ar sparfell
23/06/2007, 05h59
Ce soir, y'avait une soirée d'aurevoirisation. J'y suis donc allé, et la soirée c'est déroulé comme une soirée habituelle, seulement perturbée par les rots gras d'alcool, et les cris rauques de wé-tu-m'as-renversé-un-truc-sur-mon-machin, et parcourue par des crétins hormonaux à la recherche du receptacle prématuremment dévêtue de leurs sève nourricière.
Bien sûr, arrive le moment que j'aime appeler l'instant vérité, du nom de Jean-Claude Vérité, qui en 1924 durant cet instant se mit une carrotte dans le derge en criant à ses amis "hé r'gardez les gars, je fais millerrand!!!." Il s'agit du moment pathétique où les gars bourrés font des trucs stupides comme danser nus sur la table, pisser sur un canapé, faire un concours de lancer de chaussures dans une mare pas loin de la maison, déclarer leur amour à leur copine, ou déclamer du victor hugo à une plante verte.
Bhein ce coup-ci, les chers et joyeux convives espagnoles se sont mis à chanter à--tue-tête-et-brise-burnes des chansons à boire. Action, réaction. Une heure plus tard, la police arrivait.
Et là je dis bien fort: " Hé les gars, les strip-teaseurs sont enfin arrivés!!!!!"
...
Heureusement que mon grand courage fut tempéré par un profond sens de la survie, qui me l'a fait hurler en français du haut du deuxième étage donnant sur le patio où ils étaient. :yeux:
Bien sûr, arrive le moment que j'aime appeler l'instant vérité, du nom de Jean-Claude Vérité, qui en 1924 durant cet instant se mit une carrotte dans le derge en criant à ses amis "hé r'gardez les gars, je fais millerrand!!!." Il s'agit du moment pathétique où les gars bourrés font des trucs stupides comme danser nus sur la table, pisser sur un canapé, faire un concours de lancer de chaussures dans une mare pas loin de la maison, déclarer leur amour à leur copine, ou déclamer du victor hugo à une plante verte.
Bhein ce coup-ci, les chers et joyeux convives espagnoles se sont mis à chanter à--tue-tête-et-brise-burnes des chansons à boire. Action, réaction. Une heure plus tard, la police arrivait.
Et là je dis bien fort: " Hé les gars, les strip-teaseurs sont enfin arrivés!!!!!"
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Heureusement que mon grand courage fut tempéré par un profond sens de la survie, qui me l'a fait hurler en français du haut du deuxième étage donnant sur le patio où ils étaient. :yeux: