Chazam
19/01/2007, 00h44
Ce soir, j'ai joué Milan, de 1492 à 1520, sur la démo. On ne sai pas à quel point elle diffère de Europa Universalis 3 tel qu'il sera commercialisé.
Avec les détails à fond (ce qui ne change rien sur la carte semble-t-il :mrgreen: ), le jeu tourne, mais il y a des presque infimes saccades (mer pas tout à fait fluide, idem pour les drapeaux, et les fenêtres - n'importe lesquelles - mettent un quart de seconde à s'afficher, où à réagir).
Mon ordi : Core2duo E6300 (2x1.86GHz), ATI radeon X1950pro 256 Mo, 1Go de ram...
Passons au jeu :
les points négatifs :
- Religion : Apparition du protestantisme vers 1500, sans aucune indication autre qu'une découverte au hasard d'un pays converti en fouinant sur la carte... On peut sans problème faire un mariage royal et s'allier entre protestants/catholiques dès l'apparition de "l'hérésie protestante". Bref, la religion n'a pas l'air d'avoir tellement d'effet diplomatique. Enfin, les protestants on l'air d'apparaitre un peu partout... :???: Moi, j'ai découvert l'apparition de cette religion lors de la demande d'alliance de la part d'ïles grecques indépendantes (Naxos)... converties au protestantisme (population et gouvernement). Un peu plus tard, la population du Piémont est également devenue protestante. Très peu de territoires en Europe du nord l'étaient.
- colonisation : Je n'ai fait aucun effort dans ce domaine (pas d'envoi d'explorateurs, ni de conquistadors), mais les découvertes maritimes et territoriales tombaient comme des mouches après 1500... C'est bien simple, à la fin de la partie, je connaissais toutes les antilles, les côtes du Québec, les côtes occidentales de l'Afrique, et la route jsuqu'en Indonésie avec une partie de ses côtes. :ko: Le tout sans RIEN faire.
- Interface :
On ne voit plus la valeur des CoT en affichant la carte économique dont le seul intérêt (nul à mon sens) est de voir l'aire d'influence des CoT.
On n'a plus de carte des resources, ce qui est ballot, car même si elle sert peu, il était parfois utile de la sortir pour chercher des provinces aux productions particulières comme l'or, les métaux, les épices... en ayant tout sous les yeux. Là (à moins que j'aie zappé un truc), dans la démo, faut regarder province par province, ce qui est nul.
La carte diplomatique est assez confuse à cause des codes couleurs. On ne peut pas voir de visu sur la carte si un territoire est à la fois notre vassal et notre allié, ou si on a un mariage royal et une alliance...
- autre : le prestige. Je ne comrpends pas ce qui le modifie. Je me suis retrouvé négatif à la fin alors que j'ai doublé la taille de mon territoire en Italie. Que les autres ne m'aiment pas du coup, certes, mais c'est déjà indiqué dans notre réputation. Alors je ne comprends pas ce que ça représente. Mes armées étaient puissantes, Milan devenu la première puissance d'Italie, ex-aequo avec Venise. Mais une réputation devenue négative. :confus: (en gros, je suis passé de +13 à -13).
Les points positifs :
- interface : il y a beaucoup d'améliorations qui aident à avoir un apperçu de ce qui se passe. En particulier en haut à droite de l'écran, un élément indiquant les armées et leur force, les flottes, les marchants en cours ou installés et leur CoT, et les productions en cours (unités ou batiments) avec le temps restant avant leur achèvement.
- game play : pas testé le St Siège, ni le SER, mais ils sont là avec des possibilité de jouer de l'influence dedans.
La gestion des flottes et des armées est beaucoup plus fine et réaliste. Les unités à développer dépendent de nos choix stratégiques (on peut privilégier la défense, ou l'attaque) et notre position sur la carte (certines unités ne sont disponibles que dans des zones géographiques limitées). Les navires sont individualisés, avec leur etat en %. Les navires deviennent obsolètes après que de nouveaux modèles sont développés (avancement de la technologie navale) : il faut en reconstruire de nouveaux si ont veut maintenir sa flotte à la pointe. Les régiments eux se mettent à niveau tout seul. Pas besoin de les débander, puis d'en recruter de nouveaux.
La guerre est proche de ce qu'on connait à EU2 finalement, mais ave des armées beaucoup moins nombreuses (plus d'immersion : on s'y croit avec 5000 hommes voire moins, alors que ces nombres étaient ridiculement faibles à EU2). Les petits pays n'ont pas des armées de 40 000 hommes. :o:
Une province capturée est très fragile face à une contre offensive, la garnison défensive ne se remplissant pas aussitôt la ville capturée.
Les nouvelles possibilités, telles que choisir un conseiller (mais après les choix au début, il ne reste plus que des nuls de dispo... je me demande comment on pourra en recruter un bien en cours de jeux), des idées nationales (ça bouffe de la stabilité d'en changer), des modes de gouvernement qui ont différent bonus et posent des contraintes plus ou moins grandes quand aux réformes du pays (délais de 16 ans pour changer un curseur en Monarchie féodale, quand c'était toujours 10 ans dans EU2), et les batiments constructibles dans les capitales provinciales.
Les espions (mais je n'ai pas testé :honte: ).
On gagne plus d'argent, mais il y a également plus de dépenses variées à faire.
Les conséquences liées aux mariages : guerre de succession que j'ai eue. Naxos a vu la mort de son roi. Ce dernier a décidé de me laisser le trône, ce qui n'a pas plu à la Sicile, qui avait également un mariage royal avec Naxos, d'où guerre automatique! J'ai gagné cette guerre, mais Naxos est resté indépendante. :o: Il doit y a voir également de sunions personelles, et des héritages de pays (quand il n'y a pas de guerre de succession).
Enfin voilà en gros ce qui m'a marqué. :hello:
Au final, j'attendrai qu'un certain nombre de commentaires se fassent sur le jeu avant de l'acheter. Certains défauts m'inquiètent... :?:
Avec les détails à fond (ce qui ne change rien sur la carte semble-t-il :mrgreen: ), le jeu tourne, mais il y a des presque infimes saccades (mer pas tout à fait fluide, idem pour les drapeaux, et les fenêtres - n'importe lesquelles - mettent un quart de seconde à s'afficher, où à réagir).
Mon ordi : Core2duo E6300 (2x1.86GHz), ATI radeon X1950pro 256 Mo, 1Go de ram...
Passons au jeu :
les points négatifs :
- Religion : Apparition du protestantisme vers 1500, sans aucune indication autre qu'une découverte au hasard d'un pays converti en fouinant sur la carte... On peut sans problème faire un mariage royal et s'allier entre protestants/catholiques dès l'apparition de "l'hérésie protestante". Bref, la religion n'a pas l'air d'avoir tellement d'effet diplomatique. Enfin, les protestants on l'air d'apparaitre un peu partout... :???: Moi, j'ai découvert l'apparition de cette religion lors de la demande d'alliance de la part d'ïles grecques indépendantes (Naxos)... converties au protestantisme (population et gouvernement). Un peu plus tard, la population du Piémont est également devenue protestante. Très peu de territoires en Europe du nord l'étaient.
- colonisation : Je n'ai fait aucun effort dans ce domaine (pas d'envoi d'explorateurs, ni de conquistadors), mais les découvertes maritimes et territoriales tombaient comme des mouches après 1500... C'est bien simple, à la fin de la partie, je connaissais toutes les antilles, les côtes du Québec, les côtes occidentales de l'Afrique, et la route jsuqu'en Indonésie avec une partie de ses côtes. :ko: Le tout sans RIEN faire.
- Interface :
On ne voit plus la valeur des CoT en affichant la carte économique dont le seul intérêt (nul à mon sens) est de voir l'aire d'influence des CoT.
On n'a plus de carte des resources, ce qui est ballot, car même si elle sert peu, il était parfois utile de la sortir pour chercher des provinces aux productions particulières comme l'or, les métaux, les épices... en ayant tout sous les yeux. Là (à moins que j'aie zappé un truc), dans la démo, faut regarder province par province, ce qui est nul.
La carte diplomatique est assez confuse à cause des codes couleurs. On ne peut pas voir de visu sur la carte si un territoire est à la fois notre vassal et notre allié, ou si on a un mariage royal et une alliance...
- autre : le prestige. Je ne comrpends pas ce qui le modifie. Je me suis retrouvé négatif à la fin alors que j'ai doublé la taille de mon territoire en Italie. Que les autres ne m'aiment pas du coup, certes, mais c'est déjà indiqué dans notre réputation. Alors je ne comprends pas ce que ça représente. Mes armées étaient puissantes, Milan devenu la première puissance d'Italie, ex-aequo avec Venise. Mais une réputation devenue négative. :confus: (en gros, je suis passé de +13 à -13).
Les points positifs :
- interface : il y a beaucoup d'améliorations qui aident à avoir un apperçu de ce qui se passe. En particulier en haut à droite de l'écran, un élément indiquant les armées et leur force, les flottes, les marchants en cours ou installés et leur CoT, et les productions en cours (unités ou batiments) avec le temps restant avant leur achèvement.
- game play : pas testé le St Siège, ni le SER, mais ils sont là avec des possibilité de jouer de l'influence dedans.
La gestion des flottes et des armées est beaucoup plus fine et réaliste. Les unités à développer dépendent de nos choix stratégiques (on peut privilégier la défense, ou l'attaque) et notre position sur la carte (certines unités ne sont disponibles que dans des zones géographiques limitées). Les navires sont individualisés, avec leur etat en %. Les navires deviennent obsolètes après que de nouveaux modèles sont développés (avancement de la technologie navale) : il faut en reconstruire de nouveaux si ont veut maintenir sa flotte à la pointe. Les régiments eux se mettent à niveau tout seul. Pas besoin de les débander, puis d'en recruter de nouveaux.
La guerre est proche de ce qu'on connait à EU2 finalement, mais ave des armées beaucoup moins nombreuses (plus d'immersion : on s'y croit avec 5000 hommes voire moins, alors que ces nombres étaient ridiculement faibles à EU2). Les petits pays n'ont pas des armées de 40 000 hommes. :o:
Une province capturée est très fragile face à une contre offensive, la garnison défensive ne se remplissant pas aussitôt la ville capturée.
Les nouvelles possibilités, telles que choisir un conseiller (mais après les choix au début, il ne reste plus que des nuls de dispo... je me demande comment on pourra en recruter un bien en cours de jeux), des idées nationales (ça bouffe de la stabilité d'en changer), des modes de gouvernement qui ont différent bonus et posent des contraintes plus ou moins grandes quand aux réformes du pays (délais de 16 ans pour changer un curseur en Monarchie féodale, quand c'était toujours 10 ans dans EU2), et les batiments constructibles dans les capitales provinciales.
Les espions (mais je n'ai pas testé :honte: ).
On gagne plus d'argent, mais il y a également plus de dépenses variées à faire.
Les conséquences liées aux mariages : guerre de succession que j'ai eue. Naxos a vu la mort de son roi. Ce dernier a décidé de me laisser le trône, ce qui n'a pas plu à la Sicile, qui avait également un mariage royal avec Naxos, d'où guerre automatique! J'ai gagné cette guerre, mais Naxos est resté indépendante. :o: Il doit y a voir également de sunions personelles, et des héritages de pays (quand il n'y a pas de guerre de succession).
Enfin voilà en gros ce qui m'a marqué. :hello:
Au final, j'attendrai qu'un certain nombre de commentaires se fassent sur le jeu avant de l'acheter. Certains défauts m'inquiètent... :?: