garantie, avec qui nous avons un pacte de non aggression ou avec qui nous avons une alliance défensive. Le service n'est pas assuré lorsque les forces Russes sont engagées ailleurs.
Pedrolane
11/09/2007, 13h19
[rp OFF] Ouais en gros ca change pas grand chose à la situation d'avant :siffle2:[Rp ON]
lemarseillais
11/09/2007, 13h21
Proclamation du roi de France :
Nous demandions un geste de la part du chef de la Russie. Nous ne pouvons nier l'existence d'un mouvement diplomatique et d'un éclaircissement des positions. Puisque la Russie, par fierté mal placée, considère qu'elle n'a pas à faire le premier pas vers ses anciens adversaires, la France prend acte du basculement officiel de la Russie dans l'orbite ibérique.
Elle refuse d'endosser la responsabilité de la politique russe. Ce n'est pas la France qui a forcé la Russie a loué ses armées à nos ennemis. Ce n'est pas la France qui a rompu le faible dialogue parce que nous ne voulions pas bêtement, sans changement de la politique russe, nous plier aux demandes russes.
Les déclarations autrichiennes et vénitiennes n'en sont pas plus responsables. D'ailleurs ces deux pays n'ont pas vraiment de relations que l'on peut qualifier d'amicales, pourtant ils parlent de la même voix. Tout comme nous ils récusent vos interventions passé contre NOUS.
La Russie doit assumée seule, sans reporter la faute sur les autres, ses choix qui l'ont conduite dans sa situation diplomatique actuelle. Aucune porte n'est fermée, mais ce n'est pas avec ce genre de déclaration que vous pourrez changer les coeurs à votre égard.
La France surveillera très attentivement les réactions des cours catholiques quand la Russie se lancera dans son entreprise contre les Ming, pour laquelle, d'ailleurs, nous lui souhaitons bonne chance.
Déclaration espagnole
A la France : Bien que nous ayons pensé un moment que nos relations étaient sur la voie de la pacification et de l'amitié, force est de constater que vous n'en apportez pas les signaux. En effet votre armée gigantesque menaçant directement nos frontières lors de la crise Porto-vénitienne, nous avons mobilisé en masse pour répondre à cette menace.
Or depuis de nombreuses années, vous continuez à entretenir une formidable armée à nos frontières directes, que cela soit dans les pyrénnées ou bien en Amérique, et cela malgré votre budget inférieur au notre.
Une clarification des intentions françaises nous semble dès lors indispensable.
Concernant l'affaire du monopole de Paris, nous n'avons plus rien à voir avec ce contrat qui a été rompu à votre initiative quand des marchands français en rafale sont venus expulser purement et simplement nos marchands implantés en monopole. Vous avez donc rendu l'accord caduc, et nous n'avons pas à payer. Et encore nous sommes plus que conciliants car nous aurions du demander un remboursement intégral.
Nous sommes ouvert cependant à tout autre type de négociations commerciales, à condition cette fois que la France ai un peu plus de parole :angel:
A la Russie : nous nous félicitons de vos diverses positions diplomatiques. Nous continuerons donc à envoyer quelques dons en or à Moscou, et nous soutiendrons du mieux que nous pourrons votre expédition contre Ming. Plus ou moins d'ailleurs en fonction de la tournure des évènements en Europe comme nous l'avons déjà dit.
Sachez cependant que la guerre contre Ming ne sera pas chose aisé, prévoyez donc une organistion logistique optimale puisqu'il vous faudra parcourir une mince langue de terres de steppes inhospitalière avant de parvenir au coeur de la Chine. Sachez en outre que la Chine possède des forteresses sur tout ses territoires sans exception.
lemarseillais
11/09/2007, 14h17
A l'adresse du roi d'Espagne :
Nous sommes disposés à répondre à vos interrogations dans un souci de bonne volonté. Le recrutement, jadis, d'une importante armée n'avait pas pour but de mener une expédition militaire mais simplement d'équilibrer nos effectifs à ceux de nos voisins. Notre guerre contre le Mamelouks pour Jerusalem, la confrontation austro-polonaise, nous ont montré que certains pays disposaient d'une armée régulière de plus de 80000 hommes.
La France, face à cette situation, ne pouvait brader sa grandeur. Nos effectifs furent donc portés à 100000 hommes environ. Si ces troupes ont été massées à vos frontières c'était uniquement dans le cadre de la guerre entre portugais et anglo-vénitiens. Je signe dès maintenant l'ordre de déplacement des troupes.
Quant à notre économie et notre capacité à soutenir une telle armée, je vous suis très obligeant de vous soucier à tel point de nous. Cela nous va droit au coeur :chicos:. Rassurez vous notre économie se porte très bien. Trouvez vous que notre inflation augmente plus vite que la moyenne mondiale ?
Pedrolane
11/09/2007, 14h19
A la Russie : nous nous félicitons de vos diverses positions diplomatiques. Nous continuerons donc à envoyer quelques dons en or à Moscou,
L'espagne aurait donc jouer un role dans les diverses prises de positions diplomatiques de la Russie? :yeux:
:siffle:
Déclaration Anglaise
Par la présente, le gouvernement de Sa Majesté d’Angleterre, Mary II la vaillante, fait savoir au monde émerveillé les choses suivantes :
-Les centres de commerce de Zanzibar et Eora ne sont plus à vendre :tongue: et font désormais partie ad vitam Aeternam de la mère patrie Anglaise. Que ce soit dit, que ce soit écrit.
-L’Angleterre quitte son isolationnisme (qui ne fut que très passager :lol: ) et continuera à assumer ses responsabilités pour le maintien de l’équilibre Européen, notion qui est chère à notre cœur. Nous suivrons notre cœur et ferons ce que l’Honneur nous dictera, comme toujours. Noblesse oblige.
Annonce de l'Ottoman
Le Sultan annonce au Russe qu'il est prêt à ouvrir un second front
au Sud pour permettre au Russe de percer.
Le prix de ce nouveau front est le suivant :
1. Financement des 2/3 des couts d'entretiens des troupes Ottomans
soit 24ducats par mois par la Russie ou de ses amis le payement des 6
premiers mois de guerre ayant lieu avant la déclaration de guerre Ottomane.
Ceci jusqu'à 3 mois après la conclusion d'une paix entre Russe et
Ming afin de permettre au Sultan de négocier à son tour une paix.
2. Ajouter a cela une garantie de la Pologne de sa non agression de
l'Empire Ottoman pour la durée du conflit et les 2 ans suivant.
En contre partie le Sultan fera marcher 60000 hommes contre le Chinois
lemarseillais
13/09/2007, 11h56
Ultimatum français à l'adresse de l'Espagne :
Cher voisin, pour la deuxième et dernière fois, nous vous demandons de mettre fin sans délai à votre espionnage de nos côtes. Si les mers sont libres, nous sommes également libres d'agresser ceux qui nous espionnent.
Nous vous laissons 2 semaines (dans EU3).
Missive Diplomatique de Frise:
A l'Autriche: Très cher empereur la guerre qui a cour aujourd'hui est des plus désagreable pour nous, nous voyons aujourd'hui que la protection demandait de nos terres face aux ogres de l'est à tourner cour, avez vous oubliez que ce sont vos sujets, oubliez vous que 1/3 des hommes pouvant combattre dans mon duché sont dans vos troupes? Partout dans mes terres, le peuples est au désespoir, le saint empire germanique n'est plus que l'ombre de lui même, Barberousse doit s'en retourner dans sa tombe...
Le polonais a affichée ses envies sur mes terres allez vous le laisser faire?!
Qu'elles sont les révendications, les ambitions qui vous ont conduit à la guerre?
Nous ésperons que l'Autriche nous protegera des affres de la guerre, notre nation germanique ne peut meler son sang sur le champ de bataille!
Hendrik Casimir II, Duc de Frise, grand élécteur du Saint empire germanique.
L'avénement de OSMAN II le Valeureux.
Mustafa III pris le pouvoir de l'Empire Ottoman après que son père Cihangir I "le batisseur".
Il continua d'entreprendre l'oeuvre de valorisation des terres Turques comme l'avait fait
précédemment son père mais fonda instaura égalment une politique basée sur un Etat fort
capable de faire respecter sans intérêt dans la Sphère régionnale de prospérité Ottomane.
Il instaura une Politique dur vis-à-vis de ses voisins Musulmans et n'hésita pas menacer
militairement ceux qui osaient entreprendre des actions qui pourraient destabiliser la
région. Il se proclama également Défenseur du peuple Perse et annexa par la force les
dernières provinces de Culture perse du Royaume Perse.
La constructiond e manufactures d'arme et de centre de recrutement permis de renforcer
les capacités militaires de l'Empire et mettait dans la main du Sultan un outils de premier
ordre pour mener a bien sa politique étrangère.
Sa politique d'intégrations des Perses dans l'empire le poussa à proclamer un édit de
tolérance religieuse à l'égard des Chiites de façon à s'assurer que ces derniers ne soient
trop remuant dans l'Empire.
De plus, il avait pour projet de libérer les dernière provinces Perse non encore intégrées à
l'Empire. Ces dernières étainent détenue par le plus grand Empire que ce monde ait porté.
L'Empire Ming alors en guerre contre la courageuse Russie.
Apèrs consultation de ses conseillers militaires Mustafa décida durant l'an 1585 qu'il était
temps pour lui d'intervnir dans le conflit Russo-Chinois. Il mobilisa 60000 hommes et mit
son armée en marche en direction de l'Est, en direction des grandes plaines...
L'armée principale Ottomane chercha à entrer rapidement au contact de l'armée chinoise
afin de s'assurer la supériorité stratégique sur tout le théatre d'opération.
Le 18 aout 1585, L'armée du Sultan rencontre l'armée principale Chinoise dans la province
de Kypshak. Les armées Chinoise fatiguée par les longs combats contre les Russes sont
prises aux dépourvu devant la discipline de fer des troupes Ottomanes. La cavalerie
Ottomanes mène un rapide mouvement d'encerclement des troupes chinoises avant de
harceler le corps principale.
C'est un vrai carnage, les Chinois incapable de réagir rapidement à la manoeuvre
d'encerclement se retrouvent pris au piège et se font massacrer par la cavalerie Turque.
Le combat se solde par une défaite totale des troupes chinoises qui perdent 18000
hommes dans cette batailles décisive. Seul 2000 Chinois parviennent a s'enfuire avant
d'être rattraper par la cavalerie Turque et massacré. Du côté Ottoman ce sont seulement
1600 braves qui trouvent la mort dans l'affrontement, la victoire est retentissante. Après
cela la campagne n'est qu'une promenade militaire pour l'Ottoman qui fait tomber une à
une les places Chinoises.
Au bout d'un ans de campagne, les Ming cédent les provincess Perses sous leur contrôle
après l'arrivée d'un corps d'élite Ottoman aux portes de Pekin.
Mustafa III vivra juste assez longtemps pour savourer sa victoire avant de laisser à son fils
le talentueux OSMAN II les rênes du pouvoir alors que l'Ouest chrétiens se déchirait dans
un conflit monumentale. Osman pris le pouvoir avec de grand projets en tête, son rêgne
allait changer l'Empire.
La Pologne sur la voie du modernisme :
La Pologne a la fin du XVIeme siècle est un pays toujours relativement pauvre comparés a ses voisins. Mais le pays avait considérablement changés depuis la fin du moyen-âge.
Les reignes succésif de Kazimierz V, Jan I Kazimierz et Auguste II furent l'époque de la conquêtes des terres germanique et hongroise. Le Brandebourg et la Pomérannie passa sous notre contrôle, tandis qu'au sud nous prîmes positions dans les Carpathes.
C'était aussi l'époque de la grande rivalité entre l'Empereur d'Autriche et la Pologne, voyant d'un mauvais oeil l'arrivée d'un royaume aussi puissant a l'Est de l'empire. La deuxième et glorieuse guerre de Bohème sous le reigne militariste de Kazimierz VI, vit nos armées mettre a bas la puissance de l'empereur avec le concours du Doge de Venise. La Bohème et la Moravie, passèrent sous notre contrôle.
Son fils, August III monta sur le trône en 1536 et il marqua la Pologne a tout jamais par la conquête de la Lituanie dont la lignée dégenerescente n'avait pas hésiter a fricoter avec l'empereur, mençant la Pologne d'encerclement. August III donna la forme moderne de la Pologne, mais c'est son fils August IV, qui a partir de 1556 propulsa le pays dans la fièvre de la conquête du nouveau monde.
Rapidement nos explorateurs atteignèrent l'Amérique, puis repartant vers l'Est dépassèrent le cap de bonne espérance pour finalement atteindre l'Inde et toute ses richesses.
A l'époque, seul le Portugal et l'Angleterre déjà présent sur place occupait quelques îles, ainsi un vaste projet fut mis en place sous l'impulsion du roi pour la colonisation de Jakarta, la "Nouvelle Pologne".
http://img229.imageshack.us/img229/8434/aar3pb9.jpg
Malheuresement l'Empereur profita de cette période et de l'attrait implacable du roi pour ces nouvelles terres pour reconquérir la Bohème-Moravie..
Mais, nos éfforts furent finalement récompenser a la fois grâçe aux épices et au sucre ramener des colonies et qui faisaient la richesses des marchands Polonais. Mais surtout grâce a l'initative du roi Henryk I, toujours au pouvoir, pour la création de la première compagnie des Inde orientale :
http://img159.imageshack.us/img159/8409/aar2fi2.jpg
Mais tout ces éfforts avaient nécessiter l'aide étrangère et le soutiens des Ibériques dans cette entreprise fut décisif. La Pologne s'éloignait de ses alliés d'antans.
C'est ainsi qu'aujourd'hui, alors que l'Europe est en guerre, la Pologne a mis de cotés ses rancoeurs contre l'empereur et bataille a ses cotés contre les forces de la coalition Française.
Malgrés tout ces progrés, la Pologne n'était toujours pas au niveau de ses voisins de l'ouest. Mais le retard technologique restait correcte, l'arrivée a la cour des plus grands conseiller que la Pologne ait eut fut décisive. La marine reformée par Jan Zygmunt Kurozwecki, véritable génie des océans, arrivait enfin au niveau de celui de nos voisins.
http://img213.imageshack.us/img213/7391/aar4ou2.jpg
Ces hommes de talents et cet esprit de renouveau et de modernisme allait bon train avec la réforme qui progressait de plus en plus sur nos terres. La Pologne est alors partager en 4 religions, au nord les marchands Allemands se sont convertis a la doctrine de Luther, tandis que dans le coeur de la Pologne et en Hongrie la réforme Calviniste s'était implantée. A l'est, la Volhynie était toujours Orthodox malgrés nos éfforts pour ramener la province dans la vrais foi Chrétienne.
Un peu partout, les élites des grands pays s'était convertis a la réforme, et un grand nombre de capitales d'Europe n'était plus sous le contrôle du Pape..
http://img228.imageshack.us/img228/6753/aar5dx6.jpg
Situation du royaume en 1587:
Malgré un développement très rapide par la conquête des mines d'or d'Afrique et de multiple vassalisation des pauvres peuples vivant dans ces contrés reculé de l'océan indien, Frise était à la traine des autres royaumes européens.
La vente des centres de commerces de Tombouctou et de Zanzibar avait bien permit de développer notre royaume mais cela ne faisait que ralentir notre déchéance, aucun grand conseiller n'arrivait à notre cour, et nous n'avions pas comme les mercenaires de l'Est, l'or des ibériques.
Au milieu des turpitudes notre royaume du Nord avait réussi à garantir son intégrité religieuse, après l'arrivé des protestants dans le royaume, plus rien ne se passa, nous furent les seuls à ces latitudes reculées a conservé au sein de notre cour, la bonne foi catholique, mais aucun récompense divine ne venait...
Une guerre sans que ni tète:
Lorsque notre Duc reçu la nouvelle de la déclaration de guerre envers Venise sous un motif des plus vils, et qui n'était plus d'actualité, comme Malacca avait été donné aux français.
Pourquoi alors la guerre?!
Notre Duc tenu par les accords qu'il avait tenu avec le Doge se résigna à la guerre, avec les maigres forces qu'il avait, qui venait de revenir des terres australes.
La plus grave déception fut la trahison de l’Empereur, laissé passer les barbares sur ses terres pour aller piller nos terres ! Notre Duc fut atterré, et pendant plusieurs jour fut prit d’une dépression ayant des problèmes techniques en plus de cette crise.
Nous fumes le premier état à recevoir l’attaque de la coalition, les Polonais pauvres bougre sans honneur dévalèrent sur notre royaume, telle l’ordre des Huns, pillage, massacre, viol, enflammèrent nos provinces du Nord.
La poussé fut t’elle que notre très cher Hendrik Casimir II fut obliger de quitter notre très cher capitale Groningen pour se réfugier dans les Flandres à l’abris du glacis du Rhin pour préparer la reconquista!
1578 – 1586. La voie du Juste
Alors que l’acte de vente des centres de commerce d’Eora et de Zanzibar allait être signés, Mary II s’effondra comme une masse et ne se releva plus jamais :ouin: . L’histoire retiendra que cette grande Reine apporta deux centres de commerce à la Glorieuse Angleterre et oubliera qu’il s’en fallut de peu qu’elle ne els revende peu après. Son successeur, Edouard V, annula en effet immédiatement la vente : Eora et Zanzibar resteront Anglais pour l’éternité :tongue: .
Le nouveau Roi avait un objectif : intégrer l’Ecosse à la mère patrie. Diplomate habile, il passa des mois et des mois à convaincre le conseil d’Ecosse que là était son salut. De nombreuses caisses d’or apportaient plus de poids à ses propos. Tout cela en vain :enerve: . Au quatrième échec successif, le Roi se leva de son trône, rouge de colère, hurla et vociféra comme jamais et s’effondra finalement, terrassé par tant d’ingratitude.
Son fils, Edouard VI, lui succéda et fit passer aux oubliettes ce projet d’intégration de l’Ecosse : son objectif, c’était les prévôtés. Grâce au soutien financiers de riches mécènes, que l’Angleterre remercie au passage ;) , 40% du territoire se vit doté de ces nouvelles infrastructures en quelques années seulement. Un centre de commerce apparut au sein de notre empire colonial d’Amérique : tout allait pour le mieux :) !
C’est alors que le riche ploutocrate obèse qui monopolisait les ¾ des richesses du monde se leva de son trône et, soufflant, s’exclama : « Ola, le Vénitien, tiens toi à l’écart du centre de commerce de Malacca, je le réserve pour mon sbire Polonais. Allez, mes braves, haro sur le baudet ! ». Et le ploutocrate de lancer en riant grassement un sac rempli d’or sur le Doge éploré qui hurlait en vain ses bonnes intentions : ce fut immédiatement la curée. La meute hurlante se précipita, avide de récupérer les quelques pièces lancés par le riche ploutocrate, avide de planter ses crocs dans la douce chaire de la malheureuse victime afin d’évacuer la rage qui les habitait de savoir qu’ils n’étaient plus que des laquais du riche ploutocrate :tongue: . Un jour peut-être auront-ils le courage de se retourner contre leur maître et de gagner un butin 100 fois plus riche que les misérables piécettes lancés par leur maître ! Un jour peut-être se souviendront-ils qu’ils étaient jadis libres et avaient le cœur pur, avant de vendre leur corps et leur âme au riche ploutocrate, par peur très certainement.
Mais l’heure de la rédemption ne semblait pas pour maintenant et le Doge criait de plus en plus fort : il jeta loin de lui la maigre pitance qu’il avait gagné et qui avait attiré contre lui tant de charognards, espérant par là sauver sa noble peau. Le Roi de France, habile footballeur (qualité que ses ancêtres ne retrouveront jamais :mrgreen: ), intercepta le butin et le fit sien. Qu’à cela ne tienne, la meute poursuivait ses attaques et le riche ploutocrate ne cessait de rire toujours plus fort : pour quelques pièces, infime goutte d’eau dans l’océan de ses richesses, il venait de se débarrasser, fort peu glorieusement certes, d’un souverain qui avait refusé de se vendre à lui, renforçant par là même encore plus son pouvoir déjà inégalable et se rapprochant toujours plus de la domination universelle dont il rêvait secrètement :?: .
Le cœur tendre, doux et aimant :mrgreen: du Roi d’Angleterre se serra : il ne pouvait laisser pareil massacre se dérouler sans intervenir. Le Doge était de plus son allié de longue date. Londres se jeta dans la mêlée sans hésiter un seul instant, tout en ignorant pas que c’était sans espoir : juste une victime de plus pour la meute :ouin: . Mais pour certains, l’Honneur a encore une signification. Beaucoup de souverains ont vendu le leur au riche ploutocrate, mais le Roi d’Angleterre ne brade pas son Honneur. Noblesse oblige. La Frise et, surtout, la France puissante décidèrent à leur tour de s’interposer, mais comment ces preux pourront-ils à eux seuls repousser la meute, excitée par les sacs d’or que le riche ploutocrate lançait partout autour de lui afin d’éloigner les envieux de sa colossale richesse, acquise en dépouillant le reste du monde :?: ?
L’Histoire retiendra que devant le danger et la lutte sans aucun espoir, l’Angleterre n’a pas hésité, attitude à comparer avec ceux qui ont préféré se laisser acheté :tongue: : la défaite oui, mais l’Honneur sera sauf ! Honneur, Justice, Intégrité ! God Save The King !
L'incursion en Pologne d'Osman II
La guerre qui éclata en 1587 entre les les principaux empires Européens s'annonçait
sanguinaire.
Osman II y vit un moyen de faire entrer l'Ottoman de plein pied sur la scène Européene et
s'affirmer comme un interlocuteur de poids à l'Est. Comme ses prédécesseurs, il était
persuadé que l'Ottman devait affirmer sa position vis-à-vis de ceux qui l'avaient longtemps
ignoré.
Lorsque la Pologne changea de camps devant les proposition de gain faites par le
talentueux monarque français le conflit sembla prendre une autre tournure. Les EMpire
Colonniaux Ibériques et leur alliés Autrichiens semblaient devoir passer à la défensive.
L'Autriche se retrouvait soudain entourée d'ennemis.
Le Sultan qui avait imaginé, dans un temps, entrer en guerre contre la Pologne. En effet
imaginer que ses trois grands voisins s'entendent, tenait du couchemard pour le Souverain
Turc. Il fallait empêcher cet axe de se développer à tout prix et surtout l'empêcher de se
renforcer. Le retournement de la Pologne rassura le Sultan qui voyait à nouveau
Autricheins et Polonais s'affronter et ainsi le cauchemard d'une Triplice aux portes de la
Turquie disparaitre.
Néanmoins, Le sultan n'abandonna pas l'idée d'une opération contre la Pologne, il se
souvenait que cette dernière avait participé au depeçage des Terres Tartares du nord et
voyait ici une bonne occasion de faire payer ce vieil ennemi.
Dans le même temps, la mise en échec de la Pologne permettrait d'éviter qu'un voisin de
l'Empire se renforce et à coup sûr renforcerai les relations avec Vienne, seul allié potentiel
dans la région.
L'arrivée des émissaires Ibériques promettant une participation de ces derniers aux frais
de guerre acheva de convaincre le Sultan qui envoya ses puissants Janissaires mettere à
sac la POlogne.
Les généraux pestèrent contre ce Sultan ambitieux qui déclarait une guerre alors que seul
18000 Soldats étaient dans leur casernement le reste de l'armée franchissant a peine le
Tigre après l'opération contre l'Empire Ming. Les effectifs Ottomans
étaient encore affaiblis par les dures conditions de vies dans les Steppes orientales et le
tiers des effectifs devaient être reconstitué soit environs 30000 hommes.
Heureusement, la Pologne était elle aussi découverte et les 18000 hommes initiaux pures
avancer en Pologne et contenir les contres- attaques de 12000 à 15000 Cavaliers Polonais
le temps que 30000 Hommes les soutiennent et que quelques troupes des vassaux
Ottomans rejoignent lle thératre d'opération.
La Campagne fut sanglante mais vu la Pologne se cantonner à retarder l'implacable
avancée des Janissaires qui disposaient d'une supériorité écrasante. Tout le Sud de la
Pologne y compris Cracovie qui vu l'entrée du Sultan en vainqueur. Lorsque ces
adversaires vinrent demander la paix le Sultan fut clément car conscient que cela n'était
qu'une victoire stratégique et que son ennemi s'était battu avec vaillance. Ainsi réclama-t-il
l'abandon des prétentions Polonaises sur la Transylvanie sont vassal et le versement d'une
indemnité symbolique de 50 ducats.
Cette victoire stratégique marquait l'entrée de plein pied de l'Ottoman dans la diplomatie
Européene.
L'ere de l'Ouverture pouvait commencer
Les ploutocrates écrasent les ingrats
Alors que la lutte semblait sans issue, le Roi de France, de nature fourbe et perfide :tongue: , réussit à convaincre la Pologne de changer de camp: les Preux semblaient enfin avoir une petite chance, non pas de vaincre, le rapport de force restait bien trop en leur défaveur du fait de la non préparation de certains :?: , mais bien d’obtenir le match nul… Espoir qui allait voler en éclat avec l’intervention Ottomane dans les plaines de Pologne.
Puissance navale et coloniale, l’Angleterre allait laisser, comme prévu, le théâtre européen à ses alliés et se charger de trois tâches colossales qui allaient demander, pour pouvoir être menées à bien, un investissement énorme de la part de Londres, bien supérieur à tout ce que ses alliés allaient probablement engagés :
-Défendre les possessions Asiatiques de l’ensemble de la coalition, véritable talon d’Achille de celle-ci puisque l’Angleterre, Venise, la Pologne et la France possédaient là de trop nombreuses provinces très peu défendues et notamment des colonies, qui allaient être dérobées par le Portugal :( . Pour assumer cette tâche colossale, il n’y avait que l’Angleterre : la flotte de Venise, présente en Asie, était constituée uniquement de galères, qui ne pouvaient offrir le moindre résultat. Les troupes Françaises, elles, ne couvraient que moins de 10% des possessions de la coalition et étaient incapables de protéger le reste, faute de supériorité navale.
-Défendre les possessions Vénitiennes d’Amérique du sud. Pour cela, il fallait amener des renforts et donc disposer d’une flotte capable de s’aventurer au milieu des océans hostiles, balayés par les redoutables marines de guerre Ibérique. Là aussi, seule l’Angleterre semblait capable de mener cet exploit à bien.
-Contester la totale domination navale des Ibériques, qui leur offrait un avantage inimaginable sur tous les fronts, Européens et non Européens. De tous les membres de la coalition, seule l’Angleterre semblait disposée à se saigner aux 4 veines pour essayer cela : pour le bien commun, Londres n’a pas hésité un seul instant.
Acte I. La guerre en Asie
Dès le début des hostilités, toute l’attention de Londres, se porte comme prévu sur l’Asie : le général Daniel Sauders livre une farouche bataille contre les Portugais qui se lancent à l’assaut en Australie.
http://img503.imageshack.us/img503/3553/sauders1857ju7.jpg (http://imageshack.us/)
L’arrivée in extremis de renforts permettra de remporter la victoire et la contre-offensive commence, victorieuse, mais se heurte très vite aux renforts Portugais : plus de 30.000 soldats se disputent désormais l’Australie. Londres a ainsi déjà atteint son premier objectif : la défaite de la garnison Portugaise a amené Lisbonne à précipiter en Australie toutes ses troupes d’Asie. Les colonies Vénitiennes, Anglaises, Françaises et Polonaises sont sauvées pour le moment :) !
La lutte reste cependant indécise, Anglais et Portugais prenant l’avantage à tour de rôle : il devient évident pour les deux pays que le vainqueur sera celui qui amènera le premier des renforts supplémentaires. Une victoire Portugaise en Australie et c’est tout le front Asiatique qui est perdu :ouin: .
Le 6 février 1588, une bataille navale décisive a lieu au large des côtes Australiennes : de son issue dépendra le sort de la guerre sur ce front. Les effectifs engagés seront maigres, mais l’importance de la bataille n’échappe à aucun des deux protagonistes, qui refusent d’abandonner malgré l’augmentation vertigineuse des pertes. La flotte Portugaise est plus nombreuse et, surtout, bénéficie de l’avantage technologique :?: . La Royal Navy contrebalance à peine ces avantages par une supériorité numérique en navires de guerre.
http://img514.imageshack.us/img514/8363/australie1588ga7.jpg (http://imageshack.us)
La boucherie cessera un mois et demi plus tard : 95% des flottes Anglaises et Portugaises ont sombrés, c’est un match nul qui laisse Anglais et Portugais incapables de reprendre la lutte pour la victoire en Asie. L’intervention des flottes Espagnoles et Françaises aurait permis de relancer les hostilités sur ce front, mais ces deux pays avaient le regard tourné vers l’Europe. Néanmoins, l’Angleterre, et la coalition avec elle, pouvait s’estimer satisfaite : le talon d’Achille Asiatique était sauvé :clap: .
Acte II. La balance penche du côté des ploutocrates
En application totale de ses plans de guerre, communiqués à Paris, l’Angleterre se lance alors sans compter dans son seçond objectif : contester la domination navale totale des Ibériques, à peine secouée par la neutralisation mutuelle des Anglo-Portugais en Asie. Un immense effort de construction navale est lancé, les chantiers tournent à plein régime, le royaume s’endette : rien n’est trop cher pour assurer la victoire de la coalition. En un peu moins de deux ans, la marine de guerre Anglaise, déjà importante, augmente de 40% :mrgreen: ! Le trésor royal est vidé pour des années, mais Londres est décidée à remplir sa part du contrat au sein de la coalition : le domaine naval, ce sera notre affaire.
Malheureusement, les coalisés, eux, ne rempliront pas leur part du marché. Bousculés en Europe, ils sont de plus en plus acculés à la défaite et en viennent à nous appeler à l’aide, en désespoir de cause. Résultat, le troisième objectif Anglais, aider Venise en Amérique du sud, doit être retardé : nos régiments passent en France et sur les colonies Françaises d’Amérique du nord.
La surprise sera double. Dans le sud de la France, où l’Espagne a percé, aucun combat et les régiments Anglais restent des mois entier en soutien, prêt à venir aider les plus de 50.000 Français qui sont maintenus sur ce front… Mais qui ne bougeront pas d’un iota. Et c’est pour contempler les épouvantails amorphes Français qu’on nous a appelé et que nous avons retardé notre offensive en Amérique du sud ??? En Amérique du nord, grande satisfaction de Londres, les Français bougent et ne cessent d’appeler à une offensive commune. Mais ils semblent se tromper de côté et ne cessent de s’enfuir toujours plus loin à l’est, vers les possessions Anglaises et non pas Espagnoles…
Les appels à l’aide du Doge devenant de plus en plus pressant, les troupes Anglaises stationnées en France se mettent en mouvement : les épouvantails amorphes de France promettent de soutenir notre percée périlleuse vers l’Italie mais, comme lors des batailles de Pensacola jadis, les promesses Françaises ne seront pas suivies d’effet. Plus de 15.000 soldats Anglais se heurtent aux Impériaux en Suisse, sous le regard passif des hordes Françaises adjacentes, qui ne bougent pas le plus petit orteil. Ce sera l’inévitable défaite, mais l’Angleterre parviendra néanmoins à rejoindre l’Italie, où le Doge est en grand péril. La coordination Anglo-Vénitienne se déroulera, elle, au mieux et les deux pays n’hésiteront jamais à lancer leurs troupes au combat.
Les Impériaux reculent et, voyant le gros du travail accompli, les troupes Françaises se ramènent enfin. L’espoir d’un match nul en Italie renaît, mais trop brièvement : la Pologne est écrasée et l’Empereur ramène ses troupes. Pire, des armées Espagnoles et Portugaises entrent à leur tour dans la guerre : mais pourquoi ne sont-elles pas engagées sur le front des Pyrhennées ? Celui-ci serait-il totalement amorphe, comme certains le prétendent ? Cette bien étrange passivité scelle en tout cas le sort de la guerre en Italie : c’est la déroute.
A suivre…
Acte III. La course contre la montre
La double défaite de la coalition, en Italie et dans les plaines Polonaises, rendait l’issue de la guerre de plus en plus certains et des voix s’élevaient pour réclamer la fin de celle-ci. L’Angleterre, qui depuis le début s’était lancé dans le conflit dans une optique de guerre longue, se trouvait à l’avant-garde de ceux qui souhaitaient poursuivre la lutte, et le Doge, fidèle allié, décida de rester à nos côtés, malgré une situation de plus en plus difficile. La France, dont le potentiel, sous-utilisé, était toujours en grande partie intact était elle aussi favorable à continuer le combat. Hâtivement, la Royal Navy prit la route des Amériques pour débarquer les trois vagues prévues pour aider le Doge. La situation en Amérique du sud était telle que Londres du renoncer à d’abord débarquer toutes ses hordes puis seulement lancer l’offensive de reconquête : la première vague fut immédiatement envoyée dans la fournaise. La bataille fut acharnée et des milliers de soldats Anglais et Portugais tombèrent ce jour là, mais ce fut une défaite :ouin: .
Qu’a cela ne tienne, cette première vague allait se refaire en attendant l’arrivée des deux vagues suivantes : les moyens de transport de la Royal Navy était en effet limité, la priorité ayant du être donnée aux navires de guerre, l’Angleterre étant le seul membre de la coalition à tenter de contester la domination navale totale des ploutocrates. La tâche qui reposait sur les épaules Anglaise était vraiment immense, et Londres l’assumait sans recevoir aucun soutien des royaumes ingrats :?: .
Les ultimes renforts navals rejoignirent enfin la Royal Navy, qui embarquait une vague supplémentaire pour le Brésil : l’heure de la chasse allait enfin pouvoir être lancé :=(: ! Nos fiers navires de guerre, construit à très grands frais, allaient pouvoir s’abattre tel l’aigle royal sur sa proie terrorisée. Et c’est à ce moment précis que les ploutocrates usèrent de la crédulité des ingrats pour obtenir une paix généralisée : la Pologne vaincue voulait la paix et comme elle était chef d’alliance, ce fut un jeu de domino. Tant d’efforts pour en arriver là. A Londres, la frustration était immense : notre coûteuse machine de guerre avait été stoppée en plein élan :enerve: .
Comment expliquer la déroute des royaumes ingrats ? Une telle défaillance ne pouvait naturellement venir que de la France, pivot de la coalition en Europe. Assurément, le Roi de France du sentir que ses alliés allaient lui demander des comptes, aussi il s’empressa de lancer un écran de fumée pathétique en pointant du doigt l’Angleterre. Mais personne ne fut dupe, si l’Angleterre avait parfaitement remplis ses objectifs ( et les aurait remplis bien mieux si elle n’avait pas été appelée sans cesse et sans raison valable aucune par un Français trouillard et paniquard :tongue: ) , il n’en était pas de même pour la France, que nous avions du tirer de force vers l’Italie : sans la courageuse intervention Anglaise, aucun soldat Français ne serait jamais venu aider le Doge, les immenses armées Françaises préférant rester l’arme au pied sans bouger face au front Espagnol, à attendre une très hypothétique offensive Ibère. Et pendant ce temps, Madrid et Lisbonne, rusés, laissaient un écran de fumée devant le Français et expédiaient le gros de leurs troupes pour soutenir l’Empereur...
"Pardonnez-leur, parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils font"
La guerre qui avait des plus mal commencé pour Frise prit un tour nouveau avec le retournement des polonais ! La France avait réussi à faire battre en leurs cœurs l’appelle de la chevalerie ! Mais le conflit ne s’annoncé pas des plus facile tout de même, l’empire avec ses armées importantes et ses réserves de troupes, continué toujours d’être un adversaire plus que coriace, avec un duché de Frise, sans réserve de conscrit à envoyer, une république de Venise devant se battre sur 2 fronts, l’aventure était des plus risqué, mais l’honneur nous obligeait à nous battre ! :(
Frise avait prévu de continuer à renforcer ses forces tranquillement avant de passer à l’attaque mais l’empressement offensif des polonais nous obligea à passer à l’offensif dans la région du Hanovre, nos faibles forces ne pouvaient peser lourdement sur la balance et la campagne fut un désastre, nos armer même numériquement supérieur ne firent que des dégâts que faible sur les armées autrichiennes. :o:
L’entré en guerre des ottomans contre la Pologne mit fin à tout espoir de notre coté, sans la Pologne que pouvions nous faire ? Venise était débordé, la France faisait face aux Ibères ! :mouais:
La dernière grande offensive dans à travers les alpes lancées par les Anglais, avec le soutien des forces françaises démoralisé par leur dernière défaite, et notre cavalerie a bout de souffle, ne put changer le court de la guerre, nous avions perdu ! :ko:
Frise avait apprit une leçon lors du conflit, le Duché serait prêt à répondre à la prochaine guerre ! Le Duché devait sortir de sa léthargie coloniale pour se refixer sur le continent !
Les néerlandais combattront pour l’honneur et la gloire !:roi:
Marco Rale
23/09/2007, 23h18
http://img221.imageshack.us/img221/5686/aar1588ac9.jpg
lemarseillais
24/09/2007, 14h56
CHRONIQUES FRANCAISES 1562-1576
Une période de paix à la romaine.
Ces années en France furent marquée par une maître mot : expansion.
Dans le domaine militaire, la France prit conscience que les armées de ses voisins atteignaient des proportions supérieures à notre armée, ainsi en Autriche ou en Turquie, nos informateurs nous faisaient parvenir les chiffres de 80000 hommes pour l'armée régulière. Le roi prit donc la décision d'adapter ses effectifs à l'augmentation des armées voisines. Un effort fut fait pour réformer l'armée et grossir les troupes. L'armée française fut portée à 110000 hommes pour l'armée régulière se répartissant ainsi : 20000 en Amérique et 90000 en France.
Sur le plan économique, notre grand roi argua du fait que c'était el commerce qui faisait toute la richesse de l'Espagne. La France devait en faire autant. Une grande politique commerciale fut menée et petit à petit les fruits tombent même si la lutte est difficile. L'économie français est en progrès constant et rattrape petit à petit la Portugal, 2e puissance économique.
Sur le plan colonial, après avoir découvert l'Indonésie et établit 2 premières colonies, il fut décidé de mener une politique vigoureuse d'expansion dans cette zone par la conquête de terres autochtones. L'objectif étant de conquérir les ressources les plus demandées dans notre royaume et chez nos voisins. Sans de grande difficulté, si ce n'est logistique, la France fit la conquête de plusieurs colonies de Piment, de Tabac, de Tissus.... Surtout, le centre commercial de Malacca, gonflé par les colonies françaises, ne pouvait plus échapper au roi de France.
Diplomatiquement, la France perpétua ses bonnes relations avec ceux qui forment ses alliés ou bonnes relations. A l'Angleterre qui se plaignait dans manque d'aide financière de la part de la France, arguant du fait que l'Espagne payait bien ses "alliés", notre roi lui répondit qu'à sa connaissance l'Espagne ne versait pas d'or au Portugal. Pourtant, la différence économique entre ces deux pays équivalait grosso modo à celle entre la France et l'Angleterre, c'est-à-dire pas énorme. Nous ajoutâmes que si l'Angleterre était de facto allié à la France, c'était simplement par intérêt commun et non parce que nous avions "acheté" l'alliance anglaise.
Néanmoins, par bonté d'âme, le roi écouta tout de même le discours anglais prenant sur lui l'impolitesse flagrante de la demande. L'Angleterre ne pouvait pas assumer seule le contrôle des mers, elle n'avait pas les moyens de se payer une immense flotte rapidement. Le roi assura donc son homologue anglais qu'un effort serait fait par la France dès maintenant et qu'une flotte française digne de ce nom verrait le jour.
C'est là que le roi anglais dit en gros : "non mais donne moi plutôt l'or pour que je batisse les navires. Ma marine est plus forte que celle française". Notre roi ne manqua pas de répondre :" tu me demandes de te payer ta flotte sans savoir si un jour tu ne vas pas la retourner contre moi". Le Roi d'Angleterre jura sa bonne foi et son sens de la loyauté, etc.
La France accepta et envoya en une petite décennie 2000 ducats à l'Angleterre qui pu ainsi produire environ 30 caravelles supplémentaires. L'histoire nous montrera quelques années plus tard, après la défaite dans la guerre des 2 blocs, la faible reconnaissance anglaise et son incroyable impolitesse puisqu'elle reprochera à la France de ne pas s'être bâtit une flotte et d'avoir laissé seule l'Angleterre dans la lutte pour le contrôle des mers. Osant se faire passer pour le Sauveur des colonies françaises indiennes alors que sans notre or sa flotte aurait été moitié moindre et n'aurait pu que fuire face aux ibériques.
Mais comme tout propos n'est jamais vain, la démonstration de mauvaise foi anglaise nous a ouvert les yeux. L'Angleterre sera évidemment ravi d'apprendre que la France poursuivra son effort d'aide à ses alliés de manière plus soutenu encore. Comme l'Angleterre le prône, il faut aider les plus "faibles". Nous serons donc disposé à aider financièrement la Frise et la Pologne. L'Angleterre, malheureusement, et Venise, dans une moindre mesure, ne répondent pas aux critères de "faiblesse économique".
D'autre part, pour ne plus laisser seule l'Angleterre dans la lutte des mers, nous allons batîr une flotte digne d'elle et ne pourrons plus, à notre plus grand regret, financer l'effort naval anglais.
Guerre et défaite, Pologne 1562-1576 :
A la veille de la guerre la Pologne, aux cotés de l'Autriche et des royaumes Ibériques s'apprétait a fondre sur l'innocent royaume de Frise. Mais c'était sans compter la venue a Cracovie d'émissaire Français, venus de Paris dépêché expressement par le Roi lui même.
Aprés moultes tractations diplomatique un accord fut trouvé entre la France et la Pologne, désormait le roi combattrait aux cotés de l'alliance Française, pour la plus grande gloire de la Pologne ! :epee: (misc.php?do=getsmilies&wysiwyg=1&forumid=134#)
Le roi Henryk I n'avais jamais oublié les conseil de son père, qui perdis la Bohème-Moravie contre l'empereur : "Méfie toi de l'Autriche mon fils, ces hommes, les Habsbourg sont des fous et leur coeur est corrompus par le mal. Prends-en toujours garde car tel le loup affamé ils n'hésiterons pas a se jeter sur nous lorsque le royaume sera au plus bas !"
La guerre débuta donc par de violentes batailles dans le nord de l'Allemagne. Nos troupes prirent rapidement position dans le "corridor de Lübeck" pour établir au plus vite le contacte avec la Frise. L'empereur réhaussa son dispositif, initialement disposé contre la France et bientot les tremblements des sabots des 40 000 chevaliers impériaux se firent entendre.
Gustaw Lancoroñski, maréchal du roi, a la tête de nos troupes décida de prendre l'initiative en fixant l'enemis a Erfurt. La doctrine militaire polonaise datant des dernieres guerres contre l'empereur, il y a plus de trente ans tout le monde pensait que la supériorité incontestable des hussards suffirait a briser les lignes énemis :
http://img263.imageshack.us/img263/3692/aar6ph2.jpg
Malgrés l'infériorité numérique le morale de l'enemis flancher, et les renforts de la cavalerie Frisons n'était toujours pas arriver. Mais alors que l'enemis tremblait de peur devant les charges redoutable de notre cavalerie nos hommes tombaient par milliers, nos rangs fourdoyés par l'éfficacité des nouvelles armes enemis. Alors que nos troupes composés éssentiellements de paysans, organisés selon le modèle des Janissaires orientaux se battaient courageusement au corps a corps nos énemis utiliser les nouveaux régiments organisés selon le schéma Maurice de Nassau.
La victoire fut arrachée mais a quel prix. Nos troupes décimées venait de perdre l'initiative et la guerre s'annoncait longue et épuisante.
C'était sans compter sur la pérfidie du Sultan de la sublime porte, qui se jetta sur les terres polonaise, ramenant toute ses armées du fin fond des steppes, venus des terres de Perse jusqu'a a la frontière de l'Indus, semer la mort et la désolation sur nos terres.
Nos troupes décimées par les affrontements contre l'Autriche furent incapable d'organiser la moindre contre attaque et le Sultan atteignait déjà Cracovie. En fuite le roi réussit a rejoindre les Hussards noirs, derniers cavaliers du royaume a tenir encore haut la banière et l'étandards de la Pologne.
Malgrés l'organisation d'un réduit dans les pauvres terres du nord de la baltique la lutte était finis pour la Pologne qui ne pouvait plus que compter ses morts et attendre la fin du cauchemard.
http://img526.imageshack.us/img526/971/blasonpaysbasan2.png (http://imageshack.us)
Missive Frissienne:
A l'Autriche: Lors de la dernière guerre nous avons été surpris des moultes trahisons que vous effectuer, vous avez autorisé le passage des polonais sur vos terres alors que le traité de Dusseldorf prévoyé ce cas de figure, vous avez aussi trahi Venise qui avez chercher avec vous une base de paix durable. Vous comprendrez que la confiance que l'on mettait en vous, très cher roi d'autriche, en à très largement souffert, nous prenons toute fois compte que vous n'avez toute fois menez de siège en notre sein, et nous ésperons pouvoir remettre sur pied notre entente cordial.
A la Pologne: Nous vous remercions d'avoir su trouver la voie de notre seigneur tout puissant, et de nous avoir rejoint dans notre lutte contre l'injuste et le félon, nous reconnaisons votre pouvoir sur les terres d'indonésie, Frise vous ouvrira ses ports pour faire transiter vos hommes vers ces nouvelles terres. Notre sang a coulé sur la même terre et c'est entremélée pour ne faire qu'un, nous éspérons pouvoir continuer sur cette nouvelle voie diplomatique de respect et d'entre aide mutuel.
A la Russie: L'annonce de votre victoire sur les hérétiques de chine nous ravie, nous éspérons que vous pourrez pousser la puissance de la foi chrétienne dans les contrés reculé de l'est. Nous sommes aussi très heureux de l'annonce de la fin de votre mercenariat, nous ésperons pouvoir aujourd'hui établir de très bonne relations avec la sainte république de Russie pour un futur radieu.
lemarseillais
25/09/2007, 18h46
Déclaration diplomatique :
A la République de Russie, nous nous réjouissons d'apprendre que vous avez mené à bien vos objectifs orientaux. Votre nouvelle position diplomatique quant à vos relations, à l'avenir, avec les autres nations européennes est digne de votre nouveau statut. Sachez que nous la comprenons et la respectons. Qui pourrait critiquer un prince ou un gouvernement faisant passer les priorités de son peuple avant celles des autres, quelque soit les caisses d'or versées ? Assurément pas la France.
A l'Empereur, vous avez joué à un jeu dangereux sur la scène diplomatique internationale. Vous savez aujourd'hui être dans une situation de discrédit vis à vis de certaines cours. Sachez que malgré tout, il n'y a pas encore eu de comportements impardonnables entre nos deux peuples. Vos prochains actes détermineront notre position vis à vis de vous. Nos rapports sont ternis, à vous de voir ce que vous voulez en faire.
lemarseillais
26/09/2007, 22h18
Chronique française de l'ennui qu'il faut quand même raconter, d'une date dont je ne me souviens plus à 1599
La France sortait de la guerre des blocs vaincue. Quoiqu'est pu en dire certains, le manpower françait était tombé à 14000 au moment de la signature de la paix (il est de 78000 à la base). La france avait payé cher le prix du sang, même si certains osèrent remettre en cause de cela.
Conformément aux accords de Montculq, en Roussillon, la France devait céder le centre de commerce de Malacca et l'île de Porto Ricco, respectivement à l'Espagne et au Portugal. Les pertes territoriales étaient infimes comparés aux milliers de sujets français morts.
L'économie française se ressentit peu de cette défaite, excepté l'inflation qui fit un bon conséquent de 1% en 2 années de guerre. il n'y a là pas un grand péril pour l'avenir du pays puisque l'ensemble des voisins, et des grandes puissances économiques, sont dans la même situation inflationniste que la France. On peut même dire que notre pays est plutôt un bon éléve dans ce domaine.
Evidemment la perte du centre de commerce se fit un peu ressentir dans les premiers mois suivant la paix, mais une active politique commerciale permit rapidement de redresser la situation et de dépasser celle antérieure.
Le retour de la paix ramena la stabilité sur le pays. Le roi en profita pour édicter de nouvelles ordonnance sur la marine royale. Aujourd'hui notre pays est en plein effort de construction. A terme, la France sera doté d'une flotte digne de ses rivaux.
Déclaration a l'adresse de l'empereur :
Votre récente guerre contre la Hongrie n'est pas passer innaperçue a la cours de Pologne. Le Roi exige des explications sur l'implication de l'empereur dans ces territoires slaves bien loin des terres de l'empire.
Les territoires Hongrois et qui plus est reformée sont désormait sous la protéction du Roi de Pologne. L'influence de l'église Calviniste dans toute la pologne historique élève aujourd'hui le pays au rang de protecteur de la réforme, même si nous conservons notre foie catholique.
L'Ere de l'ouverture
Après sa brillante victoire contre la Pologne, le Sultan discuta longuement avec les
émissaires qui avaient parcouru les Royaumes d'Europes occidentale lors de négociations
de paix afin d'en savoir plus sur ces Royaumes qui semblaient posséder une longueur
d'avance importante en terme de technologie militaire et commeciale.
Osman II, en monarque éclairé, sur tirer les enseignements de ces entretiens.
Il repoussa les propositions de campagne militaires de ses généraux et préféra utiliser
les deniers du butin de guerre acquis contre la Pologne à la mise en place de prévots dans
tout l'Empire.
En quelques années, toute les provinces virent la mise en place de prévots gérant
efficacement la récolte des impots. Les Taxes annuelles perçuent par l'Empereur
passèrent ainsi de 45'000 à 70'000 ducats cette embélie des finances Ottomanes
fut utilisé pas le Sultan pour créer des universités, des arsenaux et autres manufactures.
Tout le début du XVII siècle vu l'Empire profiter d'une paix et d'une embellie économique
sans précédent. Osman promulgat pendant son rêgne pas moins de 3 édit de
tolérance religieuse afin d'assurer une paix intérieur et de profiter de toute les forces de
l'Empire pour bâtir ce nouvel Orient.
Il invita également de nombreux aventurier et penseur occidentaux à profiter de généreux
financement pour enseigner leur savoir aux lettrés Ottomans qui avaient supplanté les
Jnaissaires au sein de l'appareil étatique. La forte personnalité d'Osman et son aura firent
de lui l'un des plus illustre souverain Ottomans et certainement le plus grand batisseur que
l'Empire eut connu.
En 1611, le Sultan était presque arrivé au terme des réformes qu'il avait projeté, et
l'Ottoman bien que toujours en retard sur l'Occident semblait plus solide et plus fort que
jamais.
http://img142.imageshack.us/img142/2411/1611gn6.jpg
L'Empire Ottoman en 1611
Position du Sultan dans l'affaire Hongroise
Le Sultan prend acte des déclarations Polonaises et Autrichiennes vis-à-vis de la Hongrie.
Il déclare garantir l'indépendance de cette dernière en temps que Royaume indépendant,
le statu-quo dans les Balkans lui semble désormais être la meilleure soluttion pour que
les Grande puissances alentoures soient en paix.
Déclaration a l'adresse de l'empereur :
Votre récente guerre contre la Hongrie n'est pas passer innaperçue a la cours de Pologne. Le Roi exige des explications sur l'implication de l'empereur dans ces territoires slaves bien loin des terres de l'empire.
L'empereur ne s'abaissera pas à répondre à vos "exigences".
Il ne vous salue pas, d'ailleurs.
En ce qui concerne la Hongrie, nous tiendrons le sultan informé de nos desseins, en privé.
lemarseillais
30/10/2007, 11h05
Le roi de France rappelle à l'Empereur son entreprise belliqueuse à notre encontre récemment. De fait, la neutralité de la France, la passivité de la France quand l'Empereur s'en prendra à des chrétiens ne sera plus aussi simple à obtenir.
Ceci n'est pas une déclaration d'hostilité mais juste un rappel d'une évidence qui ne doit pas vous échapper depuis que vous avez agressé mon royaume.
La position officielle du Sultan est celle que nous prenons aussi : clarté dans les positions diplomatiques vaut mieux que magouille secrète. Le sort de la Hongrie ne relève que des Hongrois.
Avant que certains monarques se mêlent de cette histoire pour crier comme des damnés leur soutien à la cause impériale, je précise que cette déclaration, comme d'habitude, n'engage que la parole de la France et aucunement ses "amis".
L'Empereur rappelle au roi de France qu'il était moins regardant sur les entreprises "belliqueuses" impériales vis à vis d'autres chrétiens, quand les chrétiens en question étaient Strasbourgeois.
Mais il est vrai qu'à l'époque, l'Empereur avait promis de céder Metz à titre gracieux au roi de France. Ceci explique peut-être cela...
L'Empereur rappelle également au roi de France, que nous avons une grande quête commune : la défense de l'Eglise romaine, face aux apostats Calvinistes et Luthériens. Cette cause devrait nous unir, au lieu de susciter la défiance lorsqu'il s'agit de la Hongrie, terre réformée.
lemarseillais
30/10/2007, 11h52
Dois je vraiment rappeler le nombre de fois où la France a fermé les yeux devant les actes de l'empereur à l'encontre de chrétiens germaniques ?
L'Empereur veut jouer sur trop de tableaux à la fois (Savoie, alliance ibérique, Suisse, Strasbourg et maintenant la Hongrie) pour pouvoir s'étonner de notre réaction.
Ce n'est que l'amitié passée qui nous faisait fermer les yeux devant votre politique. Vous avez brisé cette amitié pour laisser place à des rapports pragmatiques entre nous (cette dernière phrase à un sens très réfléchi, j'espère que vous ne ferez pas que la lire vite fait).
Missive Ducal.
En ce saint jour, le véritable duc de Frise est revenu au pouvoir, il avait été mi dans une sombre prison derrière un masque de fer, mais c'était sans compter ses fiers mousquetaires!
Pour son retour le duc de Frise reprend en main sa place en Europe.
Prémièrement le duc de Frise reprend sa candidature au trône impérial germanique depuis trop longtemps corrompu par la ligné des hagsbourgs, famille dévoyé ne cherchant que la puissance au lieu du bien être de son peuple, et ne respectant pas les traités signé avec ses voisins.
Deuxièmement, le duché reprend ses prétention sur les terres hessiennes, ayant appartenu à branche cadette de notre dynastie avant d'être soumisse aux pouvoirs impérials par la force.
Troisièmement, sur l'affaire hongroise dont je ne connais pas tout les détails, je soutiens l'indépendance de cette état , attaché dynastiquement à ma famille.
Cordialement le duc de Frise.
Dois je vraiment rappeler le nombre de fois où la France a fermé les yeux devant les actes de l'empereur à l'encontre de chrétiens germaniques ?
Quoi de plus normal ??
Vous avez fermé les yeux sur les ravages Vénitiens en Italie, sur les conquêtes Polonaises en Prusse, ou sur les goinfreries Frisonnes en allemagne du nord.
Il est donc tout à fait cohérent que vous en eûtes fait de même pour les rapprochements dynastiques et diplomatiques de l'Autriche.
Prémièrement le duc de Frise reprend sa candidature au trône impérial germanique depuis trop longtemps corrompu par la ligné des hagsbourgs, famille dévoyé ne cherchant que la puissance au lieu du bien être de son peuple, et ne respectant pas les traités signé avec ses voisins.
Deuxièmement, le duché reprend ses prétention sur les terres hessiennes, ayant appartenu à branche cadette de notre dynastie avant d'être soumisse aux pouvoirs impérials par la force.
L'empereur note que vous vous affichez ostensiblement une hostilité à son égard.
N'espérez donc pas une once de clémence de notre part, si par malheur pour vous, nous sortions vainqueur d'un hypothétique conflit.
Il est clair que le trone de l'empire doit échaper au plus vite a la main mise des Habsbourg, et nous soutiendrons toute initiative allant dans ce sens. La maison de Frise a tout notre soutiens face a l'agressivité sans limite de l'Autriche et le Sultan qui se gausse depuis sa Sublime porte devrait réflechir a deux fois avant d'accorder sa confiance a l'empereur où de discuter avec ce félon.
La réforme Calviniste est partis de Vienne, ce n'est pas un hasard !
lemarseillais
30/10/2007, 14h24
Quoi de plus normal ??
Vous avez fermé les yeux sur les ravages Vénitiens en Italie, sur les conquêtes Polonaises en Prusse, ou sur les goinfreries Frisonnes en allemagne du nord.
Il est donc tout à fait cohérent que vous en eûtes fait de même pour les rapprochements dynastiques et diplomatiques de l'Autriche.
Dois je vous rappeler, Empereur, que ces goinfres (excepté la Pologne qui était trop loin pour moi à l'époque) sont aussi les premiers qui m'ont épaulé face aux attaques de l'ogre ibérique ? De même, quand nos rapports étaient différents de ceux d'aujourd'hui, m'avez vous entendu me plaindre de votre extension sans fin ?
L'empereur note que vous vous affichez ostensiblement une hostilité à son égard.
N'espérez donc pas une once de clémence de notre part, si par malheur pour vous, nous sortions vainqueur d'un hypothétique conflit.
La France ne veut pas se mêler physiquement de ce différent "germanique" mais elle ne saurait supporter un affaiblissement trop conséquent de son amici frison, qui n'aurait que pour conséquence d'attiser les haines et de provoquer une nouvelle guerre au grand dam des peuples. Juger de la dureté du traité de paix serait bien sur laisser à notre entière discrétion.
Bien bien bien...
La Pologne et Frise affichent clairement leur hostilité.
La France, n'est pas hostile, mais ne perd pas une occasion de nous mettre en garde.
La déclaration de Venise ne devrait plus tarder.
Qui d'autre a des griefs envers l'empereur ? Qu'il parle maintenant ou se taise à jamais :chicos: !!
lemarseillais
30/10/2007, 15h14
Une mise en garde ce serait plutôt :
- si tu touches à un de mes alliés je te dow
- si tu touches à la Hongrie je te dow
- si tu te mouches je te dow
Là je dis que je veux pas m'en mêler et que le staut quo pour la Hongrie me va bien, c'est plutôt une mise-en-gardounette qu'autre chose :chicos:
Une solution simple et rapide serait la destitution de l'empereur, la remise du titre a Frise aprés une nouvelle élection (avec préalablement une fin du lien de vassalité qui unis l'empereur avec ses derniers electeurs). La cession de la Bohème-Moravie a la Pologne, du corridor de Lübeck a Frise, et de relâcher bien évidemment les multiples états du saint empire qui sont toujours sous le joug de l'Autriche !
Une solution simple et rapide serait la destitution de l'empereur, la remise du titre a Frise aprés une nouvelle élection (avec préalablement une fin du lien de vassalité qui unis l'empereur avec ses derniers electeurs). La cession de la Bohème-Moravie a la Pologne, du corridor de Lübeck a Frise, et de relâcher bien évidemment les multiples états du saint empire qui sont toujours sous le joug de l'Autriche !
Sans oublier la restitution de Milan à Venise...
C'est vrai que c'est une solution rapide. Mais enfin nous promettons d'y réflêchir quand même.:chicos:
lemarseillais
30/10/2007, 15h55
Euh.......est ce que ça ferait trop si je demande par dessus l'Alsace, la libération de la Suisse et l'indépendance de la Savoie ? :jumpy:
Position espagnole :
Nous sommes attentifs à l'affaire de Hongrie, sur laquelle nous annonçons notre neutralité.
En revanche, les intentions hostiles de Frise vis à vis de l'Empereur concernant la Hesse ne peuvent pas nous laisser indifférent. Et nous annonçons notre alliance avec l'Empereur sur cette affaire.
La Hongrie et les éventuelles tensions légitimes que le partage de ce territoire peuvent provoquer ne doivent pas être utilisés par certains pour des ambitions territoriales à des milliers de miles de là.
La France semble raisonnable, mais nous suivrons attentivement ses réactions si un hypothétique conflit devait advenir pas la cause de la Hongrie. Comme elle le fera probablement vis à vis de Nous.
Nous souhaitons également sortir de la logique de bloc qui a jusqu'ici "pourri" la diplomatie européenne dixit la France, néanmoins des interventions massives de certains sur l'Autriche ne feraient que reactiver ce funeste réflexe.
Pedrolane
30/10/2007, 18h49
La position Venitienne est claire:
L'autriche n'a jamais voulu la paix avec aucun de ces voisins, les seuls traités qu'elle a signée ont été baffoués, et jamais l'autriche n'a voulu faire la moindre concession dans la moindre "affaire", ainsi au lieu d'accepter d'en faire pour préserver la paix, elle a toujours été bellissicte alors maintenant :
Soit l'autriche accepte, mais cela m'étonnerais, de négocier avec chacun et de discuter des problèmes en essayant réellement de trouver une issue diplomatique ET en acceptant de faire des concessions.
Soit elle refuse, comme d'habitude, toute négociation préfèrant entrer en guerre plustot que préserver la paix.
Dans le deuxième cas, Venise ne pourra que féliciter ceux qui agiront contre l'Autriche, elle les soutiendra financièrement et militairement s'il le faut. Que l'Autriche garde en tete que Venise a beaucoup changée depuis la dernière guerre .
L'empereur ferait mieux de commencer à réfléchir un peu à sa politique internationale, car ses trahisons, lui vaudront des malheurs que meme sa "puissante" armée ne pourra jamais arreter.
Venise rappèlle qu'elle est ouverte à la Paix et est prete à restée neutre si l'autriche stop son avancée dans les balkans, rends Milan à Venise et libère la Savoie. Venise sera alors prète à oublier sa rancoeur envers l'autriche. Cette rancoeur étant si intense, cela sera un effort considérable que de ne pas faire payer à l'Autriche ces trahisons.
Cependant Venise est prete à accordée une dernière CHANCE à l'autriche (pour le bien de la gpo et l'arret des blocs) mais que l'empereur le sache, Venise n'agit pas par peur mais agit bien par volonté de préservée la paix.
Maintenant que l'empereur choisisse, car en réalité c'est lui qui a créé ces conflits depuis le début.
lemarseillais
01/11/2007, 10h46
Déclaration française :
La France est attristée de constater que le sultan n'a pas réussi à persuader l'Autriche de maintenir le statut quoi sur la Hongrie.
Cet échec diplomatique, ajouté à l'intervention jadis contre nos alliés, nous amène à nous interroger sur les véritables relations que nourrissent chrétiens germaniques et sujets du Sultan.
Nous ne voudrions pas que le Sultan pense que ses actes, même les plus obscurs, échappent à celui qui sait regarder.
Les chroniques Frisiennes : une politique européo centré. (1611-1620)
Le retour de notre bon souverain Willem Lodewijk II, qui avait été enfermé par un double maléfique dans une sombre forteresse des iles bordant le rivage du Oldenbourg, amena un changement de politique radical dans la politique de notre duché. Le duc voulait mettre un terme au politique colonial de ses prédécesseurs au vu de la politique menait lors de son emprisonnement qui avait amené la perte de deux provinces et l’envoyé à une mort certaine bon nombre de ses compatriotes dans des tentatives ubuesque de colonisation des terres cannibales d’Afrique.
Notre cher Willem Lodewijk II, déclara donc au monde après l’écartèlement en place de grève du suppôt de Satan, le retour à une politique plus noble tourné vers les armes dans les plaines d’Europe, la chasse aux indigènes étant passé de mode. Première décision, la reprise des revendications oublié avec le traité de Düsseldorf, et le reprise des revendications sur le trône impérial, trop longtemps tenu par la famille Habsbourg. Pour tenir cette ligne politique, le duc fit appelle à Venise, son allié de toujours qui avait durant son absence connue un grand boom économique lui permettant l’envoie de quelque subside, et lui vendit pour la noblesse de sa république le centre de commerce Frisien d’Afrique de l’Est. Une grande préparation militaire fut donc entreprit pour entrer en guerre pour l’année 1620 comme prévu mages l’absence de son polonais devenu totalement fou, le duché consentit d’énorme effort et déploya prêt de 20 mille hommes, supplémentaire dans ses corps de cavalerie.
Mais le duc mourut avant que son œuvre prenne forme, et aucun de ses enfants n’étaient prêt à lui succéder, un conseil de régence commandé par le cardinal Lodvick fut mit en place, celui continua la politique de son noble souverain. La guerre fut donc lancée en 1620, prêt de 60 mille cavaliers avait été réunit pour soutenir et protéger les 20 milles fantassins devant assiégés les forteresses de Lubeck, du Lunebourg, et de Nassau.
http://img253.imageshack.us/img253/8291/guerre2yf4.png (http://imageshack.us/)
Le début de la guerre fut rondement mené la cavalerie s’avançant fortement en territoire ennemi frappant les corps d’infanterie ennemie, se réunissant toutes aux Wurtzbourg pour les écraser...
http://img131.imageshack.us/img131/2712/guerremy5.png (http://imageshack.us/)
1611 – 1620. Le retour au pouvoir de Lord Danton
La situation du Royaume d’Angleterre, en cette année 1611, était des plus sombres :ouin: . En cause, l’esprit trop conciliant et trop pacifique de l’Angleterre, certainement, mais aussi de bien trop nombreuses années passées sous la férule du très incompétent Régent De IA. Appelé d’urgence sous d’autres cieux, Lord Danton, loué soit-il :chicos: , avait en effet du abandonner les rênes du pouvoir en 1590. Un Régent habile et rusé, Lord Bubu, le remplaça les premières années puis du à son tour jeter l’éponge, plaçant de fait la direction du puissant royaume Anglais sous la férule lamentable de Lord De IA.
En 1611, lors de son retour triomphal au plus haut sommet du pouvoir, le très illustre Lord Danton, qui avait profité de son congé pour corriger un impudent Marseillais :p: , ne put que constater le désastre : tant pour les revenus que pour l’avance technologique, l’Angleterre était dernière des puissances occidentales et latines :ouin: . Ah non, la Frise était quand même derrière elle. Les mensongères paroles venues de France ( « L’Angleterre est quand même la cinquième puissance mondiale ») ne pouvaient dissimuler la triste vérité : certes, Londres devançait la Russie, la Pologne ou l’Empire Ottoman, mais enfin, le contraire aurait été plus qu’étonnant, ces nations n’ayant pas les performances des nations occidentales et Latines. Il fallait réagir, et vite.
L’arrivée sur le trône de Charles I allait considérablement faciliter la tâche colossale qui nous attendait : compétent et habile, ce monarque allait propulser notre commerce, qui tripla en quelques années seulement. Le Portugal cru intelligent de nous mettre sous embargo, continuant ainsi la politique anti-Anglaise qu’il menait depuis plus de 150 ans : blocage systématique des côtes pour ralentir nos explorateurs, coloriage de cartes, envois de saboteurs et maintenant embargo :?: . L’Angleterre réagira comme elle l’a toujours fait jusqu’à présent, Lisbonne est prévenu… Madrid aussi si elle se met une fois de plus en travers de notre chemin vengeur, mais légitime :tongue: .
Charles, en plus du commerce, relança un vaste plan d’évangélisation des païens d’Amérique du nord, avec plus ou moins de succès. Sa mort prématuré mit fin aux espoirs de Londres : son successeur, Henry VIII, n’avait pas la moitié de ses compétences :loose: . Notre technologie et nos revenus restent dérisoires comparés aux puissantes nations de France, d’Ibérie ou d’Italie, mais notre volonté reste inébranlable et qui oserait nous considérer comme une puissance de seçonde zone ferait là une erreur fatale…
Déclarations diplomatiques
A notre allié de Venise. Bien cher ami, votre puissance sans cesse grandissante a toute notre admiration et nous sommes heureux d’avoir pu vous aider à atteindre celle-ci : veillez cependant à ne pas vous faire trop d’ennemis et si vous avez trop de ducats, pensez donc à nous :p: .
Au Duc de Frise, ami lui aussi. Vous savoir de retour est un émerveillement pour nous. Veillez de votre côté à vos possessions outre Europe, sait-on jamais.
Au Roi de France, euh, cher à notre cœur :mrgreen: . Nous constatons que vous êtes aussi sous embargo Portugais, voilà qui devrait nous rapprocher…
Au Roi d’Espagne. Cessez de danser sur deux pieds. Il est ridicule de venir vous plaindre dans les boudoirs des cours Européennes de « l’attitude Anglaise qui ne mesure pas le danger Français » quand, dans le même temps, vous ne faites rien pour contraindre votre épouse Portugaise de cesser ses actes agressifs envers notre royaume.
Au Portugal impie. Nous espérons que vous avez bien profité de notre absence, mais sachez que nous voilà désormais de retour, brandissant l’épée de la justice. Pour la paix et la sécurité dans le monde.
A l’Empereur. Courage, digne choupinette ;) .
Pedrolane
04/11/2007, 19h25
D'une puissance énocomique à une puissance militaire. (1611-1620)
Après la défaite de la colaition Franco-anglo-friso-venitienne contre les ibères et l'Autriche,
Venise était en ruine.
Tout le monde disait que la République Venitienne allait s'éffondrée sur elle-même sous le poid des révoltes qui menacaient les collonies mais également sous le poid de ses ennemis, charognards qui ne cessaient d'envoyé des espions visant à déstabiliser le pays.
Cependant Pedrolane Ier Grand Doge des Doges, qui grâce à la découverte en Colombie d'une fontaine de jouvence pu conserver une éternelle jeunesse malgrés ces 212 ans, eut une idée FANTASTIQUE, Venise n'avait pas encore suffisement exploitée une force immense qui someillait en elle, cette force était celle du Commerce.
Une nouvelle Ere débuta alors pour Venise, malgrés des débuts laborieux, petit à petit les commercants Venitiens gagnèrent des parts de marchés, et les bénéfices étaient immédiatement réinjectés dans le commerce, ainsi la boucle bouclée fit de Venise une puissance économique très importante sur le plan mondiale. Certes Venise était devenur riche, mais elle n pouvait se targuer, à l'instar de l'Espagne, du Portugal ou meme de la France de possèder une richesse fixe et fiable, en effet la richesse Venitienne ne repose que sur le commerce.
Cette fragilité économique poussa venise a entreprendre des recherches technologiques en matière de Sciences militaire terrestre afin de prendre l'ascendant sur ces voisins et disposé, au moin pendant un temps bref, d'une "sécurité".
Cependant, malgrés les parcs florissants et les magnifiques distilleries baties récemment grace à l'argent ramenés par nos commercants, personne à Venise n'eut oublié la terrible guerre qui avait secouée la République quelques années auparavant.
Pour remédier à ce sentiment d'insécurité, Le Doge en fonction décida sur ordre de Pedrolane Ier Grand Doge des Doges de batir des Fortifications de niveau 3 sur l'ensemble du territoire continental.
Une fois ces travaux terminés, le peuple se entait en sécurité, mais ne cessait de réclamer vengeance auprès du Doge.
Effectivement la vengeance qui animait l'ensemble de la population était incroyable, à tels points que les dernières villes d'Italie décidèrent peu à peu de quitter le Saint-Empire qui n'était plus que synonyme de terreur et d'abominations.
Le pauvre peuple de Savoie et de Milan, très attaché à l'Italie durent rejoindre l'Autriche par la force et des centaines de récits affreux de vols, de viols et meme de déportations de villages entiers arrivèrent jusqu'en Italie.
Mais la goutte d'eau qui fit débordée le vase fut l'embargo autrichien contre Venise, en effet nos marchands n'avaient plus le droit de se rendre dans le très lucratif centre de commercer de Lubeck. S'en fut trop et Pedrolane décida immédiatment la levée d'une armée extraordinaire, grace aux nombreuses économies faites durant les années précédentes et à la volonté de l'ensemble de la population d'en découdre pluis de 120 000 Hommes furent levés en quelques années.
La guerre Fut déclarée en accord avec Frise, notre allié de toujours lui aussi floué par l'ogre Autrichien.
Missives diplomatiques :
- A l'Angleterre : Très chèr et innéstimable allié, nous vous remercions de vos conseils qui ont , je vous assure, eut très bon écho dans la cours du palais Venitien. Nous nous réjouissons de votre retour parmi nous et éspèrons pouvoir traités avec vous de la meme manière que par le passé, c'est-à-dire, avec honneteté, bonne foi et courage.
- A la Russie : Nous nous réjouissons de l'accord trouver entre no deux nations, nous éspèrons que vous connaitre le meme boom économique que nous et que nous pourrons bientot vous voir au devant de la scène international terassé nos ennemis communs.
- A l'Autriche : Nous vous avons proposé une paix moin lourde, si vous n'acceptez pas celle-ci vous ne pourrez pas venir dire que nous ne faisons pas d'efforts. (Lubeck à Frise, Milan à Venise)
- Au Portugal : Chèr ami, nous vous prions de lever votre embargo sur la pauvre nation Anglaise, en effet ceci ne fait que raviver d'anciennes querelles qui nous semblaient enterrées à tout jamais.
lemarseillais
05/11/2007, 16h27
Chronique de France (1611-1620) :
La période de paix se poursuivait en France. Le boom économique qui avait touché le royaume depuis deux décennies ne s'estompait toujours pas. La prospérité de la France était grande, très grande. Certains osaient même dire qu'elle avait dépassé le luxe espagnol. Si cela est vrai, la poursuite de l'embellie à la française n'a peut-être que renforcé l'écart.
Touché par la grâce divine, 4 provinces (sur 10 tentatives difficiles) se convertirent à la vraie foi. Malheureusement, une autre tomba dans l'hérésie atténuant, de fait, l'excellent bilan confessional.
Et comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule, la France se voyait enfin reconnaître par les hautes autorités d'EU3 qu'elle remplissait les conditions pour créer une nouvelle compagnie des Indes. Le commerce français étant déjà le 2e plus performant au monde, cela ne pouvait que le renforcer. C'était sans compter sur la fourberie légendaire du roi d'Espagne qui, suffoquant de jalousie, implora le dieu EU3 d'organiser un CTD général des 10 joueurs. Le déloyal comptait sur un élément qu'il avait bien pris garde de ne pas dire aux autres : il n'y avait pas de save auto annuelle.
La prière démoniaque du vil espagnol fut entendue par le support du Mal (D.....) qui la fit transmettre à son père spirituelle : Satan. Quelques secondes plus tard, tous les princes de se monde se retrouvaient clouer sur le pot de chambre royal pendant que le temps défilé en arrière. Leur devoir fini, ces princes se rhabillèrent et ne purent que constater les dégats : 5 ans avait été perdu par la jalousie d'un seul.
La France venait de perdre l'autorisation de créer une compagnie des Indes et se désespére du silence actuel des autorités euhutroisiennes. Les désastres s'enchainèrent alors : notre grand roi (celui qui offrait enfin, après 77 ans d'attente SI SI c'est vrai, les moyens de convertir le royaume) mourrut trop tôt, un conseil de régence fut instauré. Quelques années plus tard un nouveau roi montait sur le trône mais il n'était digne d'être roi que pour la guerre.
Prenant en considération tout cela, la France décide qu'il faut sévir à l'encontre de l'Espagne. C'est pourquoi la France fait savoir à l'Espagne qu'elle demande des réparations à la hauteur du préjudice, soit 50000 pièces d'or payable en 10 ans (un excellent event et un bon roi ça douille) + la cession immédiate du cot français d'Indonésie volé de manière ignoble.
Une fin de non-recevoir de la part de l'Espagne serait extrêmement mal pris de la part de la France et offrirait à celle-ci un casusbelli dont elle n'a d'ailleurs pas besoin (puisqu'elle dispose d'au moins 3 sources de cb contre l'Espagne). Une intervention, INDIVIDUELLE, serait alors envisageable.
**Je ne peux pas faire plus clair pour que tu comprennes ce que tu dois faire les qlq prochaines années Coméon ;))**
Diplomatie :
- à l'Angleterre : Nous attendons toujours les remerciements officiels de la part de l'Angleterre pour le mattage de vos révoltes passées
- au Portugal : le vol de Porto Ricco, l'embargo maintenant......ne sentez-vous pas que vous commencez à chauffer ? :p:
- à l'Empire Ottoman : je t'ai dans le collimateur loulou
- à la Russie : vos hommes s'ennuient et ont froid à ce qu'il parait. Saviez vous qu'il fait plus chaud vers le Sud ? Un voyage leur ferait peut-être du bien
- à l'Autriche : vivement que vous soyez en paix que je puisse venir vous racontez une blague savoyarde ou suisse. Je ne sais encore.
- à l'Angleterre : parfois, en gpo, je suis sur la page de diplomatie entre nos deux pays et je reste, la larme à l'oeil, plusieurs secondes à regarder la ligne " Déclarer la guerre"
- à la Suède : pourriez vous nous prêter qlq milliers de femmes pendant 50 ans ? Nous allons avoir besoin de renouveller très rapidement nos pertes humaines.
- à Venise : plus à gauche, plus à gauche bon sang !
- à la Frise : Poussez ! Poussez ! Frisons......non décidemment cette chanson ne marche pas avec votre royaume.
- à l'Angleterre :.......si tu continues à transmettre les prières de Comeon à Satan ça va chier :enerve:
Message diplomatique du Duc:
-A la France: Je pousse mais je pousse, mais rien ne sort, j'ai beau essayé mais rien ne veux sortir du saint orifice ducal. :loose:
-A Venise: Notre lutte sainte, bénit par notre divin seigneur ne peut que nous amener réparation des affronts commis par le scélérat de germanie. ;)
-A l'Autriche: Nous revendiquons pour cette guerre la province de Lubeck, nous pouvons faire attendre nos autres revendications mais ne vous inquiéter pas que nous aurrons toute les terres que nous revendiquons, un jour où l'autre! :o:
Message du Royaume de Suède
Bien que la Suède est totalement neutre dans la guerre qui oppose Frise et Venise à l'Autriche, nous regrettons amèrement que de tels agissements aient lieu sans en avoir au préalable averti le Royaume de Suède.
De plus, nous sommes opposés à l'occupationde de la province de Lubeck.
En effet, cette ville fait partie de la Ligue Hanseatique, et en tant que membre de cette Ligue, nous ne pouvons accepter qu'elle ne soit cédée.
De plus si tel était le cas, notre frontière sud serait totalement aux mains d'une seule puissance, limitant par la même notre capacité diplomatique en Europe.
Nous demandons donc au Royaume de Frise de revoir ses prétentions.
Pedrolane
06/11/2007, 09h00
Que l'Autriche le sache, Venise n'est absolument pas au bout de ses forces et peut très facilement réenvoyer une vague d'attaque sur l'autriche, si celle-ci ne souhaite pas voir ces armées complètement disloquées qu'elle y réfléchisse.
Nous avons fait une demande de paix honnete à l'Autriche : Lubeck + libration de la Savoie.
Frise pris en étau serait la 2ème grande erreur de l'Autriche, elle ne ferait que renforcer la détermination Venitienne et les demande de paix seront encore durcie.
Si la suède souhaite un 1 vs 1 avec Frise, aucun problème, mais jamais nous ne tolèrerons une prise en étau de Frise.
Le combat qui se déroule en allemagne est un combat entre nous et les autres nations doivent laissées l'Autriche répondre de ces actes.
La Fin du Règne d'Osman II
Osman II le batisseur marqua l'Empire Ottoman de son empreinte.
Il fut ainsi le bourreau de la Perse qui finit par disparaître
sous les coups de butoire répétés. La disparition de l'ennemi naturel
de l'Empire mit fin à de long siècles crainte d'encerclement de
l'Empire. Désormais, les seuls vrais menaces pour l'Empire se tenaient
à l'Ouest et au Nord du Bosphore. L'Ottoman était désormais à même d'imposer
dans tout le moyen orient sa politique.
Osman marqua également l'Empire par la longueur et la stabilité de son rêgne,
cette stabilité apporta properité dynamisme démographique et permit à Osman de
réformer l'Empire pour lui donner une forme comparable aux monarchies administratives
de l'Ouest. Osman donna également au gouvernement une politique clairement innovative
avec la volonté ferme d'aligner l'Empire sur les puissances occidentales.
Pour finir, Osman fut le batisseur de la puissance économique Ottoman. L'adoption
d'une économie smithiennes, la réforme des douanes et la construction de plusieurs
manufactures donnèrent un élan sans précédent à l'économie Ottomane. Cette dernière
s'appuyait désormait sur un savoir faire et une excellente productivité loin des aléas
commerciaux. L'économie avaient pendant 20 ans été l'enfant chéri de l'Empire et cela
portait ses fruits, l'Empire était prospère et les ducats ne manquaient plus à la court.
Osman était un Sultan aimé de son peuple et la tristesse de ce dernier fut immense
lorsqu'il mourut en 1619, bien après ses propres descendant direct. Le pouvoir sauta
alors une génération pour revenir à son petit fils alors trop jeune pour diriger l'Empire.
Une régence assura donc la transition de pouvoir avec a sa tête Vasiliy Chernigovets un
Dipomate Russe de Vologda ayant fuit l'oppression du pouvoir Russe et s'étant impliqué
sans réserve dans la politique Ottomane de tolérance religieuse.
Quel visage allait donc prendre cet Empire d'Orient après ce Brillant souverain qu'était Osman????
Déjà la régence et les richesses de L'empire semblaient éveiller de quelques coqs au sang
bleu. Peut-être était-il temps pour l'Empire remettre au premier plan son meilleur atout
naturel, la force et le courage d'un peuple à la peau tanée par le soleil.
Messages Diplomatiques du Conseil de régence :
A l'Empereur des Teutons:
Courage votre chemin est tel que celui de votre "Messie". Mais nous sommes
sur qu'il saura se reconnaitre en votre parcourt.
Aux autres Royaumes Européenes :
Il semblerait que les Européens se considèrent en droit de diriger des terres d'Islam.
Prenez garde, un jour cela vous attirera des malheurs qui pourrait bie semer le trouble
jusqu'au coeur de vos cités.
A la France :
Saviez-vous que l'Empire est terre d'exil ?
Même de talentueux artistes de votre Royaume s'y installent...
Nous nous permettons de vous transmettre l'une de leur illustre ballade :
C'est vrai qu'ils sont plaisants tous ces petits villages
Tous ces bourgs, ces hameaux, ces lieux-dits, ces cités
Avec leurs châteaux forts, leurs églises, leurs plages
Ils n'ont qu'un seul point faible et c'est être habités
Et c'est être habités par des gens qui regardent
Le reste avec mépris du haut de leurs remparts
La race des chauvins, des porteurs de cocardes
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Maudits soient ces enfants de leur mère patrie
Empalés une fois pour toutes sur leur clocher
Qui vous montrent leurs tours leurs musées leur mairie
Vous font voir du pays natal jusqu'à loucher
Qu'ils sortent de Paris ou de Rome ou de Sète
Ou du diable vauvert ou bien de Zanzibar
Ou même de Montcuq il s'en flattent mazette
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Le sable dans lequel douillettes leurs autruches
Enfouissent la tête on trouve pas plus fin
Quand à l'air qu'ils emploient pour gonfler leurs baudruches
Leurs bulles de savon c'est du souffle divin
Et petit à petit les voilà qui se montent
Le cou jusqu'à penser que le crottin fait par
Leurs chevaux même en bois rend jaloux tout le monde
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
C'est pas un lieu commun celui de leur connaissance
Ils plaignent de tout cœur les petits malchanceux
Les petits maladroits qui n'eurent pas la présence
La présence d'esprit de voir le jour chez eux
Quand sonne le tocsin sur leur bonheur précaire
Contre les étrangers tous plus ou moins barbares
Ils sortent de leur trou pour mourir à la guerre
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Mon dieu qu'il ferait bon sur la terre des hommes
Si on y rencontrait cette race incongrue
Cette race importune et qui partout foisonne
La race des gens du terroir des gens du cru
Que la vie serait belle en toutes circonstances
Si vous n'aviez tiré du néant tous ces jobards
Preuve peut-être bien de votre inexistence
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Marco Rale
06/11/2007, 16h27
Traité de Sarajevo
Les emissaires du grand Doge de Venise et du valeureux Kniaz de Russie font savoir aux noms de leur souverains qu'ils ont conclu, accompagnés de leurs meilleurs marchands, un accord commercial visant à la coopération des deux pays dans tous les centres de commerce du monde.
Novgorod s'engage à ne pas rechercher le monopole à Venise et Venise à ne pas le chercher à Novgorod.
Cet accord, qui n'est envisageable qu'entre les seules contrées ou le droit du commerce est supérieur au fait du prince, n'est ouvert qu'aux Républiques Marchandes.
Vive le Doge ! Vive le Kniaz !
Un monde qui change. (1620-1631)
En ces années 1620, la paix fut signer avec l’Autriche, la petite Frise remporta les terres de Hesse et de Nassau, anciennes terres de notre allié qui nous revenaient de droit, il y a 150 ans notre duché les avaient abandonné dans leur révolte contre la perfide Autriche sachant que cela serait vain, aujourd’hui elles étaient libérées ! Dans le duché l’annonce de la victoire remit sur les routes le duché, les nombreuse Te Deum célébrant la victoire de notre duché et la puissante armée devenue l’un des piliers de la nation permirent le retour à la stabilité perdu lors de l’imposture. En célébration de notre Seigneur qui nous avait couvert de ces largesses, le duc recouvra les terres néerlandaises de cathédral célébrant les héros de la nation.
En 1628, après 1 siècle de lutte contre l’inflation, notre combat fut enfin récompensé, une baisse de 5 points de l’inflation fut réaliser.
La guerre sainte !
Dans la cour du château ducal de Groningen, une journée du printemps 1629, un cavalier arasé couvert de boue et de poussière fit son entré, celui ci se présenta comme un messager du Kniaz de Russie, au début les gardes pensèrent à un fou, sa façon de ce vêtir n’avait rien de celle d’un diplomate, heureusement le duc revenait de la chasse et l’incident diplomatique fut évité de peu, les soldats ayant débuté à raccompagner l’étranger par le col malgré sa résistance.
Le duc écouta avec attention ce visiteur, il amenait des nouvelles de la sainte Novgorod, la république russe se préparait à combattre les Mings ! Notre prince comme ses prédécesseurs était un roi profondément chrétien et l’annonce de ce conflit ne pouvaient que le ravir, face à la mollesse des autres puissances face à cette grande croisade, Frise ne pouvait pas laisser la Grande république russe seule face à l’ogre chinois ! Après quelque jour, le parlement fut réuni et donna son accord à une expédition frisienne dans ces terres d’extrêmes orients.
Après quelque mois, de préparation les 5 milles meilleurs cavaliers frisien furent débarqués à St Petersburg, et furent envoyé dans la région de Tomsk région soumissent au combat suivit de 2 convoies de 7 milles hommes, c’est ainsi qu’en janvier 1630, nos troupes bloquèrent les Manchous devant la cité de Tomsk.
[/url]http://img136.imageshack.us/img136/1484/guerre3ff1.png (http://imageshack.us)
Après cette victoire et face à l’immense armé réunit là par les orientaux, le général Siemen Jongstra, un des plus grands manœuvriers née dans nos belles provinces, décida de porté le combat sur les terres de Manchourie puis de marcher par la suite sur la capitale ennemie laissant au renfort venant de métropole la dur tache de combattre les ordres chinoises avec les Russes, l’années 1631 fut marqué ainsi par le début de la campagne de Manchourie, première partie de notre marche sur la Chine!
http://img211.imageshack.us/img211/1364/guerre4zb7.png (http://imageshack.us)
[u]Le chagrin d’un Duc.
Aujourd’hui se termine une ère, le grand doge de Venise, Pedrolane à disparu de notre monde, le duché fut abasourdit par cette nouvelle cela était-il vraiment possible ? Un compagnon de route venait d’être perdu, il est vrai qu’il serait remplacer par quelqu’un de compétent, mais cela serait-il pareil ? Le duc décréta 1 semaine de deuil national, partout dans le royaume des messes furent tenu en son nom. Il est vrai que notre relation était née de la haine de l’Autriche, et qu’elle avait commencé par le conflit sur la Savoie, où il nous avait menacé mais cela passé que dire de plus, que son amitié nous a toujours suivit, subissant ensembles les grands périls frappant nos deux nations, combattant fraternellement ensemble pour la défense de nos intérêts.
Nous espérons que le nouveau Doge sera être un allier ainsi qu’un ami de notre nation, longue vie à Adean, le nouveau Doge de la grande république de Venise.
Les Morosini prennent le pouvoir à Venise !
Les Morosini apparurent pour la premiere fois dès la fondation de Venise au VI° siecle au moment des invasions Lombardes. Andrea Morosini etait alors un petit producteur de bois de la région de Trente. Quand les Lombards tentèrent d'assieger la jeune ville de Venise, Andrea Morosini aoffrit gratuitement et abondament son bois pour construire des flotilles entieres de petits bateaux de pêche dans la lagune, ce qui sauva Venise de la famine alors que les Lombards essayaient d'en faire le blocus. Par la suite, la paix revenu et grace au prestige d'Andrea, la famille Morosini fit dans un premiers temps fortune dans le commerce de bois car la toutes nouvelle marine venitienne en consommais beaucoup et le bois des Morosini était le meilleur de l'époque. Les decendants d'Andrea Morosini se lancèrent par la suite dans le commerce du bois dans toute la méditérranée puit fondèrent la compagnie de Commerce Morosini en 856. A parir ce cette date, le bois, bien qu'encore tres important, n'était plus majoritaire dans le chiffre d'affaire de la compagnie.
Pietro Morosini (1052 - 1101) a également marqué cette famille en participant financièrement et egalement en personne (à titre privé) à la premiere croisade. Il fournit ainsi 3 navires pour le transport des troupes qui passèrent a Venise en 1096. A l'age de 44 ans, il prit lui-même le commandement de cette flotille et participa au grand rassemblement croisée à Byzance ou il offrit ses bateau à Goedfroid de bouillon afin de ravitailler les croisés quand ceux-ci seraont en Palestine. Il sut à Byzance nouer de nombreuses amitiées qui lui permir d'installer ses surcursales marchandes de la compagnie Morosini. En 1097 il participa a la bataille de Dorylée contre les Turcs et y perdit sa main gauche. Rien ne devait le décourager et malgres bien des soufrances, il entra avec les premiers croisés dans Jerusalem en 1099. Hélas il devait perir dans une embuscade et c'est à son fils Niccolo Morosini que revint la charge d'organiser par la suite le ravitaillement des croisés en terres sainte. En 1103 Niccolo ouvrit une nouvelle surcursale commerciale a Chypres afin de participer activement au ravitaillement des croisées en Palestine permetant a la famille Morosini de se hisser parmis les plus riches et puissantes familles de Venise.
Humberto Morosini en 1204 fournit également 4 navires pour le transport des croisés vers Zara ce qui permit a la famille d'ouvrir une sucursale egalement dans la ville. Par contre Humberto s'opposa alors au Doge et à la plupart des autres grandes famille au cours du sacage de Constantinople. En effet sa mère, Sophia etait issue d'une grande famille byzantine instalée dans la région d'Andrinople. Ainsi ses les affinitées et l'amitié qu'eprouvait Humberto envers l'Empire fut responsable de la perte d'Influence des Morosini a cette époque à Venize même. En effet nombres des clients de la compagnie Morosini evitèrent desormais de faire des affaires avec notre famille provoquant une chute drastique de nos bénéfices et donc de notre prospérité.
Ce fut Gaetano Morosini qui en 1262 redressa la situation economique de la compagnie au moment de la reprise de Constantinople par l'Empereur Michel VIII Paléologue. Certaine rumeurs de l'epoque afirmaient même que Gaetano avait offert en secret des sommes considérable à l'empereur pour faciliter la reprise de la ville. Evidement ces rumeurs etaient infondées, notre famille étant toujour resté fidèle avant tout a notre patrie. Cependant il est vrai que le nouvel empereur Byzantin nous offrit des facilités et droits commerciaux a notre compagnie comme jamais a aucune compagnie. Les Morosini devinrent donc la plus influente famille de Constantinople à une époque où les autres Latins en étaient exclu... C'est ainsi que nous sommes notament devenus les uniques fournisseur de bois pour la marine imperiale. Evidement des lors les benefices de la Compagnie Morosini atteignirent des sommets. Cependant a Venise nombreux jalousaient desormais la puissance des Morosini et de nombreux procés furent intenter contre notre famille au mobil de trahisons de la république a cause de nos relation privélégiées avec l'Empire. Evidement tout cela était infondé et notre famille ne fut jamais condamné.
Le fils de Gaétano, Frédérico Morosini, se distingua quand a lui a Chypre ou il finança la construction de 5 galères de combat afin de lutter contre les pirates musulman et même contre les navires Sarazins et Turc qui devenaient de plus en plus menaçant devant Chypres depuis la chutes des derniers états croisés en Palestine. D'ailleur il devait mourrir en héro sur son navire "le Zara" au cours d'un accrochage avec un chebec turc.
Son fils, Lucas Morosini épousa Alexandra de Beaufort, une lointaine decendante des Vilardouin qui avait eu pour domaine une partie de la Morée dans la région de Nafplio. Lucas Morosini esperait ainsi peut-etre un jour entrer en possession de ce domaine grace a ce mariage. Mais evidement l'administration Byzantine n'entendait pas rendre une de ses dernieres régions ou se maintenait l'Empire. Lucas Morosini choisi donc d'aider de son mieux et d'une partie de sa fortune a aider a la defense de la morée de plus en plus sous la menace de la poussé Turque. C'est ainsi qui finança les travaux de fortification de Nafplio ainsi de celle de Corinthe qui commande l'entrée de la Morée. Lucas Morosini essaya d'ailleur d'obtenir le soutien de Venize en implorant le Doge et le conseil des 10 en 1383 qu'il fallait apporter un soutient inconditionnel aux Commenes de Byzance car la chute de l'Empire couterait enormement a venize et que si le Rempart de Byzance cedait, il risquais un jour de falloir combattre bien plus pret de nos portes....
Cette avertissement ne fut pas entendu et nombreux affirmèrent que les Morosini defendaient encore leurs amis Byzantins et leurs Interets propres soit : dynastique en morée et commerciaux à Constantinople.... Seul contre tous Lucas Morosini ceda mais continua a lutter de toute son influence pour changer les mentalité à Venise.
Giovani Morosini naquit le 5 Aout 1388 à Nafplio de Lucas Morosini et Alexandra de beaufort. Imediatement son père l'envoya faire ses études à Venize. A 18 ans il s'engageais comme jeune officier sur une galère de combat Venitienne et servit ainsi Venise pendant 9 ans lui permettant d'obtenir le commandement d'une petite galère en 1414 à l'age de 26 ans. Mais un an plus tard, à la mort de son père emporté par la maladie, il fut obligé de quitter la marine pour reprendre la direction de "Morosinie et Compagnie".
Les difficultées commerciales augmentaient sans cesse surtout dans Constantinople ou la piraterie genait considérablement le commerce. Ce fut la même situation a Chypre ou en 1418 nous perdîmes la majeure partie de nos relations avec les marchés perses...Seul notre commerce traditionnel de bois demeura en plein essort graces aux commandes de Venize et de Byzance afin de lutter sur mer face a des Ottomans de plus en plus entreprenant
Giovani Morosini devait marquer un tournant au sein de la dynastie Morosini. Quand le Sultan Ottoman se lança en 1453 dans l'ultime bataille pour abattre l'empire Byzantin, Giovani Morosini agée pourtant 65 organisa la defense de la Morée en prenant en charge la defense de Mistra, la dernière grande ville Byzantine de Morée aprés la chute de Nauplie. Mais les forces vénéto-Byzantines furent écrasée et il dut s'exiler à Corfou avec sa famille et ses fidèles. Heureusement une grande partie du trésor familial avait pu être sauvé. Ne se laissant pas abbatre, il depensa sans compter pour organiser et recruter les forces qui lui permettrait de reprendre le fief herité de sa mère, Alexandra de Beaufort. C'est son 2ème fils qui devait parvenir à reprendre pied en Morée. Ayant rassemblé une armée de 12.000 dont de nombreux mercenaires Catalans et Français, il entrait à Nauplie le 3 avril 1459 seulement 6 ans apres en avoir été chassé par les Turcs.
A Venize, le pouvoir était désormais detenus par le Doge Pédrolane. Juliano Morosini obtind le titre de Prince de Morée en échange du versement à Venize de 50% du revenu de ces riches terres du péloponèse.
La famille Morosini prospéra en morée loi du tumulte et des manigance politique de la sérénissime. Les Morosini surent garder des relations relativement cordiales avec les turcs. Nauplie devenant une plaque importante du commerce régionale. De nombreux traffics et contrebandes permettait aux Morosini de s'enrichir et aux sultans turcs de s'approvisioner malgré les edits d'enbargo papaux. A Venize le Doge Pedrolane devenait immortel. Nombreux étaient ceux qui pensait qu'il avait du signer un pacte secret avec le malin. Quoi qu'il en soit, l'effort militaire et commerciale de Venize fut spéctaculaire. L'Italie fut entièrement unifiés sous la direction des troupes de la république tandis que de nombreux marchés extérieures apportèrent une prospérité inconnue et tout simplement débordante.
Cependant le Doge Pédrolane menait une politique de relative accomodation avec la France, alliés secret des turcs et au contraire une politique relativement agressive envers l'Autriche. De multiples guerres opposèrent Venitiens et Autrichiens sous les regards médusés mais fort satisfait des turcs qui apportaient leurs soutiens diplomatiques à l'un ou l'autre en fonction des circonstances...
Mais l'empire Ottoman prospérait.... La Conquete des terres Tatars, puis de l'Egypte et enfin de la Perse lui offrit richesse et puissance et de nouveau les turcs portèrent leurs regards vers l'Ouest.
Aedano Morosoni avait 23 ans quand éclata en ce debut de XVIIeme siècle une nouvelle guerre entre Venetiens et turcs à l'initiatives de ces derniers. La Victoire éclatante de Venise quelques années plus tot sur l'Autriche avait gonflé de suffisance le doge Pedrolane et l'armée n"était pas prete. L'offensive turque fut fulgurante. Le Prince Morosini se trouvait en Morée sans aucune aide de la république et devait seule défendre la principauté. Mais devant combattre à 1 contre 4, Il ne pu rien et une fois le vérou de Corinthe forcé, rien ne pouvait barrer la route des forces Ottomanes. Les missives desespérés d'Aedano Morosini envoyés au doge Pédrlane restèrent sans réponse. Presque 2 siècles plus tard, la Morée était à nouveau perdu et assez rapidement cédé par traité de paix à l'Empire Ottoman.
Pour le Prince, il n'y avait qu'un seul responsable: le doge PEDROLANE ! qui dans son aveuglement à combattre les autrichiens avait perdu de vue que le principal ennemi et adversaire restait les turcs.
De retour à Venise, Aedano Morosini rencontra en secret les principales familles venitiennes mise à l'écart par le regne interminable du doge Pedrolane. Les Badoer, Quintavalle, Paruta, Tiepolo, Zaccaria se rangèrent derrière lui.... il fallait se debarraser du doge...
Dans une froide nuit de janvier, le Doge Pedrolane était retrouvé assassiné dans son bureau...
Le Prince Aedano Morosini pouvait compter sur la plus puissante fortune de la ville, le vote du successeur du Doge Pedrolane fut rapide. Le Prince Aedano Morosini devenait le nouveau doge de la sérénissime république de Venise.
Message du Patriarche Orthodox Grec
Le Patriarche Grec félicite les électeurs de Venise pour leur choix qui est dans
l'ère du temps Catholique. Plein de bon sens et épris des valeurs d'une interprétations tout particulière qu'est la leur des valeurs chrétiennes.
Le Patriarche d'Istamboule et conseiller personnel du Sultan tient à offrir au nouveau
commandeur de Venise le dernier livre imprimé dans les murs de l'Université de Damas.
Il espère que le nouveau dirigeant vénitiens saura l'utiliser pour s'enrichir...l'esprit....
http://img137.imageshack.us/img137/8783/2844278167dq9.jpg
Message Diplomatique De La Sublime Porte
A Venise
Le Souverain de la Sublime Porte attend votre émissaire avec impatience
ainsi qu'une prise de position diplomatique claire à notre égard.
Il y a peu vous nous demandiez l'autorisation de commercer dans nos centre de commerce
souteniez notre politique d'apaisement. Et maintenant après un cruel jour d'infamie, vous
menez une politique expensionniste et agressive à notre égard. Si vous voulez continuer à
commercer dans nos centres réagissez rapidement. L'Empereur de la Sublime Porte n'est
point une pucelle effarouchée qui n'aurais jamais vu quelques viriles arguments.
L'Empereur est un hommes lettré est cultivé qui rêgne sur un peuple courageux et
travailleur. Vos élucubrations et mensonges à l'égard de l'Empire ne font que décevoir ceux
qui pensaient encore trouver à Venise un pouvoir éclairé. L'Italie fille de la culture grèque
et Romaines se tournerait-elle vers des traditions barbares ?
A la France
Cher Souverain de France,
Nos ancêtres ont cru bon de vous confier la garde de Jerusalem.
Nous avons toujours eu de bonne relations entre 2 Royaumes capables de
de se parler malgré des différences culturelles et religieuses.
Aujourd'hui, il semble que votre royaume céde aux tentation de replis
culturel et religieux et fait preuve d'agressivité à l'égard des Dogmes non chrétiens.
Votre mise en garde au monde quant à une intervention contre la Russie durant
son oeuvre d'évangélisation n'avait qu'une seule cible : La Sublime Porte.
Nous attendons de votre part une prise de position digne d'un Royaume tel
que le votre. Le Sultan n'a aucune rancune contre la République Russe,
mais nous saurons tolérer des mises en garde déguisées et sans fondement
à notre égard.
http://img99.imageshack.us/img99/8927/historyyk3.jpg
Si le Souverain Français ne peut plus se satisfaire d'oppresser
les Protestants, qu'il ose l'affirmer haut et fort. L'Empire Ottoman n'est point l'Espagne
ou l'Autriche qui semble trembler devant vous. L'EMpire est indépendant et ne souffrira
pas de se faire dicter sa politique. L'Empire est terre d'accueil et de tolérance...
contrairement à d'autre Royaumes...
Message du Pasteur Ric au Roy de France.
Cher Roy, je porte à vous les demandes des Protestants français établis en Turquie.
Ces dernier vous demandent de faire preuve de sagesse envers l'Empereur Turc qui
dans sa bonté a accueilli de nombreux Français.
Cet Empire n'est point un danger pour les intérêts de la chrétienté ou de la France.
Cet Empire a su sauvegarder des richesses héritée des grecs et ne fait que protéger la civilisation face au peuples barbares de l'Est.
Je ne peux que vous conseiller de réviser votre jugement à l'égard d'une puissance qui
en ces temps sombre sait rester digne d'une antique civilisation.
Cher Roy, je vous demande de ne pas briser l'équilibre qui permet ici à des peuples
différents et des fois différentes de vivre dans une tolérance qui n'a point d'égal si ce n'est en Pologne.
Ric
lemarseillais
12/11/2007, 22h27
A l'adresse du Sultan
La France n'a jamais nié l'indépendance dont fait preuve l'empire turc. Nous savons que vous n'avez jamais fermé la porte à un dialogue, tout comme nous.
Notre attitude à votre égard n'est pas hostile et notre annonce n'était faite que dans un but préventif.
Prévention que vous n'aviez pas eu quand vous causâmes indirectement la défaite de la France dans la dernière guerre mondiale.
Nous ne vous avons certainement pas causé de tord dans cette affaire, et assurément rien de comparable à celui que vous nous aviez causé par votre intervention.
C'est un discours franc qui ne vise pas à envenimer les choses (chaque chose en son temps :lol:) mais à faire savoir que si l'empire turc ne veut pas être limité dans sa diplomatie, la France n'entend pas l'être non plus.
Nous regrettons vivement vos déclarations mensongères à l'encontre des populations françaises de confession protestante. Votre ambassadeur est convoqué sur le champ pour fournir des explications à une telle diatribe dantonienne.
La Fin de la Régence Ottomanes et la fracture des Balkans.
La régence pris fin en 1623 et Selim III prit alors définitivement les rennes du pouvoir Ottomans.
Il continua le travail de contruction de l'Empire qu'avait entrepris Osman mais il se concentra
plutot sur la réforme en profondeur de l'Armée Turque et le renforcement de ses effectifs qui
passèrent sous sont rêgne de 80k à 140k et fut grandement modernisée de façon à pouvoir
soutenir une éventuelle guerre d'agression des puissance occidentale. Grand bien lui prit.
Il réforma également la cour impériale en nommant conseillers le 1er Imam Sunnite
Turque ainsi que le Patriarche Orthodox Greque. Ceci afin de permettre à la société de
tolérance de perdurer et de se renforcer. L'armée fut également obligées de promouvoir des
officiers dans chacune des religions de l'Empire de façon à assurer une répartition efficaces des
pouvoirs. Il favorisa également l'instalation de protestants Français qui profitèrent de
leur savoir pour développer de nombreuse exploitations viticoles en Turquie provoquant ainsi
une mise en valeur importante de la culture du raisin.
Selim III profita de la faiblesse consommée de l'Empire Mamelouk pour relier définitivement
Alexandrie à l'Empire par la terre en annexant Damiette et le Delta du Nile a l'occasion d'une
guerre courte mais sanglante. Le Regne de Selim aurait pu être aussi grand est paisible que celui
d'Osman le batisseur. Malheureusement, les ambitions de la République de Venise mirent
prématurément un terme au régne de Selim.
En effet, Venise déclara la guerre en 1628 à la Bosnie et a l'issue d'un court conflit annexa
l'Albanie a cette dernière et annonça clairement son intention de frapper par la suite la
Transylvanie. Cette dernière vassal de longue date de l'Empire, demanda à Selim de se
préparer à intervenir. Selim mobilisa en hate et pu conter sur la moitié de ses effectifs
Impériaux en Grèce lorsque Venise déclara la guerre à la Tenasylvanie sous pretexte
d'espionnage.
Le Sultan rejoignit immédiatement la guerre et les armée Italiennes déferlèrent sur le la
péninsules Grèque comme une tempête. Des dizaines de milliers de cavaliers prirent le
chemin d'Istambule. Le Souverain prit la tête de 25 000 cavaliers Turques et mena la
contre offensive, de nombreuse et sanglante batailles s'en suivirent au court desquelles le
Souverain Turc trouva la mort en défandant Salonique. Cette défaite fut une victoire, le
temps gagné permit à son fils Murad III de rejoindre la Grece avec le reste de l'Armée
Impériale. Après quelques carnages supplémentaires Venise du se résoudre à la paix
après avoir perdu plus de 100000 hommes en Grece.
http://img232.imageshack.us/img232/5905/sanstitreku7.jpg
Murad ne désirant pas prolonger cette guerre que les Turcs n'avaient jamais souhaité,
demanda à Venise le Duché de Morée en dédommagement des frais de guerre et signa
après 18 mois de guerre la paix avec le République au visage changé.
Elle qui avait toujours été un partenaire de dialogue et une puissance bienveillante en méditerranée devenait une bête assoiffée de terres.
Des temps obscures s'annonçaient.... mais l'Empire allait faire face. Les regne d'OSman
et de Selim avaient fait de l'Empire une puissance moderne capable de rivaliser avec ses
voisins.
Chroniques Autrichiennes 1576 - 1631
C'est une période de troubles qui commença lorsque l'empereur Mathias reçut 2 émissaires ibériques (1 portugais, 1 espagnol), littéralement affolés et désemparés.
Ils expliquèrent leur tourment à l'empereur : 3 guerres consécutives face à une organisation de 4 pays (Angleterre, Frise, France, Venise) qui les attaquèrent à tour de rôle.
Ils nous conjugérent de nous ranger à leurs côtés afin de marquer un coup d'arrêt.
L'empereur était embarrassé : il n'avait, à regret, que peu de rapports avec l'angleterre.
Avec la France, les convergences d'opinion étaient largement majoritaires, et le voisinage
était paisible. Avec Venise et Frise, l'empereur était en traité (Düsseldorf et Genes).
Il nous était donc difficile de prendre ouvertement parti, qui plus pour nous facher avec des
pays non-hostiles ou co-signataires d'un traité.
Néanmoins, afin de signaler que cette politique de guerre et d'agressions successives devait prendre fin un jour ou l'autre, l'empereur promit un soutien, moyennant subsides. Mieux, il alla même jusqu'en Pologne, le seul pays ennemi à cette heure, pour enterrer provisoirement la hache de guerre et rallier les hussards à la cause. Cette alliance (Espagne, Pologne, Autriche, Portugal) était, dans notre esprit, provisoire (le roi de
Pologne et l'Empereur Mathias étant bien décidés à en reprendre leur joutes à l'issue de cette affaire).
La conquète de Malacca par Venise fit office de détonateur. La Pologne attaqua immédiatement, et toute l'europe s'embrasa d'un seul coup. ALors que les troupes polonaises faisaient leur entrée en territoire Frison, inexpliquablement elles rebroussèrent chemin et commencèrent à ravager le nord de l'Autriche.
Quelle mouche venait de les piquer ? L'on apprit plus tard, que pendant la trève décidée à l'occasion de la commémoration du centième CTD frison(l'on parle d'une semaine...) des émissaires Français prirent la VPGV (Voiture à Porteurs Grande Vitesse) ou peut-être la CGV (Caravelle Grande Vitesse) pour retourner la Pologne contre ses récents et provisoires alliés.
Belle performance...:?:
La suite a été moultes fois contée : le bon sultan intervint pour rétablir l'équilibre rompu par le basculement polonais, et l'alliance des justes finit par triompher, malgré la témérité des soldats anglais, auteurs d'une percée foudroyante dans les alpes suisses et la plaine du pô.:clap:
La période qui suivit, fut délicate pour l'Autriche. Les alliances nouvellement formées perdurèrent plus que ce qui était souhaité, et l'Empereur, entouré d'ennemis, n'avait pas grande marge de manoeuvre.
CE qui devait arriver, arriva.. malgré son renforcement militaire, Autriche fut sauvagement attaqué en 1620 par Frise et surtout Venise, qui à elle seule dénombrait 175 000 hommes, c'est à dire plus de soldats que l'Autriche, pourtant au maximum de ses possibilités militaires (161 000 hommes)...
Dans un jeu de cartes, très pratiqué à Vienne, il est sage et prudent de "se coucher" quand on sait qu'on est battu. Après à peine 2 mois de guerre, l'Empereur accepta donc la paix, cédant NASSAU et Hesse à Frise, libérant la Savoie de sa protection, la laissant ainsi se faire dépecer quelques mois plus tard, par une république Sérénissime, insatiable.
Biensur, dans les diverses cours europééenes, le concensus était de rigueur. Tout ceci n'était que légitime. Les "erreurs" diplomatiques de l'Empereur étaient la cause de sa perte.
les armées surdimensionnées par rapport au potentiel effectif ne sont qu'une réponse à la hauteur de sa trahison...:yeux:
Les alliances qui perdurent, c'est de sa faute... (qu'avait-il besoin de s'enticher des ibériques?)
Le retournement polonais, c'est lui...
D'ailleurs on murmure que Sodome et Gomorre, Adam et Eve, c'était déjà lui...
***** Chronique de la république de Venise *****
L'année 1631 venait de débuter et le Doge Aedano Morosini a peine installé aux affaire quand éclata une grande crise européenne.
L'empereur était désireux d'effacer le souvenir de la débacle militaire et diplomatique précendente. L'Empire avait rassemblé l'ensemble de ses forces pour reprendre les terres d'empire perdu au profit du duché de Frise.
Le Doge était partagé... d'un coté une trés ancienne alliance entre la Frise et Venise, Alliance signée par l'ancien Doge Pedrolane. D'une autre coté, les terres allemandes et d'empire administrées par le Duché de Frise pouvait légitimement être réclamée par l'empire su Saint Empire.
Cependant la république de Venise remplit ses engagement et suivit le duché de Frise dans la guerre contre l'empire. La précedente guerre contre les turcs avait saigné la république. Au moment de la déclarationde Guerre, Venise ne disposait de 20.000 dispersé et d'aucunes réserves mobilisable (manpower à 0). C'est donc fort timidement et prudement que les armées républicaines se portèrent sur Milan sous administration impériale. La commune de Milan réclamait depuis longtemps son ratachement à la république marchande vénitienne et voyait d'un trés bon oeil l'avance des armées de Venise.
Mais le Duché de Savoie saisi cette occasion pour déclarer la guerre à la sérénissime république bientot suivit par le puissant royaume de France, première puissance militaire de notre monde. Comme à Milan, la population et la bourgeoisie de Turin réclamait l'abdication du duc afin de rejoindre la république vénitienne et ses frères d'Italie. Quand au Doge Morosini, il était outé de la forfaiture Savoyarde d'attaquer la république au moment ou celle-ci tentait de libérer l'Italie de l'occupation impériale et germanique.
Une proposition fut immédiatement envoyé au roi de France. La république était décidé à chatier la Savoie de son attaque. La république proposa d'imposer l'abdication de la maison de Savoie, le rattachement de Turin à la république en échange d'un ratachement de Chambéry et sa région au royaume de France. Le Royde France rejeta sechement la proposition argant qu'il était fort occupé. Le Pape lui même dépécha une armée qui fut écrasé une première fois par les Savoyards et une deuxiemme fois par les Français.
Alors que la France se montrait intransigeante, l'Empereur lui se montra ouvert au dialogue. En échange d'une reconaissance par Venize du droit à l'empereur d'admnistrer l'empire GERMANIQUE, celui-ci accepta d'autoriser la commune de Milan à se rattacher à la république Venitienne.
Que de contraste avec ce dialogue diplomatique que la France nous refusa. Alors que les raids meurtriers de la SAvoie se poursuivait en directionde Chambéry mais aussi de Milan, Nice et meme Genes, une puissante armée Française campait devant Turin et assurer la sécurité aux approvionnement des bandes armées de la Savoie qui répendait la terreur et la désolation dans tout le nord-ouest de l'Italie. La guerre avec l'Empire étant terminée, le conseil de la république vota à l'hunanimité la campagne militaire contre la Savoie et la France sa protectrice. Une puissante armée de Cavalerie de 35.000h fut rassemblée à Milan et se jeta sur Turin. Les forces armées franco-Savoyarde furent balayées et poursuivit juqu'au Rhone ou l'armée de la république subit alors un coup d'arret à son offensive.
Mais l'objectif était attein, l'Italie était libérée et le Duc de Savoie emprisoné. A une large majorité, le conseil communal de Turin vota son ratachement à la république Vénitienne.
Nous regretons la défaite de la Frise mais devont admettre que ces terres étaient plus germaniques et impériales que de culture Hollandaise et frisone.
Nous regretons le manque de dialogue et de concession du roy de France et son refuse de condamner immédiatement et deverement la Savoir pour sa déclaration de guerre contre la république. Venise n'avait de grief que contre la Savoie. Nous sommes satisfait de la paix blanche avec le puissant royaume de France.
Enfin nous avons découvert en la personne de l'empereur, un homme ouvert au dialogue et plein de bons sens.
Avec Turin et Milan, la réunification italienne est terminée sous la direction de la république Vénitienne. Des la guerre terminée, le doge Aedano Morosini devait faire voter toute une serie de réforme:
- La conscription nationale et une effort sur les armements terrestre à permit à Venise de plus que doubler ses réserves mobilisables les portant à plus de 90.000h
- Une lente reconversion de l'armée vers une prédominance de l'infanterie et adapté aux technique militaires actuelles
- La construction de nouveaux centre d'imposition afin de lutter contre l'inflation galopante.
Seul bémol, le Commerce subit les embargos de la France et de l'empire Ottoman ainsi que de la féroce concurence de nombres de petites nations depuis le rattachement de la Savoie à la république (BB en hausse). Mais tout indique que cela ne sera que temporaire....
1621 – 1640. L’Europe, un ramassis de catins
L’Angleterre, innocente victime des vilenies Portugaises depuis presque deux siècles, allait encore une fois faire les frais de la mesquinerie abjecte de Lisbonne, qui se prostitue avec Madrid et se plaint sans cesse de Venise mais qui n’a jamais le courage d’agir contre un autre que l’Angleterre épuisée par 20 ans de règne désastreux du Régent De IA. Les lâches de Lisbonne nous déclarent la guerre en 1621, sans autre raison que le désir de donner au monde l’impression que le Portugal était autre chose qu’une vulgaire dépendance espagnole. Nos troupes étaient complètement dépassées technologiquement, ne restait donc que notre courage indomptable et l’assurance d’être du côté de la Justice, du Bien et de la Lumière.
Nos croisés en guenille massacrèrent des dizaines de milliers de Portugais en Australie, qui tomba entièrement entre nos mains, mais aussi dans les Antilles et même au Brésil. Humiliée, la prostituée de Lisbonne refusa notre généreuse offre de paix et fit appel à son riche proxénète, qui lui envoya des milliers de ducats pour rétablir la situation : le plan 2 X 100 K fut lancé. Celui-ci consistait à lever plus de 100.000 soldats et 100 navires de guerre, et ce sans même toucher au budget national :choc: . La flotte Portugaise arriva au large de nos côtes pour débarquer des milliers de soldats : mal lui en prit, la Royal Navy veillait et les barcasses puantes Ibères sont envoyées par le fond :tongue: .
Fort de cette victoire, l’Amiral Howard partit pour l’Asie, où le Portugal tentait de reprendre pied, avec un succès limité : cette tentative fut brisée dans l’œuf et de nouvelles offres de paix blanches furent envoyées. La catin de Lisbonne y répondit par le plan 4 X 200 K, qui consistait à lever 100.000 soldats et 100 navires de guerre supplémentaires :choc: . Cela commençait à faire beaucoup trop pour nos faibles moyens, surtout compte tenu du retard technologique. Les hordes innombrables, cette fois, réussirent à passer et débarquèrent notamment en Irlande, alors que le blocus total de l’Angleterre commençait. Nos revenus, déjà parmi les plus maigres d’Europe occidentale, s’effondrèrent complètement :loose: .
L’Amiral Howard reçu ordre de revenir immédiatement : la guerre durait depuis 7 longues années déjà et ne semblait pas trouver d’issue. La Royal Navy de retour, les navires Portugais sont pulvérisés les uns après les autres, le blocus était levé. Plus de 20.000 soldats se préparent à embarquer pour reconquérir l’Irlance… Le Portugal riposte par le plan 6 X 300 K….:yeux:
Fort heureusement, un changement de dynastie intervient enfin à Lisbonne et une paix blanche suivit immédiatement celle-ci.
Le Portugal alignait alors, de son propre aveux, plus de 200.000 hommes en arme… Aucune compensation ne fut accordée à Londres, pourtant toujours victorieuse sur le terrain, pour ces 7 longues et coûteuses années de guerre.
Pendant ce temps, en Europe, strictement rien n’avait changé, on retrouvait la même situation depuis plus de 150 ans. Contrairement aux affirmations de certains naïfs, qui répétaient que « de grands changements avaient lieu et qu’il serait sot de les nier », l’Espagne était toujours, et de très loin, la première puissance mondiale, elle collectionnait toujours les catins dans sa couche, achetées avec l’or du Mexique et continuait inlassablement à répéter ses traditionnelles diatribes contre la France, qui, tout le temps battue, avait bien du mal à assumer son statut de quatrième puissance mondiale.
Le seul changement notable en Europe concernait finalement Venise, qui avait pris son envol et se découvrait un appétit de plus en plus irrésistible. Les sacrifices réalisés par l’Angleterre quand ce pays était encore faible et vulnérable ne reçurent aucune contrepartie : richissime, Venise nous oublia et agressa sauvagement la digne et tendre Autriche puis l’Empire Ottoman et enfin la France, qui l’avait toujours soutenue. Après avoir bien fait le mal partout autour de lui, le Doge partit se réfugier dans les jupes de son maître Lucifer, qui trône à Madrid comme chacun sait. Londres ne préfère pas savoir ce qu’il se passe là en dessous : les catins Portugaises et Vénitiennes doivent probablement copuler ensembles comme des bêtes, tout en s’insultant parfois publiquement pour donner l’illusion au reste du monde qu’ils conservaient une maigre indépendance. La dernière singerie de ce type arriva de Lisbonne : un ambassadeur vient affirmer à Londres que son pays préférait mille fois une Angleterre puissante qu’un Doge trop présomptueux. Mais comme son pays ne recevait pas de son maître Espagnol l’autorisation d’agir contre Venise, il poursuivait, sans logique aucune, à agir plutôt contre l’Angleterre, comme il le faisait depuis plus de 150 ans. Le courage d’un lâche.
Les chroniques Frisiennes. 1631-1640.
La perfide attaque autrichienne.
Notre duché fut attaqué en l’année 1631 sans aucun ultimatum, quand l’annonce arriva à Groningen que l’empereur nous attaqué, une profonde torpeur prit l’administration ducale, avec nos meilleures troupes (les moins pires) en Asie comment allions nous résister ?
Les combats débutèrent difficilement mais le duc n’était pas près a céder facilement, les combats désespérés, les ducs de Frise connaissaient cela depuis longtemps avec toutes leur célèbre défaite, enfin passons cela…
Près de 200 mille autrichiens commencèrent leur entré sur nos terres, face à eux moins de la moitié de leur effectif, les combats furent très difficiles, notre infanterie fut balayée par le rouleau compresseur impérial détruisant tout sur son passage, même notre capital fut prise par ces porcs !
Nos troupes combattant en Flandres allant de retraite en contre attaque, amenant de large perte chez l’ennemie, à la fin du conflit sur 150 mille cavaliers il n’en restait que 25 mille.
La guerre amena une profonde refonte de nos vues diplomatique, l’inaction de Venise au début qui laissait ses troupes à l’abandon devant quelque place, n’engageant aucune grande manœuvre contre ceci à notre grand étonnement.
La seule nation à nous avoir aidé fut la France, qui combattit comme elle put, ayant refondu son armé sur une place plus réel de l’infanterie dans son armée pour le combat face à l’Ibère, cela l’obligea à lancée un grand plan de recrutement, ses opérations amenèrent l’espoir d’une victoire mais rapidement ceci disparurent avec l’entré en guerre de l’Espagne ouvrant un deuxième front, puis l’opération de Venise qui nous abandonna se lançant à l’attaque de la France qui lui demandait du temps pour la Savoie, mais le nouveau Doge était impétueux et voulait tout et tout de suite ! Il obtint la Savoie et Milan de l’Autriche, cela outra notre noblesse, ce Doge nous avaient oublié ? Beaucoup de question se pose aujourd’hui.
L’expédition extrême orientale.
L’expédition commença sa descente sur la Manchourie, commençant à assiéger les places fortifier de Corée, cette phase dura une année, mais l’armé fut cloué sur place, ne pouvait recevoir de renforts de métropole, face aux infamies autrichiennes ; les troupes durent donc attendre laissant les Russes combattre seul.
Ce n’est qu’après la signature de la paix et l’attente d’une réserve digne de ce nom que notre troupe repartirent perçant les rangs manchous et prenant leur capital les obligeant à nous céder le sur de la péninsule coréenne.
La descente put alors commençait sur la côte est de l’empire ming, c’est alors que le royaume du mali et que le shogun du Japon nous déclarèrent la guerre à 1 mois d’intervalle, le monde entier était-il tout entier contre nous ?
Les 14 milles hommes de l’expédition ne se découragèrent pas, et Beijing fut prit dans le sang, c’est alors que l’expédition amorça sa descente vers le sud sur Jiangsu que d’innombrables renforts arrivèrent, la nouvelle du traité de paix Russo-chinois ne leur était pas encore parvenu, face à ces hordes nos troupes combattirent jusqu'à être recouvert de sang, la dernière bataille engageant 7 mille de nos cavaliers contre 14 milles des leurs vit l’anéantissement total de leur armé, semant la peur chez l’empereur des Mings !
Mais il fallait se résoudre à l’évidence ne pouvions continuer comme sa, nos troupes étaient exténuées et les ennemies commençaient à assiéger les forteresses si chèrement prise, la paix fut donc signer, Frise gagna un comptoir dans la région, malgré sa faible richesse économique, cette terre avait beaucoup de valeur stratégique elle nous ouvrait les portes de la côte est de la chine !
La reprise en main de l’Afrique de l’ouest.
« L’agression de ce roitelet nègre d’Afrique sera la dernière, l’usurpateur avait eu la faiblesse de perdre des terres face à ses gueux mais un véritable duc de Frise ne se laissera pas intimidé par une bande de sauvage ! »
C’est par cette phrase que fut lancée la reconquête des colonies perdues et la conquête des riches terres du Mali pour empêcher toute reconstruction de ce royaume insalubre.
Au début notre roi pensa faire appelle aux polonais pour les appuyés dans la besogne, mais les nouvelles des 6 milles hommes envoyé furent si bonnes que la demande fut abandonnée. Les hordes de guerriers à la peau noires furent massacrées, à la signature de la paix, put aucun de combattant africain n’étaient encore debout, ils étaient tous mort, écrasé sous les sabots de nos destriers.
La paix fut conclue en moins d’un an, libérant nos deux colonies perdues, et prenant deux terres riches d’ivoire, pour nous rétribuer.
Une armée revenant sur les autres puissances.
La période malgré notre déboire face aux autrichiens amena une forte modernisation de notre matériel militaire permettant à nos troupes d’arriver aux hakkapahiste comme les autres grandes puissances et l’arrivé de la tactique de Gustave-Adolphe pour l’infanterie révolutionnant sa capacité sur le champs de bataille! Toute ces améliorations furent en grandes parties dut à notre conseiller militaire Lubbert Dykstraqui après avoir montré ses capacités sur le champs de bataille fut amené à la cour pour travailler à la réorganisation de nos forces face à l’offensive autrichiennes, ses compétence à se poste furent exceptionnels et certain attaché à tout noté lui donnèrent un 6 étoiles !
Quels merveilleux conseiller !
La seconde compagne d'Afghanistan et le retrait des Frisons de la Péninsule Arabique.
Les Années suivant la Grande Guerre contre l'Impérialisme Vénitiens virent l'Empire
intervenir en Afghanistan pour aider soulager quelque peu le Russe qui commençait à
peiner face à l'Armée Chinoise si nombreuse. Malheureusement devant les menaces
d'intervention toujours possible à l'Ouest le Sultan ne pu engager que le quart de ses
effectifs dans une campagne qui tint presque de la promenade militaire tant l'armée
chinoise était inférieur en qualité et en
équipement. L'Empire s'empara de toutes les provinces allant de
l'océan indiens aux frontières Nord de l'Afghanistan avec le soutien
de ses vassaux. La Chine céda finalement 4 provinces Balouches au Sultan pour que ce
dernier se retire de la guerre ce qui fut accepté par le Sultan qui se désintéressait
quelques peu de cette campagne militaire sans gout.
Il avait désormais engagé une autre campagne, diplomatique cette fois, avec la Puissance
Frisonne. Le Sultan souhaitait que cette dernière cède sa Suzeraineté sur la péninsule
Arabique. Après discussion avec le DUc de Frise, il fut trouvé un arrangement diplomatique
entre les 2 puissances ou chacune trouvait son pain blanc. Bien que cette négociation couta
cher au Sultan, il jugeait qu'il n'était pas bon, aux vues des condititions diplomatique en Europe, d'infliger au Duc de Frise une défaite supplémentaire.
Ainsi en 1640, l'Empire est toujours tout puissant a l'Est du Bosphore. Il s'en renforcé de
nombreux centres de recrutement, peu désormais compter sur une armée parmi les plus
importantes et les plus modernes du monde. Malgré cela l'Empire reste aux aguets devant
les événements Européens qui virent la France et Frise défaites par une coallition des plus
étranges :
Messages diplomatiques :
A la France:
Courage, vos ressources sont illimitées
A l'Anglais
Toc toc, il y a qqn ?
A la Suède
When do you will rock the World ?
A la Pologne
Félicitation pour votre développement économique
A la Russie
Cher voisin, n'hésitez pas à nous faire part de vos éventuelles projets à l'Est. Le Sultan n'aime pas le Chinois.
A l'Empereur Teutons
Bravo pour votre victoire, mais ne vous liez pas a n'importe qui.
A Venise
Il semblerait que vous vous inquiétez de l'embargo Impérial, certainement autant que nous
nous inquiétons de vos propos vis-à-vis de notre Empire. Nous attendons donc toujours
votre ambassadeur pour explication et excuse. Sans cela nos centre resteront fermés.
Chroniques Autrichiennes 1631 – 1640
Venise, essouflée par sa dernière guerre avec l’empire de la sublime porte ; la France, se préparant à une confrontation avec l’Espagne ; la Pologne, désorganisée par une longue période de régence.
L’occasion était trop belle pour ne pas la saisir, de récupérer ce qui nous avait été volée 20 ans plus tôt (Hesse et Nassau). Dés 1630, le projet d’attaque était élaboré, mais c’est en 1631 qu’il démarra. Toute notre armée envahit le duché de Frise. L’empereur avait embauché pour l’occasion, un Pasteur Hollandais, évincé du pouvoir par la confrérie des moines d’Euhutrois, un dénommé Ric Grossach :clap: . Sa réputation de ne « pas faire dans la dentelle », était grandement connue de tous, et l’Empereur lui donna loisir de prouver qu’elle n’était pas usurpée. C’était également l’occasion de démontrer que, « la grosse masse », en Autriche, on sait faire aussi…
La campagne fut donc menée tambour battant par Grossach, et rapidement les deux tiers du duché Frison étaient occupés.
Alors que les vestiges de l’armée ennemie, faisaient la navette entre la Flandre et Zeelande, c’est le moment que choisit la France, pour voler au secours de son allié.
Personne ne lui reprochera de respecter ses engagements, mais était-ce opportun ? Dieu seul le sait. Toujours est-il que cette intervention brisa l’élan de Grossach, et une guerre de position s’instaura, sans que personne ne put savoir jusqu’à quand elle aurait duré.
Fort heureusement, l’Espagne, éternel ennemi et rival français, sauta sur l’occasion pour déclarer une guerre qui était déjà imminente, avant l’assaut Autrichien sur Frise. Cerise sur le gâteau, la Sérénissime république de Venise, fort mécontente de l’attitude Française au sujet de la Savoie, se joignit à la fête. Grossach, dans un ultime effort, profita de la confusion et enrôla moults mercenaires, qui délogèrent les français de leurs positions récemment acquises.
L’état major Français, devant se couper en trois fronts, jugea bon de jeter l’éponge, laissant à Frise le soin de payer seule, la note.
Hesse et Nassau, revenaient dans le giron Autrichien.
Messages diplomatiques
A Venise
Cher ami, nous avons le même objectif : la défense de la chrétienté. Puisse Milan revenir dans le droit chemin de l’église catholique, sous votre autorité.
A la France
Mon cousin, nos affaires ne s’arrangent décidément pas. Votre politique « pragmatique », comme vous vous plaisez à la qualifier, reste hélas à nos yeux, …nébuleuse.
A la digne et fière Angleterre
Notre porte vous est toujours ouverte…
Réaction du Patriarche Orthodox d'Istambul à la missive Autrichienne
Cher ami, nous avons le même objectif : la défense de la chrétienté. Puisse Milan revenir dans le droit chemin de l’église catholique, sous votre autorité.
Cher Empereur,
Il semble que votre conception de la chrétienté s'arrête aux
frontières du catholicisme. Vous semblez oublier que les Chrétiens
Orthodox, Protestants et Réformé sont aussi des enfants du Seigneur
notre Dieu. Nous appelons les Puissances défendant ces cultes à dénoncer publiquement l'intégrisme Religieux dont s'affuble certains
grand de ce monde ! Que la Russie, grande puissance orthodox sorte
de son autarcie et prenne la défense de notre communauté aux côté de
l'éclairé Sultan !
Réaction Pasteur Ric représentant Impérial des immigrés protestants français en Turquie à la missive Autrichienne
Cher ami, nous avons le même objectif : la défense de la chrétienté. Puisse Milan revenir dans le droit chemin de l’église catholique, sous votre autorité.
Cher Empereur,
Voilà qu'à votre tour vous excluez les protestants de la communauté chrétienne qui,
pour vous, n'est formé que des seuls membres du
Culte catholique dont les Eglises semblent plus emplies d'or que
de foi et dont les curés bedonnants dégoulinent de corruption.
Cette mise à ban des Protestants annonce de nouvelles victimes d'un
obscurantisme dont notre Seigneur ne se serait jamais voulu.
Revenez à la raison avant qu'un peuple éprit de liberté vienne
chercher dans vos églises l'or qui lui permettra d'acheter son pain !
lemarseillais
19/11/2007, 15h29
La guerre des Dupes (1631-1640)
En l'an de grâce mil six cens quarante et ung, Xavier (:loose: ) roi de France par la grâce de Dieu, m'ordonna à moi, Monseigneur de Montargis, historien royal, de faire le récit de tenir les chroniques de la dernière décennie achevée. Me fut également explicitement demandé d'accorder grande place à la guerre des Cinq.
C'est donc pour le plaisir et le bon vouloir de mon roi que j'ai réalisé ce précis de l'histoire de France de la dernière décennie.
Contexte : Notre grand roi, noble et preux parmi les princes du monde, avait envoyé cinq ans plus tôt une ambassade au roi d'Espagne pour lui signifier notre ultimatum : il avait 5 années que Dieu fait pour se soumettre ou bien c'était la guerre. Beaucoup s'étonnèrent de cette démarche, mais il faut rappeler que notre roi avait proclamé lors de son avénement sa volonté de conduire la France vers la gloire éternelle. Or la gloire est fortement amoindrie par la spontanéité d'une déclaration de guerre. Plus elle est mûrie par votre adversaire, plus la victoire est grande. Toujours est-il que l'Espagne était avertie et avait 5 ans pour préparer son royaume à la guerre puisqu'il était évident que son orgueil l'empêcherait de céder.
Or, voilà qu'en ce début des années 1630, alors que l'ultimatum allait prendre fin dans qlq mois, l'empereur attaqua dans la surprise la plus totale la Frise. Contrairement aux habitudes, aucun ultimatum, aucune demande ne furent annoncées avant les premiers affrontements.
Le duché de Frise jouissait alors d'une position diplomatique enviable : allié de notre roi, de la riche Venise et de la lointaine république de Russie. Bien sur, de longtemps, Venise et Frise avait noué des accords étroits et toujours respectés. La France ni la Russie (qui de toute façon ne pouvait atteindre le front) ne devaient intervenir dans ce conflit. Venise et Frise avaient prouvé peu de temps avant leur capacité à écraser les armées impériales. L'entreprise impérial semblait folle. Semblait seulement !
En effet, en y regardant de plus près la situation n'était peu être pas si mauvaise que cela pour eux. L'Espagne, avertie chevaleresquement par la France, était prête à la guerre ou presque et aurait inévitablement porté secours à la maison autrichienne.
Venise sortait d'une grande défaite contre les armées turques et avait fortement amoindri son potentiel militaire. Il lui fallait du temps pour se refaire.
Surtout, et fort probablement, l'empereur savait que l'assassinat de l'ancien doge avait remis en cause les alliances passées. Il ne s'était pas trompé.
Alors que la guerre durait depuis plusieurs mois, la France remarqua que l'Autriche concentrait TOUTES ses forces contre la Frise qui, malheureuse, était débordée face au grouillement ennemi. Notre étonnement fut grand. Mais que faisait le doge. Même avec une armée réduite, il pouvait facilement mobiliser 20-30000 hommes sur le front dès le début des hostilités et mener de nombreux sièges puisque l'opposition était inexistante.
Non ! Venise assiégeait le milanais et uniquement le milanais, sans se presser qui puis est en y envoyant un faible corps expéditionnaire qui mis des mois à parvenir à ses fins.
Notre roi dépêcha aussitôt un ambassadeur à Venise pour s'enquérir de la position officielle du doge. Celui-ci lui assura, après plusieurs semaines d'attentes (j'aurais très bien pu écrire après plusieurs milliers de frisons supplémentaires morts), que Venise soutenait la Frise contre l'Autriche et avait besoin de temps pour un plus grand effort. L'ambassadeur repartit faire part de la situation au roi.
C'est alors que la Savoie, notre alliée récent, décida de profiter de l'embrasement général pour entrer en guerre contre Venise. Cela était absurde et malvenu de la part de notre allié. Nous proposames aussitot une paix blanche à Venise que nous pensions encore animer de bonnes volontés pour la Frise. Contre toute attente le Doge refusa !!!
Cette fois-ci c'est une ambassade vénitienne qui vint à nous (nous pumes d'ailleurs constaté à cette occasion que la capacité de réaction et de dialogue existaient chez le doge. Etonnant alors le temps qu'il mis à nous répondre lorsqu'il s'agissait de parler de la guerre et de la Frise...). Le doge nous demandait si nous comptions protéger la Savoie car il souhaiterait l'annexer. Comme le doute sur les véritables intentions vénitiennes à l'égard de la Frise commençait à poindre chez notre roi, il répondit que l'heure n'était pas venu à l'annexion de la Savoie, qu'il y avait une guerre à finir avant. L'ambassadeur revint à la charge avec une nouvelle offre : des terres dans les Alpes pour la France si nous abandonnons la Savoie. Notre roi refusa séchement. Comment Venise pourrait-elle avoir le temps d'assièger la Savoie puisqu'elle n'a, soit-disant, pas d'autres forces à envoyer contre l'Autriche ?
Cette question passa dans l'esprit de notre roi. La réponse semblait évidente. Elle fut claire comme de l'eau de roche après un nouvel échange entre le roi et le doge. Ce dernier exprima clairement son but de guerre : Milan. Ainsi, étais-ce sa conception de la guerre défensive ! Venise ne vise qu'a s'aggrandir en abandonnant à son sort son allié. Du même coup, la situation de la Savoie devenait plus claire : Venise restait en guerre car, d'une part, elle se savait non menacé par l'Autriche (au contraire même), d'autre part, elle attendait l'intervention espagnole tout en continuant à reconstituer ses forces.
Toujours est-il que le temps s'écoulait inlassablement, face au comportement de Venise, la France décida d'entrer dans la guerre pour tenter de sauver l'Autriche. Mais la situation était déjà pénible, la moitié de la Frise était occupée. La France annonça officiellement son intention. L'Espagne intervint aussitot qu'elle n'accepterait pas une invasion de l'Autriche. La France répliqua qu'elle ne voulait que défendre la Frise et rien d'autre. De fait, pas une seule armée royale ne foula du pied le territoire autrichien de toute la guerre.
Hélas, si la France tient parole on ne peut pas en dire autant de l'Espagne. Quelques mois plus tard, elle ouvrait un nouveau front et attaquait la France dans le dos. Alors même que nous avions respecté ses demandes. Bref, nous aurions dû le savoir que la parole espagnol ne vaut pas son or.
La situation était très difficile pour plusieurs raisons :
- la France, avant cette guerre, avait réformé son armée pour limiter la part de cavalerie à 33% des effectifs totaux. Or, l'Autriche, puis Venise ensuite, ne recrutèrent que, ou presque, de la cavalerie. Les armées n'avaient pas la même structure et cela se ressentit dans les pertes de nos troupes.
- l'Autriche et Venise disposaient de généraux, parfois même de très bons, la France n'en avait aucun
- la France devait tenir trois front en Europe et donc partager son armée. Sans compter le front américain avec l'Espagne. Alors que l'armée française est une des plus grande du monde, la division en trois lui fit perdre l'avantage du nombre sur chaque front, ce fait s'ajoutant aux autres.
Si bien que la France avait envoyer environ 60000 hommes pour soutenir la Frise et avait lancé le recrutement en urgence de 20000 cavaliers supplémentaires. Face à Venise, 30000 hommes étaient réquisitionnés. Face à l'Espagne, dans les Pyrénées, se trouvait plus de 50000 hommes. Le reste de l'armée assurant la défense de l'empire colonial.
Si nos armées purent bloquer l'avancée autrichienne en Frise et la repousser de qlq kilomètres, l'usure nous empêcha bientôt de faire un effort plus important.
Au Sud, les provinces montagneuses furent abandonnés carrèrement à l'Espagne. Quelques combats s'y déroulèrent avec des pertes plus fortes chez l'ennemi. Mais notre priorité était la Frise, notre attention était fixée la haut.
Sur le SE, rien ne se passait.
Plusieurs mois s'écoulèrent encore jusqu'à une année noire où l'édifice craqua de toute part :
- au Sud, par un débarquement dans le dos de nos lignes, l'Espagne tenta de nous encercler. Il fut repoussé après plusieurs combats mais les armées furent usées et durent prendre du repos.
- au SE, Venise envoya 31000 cavaliers commandés sur la Savoie que nous défendions alors avec 13000 fantassins. Malheureusement l'information arriva tard à nos oreilles et quand nous mismes en mouvement nos renforts (20000 hommes) ils ne pouvaient qu'arriver avec 1 semaine de retard. Nos 13000 fantassins disparurent en 3 jours, en pleine montagne la cavalerie parvenait à charger (QUELLE PRODIGE :choc:). Nos renforts stoppèrent leur mouvement pour fixer une ligne de défense derrière le Rhône. 20000 contre 27000 cela était jouable.....nouveau désastre la moitié de mort. La cavalerie parvient à charger à travers un fleuve (QUELLE PRODIGE :choc:). Face à ce désastre, nous sommes contraint de prélever 19000 hommes du front espagnol pour faire face à Venise à hauteur du comtat Venaissin avec les restes de notre armée en déroute. Cette fois-ci, la victoire fut notre et notre adversaire pu s'estimer heureux que notre cavalerie était trop loin pour poursuivre sinon il ne serait jamais revenu en Italie.
- au Sud, l'Espagne profita du retrait de 19000 hommes du front pour prendre position en Languedoc. Dans le même temps, une armée débarqua en Bretagne pour prendre le port de Brest où se trouvait la flotte royal. La citadelle fut pris d'assaut et notre marine dû quitter le port en urgence.....l'armada espagnole l'attendait. Malheureusement, personne ne nous avait averti de la chose et nous étions encore en train de suivre du regard l'évolution des fronts frisons et vénitiens.
- en Frise, le duc commença a entamer des discussions voyant que la situation ne s'améliorait plus depuis que l'Espagne et Venise passaient à l'offensive
Deux semaines plus tard, alors que nous pestions contre l'ouverture de multiples fronts qui nous rendait la gestion de la guerre tout bonnement impossible, alors que nous louions le courage de nos adversaires à 3vs1 (l'armée frisonne était réduite depuis plusieurs mois), nous remarquames qu'un faible contingent espagnol se trouvait en Bretagne. Tiens ? Que font des espagnols si haut. Tiens toute la flotte espagnole est là aussi !................................................. ........OU EST LA MARINE ROYALE ????????!!!!!!!?????
Dépité nous apprimes que les 120 batiments français avaient tous coulé. La moitié de la marine espagnole aussi mais c'était une maigre consolation. Nous envoyames aussitot un diplomate suicidaire en Espagne pour lui signifier la honte qui entoure son nom. Alors que nous avions eu le tact de le prévenir d'une guerre suffisament tôt pour qu'il s'y prépare, ce cher cousin d'espagne a coulé notre flotte alors même qu'il avait bien remarqué qu'il était étrange que je la laisse se suicider ainsi. Quelle grande victoire pour l'armada espagnole !
Finalement, la guerre pris fin ainsi. La Frise céda deux provinces à l'Autriche. Venise annexa la Savoie et obtint de son nouvel allié le milanais. Venise venait de réussir le superbe coup de magie suivant : entrer en guerre soit-disant pour soutenir son allié pour finir par être allié avec celui qu'elle "affrontait" et faire la guerre à la France.
Diplomatie :
Autriche : Je constate qu'en pleine guerre vous êtes capable de vous arranger avec Venise pour le Milanais. C'est fort étonnant quand on sait que vous n'avez pas le temps de discuter en temps de guerre avec nous.
Venise : Votre prédécesseur avait obtenu par la patience notre renonciation sur le nord-ouest de l'Italie. Félicitations, nous réclamons à présent la libération de la Savoie, du Milanais et de Gênes.
Espagne : :tongue:
Angleterre : Vive la France
EO : A la place du doge je vous dirai "ok ok faisons copain copain pour obtenir la levée de l'embargo", mais entre vous et moi vous y croyez ?
Frise : Votre peuple est voué à vivre au quotidien la guerre, mais c'est le prix de sa liberté. Tenez bon !
Russie : On dit qu'à l'Est la neige est blanche. Ici elle est rouge.
Suède : Vous ne seriez pas en train de monter une contre-gpo avec l'Angleterre ?
Pologne : .....l'heure est à la méfiance ! Gardez vos frontières.
Portugal : Un jour ou l'autre cet embargo va se retourner contre vous.
Déclaration à la maison de France.
Vous aviez parfaitement le temps avant votre entrée en guerre effective contre l'empire de réflechir et de répondre concernant le devenir de votre allié le Duc de Savoie responsable du déclanchement des hostilités contre la république Vénitienne. Il est à savoir qui souhaita le plus gagner du temps.
La maison de France n'a aucune légitimité de ce coté des Alpes. Peut-être la république pourait discuter du statut de la Savoie occidentale trans-alpine avec la France, mais encore faudrait'il que vous acceptiez enfin de discuter avec notre ambassadeur et non ne nous menacer en profitant de votre surpuissance militaire. Encore une fois ce sont les ambassadeurs Espagnols et Autrichiens qui se sont rendu à la cérémonie d'investiture du nouveau doge alors que l'absence de l'ambassadeur Français fut trés remarqué.
Si la Maison de France et son roi souhaite s'entretenir avec les services diplomatique de la république voir avec le Doge, nous en serions ravis car nous ne considérons pas du tout la France comme une puissance hostile. Mais peut-être n'est-ce pas votre vision de la république vénitienne des la nouvelle connus de l'arrivée de la famille Morosini au pouvoir à Venise?
Déclaration au Sultan de la Sublime porte.
Nous sommes trés déçu par l'embargo Ottoman à notre encontre qui rejoins celui de la France.... coincidences étranges. Notre famille à toujour eu des liens commerciaux officiels ou officieux avec l'empire Ottoman.. du moins jusqu'a qu'a la conquete de notre principauté de Morée. Votre politique religieuse conciliante est fortement appréciée à Venize. Cependant l'occupation de la Morée est une probleme de fond trés difficile à surmonter dans notre relation bilatérale. Nous restons ouvert encore une fois à la discution et une échange d'ambassade pourait faciliter ces mêmes discutions.
Message au Doge
Cher Doge,
Comme dit précédemment, l'embargo Ottoman ne tient qu'à une chose :
les déclaratiosn officielles de votre Etat faisant de l'Ottoman un ennemi lorgnant sur vos
terres. Le Sultan n'exige qu'une chose :des excuses officielles pour ces déclarations rapides
concernant une situation que le Doge ne connaissait apparemment pas vraiment.
Une fois cela fait nos centre de commerce vous seront ouverts.
D'autre part, il semble encore une fois que les Vénitiens ont la mémoire courte. Morée a été
annexée après VOTRE guerre d'agression vis-à-vis de la Transylvanie. Et ceci peut de temps
après que vous ayez vous même annexé le Duché de Morée que nos 2 puissances avaient
précédemment convenu de laisser indépendant. Le Status de Morée est donc le résultat de la
politique agressive du précédent Doge. Peut-être y réfléchirons nous à nouveau quand le
Doge actuel nous aura montré une face plus plus plaisante à nos yeux. La popultation
Orthodox de Morée est pour le moment protégée par le Sultan.
lemarseillais
19/11/2007, 17h14
Réponse française à Venise :
Du temps...........
Je vous rappelle que la première fois que vous êtes venu nous parler de la Savoie nous vous avons demandé de régler cette histoire après la guerre pour avoir le temps de discuter. Voyez vous, suite aux dernieres événements dans votre république, nous avions besoin de savoir qu'elle était votre nouvelle position diplomatique (la guerre nous a donné la réponse). Cette discussion était beaucoup trop longue pour être abordé en pleine guerre. Nous n'étions pas opposé à l'annexion de la Savoie comme nous vous l'avons dit.
D'autre part, et non des moindres, "avoir parfaitement le temps" quand votre allié est à moitié envahi est une tournure d'esprit pour le moins étonnante. Nous savions que nous n'avions pas la même définition d'une alliance défensive, nous savons maintenant que nous n'avons pas la même conception du temps.
La France a accepté jadis de fermer les yeux sur le sort des républiques italiennes. Et pas seulement sur les 3 nommés. Vous parlez de notre légitimité mais vous ? Sur quelle légitimité fondez vous ces annexions ? Le choix de ces peuples ? Je vous rappelle qu'un choix du peuple sonne plus juste par une annexion diplomatique que par la force des armes. D'autre part, nous n'avons pas manqué de remarquer une révolte du peuple de Savoie occidentale trans-alpine.
La France, au contraire de l'Autriche, était en longue amitié avec Venise depuis plus de cent ans. Les changements à la tête de votre principauté n'impliquaient pas nécessairement une remise en cause de ce statut. C'est votre politique qui remet en cause cela. A vous de voir ce que vous voulez.
Réponses de l'Empereur :
Au patricharche de l'église orthodoxe de Constantinople
Vous extrapolez nos propos. L'empereur n'a pas remis en cause le schisme d'orient de 1054. Vous vous affolez inutilement. Soyez rassurés, il n'y a pas de population orthodoxe dans le Saint-Empire, et donc nulle raison de hurler à l'intégrisme religieux.
Au Pasteur Ric représentant Impérial des immigrés protestants français en Turquie
(Mais combien y'a t-il de Pasteur RIC ??? :lol: )
Réveillez-vous mon bon... Cela fait plus de 100 ans, que les Empereurs du Saint Empire ROMAIN Germanique, ont déclaré impies, les thèses luthériennes et Calvinistes. Quoi de plus normal, quand on dispose de l'onction de sa Sainteté le Pape, que de défendre son Eglise ?
D'ailleurs, si vous tenez tellement à jeter l'opprobe sur ceux qui défendent l'Eglise Romaine, sachez que la fille ainée de celle-ci, la France, partage le même point de vue que l'Empereur à ce sujet. En effet, le roi de FRance n'a jamais caché ses désirs de convertir ses provinces infidèles, ce dont l'Empereur s'est toujours félicité. Rappelons-nous également que l'Autriche a cédé gracieusement la province de Metz à la France, moyennant une promesse de conversion.
Marco Rale
19/11/2007, 17h39
Message du Kniaz
Au nom du Velche
La Russie n'est en aucun cas autarcique. Lors de la dernière guerre entre l'Autriche et la Frise, elle a immédiatement amené 30000 hommes à la frontière autrichienne, à travers les plaines Polonaises, jusqu'à ce que la France annonce qu'elle assumait le rôle de défenseur de la Frise. Nous avons renoncé alors à entrer en action car la guerre à 3 contre 1 ne fait pas partie de nos valeurs, mais si la France n'avait pas souhaité agir nous ne nous serions pas défilé. Nos alliés ont toujours pu compter sur nous.
A l'Angleterre: si vous estimmez que mener la guerre aux Mings est une partie de plaisir, n'hésitez pas à vous lancer ! Leur équipements et leurs techniques sont peut etre obsolètes mais leur nombre infini fait que le front est toujours une boucherie, surtout en Sibérie centrale. Ces guerres extraordinairement couteuses ne nous ont jamais apporté que quelques plateaux arides. Mais conformément à nos annonces, nous n'avons pas hésité à dépenser ensuite sans compter pour porter le message du Christ dans ces territoires. Les Mings font toujours partie des nations les plus riches du monde , ce ne sont pas vos tribus d'Amérique du Nord.
La Russie est prête à toute forme de collaboration, en particulier au niveau commercial et colonial. Faites-nous donc des propositions au lieu de gémir, nous les étudierons avec bienveillance.
Nos voisins se sont montrés dignes de confiance. Nous menons la politique que nous avons toujours annoncé et n'avons été trahis par personne.
Pour ceux qui en doutent, nous rappelons notre position générale: la Russie n'est pas là pour changer les rapports de force en Occident, à moins que celà serve notre politique: prédominance en Asie, extension commerciale, succès de l'orthodoxie. Sinon, c'est comme le disent nos marchands allemands: Demerden Sie Sich
Quant à notre position vis-à-vis des Balkans, nous resterons en bons termes avec quiconque respectera la religion orthodoxe là où elle est installée. Toute tentative de conversion forcée se heurtera à notre hostilité. Toute libération de nation orthodoxe sera extrémement bien vue par la Russie. Pour l'heure, les comportements se valent.
lemarseillais
19/11/2007, 17h49
Au Pasteur Ric représentant Impérial des immigrés protestants français en Turquie
D'ailleurs, si vous tenez tellement à jeter l'opprobe sur ceux qui défendent l'Eglise Romaine, sachez que la fille ainée de celle-ci, la France, partage le même point de vue que l'Empereur à ce sujet. En effet, le roi de FRance n'a jamais caché ses désirs de convertir ses provinces infidèles, ce dont l'Empereur s'est toujours félicité.
Dites donc l'empereur "prix repère" de chez carrefour, vous croyez pas que vous êtes complètement à côté de la plaque là ?
Regardez un peu la titulature du pasteur ric, bougre d'âne :lol: , si c'est un représentant des immigrés protestants français en Turquie c'est qu'il connaît parfaitement la situation de la France :tongue:.
Dites donc l'empereur "prix repère" de chez carrefour, vous croyez pas que vous êtes complètement à côté de la plaque là ?
Regardez un peu la titulature du pasteur ric, bougre d'âne :lol: , si c'est un représentant des immigrés protestants français en Turquie c'est qu'il connaît parfaitement la situation de la France :tongue:.
Oups...:roi:
Après tout, qu'importe... Cela ne fait que conforter l'idée que la France et l'Autriche sont à mettre dans le même sac :chicos:
et puis c'est pas "prix repère" mais "marque repère" :tongue:
1640 –1647. Pas de changement sous le brouillard d’Angleterre
A la traîne technologiquement, ruinée et abandonnée de tous, maudite par les Dieux qui s’acharnaient contre elle, l’Angleterre était bien mal en point en 1640 :( . L’ambitieux programme lancé il y avait déjà 15 ans fut poursuivi avec une vigueur nouvelle : Londres avançait désormais à pas de géants pour combler le fossé immense qui la séparait des autres nations occidentales.
En 1643, le monde éberlué apprenait que l’économie Anglaise était désormais la troisième mondiale :clap: . Un océan gigantesque nous séparait toujours de l’Espagne, qui avait quasi le double de nos revenus, et des décennies d’avance dans le domaine technologique, mais le Portugal était rattrapé et la France orgueilleuse laissée derrière nous. L’heure arrivait tout doucement de solder certains comptes : un embargo commercial fut décrété contre Lisbonne.
Paniqué, le Portugal vient nous implorer de lever celui-ci, en échange de la levée de son propre embargo illégitime et injuste, qui durait depuis presque un siècle. Soit, l’Angleterre a accepté, mais que Lisbonne soit bien conscient d’une chose : à la plus petite incartade de sa part, nous rétablirons immédiatement notre embargo.
La croix dans une main, le mousquet dans l’autre, nos missionnaires extirpent enfin complètement tout le paganisme de nos provinces d’Amérique : des constructions d’églises viennent saluer ce nouvel exploit. Gloire à l’Angleterre, qui a apporté la parole de Dieu :eveque: dans ses contrées sauvages pendant que les autres nations d’Europe ne pensent qu’à leur petit portefeuille.
Missives diplomatiques
France. Votre alliance contre-nature avec votre du voisin du sud nous surprend et nous inquiète. Nous demandons des explications et vous prévenons que nous vous gardons toujours à l’œil, notamment et principalement cet ambassadeur nommé « Lemarseillais » ( si ce dernier pouvait s’expliquer clairement de temps en temps, cela nous changerait :mrgreen: )
Espagne. Cela ne vous coûte pas trop cher d’entretenir tant de catins ? Ne vous laisser pas vampiriser non plus, tant de monde compte désormais sur vos largesses que la terre cesserait probablement de tourner si vous veniez à disparaître.
Autriche. Courage, digne choupinette.
Frise. Toutes nos félicitations pour vos succès contre les Mings avides.
Portugal. Nous vous avons aussi à l’œil…
Venise. Si votre empire colonial est désormais un fardeau pour vous, n’hésitez surtout pas à nous le céder. Juste retour des choses, c’est grâce à notre aide formidable que vous avez pu le bâtir… L’absence de tout retour vis-à-vis de nos sacrifices ne sera pas oublié de si tôt en Angleterre…
Tibet. Nous vous remercions pour votre proposition d’alliance, mais sommes au regret de devoir la refuser : l’Angleterre n’est pas isolationniste par volonté, mais par nécessité. La guerre est un privilège de riche.
Chronique espagnole 1630-1647
Or et libre commerce
Après une sombre période au début du XVIIe sièce, où les finances et la richesse de l'Espagne furent ratrapées par des Etats comme la France ou la République de Venise, l'Espagne connue une véritable rennaissance économique en à peine une dizaine d'année. La création de la compagnie des Indes Orientales suite à la capture de Malacca, ainsi que notre avance technologique nous permit ainsi de remonter la pente descendante sur laquelle nous étions dangereusement engagée. De plus, la doctrine commerciale ultra-libre échangiste génialement imaginée par nos penseurs économiques et nos Rois, nous permit d'envoyer des marchands dans tout les centres de commerce connus. La qualité et le talent de nos marchands permettant de supplanter les marchands français et vénitiens.
Les revenus de la couronne d'Espagne s'élèveront ainsi à plus de 520 millions de ducats par mois.
Parallèlement à ce renouveau, la position diplomatique de l'Espagne fut comme toujours celle de l'équilibre européen :
Ainsi lorsque l'Autriche décida de recouvrer ses terres légitimes d'Allemagne illégalement en possession de Frise, et que voyant la France attaquer par la suite l'Autriche, nous ne pouvions et ne devions que suivre notre fidèle allié, et nos armées passèrent les pyrennées.
L'unique but de l'Espagne était de permettre à l'Autriche de recouvrer ses terres, et notre royaume n'émit aucune revendication.
La guerre fut courte, et volontairement nos troupes avancèrent lentement dans le sud de la France, le but étant de fixer les armées françaises pour que l'Autriche puisse finir sa besogne sans trop de difficulté, sans faire trop couler le sang français contre lequel nous n'avions aucun grief.
La paix fut donc signée,l'Autriche eut gain de cause, et l'Espagne signa une paix blanche générale.
Pendant cette houleuse période, un changement de Doge à Venise allait avoir des conséquences politique majeures puisque Venise ancien allié de la France et de Frise trahis ses anciens alliés pour s'allier à l'Autriche.
Notre sentiment était alors paradoxal. D'une part nous étions heureux que l'Autriche ait enfin trouvé un allié proche de ses frontières, et partageant quelques intérêts communs. Ce faisant l'Autriche navait plus besoin de nous pour assurer sa sécurité vis à vis de sa frontière du Rhin et pouvait voler de ses propres ailes.
D'autre part la trahison de Venise, chose que nous exécrons tout particulièrement, eut le douloureux effet de nous rappeler la trahison polonaise. Et le message diplomatique envoyé à Venise avant ces évènements fut amèrement regretté.
Ainsi la position diplomatique de l'Espagne se devait d'évoluer et de tenir compte de ce nouvel état de fait : d'une part par un rapprochement et une réconciliation définitive avec la France (chose attendue depuis plus de 200 ans!), d'autre part par une prise de distance avec Venise car la couronne espagnole ne s'aurait s'enticher des traîtres et des miéleux.
De la réconciliation avec la France une idée communemment admise émergea aux fil des discussions : les deux royaumes devaient signer leur alliance par la guerre, seul moyen de montrer notre confiance réciproque. Ainsi la France nous incita à la guerre contre Venise contre laquelle elle avait encore de grands griefs. Dans un premier temps nous repugnâmes à attaquer ce pays dont l'allié était notre ami autrichien, mais les propositions de la France nous incitèrent à attaquer, et des revendications très mineures (4 villes coloniales en amérique du sud anciennement espagnoles) furent annoncées. En réalité cette guerre n'était nullement une guerre de conquète, mais seulement une guerre pour la confiance. Parallelement à cela, la France annonça des revendications mineures envers l'Autriche (à savoir la vassalisation de la Suisse) une fois convaincue par nous de ne pas charger inutilement la barque.
La guerre fut rondement menée et en quelques jours Venise capitula en nous cédant 4 colonies. Pendant ce temps Autriche et France sont toujours en guerre, dont nous félicitons la modération en pertes humaines, et espérons que celle ci prennent rapidement fin. A vrai dire si la guerre n'aboutit à aucun avantage concret pour un camp particulier, la paix blanche peut très bien être une solution, l'Espagne pouvant dédommager financièrement la France pour ses efforts à la place de l'Autriche, à condition qu'elle suive le modèle de notre modération.
Pendant cette période, l'armée espagnole, afin de garantir l'indépendance de ses territoires devant une concurrence de plus en plus acharnée fut portée à 200 000h de façon permanente. Parallèlement la flotte fut considérabelment renforcée pour garantir les routes de commerces trans-océaniques.
A ce propos d'ailleurs, l'Espagne signale que du fait de sa doctrine libre échangiste, tout marchand est le bienvenu dans nos centres de commerce, tant qu'il n'empiète pas sur les affaires des notres. Cela à pour corolaire de laisser nos propre marchands faire fructifier leurs affaires dans tout les centres de commerce du monde connus. Bien évidemment nous garantissons le fait de ne pas attaquer les monopoles sur les centres de commerces nationaux.
A la France : nous sommes heureux de notre réconciliation, et sommes prêt à servire de médiateur dans votre conflit avec l'Autriche si les deux parties sont d'accords.
A Venise : allez et ne recommencez plus. La traitrise est une chose que nous avons en horreur :siffle: , à vrai dire mais si elle ci sert nos propres adersaires, nous ne pouvons pas ressentir de l'amitié ou un autre sentiment approchant pour ceux qui se livrent à une telle activité. Mais le pardon de notre Seigneur se doit d'être appliqué également dans les relations entre Etats.
Afin de montrer notre volonté de repartir sur de bonnes bases, nous sommes prêts à vous racheter à bon prix votre empire colonial d'amérique du sud.
A vrai dire, notre prix serait tellement généreux, que nous ne pourrions trouver qu'extrèmement désagréable si ces terres étaient vendues à une autre puissance.
Au Portugal : vous avez toujours été notre fidèle allié, et avez toujours respecté votre parole. Tant que ces relations entre nos deux pays continuent de la sorte, et que nos marchands peuvent librement commercer, nous resterons des amis en toute circonstance.
A l'Angleterre : Votre proposition d'achat des terres vénitiennes en Amérique a reçu à Madrid un accueil extrèmement défavorable. Ce n'est pas de cette manière que les relations entre nos deux royaumes s'amélioreront. A cela est cumulée l'éternelle pleurnicherie anglaise désormais célèbre dans toute l'Europe. Prenez garde que quelque écrivains de théâtre n'en viennent pas à user de ce défaut pour en faire des comédies qui traversaient l'histoire et marquerait votre peuple de cette marque peu flatteuse pendant longtemps.
Chronique Frisienne. (1640-1650)
Une nouvelle croisade !
L’envie de repartir combattre l’incroyable hydre chinoise continuer depuis la signature de la paix à obséder les cadres militaires du duché, le duc voyait dans l’affaire un moyen de réaffirmer sa puissance dans la région et renforcer l’amitié de la « rodina » russe auxquelles il tenait.
Les premières années de la période furent marquées par une diplomatie en vu de former une coalition viable pour tenir tête au mastodonte oriental, les deux états trouvés furent la Russie et la Pologne.
L’armement pu alors enfin commencer, la préparation militaire de l’invasion obligea le renforcement du corps déjà installer sur place c’est à dire 12 milles cavaliers, à deux corps d’armé constituer chacun de 4 milles fantassin et milles artilleurs ayant pour but de prendre les places du pays.
La guerre fut lancer un avril 1646, avec les Polonais, en quelques mois l’armé manchou fut balayé les forces coalisées et la paix signé avec eux laissant les Mings seuls face à nous, mais au contraire de la dernière guerre l’ennemie c’était mobiliser en son cœur et faisait face à nos forces nous empêchant toute descente vers le sud, bien sur nous tenions le corps du pays tant économiquement avec Jiangsu que politiquement avec Pékin. Il est vrai que nous pourrions signer la paix mais Frise continuera sa lutte avec les chevaliers polonais jusqu'à l’écrasement de ce titan !
La fin de l’unification néerlandaise !
« Quel bonheur pour nous que cette déclaration de guerre de Utrecht et de son allier Raguse contre l’empire ottomans qu’elle bande de fou ! », Voilà la première remarque que notre duc fit lorsqu’il apprit les décisions de la petite république irréductible au milieu de son duché. Le duché avait enfin une chance de faire taire cette misérable république en son cœur et détruire cette ennemie à notre arriver au trône impérial qui nous est de plus en plus à notre porté avec la disparition de la Savoie et de l’Alsace détruit dans les dernières luttes du continent.
Après une brève réunion avec quelques représentants du parlement il fut décidé d’envoyer un messager porté une demande aux sultans pour plaider notre cause contre cette pathétique république qui lui déclarait la guerre.
Très rapidement en plan fut dressé avec ceci moyennant quelque finance, l’Ottoman enverrait une expédition pour faire taire ceci, après avoir débarqué discrètement dans nos ports des soldats venus des Balkans pour leur blancheur pour garantir le secret jusqu'à la surprise finale, la ville fut surprise par cette horde sortant de nul part, ceci avait investit la ville sans combattre prenant l’hôtel de ville sans cout férir, exécutant les notables indésirables à notre duc.
De bien entendu une armée Frisienne fut dépêchée sur place pour « sauvé » notre voisine, après quelque jour les Turcs durent se rendre face à notre incroyable détermination à protéger la chrétienté de cette invasion repartant chez eux chargé de quelques biens en récompense de leur aide dans cette affaire.
La cité dut se rendre à l’évidence qu’elle ne pouvait survivre sans nous dans les turpitudes de se monde et fut donc annexer selon ses « vœux » à notre duché, finissant l’unification néerlandaise.
Chroniques de Venise 1640-1650
Le rat qui gangrene l'europe...
La réconciliation Veneto-Autrichienne était ainsi scellée par le retour de Milan au sein de la république. La France gardait elle de l'amertume au sujet de la Savoie et de la manière dont Turin avait également rejoins la répulique. Mais au moins les choses était claire et la France ne cachait pas son désapointement et l'envie un jour d'en découdre.
Mais le si riche royaume d'Espagne était l'exemple même de la duplicité. Que nous avions été sots de ne pas écouter les avertissements des grands princes d'europe. L'Espagne était la nation d'un égoisme absolu et toute confiance ne doit jamais lui etre accordé.
Pourtant l'ambassadeur Espagnol se pressait au siège du Doge pour insister sur la satisfaction de l'Espagne devant la "comprehention" du nouveau doge devant la puissance formidable de l'armée Française. Madrid assurait qu'elle était fort satisfaite du nouveau pouvoir à Venize et de la nouvelle amitié latine qui unissait Venize à l'Espagne. Mais alors meme que l'Espagne assurait son amitié à Venise, l'Espagne negociait avec la France une offensive combinnée contre la paisible république venitienne avec comme objectif le Venezuela.
Comment une nation noble et droite peut t'elle assurer son amitié à une autre nation sans cesse tout en levant des troupes et des navires, preparant ses plans, s'alliant avec la plus puissante force terrestre du monde pour enfin lancer son offensive dans le dos sans AUCUN ultimatum, sans AUCUNE revendications affichées, sans aucun contacts diplomatiques si ce n'est des déclarations amicales???
La réponse est simple, il faut avoir la fourberie du serpent... être sans honneur... ce que répresente à la perfection l'Espagne et son roi....
Message au Sultan Ottoman:
Votre tolérance et votre politique progressiste ont été remarqué de même que la réouverture de vos centre à notre commerce. Si nous pouvions trouver un accord sur une indépendance de notre principauté familliale de Morée, de grandes choses pourait voir le jour.
Message à la France.
Votre adversité semble paradoxalement plus loyale que certaines de nos amitiés à la sauce ibérique. Votre modération evners notre république malgré notre capitulation fut remarquée. Si un accord pouvait etre trouver avec l'Autriche à l'amiable, peut etre une voie de dialogue voir de coopération pourait s'ouvrir. Nous sommes par exemple ouvert à la discution concernant Chambéry et sa région.
Message à la Frise:
La Frise et l'Autriche aurait tout interet à trouver un accord amiable concernant vos frontières. Une reconaissance de la suzeraineté impériale pour vos terre d'empire, la mise à disposition d'un host partiel pour vos sujets allemands... de nombreuses possibilités exeiste pour sortir par le haut de cette rivalité larvé.
Message à l'Autriche.
Nous vous soutenons de tout coeur. Nous croyons à la possibilité d'un reglement amiable de vos rivalité avec la France et la Frise. esperons que l'ouverture et le dialogue feront des miracles.
Message à la Pologne:
Votre croisade contre les Ming avec la Russie est une grande oeuvre. Nous vous soutenons de tout notre coeur
Message à la Russie
Comme pour la Pologne nous vous soutenons dans votre oeuvre d'evangélisation chrétienne
Message à la Suède
ça se passe bien? :)
Message au Portugal
Vous avez bien du courage pour collaborer avec votre serpent de voisin. cela ne doit pas etre facile tout les jours de garder le silence devant les actes ignobles de Madrid. Nous sommes heureux de nos relations avec le Portugal et soutenons également votre oeuvre d'évangélisation en amérique du sud nottament
Message à l'Angleterre.
Nous avons perdu le contact avec vous recement. Sachez que nous partageons vos préocupations. Nous sommes certain qu'une collaboration est possible. Nos terres d'amériques pouraient etre vendues. Votre nation est glorieuse et courageuse pour assurer ainsi au monde extra-européen une alternative à l'impérialisme espagnol.
Message à l'Espagne.
Vous etes la nation la plus riche du monde. La prochaine fois, trouvez le courage de venir seule et d'afficher vos revendications au lieu de n'agir que par traitrise et d'embaucher pour votre sale besogne la plus puissante armée du monde.. Votre imoralité fait que désormais la république de Venize apportera son soutien inconditionelle à tout adversaire de l'Espagne. Nous nous considérons en état de guerre permanente contre l'Espagne. Certe nous sommes bien moins armée et bien moins riche que la puissante espagne. Mais l'honneur et dieu (et le pape) sont avec nous. Vous finirez en enfer.... en attendant nos soldats viendront un jour à Madrid....
Chroniques Autrichiennes 1640 - 1650
Réforme de l’armée.
En vertu d’engagements internationaux, l’Autriche entreprit un programme d’envergure, visant à refondre complètement la constitution de son armée. Les grands régiments de cavalerie, naguère largement majoritaires, furent démantelés. Sur 126 régiments n’en subsistent que 38. Une doctrine militaire laissant plus grande importance à la puissance de feu fut adoptée.
Attaque surprise
Cette nouvelle armée devra immédiatement faire ses preuves. L’Autriche et sa nouvelle amie, la république de Venise, reçurent une déclaration de guerre conjointe de la France et l’Espagne, soit l'alliance du puissant et du riche. Quel panache... :?:
Sans soutien naval digne de ce nom, le doge préféra d’emblée capituler. Sa flotte en pleine reconstruction n’étant pas de taille à lutter contre de tels adversaires.
L’Autriche quant à elle, lutte seule contre la France et ses ressources humaines illimitées(MP=150 000). :choc:
L’empereur ne se fait pas d’illusions : il suffit à la France de nous pilonner sans cesse, quitte à perdre les ¾ des batailles initiales. Au bout d’un certain temps, le réservoir humain Autrichien(65 000 :loose: ) faiblira et les pertes ne seront plus compensées. A parti de ce moment, la messe sera dite. Pour l’heure, l’Autriche résiste fièrement, en luttant à l’économie (humaine).
Mais pour combien de temps… ?
Messages diplomatiques
France : notre offre ne semble pas vous agréer. Nous le regrettons vivement.
Espagne : finalement, c’est très bien comme ça.
Venise : en plus de nos aspirations communes, nous voilà désormais unis dans l’infortune. Longue vie à notre collaboration !
Angleterre : le monde civilisé attend avec impatience le grand retour aux affaires de Lord Choupingham. Vive le peuple libre d’Angleterre !
Portugal : malgré votre alliance avec la perfide Espagne, nous vous conservons en grande estime.
Chronique de Pologne : La guerre sainte contre l'empire Ming !
En ce début de XVIIeme siècle la Pologne parviens enfin a augmenter sensiblement ses revenus, passant des 50 ducats mensuels du XVIe siècle a prés de 90 ducats, montés a 120 graçe aux efforts de guerre et a l'impot spécial appliqué auprés de nos sujets.
La compagnie des indes orientales, aprés avoir completer l'établissement Polonais sur l'île de Jakarta se lance a présent dans le commerce de fourrure du grand nord de l'Amérique. Certains marchands Polonais chuchotent même entre deux réunions que la nouvelle richesse anglaise viendrait en partie de toute les nouvelles richesse amenée par la Pologne dans le centre commercial du Niagara, profitant avant tout au souverain d'Angleterre.
Mais hélais notre préstige était au plus bas, nos revandications sur la Saxe tombant les une aprés les autres, les armées Polonaise manquait aussi cruellement d'experience de la guerre moderne. Il fut donc décidé, alors que la Pologne héritais du titre de contrôleur pontifical de partir en croisade contre l'empire millénaire des Ming. Contrôlant les steppes d'asie centrale, de la mer Caspienne a la mer Jaune, s'étendant jusqu'a a l'indus, ce monstre asiatique est un adversaire a la mesure des fiers cavaliers Polonais. C'est donc soutenus par nos amis et alliés du Grand duché de Frise que la guerre fut déclarée. Frise s'occupant en prioritée des territoires cotier, les soldats polonais eux devront dans un premier temps couper l'empire Ming en deux, afin d'isoler la partie Est de la partie Ouest, puis de faire la jonction avec les forces Frisonnes pour repousser dans un ultime éffort les troupes chinoise plus loin au sud.
Ce plan fut un succés certains, malgrés quelques revers et des troupes chinoise toujours corriace malgrés l'écart technologique, il continue encore a ce jour pour voir l'écrasement progressif du Ming qui ne cesse de perdre du terrain.
Ici, sur cette carte prise par un scribe royal, les gains de la Pologne contre l'empire Ming sont clairement visible. Plus a l'est notre alliés Frisons occupe tant bien que mal les provinces cotières, subissant régulièrement l'assaut de milliers de soldats Ming.
http://img409.imageshack.us/img409/1720/aar2kn0.jpg
Missive diplomatique a l'adresse des souverains d'europe :
A la Russie, notre amis et notre alliés de toujours nous vous remercions encore une fois de faire parvenir a nos soldats l'aide et la logistique nécessaire jusqu'en en Chine.
A la Frise, nous sommes toujours aussi ravis de collaborer avec vous contre le démon Ming, de même le Roi est heureux de voir qu'aprés tant de siècle a se regarder en chiens de faïence, le duc a enfin compris qui était le véritable énemis..
A l'Autriche, votre guerre contre la France est injustifiée et injustifiable, nous esperons que vous subirez une défaite rapide et sans concession qui ne sera que le prélude au démembrement de l'empire Habsbourg.
Au Sultan de la sublime porte, que dire si ce n'est que nos positions actuelle nous conviennent parfaitement, il est clair que nos pays n'ont pas vocation a être énemis, seul l'influence néfaste de puissance exterieur a jusqu'a présent nuit a nos relations. Tout comme la Russie je vous invite a rejoindre le pragmatisme orientale et a vous méfier des puissances occidentales.
A la France, nous esperons que la brillante démonstrations de vos force militaire méritera ce titre et que les soldats Français pourront venir se détendre dans les hotels de Cracovie aprés un long et harassant chemins jusqu'a Vienne.
A l'Angleterre, puissiez vous prosperer et faire enfin face a vos vieux démons interieur qui vous tourmente depuis bien trop longtemps.
Aux puissance ibérique, a la Suède et a Venise, nos relations sont moins étroites, mais la Pologne tiens tout de même a envoyez ses plus sincères voeux de réussite dans vos entreprises.
lemarseillais
26/11/2007, 15h48
Déclaration du roi de France :
Aux princes concernés et pour rafraichir la mémoire aux autres (au cas où cela serait nécessaire)
Jusqu'à preuve du contraire, la France n'est pas une fille de joie que l'on peut se payer contre quelques bonnes pièces bien sonnantes. L'histoire n'a aucune trace d'un quelconque "allié" du royaume qui nous versa de l'or en échange de notre aide, que ce soit les Venitiens, les Frisons, les Anglais, les Polonais et, aujourd'hui les Espagnols. La France a toujours agit motivé par ses intérêts propres qui pouvaient alors entrer en commun avec ses "alliés". JAMAIS un seul prince étranger de ce monde ne dicta une marche à suivre à la France. JAMAIS la France ne s'embarqua dans un projet qu'elle n'avait pas voulu, organisé seule ou collégialement.
De fait, le roi de France est profondément surpris, pour ne pas dire outré, de lire certaines déclarations qui font de lui un client de l'Espagne. Que ces propos soient directs ou indirectes cela n'y change rien. Il ne faudrait pas négliger l'intelligence diplomatique française. Si le fond de ces déclarations visait à jetter le discrédit sur l'Espagne, leurs formulations génèrent une opprobe pour l'honneur français. Mais en plus, ils sont une attaque indirecte à la puissance mondiale de la France à partir du moment où l'on peut imaginer une seule seconde notre puissant royaume au service d'un autre.
Il paraît donc évident que, qui que vous soyez, ancien allié ou non, nous ne nous laisserons pas insultés et traités de la sorte. Le roi de France demande avec insistance, pour rester encore courtois, des explications sur ces déclarations et un éclaircissement officiel s'il s'agit d'une maladresse d'ambassade. Comprenez bien que ceci est l'ultime acte diplomatique et courtois que nous pouvons encore faire lorsqu'on nous insulte.
Dans le cas de non réaction diplomatique des ambassades concernées ou s'il ne s'agissait pas de propos maladroits, c'est sous une autre forme diplomatique que nous ferions sentir tout le poids de notre mécontentement. Nos armées en Autriche pourraient très bien aller voir ailleurs.
http://www.cosmovisions.com/images/BlasonPaysBas.png
Déclaration sur la genèse des Pays Bas.
Aujourd’hui après des décennies sinon des siècles d’intégration au sein du duché mère
de Frise, les représentants de toutes les provinces métropolitaines se sont réunit pour
déclarer leur union à la face du monde, qu’ils ne font qu’un autour de leur souverain ! Le
nouveau royaume car il ne s’agit plus d’un duché dont la légitimité vient d’un don du
suzerain impérial, mais d’une légitimité amplement plus importante, c’est à dire une
légitimité venant du peuple reconnaissant en lui l’envoyé de notre bien aimé seigneur.
Les nations constituantes de notre état reconnaissent la primauté du duc sur ses terres
et lui offrent la couronne royale, et se place derrière lui et lui déclarent allégeance.
Le Royaume des Pays Bas s’institue comme une terre de tolérance et ne luttera pas
dans les querelles qui secouent notre église chrétienne, la liberté appartient à chacun
de suivre sa voie, tant qu'elle ne remet pas en cause la foi officiel du royaume.
En matière internationale, le royaume des Pays Bas reprend les politiques amorcés
précédemment, nous réaffirmons notre amitié au roi de France et d’Angleterre mais
aussi à la nation vénitienne et à la grande nation russe.
Nous déclarons de plus notre union au royaume de Pologne auxquelles nous sommes
liées par le sang tout atteint à son intégrité territoriale serait considérée comme une
atteinte à notre royaume ! Nous ne laisserons pas des cousins être frappé lâchement,
comme semble se préparait un certain royaume…
En ce qui concerne les royaumes d’Ibérie notre royaume restera neutre, nos inimités
sont trop lointaines pour continuer à être fondé et espérons pouvoir engager des
relations amicales pour le bien de nos peuples.
Le Royaume des Pays Bas déclare ne pas abandonner ses prétentions précédentes en
Germanie ! Nous demandons à l’empereur de nous rétrocéder les terres prise lors de la
dernière guerre ceci est la base de toute base de dialogue ! Sans cela le peuple des
Germains du Nord sera pousser à des extrémités que nous voudrions éviter !
Que dieu bénisse les Pays Bas !
1650 – 1663. L’Angleterre, dernier îlot de réel au milieu du néant
Malgré tous les efforts du conseil de Sa Majesté, la Glorieuse Angleterre voyait le gouffre technologique qui la séparait des autres pays occidentaux se creuser toujours plus. La faute à nos principes de justice, d’égalité et de fair-play. Alors que les gros goinfres impérialistes et amoraux se gavaient de mines d’or facilement arrachées à des païens retardés, sans le moindre panache, honneur ou gloire, Londres poursuivait sa politique d’équilibre, plus juste, plus morale et conforme au droit international, quand bien même nous étions le dernier à respecter celui-ci.
Naturellement, cela rendait inévitable notre retrait des affaires européennes, mais quelle importance ? Pourquoi aller se salir avec ces crabes amoraux ? Au milieu des brumes et des tempêtes, l’Angleterre vivait hors du temps et hors de l’espace, et cela est très bien ainsi, rien ne nous semble assez digne d’intérêt pour sortir de notre retraite paisible.
De temps en temps, le conseil de Sa Majesté daignait passer le bout du nez par la fenêtre pour contempler, désabusé, le panier de crabe qui s’agitait vainement en Europe : toujours les mêmes histoires, toujours les mêmes rapports de force. Rien ne changeait et beaucoup, à Londres, en venaient à penser que ce n’était pas l’Angleterre mais le reste de l’Europe qui vivait hors du temps et de l’espace. En vérité je vous le dis, ce sont ces penseurs qui ont raison. Notre valeureuse nation est la seule à évoluer et à garder sa liberté, alors que les autres s’enfoncent de plus en plus dans le néant. Bientôt, nous serons la seule nation au monde et, de cette façon, nous le dominerons :roi: . Que les brumes de l’histoire engloutissent ces faquins et que vienne notre triomphe galactique !
Aux pseudo-royaumes qui seraient nos voisins :
France. Nous attendons toujours le retour à Londres de l’ambassadeur nommé Lemarseillais, aussi inexistant soit-il : son fantôme nous amuse :mrgreen: .
Autriche. Vous serez le dernier à disparaître, nous n’en doutons pas. Vive l’Empereur :clap: !
Russie. Puissiez-vous réussir dans vos chimères, qui mériteraient presque d’être réels.
Frise. On nous annonce que vous formez désormais le Royaume des Pays-Bas : serait-ce là un changement réel ou juste une illusion apportée par de doux rêveurs ?
Portugal. Nous louons votre immobilisme habile : vous au moins, vous avez compris que pour amener du changement, il ne faut surtout rien modifier. Votre puissance vous permet désormais de vous passer de la tutelle Espagnole : le Portugal évolue ! Ne changez donc surtout rien, ainsi l’évolution viendra tout naturellement.
Espagne. Nous avons décidé de vous pardonner et d’ouvrir une nouvelle page dans l’histoire de nos non-relations. Votre pays n’étant que chimère, nous sommes disposés à revoir nos positions vis-à-vis de celles-ci, puisque cela ne nous engage plus en rien dans le domaine du réel.
Venise. La réception grossière que notre ambassadeur dépêché auprès de vous a reçue nous a rappelé pourquoi nous avions rompus nos relations à la mort du dernier Doge réellement vivant, Pedrolane le Gueux. : votre pays a cessé d’exister à partir de ce moment et ce qui subsiste encore, ce sont ces âmes damnées, et grossières, qui sont perdues dans l’entre-monde et ne parviennent pas à trouver le repos éternel. Patience, le néant viendra bientôt vous libérer de tous ces tourments affreux.
Ultimatum Néerlando-Polonais sur l'Autriche.
Très cher roi d’Autriche, aujourd’hui en ce saint jour, le royaume des Pays Bas et de
Pologne vous réclame la cession de Lubeck à ce dernier. Ce territoire étant poméranien, ce
peuple étant en majeur partie au sein de son royaume, ces terres devrait lui revenir, le
droit est avec nous!
Si vous n’obtempéré pas, nos demandes seront revues à la hausse, et porteront en plus
sur les provinces perdus par votre perfidie lors de la dernière guerre !
Nous demandons aux autres nations de rester neutres dans cette affaire, celle ci ne
concerne que nous et l’Autriche qui depuis des siècles nous menace, elle ne connait que le
rapport de force et nous allons lui en donnez!
Nous espérons que l'Autriche fera le bon choix!
Le roi des Pays Bas et de Pologne.
Chroniques Autrichiennes 1650 – 1663
Compromis avec la France
Les armées Françaises tenaient le Palatinat et la Suisse occidentale. Mais n’avançaient plus. Toute attaque était repoussée. Cependant, cette guerre malmenait la jeunesse Autrichienne qui hélas n’était pas infinie. A l’opposé, la France pouvait compter sur un réservoir humain largement supérieur. Aussi l’empereur dépêcha une ambassade à Paris et un compromis fut trouvé. Conscient qu’à la longue cette guerre aurait été perdue, l’Empereur proposa au roi de France d’épargner à nos deux pays un sacrifice inutile. Le roi de France sut se montrer magnanime, et une paix honorable fut trouvé. L’Autriche cédant à titre provisoire (une durée équivalente aux règnes de l’empereur Ferdinand et de son fils Karl) la jouissance de centre de commerce de Lübeck. A compter de ce jour, et ce jusqu’à la mort de Karl, 4e du nom, seule la France est en droit de disposer d’un monopole dans ce COT. Sur simple demande de la France, n’importe quel pays trop offensif dans ce centre peut se trouver soumis à un embargo commercial.
Grave crise économique
A la mort de Ferdinand, Karl hérita d’un royaume, aux finances saines en apparence. En apparence seulement, car peu de temps après la prise de fonction de Karl des évènements gravissimes se produisirent. Quelques fonctionnaires vinrent subistement se plaindre de n’avoir reçus leurs appointements. Puis il en virent d’autres. Puis ce fut le tour des militaires… Tout ceci était étrange. Les livres de compte n’indiquaient pas une quelconque pénurie d’argent. Pourtant il fallut se rendre à la raison. Des parchemins manquaient…
L’Autriche avait, à la grande surprise de l’Empereur, dépensé beaucoup plus d’argent que ce qu’elle ne disposait. Pourtant, rien ne permettait de le soupçonner. L’Empereur demanda des comptes au grand trésorier national, un certain Ludwig ENRON. Ce dernier avoua, qu’il avait falsifié les comptes. Il fut limogé et emprisonné pour haute trahison.
Les conséquences furent dramatiques(-1000 ducats). Chaque mois, il fallait emprunter(5 emprunts). La monnait fut dévalué (inflation + 5), le pays grondait (stab-3) car le pain coûtait une fortune.
L’empereur fit appel à l’aide internationale, et remercia chaleureusement tous le pays qui ont aidé l’Autriche dans ces instants très délicats. (Russie, Venise, Portugal et d’autres).
Réponse Autrichienne à l'ultimatum Néerlando-Polonais
Alors que l'Autriche traverse une grave crise économique et intérieure, des espions hollandais n'ont pas hésité à saboter notre stabilité, que nous avons grand mal à remonter.
Le roi de Pologne a ironîsé, en qualifiant l'Empereur de "Pleutre" puisqu'il ne relevait pas l'outrage.
Eh bien, puisque l'Empereur est un "pleutre" et que le roi de Pologne est si "courageux", qu'il n'hésite surtout pas à nous faire valoir ses "légitimes" prétentions sur Lûbeck, en tête à tête.
Reponse de Pays Bas.
Réponse Autrichienne à l'ultimatum Néelando-Polonais
Alors que l'Autriche traverse une grave crise économique et intérieure, des espions hollandais n'ont pas hésité à saboter notre stabilité, que nous avons grand mal à remonter.
Nous ne voyons pas de quoi vous voulez parlez, cessez vos calomnies! :o:
1663 – 1669. L’Europe à feu et à sang
En 1664, le Conseil de Sa Majesté fut brutalement réveillé par les bruits violents qui retentissaient à l’extérieur : des brigands ? Des violeurs ? Impossible, nous n’avions aucun bien qui pouvait les intéresser et nos femmes et filles étaient bien à l’abris, protégées par les brumes que nous seuls pouvions traverser. Il se passait donc quelque chose au milieu de ce néant qu’on appèle Europe :o: . Un volontaire désigné d’office fut envoyé ( celui qui, ne s’étant pas réveillé à temps, n’avait pas eu le temps de faire un pas en arrière lorsque Sa Majesté demanda un volontaire :chicos: ) et il passa discrètement son nez par la fenêtre : 1664 déjà, comme le temps passait donc vite à l’extérieur ! Fort heureusement, l’Angleterre, elle, vivait en dehors du temps. Un sourire vient aux lèvres du volontaire : c’était ce bon vieux Von Choupinem qui faisait des siennes :p: .
La Pologne et les Pays-Bas ( « Tiens, ce royaume n’existait pas la dernière fois que j’ai regardé par la fenêtre » constata le volontaire :goutte: ) attaquaient l’Empereur, lui-même soutenu par le Doge sac à vent et, plus étonnant, par notre confrère de Suède. Qu’arrivait-il donc à notre collègue estimé :?: ? Avait-il perdu la raison pour se plonger ainsi volontairement dans le néant ? Le volontaire ferma rapidement la fenêtre et s’en alla retrouver Sa Majesté et Son Conseil : « Rien d’important, c’est Von Choupinem et ses voisins qui se tapent dessus parce que… Eh bien, je ne sais pas, mais c’est sans importance pour nous, n’est-il pas ? ». Le conseil se rendormit aussitôt, on attendait l’heure du thé.
Messages diplomatiques
A l’Empereur. Toutes nos félicitations pour votre victoire mais la prochaine fois, de grâce, faites un peu moins de bruit : nous avons le sommeil si léger :o: !
Aux Pays-Bas et à la Pologne. Toutes nos félicitations pour votre combat intrépide. A défaut de victoire, vous avez donné une leçon d’Honneur à certains :tongue: . Nous vous invitons à régler pacifiquement vos différents avec l’Empereur, qui est un homme juste et bon.
A la Russie. Nous applaudissons votre succès diplomatique, qui n’est pas passé inaperçu à Londres, preuve que certes nous dormons, mais d’un œil seulement.
A la France. Mon pauvre ami, quelle horrible tragédie vous a donc frappé :ouin: ! Nous compatissons et vous assurons que si vous veniez à déchoir complètement, nous vous donnerons toujours une soupe riche par jour afin de subsister.
A Venise. Vous faites honneur à vos ancêtres, grands constructeurs de moulins à vents. Continuez donc à brasser du vent, puisqu’il s’agit là d’une tradition familiale.
A la Suède. Prenez garde quand même ! N’oubliez pas que l’action mène au néant et que seul l’immobilisme permet d’évoluer. Reprenez-vous et venez roupiller avec nous.
Au Portugal. Le temps qui ne passe pas efface tout dit-on. A Londres, l’on a finit par oublier vos crimes passés. De toute façon, votre Empire, comme tous les autres, n’est que néant et poussière : poussière tu étais, poussière tu redeviendras :mrgreen: .
A l’Espagne. Vous voilà soudainement bien silencieux, auriez-vous enfin à votre tour découvert les subtils délices de la sieste, du repos et de l’inactivité ? Venez donc nous rejoindre et nous pourrions deviser aimablement des vertus de l’inaction.
Chronique des Pays Bas :1663-1669 La victoire qui nous échappe.
Depuis les 2 derniers siècles, notre peuple n’avait jamais été aussi préparé à la guerre, les réserves avaient été augmentées de 50 pourcent, et le moral augmenter, par une propagande savamment dosée et par les victoires en extrême orient.
Le militarisme avait forgé une nouvelle nation, à partir du duché de Frise, le royaume des Pays Bas, toute les provinces du royaume n’avait qu’un seul but, la gloire sur-le-champ de bataille, l’honneur est ce qui importe ! Tous les regards étaient porté à l’Est vers l’Autriche, celle-ci nous avait traité trop longtemps comme des faibles, il fallait leur faire payer !
C’est ainsi qu’en 1664, après leur avoir laissé un an pour s’aider à nos exigences nous partîmes avec notre cousin le roi de Pologne à l’attaque de l’Autriche, celui ci avait attiré le Doge a son aide, le rapport de forces nous était défavorable nous le savions mais qu’importe, nous nous avons un honneur et ne jetons pas l’éponge comme des lâches…
La première phase de la guerre commença bien mais un fauteur de trouble rentra dans le conflit pour protéger l’empereur de la perte de Lubeck, la Suède. La moitié de notre cavalerie fut donc dépêcher sur place et tenta de protéger en vain les troupes de siège polonais, perdant la moitié du corps de batailles dans cette simple bataille, avant d’apprendre que les Suédois ne ferrait rien qu’empêcher un siège de la province, ne pouvait-il pas le dire avant que nous envoyâmes nos troupes ? Nous laissâmes donc la province et nous préparèrent à défendre nos sièges des forces vénitiennes face à nous.
Pendant ce temps dans les colonies, nos minuscules forces étaient détruites par la vague vénitienne 10 fois plus nombreuses.
Sur le front principal, la province de Hesse était devenue le centre des combats sur le front Ouest, l’armée du Doge nous bombardait de ses assauts soutenus quelque fois par l’empereur en personne, c’est ainsi que celui-ci tomba dans une ce ses batailles, en l’année 1665. Notre général Jongstra, le meilleur officier tous camps confondu, l’étoile de nos innombrables généraux était arriver à temps pour soutenir nos 12 milles fantassins et 5000 artilleurs assiégeant, avec ses 20 milles cavaliers, face à lui 40 milles fantassins et la fine fleur de l’armé autrichienne, la garde impérial, 4000 cavaliers commandaient par Karl I.
Les combats furent terribles, en 10 jours l’armé du Doge se débanda face à Jongstra manœuvrant admirablement face à l’empereur, celui-ci fut surpris en pleine charge sur le centre de l’armé néerlandaise par la fuite des Italiens. Jongstra qui chargeait sur les flancs ne poursuivit pas ceci ; il fallait couper la retraite à l’empereur et l’arrêter ! Malheureusement celui-ci s’écroula, frapper par un boulet de canon en pleine poitrine, il fut ramener au camp, mais il mourra de ses blessures, un grand empereur était mort, mais la guerre continuait….
Les combats continuèrent ainsi nos cavaliers repoussant les charges du Doge sur Hesse avec ses 50 milles fantassins, les envoyant vers une mort certaine, à l’Est la Pologne faiblissait et la Saxe commençait à être reprise, nous tentâmes alors de l’aidait envoyant notre cavalerie pour repousser les troupes impériales, ceci fut l’erreur de trop, le Doge en profita pour relancer l’offensive sur Hesse, notre cavalerie arriva trop tard et la retraite devint la seul possibilité, nos troupes furent massacrer, poursuivit par une cavalerie italienne qui n’avait souffert aucune bataille, juste quelque millier de cavalier arrivèrent à partir et à rejoindre la Pologne pour se refaire, l’infanterie quant à elle s’installa en Flandres pour attendre.
La dernière phase de la guerre fut une guérilla sur notre territoire et des charges sur les troupes disperser de par notre cavalerie commandait par Jongstra écrasant plusieurs 15 milles autrichiens avant la paix.
Notre coalition avait perdu certes mais dans l’honneur, le roi de Pologne fut obliger de céder l’Altmark à l’empereur. Première guerre et défaite de l’alliance Néerlando-Polonaise. Nos généraux n’étaient malgré tout pas abattu, aucun de nos cadres n’avait péris, et un très grands nombres de soldat était prêt à sortir des rangs.
Missive diplomatique :
A la Suède : Nous n’oublierons pas cet acte de traitrise, vous avez attiré une rancœur profonde sur vous… J’espère que vous savez à quoi vous vous exposer.
A l’Empereur : Cette guerre a encore démontrait votre domination sur le Saint Empire Romain Germanique. Ne vous inquiété pas nous reviendrons.
A notre cousin le roi de Pologne : Très cher, nos deux peuples sont unis dans la défaite, nous essayerons de vous envoyer toute l’aide nécessaire à votre reconstruction.
A l’Angleterre : Avec quels dédains traitait vous les affaires continentales !
Chroniques Autrichiennes 1664-1669
L'empereur Karl ayant rejeté l'utimatum néerlando-polonais, ceux-ci passèrent à l'attaque rapidement.
Le corridor de Dant....Lübeck était indéfendable, car il est pris en étau entre la Hollande et la Pologne. Si bien qu'Autrichiens et Vénitiens attendent patiemment les attaquants en basse saxe, en hesse et le long du Rhin. Ceux-ci ne tardent pas à montrer le bout de leur nez, et entament plusieurs sièges aux f'rontières directes (Hannovre, Anhalt, Meissen).
Mais à notre grande surprise, le roi de Suède déclara la guerre aux assaillants, car il lui déplaisait que Lubeck ne passe en de si vilaines mains. Grâce lui soit rendue.
Au coeur de l'Empire, à Vienne et en bohème, Autrichiens et Polonais se tiennent en respect. Aucun des deux camps n'ose prendre l'initiative, de peur de perdre ces précieux cavaliers dont l'usage est désormais restreint.
Au nord ouest, les armées du Doge ne ménagent pas leurs efforts et harcèlent littéralement les hollandais. Quand cela est possible, un contigent autrichien se porte en renfort. Cela vaudra d'ailleurs la perte de l'empereur Karl, lui-même, emporté par un boulet hollandais.
En Saxe, les premiers affrontements avec les troupes Polonaises sont effroyables. Les pertes sont grandes... Visblement, les généraux polonais, aguérris los de la campagne des Ming, n'ont rien à envier à leurs homologues hollandais. La guerre sera dure...
L'empereur MAthias, frère de Karl IV, assène des discours de motivations aux troupes : il faut tenir! coûte que coûte !! De très nombreuses batailles firent rage, les pertes furent difficilement compensées, mais elles le furent. Les renforts vinrent et les sièges ennemis mis à mal. L'élite des cavaliers hollandais et Polonais eut finalement du mal à se démultiplier, et la tenacité du Doge et de l'Empereur finit par payer. A hannovre le siège fut levé, et l'armée hollandaise mise en déroute fut inlassablement poursuivie par les Vénitiens.
Les Polonais ne pouvaient plus compter sur le soutien de leur allié, et ils durent à leur tour abandonner les sièges, et finalement reculer. Le front se disloquait :
http://img80.imageshack.us/img80/9118/eu33jk5.jpg
Véntiens et Autrichiens lancaient donc l'offensive et se permettaient des incursions en territoire ennemi. La victoire semblait subitement possible, car ni hollandais, ni Polonais ne semblaient en mesure de renverser la vapeur.
L'Empereur fut sollicité par le Stadhouder de Hollande. Ce dernier, visiblement de son propre chef et sans consulter le roi de Pologne, lui demanda quelles étaient les demandes Autrichiennes pour la paix. L'empereur prit le temps de lui répondre...
Mais pendant ce temps, la Pologne jouait son "va-tout" et lancait ses dernières forces à l'assaut de Vienne :enerve: .
L'empereur apprenant la nouvelle, furieux, cessa immédiatement les pourparlers, et retourna sur le champ de bataille constater les dégats...et ils étaient graves. Vienne était assiégée et l'armée exsangue et démoralisée ne put la délivrer avant qu'elle ne tombe.
Après une réorganisation de plusieurs mois, et l'arrivée de frais renforts Vénitiens, l'attauqe de libération de Vienne fut lancée, et fut couronnée de succès, mettant fin aux derniers espoirs de victoire des Néerlando-Polonais.
CEs derniers acceptèrent la paix clémente de l'Empereur qui ne réclama que la province saxonne de Magdebourg (Altmark), et des indemnités de guerre à Venise et à la courageuse Suède.
Missives diplomatiques :
Hollande-Pologne : L'empereur sait reconnaître ceux qui se battent bravement et avec honneur. Assurément, vous faites partie de ces gens.
Venise : cher allié, nous espérons très sincèrement pouvoir un jour vous être aussi précieux que vous nous le fûtes, en cette occasion.
Suède : assurément votre intervention était une grande surprise. Elle n'en reste pas moins gage d'un grand courage. L'empereur est aujourd'hui votre débiteur.
Une GPO épique avec un nombre de participant conséquent ! :clap:
On voit d'ailleurs toute la différence entre EU3 de l'époque et la dernière monture sur HTTT !
Voilà un autre monument des GPO qui ressurgit d'outre-tombe ! :chicos:
Oui une bien belle GPO, ma première... nostalgie quand tu nous tiens... Vive la Frise au passage!!! ^^
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