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AAR Turquie – La dernière chance des ottomans.
Au premier janvier 1936, la nouvelle administration, menée par le fougueux Dandyturk, prend ses fonctions. La situation de la Turquie, puisqu’il faut appeler ainsi l’ancien Empire Ottoman, n’est pas bonne : suite à sa défaite dans la première guerre mondiale, le territoire a été réduit à la seule péninsule anatolienne, sa faible industrie ne totalisant que 22IC. La situation sur le plan armée n’est guère meilleure : 10 faibles divisions d’infanterie, 3 divisions obsolètes de cavalerie et une unique division alpine tiennent en respect ses voisins. La marine ne compte que quelques vieux croiseurs achetés à l’Allemagne il y a 20 ans tandis que son armée de l’air est faible et vieillissante.
C’est pourtant avec ces moyens que le nouveau gouvernement turc compte redonner à la Turquie sa gloire et sa grandeur passée en mettant à profit les prochaines années…
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jagermeister
02/12/2006, 15h49
Bonne chance ! :hello:
La situation de la Turquie en 1936 :
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Dès sa prise de fonction, les nouveaux gouvernants prennent des décisions radicales :p: !
Des grandes recherches sont lancées pour obtenir un modèle de char aux critères de 1936, sur le modèle du R35 français :
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D’autre part, il est décidé d’améliorer la logistique en créant des dépôts qui pourrant ravitailler une armée en campagne.
Sur le plan économique, des accords sont conclus difficilement avec le grand voisin soviétique qui malgré son dirigeant et son idéologie, voit d’un bon œil cette faible Turquie laïque et républicaine. Un accord de ressource est conclu fin janvier permettant à la Turquie de subvenir à ses besoins en acier et en pétrole.
Enfin, pour assurer sa sécurité, l’Organisation pour la Sécurité de la Turquie (OST) envoi des espions en Bulgarie et en Grèce, les deux voisins occidentaux.
Le but non avoué de ces manœuvres est de pouvoir refaire de la Turquie une grande nation, aussi grande que l’Empire Ottoman qui mit le siège sous les murs de Vienne. Les objectifs sont de disposer en 1939, c'est-à-dire selon un échelonnement de 3 ans, un corps blindé d’élite, de 20 divisions modernes et équipées ainsi que d’avoir à disposition une arme aérienne de qualité. Peu d’efforts seront fait pour moderniser une flotte qui ne pourra de toute façon, rivaliser avec les flottes des autres grandes nations.
Le début de l’année s’écoule tranquillement et tandis que l’Italie colonise outrageusement l’Etat indépendant qu’était l’Ethiopie, la Turquie poursuit sa marche vers la gloire :
Dès le 8 juillet, une nouvelle division alpine vient se mettre aux ordres du quartier général turc, elle sera suivie par une autre division alpine le 22 novembre.
La recherche turc avance bien met au point et teste ses prototypes de chars dès l’été 1936. Les démocraties occidentales ne s’y trompent pas en envoyant de nombreuses propositions économiques, toutes refusées par la Turquie qui a déjà acquis son équilibre économique grâce à ses amis soviétiques.
Alors que l’Espagne s’embrase dans une guerre civile, le gouvernement turc, inquiétée par le sort des populations musulmanes d’Albanie, demande au commandement si une opération de pacification et de protection des albanais est réalisable. ;) Cette demande, louable, est toutefois déconseillée par le commandement qui craint tant l’enlisement inutile et une intervention italienne. Le croiseur Medjidieh, envoyé dans l’Adriatique confirme que l’Italie ne saurait rester indifférente à une pacification turque.
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Dandyturk prend alors son mal en patience et concentre son attention sur la modernisation de l’armée. Les plans pour une nouvelle organisation divisionnaire sont mis au point dès janvier 1936 mais il est décidé que les ressources turques seront allouées en priorité à la formation du corps blindé : deux divisions blindées sont ainsi mises en production le 7 décembre 1936.
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Au début de l’année 1937, devant l’aggravation de la situation en Albanie, le gouvernement ordonne que l’opération prévue en Albanie soit remise à jour. Le commandant prépare alors avec réticence l’opération « Croissant », craignant une intervention italienne malgré le pacte de non agression.
Prévu pour avril 1937, l’Opération se déroulera ainsi : les croiseurs Yavuz, Medjidieh ainsi qu’une escadre de torpilleurs escorteront les navires qui transporteront la 3ème division alpine. Celle-ci débarquera à Tirana et restaurera l’ordre dans la ville. La chute de la capitale albanaise devra alors entraîner la chute du pays.
L’opération « croissant » est lancée le 1er avril avec l’embarquement de la 3ème division alpine à Izmir. La flotte turque atteindra les rivages albanais 2 jours plus tard et le débarquement commencera.
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Le 5 avril au soir, la capitale sera sécurisée. Le même jour, l’ambassadeur turc à Rome est convoqué par Mussolini, chef de l’Etat italien qui lui fera savoir que l’Italie brise le pacte de non agression avec la Turquie ! Est-ce la guerre ? Heureusement non, la rapidité et la retenue des troupes turques débarquées font que l’Albanie se place immédiatement sous la protection de la Turquie, instaurant ainsi un protectorat turc sur l’Albanie.
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L’opération croissant est une réussite militaire complète ! L’Italie ne retrouve rien à redire et son bluff se dégonfle bien vite lorsque les navires turcs retournant en Turquie, passe au large de Tarente, la 3ème division alpine étant laissée à Tirana pour empêcher que de nouveaux troubles surgissent.
Pourtant l’opération a créé un certain émoi dans la population turque, celle-ci craignant un enlisement en Albanie et une guerre avec l’Italie. Les derniers raleurs seront convaincu par le défilé de la paix qui sera organisé le 6 juin 1937. (event défilé de la victoire, ouf ! :chicos: )
Ainsi l’opération croissant est elle une grande victoire pour la Turquie : elle aura su s’imposer pour protéger la population albanaise, elle aura réussi, en moins d’une semaine, à sécuriser l’Albanie et aura pu tenir tête au bluff italien !
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Le gouvernement de Dandyturk peut retourner à des taches moins contraignantes, se concentrant désormais sur l’amélioration de l’industrie turque. Celle-ci atteint les 24IC en juillet 1937. Cette industrie sera mise à profit pour compléter le corps blindé et moderniser le reste de l’armée.
Héhé les turcs reprennent pied dans les balkans.
C'est courageux de prendre la Turquie. Elle a peu d'IC et sa recherche n'est pas non plus terrible. Sinon, tu compte rejoindre les alliés et reprendre Vienne ou l'Axe pour annexer l'Egypte et l'Irak (gaffe au rouge ;) ) ?
Akmar Nibelung
02/12/2006, 17h23
Bonne chance mon bon :hello:
La position diplomatique n'est pas encore fixée, mais une alliance avec les soviets pour reprendre les balkans ne me déplairai pas... ;)
La suite !
La situation mondiale est confuse durant l’été 1937 : les japonais mènent une guerre contre la Chine et ses seigneurs de guerre, les nationalistes espagnoles obtiennent la victoire dans un pays ruiné.
La Turquie elle, ne perd pas son temps et assure sa sécurité en envoyant des espions en Bulgarie et en Grèce et en éliminant les espions italiens présents sur son territoire. Mais le reste de l’armée n’est pas en reste : le 23 juillet, des recherches débutent pour moderniser la flotte de bombardier. L’automne et le début de l’hiver sont calmes, débouchant, le 9 janvier 1938 sur l’intégration à l’armée turque de la première division blindée, baptisée du nom glorieux de Soliman !
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Toutefois, devant l’obsolescence grandissante des divisions d’infanterie, encore au standard 1918, le commandement décide d’interrompre la formation de la seconde division blindée pour se concentrer sur la modernisation de l’infanterie.
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Tandis que la petite Autriche, alliée d’hier, n’existe plus, absorbée par le gros Reich, la mise au niveau au standard 36 sera terminée en avril. La modernisation des escadres de bombardiers étant le prochain objectif.
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D’autre, part la formation de brigade d’ingénieurs, visant à renforcer en premier lieu les divisions blindées est lancée : les divisions blindées turques seront des divisions d’élite ou ne seront pas !
Le 9 juin, le pacte de non agression avec la Bulgarie arrive à son terme. Le gouvernement émet alors l’idée qu’il serait temps de débarrasser la Turquie de la menace que fait peser la Bulgarie sur Istanbul et le Bosphore.
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Des plans sont étudiés : les 17 divisions turques pourrait venir à bout de la quinzaine de divisions bulgares si certaines conditions sont respectées : la Turquie a besoin d’au moins 3 mois de préparation pour mobiliser et préparer ses troupes. Si l’attaque est lancée, elle devra être éclaire pour ne pas laisser le temps au bulgares de se retrancher dans les montagnes. Enfin, il faudra veiller aux réactions des autres puissances, notamment de l’Allemagne et de l’URSS, qui garantissent l’indépendance bulgare.
Ainsi, le 21 juin, l’ensemble des troupes turques reçoit l’ordre de marcher vers l’ouest, en prenant d’abord position autour du Bosphore pour ne pas éveiller les soupçons bulgares en attendant le renforcement de deux nouvelles divisions d’infanterie et la mobilisation complète des effectifs, puis en ce concentrant autour d’Istanbul. Pendant ce temps, nos espions sont mis à profit pour géner la Bulgarie en sabotant ses industries
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L’opération, baptisée « janissaire », consistera en un assaut massif de la province de Plovdiv de 12 divisions soutenus par une couverture de 6 divisions restant à Istanbul. L’escadre de bombardiers aura pour ordre d’harceler les troupes ennemies tandis que la chasse turque devra s’assurer de la supériorité aérienne au dessus d’Istanbul et du Bosphore. Une fois la province de Plovdiv prise, les troupes turques devront chercher à prendre Sofia, la capitale bulgare, le plus rapidement possible et à défaut, attaquer Varna puis Pleven pour dégager Istanbul. Une brigade de cavalerie restera à Tirana au cas ou les choses tournerait mal.
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Le début de l’opération "janissaire" est prévu pour le 10 novembre à 23h00 ! ( et oui, Dandyturk sait lire l'avenir et surtout les events ! :chicos: ) Si ces plans sont simples à executer, le commandement à émis des reserves quant à sa faisabilité : en effet, ce sera un combat dans des montagnes, tandis que s'abat l'hiver, et sans front de contournement alors même que la valeur actuelle de l'armée bulgare, qui avait battu l'armée impériale ottomane en 1913, est inconnue. Il faudra utiliser au mieux la superiorité numérique temporaire que permettra l'effet de surprise. :yeux:
(Quand à la suite, les enfants, elle n'est pas prévue tout de suite vu que j'ai pas mal de boulot qui m'attend en début de semaine prochaine...)
Merci pour vos encouragements ! J'espère mener ce projet à terme et pour cela, je vais avoir besoin de votre soutient et de vos conseils. Mais bon, j'ai pas mal de projets en tête pour la Turquie... :chicos:
GA_Thrawn
02/12/2006, 19h09
AAR sympa, je vais suivre ca
Fais renaitre l'empire ottoman si tu peux!
Au fait il se passe quoi le 10 novembre à 23h00 ?
von Aasen
02/12/2006, 19h19
Sympa l'AAR :)
Les vieux Prussiens qui ont soutenu l'empire ottoman pendant la 1ère guerre sont toujours réactivables si tu as besoin de conseils bourrins :mrgreen:
J'ai comme l'impression que Dandyturk va se faire tuer au combat dès le 1er jour. Je me demande qui pourrait bien le remplacer ? ;)
Kemal Ataturk, chef de l'Etat meure le 11 novembre entrainant un remaniement profond du gouvernement turc et de ses politiques : en gros il passe d'un paternaliste autocrate à une démocratie sociale : c'est beaucoup moins drole de faire la guerre quand on n'est pas une bonne veille dictature ! :chicos:
Pour les conseils, je sens que je vais en avoir besoin en effet, notament pour venir rapidement à bout des bulgares. J'ai bien tenté de demander le libre accès aux yougoslaves mais sans succès. Il va donc falloir donner un grand coup de pied dans ce crottin qu'est la Bulgarie et qui entrave les ambitions ottomanes ! :p:
Emp_Palpatine
03/12/2006, 08h23
Chouette!
Un AAR HoI2 qui soit pas en Fledgrau et pas allemand.
Ca nous change de VA! :mrgreen:
Bonne continuation Dandy.
Fierrann
03/12/2006, 11h56
Evite de t'enliser en bulgarie car certains pays pourraient ne pas apprecier ca :yeux:
:enerve: Tu ose nous dire que nous n'aurons pas la suite alors que tu te prépare a envahir la Bulgarie ! :enerve:
Allez, tous ensemble : :mad: On veut la suite ! On veut la suite ! On veut la suite ! :mad:
Une suite est prévue, elle viendra avec un peu de retard malheuresement...
La suite !
je vous préviens juste que j'ai légerment retouché la save pour faire sauter les garanties allemandes et soviétiques à l'indépendance bulgare : celle ci provoquaient en effet une réaction en chaine qui débouchait sur un gros bordel mondial, je pense que vous comprendrez ma décision. :hello:
Sur ce, bonne lecture ! :hello:
La météo se dégrade rapidement dans les premiers jours de novembre, de fortes pluies se déversent sur les provinces bulgares tandis que la neige s’abat déjà en Roumanie…L’hiver est là, il s’agit de ne pas tarder désormais !
L’attaque est lancée en avance pour profiter d’une accalmie : le 6 novembre 1938, 200 000 turcs s’élancent face aux bulgares.
http://img346.imageshack.us/img346/6325/dowso0.png (http://imageshack.us)
Les premiers contacts avec l’ennemi ont lieu à l’aube et très vite, l’écrasante supériorité turque alliée à l’effet de surprise provoque l’effondrement des 3 divisions bulgares qui veillaient à la frontière.
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Les bulgares en déroute, l’ensemble de l’armée entame une marche pour prendre position dans la province de Varna.
Le 11 novembre, drame, notre chef glorieux, Mustapha Kemal « Ataturk » est mort ! Si les premières suspicions se portent sur un assassinat des bulgares, notre chef succombera en fait à une crise cardiaque provoquée par le stress des opérations.
Cette nouvelle dramatique, qui provoque un remaniement de gouvernement, ne fera qu’accélérer nos hommes et le 12 novembre, notre armée a pris place autour de Varna.
Désormais, il n’y aura qu’un d’ordre : « direction l’ouest et à marche forcée ! », il faut arriver avant que les bulgares ne s’organisent et surtout avant les neiges qui s’abattent désormais sur l’ensemble de la Roumanie.
Le maréchal Cakmak, chef d’Etat Major, lance ses généraux Karabelir et Inonu à l’assaut de la province de Plovdiv dès le 13 novembre. Les troupes turques, enhardies par les premières victoires s’élancent et culbutent les deux divisions bulgares.
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Pourtant la bataille n’est pas encore gagnée : de nombreux renforts bulgares convergent vers la province ! Nos divisions doivent ainsi repousser les troupes ennemies qui affluent tout en poursuivant la conquête de la province. La tache est ardue mais le 18 novembre, une armée composée de 3 divisions alpines et 3 divisions d’infanterie est parvenue à prendre solidement pied dans Plovdiv, la victoire approche et les lumières de Sofia sont en vue ! Mais les bulgares peuvent contre-attaquer à tout moment et l’armée d’Istanbul n’arrivera que dans 2 semaines…
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Pourtant, les bulgares, extenués, ne tentent pas de contre attaques et le 30 novembre, 12 divisions sont prêtes à se lancer à l’assaut de Sofia, l’attaque est programmée pour début décembre, le temps pour nos divisions de respirer un peu. Mais mal nous en prends, ce répit nous coûtera cher puisque la neige s’abat sur Sofia dès le 2 décembre, rendant toute attaque beaucoup plus ardue ! Désormais, si nous ne prenons par rapidement Sofia, notre Etat Major craint un prolongement de la guerre jusqu’au printemps. Les soviétiques brisent leur pacte de non agression avec nous, cela peut annoncer une guerre mais de toute façon, nous sommes trop engagés en Bulgarie pour ésperer tenir un front face aux russes, nos diplomates vont devoir batailler dure pour éviter une intervention soviétique…
Le 9 décembre, une attaque est lancée : nos 12 divisions affrontent 3 divisions bulgares retranchées dans la ville et notamment sur le mont Vitocha qui surplombe la ville. L’attaque, qui connaît quelques réussites locales, est toutefois repoussée dans l’après midi avec de fortes pertes des deux côtés.
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Un nouvel assaut est lancé le 21 décembre contre la place forte de Sofia qui a reçue le renfort d’une quatrième division bulgare. Les combats sont rudes, on se bat dans la campagne glacée devant Sofia. Les bulgares parviennent péniblement à nous repousser et nos soldats abandonnent avec soulagement l’attaque lorsque le repli sur Plovdiv est décidé.
A ce rythme là, non seulement nous nous enfonçons dans une guerre longue et coûteuse, mais notre image en souffre, dans auprès de notre population que sur la scène internationale.
Les bulgares pour se dégager d’une situation très inconfortable pour eux aussi, tentent de réorganiser les troupes sous la forme d’une pince qui pourrait enfermer notre troupes parties à l’assaut de Sofia, deux armées bulgares sont repérées dans les provinces de Pleven et Gorna.
Toutefois, ce changement de stratégie peut nous permettre de l’emporter, en effet, pour former ces armées, l’Etat Major bulgare a décidé de dégarnir la ville de Sofia au risque de la perdre mais en pensant pouvoir couper notre armée en deux à Plovdiv.
Nous allons profiter de cette incrédulité bulgare en envoyant nos 3 divisions alpines prendre Sofia tandis que 9 divisions turques ne feront que supporter l’attaque et resteront à Plovdiv.
Le 13 janvier, l’attaque est lancée et immédiatement, les forces bulgares sont culbutées. Le lendemain, des forces turques ont percé et sont entrées dans Sofia ! La victoire est à nous !
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Le gouvernement bulgare fait des offres de paix en proposant de céder à la Turquie les provinces orientales mais ces propositions sont réfusées : la Bulgarie ne doit plus jamais menacer notre grand pays !
Le 26 janvier, un espion soviétique est capturé alors qu’il tentait de mettre en place un réseau : les soviétiques s’inquiètent de la nouvelle force turque et il faudra que nos diplomates interviennent une fois de plus pour calmer la crise.
Ce même jour, les 3 divisions alpines lancées à l’assaut de Sofia ont nettoyé les dernières poches de résistances bulgares dans la province, le gouvernement bulgare, réfugié à Vraca, nous demande l’armistice sachant que la guerre est perdue : la Bulgarie est coupée en deux par nos forces !
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Les termes de la paix sont simples, il sera mis en place un protectorat bulgare sous la protection de l’Etat Turc sur le modèle albanais. La paix est signée le 26 janvier 1939 en fin d’après midi dans une ferme bulgare. Nos forces auront montré leur courage pendant ces 3 mois de guerre en plein hiver face à une armée de qualité retranchée dans les montagnes.
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Un grand défilé de la victoire, en l’honneur de Mustapha Kemal Ataturk est organisé ! Pendant ce temps, l’Etat Major, en organisant la nouvelle répartition des troupes dans l’Empire Turc, fomente déjà d’autre projets…
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:hello:
Bon je vais avoir de conseils bourrins : est ce que je bourrine dans les balkans (grèce et yougo) ou bien est ce que je me calme et je tourne mes regards vers l'est ?
charge au nord ... roumanie ... hongrie et si t'es assez rapide (mdr) tchequoslovaquie ... apres tu t'allies aux russe et tu prends la yougoslavie
en vrai tu te feras sauté dessus quand t'en sera à la roumanie ...
la yougoslavie te donnera une guerre contrel l'allemagne et la grèce l'angleterre ... a mon avis ^^
A mon avis tu devrais prendre la grèce, puis attendre voir comment la situation évolue. Le mieux a mon avis serait de rentrer dans l'axe, pour avoir sa part de yougo, et espérer prendre l'égypte et l'irak avant Barbarossa. ;)
En même temps, je ne fais pas un AAR bourrin en espérant recréer le défunt empire ottoman en quelques années. J'ai quelques idées, un peu folles et osées mais qui peuvent être amusantes....
Malheuresement, la suite des aventures de la Turquie ne viendra que début janvier, les précieux fichiers étant restés à Paris.
La suite !
Après la magnifique mais dure victoire sur la perfide Bulgarie, l’Etat Major réorganise l’armée tant pour pacifier les provinces conquises que pour former un rideau défensif à l’est du pays. Ainsi, 7 divisions sont stationnées en Bulgarie tandis que 9 divisions sont envoyées à l’est face à l’URSS, la Perse et la Syrie. C’est bien peu et aussi courageuses que soient les troupes turques, elles ne pourront pas stopper une invasion du pays de la part de l’URSS.
En revanche, la Syrie et le Liban, deux anciennes possessions ottomanes qui sont désormais de honteux protectorats français, restent à la merci des forces turques. L’Etat Major réfléchit sur un coup de force qui permettrait de prendre le contrôle de la région grâce à une action rapide des forces blindées…
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Mais l’heure est à la paix et il se trame d’avantage de choses sur le plan intérieur : le 24 avril, le Parti Communiste Turc est interdit. Ces traîtres marxistes s’étaient vivement opposés à la guerre contre la Bulgarie et sont désormais soupçonnés de servir l’URSS. Les relations avec cette dernière sont tendues : si officiellement le dialogue reste cordiale (+75) et que les deux pays entretiennent encore de fructueux échanges commerciaux, les envois d’espions se multiplient et des forces soviétiques sont repérées en manœuvre dans le Caucase…
Le 6 août 1939, nos chercheurs en armement se lancent sur un ambitieux projet : la conception d’un char moyen de 20 tonnes équipé d’un canon de 50mm. Le char allemand PzKpfw III est pris comme modèle et les recherches devront aboutir avant la fin de l’année.
http://www.achtungpanzer.com/images/pz3af.jpg Le premier prototype du char moyen turc de 20T pendant les essais dans les étendues brulantes d'Anatolie.
Pendant ce temps, la formation de notre deuxième division blindée se termine et le 26 août, la 2ème TKZ rejoint les forces armées turques baptisé du glorieux nom de notre ancien président : « Ataturk » sous les ordres du général Koldecan
Le 1er septembre 1939, à la surprise des gouvernants turcs, l’Allemagne agresse la Pologne tandis que la France et la Grande Bretagne apporte leur soutient à cette dernière. C’est la guerre en Europe !
Très vite, la Pologne tombe sous les assauts des chars allemands ce qui nous conforte dans le choix d’une doctrine de forces blindées : nous équipons ainsi la 2ème TKZ d’une brigade d’ingénieurs le 3 octobre : c’est une nouvelle division d’élite avec laquelle nos adversaires devront compter !
Alors même que la Pologne a déjà disparu, partagée entre l’Allemagne et l’URSS, cette dernière lance une attaque sur la petite Finlande. Le monde serait donc devenu fou ? Quoi qu’il en soit, ce regain de puissance soviétique ne peut que nous inquiéter et c’est pour cette raison que le 9 janvier, la formations de plusieurs escadrilles d’intercepteurs est décidée et nos divisions de montagne sont améliorées au standard 1939 : nous ne laisserons pas les russes s’en prendre à notre pays !
Nous observons aussi attentivement l’évolution de la Grèce : 4 espions surveillent les agissements grecs. Si les grecs masquent toute agressivité, il semble en revanche qu’ils soient à l’origine de soulèvements dans la province albanaise de Vlore près la frontière grecque.
Le printemps est calme en Europe jusqu’à ce que le 3 mai, l’Allemagne passe à l’attaque sur le front ouest en envoyant ses panzers face à la France ! Cette dernière, qui mènera une lutte courageuse et lancera plusieurs contre attaques victorieuses, ne pourra empêcher la prise de Paris 6 semaines plus tard. La France, grand vainqueur de 1918, est tombée face aux chars allemands…
Mais nous avons le regard ailleurs que sur Paris, en effet, la chute de la France à provoqué un retournement de situation au proche orient : la Syrie et le Liban, s’ils restent liés à la France, ne font plus partis des alliés. Une opération militaire pour libérer ces territoires est décidée pour l’automne sous le nom d’Opération Scorpion !
Pour mener à bien cette opération, nous utiliserons nos deux divisions blindées ainsi que 5 divisions d’infanterie. Cette force sera couverte par deux escadrilles d’intercepteurs et pourra compter sur le soutient d’un escadron de bombardement.
L’opération Scorpion est prévue pour fin octobre - début novembre selon la météo et la disponibilité de nos troupes…
http://img412.imageshack.us/img412/2286/scorpionqe4.gif (http://imageshack.us)
Ah, au fait, DandyTurk demande la meilleure stratégie possible car la Syrie et le Liban possèdent plusieurs divisions de bon niveau (français 1939, croyez moi, faut se les farcir quand même :enerve: ).
Celui qui donnera la meilleure stratégie gagnera une place dans l'AAR sous la forme du Chef d'Etat Major des forces turques pendant l'opération scorpion ! :clap: (Bah quoi, vous vous attendiez à un bisou ou un carambar ? :yeux: )
Il nous faudrait au moins un plan avec l'état des forces énemis et des tienne, sinon ca va être dur de t'aider ! ;)
Voila pour les infos plus précises :
La Turquie dispose de 2 divisions blindées "Early Tank" avec chacune une brigade d'ingénieurs, 4 divisions d'Infanterie 1939 dont une avec une brigade AA et une autre avec une brigade d'ingenieurs et 1 division de cavalerie.
Chaque division blindée dispose d'un lieutenant-général "offensif" de skill 1, les divisions d'infanterie sont sous le commandement du Général Ionu (skill 2, offensif) et je peux disposer de quelques autres généraux aux traits moins interressants (quelques skill 2 défensif, un commando...)
Ces divisions sont prètes à attaquer et pourront compter sur le soutient de deux escadrilles d'intercepteurs (on ne sait jamais...) et un escadron de bombardement tactique.
La force d'attaque pourra éventuelement compter sur un renfort de deux divisions d'Infanterie dans un délai de 1 mois.
Concernant les ennemis, les informations sont maigres :
Pour la Syrie, la carte indique au moins une divisions de milice à Dar ar Zawr, tandis que mon unique espion en Syrie rapporte 4 divisions d'infanterie. Pas d'aviation.
Pour le Liban, aucune informations mais il faudra surement compter sur une ou deux divisions d'infanterie.
Pour les deux pays, les divisions sont au niveau technologique de la France en 1939 donc plutot coriaces...
Voila la carte des opérations :
http://img413.imageshack.us/img413/2262/screensave37ub5.png (http://imageshack.us)
Concernant la tactique, j'avais pensé à lancer mes deux divisions blindées vers Beyrouth, l'une longeant la cote, l'autre passant par Dar ar Zawr et Hims pour se rejoindre à Tripoli et lancer l'assaut sur Beyrouth pour en finir rapidement avec le Liban. Pendant ce temps,deux divisions d'infanterie longent la cote et prennent place à Tripoli pour attaque Damas tandis que les trois autres divisions (2 DI + 1 DC) attaquent Dar ar Zwar (donc si vous avez suivi, c'est un assaut combiné avec la seconde division blindée) et y prennent place pour attaquer Damas.
Voila ce que ca donnerai, les timings étant prévus pour que chaque assaut avec plusieurs unités soient coordonnées. Avec un peu de chance, l'ennemi se pourra même se laisser enfermer dans Hims puisque je prévoi de tenir Aleppo (Alep ?) avec une ou deux DI amenée en renfort.
http://img187.imageshack.us/img187/144/oprationscorpionlz8.png (http://imageshack.us)
Edit : j'ai oublié la légende : en rouge, les divisions blindées, en bleu, les divisions d'infanterie, en vert, la division de cavalerie. Chaque trait représente le parcours d'une division.
Hum....:chicos:
Permet-moi de te dire que ton plan n'est pas optimal, ta DB à l'est risque de tomber sur un os à Hims et une DB pour passer une rivière c'est pas le top, meme avec du génie. De plus si mes souvenirs sont bons, elle est a 40 d'infra. Le corps de cavalerie est bien loin du front aussi, perdu dans ses montagnes...:?:
Bref on est très loin de la sacro-sainte "concentration des forces".
Moi si j'étais toi, je laisserais 2 DI à Batman ( celle AA + une normale ) et aucune à Vans. A Gaziantep j'aurrais donc un corps blindé avec les 2 DB, un de cavalerie avec la DC et la DI genie, et enfin une DI normale toute seule ( general doctrine def ). On bourrine Aleppo avec ce beau monde, puis Tripoli ( au passage on laisse la DI seule à Aleppo ), puis Beirut en laissant la cav à Tripoli. Reste plus qu'a attaquer avec les 2 DB et le corps de cav sur Damas. Ca devrait etre suffisant.
ps : et tenter avec les 2 DI de Batman de vaincre la garnison et donc la détruire, 2vs1 en plaine ca passe.
Bel tactique en effet ! Le seul problème que je peux émettre c'est que les forces syriennes ne doivent pas être sous estimées et j'ai tout fait pour avoir batailles en ayant l'avantage de la multiplicité des fronts et éviter un assaut final couteux sur Damas mais aussi j'ai tenter d'éviter de laisser des lignes de ravitaillement à la merci d'une contre attaque syrienne. Mais soit, je vais étudier cette possibilité sérieusement car c'est vrai que cette DB qui traverse la province d'Hims risque de poser problème...
Sinon, j'ai retouché les images pour les mettres à un plus grand format pour permettre un lecture plus confortable, c'est ok pour les petites connections ? :hello:
Moi j'aurais plutot vus :
1 ère étape :
2 divisions d'inf (a) + 1 cav --> Dair az zawr
2 inf (b) + 2 blindé --> Aleppo
2ème étape :
1 cav --> Hims
2 inf (a) + 2 blindé --> damas
2 inf (b) --> Beyrouth
L'ia en génerale concentre ses troupes sur la capitale quand elle a un petit pays, donc les plus violent combat risquent d'arriver là. Et avec ce plan tes blindé perceront trés rapidement vers Tripoli, et de là tu a beaucoup d'opportunitée a saisir : damas, beyrouth, un encerclement a hims..
Suivant où seront les div énemis surtout.
Autre avantage ton front avancera rapidement d'un seul bloc pour poser la ligne de front au milieu de chez l'enemis.
Sinon je rejoins comé, groupe ton armée qui attaque sur dair az zaw dans une seule province, dés fois on a la facheuse surprise de voir que les temps d'arrivés sont trés différent.
Et met les corp d'ingénieur en priorité sur les divisions qui auront a franchir le Tigre.
Voila, a mon avis ça devrait quand même être rapidement plié ;)
En effet, je vais retoucher le plan en m'inspirant de vos deux stratégies. Le plan restera secret jusqu'au déroulement des opérations !
L’Opération Scorpion révisée par les généraux Riwan et Leaz, nommés au Quartier Général Ottoman est prévue pour le 20 octobre à l’aube. Elle consistera en deux attaques : une le long de la côte méditerranéenne et l’autre à travers les déserts de Syrie à l’est.
Le premier front comportera les deux divisions blindées ainsi que deux divisions d’infanterie qui attaqueront Alep à partir de Gaziantep. Elles poursuivront ensuite leur attaque vers Tripoli pour ensuite se séparer en deux attaques : une vers Damas, l’autre vers Beyrouth.
Le second front, plus aléatoire, consistera en une attaque de Dair az Zwar par 2 divisions d’infanterie et une division montée. La cavalerie poursuivera eventuelement vers Hims sauf si l'opposition sur ce front est trop forte.
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Le 20, alors que le jour se lève, le Quartier Général Ottoman donne son feu vert à l’Opération Scorpion ! A l’est, la faible garnison syrienne qui veillait à la frontière est rapidement vaincue tandis qu’a l’ouest, nos troupes avancent et occupent Alep sans rencontrer de résistance. Elles poursuivent leur route et atteignent la frontière du Liban le 25 octobre où une brève escarmouche avec les gardes frontière à lieu. Ceux-ci seront vite vaincus, terrifiés par le tempête de sable et de poussière qui venant du nord, a tout emporté sur son passage. Nos troupes avancent en longues colonnes vers Tripoli, les blindés soulevant des nuages de sables à avançant à toute vitesse sur les routes de Phénicie. L’infanterie suit plus doucement, nettoyant les quelques poches de résistance et mettant en place une administration turque.
Le 29, le corps de l’ouest rencontre une ligne de défense libanaise hâtivement édifiée devant Tripoli : 30 000 miliciens commandées par le général Lahoud attendent nos forces. Nos blindés s’élancent et écrasent les barbelés et les nids de résistances tandis que notre infanterie suit et sécurise le terrain. Le corps d’armée turc passe, culbutant les libanais et atteint Tripoli le lendemain. Dès lors, le corps va se diviser : les deux divisions blindées tournent à gauche et prennent la route de Damas tandis que les deux divisions d’infanterie ont pour ordre de poursuivre sur Beyrouth en profitant de la confusion libanaise.
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A l’est, la marche vers Dair az Zwar est plus difficile, comme prévue : la Syrie a vite réagie et a envoyé la Garde Syrienne ainsi que 15 000 miliciens pour arrêter nos forces. Ce sera malheureusement chose faite : la détermination syrienne à protéger Damas leur a permis de stopper net notre avance.
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Pourtant, si nos forces sont arrêtées, elles ne sont pas en déroute et la Syrie n’a pas les moyens de contre attaquer. Dès lors, le Quartier Général décide de harceler ce front pour y fixer les troupes syriennes et ainsi faciliter le contournement de Damas par nos divisions blindées au sud.
Ce plan fonctionne puisque nos deux divisions ne rencontrent qu’une ligne de défense composée de 10 000 miliciens recrutés à la hâte, bloquant la route Tripoli-Damas. Les tentatives de la Syrie de transférer une partie des forces du front de Dair az Zwar vers Damas échouent grâce à notre harcèlement au nord. Le 4 novembre, après quelques heures de combat, les miliciens sont écrasés et nos divisions blindées avancent vers Damas. Si elles ne rencontrent pas d’opposition, Damas sera prise dans quelques jours !
Le 6 novembre, pour donner à ce plan le maximum de chances, nos deux divisions d’infanterie à Tripoli, se préparant pour l’attaque de Beyrouth, voient leur attaque reportée et ont désormais la mission de soutenir l’avance de nos blindés vers Damas.
Le 7 novembre, une nouvelle attaque de Dair az Zwar par nos forces aux nords dans le cadre de notre opération de harcèlement provoque l’effondrement du front syrien. Nos divisions reçoivent l’ordre de marcher sur la province pour atteindre Damas par le nord.
Ces réussites conduisent le QG à remanier ses plans une fois de plus : alors qu’il y quelques jours, l’attaque sur Damas paraissait ambitieuse, la prise de la ville est désormais une question d’heures et il est inutile de concentrer tant de forces pour prendre une ville désertée alors que les libanais se retranchent dans Beyrouth. La division blindée « Ataturk » reçoit donc l’ordre de rebrousser chemin et de revenir à Tripoli pour prendre position face à Beyrouth. Les deux divisions d’infanterie postées à Tripoli et qui soutenaient l’attaque vers Damas reçoivent également l’ordre de reprendre les préparatifs d’attaque vers Beyrouth. L’assaut sur le port libanais est prévu pour le 11 novembre.
La division blindée « Soliman » atteint les faubourgs de Damas dans la soirée du 10 novembre et c’est dans la nuit, dans une ville ouverte mais sombre, que les tankistes turcs arrivent à la grande mosquée des Omeyyades. Quelques escarmouches sans conséquences éclatent dans la nuit avec de fuyards syriens mais la ville est pacifiée au matin.
Le sort de la Syrie semble scellé. Pourtant, une dernière tentative désespérée va prolonger la guerre de quelques jours : à Dair az Zwar, alors que le front syrien semblait définitivement effondré, plusieurs milliers de miliciens parviennent à se rallier dans la ville et tienne tête aux forces turques qui convergent vers la ville. Les pertes sont lourdes mais les turcs doivent rebrousser chemin. Si cette défaite est amère, elle sera sans conséquences puisqu’au sud, la division d'élite Soliman prépare déjà l’assaut de Dair az Zwar à partir de Damas sous le commandement du Général Leaz.
Une dernière attaque sera lancée contre cette ville et les derniers miliciens se rendront aux forces turques même si la ville se sera pas libérée avant la fin de la guerre mais remise aux turcs avec la paix. Ces miliciens syriens, courageux comme des lions, pourront bénéficier d'une amnistie et pourront s'engager dans une légion syrienne au sein de l'armée ottomane.
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Toutefois la guerre n’est pas finie ! En effet, l’assaut sur Beyrouth, dernier acte de la guerre va être lancé ! L’attaque sera menée par le Général Riwan qui aura à sa disposition la division blindée d’élite « Ataturk » ainsi que deux divisions d’infanterie. Les libanais sont parvenus à rassembler une division d’infanterie ainsi que plusieurs dizaines de milliers de miliciens. La bataille durera deux jours et finalement, les libanais vaincu, nos forces entreront dans Beyrouth le 19 novembre.
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Les termes de la paix sont simples : le Liban et la Syrie sont intégrés dans l’Empire Ottoman en tant que provinces. Les soldats prisonniers auront le choix entre intégrer une division ottomane ou demeurer en captivité. Le 20 novembre, l’Empire Ottoman a repris pied de plein droit en Syrie et au Liban.
Pourtant, si la guerre, qui a duré moins d’un mois, a été menée avec brio grâce au concours talentueux des généraux Riwan et Leaz, le pays doit désormais revenir à des ambitions plus pacifiques.
Les projets d’avenir prévoient notamment la formation d’une aviation de guerre performante ainsi que l’augmentation en nombre et en qualité de notre armée. Le gouvernement turc envisage même le lancement de sous marins mais attends d’abord un rapport de stratèges qualifiés avant de prendre une décision… :hello:
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L'Empire Ottoman à la fin de l'année 1939. Il a réussi a reprendre une partie de ses anciens territoires mais il aspire désormais à une existence plus calme, sauf si l'ogre soviétique ou les grecs le provoquent...
Voila la suite ! Peu de screens car peu d’action, néanmoins, vous allez voire que la paix n’est pas une période de relaxation !
Après notre victoire contre la Syrie et le Liban qui ont enfin réintégré l’Empire, nous devons procéder à une vaste réorganisation de notre armée pour faire face aux nombreux dangers qui menacent notre pays. Nous n’avons que 20 divisions, certes avec de nombreuses brigades et une solide expérience, pour faire face à l’ogre soviétique à l’est, aux perfides alliés au sud et aux monstres fascistes à l’ouest. Sur le plan intérieur, des rébellions guettent dans nos provinces les plus excentrées. Les 20 divisions vont être divisées en trois armées principales ainsi qu’en un corps secondaire.
La Première Armée, composée de 7 divisions d’infanterie, fera face aux soviétiques.
La Deuxième Armée, qui compte 6 divisions, sera positionnée en Bulgarie et à Istanbul pour garder l’Ouest. La division qui garde Tirana en Albanie, restera indépendante de toute armée.
La Troisième Armée, composée de 3 divisions, prends place en Syrie pour assurer la présence turque dans cette province.
En plus de ces trois armées, un Corps Blindé d’Intervention Rapide (CBIR, surnommé « Sbire ») est positionné à Ankara. Il rassemble nos deux divisions blindées ainsi qu’une division montée.
Si cela nous permet d’avoir une présence sur chaque frontière, la taille de notre armée est loin de garantir l’intégrité de l’Empire. Il va falloir l’augmenter, notamment en faisant passer nos deux premières armées à 9 divisions, notre troisième armée à 6 divisions ainsi qu’en modernisant nos chars. D’autre part, la formation de 6 brigades de police est lancée, dans le but de pacifier les territoires récemment réincorporés dans l’Empire.
L’industrie turque se porte plutôt bien même si elle reste modeste (31PP). Néanmoins, une planification rigoureuse nous devrait nous permettre d’atteindre nos objectifs avant l’été 1942.
La recherche se poursuit également et le 24 décembre, alors que le monde ouvre ses cadeaux, l’Etat Major Ottoman reçoit aussi son petit cadeau : le prototype de char moyen est prêt à être produit ! Nous profitons de cette joyeuse nouvelle pour lancer la recherche sur les bombardiers navals : si nous n’ambitionnons pas d’avoir une flotte de grande puissance, nous dominerons les mers par les airs !
L’hiver se déroule tranquillement, les ressources étant utilisées surtout pour moderniser la Turquie et augmenter les biens pour nos concitoyens, ce qui a pour effet de faire disparaître les grèves, manifestations et autres choses désagréables qui suivent une guerre.
Le 2 mars, l’Axe, qui comporte désormais l’Allemagne, l’Italie, la Hongrie et la Roumanie, attaque la Yougoslavie. Si cette dernière ne pouvait résister longtemps face à une telle coalition l’entourant, elle mènera une lutte courageuse et ne se résignera à signer l’armistice que le 15 mai. Le lendemain, l’Axe, qui avait amené ses forces face à la frontière grecque, attaque notre plus veille ennemi. Le gouvernement ne sait quelle position prendre : il est sure que si nous attaquons à notre tour la Grèce, nous pourrons prendre possession d’une grande partie du territoire grec. Mais cela nous forcera également à intégrer l’Axe et donc à mener la guerre contre les alliés. Il faudra dès lors prévoir un second front en Palestine face aux britanniques, un troisième front face à l’Iraq et enfin, connaissant l’hostilité entre l’Allemagne et l’URSS, une guerre à l’est face aux soviétiques n’est pas exclue. Consulté, le Quartier Général affirme que l’armée turque n’est pas en mesure de mener une guerre sur 4 fronts. Pas même une guerre défensive. Nous allons donc rester neutre en en paix et nous verrons tristement la Grèce, territoire que nous convoitions depuis longtemps, tomber aux mains des fascistes sans que nous puissions faire quelque chose. Elle sera achevée le 10 juin avec la reddition des dernières garnisons grecques dans les îles de la Mer Egée.
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Notre seule consolation est la modernisation d’une de nos divisions blindées : la TZK « Soliman » sera composée à partir du 9 juillet, de nos modernes chars moyens. L’amélioration de notre seconde division blindée est poursuivie tandis que 6 divisions d’infanterie sont en formation.
Le 9 août 1941, confirmant nos présages, l’Axe attaque l’URSS. Si cette opération, lancée tardivement dans l’année risque de pénaliser l’Axe, nul doute que la guerre s’étale désormais à un niveau mondial. La Turquie va en profiter pour réaliser ses ambitions de retrouver son Empire et sa gloire passée…
Tu t'en sors bien mieux que je ne l'aurais fais, tu est patiens et ça paye :)
En tout cas continue comme ça, et laisse tomber le domaine navale avec 31pp même les sous marins deviennent trop cher :p:
Par contre l'aviation est la clé, aussi utile sur terre que sur mer..
Très vite, les choses serieuses vont commencer. Sans vous dévoiler la suite, je vous préviens juste qu'après les préparatifs menés depuis quelques années, la vrai baston va pouvoir bientôt démarrer.
Allez, un ptit indice : la Turquie va prendre sa revanche sur l'histoire en tentant de prendre Vienne...
La suite viendra sans doute demain ou jeudi... :hello:
Pendant que le monde se déchire dans la guerre, la Turquie reste en paix et prépare ses forces. Nous avons deux ans pour améliorer notre armée et notre aviation et permettre ainsi de mener une guerre de mouvement contre un front ennemi tenu par une grande puissance.
L’amélioration de l’armée va d’abord passer par la recherche : nos généraux mettent au point de nouvelles doctrines de combat, améliorent nos équipements, imaginent de nouveaux modèles.
Mais nous allons également gagner en nombre : deux nouvelles escadrilles d’intercepteurs sont mises en production. Concernant l’armée de terre, nous hésitons entre des divisions d’infanterie, des divisions de montagnes ou bien des divisions blindées. Le choix est cruel mais se portera finalement sur compromis entre des divisions d’infanterie « classiques » et des divisions de montagne.
Ainsi, à l’été 1943, l’armée turque se compose de 36 divisions, dont 24 divisions d’infanterie, 3 divisions de cavalerie, 2 divisions blindées et 7 divisions de montagne. Notre armée de l’air comprend 4 escadrons d’intercepteurs et 1 escadron de bombardement tactique.
Nous sommes prêts à entrer en guerre ! Nos divisions sont déployées en Bulgarie et en Albanie, face aux forces de l’axe. Seul un rideau défensif est laissé face aux soviétiques et un corps de cavalerie reste en Syrie et au Liban pour parer à toute révolte.
Le plan, camouflé par des manœuvres en Bulgarie, sera déclenché début août. Il devra être simple et efficace : nous ne pouvons nous permettre de revers dans la première phase du plan !
Ainsi, nos divisions placées en Albanie et à Sofia attaqueront et prendront Pristina, isolant ainsi la Grèce du reste des territoires contrôlés par l’Axe. Ensuite, tandis que nos divisions mettront en place un rideau défensif sur une ligne Tirana-Varna passant par Sofia et Pristina, nous prendront la Grèce aux troupes de l’Axe isolées. Ce sera la première phase du plan.
La seconde phase prévoit la prise des îles de la mer Egée ainsi que le redéploiement des troupes la ligne de défense Tirana-Varna pour faire face à la Wehrmacht.
Au dernier moment, un jeune général brillant fait remarquer à Dandyturk qu’une attaque de blindée sur Bucarest et Ploesti est envisageable. Les effectifs roumains sont en effet engagés au nord, face aux soviétiques et seul un fin rideau protège la frontière sud. Dandyturk accepte : nos deux divisions blindées auront pour tache de prendre Bucarest et de forcer la Roumanie à la capitulation tandis qu’une diversion sera lancée sur Constanta !
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L’attaque est lancée le 2 aout au matin ! Nos divisions prennent Pristina rapidement, isolant ainsi les divisions de l’Axe stationnées en Grèce.
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Mais au sud, ces dernières vont au départ, opposer une résistance farouche sur la ligne Metaxas. Seul un surnombre ainsi qu’une intervention de l’aviation nous permettra de percer cette ligne.
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Les divisions de l’Axe, majoritairement roumaines et hongroises sans renforts et ravitaillements vont vite s’épuiser dans les combats et reculer jusqu'à Athènes puis jusqu'à Patras dans l’espoir que la Regia Marina puisse les rembarquer. Mais les bateaux italiens n’arriveront jamais et ce seront prêt de 70 000 hommes qui se rendront au général Inonu. La conquête de la Grèce est réussie ! Les divisions composant l’armée ayant pris la Grèce sont envoyées au nord, conformément au plan.
Au nord, notre attaque sur Bucarest est extrêmement risquée : nos deux divisions blindées vont s’enfoncer au cœur du territoire roumain à pleine vitesse, sans soutien possible. Cette opération, baptisé « Vipère » est déclenchée dès le début des hostilités. Nos 600 chars s’élancent vers Bucarest, bouscule la division protégeant la capitale et prennent la ville, qui n’a pas rien vu venir ! La première division blindée continue vers Ploesti tandis que la seconde occupe et sécurise Bucarest. Les champs de pétroles de Ploesti sont investis quelques jours plus tard. Nos hommes y mettent le feu. Privés de tête et de sang, les roumains capitulent : le pays s’effondre : une partie des divisions roumaines continue le combat avec l’Allemagne tandis que d’autre sont dissoutes. L’opération Vipère est une nouvelle réussite et a provoqué la chute de la Roumanie !
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La première phase du plan est donc complètement réussie. Vient maintenant la seconde phase, qui suppose d’arrêter la contre-attaque que la Wehrmacht ne manquera pas de lancer dans les Balkans !
Conforemément au plan, nos divisions vont ainsi former un rideau défensif, s’appuyant sur le nœud de Sofia. Les allemands vont ramener les troupes petit à petit mais finiront par accumuler deux armées entières comprenant près de 5 divisions blindées ! Ils agiront méthodiquement, commençant par reprendre la Roumanie puis se plaçant face aux forces turques. Nous conservons la supériorité aérienne mais les combats s’annoncent dures !
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En effet, l’allemand passe vite à l’attaque : il choisit Pristina, défendu par un corps d’infanterie turque. Les teutons se ruent à l’attaque : les combats font rage, les SS fanatisés montent à l’assaut, sont fauchés par les soldats turcs terrorisés mais courageux, les panzers avancent en ronflant et écrasent nos tranchées. Dans le ciel, nos quelques bombardiers plongent tandis que nos intercepteurs patrouillent. Les allemands ne passeront pas ! Des attaques sont lancées sur les arrières allemands via Sofia et Tirana. Les allemands sont stoppés !
Mais nous avons souffert et les allemands parviennent à remettre une seconde attaque quelques jours plus tard. De nouveau, les combats éclatent. Cette fois, nous ne pouvons les arrêter et les panzers percent et poursuivent leur route vers Skopje et Vlore, sans opposition. Nos divisions à Tirana sont isolées, il faut absolument qu’elles s’échappent de ce guêpier. Notre veille marine est mise à contribution, elle devra tenter de rembarquer ces divisions. Mais la Regia Marina veille au large de la Grèce et nos navires ne pourront atteindre l’adriatique. Dès lors, ces divisions sont condamnées. Malgré des contre-attaques lancées nous ne pourrons les sauver…
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Ce dur revers, qui nous enlèvera 4 divisions dont 2 divisions alpines, sera pour nous le signe qu’on ne rigole pas avec la Wehrmacht et que nous devons abandonner la Grèce, une nouvelle fois et nous replier en Bulgarie. Nous pourrions reprendre l’offensive, mais seulement temporairement et localement ce qui épuiserai nos troupes et nous fera courir le risque d’un effondrement complet qui signiferai la fin de nos ambitions…
L’ensemble des divisions reçoit l’ordre de tenir la Bulgarie. Mais une certaine précipitation dans l’exécution qui s’explique par la peur d’être encerclé fera que la place de Sofia sera temporairement dégarnie, ce qui suffira aux troupes de l’Axe pour s’en emparer.
Nous n’avons donc plus qu’un seul choix : nous replier autour d’Istanbul et tenir. Ce donc trois armées qui sont constituées dans les provinces de Varna, Plovdiv et Kavala et qui devront tenir ce front.
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Attendre oui mais attendre quoi ? Les rouges bien sur ! Les soviétiques ont grandement profité de l’effondrement roumain et l’ouverture d’un nouveau front qui a absorbé de nombreuses divisions de l’Axe, sans compter l’armée anéantie en Grèce. Nos espions nous confirment d’ailleurs que les allemands n’alignent pas plus de 150 divisions et les soviétiques sont aux portes de Varsovie et ont atteint l’ancienne frontière roumaine au nord.
Nous allons donc attendre, puis de nouveau surgir pour ne jamais retomber, Dandyturk a parlé !
Bon voilà où j'en suis. Je ne sais pas trop quoi faire : je peux percer les lignes allemandes mais je ne peux pas vraiment tenir mes conquètes. J'ai perdu ma flotte face à la Regia Marina et je ne peux pas débarquer en Grèce.
Je pense que pour éviter d'attendre que le russe fasse tout le boulôt, je vais produire quelques escadrons de bombardiers tactiques supplémentaire pour pouvoir exploser mes assiégeants et bouriner ensuite dans les balkans pour en prendre le max avant la fin de la guerre... :chicos:
Vous auriez d'autres techniques ? :hello:
Nos armées positionnées autour d'Istanbul sont restées là, à attendre que la situation se déploque. Elles recevaient chaque mois de nouvelles divisions mobilisées. Nos avions avaient la maitrise du ciel bulgare.
Mais si nous étions pret à bondir dès que l'hallali sur l'Axe serait sonné, tout le monde n'avait pas cette idée :
-les russes avancent doucement mais surement : ils sont arrivé sur la vistule au printemps 44 et continue à avancer.
-l'Axe recule mais en bon ordre : il vérrouille encore solidement la Bulgarie, l'Italie tient solidement l'Algérie tandis que le mur de l'Atlantique n'a pas été franchi.
-quand aux alliés, ils font une prestation pitoyable : les anglais n'arrivent pas à s'imposer en Afrique du Nord et sont au coude à coude avec les japonais en Inde. Quand aux américains....une image parle d'elle même :
http://img241.imageshack.us/img241/8822/screensave675et.png (http://imageshack.us)
:enerve: L'IA est décente dans HoI, sauf concernant les ricains...
Donc voila, je crois que je vais malheuresement arréter l'AAR ici puisque qu'il ne se passera rien d'autre que la prise de quelques territoires balkaniques avant que la marée rouge ne recouvre l'Europe. Si par hasard la guerre froide éclaitait, elle aurait très peu d'interet puisqu'entouré par les soviétiques, je me ferai hacher en quelques mois...
Quelques screens finals :
L'Europe et l'Afrique du Nord :
http://img404.imageshack.us/img404/9972/screensave682uq.png (http://imageshack.us)
L'Asie :
http://img404.imageshack.us/img404/7992/screensave693bs.png (http://imageshack.us)
Voila, j'ai voulu montrer qu'il était possible de s'amuser un peu avec la Turquie. D'autre pistes auraient pu être suivie comme rejoindre l'axe et tenter d'atteindre Suez. Ou bien tenter des aventures à l'est...
Mais, toutes les bonnes choses ont une fin. Je vais bientôt repasser sur la série des EU (même si je n'abandonnerai pas pour autant Hoi).
http://img404.imageshack.us/img404/157/sultans5ns.jpg (http://imageshack.us)
:hello:
C'était sympa quand même, merci pour l'AAR :hello:
jagermeister
25/01/2007, 22h09
Très joli le building de 197 étages. :lol:
Tu as fait de ton mieux Dandy et c'était pas mal du tout. :ok:
Merci à vous deux, j'ai essayé de faire ce que je pouvais et je ne suis pas trop mécontent du résultat. Il y a tout de même quelques petits trucs que je n'aurai pas fait ou que j'aurai du faire.
GA_Thrawn
26/01/2007, 10h01
Sympa l'AAR :)
C'est honteux quand meme cette pile énorme qui ne bouge pas...:enerve:
Sympa l'AAR :)
C'est honteux quand meme cette pile énorme qui ne bouge pas...:enerve:
Merci
C'est vrai que les Etats Unis le font souvent ce coup là. Dans beaucoup de parties, si ce n'est toutes, ils accumulent les divisions sur la côte est et en envoi de temps en temps quelques unes pour tenter un débarquement. Je crois bien que je n'ai jamais vu un débarquement réussi qui donne suite à une libération de l'europe de l'ouest !
Mais bon, apparament, paradox a revu son IA et l'a "hardcodée" (d'ailleurs ca veut dire quoi ?). EU3 a plutot une bonne IA militaire et si un jour un HOI3 voit le jour, on peut enfin espérer une IA décente !
jagermeister
26/01/2007, 20h44
Ca devrait répondre en partie à ta question sur une ia "hard codée" :
http://forum.paradoxplaza.com/forum/showpost.php?p=6447516&postcount=7
:)
C'est bon ça, enfin une IA qui n'aborde pas la partie avec une stratégie déja plannifiée mais qui observe et réagit en conséquence ! Il ne manquerait plutot qu'il y ait une mémorisation de la part de l'IA et serait déja parfait...
Le truc c'est que t'as pris la Turquie , les IA réagissent en fonction du pays joué , Para n'as pas beaucoup bossé sur l'hypothèse Turquie.
Plus généralement à vouloir rendre tout les pays jouable Para a saboté l' IA dans le jeu .
Tu veux dire qu'en prenant l'Allemagne, les ricains auraient bien envahi l'Europe ?
Tu veux dire qu'en prenant l'Allemagne, les ricains auraient bien envahi l'Europe ?
Oui. :grossescouille: :n'as joué que 2 fois à HOI2: :lol:
Mais je pense que c'est ça ;)
jagermeister
26/01/2007, 22h33
Rare sont les joueurs à avoir vu les ricains débarquer en Europe que ce soit avec hoi2 ou DD. :chicos:
Il ne doit y avoir guère que Reborn (http://www.franconaute.org/forum/showthread.php?t=4666&page=1).
N'empêche que j'ai vu pas mal de trucs décents de la part de l'IA dans cette partie : l'Italie qui se maintient en Afrique, les soviétiques qui encerclent les allemands dans des poches, des allemands assez offensifs dans les balkans, un japonais qui semblait bien parti pour s'imposer en Asie, mais avec un peu de retard. Il ne doit y avoir que les américains pour avoir une IA aussi nulle.
Je sais que ça doit être dur de coder une IA pour un pays qui doit mener pas mal de stratégies en même temps, m'enfin quand même, je préférai presque les débarquements suicides de HoI 1...
Oui, c'est la seule partie où j'ai vu un vrai débarquement américain en Europe.
L'IA se débrouille plutôt bien pour le conflit URSS/Allemagne, en particulier avec Doomsday. En général, l'Allemand bloque au niveau de Moscou et Leningrad et à force, le Russe reprend l'initiative en 1943.
Le coup de l'Italie qui bat le British, c'est pas très courant non plus. Ca change un peu de l'éternel conquête de la Lybie.
En effet, je n'ai rien à redire sur le conflit Allemagne/URSS, tout c'est bien déroulé même si l'Allemagne n'a pas dépassé le Dniepr. Elle l'a atteint puis le front s'est stabilisé pendant un hiver, avant que l'URSS refoule le teuton jusqu'en Pologne. Tout va bien.
Concerant l'Italie, c'est due au fait que l'Algérie est passé rapidement dans le camp de la France libre et a été envahie par les italiens qui étaient encore en pleine puissance en Lybie. Les ricains ont bien tenté leur habituel débarquement au Maroc mais se sont retrouvés bloqués au niveau de l'Atlas. Bien sur, il ne leur est pas venu à l'esprit de rameuter quelques divisions empilées à Washington... :yeux:
Quand aux britanniques, partie très classique et relativement prudente. A part pour le front de l'Inde, on ne les a pas trop brusqué.
A noter toutefois qu'en 44, la Regia Marina avait encore suffisament de navires pour garder les cotes italiennes...Je ne saurai pas dire dans quelle quantité mais ça aussi ça change...
jagermeister
29/01/2007, 16h35
En effet, je n'ai rien à redire sur le conflit Allemagne/URSS, tout c'est bien déroulé même si l'Allemagne n'a pas dépassé le Dniepr. Elle l'a atteint puis le front s'est stabilisé pendant un hiver, avant que l'URSS refoule le teuton jusqu'en Pologne. Tout va bien.
Concerant l'Italie, c'est due au fait que l'Algérie est passé rapidement dans le camp de la France libre et a été envahie par les italiens qui étaient encore en pleine puissance en Lybie. Les ricains ont bien tenté leur habituel débarquement au Maroc mais se sont retrouvés bloqués au niveau de l'Atlas. Bien sur, il ne leur est pas venu à l'esprit de rameuter quelques divisions empilées à Washington... :yeux:
Quand aux britanniques, partie très classique et relativement prudente. A part pour le front de l'Inde, on ne les a pas trop brusqué.
A noter toutefois qu'en 44, la Regia Marina avait encore suffisament de navires pour garder les cotes italiennes...Je ne saurai pas dire dans quelle quantité mais ça aussi ça change...
En faisant quelques essais, j'ai trouvé pourquoi l'ia, surtout les USA, rechigne autant à débarquer.
Je continue mes tests pour voir si Husky et Overlord auront bien lieu et je ferais un p'tit mod pour les joueurs (les vrais) qui aiment les challenges.....................................si j'ai pas la flême évidemment. :honte:
En faisant quelques essais, j'ai trouvé pourquoi l'ia, surtout les USA, rechigne autant à débarquer.
Je continue mes tests pour voir si Husky et Overlord auront bien lieu et je ferais un p'tit mod pour les joueurs (les vrais) qui aiment les challenges.....................................si j'ai pas la flême évidemment. :honte:
Ca pourrait être génial et si tu réussi, ca changerai pas mal de choses pour les parties en solo.
Bon courage !
(D'ailleurs, j'avais commencé un mod qui empechait les portes avions, toujours avec l'aide de jag, pensez vous que ça vaille le coup de pousser un peu l'idée ?)
jagermeister
29/01/2007, 23h39
Ca pourrait être génial et si tu réussi, ca changerai pas mal de choses pour les parties en solo.
Bon courage !
(D'ailleurs, j'avais commencé un mod qui empechait les portes avions, toujours avec l'aide de jag, pensez vous que ça vaille le coup de pousser un peu l'idée ?)
L'ia US est vraiment particulière c'est la seule qui manque d'agressivité dans dd ou hoi2, même en supériorité numérique, souvent elle ne bouge pas :( ou alors c'est le scénario 41 qui déconne.
Je continue mes tests sur le "1936" car je pense être sur la bonne voie. :hello:
Tes tests aboutissent ?
Si tu arrive à faire que les ricains puissent effectivement débarquer en Europe et créer un front ouest, ça va être une petite révolution pour Hoi2 !
C'est clair que ça serait très interessant. Personnellement, je l'installerais sans hésitation, Jag. :hello:
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